Ministère des Affaires foncières : Molendo Sakombi est appelé à se saisir de la

Par ces écrits : ” Bakonzi je suis du Congo central bo pesa ville ya Kinshasa na mukongo te. Eko kufa bien bien”, Mme Thethé Gecko vient  d’extérioriser son mépris, son dégoût et  son hostilité, sa vive inimitié à l’égard d’un <<Mukongo>>, du fait de son appartenance  tribale et  régionale. Cet   acte  s’est  réalisé par écrit dans le forum UNC  Puissance, des injures à une communauté disant qu’un Mukongo ne peut pas être nommé interfédéral de Kinshasa, propos blessants et une  attitude offensante, injurieuse et  méprisante   de nature à inciter les autorités du parti  dans la  manifestation de l’aversion et de la haine par des  écrits divisionnistes.

Significativement, l’unité dans la diversité que prône le Docteur Vital Kamerhe   en dépit du découpage territorial qu’a subi précocement le pays en 2015 voudrait que nous demeurions un, un seul parti UNC, une seule nation, une seule  patrie….peu importe nos origines provinciales, territoriales, tribales ou ethniques, tous, sommes de la nationalité congolaise conformément à l’article 10 de la Constitution et de la loi de 2004 relative à la nationale.

L’article 30 de la loi fondamentale exclut dans ce pays la xénophobie, le tribalisme, la haine ou/et  l’aversion,  étant donné que tout Congolais est libre d’occuper toutes les  fonctions de sa capacité sans considération tribale, travailler et  demeurer là où bon lui semble.

En clair, déclarer un Congolais persona non  grata, parce qu’il est  originaire du Kongo Central  est injurieux, discriminatoire et susceptible de compromettre l’ordre public. Ce qui matérialise la haine ou l’aversion tribale et constitutif de l’infraction de tribalisme et d’incitation à la haine tribale  prévue et punie par l’ordonnance-loi n°66-342 du 07 juin 1966 en son article Premier,7,10,11,12 et les suivants.

Par cette déclaration Madame Thethé Gecko s’expose à la révocation au ministère des Affaires foncières, à la  radiation du parti et aux sanctions pénales, loi dispose que quiconque, soit par paroles, gestes, écrits, images ou emblèmes, aura manifesté de l’aversion ou de la haine tribale ou ethnique, aura commis un acte de nature à provoquer cette aversion ou cette haine, sera puni d’une servitude pénale d’un mois à deux ans et d’une amande de cinq cents mille francs.

Et comme l’infraction a causé une désorganisation des pouvoirs  publics et politiques, des troubles graves et une rébellion, si la justice est saisie et que  Mme Thethé Gecko est coupable, elle sera  punie  de la servitude pénale à perpétuité conformément à l’article premier de l’ordonnance loi précitée.

Comment un Mukongo ne peut être Interfédéral de Kinshasa, alors que   l’histoire du Kongo Central nous renseigne  que le plus grand et  meilleur mobilisateur du  MPR sous le Président  Mobutu était M. Kisombe Kiakumwisi, fin mobilisateur, un Mukongo. Et même étant Sud-Kivutien, je réalise qu’une telle  femme qui tient un tel  langage déshonore   sa fédération de Ngaliema et  fait la honte de la femme aux yeux du PN et du SG qui nous lisent à travers les fora et les médias en ligne et en plus sont très déçus de cette attitude ségrégationniste  de nature à isoler une province de ses opportunités politiques.

 Loin de faire l’avocat du camarade de Magloire Nlandu qui en plus n’est pas de ma hiérarchie et encore loin  d’entrer dans les conflits du Kongo Central, je note tout simplement que sans Kongo Central, nous ne sommes pas un parti national.

En conclusion, agissant en qualité de Coordonnateur national adjoint d’une structure spécialisée du parti et de lanceur d’alerte, je demande suite aux motifs  sus évoqués, au ministre des Affaires foncières de révoquer Mme Théthé Gecko  pour incitation à la haine  tribale. Au Secrétaire général et à l’Inspecteur général du parti de prendre des  mesures très rigoureuses à l’égard de Mme Thethé Gecko afin de mettre fin aux germes  du tribalisme déjà répandus  au sein du parti.

Me Alain Bacoke, Coordonnateur national adjoint de la cellule de Relation avec les mouvements associatifs de l’UNC




Selon Moïse Moni Dela : l’affaire pénurie des maïs attribuée à Moïse Katumbi comme responsable est une comédie qui mérite un Oscar

Au centre des accusations sur plusieurs fronts, notamment dans le dossier de pénurie des maïs dans le Grand Katanga et Grand Kasaï, mais aussi cité comme un des actionnaires privilégié des comptoirs des minerais de contrebande à Kigali au Rwanda par le pouvoir de Kinshasa. Dans le camp du leader d’Ensemble pour la République, les langues se délient : « la période semble être mal choisie pour saper l’honneur du Chairman, surtout en cette période cruciale où la Rdc est en plein processus électoral pour l’organisation de son quatrième cycle électoral dont Moïse Katumbi reste et demeure un challenger de taille pour ces enjeux”, précise Moïse Moni Dela, président du CONADE, un parti politique allié d’Ensemble pour la République.

A travers une interview accordée dans le média en ligne le quotidienrdc.com, Moïse Moni Dela proche et allié de Moïse Katumbi monte au créneau et balaye du revers de la main toutes les accusations portées contre le président d’Ensemble pour la République. Le président national du CONADE va plus loin en s’interrogeant si entre Moïse Katumbi et Félix Tshisekedi, qui est l’homme le plus fort du Congo ? Pour lui, “la  déclaration au vitriol de Nicolas Kazadi et autres chantres du régime de connivence et de convenance, attribuant à Moïse Katumbi la responsabilité de la pénurie du maïs en Rdc et plus particulièrement au Katanga, est une comédie qui mérite un Oscar”.

Pour le président du CONADE, comment expliquer que des pays souverains et puissants tels que la Zambie et l’Afrique du Sud puissent se plier à la volonté d’un individu, bien qu’acteur politique de premier rang en Rdc ? Comment expliquer que  les économistes et des diplomates très alertes que regorgent le gouvernement et même l’entourage du président Béton puissent oublier les notions élémentaires, mieux primaires des relations entre les Etats basées sur les intérêts ? Comment des économistes de haut rang comme M. Nicolas Kazadi, un Chancelier de l’échiquier congolais, et Vital Kamerhe peuvent-ils oublier les Abc de la loi de l’offre et de la demande ? On peut relancer son économie par la production, la consommation, l’exportation et par la conservation.

Poursuivant son propos, Moïse Moni Dela  appelle les autorités congolaises à comprendre que la Zambie et l’Afrique du Sud, “en refusant de fournir du maïs à la Rdc, optent pour des mesures conservatoires pour leurs économies. Pas d’intérêts, pas d’action, dit-on. Quel est aujourd’hui leur intérêt d’exporter le maïs en Rdc lorsqu’ils subissent eux-mêmes les effets de la sécheresse suite au dérèglement climatique ? Qu’est-ce que ces pays peuvent s’attendre en contrepartie de la Rdc, surtout avec un régime décadent qui souffre de légitimité et qui est  arrivé fin mandat ?  Kabila et ses hommes ont commis la même erreur en s’acharnant maladroitement sur Katumbi, ce qui fait de lui aujourd’hui un homme politique incontournable. Qui aime bien, conseille bien”, a-t-il souligné.

La guerre politique en 2023 reste rude et doit être faite autrement, le bilan doit être l’argumentaire fort du régime de Félix Tshisekedi, pas des attaques taillées sur les  individus quand bien même tous  les coups sont permis dans cette bataille, mais tout aussi ne passent pas. ” Il faut opposer à Moïse Katumbi un projet, une vision, un argument, pour la refondation du pays, que de faire gratuitement sa publicité.  Toutes les autres tracasseries et traquenards du genre loi Tshiani ou dossier Beveragui ne feront qu’augmenter sa popularité”. Il va apparaître comme victime de l’arbitraire du régime.

Osée Kalombo




Selon CREFDL : L’appel à candidature publié par la CENI viole la loi sur les marchés publics

Dans un communiqué de presse, le Centre de Recherches en Finances Publiques et Développement Local (Crefdl) dit avoir pris connaissance des termes de références de l’appel à candidature publiés en date du 8 mai 2023 par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) dans le cadre de la révision du fichier électoral.

Après analyse du document, CREFDL relève la procédure de sélection entamée par la CENI s’inscrit dans le cadre d’un processus de marché public. Il s’agit ici d’un marché de prestations intellectuelles, dont l’élément prédominant n’est pas physiquement quantifiable (Article 40 de la Loi relative aux marchés publics). Ce processus requiert à cet effet une mise en concurrence des candidats pré qualifiés conformément aux critères définis dans le cahier des charges, compte tenu de la sensibilité de l’Offre.

Le délai de de publicité de quatre jours accordé aux compétiteurs pour soumettre leurs dossiers viole la loi précitée. L’article 88 alinéa 2 et 3 du décret relatif à la procédure de passation des marchés publics renseigne que le délai minimum requis pour la publicité est fixé à trente jours, à compter de la date de publication de l’avis d’appel à la concurrence jusqu’à la date limite de dépôt des offres. Ce délai peut être ramené à quinze jours, en cas d’urgence dûment motivé et après autorisation spéciale de la Direction Générale du Contrôle des Marchés Publics (GDCMP).

En cas de demande de dérogation ou de contrôle préalable avant toute publicité des offres, la commission spéciale de marchés d’études, d’audits et organisation de la DGCMP dispose d’un délai de dix (10) jours pour donner son avis favorable. Ce délai peut être réduit à sept jours en cas d’un projet d’urgence (article 26 du décret portant création, organisation et fonctionnement de la DGCMP).

« Nous rappelons que, l’audit du fichier électoral est une matière très sensible ne peut être traité avec légèreté. Face à ces obligations réglementaires, il est inconcevable de voir la CENI organiser la sélection des consultants chargés d’audit du fichier électoral en marge des principes de la Loi relative aux marchés publics. Le délai de publicité est un élément clé de transparence et d’équité dans un processus de passation des marchés publics. L’opacité qui l’entoure pourrait entrainer le discrédit du rapport final par les différents acteurs du processus électoral », explique-t-il.

Ainsi, il recommande à la Cour des Comptes de saisir le gouvernement pour solliciter le non-paiement de cette activité lancée par la CENI en violation des articles 40 de la Loi relative aux marchés publics et 88 du manuel des procédures en vigueur en RDC; A la CENI : de respecter les principes fondamentaux de la Loi relative aux marchés publics pour obtenir la confiance des parties prenantes; A la population: de rejeter cette procédure opaque qui risquerait d’entrainer le discrédit du processus électoral.




La RPDC en violente colère contre ses forces hostiles

La République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée en 1948, berceau de la Civilisation Taedong-gang et de l’Esprit Paektu-san de la Nation homogène fière de ses 5.000 ans, Superpuissance politico-militaire, NDLR) est indignée, plus que jamais, contre ses ennemis jurés ou irréconciliables.

① De nouveaux explosifs mis à découvert

Dans le chantier de construction de 10.000 logements (plus de 50.000 en 2021-2025, NDLR) de la 2ème tranche du Secteur Hwasong (ou mars), les bâtisseurs ont découvert, ce 9 mai, de nouveaux explosifs révélant les crimes abominables perpétrés par les impérialistes US dans la Guerre (1950-1953 RPDC-USA) de Corée (Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant», NDLR), au cours de laquelle les USA (les plus obsédés à l’expansion d’outre-mer dès leur création, en tentant d’agresser la Corée en 1866, et occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne depuis 1945, NDLR) ont mobilisé plus de 2 millions d’hommes;

  • un tiers de leurs forces terrestres
  • un 5ème de leurs forces aériennes
  • la plupart de leur Flotte du Pacifique
  • une partie de leur Flotte de la Méditerranée
  • les troupes des 15 Pays satellites
  • l’armée de la Corée du Sud (DROM-COM des USA depuis 1948 pour être obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner le côté Nord -RPDC- comme ennemi principal, une fois de plus depuis une année, en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR)
  • les survivants des Forces Armées Impériales du Japon (le plus ambitieux de l’expansion d’outre-mer dès sa création, en tentant d’envahir la Corée la plus voisine en 1592-1598, et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR)

et largué, à plus de 1.400 reprises, quelques 428.000 bombes rien que dans la Ville Pyongyang, en alléguant; «Nous allons supprimer, complètement, des villes de la Corée du Nord sur la carte mondiale»; ils ont bombardé et canonné sans discrimination. Ainsi, d’innombrables bombes et obus (600.000t de bombes soit 18 bombes sur 1km2, NDLR) qui avaient raté le coup se sont enfoncés dans toute l’étendue du Pays (123.214km2).

Les obus de 50kg et de 100kg dont le corps était tout rouillé risquent d’éclater d’un moment à l’autre. Ces débris de génocide et de destruction découverts non seulement dans ledit chantier mais partout dans le Pays révèlent, nettement à la face du monde, les atrocités des agresseurs US, ennemis jurés du Peuple de la RPDC.

Toutes sortes d’explosifs, entre autres bombes, obus, mines et grenades, qui viennent d’être mis à découvert coup sur coup (10/03/2023; la 1ère découverte de l’année, NDLR) dans les chantiers de construction du Secteur Hwasong mettent en jeu la volonté des civils et des militaires de l’Armée Populaire de Corée d’anéantir les impérialistes US, meneurs des agressions et des guerres et destructeurs de la paix de l’Humanité.

 

② Les meetings de protestation

Les meetings de protestation de diverses couches sociales du Pays pour châtier, impitoyablement, les USA, Pays-gangster peu commun et Empire du Mal, et les fantoches de la Corée du Sud fous de la confrontation intercoréenne, ont eu lieu, des jours de suite depuis ce 2 mai, dans tous les provinces, villes et arrondissements.

  • Les jeunes et étudiants du Pays entier, dans leurs rassemblements de prestation de serment, ont condamné, avec véhémence, les agresseurs US qui s’adonnent, frénétiquement, aux manœuvres de guerre nucléaire contre la RPDC, proférant des bêtises belliqueuses comme la «fin du Régime (RPDC)», et la clique fantoche (YOON Seok-Yeol 1960- ) sud-coréenne, traître de 1er ordre (selon les médias, NDLR).
  • Les ouvriers et syndiqués d’usines et autres entreprises du Pays, accablés d’indignation implacable contre les actes odieuses des fanatiques de guerre, ont juré de briser, par leurs succès dans l’édification de l’économie nationale, la folie d’antagonisme anti-RPDC des impérialistes US et de leurs acolytes.
  • Les permanents et membres de l’Union des Travailleurs Agricoles de Corée ont affirmé leur ferme volonté de contribuer au renforcement du potentiel de défense nationale en obtenant, en cette année 2023, une récolte abondante sans faille, avec un sentiment de châtier, sans merci, les ennemis jurés.
  • Les permanentes et membres de l’Union des Femmes Socialistes de Corée ont fait remarquer que ceux désireux d’usurper sur la vie, le bonheur et l’avenir de la RPDC ne sont voués qu’à la mort douloureuse et à la ruine totale.

Pour rappel et selon les médias, les manifestations continuelles (01/05/2023- ) d’envergure dans toutes les régions de la Corée du Sud ont atteint l’extrême ou apogée ce 10 mai marquant le 1er anniversaire de la prise du Pouvoir de YOON Seok-Yeol qui est 100%;

  • contre sa propre population locale
  • pour les USA et le Japon.

 




Plus de 60 ans après, Kibassa Maliba inaugure un nouveau complexe commercial de la Poste à Kinshasa

Ce mercredi 10 mai 2023, le ministre des Postes Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’information et de la communication, Augustin Kibassa Maliba, a procédé à l’inauguration d’un nouveau complexe commercial de la Poste, situé au Pont Cabu dans la commune de Kalamu à Kinshasa.

La cérémonie inaugurale s’est déroulée en présence de plusieurs autorités notamment le président de l’autorité de régulation de la poste et des Télécommunications du Congo Christian Katende, le secrétaire général aux PTNTIC…

Prenant la parole, le directeur général de la société congolaise des Postes et des Télécommunications, Didier Musete, a remercié le ministre des PTNTIC pour son engagement et sa détermination dans la réalisation de cette œuvre.

“Nous n’avions pas d’argent pour construire, mais nous avions un Ministre fort, disponible et à l’écoute ; je vous prie d’acclamer Son Excellence Augustin Kibassa Maliba, qui n’a de cesse de porter la SCPT, sa SCPT, dans la réalisation de son Plan ambitieux de relance”, a déclaré Didier Musete.

Et de renchérir, “oui, Je suis fier de porter ce jour la mémoire de nos illustres prédécesseurs, nos arrières grands parents qui ont construit le premier bureau de poste du Congo à Banana en 1885. Ces bâtisseurs nous ont montré le chemin, et je remercie sincèrement tous ceux qui nous ont aidés à dépasser cette ligne d’arrivée mentale définie par le colonisateur, c’est-à-dire 361 bureaux de poste légués en 1960. Nous l’avons transformé en ligne de départ, car un pays sans poste est un pays sans état, sans administration”.

D’après Musete, le Complexe Commercial de Kinshasa est un bâtiment de 2928,85 mètres carrés, avec un espace marchand de plusieurs magasins, des entrepôts, des bureaux et un parking qui viennent changer le paysage architectural de la ville.

Il a expliqué que divers commerces, des agences de voyage, des supermarchés, des banques, des boutiques, des cabinets d’avocats et autres magasins de meubles sont autant d’opportunités d’affaires qui vont faire de ce site un haut lieu des échanges pour la ville de Kinshasa.

Dans son mot, le ministre des PTNTIC a expliqué qu’ “afin d’atteindre les objectifs de gestion administrative optimale, d’inclusion financière et de maîtrise de son espace géographique, j’ai validé le Plan de Relance de la SCPT, dont l’un des volets concerne la viabilisation de ses sites existants, entre autres celui de Pont Cabu, que j’ai l’honneur d’inaugurer ce jour”.

“Le Ministère des PTNTIC que j’ai le privilège de diriger, fonde son programme d’action sur deux axes principaux : les Infrastructures de télécommunications de base ainsi que la création des multiples services innovants devant faciliter la vie courante de notre population”, a souligné le patron des PTNTIC.

Kibassa met le cap sur les services

Outre ces équipements qui nous permettent de rester connectés au  monde, l’état congolais veille à maintenir et surtout à développer le  réseau des 361 agences postales disséminées dans les 26 provinces de notre grand pays.

« Au-delà de la réussite architecturale de ce bâtiment commercial, qui constitue un apport indéniable dans l’embellissement de la Ville de Kinshasa, mon ministère rencontre ici le deuxième pilier de son  action, j’ai cité les services », indique le ministre. En effet, les différentes agences de la Poste implantées un peu partout sur l’étendue de la République, sont des viviers de solutions et d’atouts dont il faudra savoir tirer des dividendes : une position stratégique au cœur des grandes agglomérations du pays, un hub des multiples flux financiers notamment au travers des transactions électroniques, une population rapidement croissante, estimée à plus de 100 millions d’habitants qui doivent communiquer, des espaces marchands, les facilités du commerce électronique, des incubateurs pour les startup moteur de la créativité et l’innovation au sein de notre  jeunesse.

Dans sa position de second pourvoyeur de l’assiette fiscale du Trésor public, le secteur des PT&NTIC est un vrai levier de croissance et de développement qui exige donc des infrastructures et des services de haute facture afin de répondre avec acuité aux besoins réels et ponctuels de notre population.

En inaugurant ce jour ce site, dit-il, fruit de la vision et de la détermination des dirigeants de la SCPT, ayant su nouer des partenariats qui transcendent les contingences liées à la gestion courante des entreprises publiques, dans le respect des textes en vigueur, je suis humblement animé d’un sentiment de fierté et d’accomplissement, en ma qualité de responsable de ce secteur.




Lutte contre le VIH/SIDA pédiatrique : Le Dr Aimé Mboyo interpelle l’assistance sur l’importance d’un dépistage précoce contre cette pandémie

Intervenant en invité d’honneur lors du diner de gala, organisé par l’Asbl « La Main sur le Cœur », spécialisée dans la prise en charge des orphelins du VIH/SIDA, le Directeur du Programme national de lutte contre le VIH/SIDA (PNLS), en a profité pour interpeller l’assistance sur l’importance du dépistage précoce dans la lutte contre cette pandémie.

Trois messages clés donnés de manière concise, ont suffi pour captiver l’attention de cette assistance VIP venue nombreuse à cette belle soirée philanthropique hautement en couleurs avec un seul objectif de redonner de la vie, de l’espoir à ces enfants malades, pris en charge par cette Asbl, dont les actions vont au-delà de la capitale.

« Premièrement, aujourd’hui pour que nous ne continuons plus à compter le nombre d’enfants orphelins du au SIDA, nous devons protéger avec les parents (…) Mais pour garder les parents, nous voulons lancer un message aux parents ce soir, aujourd’hui plutôt qu’on se fait dépister, plutôt on a accès aux médicaments antirétroviraux et nous pouvons reculer, éviter de compter le nombre de décès, ainsi on n’aura pas des enfants orphelins malades. Deuxièmement, aujourd’hui les enfants peuvent naitre sains des parents vivants avec le VIH. Donc il est possible d’éliminer la transmission du VIH de la mère à l’enfant.  C’est donc possible. Et donc, il faut qu’on encourage les femmes enceintes, les femmes et les filles à l’âge de procréer de pouvoir accéder lors des consultations prénatales de passer par le dépistage et de bénéficier d’une prise en charge incluant le traitement antirétroviral. Le troisième et dernier message est que nous devons lutter contre la stigmatisation, la discrimination, l’exclusion et le rejet », avait lancé le Docteur Aimé Mboyo lors d’un diner de gala, organisé par l’Asbl «  La Main sur le Cœur » en marge de la Journée internationale des Orphelins du VIH/SIDA, le 07 mai de chaque année.

Le Programme national de lutte contre le VIH/SIDA (PNLS) a par ailleurs, salué l’objectivité avec laquelle l’Asbl « La Main sur le Cœur », tient à sa mission, laquelle l’a conduite aujourd’hui à cette 7è édition de diner de Gala. C’est un élan de cœur, mieux une véritable passion, qui caractérise les mamans de cette Asbl.

Soulignons que la République démocratique du Congo compte près de 520 milles personnes vivants avec le VIH/SIDA et près de 400 milles orphelins vivants avec le VIH/SIDA. Ce qui est une grande problématique pour l’épanouissement de cette jeunesse.

Cependant à côté de la disponibilité de cette Asbl, le Directeur du PNLS a informé l’assistance du lancement sur le plan mondial de l’« Initiative globale pour l’élimination du VIH/SIDA chez les enfants d’ici à 2030 ». Cette initiative vise entre autres à corriger les inégalités dont malheureusement les enfants souffrent quant à l’accès au traitement antirétroviral. Au monde, 67% d’adultes ont accès au traitement antirétroviral contre à peine 52 % enfants.

« Dans notre pays cette inégalité est aussi une réalité. Les enfants ont accès à 38 %. Les efforts ont été entrepris mais il reste encore insuffisant. Nous devons encore doubler les efforts pour améliorer l’accès des enfants aux traitements antirétroviraux », a-t-il plaidé.

Prince Yassa




COMMENT RENVERSER LES AUTELS NEGATIFS ET BATIR LES AUTELS POSITIFS 11/05/23 PAST François MUTOMBO




SADC, Tshisekedi balise la voie pour l’Intégration régionale

M. Mbusa Nyamwisi, le Minétat de l’Intégration régionale, a assisté le chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi, dans ses différentes activités, au deuxième jour du programme de sa visite au Botswana, ce 10 mai 2023.

Mbusa Nyamwisi a, en effet, a accompagné Félix Tshisekedi dans la visite du siège de la SADC. Le Président de la République qui avait aussi à ses côtés le VPM en charge des Affaires étrangères, Christophe Lutundula Apala, a apposé sa signature dans le livre d’or de l’organisation régionale qui vise le développement de l’Afrique australe. Mbusa Nyamwisi a prêté une attention soutenue au briefing du bureau du Secrétaire exécutif de la SADC exposé au Président de la RDC.

Président en exercice de la SADC, Félix Tshisekedi a apprécié à sa juste valeur le travail qu’effectue la SADC sous la direction de son Secrétaire exécutif, Elias Mpedi Magosi.

Ce dernier a félicité le Président Tshisekedi pour son leadership et l’orientation qu’il a donnée à la SADC pour faciliter l’intégration régionale. Sur ce, Mbusa Nyamwisi s’est déjà engagé à revitaliser la diplomatie régionale de la RDC notamment au sein de la CEEAC, CIRGL, etc. est aujourd’hui président du conseil des ministres de la SADC.

Tshisekedi a, en effet, tiré profit de la circonstance, d’abord pour remercier son homologue, Mokgweetsi Eric Keabetswe Masisi, et le peuple botswanais pour leur marque d’accueil et d’hospitalité, et ensuite, prodiguer des conseils constructifs pour le succès de l’intégration régionale, la bonne gouvernance, la sécurité etc. Dans son speech marqué d’une apodose et d’une protase qui feront date, Félix Tshisekedi a notamment indiqué que la SADC est une communauté unie composée de 16 États membres, avec un PIB combiné d’environ 720 milliards USD et une population totale de plus de 360 millions de personnes, dont 74,6 millions sont des jeunes. Et Tshisekedi de poursuivre, ” nous possédons un marché dont le potentiel pour l’investissement et le développement économique est considérable.

[Mais] la SADC n’a pas encore franchi l’étape de Zone de libre-échange (ZLE) pour pouvoir mettre en opération l’union douanière et le marché commun dans les délais prévus, elle a du moins enregistré le taux le plus important d’échanges commerciaux intra régionaux, soit 23 % du total des échanges réalisés à l’échelle du monde.”

Et abordant la délicate question sécuritaire, le président en exercice de la SADC a déploré qu’elle est plutôt en dents de scie. Or, comme n’a cessé de le proclamer Mbusa Nyamwisi, prétendre au développement sans la paix n’est que poursuite du vent. ” (…) considérant là où en est la SADC aujourd’hui, déclare Tshisekedi, je pense que les mots prononcés par un de nos pères fondateurs, feu le Président M. Seretse Khama … au Sommet de Mulungushi en 1980, à Lusaka en Zambie, sonnent encore juste : « Soit nous avançons ensemble soit nous périssons”.




A l’instar de l’Eac : La Sadc n’enverrait pas ses troupes pour traquer l’armée rwandaise en Rdc !

Du communiqué final du sommet de la Troïka de la Sadc tenu le lundi 8 mai 2023 à Windhoek, capitale de la Namibie, il ressort au point 9 que « Le Sommet a approuvé le déploiement d’une force de la SADC, en vertu du cadre de la Force en attente de la SADC, en tant que réponse régionale pour soutenir la République démocratique du Congo dans ses efforts de restauration de la paix et de la sécurité à l’est du pays » et au point 10 : « Le Sommet a approuvé la position commune de la SADC, à savoir une approche plus coordonnée, compte tenu des nombreux déploiements effectués en vertu d’ententes multilatérales et bilatérales à l’est de la République démocratique du Congo et a exhorté le gouvernement de la République démocratique du Congo à mettre en place les conditions et les mesures nécessaires devant faciliter la coordination efficace des forces sous régionales et des partenaires bilatéraux qui opèrent dans le pays». Bien entendu, il s’agit d’un succès diplomatique à mettre au crédit du Président Félix Tshisekedi…

Cependant, il y a lieu de se demander si, après l’Eac, au travers de sa Force régionale constituée jusque-là d’armées gouvernementales kényanes, burundaises, ougandaises et sud-soudanaises, auxquelles vont se joindre les troupes angolaises, il n’y a pas risque de tomber de Charybde à Scylla avec l’entrée en lice de la force régionale de la Sadc.
La préoccupation se situe dans l’exhortation faite à la RDC de coordonner toutes les forces armées à déployer sur son sol. Déjà, l’Union africaine s’est engagée à tenir un sommet quadripartite réunissant les pays membres de la Sadc, de l’Eac, de la Cirgl et de la Cééac.
Vice-Premier ministre congolais en charge des Affaires étrangères, Christophe Lutundula a affiché son optimisme. «Je pense que la grande annonce se trouve dans le communiqué final de ce sommet des Chefs d’État de la Sadc. Le sommet a approuvé le déploiement de la Force de la Sadc (…) pour soutenir la RDC afin de restaurer la paix et la sécurité à l’Est. Donc, c’est clair que la Sadc s’engage militairement sur le terrain et va déployer incessamment une force. La Sadc recommande que la RDC réunisse toutes les conditions requises pour un sommet de coordination de tous les intervenants et tous les acteurs internationaux sur le terrain afin d’arriver à une action efficace et harmonisée », a-t-il déclaré.
Interprétation facile de la pensée du médiateur Joao Lourenço
Pourquoi la responsabilisation de la Rdc alors qu’en matière d’organisation militaire, le pays est en train de procéder à des ajustements organisationnels ? La réponse n’est pas éloignée de la position exprimée par le Président Joao Lourenço dans une interview à France 24 diffusée le même jour (8 mai 2023) du sommet de la Troïka de la Sadc.
« Après le dernier sommet d’Addis-Abeba, c’est le Président Kagame qui, à ma demande, a mis l’Angola en contact avec les dirigeants du M23. Nous avions quelques difficultés pour contacter les éléments du M23. Nous avions pour mission de créer ce contact. Et c’est le Président Paul Kagame qui a facilité cette relation. Et quelques jours plus tard, les dirigeants du M23 sont venus en Angola et nous avons travaillé avec eux à Luanda. Nous n’avons rien à reprocher à Kagame», a-t-il dit.
Parlant du calendrier de retrait tel que fixé dans la feuille de route du mini-sommet de Luanda tenu en septembre 2022, le Chef de l’Etat angolais va révéler : « Ce qu’on aimerait, c’est que le calendrier pour mettre en place le cantonnement soit un petit peu raccourci, mais cela ne se passe pas comme ça. Toutefois, il faut rester confiant», avant d’ajouter : «Nous sommes en contact permanent avec les autorités congolaises haut plus haut niveau. Le Président Félix Tshisekedi vient régulièrement à Luanda afin de travailler exclusivement sur cette question du M23».
D’une confrontation possible entre les armées congolaises et rwandaises, Joao Lourenço fait preuve de pragmatisme. « Personnellement, je ne pense pas que cela va se passer comme ça. En ce qui me concerne, nous ferons tout ce qui est à notre pouvoir pour éviter cette confrontation de deux pays voisins la RDC et le Rwanda».
Information-clé est dans la partie suivante : «Nous savons qu’à ce jour le M23 respecte le cessez-le-feu. Malheureusement, la prochaine étape ne s’est pas encore concrétisée. Cette étape ne dépend pas uniquement du M23. Elle dépend aussi du pays, la RDC. C’est le cantonnement des forces du M23. Nous avons mis en place un cessez-le-feu ; à présent, nous devons cantonner ces forces et lancer le processus de réintégration de ces citoyens congolais dans la société congolaise ».
Interprétation facile de la pensée du médiateur africain Joao Lourenço pour la Cirgl, l’un des dirigeants principaux de la Sadc : le M23 respecte le cessez-le-feu (ce qui n’est pas l’avis de la partie congolaise) ; la balle est plutôt dans le camp de la RDC et la confrontation entre les armées gouvernementales congolaises et rwandaises est juste une illusion.
La balle est désormais dans le camp de la Rdc
A partir de cet instant, on est en droit de chercher à savoir ce qu’il faut attendre de la Force régionale de la Sadc dont, primo, les troupes angolaises, zimbabwéennes et namibiennes avaient été déployées en RDC lors de la guerre du 2 août 1998 ; secundo, les troupes sud-africaines, tanzaniennes et malawites avaient été intégrées dans la Brigade d’intervention aspirée par la Monusco après la défaite du M23 en 2013 !
Ce qu’il faut en attendre, c’est probablement le déploiement des troupes d’autres pays membres comme Botswana, Lesotho, Madagascar, Maurice, Mozambique, Seychelles, Swaziland, Zambie et Comores.
Quand on a alors une lecture géopolitique et géostratégique pragmatique, on doit reconnaître pour la partie négro-africaine du continent l’emprise française sur l’Afrique occidentale et l’Afrique centrale et l’emprise britannique, mieux anglo-saxonne sur l’Afrique orientale et l’Afrique australe.
Dans cette logique, étant sous emprise anglo-saxonne, l’Eac et la Sadc ne feront jamais la guerre au Rwanda anglo-saxon si des informations fournies par Washington et Londres confirment la présence des troupes rwandaises en RDC avec ou non aux côtés du M23.
Par contre, elles feraient la guerre au M23 en l’absence totale des troupes rwandaises.
En définitive, à l’analyse des propos du Président Joao Lourenço et du communiqué final du sommet de la Troïka de la Sadc, la balle est désormais dans le camp de la RDC.
Formons l’espoir que ce ne soit pas un énième piège à se refermer sur Kinshasa. D’où devoir de vigilance pour tous ceux qui se savent en charge du «Desk Guerre de l’Est ».
Omer Nsongo die Lema




Lubumbashi : Organisation d’un atelier sur l’enregistrement des enfants à l’Etat-civil

La Mairie de Lubumbashi, en collaboration avec le Fond des Nations-Unies pour l’enfance (UNICEF) organise des assises qui vont se dérouler durant trois jours dans la salle Bulaya de l’Hôtel de Ville de Lubumbashi, assises qui concernent les Administrateurs des territoires du Haut-Katanga, les bourgmestres de Lubumbashi et Likasi ainsi que les maires des villes de Likasi, Kasumbalesa et Lubumbashi lancées ce 09 mai 2023 par le Ministre Provincial de l’intérieur Éric Muta Ndala.

Prenant la parole, la représentante du chef de bureau du Fond des Nations-Unies pour l’enfance a souligné avec du goudron l’importance de l’enregistrement des enfants à l’Etat-civil.

Dans son mot de bienvenu, le Maire de Lubumbashi, Martin Kazembe Shula a également souligné l’importance de l’enregistrement de l’enfant à l’Etat-civil pour avoir droit à un nom et une nationalité.

Plusieurs modules sont prévus à l’agenda de ces assises portant notamment sur le système d’enregistrement à l’Etat-civil ; le fondement historique, Juridique et les types d’enregistrement des enfants à l’Etat-civil en République Démocratique du Congo.

Roger Ngandu wa Mitaba