CULTE D’APPROFONDISSEMENT DE LA DÉLIVRANCE /AVEC LE Past. François MUTOMBO VOICI L’HOMME




KIM JONG UN vient de féliciter XI Jinping*

Les relations traditionnelles d’amitié et de coopération entre la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans; Superpuissance politico-militaire, NDLR) et la République Populaire de Chine (RPC créée en 1949, NDLR) remonte à la Résistance 1930-1945 contre le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes et l’enlèvement de plus de 8,4 millions Coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, etc., NDLR). Voici le geste du Maréchal KIM JONG UN, Secrétaire Général (SG) du Parti du Travail de Corée (PTC) et Président des Affaires d’État de la RPDC à l’adresse de son homologue XI Jinping, SG du Comité Central (CC) du Parti Communiste Chinois (PCC) et Pt. de la République Populaire de Chine (RPC), cela à l’occasion de son 70ème anniversaire de naissance (1953 à Beijing).

*① 13/06/2023 (2j avant le Jour-J)*
KIM JONG UN a envoyé à XI Jinping son panier de fleurs multicolores remis, courtoisement, par l’Ambassadeur (RI Ryong Nam, Ministre du Commerce Extérieur jusqu’au début 2021, NDLR) extraordinaire et plénipotentiaire de la RPDC en RPC au Chef adjoint du Département des Relations Extérieures du CC du PCC.
*② 15/06/2023 (Jour-J)*
KIM JONG UN a adressé à XI Jinping son Message de félicitations qui se lit comme suit;
Estimé Camarade SG, j’ai l’honneur de vous adresser mes plus chaleureuses félicitations pour votre 70ème anniversaire. Doté d’un sens élevé des responsabilités envers votre PCC, votre État et votre Peuple, vous;
• vous êtes longtemps consacré à la cause du socialisme proprement chinois
• jouissez, désormais, du respect et de la confiance de tous les membres du PCC et de tout le Peuple chinois.
Grâce à votre direction énergique;
• le prestige du PCC a été rehaussé davantage
• l’objectif de l’édification d’une société essentiellement riche ou aisée a été atteint avec succès
• la puissance globale et la position internationale de la Chine ont été renforcées remarquablement.
Je suis;
• très heureux de vous voir remporter des grands succès dans la nouvelle voie de la construction globale d’un État socialiste modernisé en dirigeant le PCC et le Peuple chinois
• convaincu que la lutte pour la prospérité de la Nation chinoise sortira, sûrement, victorieuse avec votre leadership et, le PCC et le Peuple chinois réunis autour du CC du PCC ayant vous comme noyau.
Je vous souhaite sincèrement;
• de plus grands succès dans votre entreprise importante et responsable à la tête du PCC, de la RPC et de la Nation chinoise
• votre bonne santé et le bonheur de votre famille.




Sous les auspices de la fondation BRISER LE SILENCE : Les jeunes de Mbandaka et de Goma à l’école de l’entrepreneuriat

Le mardi 13 juin 2023 a été un jour mémorable pour la Fondation BRISER LE SILENCE. Sous l’impulsion de sa marraine, Mme Jeanine Mabunda, cette association sans but lucratif (Asbl) a organisé en virtuel un atelier en faveur de la jeunesse de Mbandaka, avec la participation de ceux de Goma. Ils ont eu des merveilleux moments d’échange et de partage d’expériences d’affaires.

Cet atelier organisé à la demande des bénéficiaires était parti d’un constat : malgré les guerres répétitives et l’insécurité à l’Est de la RDC, la jeunesse du Kivu arrive tant bien que mal à entreprendre avec plus de dynamisme que celle d’autres provinces de la RDC. Et curieux, les jeunes de Mbandaka ont bien voulu échanger avec ceux de Goma pour en savoir un peu plus sur ce dynamisme dans les affaires. La Fondation BRISER LE SILENCE qui fait de l’autonomie de la jeunesse son cheval de bataille a simplement organisé ladite rencontre dans le noble but de favoriser ces échanges.

Ayant pour mission l’éveil du dynamisme de la jeunesse en matière de l’entrepreneuriat, l’atelier lui-même a été basé sur un riche exposé sur les bases de l’entrepreneuriat pour jeunesse autonome.

M. Christopher Mukoka, en sa qualité de Vice-Président en charge de la Commission Nationale des Jeunes Entrepreneurs de la Fédération des Entreprises du Congo « FEC », a expliqué les bases de l’entrepreneuriat ainsi que les principes directeurs à observer si on veut obtenir des meilleurs résultats. Il a insisté sur le fait que les jeunes doivent s’impliquer dans l’entrepreneuriat afin de gagner le combat de l’autonomisation financière. Et aucune réussite ne s’obtient sans sacrifice a-t-il enchaîné en détaillant divers domaines dans lesquels chacun peut fonder ses activités. Avant de glisser dans le jeu de questions-réponses, Christopher Mukoka, dont l’exposé a été d’une grande qualité a partagé son expérience personnelle avec les jeunes présents en leur demandant de bannir la peur.

Mme Gladys Mambulu, Directrice de la Fondation BRISER LE SILENCE, a tenu à féliciter tous les participants pour leur implication sans oublier le formateur. Et pour terminer la marraine de la Fondation BRISER LE SILENCE, Mme Jeanine Mabunda, a demandé aux participants de mettre en pratique toutes ces stratégies (celles enseignées par le formateur ou celles communiquées par leurs collègues de Goma).

Et c’est dans une grande et belle ambiance que l’atelier ayant regroupé près de 200 participants a été clôturé dans la salle polyvalente du Centre d’accueil Tomodja de Mbandaka. Ils devront identifier les atouts et les opportunités de la province de l’Équateur.

« Je voudrais ici interpeller la conscience de la jeunesse sur la formation suivie en ce jours, parce que ce sont les entrepreneurs qui développent les pays » Théophile Lokoko, Coordonateur provinciale de la Fondation BRISER LE SILENCE à Mbandaka.

« Nous, les jeunes de Mbandaka, qui semblions être oubliés et négligés par nos décideurs, grâce à la Fondation BRISER LE SILENCE, et au travers de cet atelier, nous avons retrouvé la valeur que nous avions perdue. Nos remerciements à l’honorable Jeanine Mabunda pour cette initiative », explique Gédéon Bamae Likoko, participant à l’atelier.

« Nos sincères remerciements à notre chère maman Jeanine Mabunda Lioko, pour cette volonté et l’amour de la patrie manifesté envers nous ces enfants de l’Équateur et précisément nous de Mbandaka, pour cette belle formation dont nous avons été bénéficiaire», Alex Biando Bongo, participant à l’atelier.

« Cet atelier a été d’une grande importance car nous avons été encouragés d’avoir un esprit créatif et nous permettre d’être autonomes nous-mêmes et responsables, en tant que jeunes ; être capables de créer nos propores entreprises lorsque nous n’arrivons pas à trouver de l’emploi. C’est une initiative louable de la Fondation BRISER LE SILENCE, que je remercie », indique Suzanne Saga, jeune entrepreneure de la ville de Mbandaka.

« Nous avons entendu et compris certaines choses que nous ignorions auparavant sur comment créer une petite entreprise, comment devenir un bon leader, un bon entrepreneur mais aussi certaines techniques que nous pourrons appliquer pour le développement de notre province et particulièrement la ville de Mbandaka », souligne Isaac Bofeko, l’un des participants à l’atelier.

SK.




Réformes: Le cabinet du président de la République se modernise

Ce mercredi 14 juin, le Directeur de cabinet du Président de la République a présidé un atelier de vulgarisation des réformes instaurées au sein de la première institution du pays.

Ce train de réformes impulsées par le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, sous la coordination de son Directeur de cabinet, Guylain Nyembo, se décline notamment à travers l’agence pour le développement du numérique et la Cellule de communication du Chef de l’État qui ont préparé et organisé cet atelier de vulgarisation.

Il s’agissait donc de présenter aux membres du cabinet quelques nouveautés issues de la restructuration de cette entité politique : la nouvelle charte graphique, les médias numériques, le plan de numérisation interne des services, la nouvelle coordination des ressources humaines et la nouvelle coordination de la qualité et de la performance.

L’objectif est de moderniser la Présidence de la République pour la rendre plus efficace pour servir le Chef de l’État en concrétisant sa vision d’un État fort, prospère et solidaire en RDC.

Tour à tour, le Directeur de la Cellule de communication, le Coordinateur de l’agence nationale du numérique, le Coordinateur des ressources humaines et le Coordinateur de la qualité et performance ont présenté des aspects bien spécifiques de leur travail allant de l’identité visuelle unique, la généralisation de la marque pays, à la mise en place d’indice de performance en passant par la redynamisation des médias numériques, l’appropriation du numérique au quotidien, la dématérialisation des outils de travail et la mise en place de nouvelles normes de fonctionnement.

Parmi les décisions prises figure, par exemple, l’interdiction ferme faite à tout agent de la Présidence d’utiliser des boîtes e-mail ou tout autre adresse et identité électronique privée pour transmettre ou diffuser les documents qui concernent la Présidence de la République.

Toutes ces nouveautés seront implémentées et rendues obligatoires au sein du cabinet présidentiel via une note circulaire publiée prochainement par le Directeur de cabinet du Chef de l’État.




« La CENI exige une bagatelle d’environ 500 millions de dollars US pour stabiliser les nombreux besoins de financement du cycle électoral en cours » (Simaro Ngongo)

« Les caisses de la CENI sont vides. Impossibles élections à la date constitutionnelle. Le gouvernement est au rouge », indique M. Simaro Ngongo, dans une nouvelle tribune, avant de démontrer que la CENI exige une bagatelle d’environ 500 millions de dollars US pour stabiliser les nombreux besoins de financement du cycle électoral en cours. Alors que la Communauté internationale observe toute la déraison institutionnelle de la Centrale électorale, le Gouvernement n’a toujours pas versé aux comptes CENI les fonds nécessaires à la tenue des opérations électorales et post électorales.

1. La Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) est alertée sur le flou persistant dans le financement des élections en République Démocratique du Congo et interpelle le Gouvernement sur ses obligations d’assurer financement, sécurisation et facilitation au processus électoral. En dépit de ses scénarios politiquement motivés pour satisfaire le parti présidentiel, Monsieur Denis Kadima Kazadi, président investi à la tête de la CENI ne sait pas rassurer le Peuple Congolais sur sa capacité à respecter le délai pour la tenue des scrutins à la date du 20 décembre 2023.

2. Le personnel de la CENI irrégulièrement payé accumule des arriérés injustifiés pendant l’année électorale et la même CENI n’a toujours pas remis les anciens agents dans leurs droits après que leurs arriérés et indemnités de sortie eussent été consommés par l’équipe Kadima pour combler des écarts de financement accumulés par le Gouvernement.

3. La CENI exige une bagatelle d’environ 500 millions de dollars US pour stabiliser les nombreux besoins de financement du cycle électoral en cours. Alors que la Communauté internationale observe toute la déraison institutionnelle de la Centrale électorale, le Gouvernement n’a toujours pas versé aux comptes CENI les fonds nécessaires à la tenue des opérations électorales et post électorales.

4. Pour tenter d’exercer une certaine pression sur les Ministères du Budget et des Finances, l’équipe Kadima spécule et tâtonne en annonçant sans précision la poursuite de l’enrôlement dans les territoires non couverts par la révision du fichier électoral. Ainsi la CENI met toute son énergie dans un matraquage communicationnel creux afin de distraire l’opinion en lui donnant faussement l’impression d’être en harmonie avec son calendrier.

5. La CASE invite M. Denis Kadima Kazadi à la franchise en dénonçant publiquement cette pression permanente qu’il ne cesse de subir de la part de son parti politique pour échapper aux critiques rigoureuses de l’opposition. « Les élections exigent la prévision », disait l’Abbé Malumalu d’heureuse mémoire. Mentir à toute une Nation sur les capacités budgétaires illusoires de la CENI est un manquement éthique et professionnel grave.

6. La CASE invite également toutes les parties prenantes au processus électoral à dénoncer la crise financière dont souffre la CENI afin d’attirer l’attention de l’Union Sacrée sur la priorité de financer les opérations électorales avant tout calcul budgétaire de campagne électorale.

7. La CASE regrette le gaspillage de tout un cycle législatif qui n’a servi ni à stabiliser sécuritairement le pays, ni à garantir un financement adéquat au processus électoral. Les députés et sénateurs de la législature en cours se sont contentés de se servir les premiers à la caisse du trésor pour assurer la campagne ‘Béton’ tout en ignorant que sans élections, il n’y aura pas de nouveau président élu à l’horizon 2024.

8. Si l’institution de gestion des élections souffre ainsi gravement de manque de financement, il n’y a rien à espérer pour les fonctionnaires, enseignants, médecins et professeurs. Car tout semble suspendu à la réélection irrationnelle du Président sortant. Tous les fonds du trésor auraient été affectés à la redistribution des cagnottes de campagne aux partis politiques de la majorité et aux associations tribales de soutien au candidat du pouvoir.




FMI-BM : Appel pour un contre-sommet à Marrakech

La Coordination nationale pour un Sommet social contre les Assemblées annuelles de la BM et du FMI (Coordination) a organisé un point de presse pour présenter sa vision et son plan d’actions pour les prochains mois. Les détails.

Le Maroc est « un bon élève » des Institutions financières internationales (IFI) comme la Banque mondiale (BM). Le royaume est surtout un bon client avec des programmes de prêts et de dettes réguliers depuis six décennies. « Le service de la dette représente 192 milliards de DH en 2022 », rappelle Omar Aziki, membre de la Coordination du Sommet social contre le FMI-BM, également secrétaire général d’ATTAC Maroc.

Ce militant compare les ressources publiques dédiées au remboursement de la dette à celles consacrées à la santé et l’éducation. « Le service de la dette représente huit fois le budget de la santé et trois fois le budget de l’éducation. Aucun développement n’est possible sans un arrêt ou un moratoire sur le paiement de la dette publique. L’endettement est une spirale infernale créée par les IFI pour bloquer tout développement économique de nos pays », martèle le membre de cette Coordination, lors de son mot d’ouverture de ce point de presse, tenu le 13 juin 2023 à Rabat. La Coordination nationale pour un Sommet social contre les Assemblées annuelles de la BM et du FMI (Coordination) a organisé un point de presse pour présenter sa vision et ses objectifs, ainsi que son plan d’action pour les quatre prochains mois.

« Tout le monde est concerné »

La présence de la BM est un sujet d’actualité. Cette institution est active dans tous les domaines de la vie des Marocains. A titre d’exemple, le 9 juin le Conseil d’administration de la Banque mondiale accorde un prêt de 350 millions de dollars au Maroc « destiné à accentuer et amplifier les activités du Projet de réponse d’urgence de la protection sociale face à la Covid-19 du Maroc, en complément du programme initial de 400 millions de dollars approuvé et décaissé en 2020 ». Le même jour, le Conseil d’administration de la BM a approuvé « un prêt de 350 millions de dollars afin de soutenir les mesures prises par le Maroc pour lutter contre le changement climatique et améliorer la résilience du pays face à l’aggravation des impacts climatiques déjà ressentis ». Pour la Coordination, la présence de la BM et du FMI dans les politiques publiques et les choix économiques s’est soldée par un « cuisant échec ». « Prenons l’exemple du Plan Maroc Vert. C’est un échec total. Alors que nous devions gagner en souveraineté alimentaire nous voilà condamnés à importer quasiment l’ensemble de notre consommation (lait, viande, blé, huile, etc.). Cet échec nous a coûté 104 milliards de DH d’argent public donné aux agriculteurs », estime Aziki. Pour montrer l’ampleur de ces politiques néolibérales, cette Coordination compte mobiliser les mouvements sociaux et les ONG marocaines et internationales durant les prochains mois. « Les enseignants contractuels, les ouvriers agricoles, les fonctionnaires précarisés, Tout le monde est concerné. La Coordination veut fédérer les militants, les mouvements sociaux et toutes les volontés désirant s’engager contre les IFI et leurs effets, au-delà du sommet de Marrakech », précise Aziki. Ce dernier rappelle l’opposition de la Coordination à la présence « sioniste au Maroc, prévue durant ce sommet en octobre », prévient-il.

Mobilisations régionales et continentales

Pour sa part, Hamid Sayad, membre de la Coordination considère l’accueil par le Maroc de ce sommet comme « comme un signe de bénédiction offert par les centres impérialistes à notre pays. Ce n’est pas une bonne nouvelle, car ceci implique plus de privatisations des services publics et les ressources naturelles, ainsi que de nouvelles vagues de répression des citoyens et des avis politiques critiques »

La Coordination table sur une capacité de mobilisation nationale, régionale (MENA), continentale (l’Afrique) et mondiale. Ce collectif est né il y a deux mois. Ses initiateurs se présentent comme suit : « Le but de cette initiative est de créer un large espace de réflexion pour discuter ensemble des alternatives possibles aux politiques d’ajustement structurel et néolibérales du FMI et de la BM ». Cette Coordination compte sur l’expertise des réseaux comme ATTAC et la Comité pour l’annulation des dettes illégitimes (CADTM) en Afrique et à l’international.

La Coordination veut aussi faire « converger toutes les victimes des politiques criminelles de ces deux institutions et de faire entendre haut et fort notre voix par la mobilisation et l’organisation d’un contre-sommet au sommet des responsables de ces politiques. Nous souhaitons mettre en place une mobilisation populaire et pacifique pour dire “non” à la pauvreté et à l’austérité et “oui” à la justice sociale ».

Pour rappel, Marrakech abritera du 9 au 15 octobre 2023, les Assemblées annuelles du Groupe de la Banque mondiale et du FMI qui ont lieu principalement à Washington et, tous les trois ans, dans un pays membre autre que les États-Unis, « afin de marquer le caractère international des deux institutions », indique la BM sur son site officiel.




RDC : Le cardinal Tagle lance un appel à la paix à Goma

Le cardinal Luis Antonio Tagle, pro-préfet du Dicastère pour l’évangélisation et envoyé spécial du pape au troisième Congrès eucharistique national de l’Église de la RDC (4-11 juin), a lancé un appel à la paix et à la réconciliation, arrivant à Goma, dans la province du Nord-Kivu, à l’est de la République démocratique du Congo, indique l’agence vaticane Fides.

Apportant les salutations du pape François à toute l’Église de Goma, le cardinal a rappelé que le pape a voulu visiter Goma lors de son récent voyage apostolique en RDC « pour vous montrer sa proximité ». « Il a beaucoup souffert de ne pas être ici, a affirmé l’envoyé du pape. Mais soyez assurés que vous êtes dans son esprit et dans son cœur. »

Dans son homélie de la messe, célébrée le mardi 13 juin 2023 en l’église Notre-Dame du Mont Carmel, le card. Tagle a évoqué la situation au Nord-Kivu, notant que des lectures de la liturgie du jour « semblent s’adresser précisément à l’Église de Goma ». Il s’agit de l’extrait de l’Évangile ou le Christ appelle ses disciples à être « sel de la terre et lumière du monde » (Mt 5, 13-16).

 

« Chaque baptisé, chaque famille, chaque école, chaque hôpital, chaque paroisse, chaque organisation et mouvement ecclésial, chaque communauté religieuse et chaque prêtre », a dit le cardinal, « est appelé à être la lumière du monde à Goma », est appelé au pardon et à la réconciliation et à une « paix durable pour nous, pour nos enfants et pour leurs enfants ».

Le pro-préfet du Dicastère pour l’évangélisation a souligné que plusieurs personnes mènent « à Goma et au Nord-Kivu » une « vie insipide, amère, difficile à avaler ». « Certaines personnes considèrent les autres comme de la nourriture gâtée ou pourrie qui doit être jetée », a-t-il noté. Il a souhaité qu’elles trouvent une nouvelle « saveur » grâce au Christ : « Grâce à notre compassion, à notre humble amour et à notre service au nom de Jésus, a-t-il dit, nous espérons que de nombreuses personnes feront l’expérience de Jésus et trouveront un nouveau sens ou une nouvelle « saveur » dans leur vie. »




Avis de recherche : Gédéon Mosabu est porté disparu depuis le mardi 13 juin 2023

Il nous revient que la famille Muteb Mushid résidant au n°32 de l’avenue Tumbumani au quartier Yolo Nord, dans la commune de Kalamu, est à la recherche de son fils, Gédéon Mosabu âgé de 29 ans et marié à Mme Ivia Osonkie porté disparu depuis le mardi 13 juin 2023.

Selon la consœur Blandine Lusimana Nzuzi Kaj, ce dernier a quitté sa maison pour se rendre au travail depuis lors il n’est plus rentré chez lui.

C’est ainsi que la famille demande à toute personne qui l’aurait vu ou pourrait avoir des informations de bien vouloir l’appeler aux 081 366 99 61 ; 099 825 70 65 ; 089 033 44 44.




Au cours d’un point de presse numérique : Molly Phee, Judd Devermont et Johnnie Carson analysent les progrès réalisés au cours des six derniers mois dans la mise en œuvre des résultats du Sommet des dirigeants États-Unis–Afrique

« Sommet des dirigeants États-Unis–Afrique – Six mois de progrès », c’est le thème principal qui a été exploité ce mardi 13 juin 2023 à l’occasion d’un point presse numérique avec la secrétaire d’État adjointe du bureau des Affaires africaines du département d’État des États-Unis, Molly Phee, le directeur principal des affaires africaines au Conseil de sécurité nationale, Judd Devermont, et le représentant spécial du président pour la mise en œuvre du Sommet des dirigeants États-Unis–Afrique, l’ambassadeur Johnnie Carson.

La secrétaire adjointe Phee, le directeur principal Devermont et l’ambassadeur Carson ont discuté des progrès réalisés au cours des six derniers mois dans la mise en œuvre des résultats du Sommet des dirigeants États-Unis–Afrique et de la manière dont ces actions soulignent l’engagement des États-Unis envers le continent africain. Après une brève allocation d’ouverture, les intervenants répondront aux questions des journalistes participants.

 

Disons que Molly Phee, Secrétaire d’État adjointe du bureau des Affaires africaines du département d’État des États-Unis. Elle estmembre de carrière du corps diplomatique de haut rang avec le rang de ministre conseiller, a été assermentée en tant que secrétaire d’État adjointe aux Affaires africaines des États-Unis le 30 septembre 2021. Elle a récemment occupé le poste de représentante spéciale adjointe pour la réconciliation en Afghanistan.

 

Elle a été ambassadrice des États-Unis au Soudan du Sud de 2015 à 2017. Elle a précédemment occupé le poste de chef de mission adjointe à l’ambassade des États-Unis à Addis-Abeba, en Éthiopie, et celui de chef de cabinet au bureau de l’envoyé spécial des États-Unis pour le Soudan et le Soudan du Sud. En outre, elle a été secrétaire adjointe par intérim chargée des Organisations internationales, ainsi que coordinatrice adjointe du Conseil de sécurité à la mission des États-Unis auprès des Nations unies, chargée de l’engagement de l’ONU en Afrique et au Moyen-Orient pour les deux portefeuilles.

 

Plus tôt dans sa carrière, Mme Phee a fait partie du Conseil de sécurité nationale en tant que directrice pour l’Iraq et en tant que représentante civile principale de l’Autorité provisoire de la coalition dans la province de Maysan, en Iraq. Elle a commencé sa carrière à l’ambassade des États-Unis à Amman, en Jordanie, et a travaillé aux ambassades des États-Unis au Caire, en Égypte, et dans la ville de Koweït, au Koweït.

 

Originaire de Chicago, l’ambassadrice Phee est diplômée de l’université d’Indiana et a obtenu un master de la Fletcher School of Law and Diplomacy. Elle s’est vu décerner le Distinguished Honor Award, le Robert C. Frasure Memorial Award pour la résolution des conflits et le rétablissement de la paix, le Baker-Wilkins Award for Outstanding Deputy Chief of Mission, le Secretary of Defense Meritorious Civilian Service Award, et a été décorée de l’Ordre de l’Empire britannique et d’un Presidential Rank Award. Elle parle arabe.

 

De son côté, Judd Devermont, Directeur principal des affaires africaines au Conseil de sécurité nationale, est l’assistant spécial du président et directeur principal des affaires africaines au Conseil de sécurité nationale (National Security Council, NSC). Il a dernièrement occupé le poste de conseiller spécial pour la stratégie africaine au Conseil de sécurité nationale de 2021 à 2022. Avant le Conseil de sécurité nationale, il a été directeur du programme Afrique au Center for Strategic and International Studies (CSIS) de 2018 à 2021.

 

M. Devermont a précédemment occupé le poste de responsable national du renseignement pour l’Afrique de 2015 à 2018. À ce poste, il a dirigé les actions d’analyse de la communauté du renseignement des États-Unis sur les questions relatives à l’Afrique subsaharienne et a été le représentant personnel du DNI lors des réunions politiques interagences. M. Devermont a également été l’analyste politique principal de la Central Intelligence Agency pour l’Afrique subsaharienne de 2013 à 2015.

 

Avant d’occuper ce poste, il a été directeur du Conseil de sécurité nationale pour la Somalie, le Nigeria, le Sahel et l’Union africaine de 2011 à 2013. À ce poste, il a contribué à la stratégie des États-Unis envers l’Afrique subsaharienne, signée par le président Obama en 2012, et a géré le processus qui a abouti à la reconnaissance par les États-Unis du gouvernement somalien pour la première fois depuis 1991. M. Devermont a passé deux ans à l’étranger, travaillant à l’ambassade des États-Unis à Abuja, au Nigeria, de 2008 à 2010.

 

M. Devermont a vécu en Afrique du Sud et en Côte d’Ivoire et a effectué de nombreux déplacements sur le continent. Il est titulaire d’un master en études africaines de l’université de Yale et d’une licence en histoire de l’université de Californie à Los Angeles.

 

Pendant que Johnnie Carson, Représentant spécial du président pour la mise en œuvre du Sommet des dirigeants États-Unis–Afrique, a été nommé représentant spécial du président pour la mise en œuvre du Sommet des dirigeants États-Unis–Afrique en décembre 2022. Auparavant, il a été secrétaire d’État adjoint du bureau des Affaires africaines de mai 2009 à mars 2013. Auparavant, il était responsable national du renseignement pour l’Afrique au National Intelligence Council, après avoir été vice-président principal de la National Defense University à Washington (2003-2006).

 

Au cours de ses 37 années de carrière au corps diplomatique, l’ambassadeur Carson a notamment été ambassadeur au Kenya (1999-2003), au Zimbabwe (1995-1997) et en Ouganda (1991-1994). Il a également été premier sous-secrétaire adjoint aux Affaires africaines (1997-1999). Au début de sa carrière, il a été affecté au Portugal (1982-1986), au Botswana (1986-1990), au Mozambique (1975-1978) et au Nigeria (1969-1971). Il a également été chargé de mission à la section Afrique du Bureau de renseignement et de recherche de l’État (1971-1974), responsable du personnel auprès du secrétaire d’État (1978-1979) et chef du personnel auprès de la sous-commission Afrique de la Chambre des représentants des États-Unis (1979-1982).

Avant de rejoindre le Foreign Service, l’ambassadeur Carson a été volontaire du Corps de paix en Tanzanie de 1965 à 1968. Il est titulaire d’une licence en histoire et en sciences politiques de l’université de Drake et d’un master en relations internationales de la School of Oriental and Africa Studies de l’université de Londres.

 

L’ambassadeur Carson a reçu plusieurs Superior Honor Awards du département d’État et un Meritorious Service Award de la secrétaire d’État Madeleine Albright. Les Centres de contrôle des maladies lui ont remis leur plus haute distinction, le « Champion of Prevention Award », pour les mesures de prévention du VIH/sida qu’il a dirigées au Kenya pour le gouvernement des États-Unis.

 

 




Nicolas Kazadi préside la 25ème réunion du Comité d’Orientation du Centre Régional de Développement des Capacités du FMI 

M. Nicolas Kazadi, ministre des Finances a ouvert ce mercredi 14 juin 2023 la 25ème réunion du Comité d’Orientation du Centre Régional de Développement des Capacités du Fonds Monétaire International pour l’Afrique Centrale (AFRITAC Centre). Et ce, pour discuter des questions économiques et financières.

Selon un tweet du ministère des Finances, les travaux statutaires de cette réunion (réunissant les ministres et gouverneurs des pays membres) poursuivent 2 objectifs : d’une part, faire la revue de l’exécution du programme de l’année fiscale 2023 et d’autre part, valider le programme de travail de l’année fiscale 2024.

En sus des thématiques habituelles, cette fois-ci, ajoute notre source, ces assises d’AFRITAC Centre ont pris en compte les nouvelles thématiques émergentes telles que le changement climatique, la valorisation du genre dans les politiques macro-économiques, la digitalisation et la gouvernance.