Sur la route Kasapa : Une dizaine de jeunes ont manifesté, exigeant la libération de Salomon Kalonda

Une dizaine des jeunes prétendant être du parti politique Ensemble pour la République de Moïse Katumbi, ont manifesté pendant plus ou moins 20 minutes sur la route Kasapa, non loin du building administratif et en face de la clinique bon berger, dans la commune de Lubumbashi.

Selon les témoins trouvés sur place, ces jeunes revendiquaient la libération du conseiller spécial de Moïse Katumbi, M. Salomon Idi Kalonda, interpellé mardi à l’aéroport de Ndjili pendant qu’il voulait regagner Lubumbashi.

En apprenant que la Police était à leur trousse, ces jeunes ont pris la fuite après avoir brûlé quelques pneus. Mais tout est redevenu normal vers 11h30 déjà. Pas de dégâts enregistrés, selon le témoin qui a vécu les faits.

« J’étais venu accompagner un collègue de service qui est malade ici. Une fois arriver au niveau de la porte pour faire entrer le malade, nous avons vu un groupe de jeunes, à peu près 10, avec des pneus. On ne comprenait pas s’il s’agissait de quoi. D’emblée, ils ont mis de l’essence et les pneus ont commencé à bruler. Quand on a voulu savoir de quoi il s’agissait, ils avaient une mallette où ils ont fait sortir des calicots d’Ensemble, de Moïse Katumbi et ils criaient : ‘’Libérez Salomon’’. C’est ainsi qu’on nous dira qu’il est incarcéré à Kinshasa et nous nous revendiquons ici. Et quand on leur a dit qu’il y a la Police qui venait, ils sont allés en courant », dit-il.




AN : Le projet de loi sur la répartition de sièges déclaré recevable et envoyé à la PAJ

La plénière du mercredi 31 mai 2023 a déclaré recevable le projet de loi qu’elle a ensuite envoyée à la commission permanente Politique, administrative et juridique (PAJ) pour approfondissement et toilettage. Mais la PAJ n’a que 48 heures, soit du jeudi1 er au samedi 3 juin 2023 pour déposer le draft revu et corrigé au bureau de l’Assemblée nationale en vue de son adoption en plénière. Et ce, avant de le renvoyé au Sénat pour seconde lecture.

En fait, la plénière de ce mercredi était consacrée à épuiser la liste de 74 députés ayant sollicité la prise de parole, parmi les désignés des groupes parlementaires et les non-inscrits.

On rappelle que l’essentiel des préoccupations soulevées par les élus du peuple tourne autour de cette inadéquation constatée entre le nombre d’électeurs inscrits en le nombre de sièges attribués à chaque circonscription électorale à travers le territoire national. Beaucoup d’élus réclament des sièges perdus.

Dans ses réponses à ces préoccupations, Me Peter Kazadi, VPM en charge de l’Intérieur qui a défendu ce projet de loi devant la représentation nationale, a fait savoir que le nombre de sièges à pourvoir par chaque circonscription est obtenu en divisant le nombre total d’électeurs enrôlés au sein de cette circonscription par le nombre de sièges à pourvoir à l’assemblée de la province. Un siège est attribué à toute circonscription électorale qui aurait un nombre inférieur au quotient électoral.

Si le nombre total de sièges ainsi attribué est inférieur au nombre de sièges de la province, un siège supplémentaire est attribué à chaque circonscription qui a la décimale la plus élevée au regard du nombre de sièges obtenu jusqu’à l’obtention total du nombre de sièges de la province. Autant pour la députation nationale que pour la députation provinciale, il ressort de ce qui précède qu’on ne peut comparer le nombre sièges des circonscriptions n’appartenant pas à une même province. Autrement dit, la comparaison n’est possible qu’à l’intérieur d’une même province.

Pour ce qui est des territoires en proie à l’insécurité, 16 sièges ont été réservés, soit 02 pour Kwamouth, 07 pour Masisi et 07 pour Rutshuru à l’intérieur des provinces concernées (Maï-Ndombe et Nord-Kivu). Il convient de relever aussi que cette répartition est effectuée sur base des statistiques obtenues après nettoyage du fichier électoral, extraction des enregistrements multiples, des mineurs d’âge, des photos et des données test.




Sommet de l’EAC au Burundi : Trois victoires retentissantes de Mbusa Nyamwisi

Représentant le chef de l’État Félix Tshisekedi au Burundi, Mbusa Nyamwisi a opposé un niet catégorique au Rwanda et obtenu le soutien des États membres de l’EAC : il n’est nullement question que le M23, comme Kigali battait campagne, intègre l’équipe de vérification du  futur site du pré-cantonnement de ses éléments, à Rumangabo, dans le territoire de Rutshuru, au nord de Goma.

Certes à huis clos, le 21ème sommet extraordinaire des chefs d’État et de gouvernement de l’EAC à Bujumbura (Burundi) laissait échapper, tel un volcan, la fumée des envolées oratoires.

Le communiqué final décline en effet de radicales décisions.

La Communauté Est-Africaine a décidé de la fin du mandat des Forces régionales, au 8 septembre 2023. Toutefois, la RDC a exigé que le 15 juin prochain, une évaluation de la présence du contingent EAC soit réalisée pour juger de son opportunité.

Seuls les facilitateurs, la Monusco et les FARDC sont habilités à inspecter le site de cantonnement des éléments du M23.

L’EAC, pour ce faire, a vivement remercié le Président Tshisekedi non seulement pour la facilitation du déploiement de la Force régionale, mais surtout pour l’observation du cessez-le-feu par les troupes régulières de la RDC. “Combinons nos efforts pour le rétablissement de la paix durable en RDC”, déclarera au terme de la lecture du communiqué final, le Président burundais Évariste Ndayishimiye.

Le sommet a, en effet, adopté les rapports issus de la réunion des chefs d’État-major et celui du   49ème sommet extraordinaire du Conseil des ministres de l’EAC. Ils en découlent que le Kenya conserve le commandant de la Force régionale laquelle devrait se déployer dans les zones prévues dans l’accord de siège (Sofa).

Le sommet des chefs d’État et de gouvernement recommande aussi à la Force régionale une étroite collaboration avec   la Monusco pour favoriser le pré-cantonnement des troupes du M23. Au Facilitateur, il a été recommandé la création d’un poste de chef de mission civile qui devra s’occuper du volet politique de futures opérations en symbiose avec la Force régionale.

Le Président William Rutho a estimé que le site initial du pré cantonnement n’a point d’équipements requis pour recevoir momentanément le M23. Quant au Sud-Soudan, seul soutien du Rwanda dans ses prises de position pour le M23, sa requête d’opérer une incursion en RDC pour traquer ses rebelles s’est heurtée au refus du sommet qui a plutôt recommandé une évaluation bilatérale entre les deux pays sur la problématique de présumés rebelles Sud-Soudanais.

Le sommet a également pris acte de la nomination de deux secrétaires généraux adjoints de l’EAC, à savoir l’Ougandaise, Agnes Mutawe Mwemba et l’honorable député Andrea du Sud soudan. Anta Ngeni du Rwanda a été nommé vice-président de la Cour de justice qui a notamment pour nouveau juge le Rdcongolais Kayembe  Kassanda Ignace-René.

La partie rdcongolaise sous la direction du minÉtat en charge de l’Intégration régionale Antipas Mbusa Nyamwisi, comptait notamment le Haut représentant du Président Tshisekedi, le prof Serge Tshibangu, le vice-ministre de la Défense, Samy Adubango Awotho, l’ambassadeur de la RDC au Burundi, Willly Mulamba,

Le Chef d’État-Major adjoint des FARDC, le Gl Ychaligonza Nduru Jacques et des experts. De l’avis des observateurs dans la capitale burundaise, c’est du Veni, vidi, vici.  Le prochain sommet se tiendra en Ouganda sur demande du Kenya. Le Président William Rutho a estimé que le site initial n’a point d’équipements requis pour un pré-cantonnement.  Soutien du Rwanda dans ses prises de position pour le M23, quant au sud soudan sa requête d’opérer une incursion en RDC pour traquer ses rebelles s’est heurtée au refus du sommet qui a plutôt recommandé une évaluation bilatérale entre les deux pays sur la problématique de présumés rebelles Sud-Soudanais.

Le sommet a également pris acte de la nomination de deux secrétaires généraux adjoints de l’EAC, à savoir l’Ougandaise, Agnès Mutawe Mwemba et de M. Andrea du Sud soudan. Anta Ngeni du Rwanda a été nommé vice-président de la Cour de justice qui a notamment pour nouveau juge le congolais Kayembe Kassanda Ignace-René.

La partie congolaise sous la direction du minÉtat en charge de l’Intégration régionale Antipas Mbusa Nyamwisi, comptait notamment le Haut représentant du Président Tshisekedi, le prof Serge Tshibangu, le vice- ministre de la Défense, Samy Adubango Awotho, l’ambassadeur de la RDC au Burundi, Willly Mulamba, le Chef d’État-Major adjoint des FARDC, le Gl Ychaligonza Nduru Jacques et des experts. De l’avis des observateurs dans la capitale burundaise, c’est du Veni, vidi, vici.  Le prochain sommet se tiendra en Ouganda.




Journée mondiale sans tabac : Le Gouvernement prend l’option de mobiliser tous les moyens disponibles en vue de combattre efficacement le tabagisme

Le monde célèbre la journée Mondiale Sans Tabac (JMST) le 31 mai de chaque année, sous les hospices de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en invitant la communauté à réfléchir sur un thème spécifiquement choisi. Pour 2023, ce thème est « Tabac-Les populations ont besoin de nourriture, pas de tabac ».

Dans son message à la nation, le vice-ministre de la Sante publique, hygiène et prévention, le Dr Holenn Serge Emmanuel explique que le tabac est cité parmi les facteurs de risque qui favorisent la pauvreté en raison des répercussions sanitaires, environnementales et sociales qui ont souvent une incidence défavorable sur l’économie. Sa culture nuit à l’environnement par l’usage intensif de pesticides et des engrais chimiques, la déforestation et la perte de biodiversité.

Actuellement, dit-il, le tabac est cultivé dans plus de 125 pays comme culture commerciale, sur une superficie estimée à 4 millions d’hectares.

Selon l’OMS, 349 millions de personnes sont confrontées à une insécurité alimentaire aiguë dans le monde, répartie dans 79 pays, le plus souvent à revenu faible ou intermédiaire, dont plus de 30 pays africains, qui ont un point commun, de consacrer de vastes terres fertiles à la culture du tabac plutôt que des aliments sains.

Pour la République Démocratique du Congo, sur l’ensemble du territoire national, plusieurs vastes hectares sont utilisés pour la culture du tabac en particulier dans les provinces de Lualaba, Kasaï Oriental, Haut-Uélé et Equateur.

Les cultivateurs du tabac et leurs familles présentent un risque plus élevé suite à l’exposition à la nicotine et aux produits chimiques (pesticides et engrais), de contracter la Maladie du tabac vert et de développer les maladies pulmonaires chroniques.

La culture du tabac est une culture à forte intensité de main-d’œuvre qui prend jusqu’à 9 mois pour parvenir à maturité ; il est donc difficile pour les petits agriculteurs d’avoir des cultures vivrières durant la même année.  En rapport avec la sécurité alimentaire et la nutrition, la culture du tabac dégrade les terres de qualité qui sont rares et menace le choix de cultures de remplacement.

Face à cette situation inquiétante, poursuit le ministre de la Santé, le Gouvernement de la République Démocratique du Congo, dirigée par le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge, sous la conduite du Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a pris l’option, à travers le Ministère de la Santé Publique, Hygiène et Prévention, de mobiliser tous les moyens disponibles en vue de combattre efficacement cette tragédie provoquée par la culture de tabac en accélérant la mise en œuvre de la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac et des directives pour leur application sous l’ère de la Couverture Santé Universelle.

 

Pour conclure, le Dr Holenn Serge Emmanuel a invité tous les agriculteurs et cultivateurs de tabac à répondre à l’initiative « fermes sans tabac » qui vise à créer un écosystème de production et de commercialisation agricoles qui aide à passer de la culture du tabac à d’autres sources de revenus sains.

 




Face aux campagnes de diabolisation : Muabilu demeure imperturbable devant les spoliateurs

La maison située au numéro 40, à la lisière de la commune de la Gombe, appartient belle et bien à l’Etat. Et le dénommé Me Benoît Tshibangu le sait pertinemment bien. Telle est la mise au point du cabinet du Ministre d’État, Ministre de l’Urbanisme et Habitat Pius Muabilu dont une copie est parvenue à notre rédaction.  

Deux ans après son lancement en 2021, l’opération d’identification et de récupération du parc immobilier du domaine privé de l’Etat lancé par Pius Muabilu continue à secouer les cocotiers. Déterminé à restituer à l’Etat congolais son patrimoine spolié, le patron de l’Urbanisme et Habitat mène une lutte acharnée contre les spoliateurs véreux. Même si cela lui coute en retour une campagne d’intoxication, de manipulation et de désinformation et acharnement à la peau dure. Matérialiser la vision du chef de l’Etat Félix Tshisekedi dans ce secteur, c’est le pari du Warrior Muabilu qui n’entend pas baisser les bras contre vents et marées.

A travers un communiqué de presse rendu public mardi soir, le cabinet a fixé l’opinion sur la récente affaire de spoliation qui attise le feu sur la toile. Il s’agit du délogement administratif sur deux adresses se trouvant dans la commune de la Gombe. Il s’agit des occupants illégaux qui ont élus domicile dans une des maisons de l’Etat située au numéro 40 de l’avenue de la Gombe. Pour le premier, au numéro 8 de l’avenue Muene-Ditu. Ces villas font parties des logements du domaine privé de l’Etat. Me Benoît Tshibangu le sait pertinemment bien.

Pour mettre l’Etat dans ses droits à travers son patrimoine immobilier, mobiliser les recettes dans son secteur, le Républicain Muabilu n’entend pas aussitôt baisser les bras. Il met pour ce faire en garde les spoliateurs dont le mode opératoire est de monter des stratégies triangulaires et malicieuses avec certains agents véreux de son administration, ceux des Affaire foncières, de la Justice et de la Police nationale.

Les éventuels bruits de certains occupants illégaux sont ironiques. Le patron de la gestion immobilière se résigne dans ce combat des spoliateurs imperturbables des maisons de l’Etat qui multiplient, chaque jour qui passe, des campagnes de diabolisation et chantage contre sa personne.

Rien, sinon rien n’arrêtera Pius Muabilu dans cette démarche, celle de privilégier l’intérêt supérieur de la nation dans ce domaine en pleine renaissance en remettant l’Etat dans ses droits quant à son parc immobilier.




EPST : Tony Mwaba lance officiellement l’Examen National de Fin d’Etudes Primaires à Kisangani

Il est 9h:00′, lorsque le cortège du ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi atterrit dans l’enceinte de l’Ecole Primaire de l’Athénée de Kisangani 1&2, Commune de Makiso, Ville de Kisangani, Province de la Tshopo.

Objectif, lancer officiellement l’Examen National de Fin d’Etudes Primaires, Édition 2023.

Témoin de l’événement, le Vice-gouverneur de la Province de la Tshopo, Paulin Lendongolia, représentant Mme le Gouverneur en mission à Kinshasa. Il n’est pas seul. Il est accompagné de son Conseil de Sécurité et de son Gouvernement Provincial, du Comité Provincial de l’EPST, conduit par le Directeur Provincial de l’EPST, Proved Symphorien Kapita. C’est ce dernier qui a prononcé le mot de bienvenue à l’attention du Ministre de l’EPST, Gardien de la gratuité de l’enseignement, avant de laisser la place au Vice-gouverneur de la Tshopo qui a salué la vision salvatrice de la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements scolaires publics qui a permis le retour à l’école de millions d’enfants sur toute l’étendue de la RDC en général et de la Province de la Tshopo en particulier.

Prenant la parole, le professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’EPST, a de prime abord dirigé ses pensées envers des milliers d’enfants fauchés par la barbarie rwandaise dans l’Est de la RDC, par la catastrophe naturelle de Kalehe, par l’incendie au Lycée Mwanga à Kolwezi et par d’autres causes. Une minute de silence a été observée en leur mémoire.

Pour le professeur Tony Mwaba, ”l’organisation de cet Examen en ce début du mois de juin 2023 est la preuve du retour à la normalité de notre calendrier des évaluations qui était resté bouleversé par la pandémie de COVID 19″, a-t-il déclaré avant de rappeler qu’en date du 05 juillet 2022, dans cette même ville, “je lançais la première édition de cet examen. En ce moment où notre pays subit les affres de la guerre injuste nous imposée par les ennemis de notre développement, j’ai tenu une fois de plus, à honorer Kisangani, creuset du patriotisme et du nationalisme congolais”.

A ce propos, le numéro 1 de l’EPST a rappelé que l’ENAFEP constitue avec le TENASOSP et l’Examen d’Etat, le symbole de l’unité pédagogique du pays et le ciment de la cohésion nationale.”, a déclaré Tony Mwaba Kazadi avant de préciser ”qu’il permet d’évaluer les acquis scolaires et ouvre les portes du Cycle Terminal de l’Education de base à tous ceux qui vont décrocher leur Certificat de Fin d’Etudes Primaires”, a-t-il souligné.

Et là, Tony Mwaba Kazadi s’est réjoui que tous les finalistes du Nord au Sud, de l’Est et de l’Ouest de notre pays aient suivi le même programme national avant d’être soumis aux mêmes questions.

Pour cela, il est attendu pour cet Examen, Édition 2023, 2.119. 100 candidats dont 1.020.448, soit 48% des filles. Ils seront répartis dans 8.332 Centres de passation dont deux sont situés hors de frontières de la RDC, a-t-il informé.

A ce propos, le Ministre a invité, élèves, encadreurs ou correcteurs à bannir toutes les antivaleurs, une de ses missions à tête de l’EPST durant tout ce parcours.

Bien plus, le professeur Tony Mwaba Kazadi a rappelé le caractère gratuit de l’organisation de l’ENAFED qui est élargi jusqu’aux écoles privées. Aucun élève n’est autorisé à verser un quelconque frais au risque jusqu’à la délivrance de son Certificat de Fin d’Etudes Primaires, de s’exposer à toutes les conséquences de la loi, a-t-il insisté.

Avant de lancer officiellement l’ENAFEP, le Ministre de l’EPST, le professeur Tony Mwaba a recommandé tous les finalistes en la grâce divine, tout en leur souhaitant bonne chance.

 




Kim Yo Jong publie une déclaration

Le chef adjoint du département du Comité central du Parti des travailleurs de Corée, Kim Yo Jong, a publié une déclaration intitulée “Personne ne peut nier notre droit souverain de lancer un satellite” le premier jour.

Son texte intégral suit :

Quant au lancement du satellite de reconnaissance militaire de la RPDC, qui est un droit à l’autodéfense, les États-Unis exposent ouvertement leur hostilité envers la RPDC.

Le 31 mai, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche a insisté sur le fait que tous les pays doivent condamner le lancement du satellite de la RPDC, affirmant que cela constitue une violation flagrante de la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU et pourrait inutilement aggraver la tension et porter atteinte à la sécurité régionale.

Il n’y a rien de nouveau, mais les États-Unis débitent des baratins à l’ancienne qui découlent de leur mode de pensée voyou et anormal.

Qui aggrave inutilement la tension et viole la sécurité régionale ?

Si notre lancement de satellite doit être critiqué, tous les pays à commencer par les États-Unis qui ont lancé des milliers de satellites devraient être condamnés. Eh bien, ce n’est rien de plus qu’un sophisme contradictoire.

La théorie voyou selon laquelle nous ne pouvons pas le faire en vertu de la “résolution” du Conseil de sécurité de l’ONU qui nous interdit d’utiliser la technologie des fusées balistiques quel que soit son objectif, vise à violer le droit de notre État à utiliser le cosmos et à réprimer nous injustement.

Il est très regrettable qu’une telle conception à l’américaine soit stipulée dans la “résolution” du CSNU.

Les États-Unis sont un groupe de bandits qui condamneront comme illégaux et menaçants même si nous mettons un satellite à bord du ballon en caoutchouc en orbite spatiale.

Avec la mauvaise formule, vous ne pouvez pas obtenir la bonne réponse et en n’abandonnant pas le malentendu, il y a la “tragédie américaine”. du 21ème siècle.

Avant de nier et de remettre en cause de manière négligente les droits d’un État souverain à lancer des satellites et à développer le cosmos, les États-Unis devraient une fois de plus relire la Charte des Nations Unies et les articles du Traité sur l’espace extra-atmosphérique, refroidissant leur tête surchauffée par la fièvre des conflits.

En ce moment également, les États-Unis surveillent chacun de nos mouvements avec des propriétés de reconnaissance de divers types, telles que des satellites espions et des drones de reconnaissance à haute altitude qui survolent la péninsule coréenne. L’accusation américaine est donc une chose illogique et absurde.

Les États-Unis ne doivent pas trop compter sur eux-mêmes en faisant semblant.

Personne n’a donné aux États-Unis le pouvoir de contester les droits souverains d’un État spécifique.

Je saisis cette occasion pour lancer une fois de plus un avertissement clair aux États-Unis qu’ils ont l’intention de tromper les yeux et les oreilles de la société internationale avec des mots superficiels sur le dialogue tels que “porte de la diplomatie” et “négociations sincères”.

Nous n’avons rien à dire aux États-Unis et à leurs laquais, qui parlent à plusieurs reprises de la « fin du pouvoir » et du « renversement du régime », et nous ne ressentons pas non plus le besoin de leur parler.

Leur politique hostile envers la RPDC ne leur convient pas du tout, et nous prendrons des contre-mesures à notre style depuis la position la plus offensive afin qu’ils soient forcés de reconnaître à quel point la confrontation avec notre pays est dangereuse.

Nous sommes prêts à toute action pour défendre nos droits et intérêts souverains.

Compte tenu de l’inquiétude psychologique des États-Unis et de leurs marionnettes concernant le satellite de reconnaissance militaire de la RPDC, nous avons confirmé une fois de plus que les ennemis craignent davantage notre possession de moyens de reconnaissance et d’information en tant que satellite de reconnaissance et nous prenons conscience que nous devons canaliser beaucoup plus de forces vers le développement de ces médias.

J’affirme que le satellite de reconnaissance militaire de la RPDC sera placé sur son orbite dans un proche avenir et commencera à remplir sa mission.

Nous sommes bien conscients de la nature prolongée de la confrontation avec les États-Unis et nous ferons tout notre possible pour améliorer la dissuasion à la guerre dans tous les domaines en étant conscients des menaces et des défis à venir.

Nous ne resterons pas les bras croisés si les États-Unis et leurs laquais essaient de violer notre droit souverain.




Alexandr Matsegora rencontre Ria Novosti

L’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Fédération de Russie en République populaire démocratique de Corée, Alexandr Matsegora, a rencontré l’agence de presse russe Ria Novosti le 24 mai.

A cette occasion, le représentant diplomatique a clarifié la position de son pays sur des questions générales telles que les mesures prophylactiques d’urgence et les mesures de renforcement des capacités de défense nationale prises par le Parti des travailleurs de Corée et le gouvernement de la RPDC, la situation actuelle de la péninsule coréenne et les relations intercoréennes rapports.

Concernant la prolifération du coronavirus en RPDC et ses mesures connexes, l’ambassadeur de Russie s’est exprimé comme suit :

Aucun cas de contagion n’a encore été enregistré en RPDC. La large diffusion de la variante Omicron au cours de la période de mai à août de l’année dernière a été stoppée avec succès grâce aux énormes efforts de l’État. Ce n’est pas un mot exagéré. Les médecins militaires ont joué un rôle éminent. Les réalisations dans le domaine économique sont très précieuses et les habitants n’ont pas subi de préjudices graves.

Déjà fin janvier 2020, la RPDC a pris des mesures d’isolement complet du monde extérieur en vue d’arrêter l’entrée des variantes les plus dangereuses dans la période initiale de la pandémie et d’appliquer les mesures prophylactiques les plus rigoureuses.

Depuis que de nombreuses mesures restrictives ont été annulées, des cours sont à nouveau dispensés dans les écoles et les universités, des activités culturelles et sportives de masse ont lieu, et des parcs, musées et bibliothèques ouvrent.

Cependant, la désinfection, la mesure de la température corporelle et l’utilisation de masques faciaux sont toujours en vigueur dans tous les établissements publics.

La RPDC n’annule pas certaines mesures restrictives, malgré le fait que de nombreux pays autorisent les contacts après une infection par le COVID-19 à un niveau considérable.

La RPDC définit une “crise sanitaire mondiale” comme un concept plus large, considérant que la situation mondiale compliquée causée par la pandémie n’est pas simplement liée au coronavirus.

Dans ce contexte, il surveille de près l’apparition de nouvelles épidémies telles que le monkeypox dans d’autres pays.

De plus, les spécialistes coréens n’excluent pas la possible apparition soudaine de nouvelles variantes mortelles du SRAS CoV-2, contrairement à l’opinion des étrangers qui sont convaincus que les nouvelles variantes ne seront pas aussi dangereuses que les précédentes. Pour cette raison, la RPDC accorde une attention primordiale à la protection des habitants contre les nouvelles maladies dangereuses sans ouvrir la frontière à la hâte.

Contrairement à de nombreux pays, la RPDC indique clairement sans aucune hésitation que tous les problèmes mondiaux difficiles surviennent à cause des États-Unis, qui s’obstinent à maintenir l’ordre mondial unipolaire et ont l’intention de supprimer complètement la Russie et les autres pays de l’opposition.

La RPDC pratique une politique étrangère indépendante sans tolérer le despotisme américain.

Sur les scènes internationales, les amis coréens font preuve de solidarité avec la Russie et l’apprécient beaucoup. Nous l’apprécions beaucoup. Et nous exprimons notre compréhension et notre soutien à la position de Pyongyang sur la situation dans la péninsule coréenne, qui s’est aggravée ces derniers temps en raison de la politique hostile de Washington.

Les États-Unis placent des armes d’attaque stratégique dans la partie sud de cette péninsule et mènent d’incessants exercices de guerre. Sans aucun doute, le but de cette farce militaire est d’éliminer le Directoire de la RPDC, d’occuper son territoire et de renverser son régime politique. Ainsi, la RPDC est obligée de prendre des mesures d’autodéfense, d’augmenter son potentiel de défense nationale et de se préparer parfaitement contre l’attaque du dangereux ennemi.

L’ambassadeur s’est ensuite exprimé sur les efforts de lancement de missiles de la RPDC, notamment le tir d’essai d’un nouveau type d’ICBM, effectué à la mi-avril dernier :

Le développement par Pyongyang de nouveaux missiles balistiques et leurs lancements d’essai sont dus à la politique hostile des États-Unis envers la RPDC.

Sans les pressions et les défis militaires, politiques et économiques croissants, les tentatives d’ingérence dans les affaires intérieures et la menace directe visant à exterminer le régime socio-économique du pays socialiste, les dirigeants de la RPDC n’auraient eu aucune raison de développer et exécuter le plan nucléaire et de missiles à grande échelle.

Les Coréens n’ont aucune idée d’attaquer les États-Unis ou le Japon et la Corée du Sud pour les occuper et changer leurs régimes politiques. Ils veulent juste qu’on les laisse seuls, mais ils ne tolèrent jamais d’être contrariés. C’est pourquoi la ligne hostile de Washington, appliquée invariablement depuis plusieurs décennies, est la principale cause d’inquiétude et d’inquiétude. Washington tente de remplir sa tâche géopolitique en aggravant les tensions dans diverses régions du monde.

Il faut reconnaître que le complexe de l’industrie de l’armement de la RPDC a remporté des succès incroyables au cours des 10 dernières années. En fait, des missiles balistiques et de croisière de toutes les séries ont été développés et testés à des dizaines d’occasions qui ne représentaient aucune menace pour notre région d’Extrême-Orient. La partie coréenne a déclaré à plusieurs reprises qu’elle respectait strictement ce principe. Nous n’avons aucune raison de ne pas y croire.

Ensuite, l’ambassadeur de Russie a mentionné que la Corée avait fait des progrès dans le développement du programme de missiles et dans l’augmentation de ses forces armées.

Le chef Kim Jong Un a personnellement abordé certains aspects du programme d’armes nucléaires lors de divers événements.

De plus, de tels faits ont été publiés à travers les dépêches concernant sa visite dans les entreprises de l’industrie de l’armement. En particulier, il a été signalé que les ogives nucléaires et thermonucléaires qui seront installées sur les missiles à moyenne portée et les ICBM ont déjà été développées, testées et déployées dans les forces armées. Des photos de ces armes ont également été publiées dans les journaux. Sa quantité n’est pas connue et il n’y a que l’hypothèse de celle-ci.

Le secrétaire général du Parti travailliste de Corée a présenté lors du 8e congrès du WPK, tenu en janvier 2021, la tâche de se concentrer sur la production d’ogives nucléaires tactiques et d’augmenter leur quantité par progression géométrique.

Au cours des deux dernières années, la RPDC a développé et testé des porte-missiles à courte portée de différents types pouvant transporter des ogives tactiques. Il s’agit notamment de lance-roquettes réactifs autopropulsés de très gros calibre de 600 mm, de missiles de croisière et balistiques lancés en eau profonde et d’appareils sous-marins sans pilote. Il est difficile d’énoncer la capacité de production actuelle des Nord-Coréens, mais cela doit être pris très au sérieux, étant donné que le dirigeant de la RPDC ne dit pas de vains mots.

Lors de la conférence de presse, le représentant diplomatique a abordé la question de la position de la Russie sur la question des relations intercoréennes.

La vague d’indignation monte en Corée du Nord face au résultat de la récente visite du “président” sud-coréen aux Etats-Unis.

La RPDC considère que cette visite visait à convenir du plan d’attaque contre elle, y compris le projet d’utiliser des armes nucléaires.

En tant que voisin de la Corée, la Russie espère de tout cœur que le Nord et le Sud résoudront tous les problèmes complexes existants de manière indépendante et selon le principe de l’unité nationale, sans l’intervention de forces étrangères.




Le vice-ministre des Affaires étrangères Kim Son Gyong critique les exercices de blocus maritime

Le vice-ministre des Affaires étrangères de la République populaire démocratique de Corée, Kim Son Gyong, a publié le premier jour une déclaration intitulée “les exercices dangereux de blocus maritime qui exacerbent davantage la tension dans la région”.

Le texte complet se présente comme suit :

Malgré les profondes inquiétudes et les protestations de la société internationale, les marionnettes américaines et sud-coréennes continuent de recourir au jeu du feu qui nous irrite.

En mars et avril derniers, les États-Unis ont mené un Freedom Shield et un exercice d’entraînement général allié, qui sont des exercices de guerre nucléaire dans la forme et le contenu. Et fin mai, il tente de mener les exercices de blocus maritime selon la « Proliferation Security Initiative (PSI) » dans les eaux internationales de la mer de Corée du Sud avec ses acolytes comme le Japon, les fantoches sud-coréens et l’Australie. .

Pendant 2 décennies depuis 2003, lorsque le PSI a été inventé par les États-Unis, ce pays a essayé de l’utiliser comme un moyen de faire pression sur les pays indépendants anti-Yankee, en l’étendant systématiquement.

Il est illogique et une parodie du droit international que les États-Unis, premier pays propagateur d’armes de destruction massive et destructeur direct du système international de non-prolifération nucléaire, parlent de contrôler la “prolifération des armes de destruction massive” par quelqu’un.

La tolérance ouverte de la possession d’armes nucléaires par Israël et la fabrication d’un dispositif de prolifération nucléaire appelé AUKUS, preuve que les États-Unis eux-mêmes détruisent le système international de non-prolifération nucléaire.

C’est l’apogée de la logique gangster qui parle de « non-prolifération » dans ce pays qui répand sans hésitation des armes de destruction massive dans le monde entier, installant des laboratoires d’armes biochimiques en Corée du Sud, en Ukraine et dans d’autres régions.

L’objectif principal de la fabrication du PSI par les États-Unis est de mener à bien sa stratégie hégémonique en légalisant l’interruption unilatérale et le blocus du transport maritime des pays qui ne lui obéissent pas.

Les États-Unis et la couche militaire fantoche sud-coréenne insistent sur le fait que les exercices “défensifs” actuels visent la “non-prolifération”, mais, vu la taille et l’équipement des forces armées à mobiliser à l’entraînement, il est évident que ce dangereux exercice militaire La manœuvre consiste à multiplier la capacité d’opération maritime avec le Japon et les marionnettes sud-coréennes dans la région de la péninsule coréenne et à perfectionner la mesure de l’embargo total sur les importations et les exportations des États spécifiés en cas d’urgence et les préparatifs d’une attaque contre eux.

Les émeutes militaires actuelles coïncident avec les “exercices combinés d’extermination par le feu” fantoches américano-sud-coréens, un fait qui rend l’affaire plus grave et sérieuse.

Le théâtre des exercices jouxte les eaux sensibles où se joue le conflit sur le problème de la possession, ce qui laisse penser que l’entraînement actuel a un autre objectif de pression sur les États voisins.

Ces jours-ci, les États-Unis font naviguer des navires de guerre de toutes sortes à travers le détroit de Taiwan sous prétexte de « liberté de navigation » et les pays de l’OTAN continuent de participer à des exercices militaires conjoints dirigés par les États-Unis dans la région Asie-Pacifique, pour lesquels ce Cette décision ne fera qu’aggraver la situation dans la région de l’Asie du Nord-Est.

En raison de l’organisation continue par les États-Unis de mécanismes de coopération militaire avec divers pays tels que le PSI, la possibilité d’un affrontement militaire catastrophique en Asie du Nord-Est est devenue réalité.

La situation actuelle fait savoir que les États-Unis sont le coupable qui aggrave encore la tension sur la péninsule coréenne et augmente le danger de guerre nucléaire.

Si les États-Unis et leurs forces suiveuses imposent un blocus contre notre État ou tentent de violer, même de manière minime, notre souveraineté sacrée, nous considérerons cela comme une déclaration de guerre.

Les États-Unis doivent immédiatement cesser leurs actes hostiles qui aggravent la situation dans la région de la péninsule coréenne, en gardant à l’esprit que leurs manœuvres militaires vont accélérer leur autodestruction.




P-DDRCS, la banlieue de Kindu demeure le site de cantonnement du M23

Rumangabo n’est qu’un site de pré-cantonnement des éléments de M23. Cette bourgade au nord de la ville de Goma, abrite certes une grande caserne de l’armée, mais ne servira que de transit aux guérilleros du mouvement rebelle pour rallier le site de cantonnement dans les environs de Kindu. Les FARDC en compagnie de casques bleus onusiens et de la facilitation régionale veilleront à la réussite de toutes ces opérations.
Le Président angolais Joao Lourenço a déjà garanti, urbi et orbi, à la démobilisation du M23. ” Nous pensons qu’il faut rester optimiste et se baser sur le principe que le M23 va respecter ses engagements. (…) l’Angola devrait envoyer un contingent militaire pour assurer la sécurité de la zone du cantonnement une fois que les conditions seront réunies. Nous avons un contingent qui est prêt à être déployé en quelques jours pour assurer la sécurité aux éléments du M23″, a déclaré Lourenço à la presse. Avant d’ajouter, “nous avons mis en place un cessez-le-feu. À présent, nous devons cantonner ces forces du M23 et lancer le processus de désarmement et de réintégration de ces citoyens rdcongolais dans la société rdcongolaise”. Selon des experts, Rumangabo devrait servir de tamis pour distinguer des éléments M23 rwandais des RdCongolais.
Pour sa part, Mbusa Nyamwisi voudrait donner un coup d’accélérateur au Programme de Désarmement , Démobilisation, Rélevement Communautaire et Stabilisation (P-DDRCS). Le 15 avril 2023, le minÉtat en charge de l’Intégration régionale avait convié son coordonateur national, Tambwe Ushindi pour une convergence des vues.
Le MinÉtat, avait déclaré le coordonateur du P-DDRCS, jouit d’une expertise avérée sur les questions de l’Est
et qu’il va jouer un rôle important dans la résolution de conflits dans l’Est conformément à la vision du chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
La représentante de l’Union africaine (UA) en RDC, Michelle Ndiaye, a déjà fait part au minÉtat/Intégration régionale Mbusa Nyamwisi, de la disponibilité de l’UA d’aider la RDC pour la réussite du P-DDRCS.
Un consortium sud-africain, ACK Civils & Corporate Social Responsability, a récemment présenté à Mbusa Nyamwisi des projets de réinsertion au profit des démobilisés.
La RDC veut aussi s’inspirer du modèle botswanais dans le diamant pour non seulement en finir avec les minerais de sang, pactole des groupes armés mais aussi orienter l’exploitation artisanale des groupes armés vers une traçabilité susceptible d’assurer le succès de leur réinsertion sociale.
Le minÉtat en charge de l’Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi, a pour ce faire, accompagné le Président de la République, Félix Tshisekedi, dans sa visite de l’industrie diamantaire de la ville de Jwaneng, au Botswana. Il sied aussi de noter que cette initiative française d’orienter les futurs démobilisés vers les cultures pérennes dont le cacao. À propos, Mbusa Nyamwisi n’a qu’un leitmotiv : transformer toutes les énergies négatives, ces groupes armés qui champignonnent dans l’Est depuis 25 ans, en énergie de développement et de la stabilité.
Pold LEVI et
Laurette MANDALA
Cellcom/Intégration régionale