Kinshasa : Reddition de 279 insurgés Yaka dit « Mobondo » venant des villages Entrac, Kinsele, Mfumu-Nkento, Bukana et Kizono

1u cours du même conseil des ministres extraordinaire, le Vice-Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières, a présenté au Conseil, le rapport sur l’état et l’administration du territoire national.

Au cours de la semaine qui se termine, l’état d’esprit de la population a été marqué par les attentes du voyage du Président de la République à la tête d’une importante délégation en République de Chine ; L’activisme des terroristes du M23/RDF en groupement de Tongo, territoire de Rutshuru ; La recrudescence du phénomène Kuluna à travers les grandes agglomérations du pays, particulièrement dans la ville de Kinshasa.

Evoquant quelques aspects dans le volet sécuritaire, le Vice-Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières a fait état de la reddition, à Kinshasa, de 279 insurgés Yaka dit « Mobondo » venant des villages Entrac, Kinsele, Mfumu-Nkento, Bukana et Kizono.

Le Vice-Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières a terminé son rapport en rassurant le Conseil des dispositions mises en place pour faire face à cette situation d’insécurité.




Sama Lukonde insiste sur la célérité à réserver au projet de loi sur la répartition des sièges

Le Premier Ministre a invité les membres du Gouvernement à réserver, à l’examen de ce Projet de Loi, la même célérité, non seulement pour obtenir rapidement un large consensus autour de ce Projet, mais aussi pour permettre au Parlement un examen rapide dans le respect des délais.

Sur instruction du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, en mission de service en Chine, le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a présidé la deuxième réunion extraordinaire du Conseil des Ministres du Gouvernement de la République, ce jeudi 25 mai 2023 à l’immeuble du Gouvernement.

La communication du Premier Ministre a porté essentiellement sur le dépôt, par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), au Gouvernement le 23 mai 2023, du Projet de Loi portant répartition des sièges par circonscription électorale pour les élections législatives, provinciales, municipales et locales.

Il a indiqué que c’est une étape importante dans la marche vers la tenue effective des élections générales dans notre Pays cette année. D’où, l’importance de ce point de l’ordre du jour qui justifie la tenue de la présente réunion extraordinaire du Conseil des Ministres.

Le Gouvernement a apprécié, à sa juste valeur, cet effort déployé par la Centrale électorale, à commencer par le renouvellement, dans un temps records, du Fichier électoral.

Le Premier Ministre a invité les membres du Gouvernement à réserver, à l’examen de ce Projet de Loi, la même célérité, non seulement pour obtenir rapidement un large consensus autour de ce Projet, mais aussi pour permettre au Parlement un examen rapide dans le respect des délais.

Il a insisté sur le caractère confidentiel que revêt le contenu de ce Projet de Loi, avant son examen par le Parlement.




« Interpellation” de Félix Tshisekedi par Blinken: Pourtant, le G7 n’a pas cité le Rwanda comme pays agresseur !

Par le canal de l’ambassade des États-Unis à Kinshasa, le Département d’Etat – via le Bureau de son porte-parole – a rendu public le 24 mai 2023 le contenu de l’échange téléphonique que le Secrétaire d’état Anthony Blinken a eu avec le Chef de l’État congolais la veille. En voici intégralement le contenu : « Ils ont discuté de la violence actuelle et de la situation humanitaire désastreuse dans l’est de la RDC. Le secrétaire Blinken a exprimé sa profonde préoccupation pour les personnes tuées, blessées, déplacées et rendues vulnérables par la violence. Il a noté les appels des États-Unis au Rwanda pour qu’il mette fin à son soutien au M23 et a réitéré la nécessité pour tous les acteurs étatiques de cesser de collaborer avec les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et d’autres groupes armés non étatiques. Le secrétaire Blinken et le président Tshisekedi ont discuté de l’importance et de l’urgence du retrait et du désarmement du M23 conformément au communiqué de Luanda, et pour toutes les parties de s’acquitter de leurs obligations du Communiqué de Luanda et de s’engager dans le cadre des processus de Luanda et de Nairobi. Le secrétaire a réitéré sa préoccupation concernant les discours de haine et la rhétorique clivante. Il a également souligné le droit du peuple congolais à manifester pacifiquement pour exprimer ses préoccupations et ses aspirations, et l’engagement des États-Unis en faveur d’élections libres et équitables en RDC”.

G7 n’a même pas reconnu la thèse de l’agression
La phrase intéressante pour l’opinion congolaise en ce qui concerne la situation sécuritaire à l’Est est le fait pour Anthony Blinken de noter « _les appels des États-Unis au Rwanda pour qu’il mette fin à son soutien au M23_ ».
La question est de savoir quelle est la décision ou quelles sont les décisions du Gouvernement américain à l’encontre du Gouvernement rwandais, tant il est vrai que Washington reconnaît clairement les effets dévastateurs de l’aventure du M23 – comme ceux de tous les autres groupes armés – dans l’hinterland kivutien ! Réponse : aucune!
Il est indiqué de rappeler la tenue, du 19 au 21 mai dernier, du sommet du G7 (structure informelle dotée cependant d’une puissance politique, diplomatique et économique plus forte que le Conseil de sécurité de l’Onu) à Hiroshima, ville japonaise sur laquelle l’administration américaine avait largué en 1945 la bombe atomique aux côtés de Nagasaki, bombe fabriquée à partir de l’uranium de Shinkolobwe extrait en terre congolaise du Katanga.
Constitué de la France, des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Allemagne, de l’Italie, du Canada (tous membres de l’Otan) et du Japon, le G7 n’a même pas reconnu la thèse de l’agression développée et soutenue par la RDC.
Au point 62 de son communiqué final, le G7 se limite à déclarer : « _Nous réaffirmons notre attachement à la souveraineté, à l’indépendance, à l’unité et à l’intégrité territoriale de la République démocratique du Congo. Nous accueillons avec satisfaction l’arrêt des hostilités convenu en mars et nous appelons à sa pleine mise en œuvre. Nous condamnons la progression du mouvement armé du 23 mars (M23) sanctionné par les Nations Unies et nous nous joignons aux chefs d’État et de gouvernement africains pour l’appeler à se retirer de tous les territoires sous son contrôle_ ».
Ainsi, fait-il certes allusion à la situation sécuritaire dans la sous-région des Grands-Lacs, exactement comme pour d’autres sous-régions de l’Afrique, mais en ignorant ouvertement la thèse de l’agression rwandaise.
En un mot, Washington ne reconnaît pas cette agression parce que dans son entendement, il y a simplement soutien à une organisation insurrectionnelle !
Ils continuent de s’invectiver
Pourtant, la RDC mérite mieux ne serait-ce que par rapport à Hiroshima et Nagasaki.
Pour l’histoire, le Japon de l’empereur Hirohito, au même titre que l’Italie de Mussolini, avait appuyé la cause hitlérienne lors de la Seconde guerre.
Au moins une chose est vraie : il a fallu les conséquences de la bombe atomique pour que, d’une part, la guerre s’arrête et, d’autre part, la reconstruction de l’Europe et de l’Asie soit entreprise par les États-Unis via le Plan Marshall.
Depuis, la majorité des Etats occidentaux membres du G7 se sont fortement industrialisés et utilisent aujourd’hui les notions de Démocratie, Droits de l’homme et Démocratie comme des valeurs universelles imposables à toute l’humanité. Des valeurs pour lesquelles la RDC peine à se développer. D’ailleurs, ce pays continue d’être étranglé autant par sa classe politique que sa société civile en interne, et par des bras séculiers comme le Rwanda de Paul Kagame en externe, pour le compte des puissances occidentales bien identifiées.
Au point 2 du communiqué, les pays membres du G7 disent croire dans les « principes internationaux » et les « valeurs communes», cela « _en défendant et en consolidant l’ordre international libre et ouvert fondé sur des règles de droit et en respectant la Charte des Nations Unies au profit de tous les pays, quelle que soit leur taille_ » et en (s’opposant) « _fermement à toute tentative unilatérale de modifier par la force ou la contrainte le statut établi pacifiquement de territoires, où que ce soit dans le monde, et en réaffirmant que l’acquisition de territoires par la force est prohibée_ ».
Or, ces pays ont tous entendu le 15 avril 2023 Paul Kagame faire au Bénin une déclaration violant l’un des principes sacrés des chartes de l’Onu et de l’Union africaine, à savoir l’intangibilité des frontières.
Quand alors, par rapport à l’agression rwandaise pourtant avérée, on constate le silence des pays membres du G7 , la condescendance des pays membres de l’Otan et l’attentisme des pays membres des Nations-Unies et de l’Union européenne actifs dans ces deux structures qui exercent pourtant une forte emprise sur le monde (ne suivez pas mon regard), on ne peut que se demander si les autres exigences évoquées par Anthony Blinken dans sa conversation téléphonique avec Félix Tshisekedi (élections, respect des droits de l’homme etc.) ne cachent pas autre chose pendant que les Congolais d’en haut, eux, sont toujours dans ce qui les passionne le plus depuis 1960 : la distraction!
Trempés dans l’égocentrisme, ils continuent de s’invectiver pendant que la maison Congo brûle…
Omer Nsongo die Lema




En escale à Goma avant de se rendre à Nyamukubi : Sama Lukonde procède à la 3eme évaluation de la situation sécuritaire et humanitaire en Ituri et au Nord-Kivu

Le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde a mis à profit son escale à Goma avant de se rendre à Nyamukubi, pour procéder, pour une troisième fois, à l’évaluation de la situation sécuritaire et humanitaire dans les deux provinces sous état de siège, savoir le Nord-Kivu et l’Ituri.

Il a reçu tour à tour, en audience, ce vendredi 26 mai 2023, le gouverneur militaire du Nord-Kivu, le lieutenant-général Constant Ndima Kongba et tous les services de sécurité de cette province, le gouverneur militaire de l’Ituri, le général Johnny Luboya et tous les services de sécurité de l’Ituri, les humanitaires internationaux qui accompagnent le pays dans cette partie du territoire national, et la délégation des parlementaires nationaux ayant fait le déplacement de Goma avec lui, aux côtés de quelques membres du gouvernement, notamment, le ministre d’État en charge du Budget, le ministre d’État en charge du Développement rural, le ministre de l’Industrie, la ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale, le Vice-ministre de l’Intérieur, et le Vice-ministre de la Défense.

Une situation sécuritaire qui évolue positivement en Ituri, et préoccupante au Nord-Kivu

Si l’évolution de la situation sécuritaire en Ituri évolue positivement, elle reste plutôt très préoccupante au Nord-Kivu suite à la guerre d’agression et plusieurs déplacés de guerre. Ce qui exige que des mesures appropriées soient prises afin que l’armée soit à mesure de faire face à cette situation. Des recommandations ont été faites, à cet effet, au chef du gouvernement par ses différents interlocuteurs.

“La réunion a planché sur l’évaluation de l’état de siège. C’est un exercice que nous avons déjà fait avec le Premier Ministre, les ministres sectoriels et quelques membres de l’Assemblée nationale. Il a tenu à faire cette évaluation. Nous lui avons dépeint la situation générale de la province. Vous savez que la situation sécuritaire en province du Nord-Kivu reste très préoccupante suite à la guerre d’agression que nous subissons et aussi la situation humanitaire avec plus de 2000 déplacés de guerre. Nous avons deux secteurs opérationnels », dit-il.

Au grand Nord, explique-t-il, il y a l’activisme des ADF, qui, depuis plusieurs années, sont en train de massacrer notre population pour qu’ils occupent cette partie de la République et y installent un califat. Ce que les Congolais, les Nord-Kivutiens ne peuvent jamais accepter. Ici au sud de la province, que nous avons baptisé Sokola 2, nous faisons face à l’agression, où aujourd’hui, vous savez, le Rwanda avec son bras séculier, le M23 ont conquis quelques localités dans les territoires de Rutshuru, Masisi, Nyiragongo, et aujourd’hui, autour de la ville de Goma. C’est pourquoi je dis que la situation reste préoccupante. Il fallait que nous expliquions cela au chef du gouvernement pour que des mesures adéquates soient prises afin que l’armée soit à mesure de faire face à cette situation.

La situation sécuritaire, bien sûr la situation d’agression et aussi la prise en charge holistique des déplacés de guerre. Je venais de donner des chiffres. C’est une situation dramatique. Nous faisons face à cette situation sécuritaire et humanitaire. La situation sécuritaire, ce sera avec l’accompagnement de notre gouvernement. Et pour la situation humanitaire, ce sera avec le gouvernement bien sûr, mais aussi les humanitaires qui sont à nos côtés. Bref, nous avons parcouru toute cette situation. Je lui ai expliqué ce que nous connaissons ici. Aussi, nous avons fait des recommandations à Son Excellence. Il y a un processus en cours, le processus de Nairobi et qui a attiré la feuille de route de Luanda. Une feuille de route qui prévoyait un cessez-le-feu immédiat. C’est ce que votre armée est en train d’observer. Il y a aussi le retrait des M23 de ces espaces occupés. Le retrait aujourd’hui, c’est sous la supervision des forces de l’EAC. Mais, est-ce qu’il y a retrait ?

C’est un retrait timide. Tantôt on se retire, tantôt on reprend les positions. Voilà le jeu auquel nous sommes en train d’assister. Nous avons exigé que cela soit sincère pour que la population retrouve la paix et regagner leur milieu d’origine. Puisque les Congolais n’acceptent pas de rester dans les sites des déplacés, dans des camps pour tendre les mains, chercher la nourriture. Notre population est très active. Elle cherche elle-même sa nourriture. Les conditions doivent être vite rétablies pour que la population retourne dans son milieu d’origine”, a dit le lieutenant-général Constant Ndima Kongba, gouverneur militaire du Nord-Kivu.




Chine et la RDC élèvent leurs relations au partenariat stratégique global de coopération

Les présidents de la Chine et de la République démocratique du Congo (RDC) ont annoncé vendredi l’élévation des relations bilatérales d’un partenariat stratégique de coopération gagnant-gagnant, à un partenariat stratégique global de coopération.




L’affiche officielle de la finale aller de la Coupe de la Confédération CAF dévoilée

A l’approche du très attendu match aller de la finale de la Coupe de la Confédération CAF TotalEnergies, la CAF a dévoilé l’affiche officielle.

Les Young Africans de Tanzanie affronteront l’USMA d’Algérie à Dar es Salaam dimanche.

L’affiche officielle peut être téléchargée sous différents formats.

Le match aller aura lieu au Benjamin Mkapa National Stadium le dimanche 28 mai 2023 et déterminera le prochain champion. Le coup d’envoi du match sera donné à 13h00 GMT (16h00 heure locale).

Le match retour est prévu le samedi 3 juin 2023 au Stade du 5 juillet 1962 à 19h00 GMT (20h00 heure locale).




Mission humanitaire mixte Gouvernement-Parlement : Sama Lukonde en visite de réconfort aux victimes de Kalehe

Le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde est arrivé, dans la nuit du 25 au 26 mai 2023, à Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu pour apporter le réconfort du gouvernement aux sinistrés de Kalehe. Le chef du gouvernement est à la tête d’une mission humanitaire mixte, Gouvernement-parlement, voulue par le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo pour apporter des solutions sociales et sanitaires à la population de cette partie du territoire national, victime des inondations.

Du côté infrastructures, il mettra à contribution l’OVD et le génie militaire pour accélérer le processus de réouverture de la RN2. A sa descente de l’avion, il a été accueilli par les autorités locales avec en tête, le gouverneur militaire du Nord-Kivu, le lieutenant-général Constant Ndima Kongba.

Se confiant à la presse, le Premier Ministre a déclaré ce qui suit : « Tout d’abord, je suis venu ici, sur instruction du Président de la République. Comme vous le savez, nous avons connu, dans la zone, un sinistre, au-delà de la situation d’insécurité que nous vivons ici, dans les provinces du Nord-Kivu, de l’Ituri et même, un peu, du Sud-Kivu. Cette situation de sinistre que nous avons connu à Kalehe avait sollicité du gouvernement que nous puissions avoir une première mission humanitaire et d’évaluation. Aujourd’hui, on se rend compte que nous avons connu 500 morts et plus de 5000 déplacés », dit-il.

A l’en croire, c’était important qu’après avoir déclaré la zone « zone sinistre », nous venions apporter des solutions dans le domaine social d’abord. Ensuite, dans le domaine sanitaire. Dans le domaine social, ce sont tous les ustensiles vivres et non vivres. Comme il y a toujours un appui sanitaire à apporter en termes de médicaments. Et donc, nous avons voulu aussi apporter des solutions de ce côté-là. Nous savions qu’il y avait une sollicitation du point de vue des infrastructures. Nous voulons apporter notre appui à l’OVD pour s’assurer de la réouverture de la RN2.

Disons que dans cette mission, le Premier ministre est accompagné d’une forte délégation des membres du gouvernement qui va aussi aborder les autres aspects selon les demandes qui seront abordées. La mission va aussi avoir l’implication du ministère de la Défense, notamment avec l’armée du point de vue du génie militaire. Et même du point de vue médical, ils sauront nous venir en appui. Et bien sûr comme nous sommes dans la zone Est, particulièrement au Nord-Kivu, avec la situation sécuritaire que nous vivons, nous aurons l’occasion avec les autorités locales, notamment le gouverneur militaire, ici au Nord-Kivu et même probablement en Ituri, de faire le point de la situation sécuritaire et de donner quelques indications par rapport aux attentes de la population.

Voilà un peu le but de cette visite avec cette délégation constituée de plusieurs membres du gouvernement, notamment le ministre d’État en charge du Développement rural, le ministre de l’Industrie, la ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale, le ministre d’État en charge du Budget, et le ministre des Finances. Mais nous avons aussi voulu être avec une autre institution qui est l’Assemblée nationale, qui bien sûr tous les jours nous donne des recommandations.

« Nous sommes venus ici avec le 2ème Vice-président de l’Assemblée nationale qui est d’ailleurs de Kalehe pour effectuer avec lui cette mission. Donc, c’est une mission mixte. Nous allons travailler, pas seulement au niveau du gouvernement, mais aussi avec l’appui du parlement, notamment avec les députés nationaux, ayant à la tête leur 2ème Vice-président, mais aussi les Sénateurs que nous allons trouver ici sur place pour aborder les différentes questions », indique le chef du Gouvernement.

Notons que le Premier Ministre, Jean-Michel devra se rendre sur place à Kalehe pour apporter un soulagement à cette population. Il faut rappeler que les villages Nyamukubi et Bushushu, dans le territoire de Kalehe ont été victimes, le 04 mai dernier, des inondations qui ont tout ravagé causant 500 morts et plus de 5000 déplacés. Le Premier Ministre arrive donc pour apporter le réconfort à cette population.




Tshisekedi et Xi Jinping président la cérémonie de signature de 4 mémorandums de coopération bilatérale

Après l’accueil majestueux et la séance de travail approfondie, cette rencontre historique placée sous le signe du pragmatisme a été suivie d’une cérémonie de signatures de plusieurs protocoles d’entente établis dans différents domaines.

Voici la liste des protocoles d’entente signés ce vendredi lors d’une cérémonie présidée par les deux chefs d’État, Xi Jinping et Félix Tshisekedi :

1/ Mémorandum d’entente sur l’investissement et l’exploitation écologique des ressources naturelles ;

2/ Mémorandum d’entente sur l’échange et la coopération en matière d’information ;

3/ Mémorandum d’entente sur la coopération dans le développement de l’économie numérique ;

5/ Mémorandum d’entente sur la promotion du développement d’une croissance verte ;

6/ Accord de coopération entre les deux chaînes nationales de télévision, la CGTN et la RTNC.

Le Chef de État et sa délégation ont aussi pris part au dîner offert en leur honneur par le Président chinois ce vendredi soir.

Ce samedi, le Chef de l’État sera en visite à Shanghai pour des rencontres à caractère économique dans cette deuxième ville chinoise.