A deux mois des IXèmes Jeux de la Francophonie : Sama Lukonde attire l’attention du Comité de Pilotage sur la nécessité de tenir les délais

En sa qualité de superviseur des IXèmes Jeux de la Francophonie de Kinshasa, le Premier Ministre en a appelé à la responsabilité du Comité de Pilotage face à la nécessité de tenir les délais dans l’organisation de cette manifestation de haute portée sportive et culturelle.
A deux mois de la tenue des Jeux, il a, une nouvelle fois, attiré l’attention du Comité de Pilotage, particulièrement celle du Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Etrangères et Francophonie, en sa qualité du Président du Comité de Pilotage, du Ministre d’Etat, Ministre des Infrastructures et Travaux Publics, qui gère le dossier critique des infrastructures, et du Ministre des Finances, en charge du décaissement en faveur des entreprises engagées, chacun en ce qui le concerne, d’accélérer le processus d’aboutissement des objectifs leur assignés.
La réussite des IXèmes Jeux de la Francophonie de Kinshasa constitue un enjeu majeur dans la nouvelle dynamique diplomatique impulsée par le Président de la République, Chef de l’Etat.
Le Président du Comité de Pilotage a été chargé de lui faire rapport, chaque semaine, sur l’état d’avancement des préparatifs.




Situation sécuritaire dans la périphérie de Kinshasa : Sama Lukonde annonce des mesures urgentes

Le Premier Ministre a informé le Conseil de la tenue de la réunion de sécurité qu’il a présidée, ce jeudi 11 mai 2023, pour prendre des mesures qui permettront de rétablir rapidement l’ordre publique et l’autorité de l’Etat.
Dans le même ordre, le Premier Ministre a dit suivre de près la situation à Kisangani où il est signalé des affrontements entre les Mbole et les Ngola, d’une part ; et, les dossiers relatif aux conflits fonciers à travers le pays pour une bonne prise en charge afin d’éviter que cela ne dégénère en des conflits intercommunautaires, d’autre part.




Sama Lukonde déclare « Kalehe, Zone sinistrée »

Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde a, au nom du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, présidé en visioconférence, la quatre-vingt-dix-huitième réunion du Conseil des Ministres du Gouvernement de la République, ce vendredi 12 mai 2023.

Au regard du nombre de morts évalué à ce jour à 438, de nombreux disparus ainsi que des dégâts matériels importants, le Premier Ministre, après consultation avec le Président de la République, sur base du rapport de terrain et des propositions du Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, a déclaré « Kalehe, Zone Sinistrée » pour permettre une plus grande mobilisation des ressources indispensables et apporter l’appui nécessaire aux populations affectées.

Au-delà des conséquences du changement climatique, à la cause des pluies diluviennes, cette situation donne au Gouvernement l’occasion d’examiner les possibilités de la mise en œuvre de nouvelles stratégies d’exploitation minière artisanale, de préservation de la forêt et de l’aménagement des espaces d’habitation.

Il a demandé aux membres du Gouvernement concernés, à savoir la Ministre d’Etat, Ministre de l’Environnement et Développement Durable, le Ministre d’Etat, Ministre de l’Aménagement du Territoire ainsi que la Ministre des Mines, de se concerter en vue de proposer, dans les meilleurs délais, un dossier méthodologique pour l’atténuation et la mitigation des effets du changement climatique, notamment par la prévention.




Eddy Mfumumpoko déterminé à faire des Inspecteurs de la DGRK des OPJ à compétence restreinte

C’est dans la salle polyvalente Frère Henry Carolus de la Gombe que les Inspecteurs de la Direction générale des recettes de Kinshasa (DGRK) étaient conviés ce samedi 13 mai 2023, pour passer ce premier test d’évaluation, initié par le Directeur général de cette régie financière provinciale Eddy Mfumumpoko.


Cet exercice a comme objectif de permettre au numéro 1 de cette régie financière provinciale de sélectionner 100 inspecteurs qui feront partie du premier lot de ceux qui seront mis à la disposition de la justice congolaise pour prêter serment revêtir la qualité d’Officier de police judiciaire. Cette qualité manque à ces derniers et ne leur permet pas de pouvoir effectuer les missions tant d’enquêtes que de contre-vérification. Cette qualité est à ce jour le monopole de 5 inspecteurs sur le 274 que compte l’Inspection générale de la Direction générale des recettes des Kinshasa (DGRK).
Après sa prise de fonction à la tête de cette régie de la capitale, le nouveau patron de la DGRK avait manifesté sa volonté de faire de l’Inspecteur de la DGRK un agent compétent et équipé pour relever le défi de la mission lui assignée par la ville. Un autre défi majeur que le numéro un de la DGRK compte atteindre pour doter l’inspecteur de la régie provinciale cette qualité qui ne lui a pas permis d’avoir un champ libre pour effectuer son travail en toute liberté.
Eddy Mfumumpoko tient sa promesse
Eddy Mfumumpoko qui a trouvé les agents de cette direction en train de consommer leur chômage tout en étant cadre de la DGRK a voulu changer la donne, celle de les faire sortir de leurs garages et les rendre utile pour la régie.
Pour Eddy Mfumumpoko cette évaluation est un rêve qui devient une réalité. ” Il y a de cela 3 semaines en arrière lors de notre première rencontre avec ces cadres, je les avais promis que je veux faire d’eux des inspecteurs revêtus de la qualité d’Officier de la police judiciaire (OPJ) à compétence restreinte. Et cela pour lui permettre de pouvoir effectuer à bon escient les missions tant d’enquêtes que de contre vérification. Et cela conformément aux dispositions de l’article 005 /2021 du 31 décembre 2021, qui stipule que : ne peut faire une mission d’enquête qu’un inspecteur revêtu de qualité à compétence restreinte “. Voilà pourquoi j’avais résolu que tous les inspecteurs de notre régie doivent être revêtus de cette qualité, a précisé le numéro un de la DGRK.
Félix Ngobila, Directeur de l’Inspection et coordinateur de la Direction générale des recettes de Kinshasa (DGRK) qui a supervisé cette évaluation, s’est félicité du bon déroulement de cette étape, avant de souhaiter bonne chance à tous les cadres, tout en rassurant les uns et les autres que tout sera fait avec transparence en terme de mérite de chacun.
A noter que ce test d’évaluation qui avait duré plus de 2 heures du temps s’est déroulé dans toute sérénité et à la satisfaction de tous les inspecteurs de cette régie qui attendaient ce moment si important qui doit à amener un vent nouveau dans leur carrière et à la tête de cette direction de la ville province de Kinshasa. Ce test était essentiellement composé sur la matière liée à la fiscalité et aux questions de rappelle à leur mission. Le deuxième test sera programmé dans les prochains jours pour encore passer une deuxième sélection qui va permettre progressivement à tous les inspecteurs de la Direction générale des recettes de Kinshasa DGRK à être revêtu de cette qualité de choix pour ces derniers.
Osée Kalombo




Les experts du BCR satisfaits de l’expérience acquise à Brazzaville

Une délégation d’experts du Bureau Central du Recensement de la RDC a séjourné, du 06 au 13 mai 2023, au Congo Brazzaville, en vue d’observer le déroulement des travaux du 5ème recensement général de la population et de l’habitat de ce pays.


Selon une dépêche de la Cellcom/BCR, il s’est agi d’un véritable échange d’expériences entre les experts des deux Congo en matière de recensement scientifique. En dehors de nombreux échanges en tête-à-tête entre experts, la descente sur le terrain des opérations a permis aux cadres du BCR de la RDC de se faire une idée plus claire du déroulement d’un dénombrement général de la population à l’ère du numérique.
Sur le plan de la collecte des données par exemple, ils ont pu observer notamment la stratégie de collecte définie par le BCR du Congo Brazzaville, comment les instructions contenues dans les manuels étaient appliquées sur le terrain, comment le listing des ménages était réalisé, quel était le temps moyen d’interview dans un ménage et comment les agents recenseurs assuraient l’administration du questionnaire et la saisie des données dans la tablette.
Sur le plan de l’informatique, ils ont pu observer entre autres comment le transfert des données se réalisait du terrain aux différents serveurs et l’efficacité ou non des matériels informatiques utilisés. Par ailleurs, et toujours sur le plan informatique, la mission s’est également imprégnée du fonctionnement de l’applicatif développé pour la phase du dénombrement.
Sur le plan de la cartographie, il était question notamment de voir comment ont été découpées les zones de dénombrement, comment se passait l’actualisation de certaines zones de dénombrement ainsi que la stratégie et les techniques utilisées.
Sur le plan de la communication, il s’agissait d’observer la mise en œuvre de la stratégie de communication définie, les supports, outils et canaux utilisés pour atteindre les différentes catégories de la population, la stratégie mise en œuvre dans les zones humanitaires et à problème ainsi que la gestion et la prise en charge quotidienne des préoccupations de la population sur le recensement.


Enfin, le partage d’expériences a également consisté à observer comment la coordination et le suivi des activités et des agents se déroulaient sur et en dehors du terrain. Pendant 8 jours donc, les experts du BCR de la RDC ont pu s’imprégner des différents mécanismes mis en place par les collègues du Congo Brazzaville pour réussir leur 5ème RGPH. Un voyage de partage d’expériences qui profitera à coup sûr à la RDC, qui organise son deuxième recensement général de la population et de l’habitat après le seul et unique tenu en 1984. Autant rappeler que ce déplacement de Brazzaville a été rendu possible grâce à l’appui de l’UNFPA. “On ne peut gérer ce que l’on ne peut pas mesurer”, dit-on.




Enquête: Mahagi, la plaque tournante de la fraude douanière

La lutte contre la fraude sous toutes ses formes en République Démocratique du Congo concerne désormais tous les compatriotes congolais en ce sens qu’il convient de doter l’Etat congolais des moyens financiers nécessaires pour le développement harmonieux et intégral de notre pays.

Pour ce faire, tous les Congolais se sentent mobilisés dans cette lutte. Après le magistral coup de filet opéré dernièrement dans le Sud-Kivu, lequel coup de filet a permis l’arrestation d’un grand nombre d’agents des services publics de l’Etat affectés à nos frontières pour juguler la fraude, il vient d’être signalé malheureusement que la fraude douanière bat son plein à Mahagi, chef-lieu du territoire de Mahagi en Ituri, où tous les services de l’Etat y sont impliqués : de la DGDA à l’OCC en passant par la DGM et autres.

Au regard de ce qui se passe à Mahagi, il est indiqué que l’Etat, à travers l’Inspection Générale des Finances, devra poursuivre sans relâche la traque des agents inciviques disséminés dans tous les services de la lutte contre la fraude, ces fossoyeurs de notre économie.

Sans une répression impitoyable des agents de l’Etat qui s’adonnent à la fraude et leurs parrains, surtout de Kinshasa, la fraude dans tous les secteurs de la vie nationale, aura toujours de beaux jours devant elle.

MAHAGI, LA PLAQUE TOURNANTE DE LA FRAUDE DOUANIERE

Mahagi c’est le Vatican de la fraude douanière dans notre pays. Cette ville frontalière de l’Ouganda se positionne comme la plaque tournante de la fraude en ce qui concerne les marchandises qui entrent et qui sortent du territoire national. Quel incivisme pour nos compatriotes qui ont eu la chance d’œuvrer dans les services étatiques placés à nos frontières !

A Mahagi, c’est connu de tout le monde, les agents de l’Etat de la Direction Provinciale des Douanes et les déclarants en douane spécialisés en produits pétroliers ont constitué une caste des malfaiteurs intouchables qui saignent à blanc le Trésor public congolais.

Spécialistes en fraude douanière, ces ennemis de la République ont mis en place un système qui leur permet de dupliquer les quantités officiellement déclarées. Autrement dit, pour un mètre cube déclaré à travers le système SYDONIA institué par la Direction Générale des Douanes moyennant 5 500 $US par camion-citerne, ces mafieux peuvent faire passer plusieurs camions-citernes hors SYDONIA. A vous de calculer le manque à gagner pour l’Etat congolais !

Malheureusement, selon nos sources généralement bien informées, les déclarants en douane locaux sont aussi encouragés dans cette entreprise criminelle par quelques bonzes de la FEC/Mahagi.

Cette longue chaîne des contrebandiers des temps modernes a été tissée dans toutes les agglomérations d’Ituri : Mahagi, Bunia, Aru, etc. Et les importateurs étrangers installés dans cette partie de la République se lèchent les babines du fait que leurs affaires prospèrent grâce à la fraude soutenue et entretenue par ces agents de l’Etat indélicats. Il est à noter que tous les importateurs et les grossistes des produits pétroliers installés en Ituri sont pratiquement tous impliqués dans cette mafia.

UNE FRAUDE SAVAMMENT ETUDIEE ET PLANIFIEE

Le système de fraude douanière des produits pétroliers est savamment étudié et planifié. En effet, contrairement à la réglementation en vigueur qui exige que chaque camion-citerne ait sa propre déclaration conforme à sa cargaison et correspondante à son T1, les fraudeurs préfèrent traiter et taxer en volume les camions-citernes n’ayant aucun titre de transport y afférent.

A titre d’exemple, un camion-citerne transporte généralement 30 mètres cube de mazout ou 35 mètres cube d’essence. Curieusement, des déclarations de 1 000 mètres cube ou plus sont établies pour un seul camion-citerne enregistré. Les bordereaux de paiement bancaire en faveur des agences locales de Rawbank ou Equity-BCDC en font foi.

Normalement, la logique du système SYDONIA stipule que le T1 doit être entériné par IM4 avec un numéro d’enregistrement E suivi du numéro L de liquidation avant l’émission du numéro Q de la quittance accompagnée du Bon de sortie, lequel Bon de sortie reprend les numéros E, IM4, L et Q.

Selon la législation, le numéro E du IM4 doit être unique pour chaque Bon de sortie. Et non le contraire qui se fait chaque jour dans notre capitale de la fraude douanière.

Un autre service épinglé est l’Office Congolais de Contrôle dont les agents locaux sont aussi impliqués dans cette mafia. Il est constaté, à Mahagi, que l’agence locale de l’OCC couvre la fraude en acceptant des paiements hors guichet et non conformes à la réglementation. Ainsi, ses agents perçoivent obligatoirement 11 $US par mètre cube de chaque produit pétrolier. Incroyable mais vrai, l’agence locale de l’OCC encaisse au moins 940 $US pour un lot de 25 camions-citernes. L’OCC local n’est pas seul dans la danse. On cite également quelques agents véreux opérant dans d’autres services de l’Etat présents dans cette province.

QU’ATTEND L’INSPECTION GENERALE DES FINANCES ?

A la lumière de tous ces faits graves, l’opinion locale interpelle l’Inspection Générale des Finances qui semble fermer les yeux sur la disparition des droits dus à l’Etat.

Dans le cadre de l’assainissement des finances publiques, une lutte sans merci devra être déclenchée en Ituri pour arrêter cette hémorragie !

Jean KABEYA MUDIELA NDUNGU/CP




La CAF conclut un atelier innovant sur l’entraînement des gardiens de but à Alger

Vue générale lors de l’atelier des entraîneurs de gardiens de but de la Coupe d’Afrique des Nations des moins de 2023 ans 17 qui s’est tenu au Complexe Sportif Militaire de Ben Aknoun à Alger, en Algérie, le 11 mai 2023

La première phase d’un atelier organisé par la CAF (Confédération Africaine de Football) en collaboration avec la Fédération Algérienne de Football (FAF) pour les entraîneurs des gardiens de but s’est achevée à Alger, en marge de la Coupe d’Afrique des Nations U17 de TotalEnergies.
La première phase, qui a débuté le 7 mai et s’est terminée le 11 mai, s’est concentrée sur les entraîneurs de gardiens de but de toutes les ligues algériennes, tandis que la deuxième phase, qui devrait se terminer le 16 mai, se concentrera sur les entraîneurs physiques.
Les ateliers sont supervisés par le directeur du développement de la CAF, Raul Chipenda, Heredia Alejandro Alfredo, de la FIFA, ainsi que par l’instructeur de la CAF-FIFA, Abraham Mebratu.
Les 28 entraîneurs de gardiens de but algériens qui ont participé à l’atelier ont grandement apprécié l’initiative, affirmant que c’était une occasion d’apprendre et de grandir.
« C’est une excellente initiative de la CAF car c’est un pas dans la bonne direction pour placer nos entraîneurs africains au niveau mondial. Il y a eu une grande réponse de la part des entraîneurs des gardiens qui ont participé et ils ont beaucoup appris des leçons théoriques et pratiques », a déclaré Kamel Djaber de la Fédération algérienne de football.
Alfredo, qui est un instructeur d’entraîneur des gardiens de but de la FIFA, a déclaré que ce furent quatre jours formidables pour transmettre et partager des connaissances avec les entraîneurs algériens.
« C’est une grande et importante initiative et notre objectif était de combler le vide qui existe dans la formation des entraîneurs algériens », a déclaré Alfredo.
« Nous avons commencé par analyser et étudier les informations des entraîneurs eux-mêmes, puis nous avons essayé de développer leurs idées et de leur donner plus de connaissances », a-t-il ajouté.
Le directeur technique de l’Algérie, Mustapha Biskri, a déclaré que l’atelier était extrêmement bénéfique car il améliorerait le niveau des gardiens de but dans tout le pays.
« Ces ateliers aident beaucoup les entraîneurs à développer leurs capacités. La position d’un gardien de but est très importante dans le football à l’époque actuelle et il est très important d’avoir les entraîneurs bien équipés », a-t-il ajouté.
Biskri a félicité la CAF et la FIFA pour cette initiative, affirmant que cela contribuerait à améliorer le niveau du jeu à travers le continent.
Avant cela, il y avait aussi un atelier auquel participaient les directeurs techniques de huit associations membres des FAC.




Mokwena rend un vibrant hommage aux Sundowns « galants » après le tirage au sort du Wydad

L’entraîneur-chef de Mamelodi Sundowns, Rulani Mokwena, a rendu un vibrant hommage à ses joueurs pour leur vaillant combat pour obtenir un match nul 0-0 contre le Wydad Athletic Club, tenant du titre, lors de leur demi-finale de la Ligue des champions de la CAF TotalEnergies à Casablanca, malgré avoir joué la moitié du match avec 10 hommes.

Sundowns a été réduit à 10 hommes à la 42e minute après l’expulsion de Neo Maema, et a eu un envoi tardif du remplaçant Marcelo Allende.

« Je suis fier de ces joueurs pour leur vaillante performance dans des circonstances très difficiles. Ils ont fait preuve d’un rythme de travail et d’une discipline tactique incroyables ainsi que d’une adaptation à une situation difficile. Ils ont besoin de beaucoup d’appréciation de ces joueurs parce qu’ils ont été fantastiques », a noté Mokwena.

Il a ajouté; « Avant le carton rouge, nous étions vraiment bons et nous avons eu des moments dans le match où nous avions 65% de possession et nous avons été excellents. Mais après le carton rouge, vous devez absolument vous adapter en tant qu’équipe. Dans les circonstances, l’émotion est que cela ressemble à une victoire. »

À l’approche du match retour du week-end prochain à Pretoria, Mokwena a exhorté ses joueurs à garder les pieds sur terre et à savoir que la tâche reste difficile.

« Ce n’est jamais fini. C’est la Ligue des champions et nous jouons toujours contre une très bonne équipe avec de bons joueurs. Ce n’est que la mi-temps. Nous devons garder les pieds sur terre et rester concentrés. Nous avons un stade qui peut nous pousser à Pretoria et nous faisons confiance aux joueurs pour continuer le bon travail », a déclaré le jeune tacticien.

Pendant ce temps, le défenseur marocain de Sundowns, Abdelmounaim Boutouil, a également partagé les sentiments de son entraîneur, affirmant qu’ils devaient repenser leur stratégie après le carton rouge de Maema.

« Nous avons joué un match de très haut niveau et nous voulions gagner. Mais après le carton rouge, nous avons dû mettre en place de nouvelles méthodes de jeu. Nous avons fait un grand effort et défendu en équipe. Maintenant, nous allons nous préparer pour le match retour qui ne sera pas facile mais nous ferons de notre mieux pour gagner », a noté le défenseur central.

Pendant ce temps, le défenseur marocain de Sundowns, Abdelmounaim Boutouil, a également partagé les sentiments de son entraîneur, affirmant qu’ils devaient repenser leur stratégie après le carton rouge de Maema.

« Nous avons joué un match de très haut niveau et nous voulions gagner. Mais après le carton rouge, nous avons dû mettre en place de nouvelles méthodes de jeu. Nous avons fait un grand effort et défendu en équipe. Maintenant, nous allons nous préparer pour le match retour qui ne sera pas facile mais nous ferons de notre mieux pour gagner », a noté le défenseur central.

Sundowns se qualifiera pour sa première finale depuis sa victoire à la Coupe en 2016 avec une victoire, mais ils éviteront tout match nul car cela mènera le Red Castle à une deuxième finale consécutive.




Espérance de Tunis : le coach Nabil Maaloul démissionne après le revers face à ‘Al Ahl

L’entraîneur d’Esperance de Tunis, Nabil Maaloul, a démissionné de son poste après la lourde défaite (3-0) concédée vendredi soir, à domicile face aux égyptiens d’Al Ahly, en demi-finale aller de la Ligue des Champions TotalEnergies de la CAF.

“Dans l’intérêt de mon équipe, j’ai décidé de me retirer et de démissionner devant le président du club.”, a déclaré Nabil Maaloul, dans un communiqué.

« Je comprends la tristesse et la déception des supporters de l’Espérance après cette défaite difficile, et je m’excuse auprès de tout le public de ne pas avoir pu apporter de la joie dans leurs cœurs. Récemment, la tâche n’a pas été facile pour moi, le reste du personnel technique et les joueurs pour un certain nombre de raisons, mais j’ai fait de mon mieux pour trouver des solutions appropriées, surmonter les difficultés et obtenir les meilleurs résultats. ”

Evoquant son séjour à la tête du club, Nabil Maaloul, retient des hauts et des bas : “Mon équipe a eu besoin de moi dans une période difficile après la fin de la saison dernière. Dieu merci, nous avons réussi dans certaines choses et échoué dans d’autres choses.”

A la fin de son intervention, l’entraîneur tunisien a appelé les fans du club de Tunis à soutenir l’équipe dans le reste du parcours et à ne pas la laisser seul.

“J’appelle tous les fans du de l’Espérance Club à continuer à se tenir derrière les joueurs et les soutenir pour la suite de la compétition, dans le tournoi, la Ligue des Champions de la CAF”.




Face aux inondations dans le Sud-Kivu : Bruno Lemarquis décide d’allouer trois millions de dollars US du Fonds Humanitaire pour renforcer les opérations en cours

Les pluies diluviennes qui se sont abattues, entre les 2 et 5 mai, sur les localités de Bushushu, Chabondo, Luzira et Nyamukubi dans le territoire de Kalehe, dans la province du Sud-Kivu, ont causé la mort d’au moins 420 personnes, un bilan encore provisoire. Près de 3 000 familles ont perdu leurs maisons ; près de 1 200 enfants ont perdu la trace de leurs proches, selon les estimations des autorités. Des hectares de champs ont été inondés : de nombreux ouvrages hydrauliques et infrastructures socio-économiques ont également été affectés. Les autorités congolaises estiment que plusieurs milliers de personnes sont portées disparus.
Au lendemain de cette catastrophe, les agences humanitaires des Nations Unies, les ONG congolaises et internationales, et le Mouvement de la Croix-Rouge ont déployé des équipes d’urgentistes dans la zone sinistrée. Les acteurs humanitaires travaillent en étroite collaboration avec les autorités locales, provinciales et nationales. Des activités de distribution d’aliments et de médicaments sont en cours. des opérations d’assainissement et de décontamination d’eau ont également démarré. D’autres acteurs ont prévu des interventions dans les domaines des abris et articles ménagers essentiels et de la protection.
En soutien aux opérations en cours, le Coordonnateur humanitaire, Bruno Lemarquis, a décidé d’allouer trois millions de dollars US du Fonds Humanitaire pour renforcer les opérations en cours dans les domaines prioritaires de l’accès à l’eau et aux services d’hygiène, la santé, les abris et les articles ménagers, la sécuritaire alimentaire et la protection de l’enfance. L’enterrement digne et sécurisé des corps et la prise en charge des blessés, la protection contre les risques de violences basées sur le genre, et la reconstitution des documents civils égarés ont également été identifiés comme des actions urgentes à mener.
Au nom de la communauté humanitaire, je présente mes condoléances et toute ma compassion aux familles endeuillées », a déclaré M. Lemarquis.
« Cette catastrophe dévastatrice requiert des actions rapides et coordonnées. Cette allocation du Fonds Humanitaire nous permettra d’appuyer la réponse en cours en faveur des personnes les plus affectées. Les aléas naturels ne doivent pas nécessairement se transformer en catastrophes meurtrières. Il n’y a pas de fatalité. Ces inondations dramatiques doivent servir de rappel et stimuler l’action par rapport à la prévention et de la gestion des risques, notamment à travers les politiques publiques, la gouvernance et les investissements et interventions de développement tenant compte des risques, notamment au niveau local a souligné Lemarquis.