Le cinquième Concours de vidéos courtes de l’initiative « la Ceinture et la Route » est officiellement lancé

Le cinquième Concours de vidéos courtes de l’initiative « la Ceinture et la Route » a été officiellement lancé en 2023, à l’occasion du 10e anniversaire de la proposition de cette initiative. Sous le haut patronage Département de l’information du ministère chinois des Affaires étrangères et  du Bureau de la Commission centrale des affaires du cyberespace, l’événement est conjointement organisé par l’Association chinoise de diplomatie publique, le Centre d’information de la Commission d’administration et de supervision des actifs publics du Conseil d’État (SASAC) et Global Times Online. Kuaishou est utilisé comme plateforme exclusive de vote et StarTimes est le partenaire média de cette édition du concours.

Ayant pour thème « Écrivons un nouveau chapitre ensemble par l’interconnexion », le concours comprendra des compétitions régionales et la finale mondiale. Tous les constructeurs, les participants et les citoyens des pays et régions situés le long de l’initiative « la Ceinture et le Route » sont invités à montrer, sous forme de vidéos courtes, les résultats fructueux de la coopération entre la Chine et ces pays et régions, dans le but d’améliorer la compréhension de la communauté internationale vis-à-vis de cette initiative ainsi que de l’esprit de la Route de la soie, caractérisé par la paix, la coopération, l’ouverture, la tolérance, l’apprentissage et l’inspiration mutuels, les avantages réciproques et le gagnant-gagnant.

L’appel à candidatures en ligne du concours a été déjà lancé et s’adresse aux entreprises ou individus (équipes). La sélection du concours de cette année se déroulera en trois étapes : sélection préliminaire par le comité d’organisation, vote d’internautes et enfin évaluation par des experts. Après la première sélection du comité d’organisation, les vidéos répondant au thème et aux règles du concours seront soumises au vote d’internautes sur Kuaishou pour une durée spécifiée. Les 100 œuvres ayant obtenu le plus grand nombre de votes ainsi que les œuvres exceptionnelles recommandées par le comité d’organisation seront jugées par des experts, qui effectueront une sélection complète basée sur les effets visuels, la communication émotionnelle, l’expression d’opinions et le nombre de vues sur d’autres plateformes.

L’édition de cette année décernera « Prix de l’intégration des civilisations », « Prix des plus beaux constructeurs de ‘la Ceinture et la Route’ », « Prix de la voix de la génération Z », « Prix de la popularité (en Chine) », « Prix de la popularité (à l’étranger) », « Prix de la meilleure technologie », « Prix des meilleurs diffuseurs de la Route de la soie », « Prix d’excellence pour les œuvres », « Prix d’excellence pour les organisateurs », etc. Les vidéos exceptionnelles récompensées auront la possibilité d’être diffusées sur des plateformes de vidéo de Global Times Online, ainsi que sur des applications vidéo chinoises et internationales telles que Kuaishou, TikTok, Facebook et YouTube. La cérémonie de remise des prix aura lieu vers la fin du mois d’août prochain à Xiamen, dans la province du Fujian (sud-est de la Chine).

En tant qu’événement international organisé avec succès pour quatre fois, le Concours de vidéos courtes de l’initiative « la Ceinture et la Route » fait preuve d’une belle vitalité et d’une influence croissante dans le monde entier. Pendant les quatre éditions précédentes, le comité d’organisation a reçu près de 3000 vidéos venant de 89 pays et régions du monde, avec une diffusion totale de plus d’un milliard de vues, dont 100 millions de vues à l’étranger. À travers des histoires émouvantes et des réalisations remarquables, le concours a témoigné des efforts déployés conjointement par la Chine et les pays situés le long de l’initiative « la Ceinture et la Route » pour créer un avenir meilleur.




Tunisie : actes de haine et de discriminations à Sfax contre les Subsahariens

Dans la nuit de lundi à mardi, des affrontements violents entre migrants Subsahariens et populations locales se sont intensifiées à Sfax en Tunisie. Un Tunisien a été tué dans des heurts avec des migrants africains à Sfax dans le centre-est du pays, et ville portuaire et pôle économique majeur du pays. La seconde ville de Tunisie au Centre-est est où la tension et à son comble est également le point de départ d’un grand nombre de traversées illégales vers l’Italie. 

Dans la soirée de lundi, une maison louée à des Subsahariens a été incendiée au quartier Bahri à Sfax. Des accrochages dans le quartier “Al-Rabadh“ de la ville de Sfax, entre des migrants et habitants de la région, ont fait de nombreux blessés et des dommages matériels et un certain nombre de voitures ont été brûlées et détruites, des maisons incendiées.

Des individus masqués avec des barres de fer, jets de pierre, bref toute la panoplie d’une révolte urbaine manifeste ont caractérisé la nuit de lundi à mardi à Sfax et témoignent de la violence entre Tunisiens et Subsahariens. Il a fallu l’intervention de la police et les gaz lacrymogènes pour ramener un calme précaire.

L’homme, né en 1981, a été mortellement poignardé lors d’affrontements entre des habitants d’un quartier de Sfax et des migrants originaires d’Afrique subsaharienne, a indiqué le porte-parole du Parquet de Sfax, « Trois subsahariens soupçonnés d’implication dans ce meurtre et qui seraient de nationalité camerounaise, selon les informations préliminaires, ont été arrêtés », a-t-il ajouté.

Des affrontements à coups de jets de pierres avaient déjà opposé dimanche soir des Subsahariens à des habitants de Sfax, lors desquels des véhicules et des logements ont été endommagés. La police avait fait usage de gaz lacrymogène pour mettre fin aux heurts. Les habitants de Sfax protestent régulièrement contre la présence de subsahariensen situation irrégulière et réclament leur départ. Dans les quartiers populaires de la ville où habitent les migrants, des violences verbales et physiques éclatent souvent entre les deux parties.

Ces violences s’étaient multipliées après le discours pour le moins teinté de racisme, en février dernier du président Kais Saied qui avait pourfendu l’immigration clandestine et l’avait présenté comme une menace démographique pour son pays. Plusieurs ONG locales et internationales se sont alors soulevées pour dénoncer et condamner « le discours de haine et de discrimination et d’intimidation à l’encontre les migrants (d’Afrique subsaharienne). Le président tunisien avait attribué aux « migrants clandestins » un prétendu complot « pour changer la composition du paysage démographique en Tunisie ».

C’était un feu vert donné à la population pour s’adonner à des actes de violence, chasse aux migrants légaux ou illégaux subsahariens, dont nombre de ces derniers (21 000) furent expulsés manu-militari de leurs logements. Fin mai, un migrant béninois de 30 ans trouvait la mort, poignardé en cela lors d’une attaque menée par un groupe de jeunes Tunisiens dans un quartier populaire à Sfax justement.

Cela avait été l’étincelle qui avait accru le racisme dans la ville. Les Sfaxiens dans une énième manifestation devant le siège du gouvernorat réclamaient l’intervention des autorités pour mettre fin au phénomène migratoire et expulser les Subsahariens du pays. La situation avait dégénéré en chasse aux migrants de leurs domiciles, les assaillants profitant du laxisme des autorités tunisiennes usaient de force et de violence en toute impunité.

La plupart des migrants d’Afrique subsaharienne viennent en Tunisie pour tenter ensuite de rejoindre l’Europe par la mer, en débarquant clandestinement sur les côtes italiennes. Sfax est depuis longtemps connue comme un lieu de départ pour les embarcations de migrants tentant de traverser illégalement vers l’île italienne de Lampedusa, située à environ 150 kilomètres des côtes tunisiennes. En 2023, plus de 30 000 personnes ont déjà rejoint l’île italienne depuis les côtes de Sfax.

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MAOMBI-NON STOP*PROPHETIE* DU MERCREDI 05 JUILLET 2023 AVEC LE Past. François MUTOMBO VOICI L’HOMME




Volley-ball : Suite et fin du calendrier de la phase retour du championnat de l’Euvokin

M.Charles Mananga, secrétaire exécutif de l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa ‘’Euvokin’’ a publié la suite et fin du calendrier de la phase retour.

16è journée du championnat. Tous les matchs se jouent au terrain du commissariat général de la police.

A suivre Jeudi 06/07/2023

11h00 : Olympic vs Force Terrestre (M) :

12h00 : Inter vs Green Team (M):

13h00 : Espoir vs Bythiah (M) :

Samedi 08/07/2023

11h00 : La Loi vs Ouragan (D) :

12h00 : Free Boys vs Inter (M):

13h00 : Police  vs Madaka (M) :

Dimanche 09/07/2023

9h00 : Green Team  vs Olympic (M) :

10h00 : Force Terrestre vs Espoir (M):

11h00 : DCMP vs Canon (D) :

Lundi 10/07/2023

12h00 : Bythiah vs Olympic (M):

13h00 : Madaka vs Free Boys (M) :

Par ailleurs, le secrétariat de l’Euvokin informe tous les clubs que le début du play off est fixé le 13/07/2023.

Antoine Bolia




Judo et Cyclisme : Président Me Minimbu Bibola alias MB ou Domo sera enterré le mercredi 5 juillet au cimetière de Kimberley Park

Décédé à Kinshasa, le jeudi 22 juin 2023 de suite d’une crise, Me MB, Domo Mubarak, président de l’Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Est pendant plusieurs mandats, il était également ancien membre du comité de la Ligue Provinciale de cyclisme de Kinshasa, sera enterré ce mercredi 5 juillet 2023 au cimetière de Kimberley Park, route de Matadi.

Après la veillée mortuaire dans la salle polyvalente du Centre Culturel de Lemba, ex Alliance Franco-congolaise de Lemba hier, voici la suite :

Mercredi 05/07/2023

Levée du corps après recueillement à la morgue du cinquantenaire à partir de 9h45 qui sera suivi de l’enterrement au cimetière de Kimberley Park, route de Matadi vers Kasangulu, dans la province de Kongo Central.

A cet effet, la Ligue Provinciale de Cyclisme de Kinshasa ‘’Liprocykin’’ invite les cyclistes kinois qui seront disponibles ce mercredi 5 juillet 2023 de se retrouver ce matin à l’hôpital du cinquantenaire pour rendre un dernier hommage à l’illustre disparu.

Antoine Bolia




Badminton : La Febadco célèbre ce 5 juillet la journée mondiale de Badminton

Ce mercredi 5 juillet 2023, c’est la journée mondiale de Badminton.

Pour la petite histoire, c’est en cette date que la première fédération mondiale de Badminton a été créée. C’était la Fédération Internationale de Badminton en 1934, à Londres, en Angleterre.

Antoine Bolia 




Taekwondo : Les Léopards/ITF déjà 4è séance de préparation au stade des martyrs

Le mardi 4 juillet 2023, les Léopards de taekwondo ITF ont eu leur 4è séance d’entrainement au dojang national situé à l’entrée 9, stade des martyrs.

Pour revenir à la journée de mardi dernier, le coach national titulaire Me Coco Bosobi N’sangi qui était assisté des Me Irvin Patrick Mvemba Kuvela, le coach national adjoint et Billy Keteve, entraineur provincial de la ligue de taekwondo de Kinshasa, ont coordonné l’entrainement. Cette séance était beaucoup plus axé sur les travaux de sparing partner pour s’assurer du timing de chaque présélectionné en vue de l’orientation parfaite et à la hauteur de la compétition qui pointe à l’horizon, à savoir Championnat du monde qui sera organisé à Séoul, capitale de la Corée du Sud.

A la fin de l’entrainement, le staff technique a organisé la séance de la pesée afin de bien suivre et de bien règlementer l’oscillation des poids de chacun des Léopards.

Remerciements à Me Willy Makengo Ngunga, président de la Fédération de Taekwon-do du Congo ITF pour les  équipements mis à la disposition des Léopards/ITF. La 5è séance est fixée pour le Jeudi 6 juillet 2023 toujours au stade des martyrs à partir de 14h00.

En ce qui concerne l’horaire des entraînements des Léopards de taekwondo/I.T.F, ils s’entrainent le mardi et le jeudi. Le samedi de 6 h à 10 h. Lieu : Stade des martyrs voir l’entrée 9.

Antoine Bolia




Beach Volley : Belle entame des Léopards à Bangui pour la 1ère fenêtre des éliminatoires zone 4

Le mardi 4 juillet 2023, les Léopards dames et messieurs ont dans l’ensemble bien démarré les éliminatoires zone 4 de beach volley constituant la 1ère fenêtre des qualifications pour les Jeux Olympiques d’été Paris 2024. La compétition se joue à Bangui, capitale de la République Centrafricaine.

La cérémonie d’ouverture a été marquée par le mot de bienvenue prononcé par M. Badekaras Konghazi Bernardin, président de la fédération Centrafricaine de volley-ball qui a été suivi de celui du délégué du ministre centrafricain des sports et bien attendu les rencontres du jour.

Ci-après les résultats enregistrés mardi 4/07/2023 :

Dames

RCA 1 vs Cameroun 2 : 0-2 (05-21, 08-21)

RDC2 (Tetila et Mpeti) vs Tchad2 : 2-0 (21-05, 21-02)

Cameroun1 vs RDC1 (Nsimba et Tshama) : 0-2 (11-21, 17-21)

Messieurs

RCA1 vs Tchad2 : 2-0 (21-7, 21-9)

Cameroun1 vs RDC2 : 2-0 (21-17, 21-12)

Tchad1 vs RCA2 : 2-0 (22-20, 21-13)

Le dernier match qui devait opposer RDC1 (Shesha et Perpétu Salasala) vs Cameroun2 n’a pu se jouer à cause de l’insuffisance de lumière.

La 2è journée se joue ce mercredi 5/07/2023

Tout va commencer par le match non joué hier RDC1 (Shesha et Perpétu Salasala) vs Cameroun2.

Programme de la journée

Messieurs

10h00 : RCA1 vs RDC2 :

11h00 : Tchad1 vs Cameroun1 :

12h00 : RCA1 vs Cmr2 :

13h00 : RDC1 vs Tchad2 :

Dames

14h00 : RDC2 vs RCA1 :

15h00 : CMR2 vs RDC1 :

16h00 : RCA2 vs CMR1 :

Messieurs

17h00 : RCA1 vs RDC1 :

18h00 : CMR2 vs Tchad2 :

19h00 : RCA2 vs CMR1 :

20h00 : Tchad1 vs RDC2 :

Pour rappel, 4 nations sont présentes et participent à cette compétition. Il s’agit de : Cameroun, Tchad, RDC et RCA.

Antoine Bolia




Animant une Conférence-Débat : Prof Nicot Omeonga planche sur la participation de la population aux actions des Ong et révèle les stratégies

Dans le cadre des festivités de ses 7 ans d’existence, le dimanche 25 juin 2023 dernier dans la salle de fêtes Situ, située sur l’avenue Lukunga, en face de la blanchisserie Papa Sola voir Maison Mbungu et à 100 m de l’avenue Kasa-Vubu, dans la commune de Kintambo, l’Ong Terre de l’espoir a organisé une conférence-débat avec comme thème : ‘’La participation de la population aux actions des Ong. Quelles stratégies appliquées’’. Professeur des universités et Docteur en économie, Nicot Omeonga Onyembe était l’invité et a animé comme principal orateur cette conférence-débat organisé par le fondateur de l’Ong sus évoquée qui est son étudiant en master.

Ce qu’on peut retenir de cette conférence animée par le Prof Nicot Omeonga

Parlant de la stratégie, le Prof Nicot Omeonga dévoile que c’est un concept martial, un concept militaire. Son origine Grecque. Stratos qui veut dire armée. Et agein signifie conduire. La stratégie, c’est comment conduire une armée pour gagner une guerre. Et le Prof Nicot Omeonga d’ajouter que ce concept a eu de l’ampleur, c’est quand on a suivi la guerre qui a opposé les américains aux vietnamiens. Sur le plan puissance, si l’on compare les USA et le Vietnam, il n’y a pas photo. Mais curieusement, les américains ont mordu la poussière quand ils sont allés attaquer le Vietnam. C’est de là que vient ce mot stratégie. Non seulement qu’on mène une guerre, la stratégie devient un moyen comment mener une guerre et la gagner intelligemment, à temps record et avec des moyens limités. C’est ça la stratégie.

C’est un concept militaire, mais ce concept a été transposé au management et en gestion. Gentler a considéré qu’une ONG n’évolue pas dans un environnement monopoliste, c’est dans un environnement compétitif.

Participation de la population, une Ong a besoin de la participation de la population pour réaliser des actions en faveur de la population. Donc, une ONG qui n’intègre pas dans ses missions la population, c’est une Ong qui est appelée à mourir ou disparaître. Donc, la population doit être impliquée et être au cœur des actions de l’ONG. Toutes les actions que l’Ong La Terre de l’espoir doit devoir mener, elle doit les mener en faveur de la population. Parce qu’une Ong poursuit principalement un objectif non étatique. C’est la raison pour laquelle les ONG ne paient pas les impôts et taxes. C’est parce que elles ne poursuivent pas un intérêt et ne réalisent pas des bénéfices. Tout ce qu’elles peuvent amasser, elles le font en faveur de la population. Une Ong n’est pas gouvernementale. Elle doit assurer son autonomie financière et son autonomie politique. Parce que si elle est financée par le gouvernement ou son budget émarge de l’état, elle va perdre un peu de l’autonomie. C’est parce que elle va mener des actions   que le gouvernement aurait dû mener parce que parmi les missions régaliennes de l’état, c’est apporter le développement communautaire.

Poursuivant son éclairage, le Prof Nicot Omeonga évoque l’éducation. Dans notre constitution, l’éducation est un droit sacré. Tout congolais a droit à l’éducation. Cette mission incombe à l’état. Voilà que l’Ong Terre de l’espoir va mener une action pour amener de l’électricité aux plus démunis. Donc, il y a un peu de la concurrence entre l’Ong et le gouvernement. D’où viennent les moyens pour que l’Ong mène ces actions ?

A cette épineuse question, le Prof Nicot Omeonga réponds : ‘’Toutes les ong du monde commencent par les cotisations. Voyez l’importance de la participation de la population. Si l’Ong veut devenir une ong forte, elle doit avoir beaucoup des membres qui soient actifs. La participation ici de la population, ce n’est pas seulement en venant ou assister à des conférences quand l’ong mène des actions. La participation c’est d’abord en amont. Chacun de nous doit pouvoir apporter sa petite contribution. La contribution peut-être petite, mais si on est nombreux, c’est à ce niveau-là que la participation de la population est nécessaire. Et quand on est nombreux, on va mobiliser des moyens qui vont permettre de mener des actions qui vont impacter. Par exemple vous aller apporter de l’électricité alors que la population attend de l’eau. La bonne stratégie, c’est rencontrer les attentes de la population. Mais ici, on ne fait pas de la divination, on ne fait pas de la prophétie. C’est une action factuelle. Il faut descendre sur terrain et palper du doigt quelles sont les besoins réels de la population. Par rapport à votre budget, vous menez des actions. Ces actions-là vont impacter. C’est quand les actions impactent la population, celle-ci participe. Si vous menez seulement des actions à impact visible sans qu’il y ait un impact réel dans le vœu de la population, ces actions-là ne pourront pas pousser la population à venir et participer’’.

Au moment où nous accouchons ces lignes, le Prof Nicot Omeonga nous fait parvenir un triste message nécrologique. Son épouse Gisèle Kisimba Omeonga est éprouvée. Elle a perdu son père biologique depuis le lundi 3 juillet 2023 à Lubumbashi. La rédaction saisit ce moment douloureux pour présenter ses condoléances au Prof et à son épouse.

Antoine Bolia 




L’organisations de prochaines élections et les rencontres avec les leaders de l’opposition au centre de l’échange entre Denis Kadima et Bernard Quintin

Le Président de la Commission Électorale Nationale et Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi, s’est entretenu, mardi 4 juillet 2023, avec Bernard Quintin, Directeur général du service européen pour l’action extérieure de l’Union européenne (UE).

Ensemble, ils ont évoqué des questions en lien direct avec le processus électoral dont le point d’orgue est l’organisation des scrutins du 20 décembre 2023 et bien d’autres plus tard.

 

L’hôte du Président Kadima a loué la démarche initiée d’organiser les différentes rencontres avec les ténors de l’opposition par souci d’inclusivité.

 

« Les élections, c’est dans moins de 6 mois, et le temps avance. Nous avons évoqué avec le Président Denis Kadima des questions de calendrier électoral, des listes des électeurs, des bureaux qui sont ouverts pour recevoir des candidatures pour l’élection des députés au niveau national, mais aussi des questions de l’observation de différents scrutins et de leur liaison. Des questions récurrentes certes, mais qui se posent avec une acuité différente au fur et à mesure que le temps avance. Ce sont des éléments dont nous avons parlé brièvement”.

Et de rajouter : “Le Président de la CENI, et c’est un aspect très important, nous a rassurés sur la tenue du calendrier électoral et aussi le souci d’inclusivité par le fait qu’il reçoit, à son invitation, des leaders de l’opposition pour discuter des questions de contentieux qui pourraient subsister. Je souhaite vivement que cela soit de bon augure que les élections qui auront lieu et seront dans le délai pour surtout qu’elles soient libres, transparentes et inclusives, comme le veut la formule consacrée. Tout en se rappelant qu’on parle bien d’un processus électoral et que le jour du scrutin, c’est un moment qui, ma foi, dure tout le temps ».