Equipement de nettoyage et de désinfection pour légumes de fruit

L’université polytechnique Kim Chaek vient d’inventer une machine à nettoyer et à désinfecter des légumes de fruit à l’aide du plasma et de l’utrason.

Ce nouveau modèle d’équipement permet d’éliminer non seulement de la motte de terre ou de la poussière, mais aussi des matières organiques, des bactéries et des virus fixés à l’extérieur des légumes de fruit. Sa capacité d’élimination est fort puissante par rapport à un modèle traditionnel.

Le principe d’action de l’appareil est de former un courant rapide de bulles d’air et un champ ultrasonore dans de l’eau d’ozone, substance détersive, pour obtenir un grand effet de lavage, de désinfection et de séparation des matières organiques. La machine peut être utilisée efficacement dans divers domaines de l’économie nationale : lavage et désinfection des matières premières et des matériaux d’emballage et recyclage de leurs déchets dans des usines alimentaire, pharmaceutique et de traitement de fruits, épuration d’eau dans des bassins piscicoles ou piscines.




RENVERSER LES AUTELS NEGATIFS ET BATIR LES AUTELS POSITIFS. CULTE DU MARDI LE 30 MAI 2023.




COMMUNIQUÉ OFFICIEL N° 01/033/DGI/DG/DESCOM/CD/MM/2023




Prix Foé 2023 : Mbemba remporte le trophée (Officiel)

Lauréat du prix Marc-Vivien Foé la saison passée, Seko Fofana ne conservera pas son bien. Le 2e du championnat de France a été devancé d’un cheveu par le Congolais Chancel Mbemba (Olympique de Marseille), lauréat de cette récompense attribuée au meilleur joueur africain de Ligue 1 de l’exercice écoulé.

Les organisateurs, RFI et France24, ont en effet révélé ce mardi que la recrue phocéenne, arrivée en France l’été dernier, remporte cette édition avec un total de 207 points. Au nez et à la barbe de Fofana bien que Lens ait devancé l’OM à la deuxième place du classement. L’écart entre les deux hommes est toutefois infime puisque le milieu de terrain ivoirien ne compte que 11 points de retard sur le roc des Léopards. Auteur de 20 buts cette saison et passé de Lorient à Nice à l’occasion du mercato d’hiver, l’attaquant nigérian Terem Moffi complète le podium, à bonne distance, avec 125 points au compteur.

Un sacre historique pour un défenseur

Le jury composé d’une centaine de journalistes et consultants, a donc logiquement récompensé Mbemba, premier défenseur de l’histoire à remporter le prix Foé (!) et deuxième Marseillais sacré après André Ayew en 2015. Très vite adopté par le Stade Vélodrome, le natif de Kinshasa a étalé aussi bien ses qualités défensives qu’offensives (7 buts marqués dont 5 en Ligue 1) depuis son arrivée sur la Canebière l’été dernier. Malgré quelques passages sur le banc durant ce printemps, il aura incarné l’un des hommes de base de son coach Igor Tudor avec 44 matchs joués toutes compétitions confondues.

«(Je ressens) D’abord, de la fierté. Ensuite, je dis merci à l’ensemble des personnes qui ont voté pour moi. Déjà, être dans la liste, ce n’est pas facile, parce qu’il y a beaucoup d’Africains en Ligue 1, je ne pensais pas le gagner», a réagi le joueur de 28 ans auprès de RFI. «Aujourd’hui, c’est fait, je dis : ‘Merci !’. En tant que Congolais, c’est un plaisir. En plus, pour ma première année en France, j’ai vraiment travaillé, parce qu’il y a beaucoup de talents en Ligue 1. Mais, grâce à Dieu, j’ai gagné.» Mbemba est le deuxième joueur congolais à remporter cette distinction après Gaël Kakuta en 2021.

Le palmarès du Prix Marc-Vivien Foé
2023 : Chancel Mbemba (OM/ RD Congo)
2022 : Seko Fofana (RC Lens/ Côte d’Ivoire)
2021 : Gaël Kakuta (RC Lens/RD Congo)
2020 : Victor Osimhen (LOSC/Nigeria)
2019 : Nicolas Pépé (LOSC/Côte d’Ivoire)
2018 : Karl Toko-Ekambi (Angers SCO/Cameroun)
2017 : Jean Michaël Seri (OGC Nice/Côte d’Ivoire)
2016 : Sofiane Boufal (LOSC/Maroc)
2015 : André Ayew (Olympique de Marseille/Ghana)
2014 : Vincent Enyeama (LOSC/Nigeria)
2013 : Pierre-Emerick Aubameyang (AS Saint-Etienne/Gabon)
2012 : Younès Belhanda (Montpellier HSC/Maroc)
2011 : Gervinho (LOSC/Côte d’Ivoire)
2010 : Gervinho (LOSC/Côte d’Ivoire)
2009 : Marouane Chamakh (Girondins de Bordeaux/Maroc)




Jeune frère de notre confrère Junior Luimbi: Exaucé Ilamikiza inhumé samedi à N’Sele-bambous

Familles et connaissances se sont retrouvées samedi 27 courant, au funérarium de l’hôpital St Joseph de Limete, avant la levée du corps pour l’inhumation au Cimetière de Nécropole 3, communément appelé N’Sele-Bambous. En effet, ‘’Dieu sait donner, il sait aussi reprendre’’, annonce la sagesse biblique. Il lui a plu de rappeler l’âme de son enfant, Ilamikiza Mununga, prénommé Exaucé (voir photo). Il a été rappelé dans le Ciel samedi 20 mai, sa santé avait connu une dégradation, selon ses proches. Ayant rompu la corde vitale à dix-neuf (19) ans d’âge, le regretté laisse inconsolables ses père et mère José Mununga et Ernestine Malueza Lukengo, ainsi que ses frère et sœur. Située sur l’avenue Mombele au quartier qui porte le même nom, la salle Lita a abrité la veillée mortuaire vendredi qui a précédé le jour de l’inhumation. Dans sa brève homélie, le prédicateur a encouragé l’assistance à demeurer dans la foi en Christ, Voie, Vérité et Vie, condition pour être sauvé. La première lecture de la messe d’action de grâce a été tirée de l’épître de Paul à Timothée 2, 4 ; 6 à 8. Et de fil en aiguille, l’évangile de Jean 11 selon le récit de Lazare et l’exhortation du Seigneur aux proches de ce dernier. En effet, dans l’évangile de Jean 11, le Christ donne à la sœur de Lazare les assurances de la vie éternelle. ‘’Jésus lui dit : c’est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s’il meurt’’ (v 25).

Le craquement d’un gros arbre produit des échos aux confins du village

Ce qui est survenu conforte, en effet, la sentence exprimée par le sage Ecclésiaste (3 ; 1,3) : ‘’Il y a un temps pour tout, un temps pour toute chose sous les cieux. Un temps pour naître et un temps pour mourir, un temps pour planter et un temps pour arracher ce qui a été planté’’.

De fil en aiguille, la disparition du jeune Ilamikiza Exaucé a été ressentie tel un coup dur par les ressortissants Tshokwe de Kinshasa, co-originaires de ses parents des villages respectivement Kambanzambi (pour le père) et Mapangu (pour la mère), territoire d’Ilebo, province du Kasaï (de l’ancienne dénomination Kasaï-Occidental, au terme de la Décentralisation du 15 septembre 2015, une mesure politico-administrative ayant entrainé le démembrement de certaines provinces, dont la susdite éclatée en deux entités : Kasaï Central (chef-lieu : Kananga) et Kasaï (Tshikapa).

Payne




Des maisons d’habitation au cimetière, des tombes dégradées faute d’allées… : N’Sele-Bambous et Kinkole Nouvelle-Cité, cas de conscience pour l’Hôtel de Ville

Plus d’un observateur sont estomaqués par la présence, de plus en plus croissante de maisons d’habitation sur le site du cimetière Kinkole Nouvelle-Cité. Cette cohabitation contrenature intrigue, dans la mesure où les cimetières, en temps normal, sont placés sous l’autorité d’administrateurs nommés par l’Hôtel de Ville.

‘’ En RD Congo, les déplacements des populations ne sont pas essentiellement le fait des conflits armés, comme cela est le cas notamment dans la partie est du pays. La chute vertigineuse du cours du diamant, de même que l’arrêt des machines à la Minière de Bakwanga  (MIBA) ont fait que de nombreuses familles quittent les zones minières pour chercher mieux ailleurs’’, constate un observateur.

Pour l’heure, et c’est là que le bât blesse, les observateurs souhaitent voir l’autorité à l’œuvre, car la présence de maisons d’habitation sur le site du cimetière suppose un macro-problème d’habitat à Kinshasa, avec d’immanquables retombées sur la qualité de l’environnement.

N’Sele-bambous : faute d’allées, les dalles couvrant les tombes se dégradent sous le poids des marcheurs

Le cimetière de N’Sele-bambous est situé aux abords de la Nationale n°1, avant d’atteindre Menkao sur la route du Plateau Bateke. Ce lieu de pas très large étendue, n’est pas la propriété des pouvoirs publics, en dépit d’un bureau administratif opérationnel. Des particuliers qui s’y affairent, sont dans la coupole des chefs terriens du coin. Ils sont entremêlés d’hommes en uniformes qui, eux aussi, répondent à la volonté de leur hiérarchie. Le cimetière manque de tracé, et partant d’allées (des ruelles intérieures permettant la circulation des personnes sans poser pied sur les dalles). En conséquence, les dalles se défoncent anticipativement. Plus d’une personne avertie savent, en effet, que les permanents de cimetières ont majoritairement un problème de conscience. En matière de la petite maçonnerie qu’ils exercent sur les lieux, bien des pratiques les empêchent de conquérir la confiance du commun. C’est le cas de la qualité du mélange disproportionné sable-ciment pour produire de la solidité. Cette défaillance se traduit dans la production de caveaux et dalles qui ne font pas classe. Tant de raisons expliquant la dégradation anticipée de dalles, sous le poids des marcheurs qui n’ont pas d’alternative pour poser pied. Un pasteur accompagnant une famille, a exprimé son choc en ces termes : ‘’Ce cimetière qui manque de visage, pourtant un cimetière est un lieu de recueillement et aussi touristique. Il est souhaitable dans ce pays, que l’Etat prenne les choses en main, pour que les gens soient enterrés assez dignement’’, a-t-il déploré.

Entre-temps, les morts dans ce cimetière sont privés de dignité et de stabilité posthumes. Tandis que la loi accorde à un lieu d’inhumation un délai opérationnel d’un quart de siècle avant d’envisager toute désaffectation, à N’Sele-bambous, la réalité est autre. En effet, les corps (reliques) exposés à l’eau de pluie à travers dalles défoncées, risquent de s’avérer instamment source de pollution. Les croque-morts s’y affairent et vite, les caveaux aléatoirement renouvelés, changent de contenu dès le lendemain, au gré de la demande.

Gouverner c’est prévoir, pour faire face aux déplacements intérieurs

L’après-diamant et les déplacements intérieurs massifs éprouvent la responsabilité de l’Etat, dans un contexte du  « pouvoir par et pour le peuple ». Il s’agit d’activer des mécanismes de gestion des populations, d’intégration des masses, de création d’emploi, de prévention sécuritaire. Toutes ces priorités se résument dans la planification de la vie nationale. Pour l’heure, les déplacements massifs ont eu pour effet immédiat : la précarité de l’habitat et même de l’habitat posthume (pour les non nantis), le débordement des marchés, le déferlement du secteur informel et celui des activités de survie. Cela fragilise la famille en tant que cellule de base de la nation, renforce la prépondérance des propriétaires de parcelles, des agents des services publics et des hommes d’églises dont notamment ceux qui offrent un cadre d’accueil. Payne




Clôture de la mini-fête des Juifs : Les fidèles de la CAC/VH méritent la récompense de Dieu ; ils ont fait preuve d’un peuple mûr et bien enseigné (Apôtre Sylvain Mulamba)

Pendant 8 jours, les fidèles de la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH) ont eu à célébrer la mini-fête des Juifs, un moment fort en déclarations et bénédictions, une première pour cette année. Cette activité spirituelle, pour l’un des orateurs à ces assises, le Pasteur Sylvain Mulamba, elle a été un succès total et moment inoubliable pour l’Eglise du Seigneur et pour tous les Congolais qui ont suivi ce service à travers le monde.

A travers une interview accordée au média en ligne lequotidienrdc.com, le visionnaire et responsable de l’Assemblée unité chrétienne cité Salem qui a été parmi les pertinents orateurs de ces assises, se félicite du succès qui a couronné ce service. « Nous bénissons premièrement l’Eternel pour ce travail qui a béni abondamment les enfants de Dieu à travers le monde et surtout de la preuve de recevabilité de la parole de Dieu que ce peuple n’a cessé de manifester pendant les 8 jours sans relâché ». Pour l’homme de Dieu, cette marque de dévouement a prouvé à suffisance comment ce peuple est enseigné par leur père spirituel qui est le Pasteur François Mutumbo Voici l’homme.

Pour le visionnaire de l’Eglise Assemblée unité chrétienne cité Salem, les fidèles de la CAC/VH aiment la prière durant toutes ces assises. Ils sont restés constamment devant la face de Dieu, voilà pourquoi je dis qu’ils méritent une bénédiction spéciale. L’apôtre Sylvain Mulamba a profité de l’occasion pour appeler le peuple de Dieu à ne pas se fatiguer après cette période des fortes prières. Ils doivent être prudents et garder la bénédiction reçue pendant cette période. Avant d’émettre son vœu de voir l’Est de la Rdc être pacifiée dans les prochains jours où les armes détonnent encore ” en cette période, nous demandons à Dieu de protéger les dirigeants de notre pays et de doter notre armée de la force divine pour faire face contre l’ennemi”. Il a aussi invité tous les Congolais à aimer leur pays et à soutenir son armée.

Osée Kalombo




Après la mini-fête des Juifs : François Mutumbo annonce le lancement de la grande fête des Juifs pour le mois d’août prochain

Après la première édition de la mini-fête des Juifs organisée pendant 8 jours à Kinshasa, une grande activité spirituelle qui a pu réunir quelques éminents serviteurs de Dieu venus des provinces de la RDC. L’homme de Dieu et l’hôte de cette activité évangélique, le Pasteur François Mutumbo Voici l’homme qui a clôturé en beauté la mini-fête des Juifs, a profité de la même occasion pour annoncer la tenue de la grande fête des Juifs, une grande manifestation a portée internationale, qui va succéder la mini-fête des Juifs, qui est intervenue après que l’Eglise soit rebaptisée comme la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme (CAC/VH).

Pour le pasteur François Mutumbo, cette première édition internationale qui réunira les orateurs qui viendront à travers le monde et la Rdc, sera organisée au mois d’août prochain pendant une échéance des 15 jours. Il a également annoncé que les préparatifs de la grande célébration vont débuter d’ici le début du mois de juin à Kinshasa et à travers le monde.

Abordant l’organisation de la fête de la mini-fête des Juifs, l’homme de Dieu s’est dit très satisfait de la tenue de cette activité. Il a d’abord remercié le Seigneur pour tout ce qu’il a pu faire durant les 8 jours : le climat était favorable, aucun incident n’a été enregistré pendant ces assises.

Concernant les orateurs, l’hôte de cette grande célébration a remercié tous les intervenants sans exception pour leur participation et surtout pour leurs messages qui a pu édifier l’Eglise du Seigneur. Avant de remercier également tous les fidèles de la CAC/VH ainsi que tous les invités venus des 4 coins de la capitale, sans oublier la forte délégation de Brazzaville et des quelques invités de marque qui sont venus des Etats-Unis d’Amérique uniquement pour participer à ces assises.

L’homme de Dieu François Mutumbo a clôturé son propos en réitérant sa solidarité avec toute la population de l’Est de la Rdc qui vit dans une insécurité sans précédente. ” Je pense tous les jours à mes frères et sœurs de l’Est de la Rdc et je prie pour que la paix revienne dans cette partie de la Rdc. Je prie pour les autorités du pays et pour les forces armées de la Rdc », a-t-il rapporté.




Après 8 jours d’une grande campagne d’évangélisation : Le Pasteur François Mutumbo a clôturé la 1ère édition de la mini-fête des juifs sur une note de satisfaction totale

Organisée sous le thème : « Que Dieu change la langue de Balaam », la première édition de la mini- fête des Juifs s’est clôturée ce dimanche 28 mai 2023 avec succès, après 8 jours d’intenses déclarations et des messages qui ont béni abondamment le peuple Dieu. Démarrée le dimanche 21 mai, cette grande activité spirituelle a pu réunir beaucoup de puissants hommes de Dieu qui sont venus d’autres provinces de la Rdc, notamment le Kongo Central, le Kasaï-Oriental et le Haut Katanga. C’est fut une célébration qui a été suivie à travers le monde entier via les réseaux sociaux.

Pour cette grande journée de clôture, l’honneur a été fait à l’homme de Dieu, le visionnaire de la CAC/VH et hôte de cette grande activité pour annoncer la parole au peuple et clôturer la première édition de la mini-fête des juifs. L’orateur du jour est revenu sur le texte principal qu’est le livre de Nombres 22, 1-6.

Qui est Balaam et c’est quoi la langue de Balaam ?

Le serviteur de Dieu a d’abord effleuré l’histoire des enfants de Dieu en Egypte, leurs souffrances et comment le Seigneur a étendu sa main puissante pour les faire sortir de ce pays et les faire traverser le Jourdain. Dans leur parcours, Israël a affronté plusieurs nations qu’il a vaincu avec la force divine ; une période au cours de laquelle le Seigneur a vraiment manifesté sa gloire.

Arrivé quelque part vers le chemin de Canaan, le roi Balak s’opposa au passage de ce peuple par Moab. Animé par l’esprit de guerre, ainsi il a eu l’idée d’affronter Israël, mais par une force spirituelle. Il a fait recours à un prophète pour obtenir une malédiction sur les enfants de Jacob avant de les attaquer.

Poursuivant sa prédication, l’homme de Dieu a démontré d’abord que le spirituel règne toujours sur le physique et comprenant cette notion, Balak voulait d’abord attaquer Israël spirituellement avant de le faire physiquement. Par-là, l’orateur du jour a invité les enfants de Dieu à demander toujours la force spirituelle à Dieu, car celui qui est fort spirituellement domine sur le charnel.

Le spirituel domine sur le physique !

Pour enrichir sa pensée, l’homme de Dieu évoqua l’exemple de Jacob et Esaü son frère aîné qui vendu son droit de naisse. “Si physiquement il n’avait rien fait, spirituellement il avait perdu quelque chose de précieuse en lui ». Un jour son père voulait le bénir, mais il lui demanda un met avant de prononcer une quelconque parole de bénédiction sur lui. Or en allant chercher le gibier, son frère passa à sa place et se présenta devant son père et ravi la bénédiction qui appartenait à Esaü.

La Délivrance reste une réalité qu’on ne peut pas ignorer. Par-là, l’homme de Dieu met un autre accent sur la délivrance, car pour lui, si plusieurs personnes ne réussissent pas dans leur vie, c’est à cause de la négligence de la délivrance.

Pour être encore plus explicite sur ce point, le visionnaire de la CAC/VH a comparé la malédiction “comme le Sida qui détruit tout le système immunitaire du corps d’une personne”.

Par-là, il a évoqué l’histoire de Noé avec son fils Cham qui par erreur a vu la nudité de son père et alla raconter aussi à ses frères. Après son sommeil, Noé appris que son fils Cham a vu sa nudité, alors il prononça quelques mauvaises paroles sur lui. Par-là l’homme de Dieu” a exhorté tous les enfants de Dieu de ne pas aimer ni négligé la notion de la malédiction. Il a, dans la même lancée, déclaré que sur cette terre, il ya une race des gens qui sont nés dans la malédiction, et quoi qu’ils fassent, rien ne marchera dans leur vie. La solution par excellence reste la délivrance”, a rapporté l’homme de Dieu.




Chine-RDC : un séjour qui donne un nouveau souffle à la coopération bilatérale

Lqaa visite du président de la République démocratique du Congo (RDC), Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, du 24 au 29 mai 2023, en Chine, augure de perspectives intéressantes dans le renforcement de la coopération bilatérale. C’est désormais sous le registre de partenariat stratégique global de coopération que les relations vont connaître leur développement futur. Premier partenaire commercial et plus grande source d’investissements étrangers de la RDC depuis plusieurs années, la Chine entend user de cette position pour mieux accompagner les initiatives de développement du pays ami. À ce titre, la Chine a marqué son accord pour soutenir la RDC dans son développement économique et social, sa stratégie d’industrialisation, renforcer la coopération dans les domaines de l’énergie, de l’exploitation minière, de l’agriculture, des infrastructures, de la fabrication, de l’économie numérique, de l’éducation et de la santé. Plus particulièrement dans le secteur de l’agriculture, promesse a été faite par le président chinois, Xi Jinping, à son homologue congolais d’envoyer des experts en technologies agricoles en RDC.

Comme il a été souligné au cours des échanges entre les deux chefs d’État, il est question de partage d’expérience en matière de modernisation dans un esprit de respect mutuel et prise en compte des intérêts de chaque partie. « L’expérience réussie de la Chine dans sa voie vers la modernisation montre que les pays en développement ont le droit et la capacité d’explorer des voies de modernisation adaptées à leurs conditions nationales. La Chine est prête à mettre en synergie ses stratégies de développement avec la RDC, à soutenir mutuellement et à promouvoir la coopération et le développement », a clarifié Xi Jinping. En clair, si l’exemple de la modernisation à la chinoise peut être une source fructueuse d’inspiration pour les autres pays en développement, elle se veut un partage d’expérience ; l’essentiel revient pour chaque État de s’appuyer sur ses réalités endogènes pour promouvoir un développement qui réponde aux aspirations profondes de son peuple.

Le partenariat stratégique global de coopération a prévu également la création d’un environnement commercial équitable et d’un climat propice aux investissements des entreprises chinoises. Il sied donc de travailler à avoir un espace qui rassure les potentiels investisseurs. Xi Jinping et Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ont, par ailleurs, réaffirmé solennellement leur disponibilité, dans une étroite solidarité, à toujours harmoniser leurs vues vis-à-vis des questions internationales. Les deux pays sont convenus de la nécessité de défendre les intérêts de pays en voie développement en s’opposant aux élans hégémonistes que certains veulent faire valoir dans les relations internationales.

Au-delà des entretiens avec les plus hautes autorités chinoises et de la signature de documents de coopération dans l’investissement, l’économie verte, l’économie numérique et d’autres domaines, le président Tshisekedi a mis à profit son séjour pour visiter des villes importantes de la Chine pour apprécier de plus près la réalité du développement en Chine. En faisant une immersion dans certaines entreprises chinoises basées dans ces villes, il a pu toucher du doigt les opportunités de coopération que son pays pourrait explorer avec celles-ci, notamment dans les technologies et les énergies renouvelables.

Au plan multilatéral, Xi Jinping, et son hôte congolais ont évoqué la mise en œuvre des résultats de la Conférence ministérielle du Forum sur la coopération sino-africaine à Dakar. Ils ont abordé l’impératif de faire progresser la coopération dans le cadre de l’initiative “la Ceinture et la Route” et de soutenir l’Afrique dans la réalisation d’un développement durable, pour l’avènement d’une communauté d’avenir partagé Chine-Afrique dans la nouvelle ère. Il s’agit pour l’Afrique et la Chine de tisser plus étroitement leurs liens et d’appréhender ensemble l’avenir sous d’heureux auspices.

L’on peut dire que le séjour de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo en Chine a eu l’avantage de réaffirmer la confiance mutuelle entre les deux parties, d’injecter une énergie nouvelle dans les différents compartiments de la coopération bilatérale sino-congolaise. Le tout dans un esprit de concertation, de coopération gagnant-gagnant et de respect mutuel. Maintenant que les engagements sincères ont été pris, il appartient donc à chaque partie de jouer pleinement sa partition pour que les fruits de cette visite soient perceptibles de façon concrète sur le terrain. La volonté étant affichée d’avancer durablement ensemble dans la solidarité, il va de soi que les résultats seront au rendez-vous.

(Note de l’éditeur : Cet article reflète le point de vue de l’auteur Karim Badolo et pas nécessairement celui de CGTN.)

Source : CGTN