FONHAB : Au nom du MINETAT Pius Muabilu, Me Mechack Mandefu appelle les heureux promus aux résultats rapides et palpables

Le Fonds national de l’Habitat (FONHAB), voilà une autre réforme mise en place par M. Pius Muabilu Mbayu Mukala, ministre d’Etat en charge de l’Urbanisme et habitat. Cette structure qui vient faire renaître le Fonds d’Avance, le crédit foncier de l’époque est désormais opérationnelle. Nommés par ordonnance présidentielle, les animateurs ont été installés ce mercredi au cours d’une cérémonie présidée par le Directeur de cabinet adjoint, Me Mechack Mandefu.

Nommés par ordonnance présidentielle au mois de mai dernier, les animateurs du conseil d’administration et ceux de la Direction générale du Fonds national de l’habitat ont pris officiellement leurs fauteuils, ce mercredi 21 mars 2023, en marge d’une cérémonie présidée par le Directeur de cabinet adjoint du ministre d’Etat, ministre de l’Urbanisme et Habitat, Pius Muabilu Mbayu Mukala, en l’occurrence Me Mechack Mandefu Muela. Il s’agit, d’Agnès Banatshinyi Tshitenge, Présidente du conseil d’administration ; Alexis Kadima Lubemba, Directeur général ; Pascaline Zamuda Mukanda, Directeur général adjoint et trois administrateurs, membres du conseil d’administration.

L’occasion s’est avérée propice, pour le président de séant, d’exhorter les heureux promus, au nom du ministre d’Etat Pius Muabilu, à travailler d’arrache-pied et en franche collaboration, pour des résultats rapides et palpables. Sur fond des mots justes, Me Mechack Mandefu Muela a expliqué à l’auditoire le bien-fondé de la création de cet établissement public ainsi que les défis à relever pour promouvoir le logement décent au profit des congolais.

“Au nom de Monsieur le ministre d’Etat, ministre de l’Urbanisme et Habitat, je me fais le devoir de prendre la parole, pour dire ceci : le Fonhab n’est qu’une réponse à la lettre morte issue de la disparition de la caisse nationale d’épargne de crédit immobilier créée depuis 1971, sous les cendres de l’Office national des logements, ONL. Depuis ce temps, il y a eu une rupture, il a fallu que le ministre d’Etat, à la tête du ministère de l’urbanisme et habitat, dans sa politique de réformes, puisse voir comment renaître cette institution, ce levier financier. Et aujourd’hui, il a plu au Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, au travers les ordonnances numéro 23/063 du 22 mai 2023, nommant les membres du comité de gestion ainsi que de la direction générale de cette institution. Nous, la tutelle, nous avons la joie, nous avons aussi le devoir d’encourager les nouveaux dirigeants. Parce que le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a fait des logements sociaux son cheval de campagne pendant la campagne électorale”, a lâché dès l’entame de son speech Me Mechack Mandefu Muela.

Et de rappeler aux nouveaux animateurs du Fonhab, la recommandation du président de la République, en ce qui concerne la mise en place d’un plan d’urgence d’exécution de leur politique.

“Lorsque nous fréquentons certains quartiers, comme Cité verte, Salongo-Léopard, Matete, l’on se rend compte que les maisons ont été construites avec le fonds de l’ONL en son temps. Au nom de son Excellence Monsieur le ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala, que je représente, je vous appelle à la collaboration ; je vous appelle à avoir un sens élevé du travail. Votre bravoure, votre façon de faire fera en sorte que la RDC puisse être comptée parmi les nations ayant mis en exergue la politique des logements sociaux, comme tant d’autres ici en Afrique. Au nom de son Excellence Monsieur le ministre d’Etat, je vous souhaite pleins succès et une bonne collaboration”, a ajouté Me Mechack Mandefu Muela.

 

Dans son allocution, le Directeur général, Alexis Kadima Lubemba a, de prime abord, rendu un vibrant hommage au chef de l’Etat Félix-Antoine shisekedi Tshilombo, autant qu’il a exprimé sa profonde gratitude vis-à-vis du ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala, ministre de tutelle, pour la confiance qu’il aura placée en sa modeste personne, il y a plus de deux ans, en le nommant autrefois chargé de mission dont la lourde tâche aura consisté à mettre en œuvre la feuille de route du Fonhab, à l’issue de sa création par décret du premier ministre. Alexis Kadima Lubemba a, ensuite, martelé sur l’impérieuse nécessité de la direction générale de Fonhab et du Conseil d’administration, de passer sans tarder à l’action au regard des obligations légales en rapport avec leurs fonctions.

Dans le même ordre d’idées, la présidente du conseil d’administration Pascaline Zamuda Mukanda, n’a pas manqué de rendre hommage au président de la République, tout en appelant ses colistiers heureux promus, à travailler d’arrache-pied pour des résultats escomptés à court et à long terme.




Rdc, 3ème édition de l’exposition économique et commerciale sino-africaine 

La Rdc est invitée à la 3ème édition de l’exposition économique et commerciale sino-africaine, édition 2023 qui va s’ouvrir le 29 juin. Le Congo va être représenté par une forte délégation avec trois ministres : Agriculture, Industrie et Commerce. Avec en plus une vingtaine d’entreprises congolaises. Du côté chinois, nous avons choisi la Rdc comme l’invitée d’honneur de cette édition d’exposition. La mise à la disposition de la partie congolaise d’une zone d’exposition de 300 m², 8 stands d’expositions VIP, soit l’invité le plus important.

C’est un autre exemple de la volonté chinoise de partager les opportunités de son développement à d’autres pays. La balance est excédentaire au niveau de la partie congolaise. Cela doit pousser la Rdc à exporter d’une façon diversifiée. C’est dans cet esprit-là que j’ai transmis au ministre du Commerce extérieur l’invitation au gouvernement congolais de participer à l’exposition internationale d’importation dont la 6ème édition aura lieu en novembre à Shanghai. Nous voulons offrir à la partie congolaise notre plate-forme pour exporter d’avantage vers la Chine.




« Nous sommes pour la préservation de la souveraineté, de l’indépendance et de l’intégrité territoriale de la Rdc » (Zhao Bin)  

La Chine et la Rdc sont toutes très attachées à la souveraineté et à l’intégrité territoriale. C’est parce que nous avons eu des histoires similaires dans le passé. Nous, nous comprenons bien la douleur des Congolais, parce que nous aussi, nous sommes le seul pays membre permanent du conseil de sécurité qui n’arrive pas encore à recouvrer la souveraineté sur l’ensemble de notre territoire. C’est la raison pour laquelle la position de la Chine à l’égard de ce qui se passe à l’Est du Congo est constante et sans ambigüité.

Nous sommes pour la préservation de la souveraineté, de l’indépendance et de l’intégrité territoriale du Congo ; nous condamnons ces groupes armés illicites, surtout pour leurs atrocités et exactions dont sont victimes la population locale ; nous soutenons la mise en œuvre du processus de Nairobi et la feuille de route de Luanda ; Nous soutenons également les efforts déployés par les organisations sous régionales dans la restauration de la confiance et de la paix dans la région. Nous soutenons également toutes ces organisations régionales, mais aussi l’Envoyé spéciale pour la région des grands lacs pour qu’ils puissent jouer un rôle construction dans le règlement du problème.




Pour cette année, la Chine va accorder 35 bourses aux jeunes étudiants congolais

Au retour de la délégation que conduisait le président de la République en Chine, tout le monde ne faisait que parler de la coopération au niveau global et stratégique, mais sans en donner le véritable contenu.

C’est ainsi que la presse a profité de cette opportunité pour demander à l’ambassadeur de donner le sens de ce partenariat. Il signifie un soutien mutuel accru de leurs intérêts vitaux : la défense, la souveraineté, l’indépendance et de l’intégrité territoriale. La Chine compte sur le Congo pour qu’elle spot de son côté sur la question de Taiwan, Hong Kong, droits de l’homme, … des situations qui sont toujours instrumentalisées par des forces étrangères. De notre côté, on soutient la préservation de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de la Rdc. C’est à la lumière de cet esprit que la Chine a soutenu la levée de la mesure d’embargo qui frappait la Rdc.

Disons aussi que cette coopération globale se traduit par la multiplication des échanges entre les deux pays. La visite du président Tshisekedi est un début de cette reprise et plusieurs ministres congolais vont visiter la Chine au courant de cette année. Cette multiplication des échanges se justifie aussi par des échanges plus étroits entre les parlementaires, les chefs des partis politiques, … D’ailleurs, il y aura une délégation d‘entrepreneurs chinois qui vont visiter la Rdc.

A en croire M. Zhao Bin, cette année, la Chine va accorder 35 bourses aux jeunes étudiants congolais. Un autre aspect important, c’est la coopération approfondie entre les deux pays pour réaliser une coopération gagnant-gagnant. Il s’agit non seulement d’étendre les domaines de coopération, mais aussi l’encouragement à l’augmentation des échanges en faveur du Congo. Enfin, la contribution chinoise à la mise en place des chaines de valeur.




M. Zhao Bin promet d’assurer le bon déroulement des projets de développement déjà en cours ou prêts à être lancés 

Même si principalement l’ambassadeur chinois en Rdc va s’employer à résoudre le différend entre ces deux pays, il promet d’assurer le bon déroulement des projets de développement déjà en cours ou prêts à être lancés. C’est comme le Centre culturel et artistique pour les pays de l’Afrique centrale, le centre de formation technique à Kolwezi, transformateur du poste d’électricité à Kinsuka, l’avenue Nzolana phase 2, modernisation du système de communication, etc. qui se font avec l’aide chinoise ou qui bénéficie d’un prêt du gouvernement chinois à un taux préférentiel ou des partenariats publics-publics soit la coopération entre l’Etat congolais et les investisseurs chinois.

Une autre priorité, c’est la formation. C’est l’une des priorités que Fatshi a donné aux relations entre la Chine et la Rdc. C’est par la formation que le Congo va renforcer ses capacités et nous lui accordons une importance particulière. Nous allons former pour cette année 200 opportunités de formation à la partie congolaise dans les différents domaines, sans oublier les formateurs qui se trouvent aujourd’hui à la base militaire de Kitona pour aider à former l’armée congolaise.

La dernière priorité, mieux comprendre la population locale. C’est avec cette meilleure compréhension que nous le peuple chinois pouvons savoir pour mieux vous soutenir dans le processus de redressement du pays. C’est pour cela que je pense que le Centre pourrait jouer un rôle. Au niveau de l’ambassade, nous introduisons les éléments cinématographiques pour mieux connaitre la chine et de même pour les éléments congolais. C’est pour cela qu’il y a des cours en lingala au personnel de l’ambassade pour mieux vous connaît

re.




Contrat chinois : Zhao Bin promet d’accompagner la discussion en cours entre les autorités congolaises et les entreprises chinoises pour un partenariat gagnant-gagnant

La convention sino-congolaise n’a pas été ignorée par les chevaliers de la plume. Ceux-ci ont voulu avoir la position de l’ambassadeur Zhao Bin.

Celui-ci estime qu’il faut tout d’abord mettre ce contrat dans le contexte de l’époque. C’est une époque où investir dans les mines congolaises n’était pas attractive par rapport à aujourd’hui. Peu d’investisseurs étrangers ont été intéressés. Le succès avec les entreprises chinoises a attiré d’autres investisseurs, ce qui a permis au Congo de développer ce secteur dans peu de temps.

Pour M. Zhao Bin, la contribution de ce contrat chinois à la construction du pays est réelle. Ceci est visible en matière de construction des infrastructures par exemple, la rénovation du Boulevard du 30 juin, avenue du Tourisme, etc. L’année dernière, indique-t-il, une deuxième vague des projets d’infrastructures a été validée dont le montant est de 150 millions de dollars Us. En termes de création d’emplois, cette coopération a permis de créer 20.000 emplois dans le secteur des infrastructures et plus de 10.000 emplois pour le secteur minier.

Dans l’exécution de ce contrat, note l’ambassadeur, il est tout à fait normal qu’intervienne un différend. Même entre frères, il arrive qu’on ait des disputes. Mais il s’agit d’un différend entre frères qui ont un même objectif de faire bénéficier de cette coopération au peuple chinois et congolais. Ce différend doit être réglé à l’amiable. « Je suis convaincu qu’à la lumière de l’esprit d’amitié, de pragmatisme et d’équité, on arrivera à trouver un dénouement heureux de ce différend et ça va être l’une de mes priorités après la prise ma fonction », pense le diplomate chinois, qui jure qu’il va accompagner la discussion en cours entre les autorités congolaises et les entreprises chinoises pour trouver une bonne méthodologie au règlement de cette quest

ion.




« La Chine et le Congo ont beaucoup à faire ensemble » (Zhao Bin)

Avec une brochette de la presse de Kinshasa, le nouvel ambassadeur de la République populaire de Chine s’est appesanti sur quelques priorités de son mandat en Rdc. Au regard de son expérience dans la diplomatie, il affirme que s’il est à Kinshasa, c’est pour la consolidation de l’impression qu’il a eu sur la Rdc et son peuple. « Votre pays possède d’immenses potentialités », dit-il.

M. Zhao Bin parle des Congolais comme un peuple hospitalier et généreux. Surtout, j’ai eu cette impression que la Chine et le Congo ont beaucoup à faire ensemble. Vous avez une terre très riche alimentée par des sources d’eau. La superficie des terres cultivables est au même niveau que celle de la Chine. Si la Chine a réalisé l’autonomie alimentaire pour 1,4 milliards d’habitants, la Rdc peut faire plus, voir même alimenter l’ensemble de l’Afrique.




« La Chine veut aider la Rdc dans le développement des chaines de valeur » (Zhao Bin) 

Au cours de cet échange avec la presse, l’ambassadeur Zhao Bin a tiré quelques leçons de la prmeière visite du président Félix Tshisekedi en Chine.

Le premier message que les autorités chinoises voudraient adresser à Félix Tshisekedi, et à travers lui et le peuple congolais, c’est d’abord le sens d’estime et de respect. Le président Tshisekedi est l’un des dirigeants africains à effectuer une visite en Chine après la reprise des activités diplomatiques chinoises qui ont été interrompues pendant plus de deux ans suite à la Covid-19. A travers un accueil chaleureux, explique-t-il, nous montrons l’importance qu’on attache à cette amitié qui lie nos deux peuples. Ce respect du peuple chinois au peuple congolais épris de paix, de souveraineté et d’indépendance.

Le 2ème message, c’est celui de solidarité. Depuis la normalisation des relations il y a à peine 50 ans, nous avons avec l’aide chinoise réalisé beaucoup de choses (Palais du peuple, stade des Martyrs, etc.). Avec cette visite, nous avons affiché notre volonté de continuer à soutenir le Congo dans la construction du pays, dans le redressement de la nation congolaise, avec l’achèvement dans un proche avenir des travaux du centre culturel et artistique pour les pays de l’Afrique central, avec la finalisation du centre de formation à Kolwezi. C’est une aide qui va se réaliser dans le cadre de la coopération Sud-Sud, une coopération sans arrière-pensée, sans conditions préalables et sans contrepartie.

Le 3ème message, c’est un message de partage des dividendes du développement chinois d’un côté et de partage d’expérience de ce développement chinois. Au niveau du partage des opportunités du développement chinois, que ça soit les autorités locales ou centrales, elles ont toutes exprimé leur volonté de coopérer avec la Rdc de façon approfondie. Nous sommes dans les secteurs traditionnels, comme ceux d’avenir, mais aussi aider le Congo dans le développement des chaines de valeur et le renforcement des chaines industrielles. C’est-à-dire, faire réaliser d’avantage une valeur ajoutée des richesses naturelles sur le territoire congolais, sans parler de notre volonté d’accroitre les échanges commerciaux.

En jetant un coup d’œil sur le succès chinois, cela montre que le développement n’est pas dans la main d’une poignée des pays, mais tous les pays qui étaient pauvres comme la Chine pourraient réussir à condition qu’ils identifient une voie de développement propres à leur identité nationale. C’est cette expérience que nous souhaitons partager avec la Rdc. Nous considérons le peuple congolais comme un peuple ami, un partenaire fiable et un véritable frère. C’est là le message que je veux être le porteur pendant l’accomplissement de ma mission à Kinshasa. C’est ainsi que j’ai pris la symbolique d’un bateau (on est dans une même famille et dans un même bate

au).




« La visite de Fatshi en Chine a l’importance de dépasser le cadre bilatéral pour donner une impulsion à la coopération sino-africaine » (Zhao Bin)

Déjà en Rdc où il a remplacé à ce poste M. Zhu Jing, l’ambassadeur Zhao Bin a présenté il n’y a pas longtemps ses lettres de créance, devenant la voix autorisée du Gouvernement chinois en Rdc. Pour mieux commencer son travail en Rdc, il se devait de s’adresser à la presse pour donner notamment sa vision, et s’exprimer sur les principales questions de l’heure.

Il a commencé par dire qu’il se sent heureux de constater qu’un mois après, la visite du président Félix Tshisekedi en Chine est toujours d’actualité. A l’en croire, ceci montre l’importance de cette visite sur la Rdc et sur les relations sino-congolaise, une première depuis 8 ans. Au cours de cette visite importante et historique, les deux présidents (Xi Jinping et Félix Tshisekedi) ont convenu d’établir une coopération globale et stratégique. La coopération a été élevée à un niveau sans précédent, surtout que cette, surtout que cette visite marque les relations entre la Rdc et la Chine.

Pour l’ambassadeur Zhao Bin, c’est une visite fructueuse où de nombreux accords ont été signés pour renforcer la coopération. Ils couvrent non seulement les secteurs traditionnels (mines et infrastructures), mais aussi les secteurs d’avenir comme l’économie verte, l’économie numérique, l’énergie renouvelable.

« C’est une visite empreinte d’amitié. A côté de la rencontre entre Xi Jinping et Félix Tshisekedi, ce dernier a visité le mausolée du président fondateur de la Chine. C’est un geste particulièrement amical que nous apprécions beaucoup », reconnait-il.

Il n’a pas manqué de préciser que c’est une visite qui revêt une importance régionale et internationale. Les deux pays sont des grands pays en termes de superficie, de population et de richesses. « Cette visite a l’importance de dépasser le cadre bilatéral pour donner une impulsion à la coopération sino-africaine. Félix Tshisekedi a réaffirmé l’adhésion de la Rdc à l’initiative du développement mondial, de la sécurité mondiale, de la civilisation dans le monde et l’initiative de la ceinture et de la route. Ces initiatives ont été lancées dans le but de faire bénéficier au monde, en particulier les pays en développement. A vrai dire, ce sont des initiatives des pays en développement », dit-il, avant d’avouer qu’avec l’adhésion de la Rdc à ces initiatives, ça sera encore une occasion pour les pays en développement de faire entendre leur voix.