Deux week-ends exceptionnels dédiés aux finales des compétitions interclubs de la CAF

Après une saison époustouflante qui aura créé des surprises et du spectacle sur le continent tout entier, la ligue des Champions et la Coupe de la Confédération de la CAF TotalEnergies sont sur le point de livrer leur verdict final.

Au cours de deux week-ends consécutifs, le monde entier découvrira tour à tour les vainqueurs de la Coupe de la Confédération CAF TotalEnergies et ensuite de la Ligue des Champions CAF TotalEnergies.

Ce samedi 3 mai, au stade du 5 juillet 1962, l’USMA d’Algérie reçoit les Young Africans de Tanzanie. Les deux formations disputeront la finale retour de la Coupe de la Confédération de la CAF et tenteront d’entrer dans le panthéon de la compétition en brandissant pour la première fois de leur histoire cette coupe continentale.

Le coup d’envoi du match sera donné à 20h00 heure locale (19h00 GMT, 22h00 heure de l’Afrique de l’Est). La rencontre sera retransmise sur différentes plateformes de diffusion en Algérie, en Tanzanie et dans divers pays du monde entier.

Quelques heures après le sacre de la Coupe de la Confédération TotalEnergies, les regards seront tournés vers la finale de la Ligue des Champions CAF TotalEnergies.

Le dimanche 4 juin, Al Ahly (Egypte) accueille le Wydad AC (Maroc) pour le premier acte des deux manches au Caire, en Égypte, à 21h00 heure locale (18h00 GMT, 19h00 heure de Rabat).

Le match retour aura lieu à Casablanca au Maroc le dimanche 11 juin 2023, pour l’apothéose d’une finale qui s’annonce d’ores-et-déjà palpitante.

Wydad vs. Al Ahly, une affiche bien connue des observateurs du football africain. Pour rappel, l’an dernier, ces deux équipes avaient offert une finale d’exception qui a vu le Wydad remporter sa troisième Ligue des Champions de la CAF TotalEnergies.

Tous les matches seront retransmis en direct dans plus de 80 pays à travers des canaux télévisuels partenaires TV de la CAF comme beIN Sport, Canal+, SuperSport, StarTimes et 32 chaînes gratuites en Afrique.

 

Le site officiel de la CAF : www.CAFOnline.com et les pages digitales de la CAF fourniront toutes les informations actualisées autour de ces finales.

Le Secrétaire Général de la CAF, Véron Mosengo-Omba, a déclaré : “La demande de diffusion de contenu des matchs des clubs africains a été incroyable cette saison. La qualité du football a été à la hauteur de l’intérêt. Nous attendons avec impatience le dénouement de ces finales de la Coupe de la Confédération TotalEnergies en Algérie et les deux manches de la Ligue des Champions TotalEnergies. Nous apporterons une production télévisuelle de qualité.”

A propos de la finale de la Coupe de la Confédération

Née en 2004 de la fusion entre la Coupe de la Coupe de la CAF et la Coupe des Vainqueurs de la CAF, la Coupe de la Confédération TotalEnergies vient de connaître sa 20e édition.

Pour la 17e fois de son histoire, la finale de cette compétition se jouera en matches aller-retour, les trois dernières finales ayant eu lieu en terrain neutre et sous forme de match unique en 2019-20, 2020-21 et 2021-22.

Young Africans et USM Alger deviennent les 27e et 28e équipes différentes à participer à la finale de la Coupe de la Confédération CAF TotalEnergies.

Titres de la Coupe de la Confédération TotalEnergies par club :

1. CS Sfaxien (3 titres)

2. Etoile du Sahel, TP Mazembe, RS Berkane, Raja Casablanca (2 titres)




30ème Tribune d’Adolphe Muzito : Loi de répartition de sièges, l’Union Sacrée dans la nasse

Je rédige cette tribune à l’intention de la Communauté nationale et internationale ainsi qu’à celle des dirigeants du pays.

Elle concerne mes observations sur le projet de loi relatif à la répartition de sièges actuellement en discussion au Parlement, pour les prochaines élections.

Deux hypothèses se présentent à nous.

I. Adoption de la loi avec option d’enrôlement ultérieur des électeurs dans les trois territoires de Masisi, Rutshuru et Kwamouth.

Cette hypothèse présente clairement le fichier électoral de la Commission Electorale Nationale Indépendante, CENI, comme partiel voire incomplet, par le fait qu’un enrôlement ultérieur est prévu pour nos compatriotes résidant dans ces trois territoires concernés. Cela signifie qu’après ledit enrôlement, il y aura accroissement d’enrôlés dans le Nord Kivu, dans le Mai-ndombe et par conséquent à l’échelle nationale. Et au total actuel de 43.941.891 vont s’ajouter les nouveaux enrôlés.

En conséquence, il y aura un nouveau fichier, avec comme effet logique un nouveau quotient du siège et une nouvelle répartition de sièges par circonscription électorale.

D’où, il serait irrationnel et illogique de convoquer le corps électoral pour ce 25 juin 2023 prochain, du fait que ni le fichier électoral et moins encore la répartition de sièges ne seront à cette date, définitifs.

En outre, il sera donc nécessaire de réunir les conditions de sécurité pouvant rendre possible cet enrôlement programmé, de manière à avoir enfin un fichier national définitif, y compris la nouvelle répartition de sièges.

II. Adoption de la loi avec l’option de non enrôlement des électeurs dans les trois territoires précités.

L’hypothèse que voici présente le fichier électoral comme devant être corrigé. De ce fait, il faudra une nouvelle répartition de sièges basée sur le nombre de 484 seulement, à pourvoir au lieu de 500 sièges. Cette option consacre la partition du pays.

Donc, pour matérialiser cette dernière, il faut obtenir l’adhésion populaire de l’ensemble de la République (la classe politique, les communautés concernées par l’exclusion et tous les autres Congolais) via une consultation par voie référendaire.

D’où la balkanisation du pays, même si elle était consacrée par voie référendaire.

Avant de l’officialiser, cette deuxième option nécessitera avant tout :

– D’abord une consultation référendaire.

– Ensuite une révision de la loi électorale éventuelle, notamment pour changer officiellement le nombre des sièges de députés nationaux, en le faisant passer de 500 à 484.

– Enfin une nouvelle répartition de sièges, basée sur 484 sièges.

En conclusion, au 25 juin prochain la CENI ne pourra pas et ne devra pas convoquer le corps électoral, parce que quelle que soit l’hypothèse où l’option qui sera prochainement retenue par le Parlement, chacune d’elle impliquera des préalables :

1) La première hypothèse a pour préalable, faire un enrôlement et aboutir à un fichier complet et définitif. Et par conséquent, le projet actuel de loi sur la répartition de sièges, s’il est adopté par l’Assemblée et la loi promulguée par le Président de la République avec 500 sièges et le nombre actuel d’enrôlés qui est de 43.941.891, aura un caractère provisoire.

2) La deuxième hypothèse a pour préalable d’organiser une consultation populaire sur la question. Par conséquent, le résultat de celle-ci, en cas de « Oui », amènerait à une nouvelle Constitution dont dépendrait la nouvelle loi sur la répartition de sièges.

Cette situation met l’Union Sacrée dans une nasse d’où elle tente de sortir par un forcing en faisant de la casse.

Je lui propose une voie de sortie légale et républicaine, en remplissant les conditions ci-haut énumérées, sans oublier toutes les autres qui sont nécessaires à un processus électoral transparent, inclusif pour des élections libres et apaisées.

Fait à Kinshasa, le 01 juin 2023.

Adolphe MUZITO




A travers un protocole d’accord: La Rdc et la CPI resserrent les liens 

En République démocratique du Congo depuis quelques jours, le Procureur de la Cour pénale internationale (CPI), qui s’est rendu dans l’Est de la Rdc pour se rendre compte de la gravité des crimes occasionnés par la situation d’insécurité, a signé ce jeudi à la Cité de l’Union africaine, un protocole d’accord avec la ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux Mme Rose Mutombo. Cet engagement renouvelé traduit la volonté de la Rdc de renforcer la coopération avec la CPI, surtout dans le cadre d’une coopération active et dynamique tournée vers les idéaux de justice et de paix aujourd’hui menée par la Rdc. En réalité, la Rdc attend de la CPI l’ouverture des enquêtes pour tous ceux qui se sont illustrés dans les tueries et autres crimes internationaux.

La République démocratique du Congo est un Etat partie du statut de Rome instituant la Cour pénale internationale qu’elle a ratifié le 2 avril 2002. A ce titre, elle a pleinement adhéré aux principes et valeurs prônées par ce traité historique en sa qualité de 60e Etat signataire du statut de Rome. Aussi, la République démocratique du Congo est réputée pour être non seulement le premier Etat à avoir renvoyé la première situation à la Cour, mais également le premier à avoir fait l’objet d’un verdict et à expérimenter la mise en œuvre des principes de réparation pour les victimes des crimes poursuivis par la dite cour à travers l’affaire Thomas Lubanga jugé en 2012.

Par cet acte de renvoi, a indiqué le président de la République dans son discours, mon pays a marqué l’histoire de la Cour pénale internationale et a ouvert la voie d’une expérience jurisprudentielle abondante de cette juridiction pénale internationale permanente de lutte contre les crimes de génocide, les crimes de guerre, les crimes contre l’humanité et les crimes d’agression.

Aussi, cet acte est la succession d’événements qui nous permettent de nous rendre compte de l’utilité et de l’importance du principe sacro-saint de coopération qui est l’un des piliers du statut de Rome qui offre une garantie dans la matérialisation de l’idée selon laquelle l’impunité surtout pour les crimes les plus graves et irréconciliable avec la paix durable, la stabilité nationale régional et international

Comme vous le savez, le monde fait face à de nombreux défis au nombre de ceux-ci outre les questions relatives au respect des droits de l’homme, il y a lieu de citer celle liée à l’exercice et la protection des peuples et de la souveraineté des Etats. En effet, au cours de ces dernières années, les actes d’agression visant un Etat membre comme ceux actuellement injustement dirigés contre la République démocratique du Congo par l’un de ses voisins se sont multipliés. Cette typologie d’actes qui affecte la conscience collective de l’humanité est à la base de la création à travers le statut de Rome de la Cour pénale internationale.

Face à cette réalité, Félix Tshisekedi pense qu’il est important que les États membres puissent réaffirmer leur adhésion aux valeurs de la Cour, entendu notamment à travers la mise en place d’une institution judiciaire répressive dotée non seulement du pouvoir de déférer les qualités et les statuts des auteurs, coauteurs et complices des crimes, mais aussi d’une compétence générale couvrant en principe les différents secteurs des rapports humains au niveau national et international.

Le chef de l’Etat a réitéré son attachement au mémorandum d’accord conclu avec le bureau du Procureur de la Cour pénale internationale. « Cet engagement renouvelé traduit notre volonté de renforcer la coopération avec votre bureau que nous entrevoyons surtout dans le cadre d’une coopération active et dynamique tournée vers les idéaux de justice et de paix aujourd’hui menée par mon pays », rassure-t-il.

Au niveau national, la République démocratique du Congo est déterminée à poursuivre ses efforts dans la mise en œuvre de sa politique nationale qui met la justice au centre du système de gouvernance pour poursuivre et punir les crimes nationaux et internationaux. Pour ce faire, martèle-t-il, nous avons besoin de l’appui de la Cour pénale internationale et de ses partenaires. Il a terminé par se féliciter des résultats obtenus par la justice congolaise, plus particulièrement la justice militaire dans ses efforts de rendre justice aux nombreuses victimes ayant souffert d’atrocités que mon pays a connues.

La première responsabilité incombe à l’Etat

Dans son discours, le Procureur de la CPI, M. Karim Khan a souligné que la justice ne doit pas être seulement une promesse, ça doit être plutôt un résultat concret du Gouvernement pour les victimes qui ont attendu très longtemps. « Cela doit se faire sur la base des principes et idéaux les statuts de Rome, notamment à la complémentarité, c’est-à-dire que c’est l’Etat qui a la première responsabilité, mais aussi la CPI doit venir à chaque fois qu’il est possible pour assister les États », dit-il.

Ces derniers jours, explique-t-il, j’ai été très bien accueilli chez vous avec la délégation gouvernementale qui m’a accompagné à l’Est du pays où j’ai vu des enfants violés, j’ai vu des filles violées, j’ai vu des enfants amputés, j’ai vu des victimes qui souffrent énormément, beaucoup de choses ont été faites.

« Nous devons reconnaître que vous avez fait beaucoup de choses, votre pays a fait énormément de choses, mais le mal reste. Il faut faire les choses autrement, avoir une approche beaucoup plus holistique, une approche beaucoup plus générale pour faire les choses autrement », pense-t-il. Et d’ajouter que nous sommes prêts à travailler avec vous pour afin que nous arrivions à mettre en place cette nouvelle dynamique.

Premier à prendre la parole, le professeur Taylor Lubanga a indiqué que la Rdc est heureuse de recevoir sous la présidence de Félix Tshisekedi, le bureau du Procureur karim Khan. Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération à laquelle la Rdc adhère pleinement et le dialogue permanent avec la CPI.

Il a souligné que la République démocratique du Congo est un modèle de coopération avec la Cour pénale internationale et elle entend poursuivre le dialogue constructif avec le bureau de la CPI. Cette rencontre que le président de la République a voulue ici au Palais de la République sera désormais gravée dans l’histoire les pages de l’histoire de cette longue et fructueuse coopération au service de la justice pénale internationale. Tel est l’essentiel de l’essentiel sans sacrifier l’essentiel du cadre global et holistique de la coopération que la Rdc entend maintenir avec la CPI.

Jean-Marie Nkambua




En vue d’une maximisation accrue des recettes : Eddy Mfumumpoko se lance dans le renforcement des capacités des agents et cadres de la DGRK/Limete

C’est dans l’objectif de réaliser l’objectif de la maximisation des recettes, que le Directeur général de la DGRK, Eddy Mfumumpoko a initié une formation à l’intention des agents et cadres de la DGRK/Limete. Les différentes étapes du contrôle fiscal des assujettis, c’est la principale matière qui a été abordée, à la grande satisfaction de tout le monde.

Dans sa vision de mettre l’homme au centre de tout, M. Eddy Mfumumpoko Monsempo, Directeur Général de la Direction Générale des Recettes de Kinshasa (DGRK), a, dans une séance de formation,  échangé avec les Agents et Cadres de la Direction des Recettes de Limete, ce mardi 30 mai 2023, sur les différentes étapes du contrôle fiscal des assujettis.

Une occasion indiquée pour outiller les agents et cadres de la DGRK/Direction des recettes de Limete sur diverses thématiques liées à la technique de contrôle et vérification des impôts auprès des assujettis.

Disons que ce renforcement des capacités a porté sur différentes thématiques liées à la technique de contrôle et vérification des impôts auprès des assujettis. La procédure fiscale, la déclaration, le contrôle sont entre autres les sujets abordés. Et ce, dans l’objectif de permettre à ces agents d’atteindre les objectifs de la maximisation des recettes de cette régie financière de la capitale Kinshasa.

M.Jean-Jacques Tembele Buku, Directeur des Recettes de Limete, dans son mot de bienvenue, s’est réjoui de la présence de la Haute Direction, signe d’un accompagnement rassuré.

Le Directeur général,  dans son exposé,  a brossé succinctement ce que doit être le travail d’un Vérificateur, d’un Gestionnaire et d’un Agent de recouvrement,  tout en insistant sur les limites de chaque service, le travail bien fait, afin de ne pas faire perdre à la régie ce qui revient à la Ville de Kinshasa en tant que recettes. Il les a exhortés à être objectif lorsqu’ils seront lancés sur le terrain pour le contrôle et la vérification, et de ne surtout pas céder à toutes tentatives de la corruption.

Une séance de questions-réponses animée par Mme la Responsable de la Cellule Communication, Nana Lambo,  a suivi l’exposé du Directeur Général, qui dans ses réponses à desceller certains problèmes et défis qui lui tiennent à cœur, notamment l’octroi des cartes de service à ses Collaborateurs,  l’aménagement et l’équipement des locaux les abritant.

Enfin, M. Eddy Mfumumpoko Monsempo, a exhorté les uns et les autres au respect strict des procédures telles que reprises dans l’Edit 005 du 31 décembre 2021.

Voulant palper du doigt les conditions dans lesquelles travaillent ses Collaborateurs, M. le Directeur Général s’est rendu par la suite, à la maison communale de Lingwala,  qui abrite le Centre des Recettes Fiscales de Lingwala,  pour présenter ses civilités au nouveau Bourgmestre et visiter les Agents et Cadres de la DGRK  y affectés.

Notons que le Bourgmestre a rassuré son hôte de son accompagnement dans l’exercice de ses fonctions, militant tous dans l’optique du développement de la Ville de Kinshasa.

Quant à l’échange de Monsieur Eddy Mfumumpoko avec ses Collaborateurs,  Agents et Cadres de CRF- Lingwala, Mme le Chef de Division,  Nicole Bambi Kaniki  a étalé les difficultés rencontrées dans sa circonscription et a exhorté l’autorité dans la mesure du possible, de les résoudre tant soit peu.

Satisfaits du passage du numéro 1 de la DGRK,  ses Collaborateurs ne se sont pas retenus pour manifester leur joie.

JMNK

 




Kinshasa : L’UNIC lance son premier docteur à thèse sur le marché

Le premier docteur en management a été proclamé samedi à  l’Université du CEPROMAD (UNIC),  à l’issue de la soutenance publique d’une thèse de doctorat intitulée « Filière igname Dioscorea Alata L, Potentielle source de l’entrepreneuriat et de l’industrialisation en République démocratique du Congo », a appris la presse.

« L’intérêt socio-économique de cette recherche réside dans le fait qu’elle va contribuer à la sécurité alimentaire de la population autochtone d’abord et augmenter son revenu grâce à la culture entrepreneuriale », a indiqué l’auteur de cette thèse, Jean-Bruno Delacroix Massa Nes Kitoko.

En dépit du chômage qui caractérise la jeunesse du territoire de Kutu en particulier et la province de Mai-Ndombe en général où l’étude a été réalisée, cette thèse, a-t-il dit,  matérialise les projets du gouvernement congolais sur la promotion de la culture entrepreneuriale, en envisageant l’entrepreneuriat et l’industrialisation de la filière igname en Rdc.

Les résultats présentés par le récipiendaire qui a obtenu le grade de docteur en management avec la mention « grande distinction », posent le premier jalon de la recherche et proposent un modèle managérial sur la conservation de l’igname Dioscurea Alata L en farine et sa conservation dans deux types d’emballages dont sachet et polyéthylène et sac en jute fibré à partir de trois procédés : igname bouillie, igname non bouillie et igname rouie.

Une thèse qui se fait accompagner d’un projet bancable

Pour le recteur magnifique de l’UNIC, le Pr émérite Oscar Nsaman O-Lutu, qui a présidé cette séance académique « nous avons commencé avec 150 apprenants, aujourd’hui sur quatre candidats retenus un candidat s’en sort avec une première thèse en management à l’UNIC qui se fait accompagner d’un projet bancable ».

C’est une obligation à l’UNIC, a-t-il affirmé, les travaux de recherche de haut niveau doivent être des pistes des solutions efficaces de recherche et de créativité, de création des richesses pour contribuer à réduire le chômage au pays.

La Fédération des entreprises du Congo (FEC) et le ministre de l’Industrie ont promis d’apporter leur soutien au nouveau docteur pour la matérialisation de ce projet d’entrepreneuriat et d’industrialisation de la culture d’igname en RDC.

Le Pr Godé Atshwel Okel, de l’Université de Kinshasa (UNIKIN) et Secrétaire général en charge de la Recherche à l’UNIC, promoteur de cette thèse et d’autres membres du jury ainsi que le Secrétaire général à l’Enseignement supérieur universitaire (ESU) ont apprécié la qualité et la pertinence de cette étude doctorale.

L’Avenir




L’ambassade de Chine et la fondation Denise Nyakeru Tshisekedi dotent la pédiatrie de Kalembe Lembe d’un lot important des médicaments et des kits scolaires

C’est un gigantesque don que l’hôpital pédiatrique de Kalembe Lembe, dans la Commune de Lingwala a reçu ce jeudi 1 juin 2023 de la part de l’ambassade de Chine. Comme on peut s’en rendre compte, ce don émane du professeur Peng Liyuan, épouse du président chinois Xi Jinping et l’organisation des premières dames d’Afrique pour le développement (OPDAD). Et ce, dans le cadre d’un projet dénommé « Réchauffer le cœur des enfants, une action conjointe Chine –Afrique » qui a pour but de favoriser le bien-être des enfants africains.

Disons que ce don est composé des médicaments couramment utilisés et les articles de protection, notamment des masques, gels nettoyants, vêtements de protection.  A cela s’ajoute encore 70 kits d’amour essentiellement composés des articles scolaires à savoir : un sac à dos contenant : un crayon gomme, cahier, règle. Ceci, sans oublier les produits sanitaires (T-shirt, serviette, gel douche pour cheveux et corps, savon, brosse à dent et autres. Ce grand geste est une première action qui s’inscrit dans le cadre d’un partenariat entre la Chine et la Rdc et vingt et unième mission médicale Chinoise en Rdc. D’une manière anticipée, cette action s’inscrit également dans le cadre de la journée de l’enfant africain célébrée chaque 16 juin à travers  le monde.

Dans son mot de circonstance, le Médecin Directeur général de l’hôpital pédiatrie de Kalembe Lembe a saisi la balle au bond pour solliciter une aide en ce qui concerne les équipements de cette grande structure sanitaire pédiatrique de la capitale à l’ambassade de Chine et aussi la fondation Denise Nyakeru Tshisekedi. Ce nouvel équipement en matériel pour la pédiatrie devrait permettre à tout le corps médical de travailler dans des bonnes conditions.

Pour sa part, Mme Larissa Lundula, représentante de la fondation Denise Nyakeru Tshisekedi qui a d’abord expliqué la mission de la fondation basée sur  la santé,  l’éducation, la lutte contre les violences et l’autonomisation  et aussi des quelques réalisations qui ont été rendues possibles par cette Asbl. La  représentante de la Première Dame de la Rdc à cette cérémonie, Larissa Lundula, a loué ce partenariat qui vient encore ajouter un plus dans cette grande lutte du bien-être des enfants  et de la femme en Rdc.

Prenant la parole à cette activité, le chargé des Affaires de l’ambassade de Chine en RDC Wang Hailong a précisé que cette action a été conjointement organisée par la Première dame chinoise Peng Liyuan et celle de la Rdc Denise Nyakeru Tshisekedi ” lors de leur rencontre pendant la première visite de Félix Tshisekedi en Chine. Les deux premières dames ont eu à échanger dans le but de travailler ensemble dans la promotion des droits des enfants et des femmes. La rencontre de ce jour est une première action qui vient sceller ce nouveau partenariat “, a précisé Wang Hailong.

Après cette étape, un protocole de partenariat a été signé entre l’ambassade de Chine, la fondation Denise Nyakeru Tshisekedi et l’hôpital pédiatrique de Kalembe Lembe. Et d’une manière symbolique, quelques kits des médicaments ont été remis au Médecin directeur de l’hôpital pédiatrique et aussi les kits d’amour scolaire à quelques enfants présents à cette cérémonie.

Soulignons que cette activité a été sanctionnée par une consultation gratuite des enfants souffrant des quelques maladies qui étaient trouvés sur place  par l’équipe médicale Chinoise.

Osée Kalombo




DÉCLARATION DE PERTE D’UN PERMIS DE RECHERCHE




COMMUNIQUE OFFICIEL N°01/DGRK/DCE/MME/COM/009/LSN/2023




COMMUNIQUE OFFICIEL N°01 / DG RK/ DCF./MME/COM/ 008/LSN/ 2023




Beach volley : En prévision des éliminatoires J.O d’été/Paris 2024, Poursuite des entrainements des présélectionnés ce mercredi à l’institut de la Gombe

Dans le cadre de la préparation aux éliminatoires Jeux Olympiques d’été/Paris 2024, les Léopards présélectionnés messieurs ont poursuivi avec les séances d’entrainements ce mercredi 31 mai 2023 sur l’aire de jeu de l’Institut de la Gombe 2, à Kinshasa. Le tout s’est passé sous la direction de Swaleh Omari et ses adjoints.

Antoine Bolia