Echéance fiscale d’avril 2023 : Tshisekedi fustige le faible taux de déclaration de l’Impôt sur le bénéfice et profit

Dans le but de renforcer la mobilisation des recettes publiques, le Président de la République a demandé à tous les membres du Gouvernement de ne ménager aucun effort pour prendre les mesures nécessaires susceptibles d’accroitre la mobilisation des recettes de l’exercice en cours.

Des informations en sa possession, il s’est observé dans le chef des assujettis, un faible taux de déclaration, lors de l’échéance fiscale du mois d’avril passé, dans la collecte de l’Impôt sur le Bénéfice et Profit (IBP).

Afin de corriger rapidement cette situation, il a instruit le Ministre des Finances, avec l’appui de l’Inspection Générale des Finances, d’organiser et d’encadrer les opérations relatives au contrôle fiscal de l’exercice 2023 ainsi que celles de la taxation d’office des assujettis défaillants à la déclaration de l’Impôt sur le Bénéfice et Profit afin de recouvrer l’intégralité des droits dus à l’Etat pour l’échéance fiscale du 28 avril 2023.

En outre, et dans l’optique de renforcer et d’accroître davantage la mobilisation des recettes publiques, il a aussi instruit les membres du Gouvernement à accorder plus de célérité dans la matérialisation des actes générateurs des recettes publiques prévues dans la Loi des finances 2023.

A cet effet, les Ministres des Transports, Voies de Communication et Désenclavement, et celui des Finances ont été instruit d’accélérer le processus de la mise en circulation des permis de conduire à travers tout le territoire national après que le fichier de la population a été transféré à l’Office National d’Identification de la Population (ONIP).




Contrat chinois : Bientôt le début des discussions pour son rééquilibrage afin de le rendre gagnant-gagnant

Le Président de la République a rappelé que lors de ses précédentes communications, il avait fait part aux membres du Conseil des conclusions alarmantes des rapports de plusieurs structures étatiques sur la mise en œuvre de la Convention de collaboration signée entre le Groupement d’Entreprises Chinoises et notre pays, le 17 septembre 2007.

Face à ces conclusions, il avait instruit les membres du Gouvernement directement concernés par ce dossier, de travailler conjointement avec son Cabinet ainsi que la société civile, sur les points spécifiques devant faire l’objet des discussions avec la partie chinoise, en vue du rééquilibrage de cet accord pour le rendre véritablement gagnant-gagnant.

Le Président de la République a informé les membres du Conseil que cette équipe de travail a déposé ses conclusions, ce qui permet de lancer dans les prochains jours, des discussions avec nos partenaires chinois.

L’objectif visé est de consolider et d’élargir davantage la coopération Sino-Congolaise en s’appuyant sur des bases saines garantissant les principes de respect mutuel, d’équité et de transparence, profitable à la fois au peuple congolais et au peuple chinois.

C’est pourquoi, le Président de la République a instruit les Ministres concernés pour les négociations prochaines de l’Avenant à la Convention de Collaboration, en l’occurrence le Ministre d’Etat, Ministre des Infrastructures et Travaux Publics, le Ministre d’Etat, Ministre du Budget, le Ministre des

Finances et la Ministre des Mines, ainsi que son Cabinet, tous membres du Comité Stratégique constitué à cet effet, de convenir et d’organiser avec la partie chinoise, dans un bref délai, l’agenda des discussions et de la signature finale du futur Avenant.

Le Comité Stratégique sera appuyé par l’expertise technique de la Gécamines, de l’Inspection Générale des Finances (IGF), et de l’Agence de Pilotage, de Coordination et de Suivi des Conventions de Collaboration signées entre la République Démocratique du Congo et les partenaires privés (APCSC), et l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives (ITIE-RDC).




Tshisekedi : « Le plan de relance de la MIBA doit s’appuyer sur les meilleurs modèles existants, dont le Botwana » Le Président de la République est revenu sur les détails de sa visite d’État, qu’il a effectuée à Gaborone, capitale de la République du Botswana du 09 au12 mai 2023.

Accompagné, notamment, de certains membres du Gouvernement, cette visite a été l’occasion de raffermir les liens historiques d’amitié et de coopération existant entre notre pays et la République du Botswana qui — en plus d’abriter le siège de la Communauté de Développement d’Afrique australe, « SADC », qu’il lui tardait de visiter selon les us et coutumes liés à cette communauté sousrégionale dont il assure la présidence pour l’exercice 2022-2023.
Le Botswana est mondialement reconnu pour la performance de son secteur minier, particulièrement, celui du diamant dont il est premier producteur mondial en volume et en valeur.
Conformément à sa volonté qu’il a maintes fois exprimée d’accélérer l’industrialisation de notre économie en ayant pour objectif, pour ce qui relève de l’industrie minière, de créer et d’accroître les chaînes de valeurs ; la mission de Gaborone a offert à la délégation congolaise la possibilité de s’imprégner de l’expérience botswanaise en la matière, notamment au Comité de Pilotage pour la Réforme des Entreprises du Portefeuille (COPIREP) et qui a récemment élaboré un plan de relance des activités de l’un des fleurons de notre économie, la MIBA SA, entreprise du Portefeuille de l’État spécialisée dans la production du diamant, aujourd’hui en détresse.
Sachant que le plan de relance initialement élaboré et validé par les différentes parties prenantes demeure encore perfectible, il a rappelé la nécessité qu’il y a pour toute initiative allant dans le sens de régénérer, d’améliorer et d’optimiser nos industries en vue d’accélérer le développement économique de notre pays, de veiller à s’appuyer sur les meilleurs modèles existants, particulièrement ceux des pays ou des économies revêtant des caractéristiques similaires aux nôtres.
Enfin, de manière générale, et guidé par le souci de relance de la filière du diamant en République Démocratique du Congo, il a chargé Mme le Ministre d’Etat, Ministre du Portefeuille d’accélérer le processus de transformation de la Société Anhui Congo d’Investissement Minier (SACIM), en société anonyme avec Conseil d’Administration, et ce, conformément à l’instruction donnée lors de la 45ème réunion du Conseil des Ministres du 21 août 2020.




Burundi et Windhoek : Ferme condamnation du M23 et adoption du déploiement de la Brigade de la SADC

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi, a présidé à la Cité de l’Union Africaine, la quatre-vingt-dix-neuvième réunion du Conseil des Ministres du Gouvernement de la République, ce vendredi 19 mai 2023.

Le Président de la République a fait la restitution au Conseil de ses récents déplacements dans le cadre de la recherche du retour de la paix dans l’Est de la République Démocratique du Congo.

Sur invitation, respectivement, de M. Evariste Ndayishimiye, Président de la République du Burundi, et de M. Hage Geingob, Président de la République de Namibie, il a pris part à deux rencontres importantes.

Tout d’abord, le 6 mai 2023 à Bujumbura, capitale du Burundi où, dans le cadre de la 11ème réunion de haut-niveau du Mécanisme Régional de Suivi de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République Démocratique du Congo et la région, plus connu sous la dénomination« Accord-cadre d’Addis-Abeba » — et avant de passer le témoin de la présidence dudit Mécanisme à son homologue du Burundi — il a de nouveau plaidé pour la revitalisation dudit Accord-cadre aujourd’hui en souffrance, la faute aux manquements répétés de certains États, dont le Rwanda, aux obligations pourtant consacrées que les pays de la Région des Grands Lacs ont agréées depuis février 2013.

À ce propos, il a rappelé et fermement condamné l’agression dont le pays fait l’objet de la part du Rwanda, sous couvert du mouvement terroriste « M23 » ceci, en en totale violation des engagements 2 et 3 de l’Accord-cadre portant respectivement, sur la non-assistance aux groupes armés, et sur le respect de la souveraineté des États de la région des Grands Lacs.

Le Sommet a, entre autres, condamné l’occupation des territoires par le M23, et demandé au Comité d’Appui Technique à l’Accord-cadre d’Addis-Abeba de procéder à une évaluation indépendante dudit Accord-cadre en vue de la validation de la feuille de route pour sa revitalisation prévue à la prochaine réunion de haut-niveau du Mécanisme Régional de Suivi.

À la suite de Bujumbura, il s’est rendu, du 7 au 9 mai 2023, à Windhoek, capitale de la République de Namibie, où en sa double qualité de Président de la République et Président de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC), il a assisté à la réunion extraordinaire de la Troïka du Sommet de l’Organe plus la Troïka de la SADC et les pays contributeurs des troupes à la Brigade d’intervention de la MONUSCO, sur la situation sécuritaire en République Démocratique du Congo.

Outre la ferme condamnation du M23 et du soutien qui leur est apporté par des agresseurs étrangers, les Chefs d’État présents ont approuvé l’adoption par la SADC du plan d’action visant le déploiement dans notre pays d’une Brigade plus, dans le cadre de sa Force en attente, pour appuyer nos vaillantes FARDC dans les combats les opposant aux agresseurs et ennemis de notre pays.

Fort de ce qui précède, le Président de la République a réitéré ses encouragements à nos Forces de Défense et de Sécurité et a appelé le Gouvernement, à travers le Premier Ministre, à redoubler d’efforts dans l’atteinte de notre objectif commun de recouvrer la paix, la sécurité et la stabilité sur l’ensemble du territoire national, en général, et dans sa partie orientale, en particulier.




CAN U17: Le Roi félicite les membres de la sélection nationale pour leur exploit exceptionnel

Le Roi Mohammed VI a adressé un message de félicitations aux membres de la sélection nationale de football, finalistes de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN-2023) des moins de 17 ans, pour leur exploit exceptionnel et leur qualification à la Coupe du Monde 2023.

« C’est avec beaucoup de joie que Nous vous adressons Nos plus chaleureuses félicitations pour l’exceptionnel exploit que vous avez réalisé en atteignant la finale de la Coupe d’Afrique des Nations des moins de 17 ans, dans sa quatorzième édition tenue en Algérie sœur, et en assurant votre qualification bien méritée à la Coupe du Monde 2023 », écrit le Souverain dans ce message.

Le Roi a salué, à cette occasion, les efforts déployés par toutes les composantes de cette sélection prometteuse, notamment les joueurs, les entraîneurs, les techniciens et les cadres et dirigeants de la Fédération Royale Marocaine de Football, pour la réalisation de cet exploit africain qui honore le football national dans toutes ses catégories.

Le Souverain a de même exprimé sa fierté pour la maturité et la discipline remarquables, la belle prestation, le grand esprit compétitif et la haute moralité bien ancrée dont ont fait preuve les Lionceaux de l’Atlas durant ce championnat, ainsi que leur ferme détermination à continuer à porter le flambeau du football marocain et à confirmer son rayonnement et sa présence distinguée dans les différentes manifestations continentales et internationales.

Il a, à cet égard, appelé les membres de la sélection nationale à garder le même esprit de persévérance et de sérieux au cours des prochaines compétitions, leur souhaitant davantage de réussite et de succès et les assurant de sa haute sollicitude et bienveillance.




Balises : Vers le déploiement d’une vingtaine d’armées africaines en RDC en 2023 ?

Il s’agit, pour la Brigade d’intervention intégrée dans la Monusco en 2013, des troupes déjà présentes de la Tanzanie, de l’Afrique du Sud et du Malawi. Auxquelles s’est ajoutée la Force régionale de l’Eac comprenant les troupes du Kenya, de l’Ouganda, du Burundi et du Soudan du Sud et que va rejoindre la force de la Cirgl avec les troupes de l’Angola et, bientôt, la Force régionale de la Sadc avec pour pays de provenance le Botswana, les Comores , le Lesotho, Madagascar, Maurice, le Mozambique , la Namibie , les Seychelles, Eswatini (ex-Swaziland) et la Zambie jusque-là non encore engagés dans des opérations sur le territoire congolais. Tous de l’axe anglo-saxon. On peut même dire plus : la présence des troupes du Maroc dans la Monusco (axe francophone) et l’appartenance de la RDC à la Cééac pourraient justifier le déploiement des troupes du Congo-Brazzaville, du Gabon, de la RCA, du Tchad, de Sao Tomé et Principe et de la Guinée Équatoriale. Fait notable pour celles de la Sadc et de l’Eac : en 2013 comme en 2022-2023, le déploiement a pour raison le… M23!

Y aurait-il au monde Etat souverain, confronté certes à une crise sécuritaire interne ou sous-régionale, à miser sur son sol sur autant de partenaires pour préserver son intégrité territoriale et son unité nationale, Etat qui soit confronté au même moment au défi délicat des élections ?

Qu’on se le dise d’emblée : *aucun* !

De façon formelle, il est établi que ces partenaires ont un agenda focalisé sur l’enjeu sécuritaire.

Cependant, à bien analyser les faits tels qu’ils se présentent, l’agenda a plutôt pour priorité l’enjeu *électoral* . Qu’on ne se fasse vraiment pas d’illusion à ce sujet.

Déjà, les autorités congolaises sont censées le savoir : les troupes de l’Eac pourraient ne pas plier bagage au cours de cette année 2023, même si leur mandat pourrait ne pas être renouvelé. Il n’est pas exclu qu’un *plan de jonction* ait été élaboré ou soit en voie de l’être entre l’Eac et la Sadc. Non pour la relève de la force de l’Afrique orientale, mais pour une cogestion des opérations à mener.

Dès lors qu’il est acquis qu’elles ne feront jamais la guerre au Rwanda, ces troupes ne traqueront les éléments du M23 qu’en cas de force majeure. Reste à déterminer ce cas.

Pour l’instant, constatons seulement que les puissances étrangères qui parrainent Paul Kagame et, par « ricochet » le M23, sont visiblement dans le schéma d’imposer des négociations directes entre Kinshasa et ce groupe terroriste (Félix Tshisekedi continue de rejeter cette perspective et bénéficie pour cela du soutien d’une bonne partie de l’opinion nationale), à défaut, de ” cautionner ” les affrontements armés et prolonger la crise sécuritaire.

Il va sans dire que dans les deux éventualités, *l’enjeu électoral est comme pris en étau* .

En d’autres mots, les élections pourraient en faire les frais.

Faut-il dans ce cas aller aux élections à tout prix, même à celui des hypothèques pouvant se manifester avant, pendant ou après le scrutin ?

En toute logique, il le faut. Ce serait, en effet, un très mauvais signal que la RDC aura à envoyer au monde avec un premier mandat post-alternance débouchant sur le report des élections pour une ,

C’est tout à fait normal que le Pouvoir en place manifeste sa bonne volonté en assumant sa part de responsabilité en matière de financement et de sécurisation du processus électoral. L’idéal serait pour le financement le recours aux fonds propres. C’est une haute question de souveraineté.

Pour la sécurisation, l’idéal serait de compter sur l’armée, la police et les services spéciaux congolais.

Mais, la réalité du terrain va impliquer le concours des armées de l’Eac et de la Sadc (avec éventuellement celle de la Cirgl et de la Cééac), en plus de la Monusco. Or, ces forces ne se déploient pas qu’avec des troupes armées. Elles s’accompagnent de leurs propres *polices* et de leurs propres *services spéciaux.

Conséquence : en plus d’avoir la vingtaine de forces armées, voire plus si la Cééac venait à réclamer sa part, le territoire congolais, précisément son hinterland kivutien et iturien, se retrouverait avec plusieurs polices et services spéciaux étrangers, en plus de l’appareil sécuritaire de la Monusco et de celui de la RDC.

Ne pas appréhender ce qui s’apparente à une *mise sous tutelle programmée du pays* relèverait de l’irresponsabilité.

Aussi, ceux qui ont fait des réactions épidermiques un mode de fonctionnement devraient plutôt s’employer à réfléchir à cette éventualité et à en tirer toutes les conséquences.

Le mois de juin commence dans 10 jours.

Omer Nsongo die Lema




Répression marche de l’opposition : si ça venait de quelqu’un d’autre, je serai d’accord mais pas de Félix” (Moïse Katumbi)

La marche de l’opposition a été réprimée à coups de gaz lacrymogènes par la police nationale Congolaise.

Au niveau de l’avenue Kianza, lieu choisi par les 4 leaders pour le début de leur marche, les militants ont été dispersés et pourchassés jusque dans les différentes de Ngaba et Makala.

 

Contraint de rester dans son véhicule, le président d’ensemble pour la République a regretté que cette répression soit faite sous le régime de Félix Tshisekedi.

 

“Si ça venait de quelqu’un d’autre, je serais d’accord mais pas de Félix. Vous voyez, ils sont en train de tirer avec des gaz lacrymogènes, avant c’était à balles réelles. Et tout ça, c’est Monsieur Tshisekedi. C’est triste”. a regretté Moïse Katumbi

 

On signale quelques blessés dans la plupart des cas du côté des militants de l’opposition. Actuellement, la police se prépare à escorter les leaders. On peut donc dire que la marche a été étouffé dans l’œuf.




Marche de l’opposition : sous escorte policière, les opposants ont été forcés de quitter Kianza

C’est aux alentours de 12h, heure de Kinshasa que les leaders de l’opposition, initiateurs de la marche, ont été escortés par la police nationale Congolaise.

Le cortège a emprunté l’avenue Université en passant par Rond-point Ngaba et l’avenue By-pass.

 

Le départ de l’escorte a été précédé par le jet de pierres et des gaz lacrymogènes par les militants de l’opposition qui s’étaient amassés tout autour de l’avenue en attendant le dernier mot d’ordre de leurs leaders.

 

Notons que la voiture de Moïse Katumbi a été touchée par un projectile des forces de l’ordre.




RDC : Après la répression de leur marche, l’opposition en sit-in le jeudi 25 Mai devant la CENI 

L’opposition annonce un sit-in jeudi prochain devant le siège de la CENI à Kinshasa.

 

“Quelles que soient les intimidations qui nous ont été faites aujourd’hui, quelle que soit la barbarie qui a été faite aujourd’hui, la pression contre ce pouvoir dictatorial va continuer.” a déclaré le président de LGD

 

Selon Matata Ponyo, plus de 14 militants ont été interpellés ce samedi lors de la marche réprimée par la Police. 2 blessés graves sont enregistrés, et se trouvent entre la vie et la mort.

 

Derick Katola




Said Chiba : Grâce aux efforts du Roi Mohammed VI, les sélections nationales ne cessent de s’illustrer

A la faveur des efforts fournis par le Roi Mohammed VI pour le développement du football marocain, les sélections nationales ne cessent de s’illustrer aux niveaux mondial et continental, a affirmé Said Chiba, entraineur de l’équipe nationale des moins de 17 ans, qui s’est inclinée vendredi en finale de la CAN face au Sénégal (2-1).

« Nous remercions SM le Roi Mohammed VI pour Son appui constant et Sa vision clairvoyante » en faveur du développement non seulement du sport mais également d’autres domaines, a-t-il dit lors de la conférence de presse tenue à l’issue de cette finale.
« Le Souverain a toujours entouré de Sa Haute sollicitude la jeunesse marocaine en termes de moyens et d’académies, à l’image de l’Académie Mohammed VI de Football, ainsi qu’en termes d’infrastructures sportives de niveau mondial », a-t-il ajouté.
Revenant sur la prestation de ses joueurs, Chiba a indiqué que le match a été très disputé et que le Sénégal méritait le titre.
« Je me réjouis de la prestation de mes joueurs, de l’esprit qu’ils ont démontré et de leur combativité tout au long de cette CAN », a-t-il dit.
« Malgré la défaite, nous avons beaucoup appris des matches que nous avons disputés. Les équipes qualifiées en demi-finales disposent d’un grand niveau. Il faut tirer les enseignements qui s’imposent. C’est un bon test de préparation au prochain mondial. Je suis fier de mes joueurs », a-t-il conclu.
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