Des cas de tuberculose parmi les migrants subsahariens en Algérie

Des cas de tuberculose ont été enregistrés parmi des migrants subsahariens en situation irrégulière en Algérie. La wilaya d’Alger a alerté dans une récente note sur une prolifération de cette maladie contagieuse parmi les clandestins subsahariens se trouvant sur le territoire national.

Dans la note adressée à la direction de la santé de la wilaya d’Alger et au wali délégué de Baraki dans la banlieue sud de la capitale, il est fait mentionner de l’enregistrement de cas suspects de tuberculose parmi les migrants subsahariens au niveau de l’établissement de santé de proximité de Larbaâ dans la wilaya de Blida.

Il est également mentionné une hausse des cas de tuberculose et le refus de certains cas suspects d’être transférés dans un hôpital spécialisé pour recevoir les soins nécessaires, rapportent El Khabar et le site spécialisé Essaha.dz.

Le quotidien Echorouk rapporte que le ministère de l’Intérieur a adressé une note à tous les walis pour les informer de cas de tuberculose parmi les migrants subsahariens et leur demander de renforcer le dispositif d’alerte et de vigilance.

Alerte à la tuberculose parmi les subsahariens aux portes d’Alger

La note de la wilaya d’Alger attire aussi l’attention sur la présence de migrants clandestins subsahariens dans la région de Saij à Oued Djemaâ qui est située entre les communes de Larbaâ, Ouled Slama et Ouled Moussa.

Ces migrants habitent dans un bidonville dans des conditions d’hygiène déplorable et le matin, ils se dispersent pour mendier sur la place publique ou travailler dans le privé, selon la même source.

Pour faire face à cette situation, la wilaya d’Alger demande un rapport détaillé sur la situation, la prise en charge des cas de tuberculose et met en alerte la Protection civile afin d’intervenir en cas de besoin.

Curieusement, le ministère de la Santé n’a pas communiqués sur la découverte de cas suspects de tuberculose et les spécialistes restent prudents sur cette affaire, d’autant que le nombre de cas n’a pas été précisé. Y-a-t-il eu une enquête épidémiologique effectuée par l’Institut national de santé publique ?

L’Algérie accueille de nombreux clandestins subsahariens. Certains migrants considèrent l’Algérie comme un pays de transit pour l’émigration en Europe.

D’autres finissent par s’y installer souvent dans des conditions déplorables, en travaillant au noir dans le bâtiment et l’agriculture notamment.

Les enfants et les femmes se retrouvent parfois contraints de mendier dans les rues des grandes villes pour survivre. Régulièrement, l’Algérie procède à l’arrestation de centaines de migrants subsahariens qui tentent de traverser la frontière. Elle organise aussi des opérations de rapatriement des migrants au Niger.




Polémique autour des propos du pape concernant une mission auprès de l’Ukraine et la Russie

Après la « confusion diplomatique » qui a suivi une déclaration du pape sur le vol de retour de Budapest, le secrétaire d’État du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, a répondu à la polémique. Il l’a fait dans le cadre de la présentation d’un livre à Rome.

Répondant aux questions des journalistes, le cardinal Parolin a reconnu que « le pape a dit qu’il y aura une mission qui sera annoncée lorsqu’elle sera publique et je répète les mêmes expressions qu’il a utilisées. Je n’entrerai pas dans les détails. Le pape a parlé en ces termes, laissons-lui le soin de donner plus d’informations. »

Cependant, le secrétaire d’État s’est dit surpris par les réactions de la Russie et de l’Ukraine, car selon lui, les deux parties « pour autant que je sache, sont au courant. Ensuite, vous savez comment ces choses se passent, au milieu du labyrinthe de la bureaucratie, les communications peuvent ne pas arriver là où elles sont censées parvenir. Cependant, mes propos ne sont que des interprétations ; je sais que les deux parties ont été informées ».

Le cardinal Parolin a également déclaré que la présence du numéro deux de l’Église orthodoxe russe à l’audience générale du pape François le mercredi 3 mai sur la place Saint-Pierre n’a rien à voir avec la mission évoquée par le pape lors de la conférence de presse.




Sud-Kivu : Théo Ngwabidje Kasi accompagne les partenaires du secteur de l’agriculture dans la LUTTE contre la malnutrition des enfants de zéro à cinq ans

« Le Gouverneur Théo Ngwabidje Kasi nous a fait confiance, à nous de travailler dans la transparence avec les partenaires de notre Gouvernement provincial et les amener à poser des actions concrètes au profit de notre population… », c’est par ces mots que le ministre provincial de l’Agriculture pêche, élevage et développement rural Jean-Bosco Ruteye Kitambala a échangé avec la délégation du Programme Multisectoriel de Nutrition et Santé(PMNS) le jeudi 04 mai 2023 à son cabinet de travail, en présence de son directeur de cabinet en présence des responsables des services techniques de l’agriculture, pêche et élevage, le service de vulgarisation, du SENASEM et le Directeur national du programme de nutrition du Ministère de la santé.

Selon notre source, cette délégation venue de Kinshasa qui avait été reçue par l’autorité provinciale bien avant, séjourne au Sud-Kivu dans le cadre de l’évaluation des activités multisectorielles qui cadrent avec la nutrition en faveur des enfants vulnérables de zéro à cinq ans sous alimentés, avec comme impact de déficience mentale.

Séance tenante, plusieurs recommandations ont été émises entre autres l’aboutissement de ce projet, la collaboration étroite entre le partenaire de mise en œuvre avec les services techniques apparentés au projet et surtout l’accompagnement du Gouvernement provincial à travers le Ministère impliqué du projet.

La communication devra être de mise à travers les acteurs du secteur concerné, a martelé le Ministre, avant de remercier ses hôtes pour les actions concrètes posées au profit des enfants vulnérables.




Catastrophe naturelle à Kalehe : Le gouverneur Théo Ngwabidje réconforte les familles

Cent septante-six corps sans vie tirés des décombres, 57 blessés internés à l’hôpital général d’Ihusi, au moins 100 disparus, des village-rues terrassés et plusieurs autres dégâts matériels, c’est le bilan jusque-là provisoire dû aux inondations et pierres charriées par les rivières lors des fortes pluies qui se sont abattues à Bushushu et Nyamukubi dans le Territoire de Kalehe dans la nuit du 4 mai 2023.

Informé de l’affreuse nouvelle, le Gouverneur de Province Théo Ngwabidje Kasi, affligé, n’est pas resté insensible. Il s’est vite rendu sur place ce vendredi 05 mai 2023, à la tête d’une délégation du Gouvernement provincial afin d’apporter du réconfort aux familles éplorées, assister les sinistrés et annoncer des mesures prises pour éviter pareille tragédie à l’avenir.

Il a présenté ses condoléances aux familles avant de transmettre également celles du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi qui est de cœur avec les habitants de Kalehe en particulier et ceux du Sud-Kivu en général durant ces moments malheureux.

Le Gouverneur de Province Théo Ngwabidje Kasi a fait savoir devant plusieurs habitants de Bushushu et Nyamukubi que son Gouvernement prend en charge les frais funéraires afin d’enterrer dignement les illustres disparus. Les blessés sont également pris en charge à l’hôpital général d’IHUSI où il s’est rendu et les cas graves seront transférés à Bukavu, a rassuré le Chef de l’exécutif provincial.

Ce même vendredi, un bateau a quitté Bukavu avec à son bord des médicaments, des bâches pour abri, des ustensiles de cuisine, des vivres et bien d’autres pour les sinistrés de cette catastrophe naturelle, assistance du Gouvernement provincial en attendant l’appui du Gouvernement central. Parmi les solutions durables, le Gouverneur de Province a annoncé la délocalisation des habitants vers des sites hors du danger pour lutter contre ces catastrophes devenues périodiques, une proposition qui a rencontré l’assentiment des habitants qui ont remercié l’autorité provinciale pour sa proximité.




Kongo-Central : Guy Bandu et Jean-Claude Mvuemba rassurent Peter Kazadi du maintien de la cohésion sociale

Face aux rumeurs sur les réseaux sociaux faisant état des tensions qui existeraient entre le Gouvernement provincial et l’Assemblée provinciale, Guy Bandu Ndungidi et Jean-Claude Mvuemba se veulent rassurants.

C’est au cours d’une réunion avec le patron de la territoriale en RDC que le Gouverneur et le Président de l’Assemblée provinciale du Kongo-Central ont affirmé, jeudi 04 mai devant le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières, Peter Kazadi, que la paix règne dans la province du Kongo-Central, particulièrement entre le Gouvernement provincial et l’Assemblée provinciale.

« En tant que patron du Ministère de l’Intérieur, il était soucieux de savoir exactement qu’en était-il de la situation politique au niveau de la province du Kongo-Central. Je peux confirmer qu’à ce stade, nous sommes toujours très engagés dans le maintien de la cohésion provinciale, qui est le gage du développement de la province. C’était juste l’occasion de confirmer que tout va pour le mieux », a affirmé le Gouverneur Guy Bandu.

Mêmes propos tenus par le Président de l’Assemblée provinciale Jean-Claude Mvuemba. « Son Excellence Monsieur le Vice-premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières a souhaité nous voir par rapport à tout ce qui se dit sur les réseaux sociaux entre l’Assemblée provinciale et le Gouverneur. En tant que quelqu’un qui veut la paix, il a souhaité tout d’abord nous écouter pour que nous sachions aussi sa vision. Finalement, il a compris lui-même en tant qu’un ancien parlementaire (…) », a laissé entendre Jean-Claude Mvuemba.

« La population du Kongo-Central doit savoir que l’Assemblée provinciale est là, le Gouverneur est là par rapport à la cohésion sociale. Il n’y a aucun problème. Le Gouverneur fait son travail de l’exécutif, l’Assemblée provinciale fait son travail de législateur», a-t-il ajouté.

Le Gouverneur Guy Bandu Ndungidi tout comme le Président de l’Assemblée provinciale Jean-Claude Mvuemba, chacune de ces deux autorités s’est fait accompagner par quelques personnalités.




A Abuja : Pius Muabilu va prendre part à la 42ème Assemblée générale de Shelter Afrique

Quel sera le message du gouvernement de la République Démocratique du Congo aux travaux de la 42me Assemblée générale de Shelter Afrique ? La question est sur toutes les lèvres. Les assises débutent ce 06 mai et le ministre d’Etat à l’Urbanisme et Habitat du Congo Démocratique y prendra activement part.

Pius Muabilu est d’ailleurs attendu dans la ville d’Abuja au Nigeria où se tiendront les assises dans les heures qui suivent. Le patron du développement urbain prendra parole à la table ronde ministérielle prévue le 09 mai, selon son conseiller chargé de communication et des questions politiques.

Celé Kanangila fait partie de la délégation d’avance du ministre d’État arrivée à Abuja hier soir. Il précise par ailleurs que le numéro un de l’Urbanisme et Habitat profitera de son séjour pour mener le lobby en faveur de son Congo Natal.

Pius Muabilu a joué et gagné dernièrement un siège au conseil d’Administration de Shelter rappelle-t-il. Et d’ajouter « c’est une première depuis l’accession de la RDC à l’indépendance ». Le warrior à l’Urbanisme et Habitat va donc profiter de son séjour pour activer la mise en œuvre de différents protocoles d’accord signés avec cette société.

Il sera également question pour lui d’expliquer le bien fondé de différentes réformes initiées pour remettre de l’ordre dans ce secteur. À l’aéroport international d’Abuja, Pius Muabilu sera accueilli par son collègue Nigérian, avant un échange avec la presse nationale et internationale au salon diplomatique.

Il accordera en suite une série d’audiences dans sa résidence de circonstance. Soulignons que la 42ème session de Shelter Afrique est placée sous le thème : « L’économie politique dans l’environnement bâti ».




Y a-t-il eu abus de pouvoir dans le chef de l’équipe de l’IGF en mission d’encadrement au Kasaï-Oriental ?

Y a-t-il eu abus de pouvoir dans le chef de l’équipe de l’IGF en mission d’encadrement au Kasaï-Oriental ? C’est la question que se pose M. Dieunit Kanyinda Mampinda, Chargé de Communication de l’IGF, qui explique qu’en vue d’assister les autorités provinciales à intégrer les bonnes pratiques en matière de gouvernance, principalement la programmation des dépenses et le respect des règles de la justification de celles-ci, l’Inspection Générale des Finances a entrepris, depuis l’exercice 2021, de diligenter des missions d’encadrement auprès de certaines Provinces. Présentement, ces missions sont entre à l’œuvre auprès des Provinces du Kongo Central, Kasaï-Oriental…

Dans le cadre de cette assistance à la bonne gouvernance, dit-il, il est attendu des Autorités provinciales de programmer les dépenses à exécuter et d’en soumettre les pièces justificatives à l’équipe des Inspecteurs des Finances. Et ce, pour un contrôle à priori, les dépenses urgentes étant exécutées par ces Autorités, sous leur propre responsabilité, sous réserve de leur présentation à l’équipe d’encadrement, à l’occasion du prochain plan de décaissement.

Pour l’exécution de ces missions, il est demandé aux équipes d’encadrement de maîtriser toutes les sources des recettes des Provinces, afin d’éviter que des dépenses hors-programmation ne soient exécutées à leur insu.

Dans le cas particulier de la Province du Kasaï-Oriental, indique-t-on, l’équipe des Inspecteurs des Finances vient de découvrir l’existence de deux comptes bancaires ouvertes par la Province, non-déclarés par elle, alors que des transferts en provenance du Pouvoir central y ont été logés, soit d’un montant de CDF 1 000 000 000 dans le compte solidarité Kasaï-Oriental en décembre 2022 et un montant de CDF 200 000 000 dans le compte AGRIPPEL en avril 2023. De ces deux comptes, des dépenses d’un total de CDF 360 351 807 ont été effectuées, en dehors de tout plan de décaissement et sans demande de régularisation introduite par les Autorités provinciales. Celles-ci se sont donc installées dans une posture de fraude, visant à contourner les mesures d’encadrement mises en place.

Comme il est demandé aux équipes des Inspecteurs des Finances, dans de pareilles circonstances, il revenait à celle en mission auprès de cette Province, de prendre des mesures conservatoires pour mettre un terme à cette fraude, consciemment mise en place par le Gouverneur de la Province. Si les dépenses effectuées à partir de ces deux comptes sont celles pour lesquelles le Pouvoir central a transféré les fonds y logés, il n’y a aucune raison qui justifierait que la Province tienne à exécuter ces dépenses en dehors des mécanismes d’encadrement mis en place. L’examen de ces dépenses camouflées est par conséquent en cours et les responsabilités, en cas d’actes infractionnels, seront établies.




Audit du fichier électoral : Pourquoi un tel rétropédalage à seulement 12 jours de cette activité obligatoire de la CENI ?

Animé par le souci de la réussite du processus électoral en cours, le Panel des Experts de la Société Civile suit avec grand étonnement les agitations infondées autour de l’audit externe du fichier électoral. Il est connu de Tous que l’audit est la voie obligée pour la certification de la transparence de tout fichier électoral voulu crédible, professionnel et stable. Lequel, demeure maillon fort du triangle électoral composé des électeurs, des compétiteurs et du pouvoir organisationnel.

Pour la société civile, cette situation qui apparaît comme du camouflage, après tous les ratés dans l’opération d’identification et enrôlement des électeurs, ne peut laisser indifférent aucun acteur lucide et intéressé par le processus électoral en RDC ; étant donné que cela va à coup sûr jeter définitivement l’opprobre sur lo tenue des bonnes élections dans notre pays. Tenez:

1. Dans son calendrier rendu public en date du 26 novembre 2022, la CENI elle-même avait prévu comme 35 activités, l’audit externe du fichier électoral du 15 au 20 mai 2023 pour une durée de 6 jours. Pourquoi un tel rétropédalage à seulement 12 jours de cette activité obligatoire de la CENI ? Il convient de noter qu’ignorer une seule activité pertinente du calendrier est susceptible de consacrer la remise en question du processus dans sa globalité.

2. Parlant de l’audit externe du fichier électoral, il se dégage une évidence que la CENI, ne peut recourir qu’à une expertise en dehors de la RDC. Sur ce, la CENI était préalablement consciente des impératifs de la souveraineté de notre pays ;

3. Quant à la présence de l’équipe de l’OIF, seule la CENI est en mesure de justifier son invitation en RDC pour cette opération ;

4. L’argument tempête par les uns évoquant le nom de Mme Louise Mushikwabo, Secrétaire générale de l’OIF comme obstacle principal à l’audit externe du fichier électoral et en tant qu’élément de violation de la souveraineté de la RDC, laisse perplexes une multitude d’observateurs connaissant le fonctionnement des organisations internationales. Mais il est surtout cocasse de noter que pour eux, la présence sur le territoire congolais de différentes armées étrangères ne semble pas violer la souveraineté de notre pays mais que c’est le simple audit du fichier électoral qui porterait atteinte à celle-ci !

En conséquence, face à ce qui s’apparente à une tentative de cacher la vérité sur les données réelles relatives au nombre d’enrôlés, et, si la CENI et tous ceux qui la soutiennent persistent sur ce chemin puéril de l’opacité dans le fichier électoral, le Panel des Experts de la Société Civile attire l’attention de l’opinion publique mais surtout celle des parties prenantes au processus électoral que ce fichier ne peut contribuer à avoir une bonne loi sur la répartition des sièges mais, par contre, prépare. d’ores et déjà, le tripatouillage des voix lors de prochains scrutins dans certains bureaux de vote dans lesquels se posera avec acuité le problème des listes des électeurs




Audit externe du fichier électoral : La CENI opposée à toute de pression, de quelque nature que ce soit

La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) porte à la connaissance de l’opinion publique que, conformément au Calendrier électoral rendu public le 26 novembre 2022, il est prévu l’audit externe du fichier électoral.

Dans un communiqué publié à cet effet et signé par Mme Patricia Nseya Mulela, Rapporteur, la CENI attire l’attention de l’opinion publique sur ce qui suit:

1. Le fait qu’aucune organisation internationale ou nationale ne détient le monopole de l’expertise en matière d’audit du fichier électoral et que toutes, sans exception, recourent au service d’experts indépendants, la CENI va faire, dans les tout prochains jours, un appel à candidatures en vue de constituer une équipe mixte composée d’experts nationaux et internationaux pour conduire la mission d’audit externe du fichier électoral, conformément à son calendrier électoral.

2. Contrairement aux cycles électoraux passés, le processus de la Révision du Fichier électoral (RFE) 2022-2023 se fait à travers une mutualisation des efforts et des ressources avec l’Office National d’Identification de la Population (ONIP) pour la constitution d’un registre de l’état-civil congolais. De ce qui précède, il est nécessaire de traiter la base des données découlant de la RFE avec toutes les précautions en termes d’exigence par rapport à l’indépendance de la CENI, à la souveraineté et à l’intégrité nationales, et à la protection des données personnelles.

3. La CENI n’a pas besoin de subir de pression, de quelque nature que ce soit, concernant l’audit externe du fichier électoral, inscrit du reste dans le calendrier électoral. La Centrale Electorale souligne que l’audit du fichier électoral fait partie des bonnes pratiques auxquelles elle se soumet de plein gré. C’est pourquoi cet exercice est prévu dans le calendrier électoral et repris dans le Plan Stratégique et Opérationnel 2022-2026 de la CENI qui, dans son axe 3, consacre le principe de transparence à chaque étape du processus électoral.




Judo: Clôture de la formation des volontaires et cadres techniques de judo

Dans le cadre des préparatifs pour les jeux de la francophonie que va abriter du 28 juillet au 6 août prochain, le judo congolais à l’instar d’autres disciplines Luttes, athlétisme et autres, n’est pas demeuré en marge en ce qui concerne la formation des officiels techniques, arbitres et violontaires.

En ce qui concerne la formation des volontaires et cadres techniques de judo, celle-ci s’est clôturée en beauté le lundi dernier au Salon Rouge du stade des martyrs en présence des membres de la Cordination Nationale des Activités du judo en RDC. On a noté la présence du Cordon Me Nico Lianza, du cordon adjoint Me Patrick Kalala sans oublier le rapporteur adjoint Me Ben.

Que peut-on retenir de cette formation ?

Cette formation était animée par l’expert Nigérien de la Fédération Internationale de Judo Abdoularahamane Youssef. Il avait animé ce stage en trois modules et il explique comment il s’y était pris : ‘’On a commencé avec les 50 bénévoles volontaires choisis par le Comité National des Jeux de la Francophonie ‘’CNJF’’. On a parcouru le thématique du volontariat et du bénévolat. On a également vu la différence, on a vu les engagements, les rôles, les responsabilités, les devoirs de manière générale du bénévole pendant le début du jeu. Et nous avons enchainé avec la formation des officiels techniques’’.
L’expert Abdoularahamane Youssef croit que les stagiaires ont appris quelque chose

 

Que pense-t-il de la réception de la matière dispensée par les stagiaires ? A cette question il répond sans ambages : ‘’ Je pense qu’au bout de ces trois jours de formation avec les officiels techniques, les uns et les autres ont pu s’approprier de manière générale, de tout ce qu’on a eu à faire. Il faut aussi dire que la formation a été théorique mais pratique. Nous avons fait des simulations pour que chacun puisse se sentir dans le bain de l’événement’’.
Antoine Bolia