Volley-ball: Bilan du championnat de l’entente de Lubumbashi joué samedi

On a joué pour compte du championnat de l’entente urbaine de volley-ball de Lubumbashi, le samedi 3 juin 2023 sur les deux terrains qui abritent la compétition à savoir celui de Kiwele et Maramba.

Résultats enregistrés samedi 3 juin 2023

Terrain Maramba

Price vs VC Cheminots (M) : 3-0 FF

VC Mazembe vs VC Lupopo (D) : 3-0

Terrain Kiwele

VC Mazembe vs VC Police (M) : 3-0 FF

VC Force du Progrès vs VC Baraka (D) : en queue de poisson

Antoine Bolia




Cyclisme: Kwe Tando (M) et Etebunga Urim (D) au-dessus du lot au GP Robert Holenn 

La Ligue Provinciale de Cyclisme de Kinshasa ‘’Liprocykin’’a ouvert sa saison sportive dimanche 4 juin 2023 par le GP Robert Holenn. A cet effet, une ambiance de fête a régné dimanche 4 juin 2023 sur le boulevard du 30 juin à la Gombe.

Au menu, la balade de 14 km qui a réuni au total 51 participants dont le vice-ministre Robert Holenn, numéro 1 de GHS principal sponsor de l’événement. Il a terminé 4è au classement général. Une course cycliste pour amateurs (garçons) de 15 petits tours pour un total de 45 km. Course remportée par Kwe Tando et enfin, une course cycliste pour amateurs filles qui ont accompli 10 tours. Course remportée par Etebunga Urim. La Bralima a offert la boisson et l’artiste musicien Petit Rochereau a agrémenté la manifestation.

Les bienfaits du vélo sur la santé

 

 

 

La Liprocykin a organisé cette activité en partenariat avec GHS et ce, dans le cadre de la journée mondiale du vélo. Thème : ‘’Les bienfaits du vélo sur la santé’’.

Avant le lancement de la balade qui a réuni tous les participants de trois catégories précitées soit 51 personnes, le vice-ministre à la santé, Dr Robert Holenn a révélé les bienfaits du vélo pour la santé à l’intention de l’assistance : ‘’Le vélo est bien pour la santé, mais saviez-vous à quel point ? Voici les raisons de rouler pour rester en forme :

-Un cerveau plus performant : ‘’Mémoire et concentration…Les amateurs du vélo ont des cerveaux mieux oxygénés et qui fonctionnent de façon plus optimale’’

-Bon pour la santé mentale : ‘’Le vélo, comme d’autres sports, déclenche la sécrétion d’endorphines, ce qui réduit le stress, l’anxiété et même les risques de faire une dépression’’

-Moins de diabète : ‘’30 minutes de vélo par jour réduit de 40 % le risque de développer un diabète de type 2’’

-Un meilleur système cardiovasculaire : ‘’Faire du vélo permet de garder et poids optimal, de stimuler le muscle cardiaque, d’abaisser le rythme du cœur au repos ainsi que le niveau de cholestérol et la pression artérielle’’

-Une plus grande vitalité sexuelle : ‘’Le vélo permet meilleure vascularisation dans toutes les parties de l’anatomie…y compris les plus intimes’’

-Améliore l’équilibre : ‘’La pratique du vélo améliore la coordination, l’équilibre et la force musculaire, ce qui réduit les risques de chutes, notamment chez les personnes âgées’’.

Ce qu’on retient du Grand Prix Robert Holenn

 

 

I.Balade

Départ et arrivée : Devant PCR

Heure de départ : 10h25

Arrivée : 11h03’

Temps réalisé : 38 minutes

Distance : 14 km

Moyenne : 26 km/h

Classement Général vétérans

1. Kalume David

2. Satole Israël

3. Molota Marius

4. Robert Holenn

5. Diongo César

II. Course cycliste amateurs (garçons)

Départ et arrivée : Devant ancien commissariat PCR Heure de départ : 12h10’

Arrivée : 13h11’

Distance : 45 km

Temps réalisé : 1h01 minute

Moyenne : 44 km/h

III. Course cycliste amateurs (filles)

Départ et arrivée : Devant ancien commissariat PCR Heure de Départ : 11h10

Arrivée : 12h11

Temps réalisé : 1h01’

Moyenne : 29.4 km/h

Classement Général filles

1. Etebunga Bokungu Urim

2. Mbuyi Ngoya Princilia

3. Mvumo Sterline

4. Kiala

5. Andulu

Remise des prix

 

 

 

Le 1er des amateurs messieurs a empoché 500 $ + 1 prix spécial. La première fille a reçu 200 $ + 1 prix spécial. Une prime de départ a été remise à chaque cycliste.

L’arbitraire continue

Une fois de plus, le groupe des gens non autrement identifié s’est permis d’organiser une autre course le même dimanche 4 juin aux environs du Palais de la nation toujours en violation de la loi et des règles établies en matière des sports. En organisant sans qualité, titre et droit de courses, ce groupe non autrement identifié continue de faire ombrage à la Liprocykin en posant des actes ignobles.

Des sanctions très graves de la Liprocykin attendues dans les prochaines heures

‘’Aussi longtemps que dure la nuit, le jour finit par apparaître’’ dit-on. En posant des actes pour empêcher la bonne marche de la ligue, l’entente ou le groupe des personnes non autrement identifiées ont lamentablement échoué. Dans les prochaines heures des sanctions très graves seront annoncées par la Liprocykin.

Antoine Bolia




Simaro Ngongo et la CASE invitent Fatshi à bien gérer la nervosité de fin mandat constitutionnel pour éviter la sénégalisation de la Rdc

Simaro Ngongo Mbayo, président de la Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) estime que si le tribalisme politique gagne du terrain, c’est essentiellement à cause du triomphalisme à forte connotation tribale qui caractérise les bénéficiaires des attributs du pouvoir. Il n’est pas rare de suivre des vidéos et audios sur les réseaux sociaux qui proclament le pouvoir du Président de la République comme système à prédominance ethnique. S’ajoutent à cela une culture de l’insulte facile contre des personnalités politiques, religieuses et autres. Ces faits ont dangereusement affaibli le prestige du régime à telle enseigne que le peuple s’en trouve sérieusement embarrassé.

1. La Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) invite le Président Félix TSHISEKEDI à construire des conditions d’apaisement politique et de confiance à six mois des élections du 20 décembre 2023. L’amplification des milices anti-population, les enlèvements ciblés, le musellement de l’opposition, et les attaques orientées contre des personnalités ne partageant pas la vision du Président de la République plongent le pays dans l’incertitude vitale.

2. Le virus du tribalisme politique qui ronge le régime du Président Félix TSHISEKEDI ne peut être efficacement combattu que par les gouvernants eux-mêmes d’autant plus que les autres catégories des populations subissant les effets de la suprématie politique des dirigeants, adoptent le réflexe défensif susceptible d’envenimer la situation géopolitique du pays.

Si le tribalisme politique gagne du terrain, c’est essentiellement à cause du triomphalisme à forte connotation tribale qui caractérise les bénéficiaires des attributs du pouvoir. Il n’est pas rare de suivre des vidéos et audios sur les réseaux sociaux qui proclament le pouvoir du Président de la République comme système à prédominance ethnique. S’ajoutent à cela une culture de l’insulte facile contre des personnalités politiques, religieuses et autres. Ces faits ont dangereusement affaibli le prestige du régime à telle enseigne que le peuple s’en trouve sérieusement embarrassé.

3. Le tribalisme politique en République Démocratique du Congo se vit également dans les plus hautes sphères de gestion de l’Etat. Les différentes mises en place n’obéissent pas toujours aux exigences d’équité géopolitique de préservation de l’unité nationale.

4. La CASE invite le Président de la République, Monsieur Félix TSHISEKEDI à moraliser la vie politique des gouvernants en exhortant chaque leader politique à adopter des attitudes conciliantes de fraternité irréprochable envers le peuple et leurs semblables

5. Recommandation est également faite au pouvoir judiciaire de reconquérir toute son indépendance en résistant à toute forme de manipulation, de pression et de corruption. La lutte contre les antivaleurs doit commencer par nos propres instruments de justice dont la réputation s’est envolée laissant place à des parodies de procès qui n’incriminent que les innocents à faible bourse et innocentent les coupables politiquement et financièrement hauts placés.

6. L’acharnement qui s’observe sur certains compatriotes pour leurs avoirs personnels convoités par les tenants du pouvoir désarticule fondamentalement les valeurs du vivre-ensemble. Là aussi il y a lieu de rectifier nécessairement avant la tenue des scrutins électoraux de décembre 2023 afin de minimiser l’impact négatif sur le phénomène de contestation des résultats.

7. L’animosité très accentuée, développée et militarisée envers et contre les candidats à l’élection présidentielle ne fait que renforcer le sentiment divisionnisme au sein de la société. Cette fixité désobligeante empoisonne le climat politique à la veille des élections générales de décembre prochain.

8. La CASE apprécie les efforts de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) qui a montré son souci pour le respect des libertés publiques à l’issue de la marche de l’opposition du 20 mai dernier. Elle invite cette structure nationale à intensifier son plaidoyer à l’attention des institutions politiques du pays et des personnalités du système politique.

9. La CASE invite le Président de la République Démocratique du Congo à requalifier les missions du Conseil National de Suivi de l’Accord de la Saint-Sylvestre (CNSA), institution d’appui à la démocratie en ce qui concerne ses missions consistant à veiller au suivi ainsi que l’évaluation de l’organisation des élections crédibles, transparentes, inclusives et apaisées. Car rien ne sert de s’accrocher à une CENI nauséabonde qui ne fait qu’enfoncer la Nation dans un gouffre.




Nicolas Kazadi : « La visite d’Etat a permis de relancer la coopération bilatérale entre Kinshasa et Pékin »

Le ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe, le Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Étrangères, Christophe Lutundula Apala Pen’Apala et le ministre des Finances, Nicolas Serge Kazadi Kadima-Nzuji, ont coanimé un briefing presse ce lundi 5 juin 2023 autour de la visite du Président de la République, Félix Tshisekedi en Chine donnant les grandes lignes du Partenariat Stratégique Global Sino-congolais.

Prenant la Parole en premier, Patrick Muyaya a salué une visite d’État historique effectuée en Chine par le Président de la République. Il souligné la signature de plusieurs mémorandums entre les ministres sectoriels de deux pays.

“Beaucoup de choses ont été faites en marge de cette visite, notamment la signature de plusieurs mémorandums entre les ministres sectoriels de deux pays mais aussi vous avez beaucoup entendu de ce que nous avons appelé partenariat global et stratégique, parce qu’avec cette puissance mondiale, nous tenons à relancer notre coopération. Il y a eu des spéculations qui ont été faites avant le départ tendant à réduire la portée de cette visite historique jusqu’à la renégociation autour du contrat, ce n’était pas le cas”, a fait savoir le Ministre de la Communication et Médias.

Prenant la parole à son tour, Christophe Lutundula a martelé sur le bien-fondé du voyage de la délégation ministérielle qui a précédé celui du Président de la République en Chine qui n’était pas celui des négociations.

Soulignant le partenariat gagnant-gagnant entre Kinshasa et Pékin et l’intérêt manifesté par la Chine par rapport aux initiatives à prendre en ce qui concerne les minerais stratégiques, le Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Étrangères, Christophe a rappelé les principes de base de ce partenariat dont la valorisation des ressources naturelles occupe une place prépondérante.

“On a signé des instruments juridiques de coopération, des ententes mutuelles, quelques accords. Dans mon secteur, il y a eu un accord de coopération générale, il y a eu un accord d’institution de mécanisme d’accord de suivi par les deux ministères des Affaires étrangères. D’autres instruments ont été signés dans les domaines du numérique, de l’environnement, des médias”, a-t-il souligné.

Christophe Lutundula a dans la foulée, martelé sur deux éléments indispensables même si les instruments juridiques de coopération ont été signés.

“La première est qu’au niveau du gouvernement, qu’il y ait des projets précis à soumettre à nos partenaires. 2è condition : que les congolais prennent aussi des initiatives. Nous sommes dans une économie libérale. C’est un secteur privé dynamique dont nous avons besoin. L’État trace le cadre, crée le climat des affaires, s’occupe des infrastructures. Il faut des hommes audacieux, qui ont de l’imagination, qui créent des richesses, qui créent de l’emploi”, a-t-il dit.

Pour sa part, Nicolas Kazadi a rappelé l’objectif de la mission en Chine qui n’était pas celui de signer des contrats, mais celui de relancer la coopération bilatérale entre Kinshasa et Pékin.

“Il fallait redonner un nouveau souffle à cette coopération qui est extrêmement importante. La Chine aujourd’hui est l’un des principaux acteurs sur le plan économique à l’échelle mondiale et premier investisseur en RDC. Nous avons donc un partenaire majeur”, a-t-il fait savoir.

 

Il a ajouté : “En toile de fond de cette visite, il y avait quelques différends liés à quelques investissements mais ces différends ne faisaient pas l’objet des discussions. Ces différends ont été traités avant d’aller en Chine. Le principal avec TFM avait déjà été résolu. Il reste celui avec Sicomines. Il était important de poser le cadre dans cet esprit de renouveau dans la relation”.




Après la signature d’un procès verbale: Jean-Pierre Lihau remet à Julien Paluku le cadre organique et le référentiel d’emplois du Bureau National d’Etude et de Planification Industrielle

Le cadre organique et le référentiel d’emplois du Bureau National d’Etude et de Planification Industrielle (BENEPI) ont été remis ce lundi à Kinshasa au ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya par le Vice-Premier, ministre de la Fonction Publique, Modernisation et Innovation du Service Public, Jean-Pierre Lihau et ce, à l’issue de la signature d’un procès verbale par ces deux membres du Gouvernement.

Ces outils vont permettre à l’Etat congolais de maîtriser totalement les effectifs et la masse salariale au sein des établissements et services publics, a fait savoir le Vice-Premier Ministre, Ministre de la Fonction Publique, Modernisation et Innovation du Service Public, Jean-Pierre Lihau, tout en félicitant le travail abattu par les experts de son ministère et ceux du Bureau National d’Etude de Planification Industrielle (BNEPI).
« La tâche est encore immense, il y a beaucoup à faire mais là. On essaye de marcher vers le progrès pour ne pas arrêter cette marche-là, surtout faire de sorte qu’avec ce que nous allons faire, au niveau des administrations, au niveau de l’Industrie et demain au niveau de l’Agriculture, … ce n’est que comme cela que nous allons donner l’espoir à notre peuple pour être réconcilié avec l’avenir et cela passe par des actions », a indiqué le VPM Jean-Pierre Lihau.
Grâce à ces outils d’organisation et de transformation de mode de gestion, le BNEPI doit désormais bien accomplir les missions qui lui sont assignées, a indiqué de son côté le Ministre de l’Industrie, Julien Paluku tout en ajoutant que d’autres établissements publics sous tutelle de son ministère seront également dotés de ce cadre organique
« Je me sens très réconforté par le travail qui est abattu ici à la Vice-Primature de la Fonction publique, qui est dans une réforme avancée au niveau des structures et cadres organiques de l’Etat. Est-ce que vous savez que le chef de l’Etat tient à ce que nous ne puissions pas naviguer à vie ? Depuis longtemps, beaucoup de structures n’ont pas de cadres organiques et cela fait que la gestion du personnel fait défaut. Et depuis que nous sommes à la tête de ce ministère, nous avons voulu régulariser cette situation, parce que nous avons autour de 5 établissements publics : le Fonds de promotion de l’Industrie, l’Agence des Zones économiques spéciales, le Bureau national d’étude et planification industrielle, le Conseil congolais de la batterie, mais également la Direction générale des corridors de développement industriel », explique Julien Paluku.


Le ministre de l’Industrie se dit heureux que l’un de ces établissements soit doté de son cadre organique et de son ‘référentiel d’emploi. Ceci permet à ce que nous puissions maitriser les effectifs et empêcher ainsi l’Etat de saigner lorsqu’il doit prendre en charge son personnel. « A partir d’aujourd’hui, nous allons activer la machine pour d’autres établissements publics à commencer par notre Secrétariat général qui lui-même a revu son cadre organique », souligne-t-il, avant d’annoncer que dans les jours à venir, nous allons encore nous présenter ici pour recevoir les cadres organiques et les référentiels pour être complet et permettre au ministère de s’inscrire dans la droite ligne du chef de l’Etat qui tient à la modernisation des services publiques.
Soulignons que l’homme le plus heureux, c’est le Directeur général du BNEPI, Innocent Mbungaya qui a au nom de son personnel jeté des fleurs au Gouvernement congolais très soucieux de promouvoir le secteur de l’industrie.




Soudan : 10 congolais tués par les bombardements de l’armée régulière

Dix congolais ont été tués par des bombardements de l’armée régulière du Soudan. Si la Rdc à travers le Vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et Francophonie a convoqué le Chargé d’Affaire de l’ambassade soudanaise en Rdc, elle demande au gouvernement soudanais de tout pour identifier les corps, avant de les rapatrier pour des obsèques dignes en Rdc. Le Gouvernement rappelle qu’il avait demandé à tous les Congolais de se faire annoncer à l’ambassade, pour un potentiel rapatriement.

Dans un communiqué publié ce lundi à Kinshasa, le ministère des Affaires Étrangères et Francophonie de la République Démocratique du Congo a appris avec une profonde consternation la mort de 10 Congolais, tués par des bombardements effectués le dimanche 04 juin 2023 à 13 heures sur le campus de l’Université Internationale d’Afrique située à Khartoum.

« Des informations en possession du Ministère des Affaires Étrangères et Francophonie indiquent que ces tirs mortels, exécutés par l’armée régulière sur une zone occupée par des populations civiles et non armées, y compris des ressortissants des pays étrangers, ont grièvement blessés d’autres compatriotes qui se trouvent actuellement à l’Hôpital militaire Kouliyat Razi dans la capitale soudanaise », indique le même document.

Voici les noms des Congolais tués par ces bombardements : KULA MASSAMBA, Benjamin MVUANGI IBRAHIM, Abdoul KILUMBUDIDI GUMULE, KAMANGO Joseph, TABIN ABOUBACAR, Georgette ENKA BONGALU MUMBANGA, ISMAEL Patience Jean, BEBE, FAROUK et Rosa PATIENCE Jean.

Suite à ce drame qui vient d’endeuiller la République Démocratique du Congo, le Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Étrangères et Francophonie, Christophe Lutundula apala Pen’Apala, a reçu ce lundi 05 juin 2023 dans son Cabinet de travail M. Musab Altoum, Chargé d’Affaires a.i de l’Ambassade du Soudan à Kinshasa. Lors de cette entrevue, le Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Étrangères et Francophonie a transmis à son hôte le message de tristesse et de protestation du Gouvernement congolais.

Le Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Étrangères et Francophonie a fait savoir au Chargé d’Affaires a.i du Soudan à Kinshasa que le Gouvernement de la République Démocratique du Congo attend des autorités soudanaises toute la lumière sur ce drame. Pour permettre aux familles de victimes de faire le deuil de leurs, il exige des autorités soudanaises de prendre les dispositions adéquates pour restituer les dépouilles des compatriotes gratuitement fauchés en vue de leur rapatriement et inhumation en toute dignité au pays.

Par ailleurs, le Gouvernement congolais demande aux autorités soudanaises d’ouvrir un couloir humanitaire afin de lui permettre d’évacuer les compatriotes blessés et de ceux encore bloqués.




Grève des conducteurs de taxis à Kinshasa : le jet de pierres observé à Bitabe

Une forte tension s’est observée ce lundi 05 juin sur le tronçon Bitabe-Pascal, le long du boulevard Lumumba, dans le district de la Tshangu. Et ce, à la suite de la grève déclenchée par les conducteurs des taxis-bus.

En effet, les chauffeurs des voitures à usage commercial n’admettent pas que les motocyclistes fassent le transport en ce jour de grève sur le boulevard Lumumba. À l’allure d’un épisode du cinéma américain, jeu des pierres et bagarres entre conducteurs et motocyclistes.

« Ils ne veulent pas que nous puissions travailler, les conducteurs grévistes nous menacent, ils nous pourchassent », s’est indigné un motocycliste déjà blessé aux genoux.

Un des conducteurs grévistes s’exprime à notre rédaction : “ces motocyclistes veulent réduire le combat de lutte contre les tracasseries policières, alors qu’ils sont aussi concernés”, a-t-il dit.

Signalons que les agents de l’ordre ont été dépêchés à cet endroit où les conducteurs grévistes et les motocyclistes échangent des pierres et sèment la panique afin de les disperser.

Pour rappel, la grève des conducteurs des taxis-bus vise à attirer l’attention des autorités sur les tracasseries routières dont ils sont victimes.

Jean-Luc Lukanda




Détention de Salomon Kalonda à la “Demiap” : “Nous avons l’autorisation du Ministère public pour proroger la détention”

Le conseiller spécial de Moïse Katumbi, l’opposant Salomon Idi Kalonda, vient d’être accusé par la justice militaire, de détention illégale d’armes, atteinte à la sûreté de l’Etat et incitation des militaires à commettre des actes contraires à la loi.

Détenu depuis le 30 mai dernier dans les locaux de l’Etat-major des renseignements militaires de la RDC, une certaine opinion accuse les services de renseignement de violation de la loi.

Et bien qu’interrogé, l’ex Demiap n’a pas encore remis Salomon Idi entre les mains de son juge naturel.

A en croire l’Etat-major des renseignements militaires, c’est sur autorisation du Ministère public que la détention de ce très proche de Katumbi se poursuit ; puisqu’il s’agit des “faits graves”.

Le lieutenant-colonel Kangoli Ngoli Patrick, conseiller juridique à l’Etat-major des renseignements militaires précise :

“Les faits étant complètement sensibles dès lors que nous avons mis la main sur M. Salomon Kalonda Idi Della, le lendemain pour respecter la procédure, nous avons saisi l’officier du Ministère public pour nous permettre de proroger la durée de sa détention. Et donc nous sommes en conformité avec la loi. Nous avons l’autorisation du Ministère public pour proroger la détention et nous sommes en train d’y travailler pour que nous puissions le mettre à sa disposition avec tous les éléments de preuve et qu’il soit directement devant son juge naturel”.

BM




30ème lettre sociale congolaise : Ordonnance Présidentielle de nomination d’un Inspecteur Général du Travail, un impératif catégorique pour une Inspection Congolaise du Travail à la grandeur de la Rdc et à la Vision du Président de la République

« C’est une règle générale : l’homme qui réussit le mieux dans la vie est celui qui détient la meilleure information ». Benjamin Disraeli.

Chères lectrices, chers lecteurs,

1. Parant de l’arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du15 mai 2023 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail, la présente lettre sociale congolaise analyse le phénomène « Nomination à titre intérimaire des Inspecteurs Généraux Titulaire et Adjoint » de l’Inspection Générale du Travail.

2. Ce phénomène étant aberrant, la présente lettre sociale congolaise pointe du doigt le danger qu’il y a d’avoir, à la tête de l’Inspection Générale du Travail, un Service de régulation du travail salarié, un Inspecteur Général du Travail sans pouvoir fonctionnel. Ce pouvoir n’est conféré à ce dernier ( Inspecteur Général Titulaire ) que par le Président de la République en vertu de ses prérogatives constitutionnelles, légales et règlementaires, c’est à dire par une ordonnance présidentielle de nomination.

3. La présente lettre sociale congolaise montre aussi l’importance que la tradition normative, idéologique et discursive congolaise attache au travail comme « une activité systématique, ayant pour but, standardisée par la tradition et vouée à la satisfaction des besoins, fabrication des moyens de production et la création d’objets de luxe, de valeur et de renommée » pour reprendre la définition de Anne Monjaret et compagnie (2022).

4. L’analyse bibliologique de certains documents dispensateurs des valeurs fondatrices et fondamentales de la République démocratique du Congo montre que cette dernière (République démocratique du Congo) lie son développement, son devenir et son avenir au travail. Ce lien travail –développement est à découvrir à travers la lecture de sa constitution, de son hymne national, de sa devise et de la communication écrite son Président, Chef de l’Etat, sur les différents secteurs de la vie nationale.

5. La constitution congolaise du 18 février 2006 situe le travail dans la catégorie des droits économiques, sociaux et culturels. Cette constitution dispose en son article 36 : « Le travail est un droit et un devoir sacrés pour chaque congolais (…) ». Le travail est ainsi sacré dans la mesure où il fait partie de trois composantes de la devise de la République démocratique du Congo, à savoir : « justice, paix, travail ».

6. L’hymne national de la République démocratique du Congo revient aussi sur l’importance du travail en ces termes : « Par le labeur, nous bâtirons un pays plus beau qu’avant ». Cette tradition idéologique est aussi mise en exergue par Pape François lors de son voyage apostolique au Congo-Kinshasa. S’adressant à son frère et sa sœur congolais dans son discours du 31 janvier 2023, Pape François (2023 :2) écrit : « Revis l’esprit de ton hymne national, en rêvant et en mettant en pratique ses paroles : « Par le labeur, nous bâtirons un pays plus beau qu’avant dans la paix » ».

7. De son côté, dans son livre Ma vision Politique, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo (2022 :75) montre que « la lutte contre le chômage est un immense défi national ». Il demeure ainsi fondé de préciser que la lutte contre le chômage sous-entend non seulement la création des emplois, mais aussi et surtout la protection de la main d’œuvre déjà employée. Car, le travail salarié renvoie à la combinaison de la main d’œuvre et l’emploi. Ce dernier aspect de lutte contre le chômage est l’une des raisons d’être de l’Inspection du Travail, du moins pour les salariés régis par le code du travail.

8. Pour ce faire, ce dernier aspect de la lutte contre le chômage exige la présence d’un Inspecteur Général du Travail digne et compètent nommé par le Président de la République.

9. Au-delà des prérogatives constitutionnelles, légales et règlementaires du Président de la République de nommer l’Inspecteur General du Travail, l’exigence de nomination d’un Inspecteur Général du Travail trouve aussi son fondement dans la détermination de ce dernier de lutter contre le chômage sous son aspect de lutte pour la protection de la main d’œuvre déjà employée. Cette détermination est rendue publique au point 1.7.3 du compte – rendu de la 1ère réunion extraordinaire du conseil des ministres du 13 septembre 2019 qui cette détermination en ces termes : « Le Chef de l’Etat a indiqué sa détermination à ne plus voir les congolais être malmenés sur les lieux de travail par des employeurs véreux ».

10. Par souci de rendre populaire sa détermination, le Président de la République comme auteur du livre Ma Vision politique ci-haut cité écrit à la page 88 de son livre ce qui suit : « Ma détermination est ferme. Mais son succès ne sera au rendez-vous qu’avec l’implication de tous mes compatriotes (…). C’est pourquoi je vais engager le pays dans des reformes de grande envergure de refondation de l’Etat, avec la justice comme épicentre, jusqu’aux secteurs de la vie nationale ».

11. La détermination du Président de la République constitue aussi un viatique pour la rupture telle que rendue publique au point 1.6 du compte rendu de la première réunion extraordinaire du Conseil des Ministre du 13 septembre 2019 ci-haut cité où « le Président de la République a martelé que ce gouvernement sera celui qui marquera la rupture avec tout ce qui était négatif dans le passé ».

12. Curieusement, l’arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du15/05/2023 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail présage la résignation à la rupture annoncée par le Président de la République. Par conséquent, les travailleurs seront toujours malmenés par les employeurs véreux comme par le passé.

13. Cet arrêté ministériel est donc une procédure aberrante d’accès, à l’Inspection Générale du Travail., aux fonctions et grades de la catégorie A. Pourtant, ces fonction et grade relèvent de la compétence du Président de la République, le Chef de l’Exécutif Congolais pour nomination et promotion. L’arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du15/05/2023 est donc une copie collée de l’arrêté ministériel n° 034/CAB/MINETAT/METPS/FBM/2018 du 30 mars 2018 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail et de deux Inspecteurs Généraux Adjoints au sein d’un Service Public de l’Etat dénommé Inspection Générale du Travail.

14. Pareil arrêté est l’une des sources de la faiblesse fonctionnelle actuelle de l’Inspection Congolaise du Travail. Un Inspecteur Général du Travail sans pouvoir fonctionnel ne peut ni réaliser les missions de l’Inspection du Travail ni contribuer à la matérialisation de la Vision du Chef de l’Etat de lutter contre le chômage. Les licenciements abusifs des salariés congolais, la précarité de l’emploi due au non-respect des lois de la République démocratique du Congo sont des preuves attestant la non appropriation de la vision du Président de la République sur lutte contre le chômage par l’Inspection du Travail, du moins en ce qui concerne son aspect de lutte pour la protection de la main d’œuvre déjà employée.

15. D’ailleurs, la 29ème lettre sociale congolaise intitulée : « nomination à titre intérimaire d’un inspecteur général du travail : est- ce une astuce clientéliste politicienne et gangstériste administrative pour la gestion et la protection des intérêts mesquins ? » a montré le caractère arbitraire de l’ arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du15/05/2023 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail partant des violations systématiques des dispositions constitutionnelles, légales et réglementaires.

16. Cet arrêté ministériel stipule en son article 1er : « Est nommé à titre intérimaire aux fonctions en regard de son nom, l’agent dont le nom et matricule ci-dessous :

Monsieur : MBOMA MUYUKU Jean Paul

Matricule : 7 26180

Grade : Secrétaire Général

Fonction : Inspecteur Général du Travail, Chef de Service ».

On ne le répètera jamais assez : cet arrêté ministériel n’a aucun fondement juridico-rationnel.

17. L’arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du15/05/2023 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail a violé la Constitution Congolaise du 18 février 2006 qui reconnait, au seul Président de la République, en son article 81 alinéa 4 la compétence de nommer les Haut Fonctionnaires de l’Administration Publique. Ainsi, l’Inspecteur Général du Travail étant un Haut Fonctionnaire de l’administration publique, il devrait être nommé par le Président de la République.

18. L’arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du15/05/2023 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail a violé la loi n°16/013 du 15 juillet 2016 portant statut des agents de carrière des services publics de l’Etat dispose en son article 74 : « les promotions aux grades de la catégorie A sont accordées par le Président de la République sur proposition du gouvernement(…) » en attribuant à « l’Inspecteur Général du Travail nommé à titre intérimaire » le grade de Secrétaire Général alors qu’il n’a que le grade de « Directeur ».

19. L’arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du15/05/2023 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail a violé le décret n°12/002 du 19 janvier 2012 portant création et organisation d’un Service Public dénommé Inspection Générale du Travail, « IGT » en sigle qui stipule en son article 7 : « L’inspection est dirigée par un Inspecteur Général assisté d’un ou deux Inspecteurs Généraux Adjoints. L’Inspecteur Général et l’Inspecteur Général Adjoint sont nommés, relevés, et le cas échéant, révoqués de leurs fonctions par le Président de la République, sur proposition du Gouvernement délibérée en Conseil des Ministres ».

20. L’arrêté ministériel n°CAB/MIN/ETPS/CNM/HMK/JBL/127/05/2023 du15/05/2023 portant nomination à titre intérimaire d’un Inspecteur Général du Travail par sa jonction « nommé » et « intérimaire » dissimule et la « nomination arbitraire » et l’Intérim. De ce fait, cet arrêté viole concomitamment la loi n°16/013 qui dispose en son article 20 : « (…) Toutefois, lorsqu’un emploi de catégorie A et B est déclaré vacant, un agent du grade immédiatement inferieur par rapport au titulaire est désigné pour assumer l’intérim. (…) », l’ordonnance n°82-029 du 19 mars 1982 portant règlement d’administration relatif à la carrière du personnel des services publics de l’Etat qui stipule en son article 6 : « en application de l’article 20 du statut, le choix de l’agent intérimaire se fera parmi les agents appartenant au même Département et revêtus du grade immédiatement inférieur à celui qui correspond à l’emploi vacant(…) et le décret n°12/002 ci-haut cité qui stipule en son article 19 : « (…) En cas d’absence ou empêchement, l’intérim de l’Inspecteur Général est assuré par l’Inspecteur Général Adjoint. En cas d’indisponibilité de ces derniers, le Ministre ayant l’Emploi, le Travail et la Prévoyance sociale dans ses attributions désigne un Inspecteur du Travail parmi les Directeurs, pour assurer l’intérim ».

21. Tout compte fait, aucun principe, soit –il technique ou scientifique ne justifie la production de cet arrêté. Voilà pourquoi, je réitère ma prière adressée à Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, de nommer un Inspecteur Général et deux Inspecteurs Généraux Adjoints du Travail à l’Inspection Générale du Travail. Je renouvelle ma demande adressée à Monsieur le Vice Premier Ministre en charge de la Fonction Publique d’agir de manière indicative pour que les promotions et grades de Catégorie A s’obtiennent, à l’Inspection Générale du Travail, conformément aux prescriptions statutaires. Je fais de nouveau la même demande à Madame la Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale de contrôler le pouvoir technocratique de certains membres de sa technostructure.

22. J’ai fait ma part. Si vous êtes intéressés par cette lettre sociale congolaise, rejoignez la coupe pleine au numéro + 243 994 994 872 pour appel normal, whatsApp ou twiter et à l’e-mail jsphngandu@gmail.com pour la suite.

Fait à Kinshasa, le 05 juin 2023

Jean Joseph NGANDU NKONGOLO

Anthropobibliologue, Formateur Psycho Socio-Professionnel,

Spécialiste, Expert et Chercheur en Anthropobibliologie du Travail




Développement urbain : Bientôt le lancement de la série Urban Journalism Academy 

CGLU et OnCities2030, en collaboration avec Cities Alliance et le Conseil des Communes et Régions d’Europe, lancent ce 13 juin 2023 la série Urban Journalism Academy pour donner aux journalistes et aux professionnels des médias les moyens de couvrir les questions de développement urbain.

Selon notre source, la série Urban Journalism Academy est un atelier d’une journée pour les journalistes locaux et internationaux et les professionnels des médias souhaitant améliorer leur capacité à couvrir et à communiquer sur le développement urbain durable. Il est conçu comme un espace dédié aux communications urbaines et à la narration où les participants peuvent engager des débats et partager des outils, des histoires réussies et des expériences de couverture et de campagnes urbaines pour inspirer un changement dans la façon dont les sujets urbains sont présentés et discutés dans l’arène publique.

Lancée dans le cadre de la campagne Media for Cities par CGLU et OnCities2030 en octobre 2022, l’initiative vise à améliorer la compréhension et à fournir des informations précises sur les efforts locaux dans la réalisation des agendas mondiaux.

La série Urban Journalism Academy se concentrera sur le changement du récit entourant le développement urbain durable, la mise en œuvre des ODD et le nouvel agenda urbain. Il vise à traduire des variables complexes en informations accessibles aux citoyens, en soulignant le rôle des gouvernements locaux et régionaux.

En effet, grâce à des informations basées sur des données sur les tendances et les pratiques de développement urbain local, les participants acquerront une meilleure compréhension des défis et des opportunités auxquels les villes sont confrontées aujourd’hui. L’atelier fournira des conseils pratiques sur les méthodes de signalement efficaces et éthiques.

Des conférenciers et des organisations, dont des experts de premier plan en matière de développement urbain durable et de gouvernance, partageront leur vision et leurs stratégies. L’atelier inaugural aura lieu à la Maison des Nations Unies à Bruxelles, en collaboration avec Cities Alliance et le Conseil des Communes et Régions d’Europe.

L’ordre du jour prévoit, à 10h15, l’Exploration du rôle des médias dans le développement durable et aperçu des objectifs de la série Urban Journalism Academy ; Comprendre le cadre durable local, le rôle des dirigeants locaux et régionaux et la prévision municipale 2023 (10h30) ; à 11h45 : Découvrir les complexités du reportage sur le développement urbain mondial et comprendre les dynamiques urbaines au-delà de l’Europe ; à 14h00 : Stratégies et outils pour un journalisme urbain efficace, y compris le journalisme de solutions, la narration et la communication pour le développement ; à 15h00 : Capsules de journalisme urbain : audition des maires invités et des représentants des gouvernements locaux et régionaux sur leurs expériences de communication des transformations urbaines aux médias et aux citoyens ; 16h15 : Session ouverte aux contributions des participants, avant le discours de clôture.