Le Mali est sorti victorieux d’un triomphe 2-0 sur le Congo lors des éliminatoires de la CAF TotalEnergies 2023.

Le match a commencé par une première mi-temps sans but, mais l’équipe malienne a montré un niveau de jeu totalement différent après la pause. Les Eagles ont déclenché une série d’attaques incisives, brisant finalement l’impasse par Ibrahima Koné.

Capitalisant sur leurs excellentes phases de jeu, l’entraîneur malien Eric Chelle a effectué quelques changements stratégiques.

L’introduction de Nene Dorgeles à la place de Kamory Doumbia s’est avérée gagnante, car Dorgeles a trouvé le fond du filet seulement quatre minutes après son entrée en jeu.

Avec une avance de 2-0 fermement à leur portée, le Mali a habilement navigué le reste du match sans concéder.

Cette victoire assure la qualification du Mali pour la très attendue Coupe d’Afrique des Nations CAF TotalEnergies Côte d’Ivoire 2023.

Le Cap-Vert a démontré sa domination lors d’un triomphe retentissant 3-1 sur le Burkina Faso à l’Estádio Nacional de Cabo Verde.

Les spectateurs ont éclaté de joie lorsque Bebé a ouvert le score à la 7e minute, terminant habilement un jeu orchestré par Patrick Andrade du Cap-Vert.

À l’aise à domicile, les Islanders ont pris le contrôle du match, laissant leurs adversaires burkinabè dépourvus de tactiques offensives. Un exemple notable a vu Tapsoba ne pas capitaliser sur une occasion créée par la défaillance de la défense capverdienne.

Bien que les Blue Sharks aient impressionné offensivement, ils ont connu quelques manques de concentration lors des transitions défensives. Profitant de ces moments, Issoufou Dayo a trouvé le fond du filet avec une finition brouillée juste avant la mi-temps.

Alors que les équipes sortent du vestiaire, l’équipe burkinabè n’a pas retrouvé son calme, perdant son capitaine Bertrand Traoré sur blessure.

Un coup dur pour les demi-finalistes de la précédente CAN TotalEnergies, qui se sont retrouvés étouffés par leurs rivaux ouest-africains. La frappe de Fernandes depuis l’aile droite à la 76e minute a redonné l’avantage au Cap-Vert.

Dans les derniers instants du match, Andrade a porté le coup de grâce, marquant le troisième but devant Kilian Nikiema. Avec cette victoire remarquable, le Cap-Vert assure sa place dans le prochain tournoi de Côte d’Ivoire, marquant un exploit important pour les Sharks bleus.

Le Nigeria est sorti triomphant d’une rencontre palpitante contre la Sierra Leone, l’emportant sur un score de 3-2 pour obtenir son billet pour jouer la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies CAF, Côte d’Ivoire 2023.

Un doublé de l’attaquant en forme Victor Osimhen a aidé les Super Eagles à remporter l’importante victoire qui a aidé les Super Eagles à remporter le match et à assurer leur qualification pour le tournoi qui se jouera en Côte d’Ivoire.

Le Nigeria a dominé les premiers échanges et à la 19e minute, Osimhen a lobé le ballon devant le gardien sierra-léonais Ibrahim Sessay, déclenchant la liesse parmi le contingent des Super Eagles.

À peine trois minutes plus tard, Samuel Chukwueze a failli prolonger l’avance, mais son tir a dévié de la cible.

Avec une passe décisive bien exécutée d’Ahmed Musa, Osimhen a capitalisé sur la négligence de la défense et a déclenché une magnifique frappe du pied gauche, renforçant encore l’avantage des Super Eagles.

L’attelle d’Osimhen l’a également propulsé au sommet du classement des buteurs avec sept buts, dépassant Sadio Mané.

Leurs efforts ont porté leurs fruits puisqu’Augustus Kargbo a égalisé, nivelant le score à 2-2. L’élan a clairement favorisé les Sierra-Léonais, qui ont continué à créer des occasions, tout en laissant des lacunes aux Super Eagles toujours vigilants.

En fin de compte, c’est Kelechi Iheanacho qui a saisi l’occasion, assurant la qualification du Nigeria avec un but crucial. Ce résultat garantit également la qualification pour la Guinée-Bissau.

La RD Congo a ravivé ses espoirs de qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations TotalEnergies CAF Côte d’Ivoire 2023 avec une victoire cruciale 2-0 à l’extérieur contre le Gabon à Franceville dimanche soir.

Avec tout ce qu’il reste à jouer dans ce groupe très disputé, le match a eu une immense signification. Historiquement, la RDC n’était jamais sortie victorieuse au Gabon, ajoutant une couche supplémentaire d’intrigue à la rencontre.

Dès le début, les Panthers ont démontré leur intention en lançant des attaques qui ont mis à l’épreuve les mains fermes du gardien Lionel Mpassi.

Cependant, c’est à la 34e minute que le vent a tourné en faveur des Léopards. Un corner bien exécuté a trouvé Aaron Tshibola, qui a habilement redirigé le ballon dans le filet, donnant l’avantage à la RD Congo.

La RDC a continué d’affirmer sa domination au fur et à mesure que le match progressait. À la 83e minute, le remplaçant Mayele a montré ses prouesses en s’accrochant à une longue passe de Meschak Elia.

Avec un jeu de jambes habile et une frappe puissante, Mayele a trouvé le fond du filet, inscrivant son premier but international.

Avec seulement deux tirs cadrés, la RD Congo a efficacement étouffé les ambitions offensives du Gabon. Les Panthers, découragés par leur incapacité à percer la défense congolaise, semblaient résignés à la défaite dans les dernières phases du match.

Cette victoire cruciale propulse les hommes de Sébastien Desabre en tête du Groupe I, à égalité de points avec le Gabon.

Le Soudan et la Mauritanie suivent de près avec respectivement six et cinq points, ouvrant la voie à une confrontation inten

se mardi.

La Papouasie-Nouvelle-Guinée a réaffirmé, devant les membres du Comité des 24 (C24) de l’ONU, son soutien à l’initiative d’autonomie qui constitue la base solide pour parvenir à une solution durable au différend régional autour du Sahara marocain.

S’exprimant lors de la réunion annuelle du C24 tenue à New York, le représentant permanent de la Papouasie-Nouvelle-Guinée auprès de l’ONU, Max Rai Obe a souligné que le plan présenté par le Maroc en 2007 est en conformité avec les dispositions importantes de la Charte des Nations Unies et les résolutions du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale.

Le diplomate s’est en outre dit encouragé par la dynamique de soutien international grandissant au plan d’autonomie, soulignant que plus de 100 Etats membres de l’ONU apportent leur appui à cette initiative “crédible et de compromis”.

Il a, également, réitéré le soutien de son pays au processus politique mené sous l’égide du Secrétaire général de l’ONU et son Envoyé personnel, Staffan de Mistura, visant à parvenir à une solution politique durable et mutuellement acceptable à ce conflit artificiel.

Saluant les efforts “louables” de l’Envoyé personnel du SG de l’ONU pour faciliter le processus politique onusien notamment ses visites dans la région et les consultations bilatérales informelles à New York, le représentant permanent de la Papouasie-Nouvelle-Guinée a encouragé le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le “polisario” à reprendre les tables rondes sous le même format, conformément à la résolution 2654 du Conseil de sécurité.

Il a, par ailleurs, salué la participation des représentants démocratiquement réélus des populations des provinces du Sud dans les deux tables rondes à Genève, au séminaire régional du C24 pour la cinquième session consécutive, ainsi qu’aux sessions annuelles du même comité.

Le diplomate a, de même, mis en avant le plein respect par le Maroc du cessez-le-feu et sa coopération entière et continue avec la MINURSO, exhortant les autres parties à faire de même, notamment en veillant à ce que le travail de la Mission onusienne ainsi que son approvisionnement ne soient pas entravés.

Évoquant la dynamique de développement socio-économique et d’investissement au Sahara marocain, il s’est félicité des réalisations en matière d’autonomisation des populations locales et d’amélioration des indices de développement humain, à la faveur du Nouveau modèle de développement des provinces du Sud, lancé en 2015.

Cette dynamique vertueuse a incité un grand nombre de pays et d’organisations régionales d’ouvrir des consulats généraux dans les villes de Laâyoune et Dakhla, a-t-il fait observer.

Le représentant permanent de la Papouasie-Nouvelle-Guinée à l’ONU a salué les efforts “substantiels” déployés par le Maroc en vue de protéger et faire avancer les droits de l’homme des populations des provinces du Sud, soulignant que ces efforts ont été reconnus par la résolution 2654 du Conseil de sécurité adoptée en octobre dernier.

Il a, par ailleurs, exprimé la préoccupation continue de son pays quant aux violations graves des droits fondamentaux des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, notamment les femmes et les enfants, soulignant que ces violations doivent cesser.

Il a également appelé à permettre au Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés de procéder à l’enregistrement et au recensement des populations des camps de Tindouf, dans le nord-ouest de l’Algérie.

Mapexpress.ma

Sainte-Lucie a réitéré, devant les membres du Comité des 24 (C24) de l’ONU, son soutien au plan marocain d’autonomie au Sahara, “la solution de compromis” pour résoudre définitivement ce différend régional.

“Ma délégation soutient l’initiative marocaine d’autonomie, qualifiée de sérieuse et crédible par le Conseil de sécurité dans ses résolutions successives depuis 2007”, a souligné le représentant de Sainte-Lucie lors de la réunion annuelle du C24 tenue à New York.

Il a relevé que cette initiative est en droite ligne du droit international, de la Charte des Nations Unis et des résolutions du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale de l’ONU.

Le diplomate a, en outre, fait part du soutien de son pays au processus des tables-rondes qui ont eu lieu à Genève avec la participation de l’Algérie, du Maroc, de la Mauritanie et du “polisario”.

Exprimant le soutien de son pays aux efforts du Secrétaire général de l’ONU et de son Envoyé personnel pour le Sahara, Staffan de Mistura, visant à faciliter le processus politique en cours, le diplomate saint-lucien a réitéré l’appui de son pays à une solution politique “juste et mutuellement acceptable” à la question du Sahara marocain, et ce à travers le dialogue entre toutes les parties, conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité, y compris la 2654.

Le représentant de Sainte-Lucie a, dans ce sens, mis en avant l’engagement du Maroc à résoudre ce différend régional, ainsi que les réalisations du Royaume en matière des droits de l’homme, lesquelles ont été saluées par les résolutions du Conseil de sécurité, y compris la 2654.

Mapexpress.ma

Les appels à la démission du président sénégalais Macky Sall ont curieusement débuté en France, lors de manifestations de la communauté sénégalaise établie dans le pays. Au-devant des manifestants se trouvaient des affiches portant trois drapeaux: Celui de la France, de l’Algérie et du groupe séparatiste polisario créé par Alger pour diviser le Maroc. L’Algérie a-t-elle comploté pour déstabiliser le Sénégal? Et quelle relation avec le Maroc?

Le politologue marocain Tarik Hajjab, s’est interrogé dans une vidéo publiée sur Youtube, sur la relation de l’Algérie et du polisario avec ces manifestations, et leur rôle dans la crise politique que traverse actuellement le Sénégal.

Dans plusieurs des manifestations, organisées en France, soutenant l’opposant Ousmane Sonkho et appelant à la démission de l’actuel président sénégalais, figuraient des drapeaux algériens, ainsi celui de la milice séparatiste du polisario, ainsi que des messages arborant le message « Sahara libre ».

Fait curieux, la vague de manifestations et de contestations sénégalaises, a commencé en France, soit à l’extérieur du Sénégal, alors que la logique voudrait qu’une crise soit interne et puis s’exporte chez les communautés résidant à l’étranger.

« Cela veut dire qu’il y a une partie cachée et extérieure », a estimé le Pr Hajjab.

L’expert a poursuivi en indiquant que des personnes de nationalités étrangères s’étaient infiltrées dans ces marches contre Macky Sall, notant la présence de personnes de peau blanche et donc des non Sénégalais.

L’infiltration d’Algériens dans ces marches de contestation du pouvoir au Sénégal pouvait donc se voir facilement à travers leur faciès, leur drapeau, ainsi que la présence de slogans pro-polisario et du drapeau séparatiste, qui sont un autre élément prouvant la présence de la main algérienne dans l’orchestration de ces manifestations contre Macky Sall.

« La question du Sénégal est utilisée pour servir un agenda extérieur, celui des généraux algériens », a fait noter Tarik Hajjab, soulignant que ces mêmes personnes de nationalité algérienne, s’étaient infiltrées dans les manifestations du Soudan. « A chaque fois qu’il y a des perturbations et des instabilités on retrouve ces personnes », a-t-il relevé, soulignant qu’ils s’agit assurément de membres des services de renseignement algériens.

La raison expliquant la présence massive d’Algériens dans les manifestations en France, a trait à un agenda de la diplomatie algérienne visant à contrecarrer le Maroc et l’avancement de la défense de son intégrité territoriale, quitte à déclencher une guerre dans un pays stable et indépendant. Le Sénégal a toujours été un pays ami du Maroc, et un défenseur de la marocanité du Sahara et la politique de Macky Sall va dans la continuité de cette position d’Etat du Sénégal.

Tarik Hajjab a expliqué que ces infiltrations des services secrets algériens peuvent conduire à de graves crises diplomatiques étant donné qu’il s’agit d’ingérences étrangères dans les affaires internes des pays. « C’est une affaire purement sénégalaise et personne n’a le droit de s’y immiscer », a ajouté l’expert.

« Ces gens (les Algériens, ndlr) sont prêts à sacrifier la prospérité d’un peuple et la stabilité d’un Etat, en l’occurrence le Sénégal, et de détruire tout un pays pour en faire un lieu d’instabilité et de violences meurtrières, seulement pour s’opposer au Maroc dans le dossier du Sahara », a déploré le politologue.

fr.hespress.com

El Nino, né sous l’interaction de l’atmosphère et de l’océan d’envergure;

• est un phénomène climatique naturel généralement associé à une augmentation des températures, une sécheresse accrue dans certaines parties du monde et de fortes pluies dans d’autres

• entraîne la dévastation et la désertification de terres et des incendies, provoquant une forte destruction de l’économie nationale et des dégâts immenses dans la vie quotidienne des gens.

L’ONU a mis en garde, ce 3 mai, qu’El Nino a de fortes probabilités de se former en cette année et pourrait faire grimper les températures jusqu’à battre de nouveaux records de chaleur et l’Organisation Météorologique Mondiale estime, désormais, qu’il y a 60% de chances qu’El Nino se développe d’ici fin juillet et 80% de chances d’ici fin septembre. Donc à l’heure actuelle, on intensifie l’étude sur El Nino à l’échelle mondiale pour assurer la précision des prévisions météo et prendre des mesures nécessaires pour prévenir des dégâts qui en proviennent.

La République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945 et fière de sa Civilisation de 5.000 ans; Superpuissance politico-militaire, NDLR) sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC;

• considère l’apparition des anomalies climatiques catastrophiques comme un fait établi et s’emploie à y faire face

• se préoccupe de renforcer l’observation et la prévision météorologiques pour effectuer, avec rapidité, les prévisions à court et moyen termes, du typhon et de l’inondation, et d’assurer la communication de commandement

• mobilise tous les effectifs et moyens à l’entretien du Territoire (123.214km2) national, notamment la création des forêts, les travaux d’endiguement pour la prévention contre l’érosion et la protection des rives, afin de minimiser les dégâts qui en découlent

• s’applique à utiliser, avec efficacité, les ressources en eau et à prendre les moyens pour faire un entretien sci-tech des eaux, cela sur base de l’enquête sur les digues côtières (de la Mer de l’Est et de la Mer de l’Ouest de Corée, NDLR), réservoirs d’eau, canaux d’irrigation et cours d’eau

• pousse, énergiquement, le travail destiné à prévenir la désertification de terres, en effectuant, en priorité, le remembrement et la fertilisation de terres et introduisant les systèmes et procédés de l’agriculture scientifique, et à remporter la récolte élevée et sûre malgré les conditions climatiques défavorables.

Le 17 juin est consacrée à la célébration de la Journée Mondiale de Lutte contre la Désertification et la Sécheresse depuis 1992 où l’ONU a adopté la Convention sur la lutte contre la désertification (UNCCD).

Me Guy Loando Mboyo, fondateur du parti Agissons pour la République (AREP), a réuni les membres, les cadres et les militants du parti au siège à Kinshasa, commune de Limete, pour les préparer aux prochaines élections générales de décembre 2023.

Lors de cette réunion, qui a duré plus de 2 heures, Me Guy Loando Mboyo a échangé avec les cadres du parti, en particulier ceux de la province de Kinshasa, ainsi que ceux de la Mongala, du Sud-Kivu et du Kongo Central.

AREP se prépare activement pour les élections. La tournée du Secrétaire national, Pascal Nkanga, dans les 7 territoires de la province de l’Équateur, ainsi que la mobilisation des troupes menée par Me Guy Loando Mboyo dans le Katanga, témoignent de l’importance accordée par le parti à cet événement crucial.

Au cours de la réunion, les participants ont été informés sur la loi électorale, la répartition des sièges, le seuil de voix et les accords au sein des regroupements politiques.

AREP demeure résolu à mener une campagne électorale dynamique et engagée, visant à promouvoir les idéaux du parti et à répondre aux attentes de la population congolaise. Les préparatifs en cours démontrent la détermination du parti à participer activement au processus démocratique de la République démocratique du Congo.