Sommet Chine-Asie centrale, relation entre l’Arabie saoudite et l’Iran, conflit en Ukraine : Une nouvelle diplomatie chinoise analysée par Zhang Shanhui

La Chine est très active sur la scène diplomatique en ce moment. On constate, à travers plusieurs événements internationaux que la Chine essaie de jouer un rôle plus constructif dans les relations internationales en tant que modératrice, pont, promotrice de paix et elle essaie de faire entendre dans la société internationale ses propres positions.

Je prendrais plusieurs exemples : le rapprochement entre l’Arabie saoudite et l’Iran, la recherche de la paix sur le conflit en Ukraine, et le sommet Chine-Asie centrale qui aura lieu bientôt. Ce dernier se tiendra à Xi’an, une ville historique et le chef-lieu la province du Shaanxi, du 18 au 19 mai.

 

Tout d’abord, il y a quelques semaines, l’Arabie saoudite et l’Iran, deux poids lourds régionaux aux relations tendues, se sont engagés sur la voie de la réconciliation. La rréouverture de leurs missions diplomatiques – dont le ministère iranien des Affaires étrangères a annoncé lundi qu’elle était dans sa phase finale – symbolise ce dégel des relations. Un accord historique négocié par la Chine a facilité ce rapprochement. La Chine a joué un rôle crucial pour rapprocher les deux parties et faciliter la construction d’une confiance politique bilatérale.

Par ce processus de paix, la Chine a montré sa volonté de façonner un avenir plus pacifique et plus prospère pour le Moyen-Orient, fondé sur le respect mutuel et l’égalité. L’approche non interventionniste de la Chine a gagné le respect et la confiance des États du Moyen-Orient, contrastant en particulier avec l’hégémonie occidentale et l’unilatéralisme. Les politiques de la Chine au Moyen-Orient mettent l’accent sur la coopération plutôt que sur la confrontation et continueront de favoriser des relations harmonieuses dans la région.

Des leçons similaires pourraient être appliquées au conflit en Ukraine, où la paix pourrait également être obtenue avec des pacificateurs extérieurs comme la Chine agissant en tant que modérateurs. Cependant, pour qu’une solution soit trouvée, les deux parties doivent être disposées à s’asseoir pour des pourparlers et à parvenir à une solution politique qui respecte les principes de l’ONU. Malheureusement, les États-Unis, à la recherche d’un avantage stratégique, s’ingèrent de l’extérieur dans la région pour maintenir le conflit en vie, au grand détriment du peuple ukrainien.

 

Et concernant le prochain sommet Chine-Asie centrale, la société internationale attend impatiemment de voir comment la Chine profitera de ce sommet pour échanger des points de vue sur les grandes questions internationales et régionales. Malgré toutes les incertitudes auxquelles est confrontée la société internationale, une chose est sûre : son regard se tourne sur la Chine qui joue aujourd’hui le rôle de promoteur de la paix et de la prospérité commune. Le but de la Chine n’est pas de provoquer des conflits mais d’aider à trouver un objectif de prospérité commune d’un point de vue économique et politique.

 

Zhang Shanhui

CGTN Français

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Réforme de l’Aménagement du Territoire : Me Guy Loando présente les avancées à la Commission parlementaire

Le Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Maitre Guy Loando Mboyo, a répondu à l’invitation de la Commission Parlementaire de l’Aménagement du Territoire, Infrastructures, Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication de l’Assemblée Nationale.

Le Ministre d’État a présenté les avancées réalisées dans le cadre de la réforme de l’Aménagement du Territoire en République Démocratique du Congo. Le gouvernement s’est engagé à transformer le territoire en un espace cohérent, attractif et compétitif d’ici 2050, favorisant le bien-être de la population dans un environnement durable et intégré.
La réforme prévoit la promotion des grandes infrastructures, la redistribution équitable des équipements et des services sociaux de base, le renforcement de l’armature urbaine et des pôles économiques, le développement des complexes agro-ruraux, la durabilité environnementale, l’optimisation de l’affectation des terres, ainsi que l’amélioration du cadre juridique.
Le Ministère de l’Aménagement du Territoire, créé en 2017, joue un rôle essentiel dans la réalisation de cette vision. Le Ministre d’État a souligné les missions du ministère, notamment la conception et l’élaboration des plans d’aménagement du territoire, la planification et l’aménagement des nouvelles villes, ainsi que le développement des territoires en collaboration avec d’autres ministères et provinces.
Le Ministre d’État a présenté les réalisations actuelles du Ministère, telles que la surveillance permanente de l’utilisation de l’espace physique et l’évaluation des ressources naturelles du pays. Il a également évoqué les organes techniques mis en place dans le cadre de la réforme, tels que le Secrétariat Général, l’Agence Nationale d’Aménagement du Territoire (ANAT), le Fonds National d’Aménagement du Territoire (FONAT) et l’Observatoire National d’Aménagement du Territoire (ONAT).
Les objectifs de la réforme ont été rappelés, notamment la mise en place d’une administration solide, le renforcement des capacités des services spécialisés du Ministère, ainsi que l’élaboration d’outils de planification spatiale à tous les niveaux de gouvernance territoriale. Parmi ces outils figurent la Politique Nationale d’Aménagement du Territoire (PNAT), la loi relative à l’Aménagement du Territoire (LAT), le Schéma National d’Aménagement du Territoire (SNAT) et les guides méthodologiques pour l’élaboration des plans d’aménagement du territoire.
La présentation du Ministre d’État a marqué une étape importante dans la réalisation de la réforme de l’Aménagement du Territoire en RDC, mettant en avant les réalisations.




Flagrant délit : l’AFP s’obstine à innocenter le régime algérien et à charger le Maroc

L’Agence France Presse (AFP) persiste à ménager l’Algérie en lui réservant, contrairement au Maroc, un traitement préférentiel et des plus accommodants, et ce en dépit de l’adoption, jeudi 11 mai à Strasbourg, d’une résolution condamnant sans appel le régime algérien. En effet, dans sa dépêche sur la résolution incongrue du Parlement européen concernant le Maroc, l’AFP avait délibérément usé d’un langage très critique envers le Royaume en présentant les eurodéputés comme ayant «vivement critiqué» et «exigé» des actions contre le pays.

En revanche, dans sa dépêche sur la résolution du Parlement européen (PE) condamnant l’Algérie, l’agence française glisse dans une grille de langage plus édulcoré, en se contentant d’affirmer que les eurodéputés «ont demandé» et «appellent» l’Algérie. Cette différence de traitement dans le choix des termes a pour but de conduire à une perception erronée de la situation réelle dans les deux pays. Le contraste entre ladite résolution et la dépêche de l’AFP n’a pas manqué de susciter l’étonnement des observateurs, qui pointent du doigt cet acharnement systématique et cette partialité flagrante de l’Agence France Presse contre le Maroc et ses intérêts et s’interrogent, encore une fois, sur les motifs de sa partialité dans le traitement de l’actualité marocaine.

L’AFP déserte ses obligations professionnelles, éthiques et déontologiques

Le traitement tendancieux de l’AFP à l’encontre du Maroc s’inscrit ainsi dans la lignée des pressions politiques et médiatiques françaises déployées pour atténuer la teneur de la résolution du PE contre l’Algérie. Les habituelles manœuvres menées dans les travées de l’institution législative et dans certaines capitales européennes n’ont pas eu le succès escompté, au grand dam de certains eurodéputés et autres milieux politico-médiatiques français, qui n’ont visiblement pas ménagé leurs efforts.

Il convient de rappeler que des médias français de référence avaient affirmé, sans être contredits, que la présidence du groupe Renew au PE, proche du pouvoir français, a réussi, dans un premier temps, à retirer le projet de résolution contre l’Algérie de l’agenda du PE. Cette information a été confirmée auprès d’autres médias par deux sources politiques au sein de l’institution européenne. Il est de plus en plus préoccupant de constater que l’AFP déserte ses obligations professionnelles, éthiques et déontologiques dans le traitement de l’actualité algérienne et persiste, a contrario, à réserver une couverture à charge et tendancieuse à l’encontre du Royaume. Rappelons que le PE a condamné jeudi l’Algérie par une écrasante majorité de voix (536 pour, 4 contre et 18 abstentions), coupable de réprimer les libertés de la presse et d’expression, comme en témoigne le cas du journaliste Ihsane El Kadi, condamné le 2 avril dernier à cinq ans de prison.

m.lem

atin.ma




Les modèles de la 1ère marque automobile grand public marocaine et du prototype de véhicule à hydrogène d’initiative marocaine présentés devant le Roi

Le Roi a présidé, lundi au Palais Royal de Rabat, la cérémonie de présentation du modèle de la voiture du premier constructeur marocain et du prototype d’un véhicule à hydrogène développé par un marocain.
Il s’agit de deux projets novateurs qui permettront de renforcer la promotion du label « made in Morocco » et de conforter la place du Royaume comme une plateforme compétitive de la production automobile.
La présentation au Roi de la voiture de « Neo Motors », une société détenue par des capitaux marocains, et du prototype d’un véhicule à hydrogène de la société NamX, nommé HUV (Hydrogen Utility Vehicle), souligne la volonté du Souverain d’encourager et de promouvoir les initiatives entrepreneuriales nationales pionnières et les capacités créatives, particulièrement de la jeunesse marocaine, que ces projets incarnent.
Ces deux initiatives industrielles s’inscrivent en droite ligne des Hautes Orientations Royales visant à orienter le secteur privé vers l’investissement productif, notamment dans les filières de pointe et d’avenir et à stimuler l’émergence d’une nouvelle génération d’entreprises dans le Royaume.
Elles viennent également consacrer la vision clairvoyante de SM le Roi en matière de développement durable et de promotion des énergies renouvelables, particulièrement la filière émergente de l’hydrogène vert.
La société Neo Motors a mis en place une unité industrielle à Ain Aouda (Région Rabat-Salé-Kénitra), pour la fabrication de véhicules automobiles destinés au marché local et à l’export, avec une capacité annuelle prévisionnelle de 27.000 unités et un taux d’intégration locale de 65%.
L’investissement total prévisionnel de ce projet s’élève à 156 millions de dirhams et permettra à terme la création de 580 emplois.
L’homologation définitive du premier véhicule a été délivrée par l’Agence nationale de la Sécurité routière en février 2023. L’entreprise a procédé au lancement de la présérie et envisage l’inauguration de l’unité industrielle au cours du mois de juin 2023 et le lancement de la commercialisation.
Ce projet, qui donne naissance à la première marque automobile marocaine grand public, est porté par des compétences nationales. Il s’appuie principalement sur l’écosystème d’équipementiers automobiles local développé par le Royaume.
Quant au prototype du véhicule à hydrogène de la société NamX, il a été conçu en collaboration avec le bureau de design et carrossier italien de référence Pininfarina. Le design intérieur du véhicule a été réalisé par des talents marocains.
En effet, le modèle HUV sera alimenté en hydrogène par un réservoir central que viendront compléter six capsules amovibles, permettant de garantir une autonomie importante et de faciliter la recharge hydrogène en quelques minutes.
Ce projet pilote inscrit résolument le Maroc dans la dynamique à l’œuvre au niveau mondial consistant à développer de nouvelles formes de transport alliant efficacité et respect de l’environnement.
A cette occasion, le Roi a décoré du Wissam Al Kafaa Al Fikria, Nassim Belkhayat, fondateur, Président Directeur Général de la Société Neo Motors, et Faouzi Annajah, Président et fondateur de la société NamX.
Cette cérémonie s’est déroulée en présence du ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour.

fr.hespress.com




Pénurie de la farine de maïs: Kamerhe confirme la main noire

Il ne fait l’objet d’aucun doute qu’une main noire a influencé la livraison, mieux la vente de la farine de maïs à la population congolaise. Le souci pour ces hommes d’affaires véreux était d’affamer la population pour que celle-ci se soulève et s’en prenne au Gouvernement Sama Lukonde. Cette confirmation a été faite hier par M. Vital Kamerhe, Vice-Premier ministre et ministre de l’Economie, lors d’un Briefing Press organisé ce lundi dans la salle Maman Angebi de la Rtnc. Comment expliquer que la Zambie accepte de vendre la farine de maïs à d’autres pays tels que le Soudan, l’Ethiopie, le Rwanda, … mais pas à son voisin, la Rdc ? Comment expliquer qu’on interdise même aux cargaisons de venir approvisionner la Rdc ? C’est une preuve qu’il a existé une main noire qui a influencé négativement les choses, et qu’à l’issue de la tournée effectuée dernièrement en Afrique du Sud, en Zambie et à Lubumbashi, toutes ces barrières ont été levées.
Au-delà de la guerre par les armes et qui ne cesse de causer des dégâts tous les jours, il existe aussi une guerre du ventre aux conséquences incalculables. C’est cette guerre qui a poussé quelques membres du Gouvernement à sortir de leurs bureaux climatisés pour se rendre sur terrain, afin de décanter ce problème qui pouvait déstabiliser la Rdc. Si en Afrique du Sud, il y a eu un échange d’expériences avec les opérateurs économiques sud-africains, surtout ceux qui évoluent dans les petites et moyennes entreprises, la Rdc a voulu s’inspirer de ce modèle, surtout que le rôle de l’Etat est de règlementer le système, tout en laissant l’initiative aux privés. En Zambie, la situation a été décantée via la signature d’un protocole d’accord. D’ailleurs, un Congolais installé en Zambie s’est engagé de faire parvenir à la Rdc une grosse cargaison de la farine de maïs.
Après cette tournée, le VPM à l’Economie a proposé des mesures d’urgence et structurelles. Parmi les mesures d’urgence, c’est la suppression de toute la parafiscalité sur l’importation de la farine de maïs, mais aussi de tous les engins qui ont trait à l’agriculture. Désormais, l’importation des semences, d’engrais, etc. va se passer sans paiement des frais. Ici, le Gouvernement vise non seulement à inonder le marché et à travers ceci baisser sensiblement le prix de la farine de maïs qui devrait se vendre à 19 dollars Us. Le Gouvernement vise aussi à stimuler, mieux à pousser les Congolais à faire le champ, à retourner à l’agriculture qui doit redevenir priorité des priorités.
Jean-Marie Nkambua

Voici les 10 mesures de Vital Kamerhe pour mettre fin à la hausse des prix de la farine du maïs dans le Haut-Katanga

Le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie Nationale a soumis à l’examen et à l’adoption du Conseil trois dossiers, à savoir : la situation de la hausse des prix de la farine du maïs dans les espaces Grand Katanga et Grand Kasaï ; la demande de réajustement des tarifs de l’eau par la REGIDESO SA ; et l’utilité du scanner placé au poste de Mutaka dans la province du Lualaba.
Concernant le premier dossier relatif à la situation de la hausse des prix de la farine du maïs dans le Haut-Katanga, il a rappelé le triple objectif de la mission qu’il a conduite, du 01 au 05 mai 2023, respectivement en Afrique du Sud, en Zambie et à Lubumbashi, et au terme de laquelle il a, après différentes réunions de la Commission Economie et Finances et de la Conjoncture Economique, présenté quelques recommandations.
Celles-ci portent en premier lieu sur les mesures urgentes à prendre pour soulager les besoins urgents en approvisionnement, et en second lieu, sur des mesures structurelles à prendre visant à améliorer la production locale et régler le problème dans la durée.
Concrètement, ces recommandations portent sur l’accompagnement des importateurs locaux de la farine de maïs et du maïs en grain avec une commande symbolique pour accroitre l’offre disponible et répondre dans l’immédiat à la demande urgente et pressante de cette denrée. Les modalités pratiques de cet appui du Gouvernement seront définies par le Ministère de l’Economie Nationale avec le Gouverneurs des Provinces concernées ; la suspension pour une durée de six mois de tous les droits, taxes et redevances (parafiscalité) sur l’importation de maïs afin d’inciter les importateurs locaux à accroitre leur volume d’importation ; la suspension des droits, taxes et redevances (parafiscalité) à l’importation des intrants et engins agricoles (taxe zéro) pour réduire les coûts de revient et soutenir la production locale ; l’élaboration conjointe avec les producteurs locaux (fermiers) d’un Plan d’Urgence d’accroissement de la production locale de maïs, assorti d’objectifs quantitatifs pour la prochaine saison agricole A. Les modalités de l’accompagnement du Gouvernement seront définies avec les Ministères de l’Agriculture et celui des Petites et Moyennes Entreprises ; la constitution des réserves stratégiques en produits de première nécessité pour prévenir, à tout moment, l’apparition des crises de ce genre ; l’élaboration urgente du Plan de ramassage de la production de maïs dans les espaces Grand Katanga et Grand Kasaï, dont les modalités pratiques sont à définir par les autorités provinciales, avec la collaboration de la SNCC et des producteurs locaux ; l’accompagnement du Service National à travers le Ministère de l’Agriculture, pour renforcer ses capacités de production et accroitre sa productivité ; le renforcement de la surveillance du marché avec des outils d’alerte adéquats pour anticiper les éventuelles pénuries, décourager les pratiques des prix illicites et celle de rétention des stocks ; le soutien à la recherche locale en matière agricole, de pèche et de l’élevage notamment à travers l’INERA ; la mise en place d’un Comité technique pour un suivi rapproché et une évaluation des mesures gouvernementales qui seront adoptées dans le cadre de ce dossier.
En ce qui concerne le deuxième dossier portant sur la demande de réajustement des tarifs de l’eau formulée par la REGIDESO SA, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie Nationale a précisé que cette requête de la REGIDESO a été motivée par la nécessité de réduire son déficit financier causé notamment par l’augmentation des coûts de revient de l’eau ainsi que la pratique des tarifs sociaux pour les abonnés domestiques.
De l’examen de ce dossier par la Commission Economie et Finances du Gouvernement, il a été souligné la nécessité de ne pas pénaliser les abonnés domestiques par une augmentation des tarifs dans le but de couvrir la baisse des volumes consommés par les abonnés professionnels.
Le Gouvernement a été encouragé à accompagner la REGIDESO SA dans la mise en œuvre de son plan de relance en poursuivant le financement des investissements déjà engagés au bénéfice de cette entreprise.
Sur le même registre, la Commission a souligné la nécessité pour les Institutions publiques de s’acquitter normalement de leurs factures d’eau et de fournir les efforts nécessaires à l’apurement des importants arriérés dus à la REGIDESO.
S’agissant du troisième dossier sur l’utilité du scanner placé au poste de Mutaka dans la province du Lualaba, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Economie Nationale a rappelé que la Gouverneure de la province du Lualaba a été invitée à fournir à la Commission Economie et Finances du Gouvernement les clarifications utiles quant à l’opportunité de la mise en place de ce poste de contrôle au regard des plaintes des opérateurs économiques.
La Commission a noté avec satisfaction les clarifications de la Gouverneure du Lualaba. En effet, il s’agit d’une initiative du Gouvernement Central implémentée avec l’appui de la Province. Elle a pour but essentiel de renforcer le contrôle de la nature des produits transportés par camion et évacués en dehors de la Province. Cela afin de décourager tout trafic illicite de minerais et de bois précieux.
Aussi, ce scanner sert à des fins sécuritaires et pour une meilleure maitrise des flux des produits transportés.
La mission a retenu la nécessité de rationaliser les prélèvements effectués dans les différents postes de contrôle avec péage (incluant les parkings) et de supprimer les taxes illégales, le cas échéant. Pour ce faire, le Gouvernement devra diligenter une mission interministérielle d’évaluation de l’ensemble des perceptions fiscales et parafiscales aux différents postes de contrôle et péage.




Mbusa Nyamwisi rappelle à Mme Tamlyn la volonté de la RDC de mettre fin à la crise de l’Est  

Mme Lucy Tamlyn, ambassadrice des Etats-Unis d’Amérique en Rdc a conféré ce lundi 15 mai 2023, avec le minÉtat en charge de l’Intégration régionale Antipas Mbusa Nyamwisi, sur la coordination de toutes les forces présentes et futures devant intervenir dans l’Est de la RDC ainsi que le modus operandi du départ des troupes de l’EAC.

À brûle-pourpoint, la communauté internationale s’intéresse désormais à la crise de l’Est née des menées subversives du M23 soutenu par des troupes rwandaises RDF. La récente offensive diplomatique menée par le chef de l’État, Félix Tshisekedi assisté notamment du Minétat Mbusa Nyamwisi a fait bouger les lignes. Les États-Unis tiennent dorénavant, selon son ambassadrice plénipotentiaire, à la poursuite du processus de Luanda dont la Feuille de route apporte, a fait comprendre Mme Tamlyn, une voie de sortie à la crise dans l’est du pays.

De manière compendieuse, la Feuille de route de Luanda recommande, en pratique, le cantonnement des éléments du M23. Les troupes de la SADC annoncées à court terme dans l’Est du pays devraient s’employer à soutenir la RDC dans ses efforts de la restauration de la paix, comme il y a quelques années, quand les terroristes du M23 ont été mis en débandade.

Le MinÉtat Mbusa Nyamwisi, placide, a rassuré l’ambassadrice des États-Unis combien la RDC est, cette fois, déterminée à accélérer certaines réformes inhérentes à sa sécurité et à la sécurisation des personnes et de leurs biens sur toute l’étendue du territoire national. Toutefois, le pays de Tshisekedi tient à sa politique de bon voisinage en maintenant un climat de convivialité avec tous ses voisins. Voilà qui explique sa participation à toutes les organisations régionales (CEEAC CIRGL, SADC, EAC, etc.,).

Et Mbusa Nyamwisi d’apporter une précision de taille : les FARDC occuperont une position prépondérante dans la coordination et l’harmonisation de toutes les opérations militaires sur le territoire national. Alors que Mme Lucy Tamlyn revenait sur sa rhétorique du recours à la voie diplomatique pour résoudre le conflit du M23, Mbusa Nyamwisi lui a étalé sans ambages l’option levée par Kinshasa.

La problématique de l’insécurité dans l’Est persiste depuis un quart de siècle, a déploré le ministre d’État en charge de l’Intégration régionale, avec les mêmes acteurs, mêmes revendications. Aux grands maux, de grands remèdes. “La RDC est déterminée cette fois-ci, par tous les moyens, a martelé sans fioritures Mbusva Nyamwisi à la diplomate américaine, à mettre fin à cette crise!”, a déclaré Antipas Mbusa Nyamwisi.




Audit externe du fichier électoral de la CENI: Voici les noms des experts nationaux et internationaux sélectionnés en vue de constituer une mission mixte 

Dans un communiqué de presse signé par Mme Patricia Nseya, Rapporteur, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) porte à la connaissance de l’opinion publique que l’audit externe du fichier électoral démarre ce lundi 15 mai 2023, et ce, conformément au Calendrier électoral rendu public le 26 novembre 2022. L’équipe ainsi constituée démarre sa mission par une réunion avec les Membres de la CENI au cours de laquelle ils vont, après échanges, valider l’agenda de travail de la mission d’audit du fichier électoral. À cet effet, la CENI rend public les noms des experts nationaux et internationaux sélectionnés en vue de constituer une mission mixte d’audit externe du fichier électoral. Il s’agit de :

1. Mme Janet LOVE (Afrique du Sud)

Bien qu’élue Membre du Parlement seulement en 1994 lors des premiers scrutins démocratiques d’après l’apartheid en Afrique du Sud, l’implication de Mme Janet LOVE avec le droit électoral et les systèmes électoraux remonte à l’époque où elle était membre de l’équipe des négociations de la Convention pour une Afrique du Sud démocratique (CODESA) et de l’Assemblée Constituante mise en place pour rédiger la Constitution de la République Sud-africaine de la période postapartheid. Elle est détentrice, entre autres, d’une Licence en Sciences Politiques et Sociologie Industrielle (Université du Witwatersrand), d’un Master en Sciences en Gestion des Finances Publiques (Université de Londres), d’un Diplôme d’études supérieures en Economie (Université de Londres), d’un Diplôme d’études supérieures en Administration Publique et Gestion du Développement (Université du Witwatersrand) et d’un certificat ICDL en Informatique.

Vice-présidente de la Commission électorale en Afrique du Sud, elle vient à peine de terminer en avril 2023 son premier mandat débuté en 2016. En cette qualité, Mme LOVE avait en charge tous les aspects des opérations électorales – y compris l’inscription des électeurs et la compilation de la liste électorale ainsi que pour le vote à l’étranger. Elle devait également s’assurer que la technologie et les systèmes informatiques sous-jacents nécessaires aux opérations électorales étaient en place et que les ajustements requis et les améliorations prévues d’une élection à l’autre étaient mis en oeuvre. Cela comprenait l’introduction du dispositif de gestion des électeurs, la coordination continue avec d’autres organes de l’État pour obtenir les adresses des électeurs et les processus de cartographie et de géocodage liés aux exigences légales en Afrique du Sud pour inscrire les électeurs dans leurs circonscriptions électorales.

Au cours de son mandat, elle a géré entre autres la stratégie et les processus d’engagement de la Commission électorale avec les principales parties prenantes (y compris les organisations non-gouvernementales et les confessions religieuses) et les mesures que la Commission devait prendre pour permettre l’inclusion des groupes marginalisés (y compris les personnes vivant avec un handicap) et pour garantir l’égalité d’accès des femmes à tous les aspects des élections. Elle a participé dans plusieurs missions d’observation électorale, notamment en tant que membre des missions du Commonwealth (au Zimbabwe), SADC et de l’ECF-SADC (en RDC).

En 2013, elle avait reçu un prix de la Women Development Foundation pour les contributions personnelles qu’elle avait apportées à la démocratie constitutionnelle en tant que Membre du premier parlement démocratiquement élu.

2. M. Muhabi Lufu CHISI (Malawi)

Détenteur d’un diplôme postuniversitaire en Sciences avec spécialisation en informatique et statistiques (Université de Dublin, Irlande) et d’une Licence en Sciences, spécialité Informatique et Statistiques (Université de Malawi), Monsieur Muhabi Lufu CHISI est depuis Décembre 1999 jusqu’à ce jour le Directeur du Département des Technologies de l’Information et des Communications de la Commission électorale du Malawi. De ce fait, il a en charge toutes les questions de politique et de projets en matière de TIC et la supervision quotidienne du fonctionnement du département ICT de la Commission électorale. Il a piloté le projet ayant modernisé le registre de l’état-civil au Malawi et assuré la conversion du fichier électoral dans une base des données générales de la population.

Dans le cadre des échanges sud-sud, il a participé à plusieurs missions d’appui à la constitution et à l’audit des fichiers électoraux dans la SADC, l’expérience malawite servant de référence dans ce domaine. En 2006, il avait fait partie de l’équipe d’assistance technique des TIC déployée auprès de la Commission électorale indépendante (CEI) de la RDC et travaillant en collaboration avec les Nations Unies et la Commission électorale indépendante sud-africaine. Il a également fait partie de l’assistance technique à la CENI RDC en novembre-décembre 2011 sous la bannière de la SADC ECF. Avec la SADC ECF, il a observé les élections générales du Lesotho en 2002, du Zimbabwe en 2013 et en Namibie en 2014.

3. M. Joseph TOPANGU (RD Congo)

Diplômé en Géologie et Minéralogie (Université de Lubumbashi), Monsieur Joseph TOPANGU est entré dans le domaine électoral en 1994 au Mozambique, en tant que Coordinateur-Adjoint à l’ONUMOZ, la Mission des Opérations des Nations Unies au Mozambique. La même année il observe les premières élections générales de 1994 en Afrique du Sud sous la bannière de l’UNOMSA, la mission d’observation Nations Unies en RSA.

Il était en poste au Burundi en tant que Directeur Pays de l’EISA dans la perspective des élections générales de 2005 et de 2010, et également Directeur Pays de l’EISA en Côte d’Ivoire (2009-2010). Il participe comme Analyste Politique aux élections générales du Liberia (2011) et des élections générales du Mozambique (2014). Il était en poste à Libreville (Gabon) de 2022 à 2023 où en tant que Consultant auprès de la Communauté des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC), il faisait le monitoring des dynamiques politiques dans les pays comme la République du Congo, l’Angola, le São Tomé e Principe, la Guinée Equatoriale et la RD Congo.

M. Topancu a participé dans plusieurs missions d’évaluation des processus électoraux et audit des fichiers électoraux sur le continent africain. Un parfait polyglotte, il parle couramment le Français, l’Anglais, le Portugais, l’Espagnol et les langues vernaculaires congolaises comme le Lingala et le swahili.

4. M. Kabata Kabata KABAMBA (RD Congo)

Docteur en Sciences, spécialité Géographie Economique et Sociale (Université de Liège, Belgique), Professeur Kabata Kabata KABAMBA a une grande expérience non seulement dans les domaines de l’enseignement et la recherche, mais également de la pratique il a assumé d’importantes responsabilités professionnelles aussi bien dans les institutions étatiques que les organismes.

Il a été, entre autres, Secrétaire Général Académique de l’Ecole de Formation électorale en Afrique Centrale (EFEAC), Conseiller en Planification et Opérations, puis Expert en renforcement des capacités avec le Centre européen d’appui électoral (ECES) au Comores, en Guinée et en République Centrafricaine, Chef de Projet à la Cellule d’Appui Technique à la Réforme de l’Aménagement du Territoire (CAT), Coordonnateur de l’Agence Nationale de l’Aménagement du Territoire au Ministère de l’Aménagement du Territoire.

Le Professeur KABAMBA a une expérience avérée dans le domaine électoral et une maitrise extraordinaire du contexte et de dynamiques démographiques en RD Congo. Ses domaines d’expérience, d’expertise et de compétence incluent, entre autres, la gouvernance territoriale, la géographie économique et sociale, l’administration électorale et l’aménagement de zones d’activités et l’urbanisme opérationnel.

5. M. Vianney NZANZU TAWITE (RD Congo)

Détenteur d’une Licence en Economie Mathématique (Université de Kinshasa), Vianney NZANZU TAWITE s’est spécialisé dans les logiciels d’analyse des données et en gestion des données, suivi et évaluation des programmes. Il a une bonne maîtrise technique des outils et/ou logiciels d’analyse statistique. Il a participé dans une multitude de projets d’échantillonnage et d’enquête de terrain dans les domaines de la démographie et de la santé.

En tant que Consultant, il a participé, entre autres, à la production des évidences pour le plaidoyer pour la mise en œuvre du Plan Stratégique National PF 2021-2025. Il a participé à la mise en exécution des projets dans de pays comme la Côte d’ivoire et le Kenya.




Dans le Haut Katanga : Célestin Vunabandi conduit une délégation des experts sur la mise en œuvre des recommandations du Sénat

Face-à-face ce lundi 15 mai 2023 entre le Vice-Gouverneur, Jean-Claude Kamfwa Kimimba et le sénateur Célestin Vuna Bandi, Vice-Président de la Commission ECOFIN du Sénat.

Au menu, faire l’état d’avancement de la mission des experts sur la mise en œuvre des recommandations de la chambre haute du Parlement sur la mobilisation des recettes publiques.

Cet échange entre le Vice-Gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kamfwa Kimimba et Célestin Vunabandi, Vice-Président de la Commission ECOFIN de la chambre haute du Parlement congolais, à la tête d’une forte délégation d’experts de l’Office Congolais de Contrôle et ceux de la DGRAD ce lundi 15 mai 2023 s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations du Sénat sur la mobilisation des recettes publiques.

A l’occasion, une copie du rapport adopté le 15 juin 2022 par la plénière du Sénat en la matière a été remise à l’Autorité Provinciale pour lui permettre de s’enquérir de son exécution par les régies financières localement.

Il était également question de faire part au numéro deux de l’Exécutif Provincial du niveau d’avancement de la mission pour laquelle la délégation séjourne à Lubumbashi dans la Province du Haut-Katanga, dont, selon Célestin Vuna Bandi, les résultats sont satisfaisants.

Au cours de cet échange fructueux, les interlocuteurs de Jean-Claude Kamfwa Kimimba ont bénéficié de la garantie du Gouvernement Provincial d’accompagner ces experts pour la réussite de cette mission qui va de l’intérêt de la République.

Après Lubumbashi, la délégation se rendra à Kolwezi, dans la Province du Lualaba pour la même démarche, celle de protéger les intérêts de l’État.

Roger Ngandu wa Mitaba




Kwamouth : Plusieurs assaillants condamnés notamment à la peine morte pour terrorisme

Le Tribunal Militaire Garnison de Bandundu, Bagata et Maï-Ndombe a condamné samedi 15 prévenus sur les 20 déférés par devant lui. Il en a acquitté 4 pour insuffisance de charges et l’action publique a été éteinte à l’égard d’un prévenu décédé en prison.
En effet, les 15 ont été tous condamnés à 20 ans de servitude pénale principale pour participation à un mouvement insurrectionnel appelé Mobondo qui opère à Kwamouth, Bagata et actuellement dans le Kwango, 6 vont purger 20 ans de prison pour pillage des biens immobiliers de la population commis dans 6 villages de Kwamouth, 9 sont condamnés à la peine de mort pour terrorisme. Ces infractions ont été commis à Kwamouth entre septembre et novembre 2022 dans la province de Maï Ndombe.
Ils sont reconnus auteurs de meurtre de 36 personnes dont des femmes et des enfants. Dans ce nombre, 2 personnes ont été décapitées et 3 incinérées.
Le Tribunal Militaire Garnison de Bandundu, Bagata et Maï-Ndombe a alloué 10. 000 dollars payables en monnaie locale à chacune de 7 parties civiles pour tous préjudices subis par le fait de ces assaillants.
Dans son réquisitoire, l’Auditeur militaire, le Colonel Richard Kabeya a exigé la condamnation des prévenus à la peine de mort pour pillage, à la peine de mort pour participation à un mouvement insurrectionnel et à la peine capitale pour terrorisme. Il a également demandé au Tribunal de faire droit aux postulations des parties civiles.
Les condamnés quant à eux ont, certains, plaidé coupable, car étant aux aveux, d’autres par contre ont rejeté les faits infractionnels mis à leur charge.
Le 17 avril dernier, 15 assaillants armés ont été condamnés par la même juridiction à la peine de mort pour des actes de terrorisme, pillage et participation à un mouvement insurrectionnel. Ils étaient accusés d’avoir tué au moins 11 civils incinérés après égorgement de 5 militaires Fardc.
Nyrro Mukwakalombo à Bandundu




RPDC : La jeunesse et la construction d’une nouvelle Cité

Pyongyang, Capitale de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène fière de ses 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire, NDLR) a vu se dérouler, solennellement en présence du Maréchal KIM JONG UN (Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée -PTC créé en 1945- et Président des Affaires d’Etat de la RPDC), la cérémonie d’inauguration (25/02/2023), des travaux de construction d’une nouvelle Cité de plus de 4.000 logements dans le Secteur Sopho. Se proposant de construire, à Pyongyang uniquement, les 50.000 logements au cours du Plan Quinquennal 2021-2025 de développement de l’économie nationale, soit 10.000/an (sans parler de la construction dans les provinces, NDLR), le Pays s’emploie, énergiquement, à réaliser cet objectif. La 6ème (décembre 2022) session plénière du 8ème Comité Central du PTC a décidé de;

former une nouvelle Cité d’un style particulier dans le Secteur de la Porte-Nord de Pyongyang en y construisant plus de 4.000 logements, outre la construction de 10.000 logements en 2023 dans la Capitale
confier cette tâche à l’Union de la Jeunesse Patriotique Socialiste (UJPS créée en 1946, NDLR) et à la Troupe de Choc des Jeunes Héros du Mt. Paektu-san (mont ancestral de la Nation et sacré de la Révolution, le plus haut de la Péninsule coréenne avec 2.750m et classé 1er parmi les 6 monts célèbres de toute la Corée pour son paysage magnifique; le nom provient du fait qu’il est enneigé pendant toutes les 4 saisons, d’où le mont-blanc dont l’environnement naturel est formé à la suite des 31 éruptions volcaniques 937-1925, NDLR).
Selon les statistiques, aussitôt après l’appel du PTC, plus de 100.000 jeunes du Pays ont demandé à participer à cette construction. Dans les dures années de la Révolution coréenne, les jeunes avaient donné toute la mesure de leur dynamisme et de leur courage, accomplissant les exploits qui brilleraient, à jamais, dans l’histoire de leur Patrie. On trouve, partout dans le Pays, d’innombrables créations monumentales liées au nom de la «jeunesse». Rien que pendant ces 10 dernières années, ont vu le jour, bon nombre de constructions monumentales, y compris;
le Palais de la Sci-Tech
la Cité Mirae (ou avenir) pour Scientifiques
la Cité Ryomyong (ou aurore)
la Cité Songhwa (ou fleur du pin vert coréen)
les grandes fermes en serres de Ryonpho (Province Hamkyong-Sud) et de Jungphyong (Province Hamkyong-Nord)
la Ville Samji-yon (Province Ryanggang), modèle de la ville montagneuse moderne au pied du Mt. Paektu-san
les logements ruraux dignes de la nouvelle époque du développement rural.
Toutes ces créations portent les empreintes des actions d’éclat des jeunes bâtisseurs, dans le cadre de la mobilisation d’envergure (l’Armée Populaire de Corée à la tête, NDLR).
KIM JONG UN a dit dans son Discours (25/02/2023) «Donnez, une fois de plus dans notre Capitale Pyongyang, toute la mesure de votre fermeté caractéristique de jeunesse vaillante!»: L’intention du PTC est d’amener nos jeunes à donner une plus grande mesure de l’héroïsme et de l’abnégation patriotique propres à la jeunesse coréenne, dans le grand chantier de construction de la Capitale, et de les préparer, solidement, à devenir les continuateurs de la Révolution, la réserve du PTC et les acteurs de l’édification du socialisme. Si notre PTC accorde une attention particulière à la construction de cette nouvelle Cité, c’est que, si l’achèvement de celle-ci a en soi une grande importance, il est plus significatif et plus méritoire que l’armée d’une centaine de milliers de jeunes venus de tous les coins du Pays acquiert une expérience et une formation révolutionnaires au cours de la construction.
Les jeunes engagés dans la construction, quand ils auront regagné leurs ville et village, ils y créeront, de nouveau, un changement remarquable selon le mode d’actions et la façon de créer qu’ils auront acquis au cours de la construction de la Capitale, dotés de hautes visées et d’un noble idéal, et forts d’une grande audace. Sous les mots d’ordre «Pour la victoire de notre cause!» et «Pour notre Capitale Pyongyang!», les jeunes sont en train de;
accomplir, chaque jour, les miracles sur le chantier de construction de la nouvelle Cité, dans le Secteur Sopho
engendrer les innovations collectives dans les travaux de construction en s’entraidant et en se soutenant les uns les autres, même s’ils différent par la profession et l’âge et qu’ils n’ont pas encore beaucoup d’expériences.
Grâce à leurs efforts dévoués, surgissent, de plus en plus au fil des jours, les charpentes colossales d’immeubles d’habitation, révélant la forme de la nouvelle Cité.