Appropriation du Cadre mondial pour la biodiversité: L’IFDD compte sur les médias

La Directrice de l’Institut de la Francophonie pour le Développement durable (IFDD) exhorte les gouvernements et l’ensemble des acteurs à l’approprier le Cadre mondial pour biodiversité (Cmb). Selon la Cécile Martin Phipps, qui s’était exprimée lors d’un webinaire, organisé par le Réseau des médias africains pour la promotion de la Santé et de l’Environnement (Remapsen), l’appropriation du Cadre mondial sur la biodiversité est un défi et pour ça, les médias peuvent influencer afin de le relever.

« Le défi majeur est l’appropriation du Cadre par l’ensemble des acteurs. Et c’est là que vous, les hommes et les femmes des médias, vous intervenez », a-t-elle déclaré. C’était avant d’attirer l’attention les professionnels des médias, membres de cette corporation en ces termes : « Vous avez un rôle à jouer. Votre rôle de plaidoyer est capital pour maintenir la biodiversité sur l’agenda politique et veiller à ce que les gouvernements, les entreprises et les autres acteurs clés respectent leurs engagements en matière de biodiversité (…) Vous avez un rôle essentiel pour informer sur la protection de la biodiversité parce que vous avez le pouvoir d’éduquer le public, vous avez la capacité de fournir les informations à temps sur les problèmes auxquels fait face la biodiversité. Vous pouvez aussi valoriser et amplifier les initiatives positives et inspirer d’autres à agir et créer une dynamique favorable autour de la biodiversité ».

Le Cadre mondial a pour objectif de freiner et d’inverser la perte croissante de la biodiversité, afin de contribuer à la vision à 2050 de vivre en harmonie avec la nature. 196 pays du monde sont signataires de la Convention des Nations unies sur la diversité biologique (Cdb) pour définir des engagements précis permettant de stopper l’effondrement des espèces animales et végétales au niveau mondial.

Selon le Co-président du Groupe de travail sur l’adoption du Cadre mondial sur la Biodiversité, Monsieur Basile Van Havre, les États se ont engagés sur divers enjeux, notamment l’atteinte de la conservation de 30 % des surfaces terrestres et marines à travers un réseau bien relié d’aires protégées (marines, côtières, terrestres, et d’eaux douces) et d’autres mesures de conservation efficaces par zone (Amce) au niveau mondial à horizon 2030 ; la restauration de 30% des écosystèmes dégradés ; et l’accroissement des financements à destination des pays en développement pour la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité.

«  C’est ici le rôle important des médias pour parler des progrès ou de l’absence des progrès », a-t-il souligné d’un ton ferme. C’était avant de s’étendre sur les 4 grands objectifs du Cadre sur la biodiversité à long-terme à l’horizon 2050 ; 23 cibles axées sur l’action à l’horizon 2030 ; des mécanismes de planification, de suivi, de révision, de rapportage ; et des indicateurs à utiliser dans les rapports périodiques nationaux.

S’exprimant à cet effet, le spécialiste de Programme à l’IFDD/OIF, Monsieur Issa Bado, a martelé sur l’importance de l’action locale dans l’atteinte des objectifs du Cadre mondial sur la biodiversité. Avec des mots bien trouvés, il s’agit selon lui de « Transformer » le Cadre mondial en mesures, programmes et projets sur terrain. «  C’est là ou tout change. Ca ressemble beaucoup à ce qu’on appelle la décentralisation dans nos pays. Ça veut dire que dans une perspective centralisée un gouvernement signe le Cadre mondial et dit qu’il y a la cible 21, on y contribue et on est parti. Maintenant ce gouvernement doit faire en sorte que chaque niveau local contribue à l’atteinte de cette cible (…) C’est l’agrégation de la contribution de chaque entité qui va donner les résultats que chaque pays va aller valoriser au niveau international dans le cadre des rapports nationaux que chaque pays doit faire dans la préservation de la biodiversité», s’était-il exprimé en insistant sur l’intégration des municipalités et surtout de l’importance de faire jouer chaque catégorie qui s’y trouvent son rôle par rapport à un projet donné qui peut intégrer la dimension de la biodiversité. «  L’aspect local, c’est la pièce maitresse », est-il revenu en insistance.

Ce webinaire avait pour thème : «  La Mise en œuvre du Cadre mondial sur la biodiversité : Défis et rôles des médias ». Il avait réuni une trentaine de journalistes, membres du REMAPSEN, dirigé par l’Ivoirien Bamba Youssouf.

Prince Yassa

 




Marche opposition-majorité : « Ce n’est pas à nous de dicter ce qui doit se passer et comment ça doit se passer » (Bintou Keita)

C’est ce samedi que l’opposition congolaise va manifester pour pouvoir exiger des élections crédibles et inclusives. Mais l’opposition a justement fait appel à la MONUSCO pour pouvoir accompagner sa marche de demain. Est-ce que la MONUSCO a donné son feu vert pour le déploiement de ses éléments demain afin de pouvoir accompagner cette marche comme l’a demandé l’opposition ?

La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en République démocratique du Congo, Mme Bintou Keita pense que cette question touche à l’état de droit. La RDC est un pays souverain. Il y a toute la question de comment se déroulent les manifestations, comment est-ce qu’elles se mettent en en œuvre ? C’est d’abord la responsabilité des autorités et donc de la Police nationale congolaise.

Quand vous nous demandez « qu’est-ce que la MONUSCO va faire » ? C’est un peu comme si on devait être en première ligne et nous, ce que nous pouvons faire, c’est si [nous sommes] sollicités par la PNC et nous avons des éléments ici pour appuyer la PNC, nous allons travailler ensemble. Mais ce n’est pas à nous de dicter ce qui doit se passer et comment ça doit se passer. Le pays est souverain, il y a des règles qui régissent les manifestations publiques. Et nous comptons inciter tout le monde à être responsable pour ne pas aller dans ce que j’appellerais des confrontations, des violences de part et d’autre. Et donc pour moi, c’est ça, c’est la responsabilité d’exercer son droit dans un contexte pacifique.




« Quel que soit l’endroit où se trouvent les citoyens qui doivent voter, qu’ils puissent être dans un calme, dans un environnement apaisé » (Bintou Keita) 

Dans son discours devant la presse, Bintou Keita est notamment revenue sur sa récente mission en Ituri, avec en toile de fond les violences. C’est presque la même situation à Goma, explique le journaliste, qui ajoute que les deux provinces sont sous état de siège depuis 2 ans maintenant et la population civile craint jusque-là que cette mesure exceptionnelle qui n’arrive pas à produire les résultats voulus.

Mme Bintou Keita, Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en République démocratique du Congo dit voir dans les réseaux sociaux, tout ce qui est débattu par rapport à ces questions, mais pour ce qui nous concerne, ce qui est important, c’est de faire en sorte que tous ceux qui doivent contribuer à voter puissent voter.

Et que l’environnement dans le pays, quel que soit l’endroit où se trouvent les citoyens et les citoyennes qui doivent voter, puissent être dans un calme, dans un environnement apaisé. Et ça, c’est le principe que nous suivons avec tout le monde, y compris dans les plaidoyers que nous faisons auprès des différentes parties prenantes, et aussi auprès de la CENI. Après, la question de l’état de siège, vous le savez, ça fait l’objet de débat, d’évaluations diverses et variées par, à la fois les autorités elles-mêmes, mais aussi la société civile et d’autres communautés. Et là, je laisse à chacun avec l’évaluation de ce qu’il retire de la mise en œuvre de l’état de siège.




Le budget de la MONUSCO ne provient pas de la Rdc (Bintou Keita)

A Mme Bintou, la presse voulait savoir, au sujet du retrait ou de processus d’accélération de la Monusco, jusqu’à quelle période, il y aura retrait effectif et comment cela va se procéder ? Aussi l’effectif actuel de la MONUSCO dans des zones où il y aurait retrait et donc qu’on sache combien il y a d’effectifs de la MONUSCO et après combien de temps ?

Dans sa réponse, la Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies en République démocratique du Congo, Mme Bintou Keita a indiqué, juste pour être clair, que le budget pour les opérations de maintien de la paix est ce qu’on appelle des contributions obligatoires. Donc il est important de rappeler que ce sont les États membres qui contribuent au budget de la MONUSCO et la RDC n’a pas un budget dédié pour la MONUSCO.

Il y a des contributions obligatoires, les pays qui sont les plus en avant pour ces contributions obligatoires sont les États-Unis, la Chine et plein d’autres pays. Donc je crois qu’il faut corriger cette impression que j’entends très souvent, que le budget de la MONUSCO est un budget qui provient de la République démocratique du Congo. Ce sont plusieurs États membres qui contribuent au budget de la MONUSCO. Ça, c’est un premier élément.

Le deuxième élément, elle a expliqué que nous sommes dans des discussions avec les autorités. Pas plus tard que hier soir, nous avions une discussion à la Primature avec différents ministres, Vice-Premiers ministres, ministres d’État, ministres pour préciser que nous avons entre maintenant et décembre 2023, des actions conjointes qui doivent être matérialisées et ensuite, dans le contexte d’un retrait, de regarder la période qui suit pour voir comment le transfert des tâches va s’effectuer entre la Mission, les agences, fonds et programmes du système des Nations Unies qui sont présents en RDC, aussi directement la RDC en tant qu’autorité, mais aussi les partenaires qui contribuent à aider la RDC d’une manière générale.

Donc, quand on me dit, il faut donner plein de détails, je crois que la meilleure façon serait d’avoir une conférence de presse où nous sommes conjointement avec l’autorité gouvernementale, avec le pays et que nous communiquions ensemble pour ne pas donner cette impression qu’il y a d’un côté le gouvernement et de l’autre côté il y a la MONUSCO. Et donc ce principe est acquis au niveau des autorités et j’aimerais bien pouvoir répondre de façon détaillée à ces questions quand nous serons ensemble avec les autorités du pays.

Si la situation actuelle se maintient jusqu’en décembre et qu’il y ait des élections sans cette partie du Congo, parlera-t-on des élections inclusives ? Et ce que la MONUSCO sur ce point de vue-là, approuvera que ces élections soient inclusives ou qu’est-ce que la MONUSCO fait dans le contexte où il faudrait que des compatriotes aussi dans ces zones occupées par le M23 puissent participer aux élections ? Et dites-nous par rapport à ça, est-ce qu’elle la MONUSCO a accès à ces zones-là ? Quelle est la situation des droits de l’homme dans les zones occupées par le M23 ?

« L’autre question, c’est la question relative à ce qui se passe dans les zones occupées par le M23 ? Nous, nous avons fait un plaidoyer auprès de la CENI qui est pris en compte d’ailleurs puisqu’il s’agit de voir comment procurer des couloirs sécurisés pour les personnes déplacées internes qui se trouvent dans le Petit Nord et nous avons aussi un précédent en 2018 où certains territoires n’ont pas pu voter. Et ça s’est fait, je crois, c’était dans le contexte d’Ebola et ça a été rattrapé par la suite », dit-elle. Donc, il n’y a pas simplement comme on dit un dispositif fermé, il y a une ouverture pour regarder comment faire en sorte pour qu’il n’y ait pas de personnes qui soient désaffranchies de leur capacité à pouvoir voter au moment opportun, lorsque les scrutins seront ouverts.




LA GRANDE VEILLÉE DE PRIERE DU VENDREDI /AVEC LE PASTEUR FRANÇOIS MUTOMBO VH /VENDREDI 19/05/2023




Prise en charge du VIH/SIDA pédiatrique: La Rdc a validé son Plan opérationnel conformément aux recommandations de l’Alliance globale

Le Programme national de lutte contre le VIH/SIDA (PNLS) a organisé hier jeudi un atelier de restitution des travaux de Dar es Salaam en République unie de la Tanzanie sur le lancement de l’Alliance globale pour l’élimination du VIH/SIDA chez les enfants d’ici à 2030, et de la validation de son plan opérationnel.

Selon le Chef de Division prise en charge du PNLS, le Docteur Patricia Nyembo, il était question de faire la restitution de la mission de Dar es Salaam où le Programme national de lutte contre le VIH/SIDA est allé avec les autres pays au groupe de 12 pour valider les drafts des plans de chacun de pays et recevoir des recommandations pour sa finalisation.

Ainsi, à l’issue d’une journée intense, les participants parmi lesquels les délégués des Ong du secteur de la santé, les partenaires d’appui et au développement ainsi que ceux des ministères avec en tête celui de la Santé publique, hygiène et prévention, ont validé le Plan opérationnel de la lutte contre le VIH/SIDA chez les enfants en République démocratique du Congo.

« Ce plan est juste une boussole qui va permettre à tout partenaire intervenant dans la thématique prise en charge d’y retrouver les activités prioritaires sur lesquelles il faut appuyer pour que nous puissions lever le boulot de l’étranglement qui fait qu’aujourd’hui le pays a une faible performance par rapport à la prise en charge pédiatrique et cette performance est imaginée aujourd’hui à 27% (…) », s’est réjouie le chef de Division «  Prise en charge » du PNLS, le Docteur Patricia Nyembo.

S’exprimant à cet effet, le Docteur Faustin Kitetele de la pédiatrie de Kalembe lembe, s’est félicité de la tenue de cette rencontre mais surtout de la validation de ce Plan opérationnel, qui balise la voie pour le rendez-vous de 2030.

« C’est un rêve comme le docteur Patricia venait de le dire, on peut déclarer que le Plan opérationnel pour l’élimination du VIH/SIDA chez les enfants a été validé ce jour. Mon rêve maintenant est qu’en 2030 qu’elle fasse la même déclaration en disant que le SIDA pédiatrique est éliminé en République démocratique du Congo, c’est mon plus grand rêve », a-t-il lancé.

Prince Yassa




AN : Le député Daniel Mbau parle des innovations contenues dans la loi portant modification du Code de la famille  

Auteur de la proposition de loi modifiant le Code de la famille de 1987, le Député national Daniel Israël Mbau Sukisa, élu de Mont Amba, a conféré, ce vendredi 19 mai 2023 dans la salle de Spectacles du Palais du peuple, avec les professionnels des médias. Au cours de cet échange, il a éclairé l’opinion sur les innovations majeures apportées dans cette proposition de loi, notamment autour de la succession, du trust, des régimes matrimoniaux, des libéralités mais aussi des fiançailles et de la polygamie.

D’entrée de jeu, l’élu de Mont Amba a remercié les professionnels des médias pour être venus nombreux à sa rencontre aux fins de conférer avec lui, autour de la contribution qu’il a apportée dans la proposition de loi portant modification du Code de la famille de 1987.

“Je tiens à préciser que ma proposition de loi renferme 55 articles, et ces articles portent essentiellement sur les questions fondamentales liées à la succession, au trust, aux régimes matrimoniaux, aux libéralités mais aussi aux fiançailles et à la polygamie. La question de la dot, qui est amplement développée dans la cité, n’occupe qu’une infime partie, soit 4 articles sur 55.

En tout, la proposition de loi intègre 12 innovations majeures.




CDM 2026 : Avec désormais neuf participants, l’Afrique a un nouveau format des éliminatoires !

Le Comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) a adopté un nouveau format pour les éliminatoires de la prochaine Coupe du monde 2026 pour la zone Afrique.

 

Quelques heures après la réunion du Comex, convoquée jeudi 18 mai 2023 à Alger, le format des qualifications du Mondial 2026 dans la zone Afrique a été dévoilé par la CAF. Les sélections du continent seront réparties en 9 groupes composés chacun de 6 équipes. Ces dernières s’affronteront en matchs aller-retour pour un total de dix rencontres. Les 54 associations membres de la CAF participeront donc à cette phase de groupes, sans tour préliminaire au préalable.

 

Les premiers de chaque poule seront directement qualifiés pour la phase finale du Mondial en juin 2026. Les 4 meilleurs deuxièmes de la phase de groupe seront opposés les uns contre les autres dans un mini-championnat. Le vainqueur devra ensuite passer par les barrages intercontinentaux pour espérer offrir une dixième place à l’Afrique dans la compétition. Le tirage au sort des 9 groupes aura lieu le mercredi 12 juillet 2023 à Cotonou, au Bénin.

 

 

Pour rappel, la Coupe du monde 2026 sera la première à 48 équipes, contre 32 lors des précédentes éditions. Les places allouées à l’Afrique ont été quasiment doublées, passant de 5 à 9, voire 10. Lors de la phase finale, les sélections seront réparties « en 12 groupes de 4, et non plus en 3 groupes de 16 », comme annoncé par la FIFA le 24 mars dernier à l’issue du Congrès à Kigali. Les deux premiers de chaque groupe et les huit meilleurs troisièmes accéderont aux seizièmes de finale. Le tournoi s’étendra sur 104 jours et se déroulera du 11 juin au 19 juillet 2026 aux États-Unis, au Canada et au Mexique.




A quand la fin de leurs manuvres incessantes de provocation d’une nouvelle guerre?

Un commentaire (19/05/2023) de la KCNA (Korean Central News Agency ou Agence Centrale de Presse Coréene) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de lEsprit Paektu-san de la Nation homogène fière de ses 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, se lit comme suit;

La situation dans la Péninsule coréenne savère de plus en plus dangereuse jusquà ce quune guerre risque dy éclater dun moment à autre. Les impérialistes US et leurs fantoches bellicistes de la Corée du Sud (DROM-COM des USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis une année, le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR) ne cessent deffectuer toutes sortes dexercices de guerre contre notre RPDC, entre autres;

Freedom Shield (ou bouclier de liberté), exercices militaires conjoints dune durée sans précédent

SSang-yong (ou double dragon), exercices de débarquement conjoints denvergure sans pareil, menaçant, gravement, la paix et la sécurité de la Péninsule coréenne et de ses environs.

Même avant la fin de ces SSang-yong, ils ont déployé, ce 3 avril, au dessus de la Mer de lEst de Corée;

le porte-avions nucléaire USS Nimitz (CVN-68; lun des 11 porte-avions géants de la Marine US et lun des plus puissants navires du monde, NDLR)

les USS Aegis (mettant en uvre des radars et différents armements tels que les missiles anti-navire et missiles anti-aériens, NDLR) comme Decatur (DDG-73, destroyer de classe Arleigh Burke mis en service en 1998, NDLR) et Wayne E. Meyer (destroyer lance-missiles de classe Arleigh Burke, NDLR)

le JDS Umigiri (DD-158, destroyer lance-missiles parmi les 110 navires de guerre principaux, NDLR) des Forces Maritimes dAutodéfense du Japon (le plus ambitieux de l’expansion d’outre-mer dès sa création, en tentant d’envahir la Corée la plus voisine en 1592-1598, et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de lONU du fait de ses crimes les plus graves contre lHumanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système desclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et lenlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR)

de diverses sortes de navires de guerre de lArmée de Mer sud-coréenne

pour se livrer, frénétiquement, aux exercices navals conjoints visant à shabituer à la détection, à la poursuite dondes sonores et à la destruction supposant l«attaque contre les sous-marins du Nord -RPDC-».

Disant de la «concrétisation du renforcement des capacités dexécution des forces de dissuasion élargie», ils ont;

mobilisé, ce 5 avril, le bombardier stratégique nucléaire B-52H et les chasseurs furtifs F-35A et F-35B prépositionnés à lîle Guam (Territoire insulaire des USA, situé dans la partie Ouest de lOcéan Pacifique, NDLR) pour leur folie de guerre dans le ciel de la Corée du Sud

introduit, ce 14 avril encore, le B-52H pour leurs exercices aériens conjoints

effectué, du 17 au 28 avril simultanément dans le ciel et au-dessus de la Mer, leurs exercices de guerre en mobilisant dénormes forces stratégiques.

Ces manuvres denvergure sans précédent, dans la 1ère moitié de lannée courante, ont aggravé les tensions dans la Péninsule coréenne et la Région. En introduisant différentes sortes de moyens de frappe aérienne susceptibles de faire une guerre totale, les impérialistes US et leurs cliques fantoches sud-coréennes ont, dans la même période au-dessus de la Mer de lEst de Corée;

perpétré les «exercices universels des formations aériennes conjointes»

effectués les exercices navals conjoints avec la participation des destroyers de type Aegis; Benfold DDG-65 de la Marine US, Atago DDG des Forces Maritimes dAutodéfense du Japon et ceux de lArmée de Mer sud-coréenne.

Par la suite, se sont succédés dinnombrables exercices de guerre précipitant la situation de la Péninsule coréenne à létat critique;

exercices spéciaux de descente à haute altitude avec la participation du commandement de combat spécial des USA et de celui de lArmée de terre pour combat spécial de la Corée du Sud fantoche

exercices terrestres combinés séparés de lArmée fantoche

exercices de déplacement et de tir, etc.

La campagne de pression militaire des USA (les plus obsédés à l’expansion d’outre-mer dès leur création, en tentant dagresser la Corée en 1866, et occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR) et de leurs acolytes dirigée contre notre RPDC, simultanément à la publication de la «Déclaration de Washington» (au Sommet 26/04/2023 entre YOON Seok Yeol et Joseph Robinette BIDEN, NDLR), devient plus ouverte et plus dangereuse, sous prétexte d«accroître les capacités dexécution des forces de dissuasion élargie». Alors que seffectuent, fréquemment, les exercices conjoints supposant la «pénétration» surprise dans notre RPDC et son «occupation», y compris les «exercices dopérations durgence», «exercices dopérations spéciales maritimes denvergure» et «exercices de pénétration conjoints à haute altitude», les menaces et le chantage nucléaires contre la RPDC, notamment la publication des scènes de chargement de missiles air-sol à longue portée dans les bombardiers stratégiques, dépasse les bornes.

La Clique YOON Seok Yeol (1960- ; №1 sud-coréen, NDLR) et les gangsters des Autorités militaires sud-coréennes se démènent les 1ers selon le scénario de guerre élaboré par les USA. Ce 11 avril, YOON Seok Yeol, fanatique de guerre, a eu du culot de parler, bruyamment sous prétexte des «menaces des armes nucléaires et des missiles de la Corée du Nord», du «renforcement des capacités de dissuasion et de riposte actives», de la «possession de la force supérieure pour maîtriser le Nord -RPDC- à lavance» et de l«augmentation des capacités de surveillance de reconnaissance et de celles de frappe de haute précision et de grande puissance contre toutes les régions du Nord -RPDC-». Le Président des chefs détat-major interarmées des fantoches sud-coréens, a, faisant le tour des unités sur la 1ère Ligne de lArmée fantoche, déclaré: «Il faut écraser lennemi sans faute et réussir les opérations. … Il faut se doter des capacités de contribuer, décisivement, à la victoire du combat et faire des préparatifs à cette fin.».

Ce qui est grave, cest que les USA et les fanatiques de guerre sud-coréens ont prétendu effectuer, à 5 reprises 25/05-15/06/2023, leurs «exercices conjoints pour lanéantissement par la puissance de feu» de la plus grande envergure à Phochon de la Province Kyonggui. Ces exercices sont les entraînements typiques de manuvre réelle pour lagression contre le Nord -RPDC- qui seffectuent conformément au scénario de guerre selon lequel les forces conjointes des troupes US et de lArmée fantoche sud-coréenne nous «châtieront» avec leurs armes de pointe au cas où une guerre éclatera dans la Péninsule coréenne. Ce sont la continuation et lélargissement des exercices de guerre que les forces ennemies ont entrepris dès le début de cette année contre notre RPDC.

Quest-ce quils veulent dire par les «exercices de feu» et «exercices danéantissement» contre un Pays nucléarisé (promulgation 08/09/2022 de la Loi de la RPDC relative à la Politique sur ses forces armées nucléaires, NDLR)? Pire encore, ils entendent effectuer, avec frénésie, ces exercices de guerre fort dangereux pendant plus de 20j et dans une région à quelques km du Front de notre Armée Populaire de Corée. Nous suivons de près chacun des agissements militaires des forces ennemies qui perturbent et menacent, gravement, les circonstances sécuritaires dans la Péninsule coréenne et ses environs. Le fait quils ourdissent le complot de nous étrangler manu militari en modifiant même leur «Guide de la guerre» est une nouvelle preuve évidente de la frénésie intolérable des ennemis qui cherchent à provoquer une guerre.

CHOE Ju Hyon, analyste de la sécurité internationale de notre KCNA, a commenté dans son article (06/04/2023) «Lexpansion des exercices de guerre dagression dirigée par les USA est un élément déclencheur poussant la situation de la Péninsule coréenne au point dexploser»; «Plus de 200 (193 reconnus par lONU parmi les 215, NDLR) grands et petits Pays existent sur notre Globe et chaque Pays organise ses exercices militaires en fonction de son droit à lautodéfense; mais, les exercices de guerre anti-RPDC des USA et de leurs forces vassales sont seuls et uniques pour être poursuivis tout au long de lannée, jour après jour et mois après mois, avec limplication de pléthoriques matériels de guerre spécifiquement ciblés sur un seul Etat bien déterminé. Les exercices militaires conjoints dirigés par les USA autour de la Péninsule (224.252 km2) coréenne pas si grande, avec des centaines de milliers de soldats alliés et des avoirs stratégiques essentiels appelés ultramodernes suffisamment importants pour une guerre totale ne sont que ceux de guerre dagression (dans la Guerre de Corée 1950-1953 RPDC-USA, les USA provocateurs ont dépensé 165 milliards de $US en mobilisant plus de 2 millions dhommes militaires, NDLR) sans précédent dans le monde en termes de nature belliqueuse, dampleur et dintensité et incomparables à dautres du monde. Témoin dune situation aussi critique qui prévaut dans la Péninsule coréenne, toute personne ayant du bon sens et de la raison peut remarquer facilement;

qui est lauteur de lescalade des tensions criminelles

quel est le facteur malin damener les nuages de la guerre.».

Même les autres analystes du monde estiment que;

les USA perpètrent, systématiquement, toutes sortes de provocations contre la RPDC

Washington DC qui sobstine aux procédés de pression et de coercition est, bel et bien, la source du danger de guerre nucléaire dû à lexacerbation des tensions dans la Péninsule coréenne.

La réalité montre, clairement, par qui la paix et la sécurité de la Péninsule coréenne et de ses environs sont gravement menacées. La campagne frénétique de guerre des USA et des fanatiques de guerre de la Corée du Sud entraînera une riposte correspondante.

Cest le droit légitime de lEtat souverain de posséder des moyens de défense légitime plus puissants face à la situation grave et aux menaces ultérieures.




Des exploits footballistiques qui incarnent la vision Royale.. Les Lionceaux au sommet de l’Afrique

En terminant finaliste de la Coupe d’Afrique des nations U17, les Lionceaux ont ajouté un nouveau exploit au palmarès du football marocain, en arrivant à la finale de la CAN, pour la première fois de son histoire.

En se qualifiant au Mondial des jeunes et disputant, ce vendredi soir, la finale de la CAN U17, l’équipe nationale a confirmé l’évolution de nos sélections marocaines, des différentes catégories. Ces dernières années, on a vu des sélections nationales réaliser de bons résultats, comme le dernier exploit des Lions de l’Atlas au Qatar, la participation de l’équipe nationale féminine des U17 en Coupe du monde et l’illustration des Lioncelles en Coupe d’Afrique et leur qualification au Mondial, prévu en juillet prochain, en Australie et en Nouvelle Zélande.

La sélection marocaine des U17 a signé un excellent parcours lors de cette CAN, après s’être qualifiée au deuxième tour, en tant que leader, du groupe avec 6 points dans une poules composée du Nigéria, l’Afrique du Sud et la Zambie. En quarts de finale, l’équipe nationale a battu l’Algérie, pays hôte de la compétition, sur un score de 3-0, avant de s’imposer aux tirs au buts face au Mali.

Une qualification en Coupe du monde, une victoire en derby maghrébin contre l’Algérie et une qualification en finale, la sélection marocaine des U17 est allée au-delà des attentes. Elle a marqué l’histoire d’une pierre blanche en jouant la finale.

Parmi les acquis de cette honorable participation à la CAN figure la naissance des joueurs talentueux, comme Taha Benghozil, Adam Chakir, ou encore Abdelhamid Ait Boudlal.

L’exploit de l’équipe nationale des U17 en Algérie est un succès du football marocain. Car la suite logique pour cette génération est de passer toutes les catégories afin d’atteindre l’équipe première. Reste à savoir si Said Chiba et son staff technique sauront capitaliser sur les acquis de cette

CAN historique.