Mini-fête des juifs : La mission était accomplie (Prophète Josué Muyombo et le Pasteur Marcel Nkongolo)

La mini-fête des Juifs est une activité qui était couronnée de succès et de gloire. Ce sont des instants prophétiques qui resteront gravés dans la vie de chaque enfant de Dieu. Plus de 20 ans dans le ministère de la parole au service du Seigneur et au chevet des âmes, le pasteur Marcel Nkongolo de l’Eglise Cité Béthel de Mbuji-Mayi a été aussi l’invité de marque dans cette grande célébration annuelle. Pendant les 8 jours du déroulement de ces assises, ” il s’est passé des choses merveilleuses que chaque fidèle va témoigner dans sa vie”, a déclaré le pasteur Marcel Nkongolo.

Se livrant à cœur ouvert à travers une interview accordée dans le média en ligne le quotidienrdc.com, le pasteur Marcel Nkongolo a avant tout rendu grâce à Dieu pour ce travail et surtout pour le grand exemple de maturité que les fidèles de l’Eglise de la Communauté des assemblées chrétiennes Voici l’homme/CAC.VH ont fait preuve. Il a profité de l’occasion pour dire au peuple de Dieu de garder confiance en Dieu et à croire que tout ce que Dieu les a parlé pendant ces assises s’accomplira certainement. Et ce, avant de remercier le pasteur François Mutumbo pour avoir enseigné l’Eglise qu’il dirige à aimer Dieu plus que toute autre chose.

Pour sa part, le prophète Josué Muyombo de l’Eglise évangélique parole pure sans mélange de Mbuji-Mayi, dans la province du Kasaï-Oriental, a également béni le Seigneur pour cette activité. Pour l’homme de Dieu, celle-ci a été une mission accomplie. L’homme de Dieu a également remercié l’hôte de ces assises pour l’organisation qui n’a pas failli dans son exécution et aussi un pour l’accueil réservé aux orateurs.

“Dès notre arrivée dans la capitale, nous sommes bien traités en qualité des hommes de Dieu. Je me sens chez moi et CACVH devient notre maison. A chaque moment que l’Eglise de Kinshasa aura besoin de moi, je serai toujours disponible pour contribuer à l’avancement de l’œuvre de Dieu”.




Contrairement aux rumeurs : Les élèves du centre situé à l’EP Diakese n’ont pas passé l’examen à même le sol (Proved Lukunga)

Dans une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, quelques élèves du centre de l’Ecole primaire Diakese, dans la sous-division provinciale de l’EPST Ngaliema 2, province éducationnelle de Lukunga, ont été filmés assis à même le sol, alors qu’ils attendaient d’être appelés pour accéder dans les salles de passation de l’examen.

Contrairement à ce que racontent certaines langues dans les réseaux sociaux, « ces élèves n’ont pas passé l’examen à même le sol ».

Cette mise au point est de Yoy Bokete Jean-Pierre, Directeur Provincial de la Province éducationnelle de Lukunga qui s’est exprimé à la presse ce 02 juin 2023 après la visite d’inspection effectuée dans cet établissement scolaire privée et agréée.

« Il faut d’abord préciser que ce Centre d’ENAFEP a reçu 1325 candidats, au lieu de 1100 attendus. Le Chef du Centre n’a pas voulu les laisser dehors de l’enceinte de l’école, notamment pour des raisons de sécurité. Il les a fait attendre dans la cour, tout en prenant des dispositions pour leur permettre d’accéder dans les salles. Ils étaient sous surveillance. Regardez bien la vidéo: Les enfants n’ont pas des Items d’examen en main. Ils ont eu accès dans les salles et ont passé l’examen dans de bonnes conditions », a-t-il fait savoir

Pour le Proved Yoy Bokete, cette vidéo est un acte prémédité pour des fins de buzz et au besoin de salir gratuitement l’image de la mesure de la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements scolaires publics élargie pour les candidats à l’ENAFEP des écoles privées agréées.

 

« Le Président de la République a décrété la gratuité de l’enseignement primaire public. Cette réalisation qui permet aux élèves d’accéder à l’éducation de base de qualité ne plaît pas à tout le monde. C’est dans ce sens qu’ils produisent de telles vidéos pour saper les efforts des autorités », a-t-il renchéri.

Notons qu’aussitôt cette séquence sortie sur les réseaux sociaux, le ministre Tony Mwaba Kazadi s’est promptement saisi de la question et a envoyé une délégation composée des membres de son cabinet, des inspecteurs et des cadres du Secrétariat général de l’EPST pour s’enquérir de la situation.

Ce dont s’est réjoui le Proved de Lukunga qui en a profité pour appeler la Promotrice de l’EP Diakese à améliorer la capacité d’accueil pour rester viable faute de quoi un arrêté de retrait d’agrément sera pris par l’autorité de tutelle.




12ème forum Chine-Afrique : Vers un avenir plus radieux de coopération

La douzième réunion du Forum Chine-Afrique a fermé ses portes le mercredi dernier. Durant deux jours, soit du 30 au 31, les principaux acteurs de cette coopération ont réfléchi sur le centenaire de l’histoire et du renouveau de la coopération Sino-Africaine. Occasion pour eux de dresser un bilan des années passées, mais aussi de faire des propositions pour un avenir réussi de cette coopération.

 

Organisé par le gouvernement provincial de Zhejiang, cette douzième réunion du forum Chine-Afrique a connu la participation de plus de 4500 représentants politiques, académiques, médiatiques et commerciaux de 40 pays africains et autres. Les acteurs clés de cette rencontre, chacun dans son secteur, a partagé ses réflexions sur le comment améliorer cette coopération, surtout durant cette année qui marque une étape importante et mais aussi significative pour les relations coopération entre l’Afrique et la Chine.

 

 

 

 

Prenant la parole le premier, Liu Yuxi, le représentant spécial du gouvernement chinois pour les Affaires africaines a salué les efforts de deux parties à lutter contre l’impérialisme et l’interférence étrangère, mais aussi le travail fourni conjointement pour la défense du multilatéralisme et des intérêts partagés des pays en développement au cours des 60 dernières années.

 

Il a par la même occasion rappelé les réalisations fructueuses de la coopération chinoise africaine des années passées, avant d’inviter les deux parties à travailler ensemble dans la construction d’une communauté d’un avenir commun.

 

Ces assises qui avaient comme thème : « Centenaire de lhistoire et du renouveau de la coopération sino-africaine, la lutte et le réajustement ». Pour la première session plénière, sept représentants à savoir le directeur du centre pour les études chinoises Nigéria Onaunaju Charles, le directeur président des finances publiques et des finances locales, M. Barka ; le directeur du Centre pour l’Afrique- Chine de l’Université de Johannesburg David Monyae, le directeur exécutif de la Fondation Mwalimu Nyerere de Tanzanie, Francis Matambalya ; le directeur de l’Institut des études africaines de l’East Nine University Normal Mu Tao, Wang Wen, executive Dean of chongyang Institut for financial studies at Renmin University.

Dun commun accord, ils ont tous reconnus que beaucoup reste encore à affaire dans lamélioration de ces relations de coopération entre la Chine et lAfrique. Si pour les autres, lheure est enfin venue de voir quelle direction prendre pour mieux intensifier cette coopération à labri des ingérences des prédateurs des africains de lAfrique et de la Chine, dautres par contre soutiennent que lAfrique doit jouer sa partition en prenant une position qui ne va pas à chaque fois déranger ses relations de coopération, mais aussi travailler sur la stabilité au niveau de la région et des pays africains et surtout identifier ensemble le niveau des besoins urgents des pays africains pour mieux définir les domaines prioritaires de coopération.

Doù la proposition dadhésion au BRICS, mais aussi à linitiative de la ceinture et la route qui est lun de moyens le plus sûr pour le deux parties de traité de leurs problèmes en dehors des ingérences, a soutenu David Monyae, directeur of the center for africa-china studies at the University the Johannesburg Afrique du sud.

 

Cette première cette session a été présidée par Li Shaoxian, Directeur de l’Institut de recherche de l’école de la Chine de l’Arabie-Arabie, qui a fait un clin dil en passant, à la rencontre entre le président chinois XI Jinping et le président de la Rdc Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à Pékin. Il a salué lannonce faite concernant la mise à niveau des relations bilatérales d’un partenariat stratégique de coopération gagnant-gagnant à un partenariat stratégique complet.

 

Les relations plus étroites entre la Chine et les pays africains sont enracinées dans le partage de la joie et du chagrin et s’entraidant, et elle va approfondir, et les deux parties feront des efforts pour renforcer leurs relations de coopération et ensemble voire comment travailler dans la recherche et la pratique dun véritable multilatéralisme. Cette coopération stable est une pierre angulaire de la stabilité et de la gouvernance mondiale, ont déclaré les analystes.

 

Hugo Matadi depuis la Province de Jinhau en Chine




Auprès de Vital Kamerhe : La DYSYFEC plaide pour une implication du chef de l’Etat afin de relever l’économie agricole 

Le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale Vital Kamerhe a échangé, le vendredi 02 juin, avec la Dynamique Syndicale des Fonctionnaires de l’État au Congo (DYSYFEC), venue lui présenter les défis majeurs du secteur agricole en République Démocratique du Congo et, par la même occasion, solliciter son appui afin d’obtenir une audience auprès du Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, « le premier des agriculteurs congolais. »

L’objectif majeur de la DYSYFEC est de ramener à la plus haute sphère de prise des décisions du pays, toutes les réclamations et propositions des experts du Ministère de l’Agriculture, ceux du Ministère de Pêche et élevage et ceux du Développement rural.

Devant le patron de l’Économie Nationale, la DYSYFEC a rappelé que les techniciens agronomes de ces trois ministères du secteur agricole sont les acteurs majeurs de la matérialisation de la vision du Chef de l’État, celle de la revanche du sol sur le sous-sol. Ils ont déploré que le gouvernement se passe souvent de leur expertise dans l’élaboration et la mise en œuvre des projets agricoles, préférant plutôt se focaliser sur des projets à impact politique, à la place de ceux à impact social durable.

Ils sont revenus notamment sur la non application de l’accord de Maputo qui a demandé, depuis une décennie, que les pays de la SADEC allouent 10% de leurs budgets respectifs au secteur agricole. Cette situation bloque, d’après eux, le développement de ce secteur qui souffre aujourd’hui du manque des moyens pour faire appliquer la politique agricole nationale, pourtant adoptée depuis 2011.

Une autre préoccupation majeure présentée au Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale, c’est le retard observé dans la valorisation du code agricole, chose qui ne protège pas les agronomes et les agriculteurs dans leur travail face à la menace sérieuse de l’expansion minière qui a tendance à privilégier le sous-sol à la place du sol.

Évoquant le programme de 145 territoires, la DYSYFEC a fait savoir au Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale que les agents du secteur agricole congolais manquent non seulement les outils de travail, mais aussi les moyens de transport pour le ramassage des produits agricoles des centres de production pour les acheminer vers les centres de consommation.

La DYSYFEC n’a pas oublié de mettre un accent particulier sur la nécessité de la reprise d’activités dans les plantations abandonnées par l’état, à l’image des plantations du cacao, du coton, du café et de Caoutchouc dont l’inactivité fait perdre au pays des milliards de dollars chaque année.

Expert en économie de développement, Vital Kamerhe a salué la démarche de la DYSYFEC qui montre à suffisance que « le gouvernement congolais a des ressources humaines qualifiées sur lesquelles compter dans le cadre du développement du secteur agricole. »




A Luanda : Bemba et Mbusa resserrent l’étau sur le M23

À Luanda, avant la réunion consultative du Comité interministériel de la CIRGL, le VPM de la Défense Jean-Pierre Bemba et le minÉtat en charge de l’Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi, devront de l’avis des experts, présenter la situation sécuritaire dans l’Est du pays marquée notamment par le respect du cessez-le-feu par les parties belligérantes.

Ils devront également rappeler qu’à la suite du sommet de l’EAC, Rumangabo, au Nord-Kivu, a été retenu comme site de pré-cantonnement des éléments du M23, et Kindu, au Maniema, est le cadre choisi pour leur cantonnement. Cette disposition ne pourrait guère souffrir d’une mutation.

Les membres du gouvernement vont également faire part de la redynamisation de P-DDRCS. Quant à la situation humanitaire, elle est caractérisée par le déplacement massif de la population.

Le Vice-Premier ministre et ministre de la Défense nationale, Jean-Pierre Bemba Gombo, est arrivé avant midi, ce vendredi, à Luanda. Pour rappel, le 10ème sommet de la CIRGL est consacré à la paix et la sécurité dans l’Est de la Rdc et au Soudan.




Réunion consultative du comité interministériel de la CIRGL : Bemba et Mbusa se concertent avec des experts congolais

Jean-Pierre Bemba et Mbusa Nyamwisi, respectivement Vice-Premier ministre, ministre de la Défense nationale et Anciens combattants et ministre d’Etat, ministre de l’Intégration régionale, ont échangé avec les experts de la République Démocratique du Congo, en vue de mettre en place certaines questions d’actualité qui feront l’objet des différents points à l’ordre du jour lors du 10ème sommet consacré à la paix et la sécurité à l’Est de la Rdc et de la République du Soudan.

Les experts congolais ont tenu à ce que les membres du gouvernement fassent une présentation de la situation sécuritaire à l’Est caractérisée par une observation du cessez-le-feu par les FARDC ainsi que la redynamisation de P-DDRCS, tout en précisant que le pré-cantonnement tel que décidé par l’EAC se fasse à Rumangabo et le cantonnement à Kindu dans le Maniema.

Dans la même perspective, le point sur la situation humanitaire caractérisée par le déplacement massif de la population serait aussi au menu. Les recommandations suite à la question humanitaire, seront abordées afin de protéger les civils qui sont en difficulté face à la dégradation de leur condition sociale.




Les enfants passent l’ENAFEP à même le sol : Tony Mwaba ordonne une enquête sur le Complexe Scolaire Diakese

De la Province de la Tshopo où il a lancé l’Examen National de Fin d’Etudes Primaires à l’EP de l’Athénée de Kisangani le 1er juin dernier, le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi vient d’initier une enquête de viabilité sur l’école privée agréée, le Complexe Scolaire Diakese, située sise, l’Avenue Kasa-Vubu, numéro 20, référence Terrain Municipal, dans la commune de Ngaliema, dont les images circulent viralement dans les réseaux sociaux où les enfants passent l’Examen National de Fin d’Etudes Primaires.

Il s’agit d’une école privée agréée. Ce qui revient à dire que les bâtiments sont une propriété du promoteur, qui a le devoir de la rendre et la maintenir viable. Aussi, doter son école de toutes les infrastructures nécessaires, notamment les bancs – pupitres.

Ceci n’est pas à la charge de l’Etat qui s’occupe des écoles publiques qui bénéficient depuis un moment de la dotation en bancs, grâce à la campagne, PAS UNE ECOLE SANS BANCS, lancée par le ministre de l’EPST, le professeur Tony Mwaba Kazadi qui a abouti à ces jours à la distribution de plus de 150.000 bancs-pupitres dans toutes les provinces.

Il faut d’ailleurs souligner que les finalistes du primaire des écoles privées jouissent de la gratuité de l’enseignement primaire en ce qui concerne l’ENAFEP, une décision prise avec bravoure par le professeur Tony Mwaba étant donné que les frais relatifs à l’organisation de cet examen sont pris en charge par le Gouvernement.

Leurs parents ne paient plus rien comme avant. Celui qui commente visiblement par ignorance, propagande ou haine ne sait pas faire la différence entre le statut de fonctionnement des écoles privées par rapport aux écoles publiques.

Ainsi donc, il faut noter que si cette école ne remplit pas les conditions de viabilité, il est possible que son arrêté ministériel d’agrément soit retiré.




Kim Yo Jong, directeur adjoint du département CC, WPK publie un communiqué de presse

Kim Yo Jong, directeur adjoint du département du Comité central du Parti du travail de Corée, a publié le communiqué de presse suivant intitulé “Personne ne peut nier le droit souverain de la RPDC au lancement de satellites” le 1er juin :

Les États-Unis révèlent ouvertement leur hostilité invétérée envers la RPDC au sujet de son lancement de satellite de reconnaissance militaire relevant de son droit à l’autodéfense.

Un porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche a réclamé mercredi que tous les pays devraient dénoncer le lancement d’un satellite militaire par la RPDC, affirmant qu’il existe un risque d’escalade inutile des tensions et de déstabilisation de la sécurité régionale car il s’agit d’une violation ouverte de la “résolution du Conseil de sécurité de l’ONU”. “.

Ce n’est ni surprenant ni nouveau, mais les États-Unis lâchent un charabia rebattu provoqué par leur façon de penser brigand et anormale.

Qui intensifie inutilement la tension et déstabilise la situation sécuritaire régionale ?

Si le lancement de satellites de la RPDC devait être particulièrement censuré, les États-Unis et tous les autres pays, qui ont déjà lancé des milliers de satellites, devraient être dénoncés. Ce n’est rien d’autre qu’un sophisme d’auto-contradiction.

La logique farfelue selon laquelle seule la RPDC ne devrait pas être autorisée à le faire selon la “résolution” du CSNU qui interdit l’utilisation de la technologie des fusées balistiques quel que soit son objectif, bien que d’autres pays le fassent, est clairement un gangster et tort de violer gravement le droit de la RPDC d’utiliser l’espace et de l’opprimer illégalement.

Il est pitoyable que la logique de gangster à l’américaine ait été stipulée dans la “résolution” du CSNU.

Les États-Unis sont un groupe de gangsters qui prétendent que même si la RPDC lance un satellite en orbite spatiale à travers un ballon, c’est illégal et menaçant.

C’est la “tragédie des États-Unis” au 21ème siècle qu’ils ne peuvent jamais donner une réponse correcte avec une formule erronée et n’ont pas écarté l’incompréhension de celle-ci.

Les États-Unis devraient refroidir la tête chauffée par l’hystérie de la confrontation et examiner clairement la Charte des Nations Unies et les dispositions du traité sur l’espace une fois de plus avant de nier et de retirer sans fondement un État souverain au sujet de son lancement de satellite et de son droit au développement spatial.

Même en ce moment, les États-Unis sont absorbés par l’observation de chaque mouvement de la RPDC avec des yeux perçants après avoir piloté de nombreux satellites de reconnaissance, des avions de reconnaissance sans pilote à haute altitude et tous les autres moyens de reconnaissance dans le ciel au-dessus de la péninsule coréenne. C’est comme si un coupable déposait la plainte en premier et illogique d’arrêter la RPDC au sujet de son lancement de satellite de reconnaissance militaire.

Les États-Unis ne doivent plus se faire d’illusions ni être trop confiants.

Personne n’a conféré aux États-Unis le pouvoir de contester le droit souverain d’un État donné.

Profitant de cette occasion, nous voudrions une fois de plus avertir clairement les États-Unis, qui tentent d’aveugler et d’assourdir les yeux et les oreilles de la communauté internationale avec des ballades de dialogue aussi mielleuses que la “porte de la diplomatie” et la “négociation sincère”.

Nous n’avons aucun contenu de dialogue et ne ressentons pas la nécessité d’un dialogue avec les États-Unis et ses comparses qui répètent souvent la « fin du régime » et le « renversement du système ». Nous poursuivrons notre style de contre-action dans une attitude plus offensive afin qu’ils ne fassent que réaliser qu’ils n’auront rien à tirer de l’extension de la politique hostile envers la RPDC et à quel point leur poursuite de la confrontation avec la RPDC est dangereuse.

Nous sommes prêts à tout pour défendre notre droit souverain et nos intérêts.

En lisant la psychologie des États-Unis et de ses comparses si mal à l’aise face à la question des satellites de reconnaissance militaire de la RPDC, nous avons confirmé une fois de plus que les ennemis craignent le plus l’accès de la RPDC à d’excellents moyens de reconnaissance et d’information, y compris des satellites de reconnaissance et, par conséquent, nous sommes conscients que nous devons consacrer davantage d’efforts au développement des moyens de reconnaissance.

Il est certain que le satellite de reconnaissance militaire de la RPDC commencera bientôt sa mission sur une orbite spatiale.

Nous sommes bien conscients de la nature prolongée de la confrontation avec les États-Unis et ferons tous les efforts pour renforcer la dissuasion de la guerre dans une direction globale, conscients des menaces et des défis à long terme.

Si les États-Unis et leurs cliques continuent de commettre des actes irréfléchis de violation de notre droit souverain, nous ne resterons jamais comme leurs spectateurs. -0-

www.kcna.kp (Juche112.6.1.) (Traduit de l`anglais)




Kim Son Gyong, vice-ministre des Affaires étrangères de la RPDC, publie un communiqué de presse

Kim Son Gyong, vice-ministre des Affaires étrangères de la RPDC, a publié le 1er juin le communiqué de presse suivant intitulé “Un exercice d’interception en mer dangereux qui intensifie la tension régionale” :

Les États-Unis et les marionnettes sud-coréennes recourent constamment aux coups de sabre contre la RPDC malgré les profondes inquiétudes et les protestations de la communauté internationale.

Les États-Unis, qui ont organisé les exercices de guerre nucléaire réels Freedom Shield et “l’exercice de formation interarmées combiné” à la lumière de sa forme et de son contenu en mars et avril, vont organiser un exercice d’interception en mer avec le Japon, des marionnettes sud-coréennes, l’Australie et d’autres forces vassales selon la “Proliferation Security Initiative” (PSI) dans les eaux libres au large de la mer du Sud de Corée fin mai.

Les États-Unis ont concocté le PSI en 2003. Au cours des 20 dernières années, ils l’ont systématiquement étendu et ont essayé de l’utiliser comme moyen de pression sur les pays indépendants anti-américains.

Il est illogique et moqueur du droit international pour les États-Unis, le plus grand proliférateur mondial d’ADM et destructeur direct du système international de non-prolifération nucléaire, de parler du contrôle de la « prolifération des ADM » de quelqu’un.

Ceci est démontré par le fait que les États-Unis ont ouvertement comploté avec la possession d’armes nucléaires par Israël et ont concocté un mécanisme de prolifération nucléaire appelé AUKUS pour détruire par lui-même le système international de non-prolifération nucléaire.

C’est comme un coupable qui porte plainte en premier que les États-Unis, qui ont construit des laboratoires d’armes biochimiques en Corée du Sud, en Ukraine et dans d’autres régions et qui n’hésitent pas à répandre des ADM dans le monde entier, parlent de « non-prolifération ».

L’objectif principal des États-Unis qui ont fabriqué le PSI est de légaliser l’interception unilatérale du transport maritime et le blocus contre les pays qui ne lui obéissent pas et ainsi réaliser leur stratégie d’hégémonie.

Les États-Unis et l’armée fantoche sud-coréenne font des affirmations farfelues selon lesquelles l’exercice vise la «défense» et la «non-prolifération», mais compte tenu de l’ampleur des forces et des performances des équipements impliqués dans l’exercice, il est tout à fait clair qu’il s’agit d’exercices militaires extrêmement dangereux pour renforcer la capacité d’opération maritime avec des marionnettes japonaises et sud-coréennes dans la péninsule coréenne et pour perfectionner l’embargo général sur l’exportation et les préparatifs d’une attaque préventive contre un État spécifié en cas d’urgence.

L’exercice se déroule à un moment où les États-Unis et les marionnettes sud-coréennes vont organiser le plus grand “exercice combiné d’annihilation par le feu” en particulier, ce qui ajoute à la gravité et au danger de la situation.

L’exercice est organisé à l’endroit adjacent aux eaux sensibles où les différends sur la question du dominium se poursuivent. Cela montre que l’exercice d’interception en mer a un caractère polyvalent pour faire pression sur les pays voisins de la RPDC.

L’exercice récent sera un catalyseur pour l’escalade de la tension en Asie du Nord-Est, car il se déroule à un moment où les États-Unis ont récemment expédié divers types de navires de guerre dans le détroit de Taïwan sous prétexte de “liberté de navigation” et des États membres de l’OTAN continuent à participer aux exercices militaires conjoints dirigés par les États-Unis en Asie-Pacifique.

Alors que les États-Unis étendent régulièrement les cadres de coopération militaire multinationale tels que le PSI, la possibilité d’un conflit militaire catastrophique en Asie du Nord-Est se transforme en réalité jour après jour.

Tous les faits prouvent clairement une fois de plus que les États-Unis sont principalement responsables de l’augmentation de la tension et de l’augmentation du danger d’une guerre nucléaire dans la péninsule coréenne.

Si les États-Unis et leurs forces vassales tentent d’imposer un blocus hostile à la RPDC ou d’enfreindre ne serait-ce qu’un peu notre souveraineté inviolable, les forces armées de la RPDC considéreront cela comme une déclaration de guerre contre elle.

Les États-Unis doivent cesser immédiatement les actes hostiles de déstabilisation de la situation dans la péninsule coréenne, en gardant à l’esprit que les paris de guerre incessants et dangereux qui se déroulent sous nos yeux conduiront à l’autodestruction.

www.kcna.kp (Juche112.6.1.) (traduit de l`anglais)




Alexandr Matsegora rencontre Ria Novosti

L’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Fédération de Russie en République populaire démocratique de Corée, Alexandr Matsegora, a rencontré l’agence de presse russe Ria Novosti le 24 mai.

A cette occasion, le représentant diplomatique a clarifié la position de son pays sur des questions générales telles que les mesures prophylactiques d’urgence et les mesures de renforcement des capacités de défense nationale prises par le Parti du travail de Corée et le gouvernement de la RPDC, la situation actuelle de la péninsule coréenne et les relations intercoréennes.

Concernant la prolifération du coronavirus en RPDC et ses mesures connexes, l’ambassadeur de Russie s’est exprimé comme suit :

Aucun cas de contagion n’a encore été enregistré en RPDC. La large diffusion de la variante Omicron au cours de la période de mai à août de l’année dernière a été stoppée avec succès grâce aux énormes efforts de l’État. Ce n’est pas un mot exagéré. Les médecins militaires ont joué un rôle important. Les réalisations dans le domaine économique sont très précieuses et les habitants n’ont pas subi de préjudices graves.

Déjà fin janvier 2020, la RPDC a pris des mesures d’isolement complet du monde extérieur en vue d’arrêter l’entrée des variantes les plus dangereuses dans la période initiale de la pandémie et d’appliquer les mesures prophylactiques les plus rigoureuses.

Depuis que de nombreuses mesures restrictives ont été annulées, des cours sont à nouveau repris dans les écoles et les universités, des activités culturelles et sportives de masse ont lieu, et des parcs, musées et bibliothèques ouvrent.

Cependant, la désinfection, la mesure de la température corporelle et l’utilisation de masques faciaux sont toujours en vigueur dans tous les établissements publics.

La RPDC n’annule pas certaines mesures restrictives, malgré le fait que de nombreux pays autorisent les contacts après une infection par le COVID-19 à un niveau considérable.

La RPDC définit une “crise sanitaire mondiale” comme un concept plus large, considérant que la situation mondiale compliquée causée par la pandémie n’est pas simplement liée au coronavirus.

Dans ce contexte, il surveille de près l’apparition de nouvelles épidémies telles que le monkeypox dans d’autres pays.

De plus, les spécialistes coréens n’excluent pas la possible apparition soudaine de nouvelles variantes mortelles du SRAS CoV-2, contrairement à l’opinion des étrangers qui sont convaincus que les nouvelles variantes ne seront pas aussi dangereuses que les précédentes. Pour cette raison, la RPDC accorde une attention primordiale à la protection des habitants contre les nouvelles maladies dangereuses sans ouvrir la frontière à la hâte.

Contrairement à de nombreux pays, la RPDC indique clairement sans aucune hésitation que tous les problèmes mondiaux difficiles surviennent à cause des États-Unis, qui s’obstinent à maintenir l’ordre mondial unipolaire et ont l’intention de supprimer complètement la Russie et les autres pays de l’opposition.

La RPDC pratique une politique étrangère indépendante sans tolérer le despotisme américain.

Sur les scènes internationales, les amis coréens font preuve de solidarité avec la Russie et l’apprécient beaucoup. Nous l’apprécions beaucoup. Et nous exprimons notre compréhension et notre soutien à la position de Pyongyang sur la situation dans la péninsule coréenne, qui s’est aggravée ces derniers temps par la politique hostile de Washington.

Les États-Unis placent des armes d’attaque stratégique dans la partie sud de cette péninsule et mènent d’incessants exercices de guerre. Sans aucun doute, le but de cette farce militaire est d’éliminer la RPDC, d’occuper son territoire et de renverser son régime politique. Ainsi, la RPDC est obligée de prendre des mesures d’autodéfense, d’augmenter son potentiel de défense nationale et de se préparer parfaitement contre l’attaque du dangereux ennemi.

L’ambassadeur s’est ensuite exprimé sur les efforts de lancement de missiles de la RPDC, notamment le tir d’essai d’un nouveau type d’ICBM, effectué à la mi-avril dernier :

Le développement par Pyongyang de nouveaux missiles balistiques et leurs lancements d’essai sont dus à la politique hostile des États-Unis envers la RPDC.

Sans les pressions et les défis militaires, politiques et économiques croissants, les tentatives d’ingérence dans les affaires intérieures et la menace directe visant à exterminer le régime socio-économique du pays socialiste, les dirigeants de la RPDC n’auraient eu aucune raison de développer et exécuter le plan nucléaire et de missiles à grande échelle.

Les Coréens n’ont aucune idée d’attaquer les États-Unis ou le Japon et la Corée du Sud pour les occuper et changer leurs régimes politiques. Ils veulent juste qu’on les laisse seuls, mais ils ne tolèrent jamais d’être contrariés. C’est pourquoi la ligne hostile de Washington, appliquée invariablement depuis plusieurs décennies, est la principale cause d’inquiétude et d’inquiétude. Washington tente de remplir sa tâche géopolitique en aggravant les tensions dans diverses régions du monde.

Il faut reconnaître que le complexe de l’industrie de l’armement de la RPDC a remporté des succès incroyables au cours des 10 dernières années. En fait, des missiles balistiques et de croisière de toutes les séries ont été développés et testés à des dizaines d’occasions qui ne représentaient aucune menace pour notre région d’Extrême-Orient. La partie coréenne a déclaré à plusieurs reprises qu’elle respectait strictement ce principe. Nous n’avons aucune raison de ne pas y croire.

Ensuite, l’ambassadeur de Russie a mentionné que la Corée avait fait des progrès dans le développement du programme de missiles et dans l’augmentation de ses forces armées.

Kim Jong Un a personnellement abordé certains aspects du programme d’armes nucléaires lors de divers événements.

De plus, de tels faits ont été publiés à travers les dépêches concernant sa visite dans les entreprises de l’industrie de l’armement. En particulier, il a été signalé que les ogives nucléaires et thermonucléaires qui seront installées sur les missiles à moyenne portée et les ICBM ont déjà été développées, testées et déployées dans les forces armées. Des photos de ces armes ont également été publiées dans les journaux. Sa quantité n’est pas connue et il n’y a que l’hypothèse de celle-ci.

Le secrétaire général du Parti du travail de Corée a présenté lors du 8e congrès du WPK, tenu en janvier 2021, la tâche de se concentrer sur la production d’ogives nucléaires tactiques et d’augmenter leur quantité par progression géométrique.

Au cours des deux dernières années, la RPDC a développé et testé des porte-missiles à courte portée de différents types pouvant transporter des ogives tactiques. Il s’agit notamment de lance-roquettes réactifs autopropulsés de très gros calibre de 600 mm, de missiles de croisière et balistiques lancés en eau profonde et d’appareils sous-marins sans pilote. Il est difficile d’énoncer la capacité de production actuelle des Nord-Coréens, mais cela doit être pris très au sérieux, étant donné que le dirigeant de la RPDC ne dit pas de vains mots.

Lors de la conférence de presse, le représentant diplomatique a abordé la question de la position de la Russie sur la question des relations intercoréennes.

La vague d’indignation monte en Corée du Nord face au résultat de la récente visite du “président” sud-coréen aux Etats-Unis.

La RPDC considère que cette visite visait à convenir du plan d’attaque contre elle, y compris le projet d’utiliser des armes nucléaires.

En tant que voisin de la Corée, la Russie espère de tout cœur que le Nord et le Sud résoudront tous les problèmes complexes existants de manière indépendante et selon le principe de l’unité nationale, sans l’intervention de forces étrangères. -0-

www.kcna.kp (Juche112.6.1.) (Traduit de l`anglais)