La République de Corée lance avec succès huit satellites

La République de Corée a lancé jeudi sa propre fusée spatiale pour aller placer huit satellites en orbite, marquant ainsi le deuxième lancement de fusée réussi du pays.
Le lanceur KSLV-II, également appelé Nuri, a décollé du centre spatial de Naro, près du village côtier de Goheung (sud), à 18h24 heure locale (9h24 GMT), selon les images diffusées en direct par l’Institut coréen de recherche aérospatiale (KARI).
La séparation du premier étage est survenue environ deux minutes après le décollage et l’engin a atteint l’altitude cible de 550 km à 18h37 (9h37 GMT), larguant les satellites un par un toutes les 20 secondes.
Après les séparations, le troisième étage de la fusée a poursuivi son vol et son moteur s’est arrêté à 18h42 (9h42 GMT).
Il s’agit du deuxième lancement réussi de la fusée Nuri, après celui en juin de l’an dernier pour mettre en orbite un satellite factice et un satellite de vérification des performances. Le premier lancement d’essai de la Nuri avait échoué en octobre 2021, lorsque la fusée avait atteint une altitude cible de 700 km, sans réussir à mettre en orbite un satellite factice, son moteur d’appoint du troisième étage ayant épuisé son carburant plus tôt que prévu.
Le pays d’Asie de l’Est a investi près de 2.000 milliards de wons (1,5 milliard de dollars) au cours de la dernière décennie pour développer lui-même un lanceur spatial capable de déployer un satellite pratique de 1,5 tonne sur l’orbite terrestre basse.
La fusée Nuri est composée de quatre moteurs à carburant liquide de 75 tonnes dans le premier étage, d’un moteur de 75 tonnes dans le deuxième étage et d’un moteur de 7 tonnes dans le troisième étage.




La RPDC dénonce le mécanisme trilatéral de partage d’informations mené par les Etats-Unis

La République populaire démocratique de Corée (RPDC) a dénoncé jeudi la création d’un mécanisme trilatéral de partage d’informations entre les Etats-Unis, le Japon et la République de Corée en marge du Sommet du Groupe des sept (G7) à Hiroshima, au Japon.
Les dirigeants de ces trois pays ont récemment réaffirmé leur intention de partager en temps réel des informations d’alerte aux missiles (de la RPDC), un mécanisme qu’ils se sont engagés à créer en novembre dernier, ce qui prouve que “le projet de création d’un système de partage d’informations tripartite progresse vers sa phase finale”, a analysé l’agence centrale de presse coréenne (KCNA, officielle) dans un commentaire.
L’article note que les Etats-Unis sont déterminés à forger cette alliance militaire trilatérale, une “version asiatique de l’OTAN” dans l’Asie du Nord-Est, alors que la région est le théâtre de déploiements de plus en plus fréquents des actifs stratégiques américains et de la tenue de plus en plus médiatisée des exercices militaires conjoints entre les Etats-Unis, le Japon et la République de Corée.
La KCNA a également souligné qu’en avril, la création du “Groupe consultatif nucléaire” formé par les Etats-Unis et la République de Corée, et que le Japon prévoit de rejoindre, illustrait le fait que “la coopération militaire triangulaire entre ces trois pays prendra bientôt la forme d’une alliance de coopération nucléaire dans le style de l’OTAN”. En outre, l’ajout d’un partage d’informations tripartite en temps réel signifie “l’émergence de la véritable alliance militaire entre les Etats-Unis, le Japon et la République de Corée avec comme unique centre névralgique l’Asie du Nord-Est”.
Elle critique aussi Washington qui prépare sa “version asiatique de l’OTAN” pour assurer son propre avantage militaire dans la région Asie-Pacifique, affirmant que “le scénario malveillant des Etats-Unis en faveur d’une confrontation est la plus grave menace à la paix et à la sécurité mondiales”.




La coopération RDC-Chine dans les infrastructures est bénéfique au peuple congolais (ministre)

La coopération dans les infrastructures entre la République démocratique du Congo (RDC) et la Chine a donné des résultats fructueux et apporté des avantages pratiques au peuple congolais, estime Alexis Gisaro Muvuni, ministre d’Etat chargé des Infrastructures et des Travaux publics.
Avant la visite d’Etat du président de la RDC Félix Tshisekedi en Chine du 24 au 29 mai, M. Muvuni, membre de la délégation gouvernementale congolaise, a accordé un entretien exclusif à Xinhua, saluant la coopération en matière d’infrastructures entre les deux pays.
Depuis les années 1970, le gouvernement chinois a aidé à la construction de projets tels que le Palais du peuple, qui abrite l’Assemblée nationale et le Sénat, et le stade des Martyrs, a-t-il rappelé.
“Dans le secteur des infrastructures, il y a des ouvrages que je qualifie d’importants, comme le Palais du peuple, où se tiennent les réunions de notre Assemblée nationale et de notre Sénat, et le Stade des Martyrs avec environ 80.000 places (…) Autant d’ouvrages qui montrent la vitalité de notre coopération”, a dit M. Muvuni, qualifiant également l’hôpital général de référence du Cinquantenaire, qui a été livré en 2020, d’exemplaire dans le cadre de la coopération RDC-Chine.
Selon lui, le Centre artistique et culturel de l’Afrique centrale, un autre ouvrage de la Chine, est le projet qui l’excite le plus. Il est considéré comme l’une des initiatives africaines les plus importantes soutenues par la Chine et devrait être achevé d’ici la fin de l’année. “Il s’agit d’un des fleurons pour la coopération entre les deux pays”, a affirmé le ministre, disant suivre de près l’avancement de sa construction.
Les entreprises et les investisseurs chinois ont vigoureusement promu la coopération bilatérale en matière d’infrastructures, notamment des routes et des ponts, apportant des contributions concrètes et des avantages tangibles au peuple congolais au fil des ans, a-t-il souligné. M. Muvuni s’attend également à des échanges commerciaux plus étroits entre les deux pays pour le bien des deux peuples.




La Cour d’appel de Londres confirme le rejet irrévocable d’une requête du ‘’polisario’’ contre l’accord d’association Maroc-GB

La Cour d’appel de Londres a récusé irrévocablement, jeudi, la requête d’appel de l’ONG pro-séparatistes ‘’WSC’’ contre une précédente décision de la Cour administrative, rejetant sa demande qui tentait de remettre en cause l’accord d’association liant le Maroc au Royaume-Uni.
Ce troisième revers depuis décembre dernier pour les ennemis de l’intégrité territoriale du Maroc vient confirmer la validité de l’accord d’association liant les deux pays et qui bénéficie aux populations et au développement de toutes les régions du Royaume, du nord au sud.
Selon plusieurs analystes marocains et britanniques, cette décision de la justice met également en exergue les échecs répétitifs de la véritable partie prenante instigatrice du conflit autour du Sahara marocain, qui, en dépit de ses velléités malveillantes, échoue dans ses tentatives visant à persuader la justice britannique de réexaminer l’accord commercial post-Brexit conclu et soutenu par les deux Royaumes.
D’ailleurs, les échanges commerciaux entre les deux pays n’ont eu de cesse de croître depuis la conclusion de l’accord, les flux bilatéraux ayant culminé à 2,9 milliards de livres sterling au 3e trimestre 2022, en hausse d’un milliard de livres sterling par rapport à la même période de l’année précédente.
L’Accord d’association entre le Maroc et le Royaume-Uni, signé à Londres le 26 octobre 2019, est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2021.
Il restitue, dans le contexte des relations bilatérales, l’ensemble des effets que les deux pays s’accordaient, mutuellement, dans le cadre de l’Accord d’association Maroc-UE. Il assure, ainsi, la continuité des échanges entre le Maroc et le Royaume-Uni après le 31 décembre 2020.
Permettant aux deux Royaumes de s’installer durablement dans un partenariat structuré, doté d’instruments de coopération opérationnels et institutionnalisés, et porté par une ambition commune, l’Accord constitue une garantie aux entreprises marocaines et britanniques qui entreprennent des relations économiques et commerciales dans tous les secteurs de coopération.
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Accord d’association Maroc-Royaume-Uni : la cinglante, et irrévocable, gifle de la justice britannique au Polisario

Dans une décision judiciaire définitive, la cour d’appel de Londres confirme le rejet irrévocable d’une requête du Polisario contre l’Accord d’association Maroc-Royaume-Uni. Une claque pour l’entité séparatiste, qui ne peut prétendre à représenter la population du Sahara, et la preuve que le Maroc est dans son droit dans ses provinces du Sud.

La décision sonne comme un désaveu formel du Polisario, qui ne cesse de gesticuler pour empêcher tout développement des relations entre le Maroc et ses pays partenaires s’agissant des provinces du Sud. Il est désormais réduit à sa vraie stature, celle d’une milice à la solde d’Alger et qui n’a aucune forme de légitimité. C’est ainsi que ce jeudi 25 mai, la cour d’appel britannique -Civil Division- a récusé irrévocablement, jeudi, la requête d’appel du Polisario, via l’ONG Western Sahara Campaign (WSCUK), qui lui est acquise, contre une précédente décision de la Cour administrative, rendue le 5 décembre et rejetant sa demande tentant de remettre en cause l’accord d’association liant le Maroc au Royaume-Uni.
Ce recours avait été introduit par les relais du Polisario au Royaume-Uni au motif que l’Accord d’association aurait été conclu «sans le consentement du peuple sahraoui». En réponse, le juge a conclu que les motifs avancés par les représentants du Polisario n’ont aucune chance réelle de succès et que le recours en lui-même n’aurait aucune utilité.
Il s’agit du troisième revers sur le front judiciaire pour l’entité séparatiste et ses relais. S’y ajoutent la décision précitée en première instance par la High Court britannique ainsi que celle rendue par la High Court de la Nouvelle-Zélande, le 15 mars 2021, refusant de se prononcer sur la demande de procédure d’examen judiciaire, engagée par le Polisario et le représentant de la même Western Sahara Campaign pour la Nouvelle-Zélande contre le New Zealand Superfund.
La nouvelle décision conforte ainsi l’Accord d’association Maroc-Royaume-Uni, la justice britannique ayant, en décembre dernier, déjà confirmé que les Accords entre les deux Royaumes sont parfaitement conformes au droit international. Cette décision avait d’ailleurs été saluée par le gouvernement britannique, qui s’en est félicité et a déclaré qu’il comptait continuer «à travailler en étroite collaboration avec le Maroc afin de maximiser les échanges commerciaux». Elle constituera sans nul doute une base dans le cadre des actions futures visant à contrer les manœuvres judiciaires des séparatistes dans d’autres régions du monde.
Sages et responsables, ces nouvelles conclusions sont un motif de satisfaction pour le Maroc puisqu’elles confirment une vérité établie et un droit légitime du Maroc sur son Sahara, dont la valorisation des ressources naturelles profite d’abord aux populations des provinces du Sud. Le jugement rejoint en cela la position exprimée par le Maroc depuis toujours quant à la légalité incontestable des accords conclus avec le Royaume-Uni et la nécessité d’assurer leur sécurité juridique.
Le Polisario, lui, et c’est la justice britannique qui le dit, n’a absolument aucun avis à donner en ce qui concerne le développement économique des provinces du Sud, et les relations commerciales entre le Maroc et le Royaume-Uni ne concernent que ces deux parties. D’ailleurs, la cour d’appel britannique n’a aucunement évoqué les questions politiques du différend régional autour du Sahara, qui relèvent exclusivement des compétences du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies. Par ce jugement, le Polisario est donc ramené à sa dimension réelle: il ne peut prétendre à représenter les populations du Sahara.
Entre-temps, la caravane passe. La décision de la justice britannique témoigne de l’importance qu’accorde le Royaume-Uni à son partenariat stratégique avec le Maroc. Un partenariat qui repose sur des bases solides qui préservent les intérêts des deux parties. Depuis l’entrée en vigueur de l’accord, celui-ci est mis en œuvre dans une approche mutuellement avantageuse, consacrant la concertation, le dialogue et le rapprochement des positions entre opérateurs marocains et britanniques. Et ce n’est pas près de s’achever. Loin s’en faut.
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Un Sahraoui des camps de Tindouf, portant la nationalité algérienne, jugé en Espagne pour terrorisme

Mardi dernier s’est ouvert, au tribunal central de l’Audience nationale à Madrid, le procès d’un Sahraoui originaire des camps de Tindouf accusé d’actes terroristes, d’affiliation à la nébuleuse terroriste Daech et de diffusion de propagande jihadiste. Arrêté en mars 2022, ce Sahraoui, détenteur de la nationalité algérienne, entretenait des liens étroits avec l’ex-membre du Polisario et ex-émir de l’«Etat islamique au grand Sahara» (EIGS), Adnane Abou Al Walid Essahraoui, abattu en 2021 au Mali.
L’Audience nationale de Madrid, tribunal qui tient déjà en mains de lourds dossiers de crimes de guerre, tortures, viols, etc. contre le chef du Polisario, Brahim Ghali, a ouvert, mardi 23 mai, le procès d’un Sahraoui originaire des camps de Tindouf, poursuivi pour «actes de terrorisme» et «partage de la propagande jihadiste» sur les réseaux sociaux.
Détenteur de la nationalité algérienne, le concerné, M.A.M. de ses initiales et répondant au pseudonyme d’Ismail, a été interpellé en mars 2022 par la police espagnole.
Son arrestation est le fruit de l’étroite coopération en matière de sécurité entre Rabat et Madrid. En effet, c’est grâce à des informations fournies par la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) à son homologue espagnole que ce terroriste a été arrêté et confondu quant à son affiliation à Daech.
Cette coopération sécuritaire est un exemple, entre autres, de l’importance du rôle que joue le Maroc dans la lutte contre le terrorisme non seulement sur son territoire, mais aussi en Europe et au-delà.
Il s’est aussi avéré que le mis en cause entretenait des liens étroits avec l’ancien membre du Polisario devenu chef de Daech au Sahel, Adnane Abou El Walid Essahraoui, ex-émir de l’«Etat islamique au grand Sahara» (EIGS), abattu dans une frappe de l’armée française au Mali en août 2021.
Adnane Abou El Walid Essahraoui était le nom de guerre de Lehbib Ould Ali Ould Joumani, né en 1973 à Lâayoune, au Sahara marocain, et qui a fait ses armes au sein des milices du Polisario à Tindouf, avant de devenir chef de la branche de Daech au Sahel.
Selon la presse espagnole, l’affaire de ce terroriste sahraoui détenteur d’un passeport algérien «a des ramifications dans un autre pays européen, où l’un de ses acolytes de nationalité algérienne a été interpellé».
Cette dernière interpellation, ajoutée à l’actuel procès à Madrid du terroriste sahraoui, contre lequel le parquet espagnol a requis quatre ans et demi de prison ferme, mettent une nouvelle fois à nu les liens qu’entretiennent les milices du Polisario, sous protection du régime algérien, avec les différentes branches terroristes qui essaiment et ensanglantent le Sahel en particulier et l’Afrique subsaharienne en général.
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Mini-fête des Juifs : « Une étoile est l’image d’un homme qui est appelé à régner et à avancer » (Apôtre Sylvain Mulamba)

Démarrée le dimanche 21 mai 2023, la célébration de la mini-fête des Juifs se poursuit sur Kalembe Lembe 72 dans la commune de Kinshasa, dans la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH). Cette grande activité spirituelle, une première depuis la création de cette nouvelle Eglise, continue à bénir la multitude des enfants de Dieu à Kinshasa, dans les provinces de la Rdc et partout dans le monde. Depuis le premier jour de cette activité, le Seigneur se manifeste puissamment à travers les différents prédicateurs alignés dans cette grande célébration de gloire et de bénédiction.

Pour cette cinquième journée, l’homme de Dieu, le Pasteur François Mutumbo Voici l’homme a débuté son service par une prière spéciale pour toute personne qui a accepté d’entrer dans une nouvelle alliance avec son Dieu, selon la directive divine. Ainsi l’homme de Dieu a présenté l’orateur du jour, l’Apôtre Sylvain Mulamba, le Représentant légal de la communauté Salem.
Ouvrant la bible, l’orateur du jour a donné 3 chapitres de 3 livres différents de la bible qui ont constitué le centre de son message à savoir : Genèse chapitre 37 : 9, Matthieu 2 :1-3 et Proverbes 20 :21
Prenant la parole, il a d’abord remercié l’homme de Dieu, le visionnaire de la CAC/VH de l’avoir invité et associé à cette grande activité spirituelle. En dehors du thème central qui est : “Que Dieu tourne la langue de Balaam”, l’Apôtre Sylvain Mulumba avait également exploité un sous thème qui était : “la grandeur de la saison à partir de l’étoile ». Après avoir expliqué chaque texte choisi à cet effet, l’homme de Dieu a tenu d’entrée de jeu de décortiquer les trois thématiques à savoir : la grandeur, la saison et l’étoile. Pour lui, la grandeur est un rendez-vous de ceux qui sont appelés à briller avec Dieu. La saison est une époque où une période de l’année bien déterminée et il a défini l’étoile comme étant l’astre brillant.
A travers tout ce développement, l’homme de Dieu a axé son message sur l’homme, centre de tout ce qui a été créé par Dieu, en exhortant chaque enfant de Dieu présent à cette activité de vivre la grandeur du Seigneur dans sa vie. Dieu avait promis la grandeur à Joseph et il l’avait accompli en Egypte devant Pharaon », a souligné l’apôtre Sylvain Mulumba.
Concernant la saison, le Représentant légal de la communauté Salem a déclaré que de la même manière chaque arbre à sa saison de donner son fruit, ainsi chaque enfant de Dieu a aussi une saison prophétique où il va palper et saisir la bénédiction de Dieu pour sa vie. Il appelé chaque enfant de Dieu a pouvoir exploiter sa saison pour vivre une bénédiction spéciale de Dieu. De la même manière Dieu avait fait de Joseph une étoile, ainsi le Seigneur va faire de chacun une étoile partout où il sera.
“Une étoile est l’image d’un homme qui est appelé à régner et à avancer”, explique l’Apôtre Sylvain Mulumba, qui ajoute qu’une étoile a le rôle d’éclairer les autres et d’influencer la terre. Quand le Seigneur veut élever quelqu’un, il le fait sans demander l’autorisation de qui que ce soit. Malgré la grandeur de Hérode, cela n’a pas empêché l’étoile de Jésus de sortir et de briller. De la même manière que Hérode a vu l’étoile de Jésus, ainsi les gens verront ton étoile et ta bénédiction, a-t-il proclamé.
Reprenant la parole après cette grande déclaration prophétique de l’homme de Dieu, le Pasteur Sylvain Mulamba, l’hôte de cette première édition de la mini-fête des Juifs a prié pour plusieurs personnes qui avaient différents cas et problèmes, avant d’exhorter toute l’assemblée de persévérer dans ce programme jusqu’à la fin.
Osée Kalombo




Catastrophe: humanitaire au Nord-Kivu: L’alerte de Médecins Sans Frontières

Au Nord-Kivu, dans la partie Est de la RDC, la situation est critique. Médecins Sans Frontières parle d’une situation humanitaire sans pareil.

Selon cette ONG internationale, “au moins 1 million de personnes ont été forcées aux déplacements internes pour préserver leur vie contre les exactions des terroristes du M23, il y a maintenant une année”.

« Une catastrophe humanitaire est en cours au Nord-Kivu : environ 1 million de personnes ont été forcées de quitter leurs maisons ces 12 derniers mois pour fuir les combats liés à la résurgence du M23. Cette crise exacerbe une situation humanitaire déjà critique », alerte MSF.

À en croire Médecin Sans Frontières, la réponse humanitaire est largement insuffisante face à l’ampleur de la crise actuelle.

C’est ainsi que « MSF appelle la communauté internationale et les autorités congolaises à accroître d’urgence les efforts pour répondre aux besoins de la population.

En outre, MSF invite tous les participants au processus de paix dans cette région à faire preuve de plus “de réactivité et de flexibilité afin de répondre rapidement aux besoins et de s’ajuster à l’évolution des mouvements de populations”, précise-t-elle.