Dossier brûlant : Le financement de la préparation des athlètes congolais aux 9è Jeux de la francophonie se fait toujours attendre  

Pour prétendre glaner des médailles dans une compétition d’envergure telle que les 9èmes jeux de la francophonie que va abriter la RDC du 28 juillet au 6 août 2023, il faut une préparation minutieuse. Ce qui est étonnant, en RDC, les 8 disciplines qui seront alignées ont du mal pour financer la préparation de leurs athlètes à moins de 3 mois de ces jeux.

Une chose est cependant vraie, l’Etat congolais ne finance que très rarement les préparations de ses représentants en compétitions internationales. Certaines fédérations l’ayant compris, ont déjà commencé à préfinancer leur préparation.

Quid de disciplines qui prendront part aux 9è Jeux de la francophonie

1. Athlétisme

2. Basket-ball

3. Cyclisme

4. Football

5. Handisport

6. Judo

7. Lutte

8. Tennis de Table

Antoine Bolia




Le message d’Antonio Guterres à l’occasion de la Journée mondiale de l’océan 2023 

L’océan est à l’origine de la vie.

Il nous procure l’air que nous respirons, la nourriture que nous mangeons.

Il régule notre climat et notre météo.

L’océan est le plus grand réservoir de biodiversité de notre planète.

Ses ressources font vivre des communautés dans le monde entier et sont essentielles à la prospérité et à la santé humaine.

L’humanité compte sur l’océan.

Mais l’océan peut-il compter sur nous ?

Nous devrions être les meilleurs amis de l’océan.

Mais à l’heure actuelle, l’humanité est son pire ennemi.

Les changements climatiques dus aux activités humaines réchauffent notre planète, perturbent les régimes météorologiques et les courants océaniques, et modifient les écosystèmes marins et les espèces qui y vivent.

La biodiversité marine est menacée par la surpêche, l’exploitation excessive et l’acidification de l’océan.

Plus d’un tiers des stocks de poissons sont exploités à des niveaux non viables.

Et nous polluons nos eaux côtières avec nos produits chimiques, nos plastiques et nos déchets.

En cette Journée mondiale des océans, rappelons-nous que les choses changent.

L’année dernière, nous avons adopté un objectif mondial ambitieux, qui porte sur la conservation et la gestion de 30 % des zones terrestres, marines et côtières d’ici à 2030, ainsi qu’un accord historique sur les subventions à la pêche.

Lors de la Conférence des Nations Unies sur les océans qui s’est tenue à Lisbonne, le monde s’est entendu pour intensifier l’action menée en faveur de l’océan.

Un accord mondial juridiquement contraignant visant à mettre fin à la pollution plastique est en cours de négociation.

En mars, des pays ont adopté un traité mondial historique sur la haute mer, qui porte sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine dans les zones ne relevant pas de la juridiction nationale.

Pour honorer les grandes promesses que renferment ces initiatives, il faut un engagement collectif.

Il en va de l’objectif de développement durable no 14, qui consiste à conserver et à exploiter de manière durable les ressources marines.

En cette Journée mondiale de l’océan, continuons d’appeler à l’action.

Aujourd’hui et ch

aque jour, faisons de l’océan une priorité.