La domination du Sénégal brille dans le Meilleur XI de la CAN U17 de TotalEnergies

Quatre joueurs de l’équipe victorieuse du Sénégal se sont qualifiés pour le meilleur XI de la Coupe d’Afrique des Nations U17 TotalEnergies 2023, comme l’a révélé le Groupe d’Etudes Techniques (TSG) de la compétition en Algérie.

Avec une impressionnante victoire 2-1 sur le Maroc en finale vendredi, les Teranga Cubs ont émergé comme les champions du tournoi et plusieurs individus se sont démarqués par leurs performances exceptionnelles.

Le meilleur XI de la compétition, dévoilé par le TSG, met en lumière le talent de l’équipe de l’entraîneur Serigne Saliou Dia, puisque quatre joueurs sénégalais ont mérité leur place bien méritée dans cette prestigieuse formation.

Dans les buts, Serigne Diouf a fait preuve d’un talent exceptionnel, ne concédant que deux buts tout au long du tournoi. Un autre joueur remarquable, également nommé Serigne Diouf, commandait la défense centrale avec autorité.

Abdou Aziz Fall, le maestro du milieu de terrain, a conservé sa place au centre du terrain, tandis qu’Amara Diouf, meilleur buteur du tournoi avec cinq buts, a assuré sa place dans la ligne d’attaque.

Le Burkina Faso, troisième de la compétition, a également une forte présence dans le Best XI avec trois joueurs.

Lacina Traoré, arrière gauche, a démontré ses prouesses défensives, tandis que le milieu de terrain Rachid Ouedraogo a contribué de manière significative à la performance de l’équipe. Souleymane Alio, nommé meilleur joueur du tournoi, a joué un rôle crucial en tant qu’attaquant.

La formidable formation est complétée par le Nigérian Yahaya Lawali, qui a excellé en tant qu’arrière droit, ainsi que les joueurs maliens Sekou Kone et Mamadou Doumbia, tous deux exceptionnels dans leurs positions respectives de milieu de terrain et d’attaquant.

Hamid Eid du Maroc complète le Best XI.




Meilleures performances des nations africaines en Coupe du Monde U-20

Des prouesses du Nigeria en 1989 au triomphe du Ghana en 2009, en passant par les performances du Sénégal et du Mali en 2015, voici les plus grands exploits des pays africains lors de la Coupe du Monde U-20 de la FIFA.

Au cours des 22 dernières éditions, l’Afrique a été présente dans le dernier carré de ce tournoi à huit reprises.

La Coupe du Monde U-20 2023 se déroule du 20 mai au 11 juin

Le Sénégal, la Gambie, le Nigéria et la Tunisie sont les représentants du continent africain.

La Coupe du Monde U-20 de la FIFA™ est une compétition où les équipes africaines brillent habituellement. Ce tournoi a en effet vu émerger de grands talents africains sur la scène internationale, tels qu’André Ayew, Seydou Keita ou Mahamadou Diarra qui ont tous laissé une marque indélébile dans l’histoire de cette compétition.

Voici quelques-unes des meilleures performances des pays africains dans la compétition.

1985 : le Nigeria dans les quatre derniers, une première pour l’Afrique

Les Flying Eagles ont fait leur marque lors de leur premier match contre le Canada. Quatorze secondes ont suffi à Odiaka lundi pour marquer le but le plus rapide de l’histoire de la Coupe du Monde U-20 (appelée le Championnat du Monde Jeunes à l’époque), un record qui sera battu par le Sénégalais Amadou Sagna 34 ans plus tard. Dans cette édition, les coéquipiers de Siasia ont remporté la médaille de bronze, grâce à une victoire aux tirs au but contre l’Union soviétique.

1989: Le Miracle de Dammam, les Flying Eagles en finale

En Arabie saoudite, le Nigeria avait de grandes ambitions. À Dammam, en quarts de finale, alors que les Nigérians menaient 4-0 par l’Union soviétique, les coéquipiers d’Ohen ont inversé la tendance : « Je me souviens de chaque minute de ce match. Je me souviens de chaque minute de ce match. Nous avons fait un véritable exploit en marquant quatre buts en 15 minutes », a déclaré Tunde Disu dans une entrevue avec The Nation.

Avec le score égal à 4-4 à la fin du temps réglementaire, le Nigeria et les Soviétiques sont allés aux tirs au but. Les Africains de l’Ouest les plus industrieux se sont qualifiés pour les demi-finales, où ils ont battu les États-Unis. En finale, les protégés de Disu ont rencontré le Portugal, où ils se sont inclinés 2-0.

1993 : Le Ghana suit les traces du Nigéria

Quatre ans après le Nigeria, le Ghana était en finale d’un Mondial U-20. Les Ghanéens ont eu un parcours sans faute jusqu’à la finale. Contre le Brésil, Duah a marqué à la 15e minute, l’équipe était sur le point de créer un exploit. Cependant, les coéquipiers d’Ahinful ont craqué en l’espace de huit minutes (buts de Yan à la 50e et de Gian à la 58e) et ont laissé filer la victoire.

1999 : Mahamadou Diarra et Seydou Keita mettent le Mali sur le podium

Un duo malien devait briller lors de cette édition du Championnat du Monde Jeunes : Mahamadou Diarra et Seydou Keita. Grâce à leurs deux milieux de terrain, les Maliens ont fait un parcours exceptionnel : ils terminent en tête de leur groupe, éliminent le Cameroun (victoire 5-4 après prolongation) en huitièmes de finale et le Nigeria en quart (victoire 16-3), avant de s’incliner face à l’Espagne de Xavi, 1-3 en demi-finale. Les Africains ont été consolés par la médaille de bronze grâce à leur victoire 1-1 contre l’Uruguay. Dans le même temps, Keita a remporté le Ballon d’or adidas.

2001 : Deux nations africaines sur le podium

Les Black Satellites, dirigés par Michael Essien, ont fait des ravages. Ils terminent premiers de leur groupe devant la France. Les Ghanéens ont réussi à éliminer le Brésil 2-1 avant d’affronter les Egyptiens dans le dernier carré de la compétition. Les Nord-Africains ont également connu un bon parcours, les coéquipiers de Mohamed El Yamini ayant battu les Pays-Bas.

2005 : le Nigeria en finale à nouveau, le Maroc termine quatrième

Seize ans plus tard, les Flying Eagles sont de nouveau en finale. Le rêve des Nigérians d’être couronnés a été très vite détruit par l’Argentine et leur meneur de jeu : Lionel Messi. La Pulga a marqué deux buts depuis le point de penalty et l’Albiceleste, victorieuse 2-1, a remporté son cinquième titre mondial. Les Nigérians John Obi Mikel et Taye Taiwo ont reçu le Ballon adidas d’argent et de bronze. Le Maroc, demi-finaliste, a été battu 2-1 par le Brésil dans le match pour la troisième place.

2009 : le Ghana enfin couronné

La troisième fois était le bon moment pour le Ghana. Les Ghanéens ont pris la tête de leur groupe et ont surtout été très prolifiques lors des matches cut-off (9 buts marqués pour 4 encaissés). Confiant, le groupe d’André Ayew est arrivé en finale face au Brésil. Après le temps réglementaire et les prolongations (0-0), les deux équipes ont eu une séance de pénalité. Avec 4 tirs réussis contre 3, le Ghana a exulté devant les Brésiliens. L’attaquant Adiyiah a été couronné double Ballon d’or adidas et Soulier d’or adidas grâce à ses huit buts marqués.

2015 : Mali comme en 1999

Le Mali et le Sénégal ont tous deux été tirés au sort en tant que meilleures troisièmes équipes de leur poule. Les Eaglets et les Cubs de Teranga, battus respectivement par le Brésil (5-0) et la Serbie (2-1 a.p.) en demi-finale, se sont affrontés pour la médaille de bronze. Vainqueur 3-1, le Mali réitère son exploit de 1999 et complète le podium de cette édition. Adama Traoré était le Ballon d’Or adidas




Lazio Cup : Deux succès, les Académiciens en quarts

L’équipe du TPM à travers son centre de formation, la Katumbi Football Academy, s’est qualifiée pour les quarts de finale de la 15e édition de la Lazio Cup. Une défaite et deux victoires, c’est le bilan à l’issue de la phase de groupes.

Les Académiciens ont enchaîné leur deuxième victoire de suite après l’échec initial (2-0). La première revanche est prise sur l’équipe de Latina, dans la matinée du mercredi 17 mai, LIANZA et MOSINDO permettent aux Académiciens de s’imposer 2-1. Ce jeudi 18 mai lors de la 3ème journée du groupe B, Ancona Calcio est tombé 0-2 grâce aux réalisations de KAZADI et KAPOLOBWE.

Ces deux succès voient les Académiciens, conduits par Jean-Claude LOBOKO, engranger 6 précieux points et se qualifier pour les quarts de finale de la Lazio Cup. Et comme ça s’enchaîne avec un match chaque 24 heures, déjà ce vendredi 19 mai à 9h00 GMT (11h00 heure italienne), le quart de finale entre le TPM et la sélection ukrainienne regroupée au sein de l’équipe du FC Ruh Lviv.




Drame de Kalehe: Le sénateur Stéphane Miruho assiste les victimes en et plaide pour l’érection d’un mausolée 

C’est après sa dernière sortie médiatique dans le but de compatir avec les populations de Bushushu et Nyamukubi en territoire de Kalehe au Sud-Kivu, victimes des inondations dues aux pluies diluviennes du 04 Mai dernier, que le sénateur Stéphane Miruho Mugorozi a préféré vivre de ses propres yeux le degré de souffrance que traverse ses compatriotes, victime de cette catastrophe naturelle. Aux premières heures de la matinée du début de week end dernier, le parlementaire congolais, accompagné de son équipe, traverse les eaux du majestueux Lac Kivu à destination de Kalehe pour palper du doigt réel les réalités de ce drame.

Aussitôt arrivé, le sénateur Stéphane Miruho a présenté ses condoléances les plus attristées à toute la population de la place venue en liece pour lui réserver un accueil digne de son rang ainsi que pour écouter son message de compassion et de réconfort moral. Devant cette foule, l’élu du Sud-Kivu à la chambre haute du parlement a rendu hommage au président de la République, Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui n’est pas resté insensible à cette catastrophe qui a englouti des milliers des congolais du territoire de Kalehe lui poussant ainsi de décréter une journée de deuil en date du 08 Mai dernier puis déclaré plus tard Kalehe comme zone sinistrée en mémoire de nombreuse victime et cela en guise d’une solidarité nationale.

Par la même occasion, le sénateur Miruho n’a pas hésité à remercier Fifi Masuka Saini, Gouverneure de la province de Lualaba qui n’a pas lésiné sur les moyens pour venir en aide pour sa contribution à la population sinistrée de Kalehe avant d’appeler d’autres congolais et autres personnes éprises d’amour et du patriotisme d’emboiter les pas à des milliers d’autres assistances en faveur des victimes.

Du plaidoyer à l’aide humanitaire

Au cours de ce bref séjour dans le territoire de Kalehe au Sud-Kivu, le sénateur Stéphane Miruho Mugorozi a fait savoir aux familles victime de ce drame venue à son écoute que plusieurs démarches seront entreprises et des plaidoyers seront menés tant au niveau national qu’international. L’élu du Sud-Kivu a lancé un appel pathétique au ministre Guy Loando de l’Aménagement du territoire pour qu’il s’implique personnellement dans la concrétisation du plan de délocalisation des familles qui vivent dans les zones à haut risque afin d’éviter des catastrophes du genre avant de plaider pour l’érection d’un mausolée en mémoire des victimes.

Occasion faisant le larron, le sénateur Stéphane Miruho a par solidarité aux siens remis un lot important de non vivres composés essentiellement de 4.000 pagnes, 15 ballons de friperies pour enfants et un lot important de matelas destiné au comité de crise mis sur pied pour remettre aux hôpitaux qui accueillent les malades et blessés de ce drame de kalehe qui a fait plusieurs victimes.

Pour rappel, dans la nuit du 03 au 04 Mai dernier des fortes pluies diluviennes avaient causées des inondations créant ainsi plus de 600 morts et plus 5000 personnes portées disparues et qui demeurent sous les décombres, en dehors d’énormes dégâts matériels. Encore une fois paix aux âmes des illustres disparues

Marty Dacruz Olemba/Rtga-Goma




Sommet arabe appelle à tirer profit de la Fondation Mohammed VI des oulémas africains et de l’Institut Mohammed VI pour la formation des imams, mourchidines et mourchidates

Les dirigeants arabes ont appelé, vendredi à Djeddah, à l’issue des travaux du 32ème Sommet arabe, à continuer à tirer profit de l’expérience de la Fondation Mohammed VI des oulémas africains et de l’Institut Mohammed VI pour la formation des imams, mourchidines et mourchidates au Royaume du Maroc.

Le Sommet s’est félicité également de l’accueil par le Royaume du Maroc du Programme des Nations Unies contre le terrorisme et du Bureau de formation en Afrique.

Concernant les relations entre les pays arabes et l’Iran, le Sommet a souligné la nécessité que ces relations soient fondées sur le bon voisinage, la non-ingérence dans les affaires intérieures des pays arabes et l’arrêt du soutien et du financement des milices et des partis armés dans les pays arabes.

Le Sommet a aussi fermement condamné le lancement de drones, de missiles balistiques et d’autres types de missiles, ainsi que la menace à la sécurité nationale arabe.

Les ministres des Affaires étrangères du Maroc, d’Égypte, d’Arabie saoudite, de Bahreïn et de Jordanie avaient tenu une rencontre en marge des réunions préparatoires du Sommet arabe de Djeddah, pour discuter des questions régionales et des développements internationaux, y compris l’accord entre le Royaume d’Arabie saoudite et l’Iran conclu en mars dernier.

Ils ont, à cet égard, convenu de poursuivre les consultations de manière à garantir une coordination conjointe prenant en compte les intérêts communs suprêmes.

fr.l

e360.ma




Kasaï : Des maisons et églises détruites par une pluie accompagnée d’un vent fort

Plusieurs maisons détruites par une pluie diluvienne dans la commune rurale de Luebo, le samedi 20 mai 2023. C’est le député provincial Olivier Tombe Tombe et leader du coin qui livre cette information à la presse ce dimanche. L’élu du peuple sollicite une implication rapide du gouvernement provincial pour apporter une aide humanitaire à plusieurs victimes sans abris ni nourritures depuis le samedi.

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Cette situation a touché plusieurs foyers. Il est difficile de voir les croyants prier dans une église ou la toiture et totalement emportée. Les familles avec les enfants à l’âge scolaire sont dans des conditions invivables, car sans logement et nourriture. Les écoles qui ont perdu leurs toitures ou les salles de classe ne vont pas bien recevoir les élèves. « Voilà pourquoi j’estime que le gouvernement provincial est dans une obligation de faire quelque chose dans toute urgence », insiste le député provincial Olivier Tombe Tombe, l’élu de la circonscription électorale de Luebo.

Dans un message radio, la Nouvelle société civile congolaise (NSCC), coordination de Luebo appuie cette information, ajoute que 5 enfants et une femme sont grièvement blessés et seraient hospitalisés dans une structure sanitaire du coin sans aucun appui.

« Cette pluie accompagnée d’un vent violent a causé des dégâts énormes. Nous avons dénombré 60 maisons détruites, 5 enfants dont 3 garçons et 2 filles ainsi qu’une femme grièvement blessés », a déclaré Georges Katumba, coordonnateur de cette Ong non gouvernementale dans le territoire de Luebo aujourd’hui déchiré par les ravins.

Il est à noter que la société civile locale sollicite une aide humanitaire d’urgence auprès du gouvernement provincial en faveur des sinistrés. Parmi les maisons détruites, le député provincial Olivier Tombe parle des écoles, d’une église Kimbanguiste et des maisons commerciales. Outre la destruction des maisons, on note aussi les toitures emportées et murs écroulés.

Dans son message au gouvernement provincial du Kasaï, le député provincial Olivier Tombe Tombe estime que l’aide du gouvernement doit intervenir dans toute urgence, vu les dégâts causés et que les sinistrés sont depuis samedi dans de très mauvaises conditions de vie.

” Je pense que le gouvernement provincial doit vite intervenir, car les dégâts sont tellement énorme et que les victimes vive dans les conditions invivables ( inhumaines) grave avec les enfants et bébés de quelques jours seulement », note l’élu du peuple, avant d’ajouter que Luebo dans son ensemble est parmi les territoires de la RDC le plus touché par la détérioration du tissu environnementale et que le reste des maisons et édifices devrait être obligatoirement protégé.

Ce territoire est distant de plus au moins 245 kilomètres au nord-est du centre-ville de Tshikapa.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville

Kasaï : Bosco Gregoire Tshitenge et le député provincial Hubert Ngulandioko adhèrent dans le DTC de Théo Kazadi

 

 

Désormais, le professeur d’université Bosco Tshitenge et le député provincial Hubert Ngulandioko sont officiellement dans le parti politique Dynamique pour la transformation du Congo (DTC) de Théo Kazadi Muayila.

La signature de leurs fiches d’adhésion est intervenue ce vendredi 19 mai 2023 devant le président inter fédéral de la DTC Kasaï à Tshikapa Aaron Ntumba, secondé de quelques membres du bureau politique tels que Hubert Mbigho, le docteur Florimond Tshioko, Joseph Kakotshi et le président urbain Emil Prince Longi outre une foule immense venue assister à la cérémonie.

« J’ai pris cette décision pendant la journée pour éviter les malentendus. J’accompagne la vision du chef de l’État à travers le combat que mène l’honorable Théo Kazadi Muayila, qui est celui de rapprocher la population à l’objectif et d’ailleurs le DTC est un parti plus proche du pouvoir et son président et parmi les acteurs clés de l’Union sacrée dans le pays. Voilà pourquoi ma décision de servir le chef de l’Etat n’avait qu’un seul moyen, mon adhésion dans le parti d’un politique et député non conflictuel, mais surtout très actif au niveau national ».

« La dynamique pour la Transformation du Congo est un parti proche du pouvoir et son autorité morale est un élément majeur de l’Union Sacrée de la nation, voilà ce qui me pousse ce jour à adhérer au parti politique de la transformation », a-t-il ajouté.

L’homme a promis de tout faire pour installer dans les coins et recoins du territoire de Luebo le parti DTC dans un bref délai0

Le député provincial Hubert Ngulandjoko a aussi officiellement adhéré dans le parti politique DTC de Théo Kazadi Muayila le même jour, tournant ainsi le dos au PPRD de Joseph Kabila.

Dans un bref message, l’un des meilleurs députés provinciaux du Kasaï confirme avoir fait un très bon choix avec un parti non seulement très proche du pouvoir, mais aussi avec une vision du développement et d’accompagnement des actions du chef de l’Etat. Suis dans le Dtc pour qu’ensemble nous puissions transformer les choses, a déclaré l’élu de la circonscription électorale d’Ilebo.

Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa ville




Ce samedi à Kinshasa : Dieudonné Kamuleta clôture les travaux du 1er colloque international sur la justice constitutionnelle et le contentieux électoral

Organisée pendant 3 jours à Kinshasa, soit 18 au 20 mai 2023, la première édition du colloque international sur la justice constitutionnelle et le contentieux électoral a fermé ses portes sur une note de satisfaction totale. Organisé par la Cour Constitutionnelle de la RDC sous le haut patronage du président de la République, ces assises qui avaient réuni quelques personnalités de renommée internationale spécialistes en droit constitutionnel du monde francophone, avaient pour but de réfléchir et de partager les expériences sur la justice constitutionnelle. Plusieurs sujets pertinents auxquels font face les juges constitutionnels ainsi que leurs institutions respectives ont été abordés pendant ces assises qui étaient réparties en 5 panels, une première expérience qui s’inscrit dans les annales de l’histoire de la justice congolaise.

En ce dernier jour, l’honneur a été accordé au doyen Babacar Kante, l’ancien président de la Cour constitutionnelle du Sénégal pour une synthèse globale de toute les réflexions et débats qui ont été engagés dans ces assises de haut niveau pour circonscrire sur la thématique si importante abordée ici pendant 3 jours sans relâche.

Prenant la parole, Babacar Kante a d’abord touché et énuméré les faiblesses et les difficultés que font face les juges constitutionnels devant les situations qu’ils rencontrent et aussi aux réponses qu’on attend d’eux surtout devant les cas hors contextes comme c’est le cas dans beaucoup de pays aujourd’hui à travers le monde et spécifiquement en Afrique et surtout sur la contribution des juridictions constitutionnelle dans le droit de l’homme et a l’état de droit.

Ce spécialiste du droit constitutionnel a axé son exposé autour de ces 3 mots majeurs qui ont été au cœur de ce débat à savoir : la nécessité, les difficultés et les opportunités. Pour le professeur Babacar Kante, ” il y a nécessité de renforcement d’une revitalisation dans les juridictions constitutionnelles pour faire face à l’obligation de consolider l’état de droit et la démocratie. Malgré les difficultés que font face les juges dans leurs missions régaliennes, ils doivent toujours profiter de toutes les opportunités qui existent pour arriver à atteindre leurs objectifs”, a-t-il souligné, avant de remercier vivement le président de la Cour constitutionnelle congolaise pour cette opportunité lui offerte d’être parmi les éminents intervenants de ce colloque international.

Tout est bien qui finit bien. Dans son mot de clôture, le président de la Cour constitutionnelle et du Conseil supérieur de la magistrature, Dieudonné Kamuleta a saisi la balle au bond pour premièrement remercier le président de la République Félix Antoine Tshisekedi qui a rendu possible ces assises et tous les partenaires qui s’étaient impliqués pour sa réussite.

Dieudonné Kamuleta a également félicité tous les intervenants pour leurs contributions pertinentes. Comme président de ce colloque, Dieudonné Kamuleta “, a souligné que ces travaux étaient à la hauteur des attentes initiale, riche dans leurs contenus, précis dans leurs diagnostics, imprégné de la diversité et très fécond”.

A noter que parmi les éminents intervenants dans ce colloque international qui sont venus de plus des 10 pays à travers le monde, la crème congolaise était aussi représentée par les éminents professeurs Tumba Lubua, Jacques Ndjoli et André Mbata qui ont également apporté leurs contributions remarquables à ce débat de haut niveau sur la marche des juridictions constitutionnelles.

Osée Kalombo




29ème lettre sociale congolaise : « Nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur général du travail » est-ce une astuce clientéliste politique et gangtériste administrative pour la gestion et la protection des intérêts mesquins ?

Chères lectrices, chers lecteurs,

1. Le département ministériel, voire, le ministère est une chaine institutionnelle qui produit, dans le cadre de ses activités, des écrits documentaires notamment les arrêtés ministériels et autres genres d’écrits administratifs. Dans la production de ses écrits, le ministère est tenu au respect strict du principe sacro-saint de la hiérarchie document afin de conférer un caractère rationnel à ses actes.
2. Sur ce, pour la nomination d’un Inspecteur Général du Travail, la prescription est faite par la constitution congolaise du 18 février 2006, la loi n°16/013 du 15 juillet 2016 portant statut des agents de carrière des services publics de l’Etat et le décret n°12/002 du 19 janvier 2012 portant création et organisation d’un service public dénommé Inspection Générale du Travail.la présente lettre sociale congolaise analyse, à la lumière de la bibliologie, l’arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du15/05/2023 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail au sein d’un Service Public de l’Etat dénommé Inspection Générale du Travail.
3. D’emblée, je me dois de préciser qu’à l’état actuel de ma connaissance en anthropologie des écrits documentaires de l’administration publique congolaise, il n’existe pas de concept « nomination à titre intérimaire ». Par conséquent, j’affirme avec Odilon Gamela Nginu (2015) que la nomination et l’intérim sont des problèmes structurels du point de vue managérial.
4. La nomination est l’action de nommer, c’est à dire choisir une personne pour remplir une fonction. Ainsi, la nomination d’un Inspecteur Général du Travail en tant qu’Haut Fonctionnaire de l’Administration Publique est de la compétence exclusive du Président de la République selon l’article 81 alinéas 4 de la Constitution Congolaise du 18 février 2006.
Cette précision de nomination d’un Inspecteur Général du Travail par le Président de la République est aussi corroborée par le décret n°12/002 du 19 janvier 2012 portant création et organisation d’un Service Public dénommé Inspection Générale du Travail, « IGT » en sigle. Ce décret stipule en son article 7 : « L’inspection est dirigée par un Inspecteur Général assisté d’un ou deux Inspecteurs Généraux Adjoints. L’Inspecteur Général et l’Inspecteur Général Adjoint sont nommés, relevés, et le cas échéant, révoqués de leurs fonctions par le Président de la République, sur proposition du Gouvernement délibérée en Conseil des Ministres ». Ces prescriptions documentaires montrent le prix que les pouvoirs législatif et exécutif congolais attachent à la mission de l’Inspection Générale du Travail pour la régulation du travail. La mission de l’Inspection du Travail est prescrite par l’article 187 de la loi n°15/010 du 15 juillet 2016 modifiant et complétant la loi n°015-2002 portant code du travail.
5. L’intérim est l’intervalle de temps pendant lequel une fonction vacante est exercée par une autre personne que le titulaire. Dans l’administration publique congolaise, l’ordonnance n°82-029 du 19 mars 1982 portant règlement d’administration relatif à la carrière du personnel des services publics de l’Etat stipule en son article 6 : « en application de l’article 20 du statut, le choix de l’agent intérimaire se fera parmi les agents appartenant au même
Département et revêtus du grade immédiatement inférieur à celui qui correspond à l’emploi vacant, en tenant compte des exigences particulières de l’emploi à conférer à des titres et mérites respectifs des agents, reflétés notamment par les bulletins de cotation ». Le décret n°12/002 ci-haut cité stipule en son article 19 : « (…) En cas d’absence ou empêchement, l’intérim de l’Inspecteur Général est assuré par l’Inspecteur Général Adjoint. En cas d’indisponibilité de ces derniers, le Ministre ayant l’Emploi, le Travail et la Prévoyance sociale dans ses attributions désigne un Inspecteur du Travail parmi les Directeurs, pour assurer l’intérim ». Il est à noter que les Directeurs dont il est question pour assumer l’Intérim de l’Inspecteur Général du Travail sont les Directeurs Centraux, car, cet article 19 susmentionné a déjà fait la différence entre les Directeurs Centraux et Provinciaux. Il s’agit donc des Directeurs de 7 Directions de l’Administration Centrale de l’Inspection Générale du Travail.
6. Cependant, l’arrêté ministériel n° CAB/MIN/EPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du 15/05/2023 semble énerver toutes les prescriptions documentaires susmentionnées. Car, l’intérim de l’Inspecteur Général du Travail devrait être assumé par l’un de deux Inspecteurs Généraux Adjoints du Travail, en l’occurrence celui chargé du Travail. A défaut de l’un d’eux un des Directeurs de 7 Directions. Cet arrêté stipule en son article 1er : « Est nommé à titre intérimaire aux fonctions en regard de son nom, l’agent dont le nom et matricule ci-dessous :
Monsieur : MBOMA MUYUKU Jean Paul
Matricule : 7 26180
Grade : Secrétaire Général
Fonction : Inspecteur Général du Travail, Chef de Service.
Il est difficile de savoir, en lisant cet article 1er, qu’il s’agit d’un intérimaire, car, ni le grade statutaire de l’intérimaire ni la Direction de provenance de ce dernier ne sont pas mentionnés.
7. En attribuant à l’Inspecteur Général du Travail nommé à titre intérimaire le grade de Secrétaire Général alors qu’il n’était que « Directeur », l’article 1er de cet arrêté ministériel a violé la loi n°16/013 du 15 juillet 2016 portant statut des agents de carrière des services publics de l’Etat dispose en son article 74 : « les promotions aux grades de la catégorie A sont accordées par le Président de la République sur proposition du gouvernement(…) ». C’est ici qu’il convient de préciser que l’inspecteur Général du Travail qui a rang de Secrétaire Général est celui qui est nommé par le Président de la République.
8. Nous sommes dans un contexte de l’absence ou empêchement de l’Inspecteur Général du Travail causé(e) par sa mise à la retraite de l’Inspecteur Général du Travail. La mise à la retraite a créé un besoin de nomination d’un Inspecteur Général du Travail par le Président de la République ou la désignation d’un intérimaire par la titulaire retraitée ou le Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale en cas d’indisponibilité de l’Intérimaire naturel. Pour appuyer ma thèse rationnelle que je défends, je reviens encore avec la loi n°16/013 ci-haut citée qui dispose en son article 20 : « (…) Toutefois, lorsqu’un emploi de catégorie A et B est déclaré vacant, un agent du grade immédiatement inferieur par rapport au titulaire est désigné pour assumer l’intérim. (…) ».
9. La remise en question de l’arrêté ministériel CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du 15/05/2023 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail a permis de comprendre que ce dernier est dénué de tout fondement juridico-rationnel. Car, il a été produit en violation du principe sacro-saint de la hiérarchie documentaire. Il n’est conforme ni à la constitution ni à la loin°16/013 ci-haut citée ni au décret n°12/002 du 19 janvier 2012 portant création et organisation d’un Service Public dénommé Inspection Générale du Travail, « IGT » en sigle. Pourtant tous ces écrits documentaires sont cités pour le maquillage administratif dans la soi-disant motivation de cet arrêté ministériel.
10. Il me semble alors que la jonction « nommé » et « à titre intérimaire » est donc une astuce clientéliste politique et gangsteriste administrative pour la protection et la gestion des intérêts mesquins. Je ne pense pas que ce soit pour l’efficacité que le nommé -intérimaire est parti de l’Inspection Provinciale du Travail de Kinshasa pour l’Inspection Générale du Travail. Comme conséquence de cette astuce gangsteriste, l’Inspecteur General du Travail vient d’être nommé à titre intérimaire et l’Inspecteur Général Adjoint nommé à titre intérimaire en 2018 sont tous ressortissants d’une même province.
11. Il y a quelques mois les travailleurs de Pain Victoire pour ne citer que ces derniers, à Kinshasa, sont descendus au siège de l’Inspection Provinciale du Travail de Kinshasapour dénoncer la résignation, de l’Inspection Provinciale du Travail de Kinshasa, à la violation systématique des lois de la République par les responsables de cette entreprise. A cette époque, c’était l’actuel Inspecteur Général nommé à titre intérimaire qui présidait à la destinée de l’Inspection Provinciale de Kinshasa.
12. Je me refuse de citer nommément et individuellement les travailleurs du ressort de Kinshasa que j’ai vus être licenciés abusivement et arbitrairement sans qu’il ne s’émeuve aucune réaction protectrice de la part de l’actuel Inspecteur Général du Travail nommé intérimaire alors qu’il était Directeur de l’Inspection Provinciale de Kinshasa.
13. L’analyse diachronique de cet arrêté ministériel révèle qu’il est une expression de la résignation à la rupture et au changement des mentalités. Il est évoqué dans sa motivation l’arrêté ministériel n° 034/CAB/MINETAT/METPS/FBM/2018 du 30 mars 2018 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail et deux Inspecteurs Généraux Adjoints au sein d’un Service Public de l’Etat dénommé Inspection Générale du Travail.
14. L’arrêté ministériel n° 034/CAB/MINETAT/METPS/FBM/2018 du 30 mars 2018 est une preuve irréfutable de l’existence, à l’Inspection Générale du Travail, d’une procédure atypique d’accès aux fonctions et grades de la catégorie A, fonction et grade dont la nomination et la promotion relèvent de la compétence du Président de la République, le Chef de l’Exécutif Congolais.
15. Pour la protection des travailleurs congolais, la position du Président de la République est clairement présentée dans le compte –rendu de la 1ère réunion extraordinaire du conseil des ministres du 13 septembre 2019 énonce au point 7.3 : « Le Chef de l’Etat a indiqué sa détermination à ne plus voir les congolais être malmenés sur les lieux de travail par des employeurs véreux ».
16. Mais, l’absence d’un Inspecteur Général et des Inspecteurs Généraux Adjoints du Travail nommés par le Président de la République a fait cruellement défaut à l’Inspection Congolaise du Travail. Car, l’Inspecteur Général et les Inspecteurs Généraux Adjoints du Travail nommés-intérimaires n’ont continué qu’à faire la volonté de celles et ceux qui leur avaient donné le pouvoir par la créativité destructive de nomination à titre intérimaire. La vérité est qu’après l’Inspecteur Général du Travail Honoraire Mukadi Bamwanya Vincent à qui j’ai rendu un vibrant hommage par ma 7ème lettre sociale congolaise, l’Inspection Générale du Travail n’a été qu’une caisse de résonance du Cabinet Politique du Ministère de l’Emploi, Travail et prévoyance sociale avec toutes les conséquences que cela comporte.
17. Ainsi, je prie Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, de nommer un Inspecteur Général et deux Inspecteurs Généraux Adjoints du Travail à l’Inspection Générale du Travail. Je demande à Monsieur le Vice Premier en charge de la Fonction Publique d’agir de manière indicative pour que les promotions et grades de Catégorie A s’obtiennent, à l’Inspection Générale du Travail, conformément aux prescriptions statutaires. Je demande à Madame la Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance sociale de contrôler le pouvoir technocratique de certains membres de sa structure technocratique.
18. J’ai fait ma part. Si vous êtes intéressés par cette lettre sociale congolaise, rejoignez la coupe pleine au numéro + 243 994 994 872 pour appel normal, whatsApp ou twiter et à l’e-mail jsphngandu@gmail.com pour la suite.
Fait à Kinshasa, le 21 mai 2023
Jean Joseph NGANDU NKONGOLO
Anthropobibliologue, Formateur Psycho SocioProfessionnel,
Spécialiste, Expert et Chercheur en Anthropobibliologie du Travail




Actes de vandalisme et non-respect de l’itinéraire : Ngobila traine Fayulu, Katumbi, Matata et Sesanga en justice

A la suite des manifestations organisées ce jour par diverses formations Politiques, Exécutif Provincial de la Ville de Kinshasa a amèrement constaté dans le chef des partis de l’Opposition, essentiellement composés de PECIDE, LGD, Ensemble pour la République et Envol, il a été constaté une violation flagrante des orientations données à l’issue de la réunion d’harmonisation tenue entre l’Hôtel de Ville de Kinshasa et les Secrétaires Généraux mandatés en date du 18 Mai 2023 et ce, en vue de préserver l’ordre public.

Ainsi, plusieurs actes de vandalisme des services publics, notamment des Commissariats de Police et bureaux de quartiers ont été posés dans la Commune de Ngaba par des militants identifiés Ecide et Ensemble.

Par ailleurs, tout en condamnant quelques dérapages commis par certains policiers, il sied de noter que la Police Nationale Congolaise/Ville de Kinshasa s’est déployée pour préserver la paix et l’ordre public dans la Capitale.

Face au non-respect des indications sécuritaires émanant de la réunion d’harmonisation ci-haut indiquée, notamment dans le non-respect de l’itinéraire librement choisi à travers leur correspondance et considérant les actes délictueux commis par les militants mobilisés, une plainte sera déposée dès ce lundi 22 Mai 2023 à charge des organisateurs pour faire valoir ce que de droit.




EPST : « Le Gouvernement a effectivement engagé et liquidé la paie complémentaire du mois d’avril 2023, en procédure d’urgence »

Subsidiairement au mot d’ordre d’arrêt de travail décidé au cours de son Assemblée Générale Extraordinaire du jeudi 18 mai 2023, l’Intersyndicale des Syndicats des Enseignants de l’EPST a tenu une Assemblée Générale Extraordinaire ce samedi 20 mai 2023 en vue de faire un monitoring de la situation.

48 heures après de l’annonce de ce mot d’ordre, l’Intersyndicale de l’EPST est heureuse d’annoncer à tous ses membres des avancées significatives, à savoir le Gouvernement de la République a effectivement engagé et liquidé la Paie Complémentaire du mois d’Avril 2023, en procédure d’urgence; Les dossiers relatifs à la Prime pour Fonction Spéciale accordé aux Inspecteurs sont également liquides par la même procédure.

De ce qui précède, l’Intersyndicale de l’EPST décide de la suspension du mot d’ordre syndicale d’Arrêt du Travail, annoncé pour ce lundi 22 mai 2023 et demande aux Enseignants et Personnel œuvrant à l’EPST de vaquer librement à leurs occupations. Ainsi, invitons tous les Parents d’envoyer leurs enfants à l’école.

Par ailleurs, l’Intersyndicale de l’EPST invite le Gouvernement de la République d’activer le mécanisme de la Paie effective des Enseignants, Agent et Cadre des Services Centraux dès ce lundi 22 mai 2023.