Gentiny Ngobila prend acte de la tenue du meeting de l’opposition ce dimanche 25 Juin au terrain Sainte Thérèse (officiel)

Le meeting de l’opposition aura bel et bien lieu dimanche 25 juin. L’hôtel de ville de Kinshasa a pris acte de ce grand rassemblement à la Place Sainte Thérèse à Ndjili, à l’appel des 4 leaders à savoir Martin Fayulu, Moïse Katumbi, Matata Ponyo et Delly Sesanga.

 

“J’accuse réception de votre correspondance non référencée du 20 Juin 2023 par laquelle vous m’informez de l’organisation d’un meeting en date du dimanche 25 Juin 2023 à la Place Sainte Thérèse dans la Commune de N’djili. Ce dont je vous remercie. Y réagissant, je prends acte de votre requête et vous exhorte au respect de l’ordre public.” a écrit Gentiny Ngobila, gouverneur de Kinshasa.

 

Les 4 leaders de l’opposition comptent échanger avec leurs militants notamment sur le processus électoral, l’insécurité grandissante et la vie chère en RDC.

 

Derick Katola




Violation de la liberté religieuse : 21 pays sur les 54 connaissent des niveaux dangereux de persécution et 12 autres de graves menaces de contagion à leurs frontières

Le 22 juin 2023, l’AED a publié la 16e édition de son Rapport sur la liberté religieuse dans le monde. Les conclusions sont sans appel :

62,5% de la population mondiale vit dans des pays où la liberté religieuse est gravement violée, ce qui représente 62 pays sur les 196 étudiés.

28 pays sont classés dans la catégorie rouge rassemblant les persécutions les plus fortes, dont le Nicaragua.

La liberté religieuse s’est fortement détériorée depuis le précédent rapport de 2021 (dégradation dans 47 pays et amélioration dans 9 pays).

Afrique : Liberté religieuse en berne

L’Afrique est le continent le plus concerné par les violations de la liberté religieuse, puisque 21 pays sur les 54 connaissent des niveaux dangereux de persécution et 12 autres de graves menaces de contagion à leurs frontières. La cause principale, outre la pauvreté et les guerres civiles, est l’expansion des groupes terroristes islamistes.

En Asie, les pouvoirs nationalistes ethnoreligieux instrumentalisent la religion à des fins politiques par le biais de lois anti-conversion et anti-blasphème opprimant les minorités religieuses.

De manière générale, le contexte de la pandémie du Covid et de la guerre en Ukraine a détourné les yeux de la communauté internationale sur ces violations majeures créant un climat d’impunité mondiale inédit.

Agissons !

Face à ces constats, l’AED :

Rappelle l’importance capitale de maintenir le droit à la liberté religieuse, tel que précisé dans l’article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, comme condition essentielle à la paix dans le monde.

Exhorte les pouvoirs publics, ainsi que les citoyens, à « ne pas fermer les yeux » ni même à détourner le regard à cause de considérations économiques ou politiques, sur la persécution religieuse. A cette fin, elle présentera son Rapport, publié en 6 langues, au Parlement européen, et en France, au Sénat et à l’Assemblée nationale.

Continuera d’informer et d’aider concrètement les victimes des persécutions religieuses par son action dans 128 pays.

« Nous ne pouvons pas rester sans agir devant tant de cas de violations de la liberté religieuse, prévient Benoît de Blanpré, directeur de l’AED en France. Les gouvernements doivent être amenés à respecter les minorités religieuses et, de manière générale, laisser une place au religieux dans la sphère sociale. Des normes en matière de droits de l’homme, dont la liberté religieuse, existent et doivent être défendues par la communauté internationale ».

Communiqué de presse, Mareil-Marly, le 22 juin 2023.




Le PAM a besoin d’urgence de 759 millions de dollars pour toucher 3,6 millions de personnes pendant six mois dans le Nord-Kivu, l’Ituri et le Sud-Kivu

Le PAM a besoin d’urgence de 759 millions de dollars pour intensifier ses opérations et fournir une aide alimentaire et financière vitale. Cette somme permettrait au PAM d’atteindre son nouvel objectif qui est de toucher 3,6 millions de personnes pendant six mois dans le Nord-Kivu, l’Ituri et le Sud-Kivu.

Avant les plans d’intensification, le PAM devait se trouver à court de ressources alimentaires en septembre, ce qui menaçait les opérations si des ressources supplémentaires n’étaient pas reçues.

Compte tenu de l’opération d’intensification prévue à partir de juin, les ressources du PAM seront encore plus sollicitées pour atteindre les objectifs.

Les ressources risquent de s’épuiser et d’interrompre les opérations du PAM si aucune autre ressource n’est reçue.

Un financement prévisible et flexible est nécessaire pour répondre à l’évolution rapide des besoins. Les prix des denrées alimentaires et les coûts de transport dans l’est de la RDC fluctuent, c’est pourquoi des ressources supplémentaires sont nécessaires pour l’approvisionnement et la mobilisation des denrées alimentaires.

Le PAM inclura également une stratégie de sortie dans l’intensification de ses opérations afin d’éviter de prolonger le déplacement des ménages ciblés.

Ces personnes, dont beaucoup ont été déplacées à plusieurs reprises, sont toutes gravement vulnérables à l’insécurité alimentaire et nécessitent les interventions rapides et ciblées du PAM.

Les besoins humanitaires nécessitent une intensification des opérations que les ressources actuelles du PAM ne permettent pas de couvrir entièrement. Le PAM lance un appel pour obtenir des fonds supplémentaires afin de mettre en œuvre l’intensification des opérations et d’éviter des conséquences désastreuses pour les millions de personnes dans le bes




Naomi, une rescapée de l’attaque des rebelles à Djugu, prise en charge par le PAM

Naomi, 20 ans, a fui avec son bébé d’un an après que les rebelles ont attaqué son village à Djugu, laissant derrière elle tout ce qu’elle possédait. Elle a dû lutter pour subvenir aux besoins de son bébé dans le camp de déplacés, et les mauvaises conditions alimentaires ont entraîné la malnutrition.

Au fil des semaines passées dans le camp, la jeune mère a remarqué que son fils perdait du poids et l’a amené à la clinique, où il a été soigné au centre de santé de Muhito, soutenu par le PAM. Elle a découvert qu’elle était enceinte alors qu’elle était mal nourrie. Les infirmières lui ont dit qu’elle souffrait d’insuffisance pondérale et elle a commencé à prendre de la bouillie enrichie pour s’assurer qu’elle pouvait obtenir les nutriments nécessaires à une bonne grossesse.

Malgré les difficultés auxquelles Naomi est confrontée lorsqu’elle s’est déplacée à Muhito, il y a de l’espoir pour elle et sa famille qui s’agrandit. Le fait qu’elle reçoive un traitement contre la malnutrition est un pas dans la bonne direction. La bouillie enrichie qu’elle reçoit lui apportera des nutriments essentiels, à elle et à son bébé, et leur garantira santé et force.




« Les performances opérationnelles du PAM entravées par les restrictions d’accès dues à l’insécurité » (Rapport PAM)

Les performances opérationnelles du PAM sont fortement entravées par les restrictions d’accès dues à l’insécurité sur les routes et les sites de distribution dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu.

En mai, le PAM a réussi à négocier l’accès à quatre zones de Masisi, au Nord-Kivu, qui étaient largement inaccessibles depuis quatre mois.

Cependant, Rutshuru, dans le Nord-Kivu, est actuellement interdite d’accès aux acteurs humanitaires par le gouvernement local en raison de la présence du M23.

En Ituri, le PAM n’a accès qu’à 76 % des sites de personnes déplacées pour les distributions d’urgence de nourriture et d’argent à ceux qui sont à l’abri du con

flit.




Nord-Kivu : Le PAM a touché 1,2 million de personnes dans le cadre d’activités de distribution générale de vivres

Le PAM a atteint 2,7 millions de personnes dans toutes ses activités en RDC depuis le début de l’année (janvier à mai 2023), dont 1,6 million de personnes dans les trois provinces de l’Est touchées par la crise (Ituri, Nord-Kivu et Sud-Kivu).

Dans l’Est, le PAM augmente régulièrement la portée de ses distributions depuis le début de l’année, avec un creux en avril et mai. Cette baisse est due à des pénuries de produits en nature et à des retards dans la préparation des distributions d’argent au cours de cette période.

Au total, le PAM a touché 1,2 million de personnes dans le cadre d’activités de distribution générale de vivres (dont 593 000 dans le Nord-Kivu), dont 37 pour cent ont reçu de l’argent (440 000 personnes) et 63 pour cent des vivres (798 000 personnes).

Le PAM a surtout ciblé et atteint les personnes déplacées internes et les communautés d’accueil touchées par les conflits en Ituri et au Nord-Kivu, bien que les résultats dans les provinces pour l’année en cours incluent également les programmes d’intervention d’urgence du PAM pour les réfugiés du Sud-Soudan et du Burundi dans l’est de la RDC, ainsi que les personnes touchées par les inondations en mai à Kalehe, dans le Sud-Kivu.

Dans les trois provinces, 302 000 femmes et jeunes filles enceintes et allaitantes, ainsi que des enfants, ont bénéficié de programmes de traitement et de prévention de la malnutrition.




Est du pays : Comment le PAM intensifie ses opérations

Le plan du PAM dans l’Est de la RDC consiste à donner la priorité de ses ressources à l’aide alimentaire et financière vitale à 3,6 millions de personnes en Ituri, au Nord-Kivu et au Sud-Kivu, pour une durée minimale de six mois. Cet objectif fixé par le Cluster Sécurité alimentaire représente 70 % des personnes en situation d’urgence et de crise dans ces trois provinces (phase 3+ de l’IPC). Le PAM vise à fournir un panier alimentaire complet ou 18 USD en espèces à chaque personne pour couvrir les besoins alimentaires immédiats.
Dans le cadre de l’intensification de ses opérations, le PAM assiste les familles déplacées, en particulier autour de Goma et en Ituri. Ces camps s’agrandissent chaque jour, car de plus en plus de personnes cherchent à fuir la violence. Avec la reprise du conflit entre le Mouvement du 23 mars (M23) et les forces armées congolaises (FARDC), il est essentiel que ces camps disposent de ressources suffisantes et que les personnes qui s’y trouvent soient protégées contre la faim.
Le PAM lance un appel aux donateurs pour obtenir davantage de ressources afin d’élargir la portée de ses opérations. Le PAM sera contraint de réduire massivement les rations et le nombre de personnes qu’il peut atteindre si de nouvelles ressources ne sont pas confirmées rapidement. D’ores et déjà, les rations alimentaires ne fournissent en moyenne que 80 % des calories nécessaires, en raison d’un manque de fonds et de problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement, et elles pourraient devoir être réduites davantage. Le PAM devrait être à court de produits alimentaires en juillet et d’argent en octobre. Les ressources sont insuffisantes, même pour un plan de priorisation réduit pour 2,5 millions de personnes (laissant 1,1 million de personnes en situation d’insécurité alimentaire sans assistance).
S’il dispose de ressources suffisantes, le PAM peut aider les populations touchées en dehors des sites de déplacement et cibler davantage les personnes déplacées les plus vulnérables et les familles d’accueil dans le Nord-Kivu, l’Ituri et le Sud-Kivu.
Le PAM augmente également de 50 % la portée de ses traitements de la malnutrition aiguë. 175 000 femmes et jeunes filles enceintes ou allaitantes, ainsi que des enfants, reçoivent une aide mensuelle.
Le PAM et le gouvernement mènent des enquêtes dans les zones touchées sur l’état nutritionnel des enfants de moins de cinq ans et les taux de mortalité de la population afin de comprendre l’étendue et la gravité de la crise humanitaire et d’y répondre.




88 nouveaux prêtres ordonnés pour la France en 2023

La grande majorité des ordinations de prêtres, en France, se déroulent au mois de juin, en particulier le dimanche qui précède la fête des apôtres saint Pierre et saint Paul, colonnes de l’Église. Cette année, les ordinations auront donc lieu pour la plupart le dimanche 25 juin 2023.

Pour l’année 2023, 88 prêtres seront ordonnés, répartis comme suit :

52 prêtres diocésains

19 issus d’une congrégation, d’une communauté ou société de vie apostolique (à noter : 5 d’entre eux sont déjà comptés parmi les prêtres diocésains)

18 prêtres religieux (dont 1 déjà compté au diocèse d’Amiens)

5 prêtres célébrant selon le missel romain de 1962

À noter que la question du ministère presbytéral, et notamment du rôle et de la mission du prêtre face aux enjeux auxquels est aujourd’hui confrontée l’Église en France (c’est-à-dire, dépopulation des territoires ruraux, nouveaux canaux d’évangélisation – numériques en particulier, sécularisation de la société française…) seront à l’ordre du jour du « rassemblement des séminaristes de France », qui se tiendra du 1er au 3 décembre 2023 à Paris.

Cet événement, dont la dernière édition a eu lieu à Lourdes il y a 14 ans (en 2009) rassemblera plus de 700 séminaristes français issus des 25 séminaires et maisons de formation français, en présence de Mgr Éric de Moulins-Beaufort, archevêque de Reims, Président de la Conférence des évêques de France (CEF), du cardinal Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille, et de Mgr Laurent Ulrich, archevêque de Paris.

Comment expliquer que le nombre de prêtres ordonnés soit en baisse ?

Cette baisse s’inscrit dans une tendance continue de baisse des vocations au sein de l’Église, que nous observons depuis une vingtaine d’années, et que de nombreux sociologues des religions ont documentée.

Bien sûr, c’est d’abord la suite d’une sécularisation connue, qui s’accélère selon toutes les études, de la société française. Pour qu’il y ait des prêtres, il faut d’abord des chrétiens ! Et ceux-ci sont de moins en moins nombreux en France. C’est aussi sans doute le reflet d’une difficulté pour beaucoup à s’engager toute leur vie dans une vocation vue comme magnifique mais difficile. On le voit d’ailleurs avec d’autres vocations ou métiers qui exigent un engagement humain très fort.

Que fait l’Église pour répondre à ce défi ?

La baisse constatée est surtout un immense appel pour tous les fidèles catholiques ! Un appel pressant à prier en écho à ces mots si forts de Jésus : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. » (Mt 9,37-38). Le pape François l’assurait : « Les vocations naissent dans la prière et de la prière ; et elles ne peuvent persévérer et porter du fruit que dans la prière. » (Message pour la journée mondiale des vocations – 2013). Nous avons tous cette grande responsabilité confiée par Jésus de prier pour demander ces vocations consacrées dont nos diocèses ont tant besoin.

C’est un appel pour nos paroisses, nos mouvements et nos familles à redécouvrir et à transmettre la beauté et la joie de ces vocations de prêtres, de religieux et de religieuses, au service de la vocation baptismale de chacun. Que les jeunes puissent discerner en toute liberté, en se sachant accompagnés et encouragés face aux difficultés. Que ceux qui se découvriront appelés à suivre le Christ en engageant leur vie comme prêtres, religieux ou religieuses puissent se sentir portés par toute la communauté ! Qu’ils trouvent ainsi la confiance et l’audace pour donner généreusement leur « oui » !

Nous rendons grâce pour ceux qui seront ordonnés ces jours-ci. Leur « oui » est le fruit de la prière et de la foi de beaucoup. Qu’ils soient heureux de servir des communautés paroissiales qui les accueilleront tels qu’ils sont et les aideront à se déployer et s’accomplir.

Face à leur petit nombre, nous appelons chacun à un véritable « sursaut », une vraie prise de conscience qui vienne nourrir notre prière, susciter de nouvelles initiatives et inviter chaque jeune à discerner avec confiance et générosité l’appel du Seigneur !

Les chiffres par diocèses et par communautés religieuses

Les chiffres présentés ci-après sont communiqués à date des retours reçus. La liste des prêtres ordonnés dans les congrégations religieuses n’est pas exhaustive.

Prêtres diocésains ordonnés (total : 52)

Province de Bordeaux (total : 2)

Diocèse de Bayonne : 2 (tous deux issus du chemin néo-catéchuménal)

Province de Clermont (total : 1)

Diocèse de Moulins : 1

Province de Lille (total 1)

Diocèse de Cambrai : 1

Province de Lyon (total : 2)

Diocèse de Lyon : 2

Province de Marseille (total : 5)

 

Diocèse d’Avignon : 1 (à noter : ordination en décembre 2022)

Diocèse de Marseille : 3

Diocèse de Nice : 1

Province de Montpellier (total : 3)

Diocèse de Montpellier : 1

Diocèse de Perpignan-Elne : 2

Province de Paris (total : 10)

Diocèse de Créteil : 1

Diocèse de Meaux : 1 (issu des Missions Étrangères de Paris MEP)

Diocèse de Nanterre : 1

Diocèse de Paris : 5

Diocèse de Versailles : 2

Province de Poitiers (total : 2)

Diocèse d’Angoulême : 1

Diocèse de La Rochelle : 1

Province de Reims (total : 3)

Diocèse d’Amiens : 2 (dont un issu des Lazaristes)

Diocèse de Langres : 1

Province de Rennes (total : 10)

Diocèse de Luçon : 1

Diocèse de Nantes : 2

Diocèse de Quimper : 2

Diocèse de Rennes : 3 (dont 2 issus de la Communauté de l’Emmanuel)

Diocèse de Saint-Brieuc : 1

Diocèse de Vannes : 1

Province de Toulouse (total : 4)

Diocèse de Auch : 1

Diocèse de Tarbes et Lourdes : 1

Diocèse de Toulouse : 2

Diocèses relevant directement du Saint-Siège (total : 5)

Diocèse aux Armées : 1

Diocèse de Metz : 1

Diocèse de Strasbourg : 2

Prélature de la Mission de France : 1

Diocèses d’Outre-mer (total : 4)

Diocèse de Basse-Terre : 1

Diocèse de Cayenne : 2

Diocèse de Saint-Denis de la Réunion : 1

Répartition des prêtres ordonnés au service d’un diocèse issus d’une congrégation, d’une communauté ou d’une société de vie apostolique (total : 19)

Communauté Saint-Martin : 7

Communauté de l’Emmanuel : 2 (déjà comptabilisés dans le diocèse de Rennes)

Communauté du Chemin Neuf : 6

Chemin néo-catéchuménal : 2 (déjà comptabilisés dans le diocèse de Bayonne)

Missions Etrangères de Paris (MEP) : 1 (déjà comptabilisé dans le diocèse de Meaux)

Société des prêtres de Saint-Jacques : 1

Prêtres religieux ordonnés (total : 18)

Compagnie de Jésus (Jésuites) : 1

Communauté Saint-Jean : 1

Ordres des Carmes déchaux (Province d’Avignon-Aquitaine) : 1

Congrégation des Augustins de l’Assomption : 2

Ordre de Saint Benoît (Bénédictins) : 2

Ordre des Frères Prêcheurs (Province de Toulouse) : 4

Abbaye de Ganagobie : 1

Lazariste : 1 (déjà comptabilisé dans le diocèse d’Amiens)

Montfortains : 1

Oblats de Saint François de Sales : 4

Répartition des prêtres, ordonnés au service d’un diocèse, célébrant selon le missel romain de 1962 (total : 5)

Fraternité sacerdotale Saint-Pierre : 5




Billets en ligne disponibles pour la Coupe d’Afrique des Nations U23 Maroc 2023 

La vente en ligne est désormais ouverte pour la Coupe d’Afrique des Nations U23 TotalEnergies Maroc 2023, dont le coup d’envoi sera donné le samedi 24 juin 2023.

Les billets peuvent être achetés en ligne depuis ce LIEN

Le tournoi servira de qualification pour les Jeux Olympiques d’été, Paris 2024.

Deux stades accueillent l’événement, le Complexe Sportif Prince Moulay Abdallah à Rabat et le Grand Stade de Tanger à Tanger.

La compétition réunit huit équipes, dont le Maroc, la Guinée, le Ghana, le Congo, l’Égypte, le Niger, le Mali et le Gabon.

Pour plus d’informations sur la Coupe d’Afrique des Nations U23 CAF TotalEnergies Maroc 2023, veuillez consulter le site www.cafonline.com.




L’Egypte déterminée à conserver le titre de U23 de la CAN – le skipper Ali Mohamed

Le capitaine égyptien Ibrahim Adel Ali Mohamed a déclaré qu’ils étaient déterminés à conserver le titre de TotalEnergies U-23 Coupe d’Afrique des Nations Maroc 2023 (CAN).

Ali Mohamed a déclaré à la CAF dans une interview vendredi qu’ils étaient impatients de lancer leur campagne 2023 lors de leur match d’ouverture du groupe B contre le Niger dimanche au stade Ibn-Battouta, communément appelé le Grand Stade de Tangerin Tanger.

« Nous nous sommes bien préparés et avons faim de conserver ce titre et de nous qualifier pour les Jeux Olympiques de Paris afin de rendre les Egyptiens très heureux », a ajouté l’ailier gauche offensif qui joue également pour Pyramids en Premier League égyptienne.

Parlant des sept autres équipes qui s’affronteront dans la compétition, le capitaine égyptien a clairement indiqué qu’ils ne sous-estimeraient aucune équipe.

« Chaque équipe qui s’est qualifiée pour jouer la CAN U-23 est assez bonne pour être ici, et nous devons les respecter », a expliqué Ali Mohamed.

Il a toutefois estimé qu’ils prendraient chaque match comme une finale parce que tous les matchs de la compétition sont très importants.

« Nous sommes très concentrés et tous les joueurs sont déterminés à prouver un point », a ajouté le skipper qui faisait également partie de l’équipe égyptienne U-23 aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020.

L’équipe égyptienne affrontera le Niger, le Mali et le Gabon dans le groupe B.

En 2019, l’Égypte est sortie championne devant ses fans après une victoire 2-1 contre la Côte d’Ivoire après prolongation au stade international du Caire.