En prévision du championnat du monde Azerbaïdjan 2023 : Le Congo Brazzaville participe au championnat du monde
Le Congo Brazzaville participe au championnat du monde de taekwondo qui a lieu du 29 mai 2023 au 04 juin 2023 à Azerbaïdjan, en Asie. La délégation congolaise composée de 6 personnes (président de la Fédération, Secrétaire Général de la Fédération, un coach et trois athlètes) a quitté Brazzaville le dimanche 28 mai. La RDC brille par son absence à ce grand rendez-vous mondial.
Suivant le calendrier en notre possession, il était prévu le 29 mai ce qui suit :
Préliminaires hommes -68 kg et femmes -57 kg
15h00-16h30 : Huitième de finale et quarts de finale hommes -68 kg et femmes : -57 kg
18h00-20h30 : Demi-finales et finales : -68 kg hommes et -57 kg femmes
Mardi 30 mai
9h00-14h00 : Préliminaires hommes : -58 kg, femmes -67 kg et femmes -73 kg
15h00-16h30 : Huitièmes de finale et quarts de finale-58 kg hommes, -67 kg femmes et -73 Kg femmes
18h00-20h30 : Demi-finales et finales -58 kg hommes, -67 kg femmes et -73 kg femmes.
Mercredi 31 mai
9h00-14h00 : Préliminaires hommes -80 kg, hommes -87 kg et femmes -49 kg
15h00-16h30 : Huitièmes de finale et quarts de finale -80 kg hommes, -87 kg hommes et -49 kg femmes
18h00-20h30 : Demi-finales et finales -80 kg hommes, -87 kg hommes et -49 kg femmes.
Jeudi 1er juin
9h00-12h30 : Préliminaires hommes -63 kg et femmes +73 kg
14h00-15h30 : Huitièmes de finale et quarts de finale -63 kg hommes et +73 kg femmes
18h00-20h00 : Demi-finales et finales -63 kg hommes et +73 kg femmes.
Vendredi 2 juin
9h00-12h30 : Préliminaires hommes -54 kg et femmes -46 kg
14h00-15h30 : Huitièmes de finale et quarts de finale -54 kg hommes et -46 kg femmes
18h00-20h00 : Demi-finales et finales -54 kg hommes et -46 kg femmes.
Samedi 3 juin
9h00-12h30 : Préliminaires hommes -74 kg et femmes -62 kg
14h00-15h30 : Huitièmes de finale et quarts de finale -74 kg hommes et -62 kg femmes
18h00-20h00 : Demi-finales et finales -74 kg hommes et -62 kg femmes.
Dimanche 4 juin
9h00-12h30 : Préliminaires hommes +87 kg et femmes -53 kg
14h00-15h30 : Huitièmes de finale et quarts de finale +87 kg hommes et -53 kg femmes
18h00-20h00 : Demi-finales et finales +87 kg hommes et -62 kg femmes.
16 épreuves figurent au programme, huit masculines et huit féminines, puis classées par catégories de poids.
Antoine Bolia
Du 03 au 08 juin 2023 à Lubumbashi : L’Algérien Abdelkader Ould Ammar, instructeur Fivb animera un séminaire de formation des entraineurs level 1
Du secrétariat général de la Fédération de Volley-ball du Congo ‘’Févoco’’, l’on signale qu’il sera organisé dans la ville cuprifère de Lubumbashi un séminaire de formation des entraineurs level 1.
Ce séminaire sera animé du 03 au 08 juin 2023 par l’instructeur Fivb Abdelkader Ould Ammar de nationalité Algérienne.
Antoine Bolia
27 août 2013 au 27 août 2023 : La Communauté Jésus-Christ est seigneur de l’Apôtre Coco Bosobi N’sangi va totaliser 10 ans d’existence
Notre Dieu est miséricordieux. Il est réellement le maître de temps et des circonstances. C’est un Dieu des possibilités illimitées, car ce qu’il vient d’accomplir dans la vie de notre frère Me Coco Bosobi N’sangi, CN 4è Dan et entraineur national principal de taekwondo/ITF en ce qui concerne les sports et Apôtre Coco Bosobi, le visionnaire en ce qui concerne la religion, ressemble à un conte de fées.
Comme qui dirait du sport à la religion, il n’y a qu’un pas. CN 4è Dan de Taekwondo/ITF, Me Coco Bosobi est plusieurs fois champion du Congo et même d’Afrique Centrale en taekwondo/WT. Actuellement, il est entraineur national principal en taekwondo/ITF de la RDC. Pour tout dire, c’est un connaisseur en arts martiaux en général et taekwondo en particulier. Il est le fils biologique du grand maître de taekwondo/ITF Gabon Bosobi CN 6è Dan et de maman Mukuna Molimbi. L’Apôtre Coco Bosobi est marié à Mujinga –Ngoy-Jina. Il est père de deux enfants (une fille et un garçon).
Pour la petite histoire, l’Apôtre Coco Bosobi N’sangi est visionnaire et responsable de la communauté Jésus-Christ est Seigneur. Son ministère est apostolique. Cette communauté a vu le jour le 27 août 2013 à Kinshasa dans la commune de Bandalungwa sur l’avenue Bakongo. La vision a été donnée à l’Apôtre Coco Bosobi N’sangi. Il est à ce titre le pasteur responsable de cette communauté. A ce jour, la communauté va compter ses 10 ans d’existence le 27 août 2023. Un grand programme sera élaboré à cet effet. Il débutera le lundi 21 août au dimanche 27 août 2023 avec les fils spirituels pasteurs engendrés par l’Apôtre Coco Bosobi dans l’évangile.
Présentement, l’église est située sur l’avenue Mavungu N°46 C au quartier Lubudi, commune de Bandalungwa. L’Apôtre Coco Bosobi N’sangi, serviteur de Dieu par la grâce, a commencé d’abord à œuvrer chez l’Apôtre Mata Landu Olivier qui est son père spirituel dans l’église ‘’Les Amis du Saint Esprit’’.
Dieu utilise l’Apôtre Coco Bosobi par des guérisons, délivrances, paroles de prophétie et un grand nombre est guéri, un grand nombre sauvé au nom de Jésus. Et sa vision est assise sur le verset biblique Marc 9 : 23 où l’on peut lire : ‘’Jésus lui dit : Si tu peux, Tout est possible à celui qui croit’’.
L’on doit noter qu’en 10 ans, l’Apôtre Coco Bosobi N’sangi a plusieurs fils pasteurs. Il s’agit de :
- Docteur Abraham Mansaka
- Pasteur Théodore Tshimpanga
- Pasteur Justin Mukendi
- Pasteur Esther Ntanganika (Jolie)
- Pasteur Ruth Mansaka (Caroline)
- Pasteur Bisi Marie Jeanne
- Evangéliste Tite Munzemba (Béni)
- Evangéliste Molola Jacques
- Evangéliste Mata Timothée (Djani)
- Berger Dédé Ilunga.
Il faudra noter qu’à part ses fils pasteurs, l’Apôtre Coco à plusieurs fils serviteurs, diacres et autres. Comme on le voit, Dieu utilise abondamment notre frère l’Apôtre Coco Bosobi N’sangi. Toute personne peut contacter la communauté pour ses 10 ans (+243)895681111.
Antoine Bolia
EPST : Tony Mwaba à Kisangani pour lancer l’ENAFEP
Le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi a atterri dans la soirée de ce mardi 30 mai 2023 à l’Aéroport de Kisangani Bangoka à 19:20′.
Objectif, le lancement de l’Epreuve Nationale de Fin d’Etudes Primaires qui se déroule du 1er au 02 juin 2023.
Accompagné de Mme le Secrétaire général, de l’Inspecteur Général à l’EPST, de membres de son cabinet et de quelques cadres et agents de son ministère, le Ministre de l’EPST a déclaré à la presse: “Le calendrier scolaire 2022-2023 indique que le 1er et le 02 juin est le début de l’Epreuve Nationale de Fin d’Etudes Primaires. Donc, nous avons choisi la ville de Kisangani pour lancer ces épreuves certificatives, c’est ce qui justifie notre présence ici à Kisangani”.
Cependant, par un communiqué officiel N°MINEPST/CABMIN/TMK/003/2023 du 30 mai 2023, le ministère de l’EPST porte à la connaissance de l’opinion en général et des Comités Provinciaux que la passation de l’Examen National de Fin d’Etudes Primaires, ENAFEP en sigle, est reporté spécialement à la date du lundi 12 et mardi 13 juin 2023 pour les provinces éducationnelles ci-après: le Sankuru 1 dont le siège se trouve à Lodja, Sankuru 2 à Lusambo, Tshuapa 1 et 2 dont les sièges sont respectivement à Boende et à Bokungu, Haut- Uuélé 1 et Haut-Uelé 2 à Isiro et Watsa et enfin le Bas- Uuélé à Buta.
Le report de ces épreuves certificatives se justifie par l’arrivée tardive des malles d’items aux différents points de chute programmés, tout en précisant que lesdites malles ont été bel et bien entreposées chez le transporteur au temps convenable.
Il sied de préciser que pour l’année scolaire 2022-2023, 2.119. 100 candidats dont 1. 020 448 filles sont attendus sur toute l’étendue nationale. On compte donc 8 232 centres de passation et 2 centres hors-frontières, précisément à Luanda et Kabinda en Angola.
Ituri : Julien Paluku rassure les opérateurs économiques de la volonté de Fatshi de faire de l’industrie un facteur de paix et de stabilité
Conduits au près du ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya par le PDG des entreprises Jokas Group, Jonas Kasimba, les opérateurs économiques basés dans les territoires d’Irumu-Djugu-Mambasa et dans la ville de Bunia sont vénus solliciter la mise en contribution de l’industrie dans la pacification de la province de l’Ituri secouée par les violences armées.
Au nom du Gouvernement de la République, le ministre a rassuré ces opérateurs économiques de l’Ituri de la ferme détermination du Président de la République, Félix Tshisekedi de faire de l’industrie un facteur de paix et de stabilité avec la création des Zones Économique Spéciales dans cette province, une manière de créer de l’emploi aux jeunes qui se faisaient recruter par les forces négatives, cela, en évoquant le cas de la Zone Économique Spéciale de Musienene basée dans le territoire de Lubero au Nord-Kivu qui est en phase d’opérationnalisation a-t-il ajouté.
De son côté, Reagan Kambale Katsumbano a au nom de cette équipe a salué cette initiative du ministère de l’industrie qui consiste à pouvoir la création des unités de transformation à l’Est du pays tout en appelant le Gouvernement à imposer rapidement la paix qui est l’autre synonyme du développement.
Juste après le ministère de l’Industrie, ces opérateurs économiques ont été reçus au ministère de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières, et ce, avant l’étape du ministère de la Défense.
L’Ambassadeur italien vient s’informer chez Julien Paluku sur le Plan directeur d’industrialisation
Amani week, un rendez-vous d’affaires qui va réunir à Lubumbashi les opérateurs économiques italiens et congolais en ce mois de juin et la foire économique Italie-Rdc prévue au mois de juillet prochain à Rome. Ces points ont été au cœur d’un tête à tête ce mardi à Kinshasa entre le Ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya et l’Ambassadeur italien accrédité en République Démocratique du Congo, Alberto Petrangeli.
A cette occasion, le ministre de l’Industrie a fourni des détails sur le Plan Directeur d’Industrialisation chiffré à 58,4 milliards de dollars américains et les facilités qu’offre une Zone Économique Spéciale en RDC.
De son côté, le Diplomate italien très attiré par les opportunités qu’offre la Rdc avec ses Zones Économiques Spéciales, a indiqué à la presse au sortir de cette audience que Amani week et la foire économique Italie-Rdc vont renforcer davantage le partenariat entre les opérateurs économiques de ces deux pays.
« On a échangé avec le ministre de l’Industrie sur le Plan d’industrialisation du pays et comment les entrepreneurs italiens peuvent rentrer au pays et épauler les efforts du Gouvernement pour l’industrialisation de la Rdc. Il y a les Zones économiques spéciales, au mois de juin il y aura Amani Week à Lubumbashi, après, on est en train d’organiser une foire économique de la Rdc en Italie au mois de juillet. Il faut expliquer les potentialités du pays aux investisseurs italiens. La prochaine étape, c’est Amani Week à mi-juin », explique-t-il.
Et d’ajouter qu’il y a des investisseurs italiens quoi vont participer, des Associations d’entreprises qui vont être présentes à Lubumbashi pour rencontre les possibles partenaires. Il est très intéressé, l’Italie étant un partenaire historique de la Rdc. A partir des années 60, elle a épaulé la Rdc dans son chemin d’industrialisation avec le barrage d’Inga, la Sidérurgie de Maluku et beaucoup d’autres projets. Il faut renouer ces relations et expliquer aux investisseurs italiens les potentialités du pays.
ASIMCAT dénonce la situation dans les camps de Tindouf et lance un appel à la communauté internationale
L’Association sahraouie de lutte contre l’impunité dans les camps de Tindouf, ASIMCAT, suit avec beaucoup d’inquiétude ce qui filtre des camps de réfugiés sahraouis de Tindouf, au sud-ouest de l’Algérie, sur les campagnes systématiques d’arrestations et la répression systématique des éléments du Polisario contre les activistes, défenseurs des droits de l’homme et toute voix exprimant une opinion contraire à leur ligne politique ou discordante, ou critiquant la spirale catastrophique de la situation des droits de l’homme à l’intérieur de ces camps, qui sont de plus en plus témoins d’un siège irrespirable des droits et des libertés.
Les derniers chapitres de la série de répression menée par le Front Polisario contre les activistes dans les camps ont été l’enlèvement de l’activiste sahraoui Salem Maaleinin El-Sweed, le 01 mai 2023 à neuf heures du soir, près d’un point de contrôle de la police algérienne dans la ville de Tindouf, où il était accompagné de sa sœur Jufina Maalainin El-Sweed qui a été soumise à la torture et aux mauvais traitements aux mains du Polisario avant d’être emmenée dans l’un des centres de détention secrets mis en place par le Polisario dans les camps de Tindouf, où, malgré les tentatives de ses proches pour le retrouver, on ne sait toujours pas où il se trouve.
L’enlèvement du militant Salem Maelainin Souid a suivi sa participation, avec un grand groupe de défenseurs des droits de l’homme, à des manifestations pacifiques et à la publication de vidéos sur les réseaux sociaux dénonçant les pratiques corrompues de certains dirigeants du Polisario impliqués dans le vol et le pillage de l’aide humanitaire destinée aux Sahraouis dans les camps et appelant à l’intervention de l’Organisation mondiale des droits de l’homme pour mettre fin à l’hémorragie de l’aide humanitaire avec laquelle les dirigeants du Polisario font du commerce dans les pays voisins du sud de l’Algérie, le tout avec le soutien, l’attention et la complicité du régime algérien.
Dans le même contexte, ASIMCAT a enregistré l’exposition de nombreux Sahraouis dans les camps à des blessures de gravité variable commises par les milices du Polisario qui sont accusées de violer le couvre-feu nocturne que la direction de l’organisation insiste à imposer depuis des décennies dans une humiliation continue des résidents des camps, comme c’est le cas de l’activiste sahraoui Hanini Barki Sidi Labeid qui a été soumis à la torture, le 27 avril 2023 à 22:00 heures dans le camp de Rabouni par des éléments du Polisario, ce qui lui a causé de graves dommages physiques et psychologiques, ainsi que la jeune femme, Elhassina Salem Ahmed Barikallah, nièce de l’ancien dirigeant et figure de l’opposition, Hajj Ahmed, qui a été brutalement et sans ménagement maltraitée et emmenée de force dans la nuit du 30 mars 2023, après que la gendarmerie a fait irruption au domicile de sa famille dans le camp de Dakhla afin d’arrêter son frère sous prétexte qu’il n’avait pas respecté les consignes du couvre-feu nocturne.
Cette escalade de la violence a également touché des blogueurs sahraouis comme Elouali Salek El Barbouchi, membre de la direction régionale de l’Union des jeunes du Polisario dans le camp de Dakhla, qui a été arrêté le 21 mars 2023 en raison de ses publications sur les médias sociaux critiquant la politique du Polisario et la gestion par les autorités algériennes des problèmes de sécurité dans les camps, avant d’être incarcéré à la prison d’Al-Dheaibia, où il a été contraint, sur ordre exprès de la “ministre de l’intérieur”, Maryam bint Al-Salik Hamada, de signer un acte d’accusation fabriqué de toutes pièces pour avoir hébergé des immigrés clandestins et possédé du matériel d’extraction de l’or.
Depuis le 4 mai, un groupe important de femmes et d’hommes activistes mène une série de manifestations pacifiques devant le Secrétariat général du Polisario à Rabouni, exigeant la libération des détenus politiques dans les centres secrets du Polisario, ainsi que la responsabilité des auteurs impliqués dans les abus et la torture subis par les victimes. Cependant, ces manifestations pacifiques continues ont été accueillies par une nouvelle répression de la part des dirigeants du Polisario qui ont mobilisé leurs groupes armés pour empêcher les manifestants d’accéder au bâtiment du Secrétariat. Tout ceci se passe en l’absence totale du HCR (Haut-Commissariat aux Réfugiés) dont les bureaux dans les camps ne jouent pas leur rôle dans la protection des résidents de ces camps en contravention avec le document qui encadre son mandat de protection sur ce qui est censé être des camps de réfugiés.
La responsabilité de toutes les violations commises à l’encontre des Sahraouis dans les camps de réfugiés de Tindouf incombe en premier lieu à l’Algérie, sous la juridiction territoriale de laquelle se trouvent ces camps puisqu’ils sont situés sur son territoire. Le Polisario ne peut pas continuer à jouir de cette impunité simplement parce que le pays hôte le protège, lui fournit toutes les conditions d’immunité et continue à ne pas disposer de mécanismes judiciaires transparents pour demander des comptes aux auteurs des exactions et garantir aux victimes leur droit à un recours effectif.
Face à tous ces faits graves et à notre responsabilité en tant qu’organisation de lutte contre l’impunité dans les camps de Tindouf, nous attirons l’attention de l’opinion publique internationale sur les points suivants :
- Prendre toutes les mesures nécessaires pour libérer immédiatement tous les détenus des centres de détention secrets du Polisario et mettre fin immédiatement aux campagnes de répression et d’abus contre les militants sahraouis dans les camps de Tindouf et lever le couvre-feu ainsi que toutes les autres mesures restreignant les droits et libertés des Sahraouis dans ces camps.
- Nous demandons à l’Etat algérien d’ouvrir une enquête judiciaire libre et impartiale sur tous les cas d’exécutions extrajudiciaires, de disparitions forcées, d’arrestations arbitraires et de tortures commises par le Polisario dans ses centres de détention secrets et de prendre les mesures légales nécessaires pour révéler le sort des disparus dans les prisons du Polisario, enquêter sur les circonstances de leur disparition, remettre leurs dépouilles à leurs familles, accorder des réparations aux victimes et à leurs familles et demander des comptes aux dirigeants du Polisario impliqués dans ces crimes, afin de s’assurer que les auteurs ne restent pas impunis.
- S’assurer que l’Etat algérien respecte toutes ses obligations internationales stipulées dans les pactes internationaux auxquels il est partie et qu’il met en œuvre toutes les résolutions des Nations unies émises à cet égard, en particulier celles émises par le Comité des droits de l’homme des Nations unies, dans lesquelles il a exhorté l’Algérie à mettre fin à la délégation illégale de facto de compétences juridictionnelles au Front Polisario.
- Exhorter l’Etat algérien à prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger toutes les personnes se trouvant sur son territoire, en particulier celles qui se trouvent dans les camps de Tindouf, transformés sans aucun doute en une grande prison où les droits et les libertés sont violés et où les victimes d’exécutions extrajudiciaires et de disparitions restent impunies.
- Exhorter le Haut-Commissaire aux Réfugiés à activer son mandat de protection au profit des habitants des camps de Tindouf, et à leur fournir toutes les garanties pour leur permettre de jouir de leurs droits et de ne subir aucun traitement humiliant ou dégradant, tel que prévu par le droit international.
- Appeler l’organisation internationale des droits de l’homme à prendre des mesures urgentes pour mettre fin à la tragédie des Sahraouis dans les camps et à poursuivre toutes les parties impliquées dans les violations qui les affectent en dehors de la loi.
atalayar.com
Kinshasa: Limete industriel à 90 % réhabilité
Quel que soit l’indifférence observée dans toutes les communes de la capitale congolaise au sujet du délabrement avance des artères principales à Kinshasa, les gouvernements tant central que provincial ont tenté de montrer à l’œil nu, la détermination dans le domaine infrastructurel pour but d’en finir avec toutes les artères déchirées et détériorées dans la ville de Kinshasa.
Un constat qui s’est fait remarquer dans la commune de Limeté.
En effet, 16 routes sur 18, soit 90 % des avenues de cette municipalité sont entretenues en bonne et due forme par l’Office des voiries et drainage (OVD), dans Limete industriel sous financement de l’Hôtel de ville de Kinshasa.
Selon les informations fournies par notre rédaction, après la descente sur terrain, les efforts sont fournis dès la 2e, 3e, 4e jusqu’à la 17e rue sont revues en goudrons et bétons dans ce quartier industriel.
Cette agglomération est l’une de Communes qui se trouvent au centre de la ville de Kinshasa et dispose des quartiers tel que: quartier Mombele, Ndanu, industriel et Kingabwa, dont seul industriel devient louable de par sa réhabilitation, contrairement autres difficile à rouler pour les véhiculés et à passer pour les piétons.
Ce constat a été fait juste après notre descente sur terrain hier lundi 29 mai dans ladite commune du feu Étienne Tishisekedi wa Mulumba.
Exceptées la première rue Dilandos qui reste dans un état de délabrement très avancé et la 18e Rue, les 16 restent autres avenues ont réussi un travail de qualité et d’autres ont bénéficié de bétons pour sécher les larmes des kinoises et kinois habitants ce quartier ainsi que des engins qui travaillent pour les entreprises industrielles dans ce coin de la capitale congolaise.
Il sied de rappeler que le gouvernement provincial de Kinshasa, dans le but de rendre effective la vision du gouverneur de la ville Gantiny Ngobila Mbaka qui est “Kinshasa zéro trou” ainsi que l’opération”Kin bopeto” s’est dit déterminé pour mettre fin à ses difficultés de venues récurrentes et permettre à la population de bien circuler en toute tranquillité.
Un travail de longtemps qui a permis à la population de ce quartier de pouvoir s’exprimer à notre rédaction, ” hormis la beauté du boulevard que le gouverner a réalisé. Il s’ajoute maintenant la réhabilitation de nos routes dès la deuxième rue jusqu’à la 17e rue. C’est une chose à encourager et nous profitons de cette occasion pour pouvoir demander au gouvernement centrale de pouvoir appuyer l’Hôtel de ville afin de concrétiser cette vision sur toutes l’étendue de la capitale” a dit un des habitants de ce quartier.
Et de préciser que la population kinoise de la commune de Limeté a fait appel au gouvernement provincial de pouvoir achever les travaux déjà débutés, c’est-à-dire réhabiliter la 18e et 1er rue Dilandos qui restent dans un état différent par rapport aux restes routes de ce quartier industriel
Jean-Luc Lukanda
Insalubrité à Kinshasa : Un défi pour la population et le gouvernement provincial
La ville de Kinshasa continue à présenter une physionomie humiliante du fait de l’insalubrité qui bat son plein dans plusieurs quartiers. En dépit de l’opération dénommée ‹‹Kin Bopeto›› lancée par le gouverneur Gentiny Ngobila pour assainir l’environnement et revenir à son ancienne appellation de Kin-la-belle. Rien ne se fait…
Notre rédaction a effectué une ronde dans plusieurs coins de la ville et dans quelques marchés, notamment aux alentours de l’Hôtel de Ville où s’amoncellent des déchets de tout genre qui finissent par envahir la chaussée.
A qui revient la responsabilité de lui rendre son bel aspect d’autrefois ? La population rejette la responsabilité à l’autorité urbaine et qualifie d’échec total cette opération ‹‹ Kin Bopeto›› censée lui redonner un tout autre visage.
Ici et là, on évoque l’absence d’une vision claire et des experts environnementaux arguant que c’est un simple slogan dépourvu de contenu véritable pour faire du populisme afin de faire main basse sur l’argent pour l’intérêt égoïste et mesquin d’un conglomérat d’individus tapis dans l’ombre.
Cette responsabilité, selon une certaine opinion, est attribuée plus au gouvernement provincial de Kinshasa qui est habilité à en assurer le suivi régulier, en disposant des matériels didactiques et mettre en place les poubelles publiques.
Mais aussi à la population qui devrait apprendre à gérer les déchets pour éviter l’agression qui est faite à l’environnement.
Kin Bopeto ou Kin Bosoto ?
L’inconscience conduit certains résidents de la capitale à balancer leurs résidus dans les caniveaux, des cours d’eau et autres axes routiers. Non sans conséquence. Les inondations avec, à la clé, des pertes en vies humaines et la détérioration des biens matériels.
Il reste au gouvernement provincial à prendre des dispositions urgentes pour sauver la face et à la population de reprendre conscience pour adopter de bonnes habitudes
Jean-Luc Lukanda