Le PSG écarte Mbappé pour sa tournée en Asie

C’est un énorme coup de tonnerre dans le ciel parisien ! Le PSG a décidé de se passer de Kylian Mbappé pour sa tournée en Asie. Le divorce semble inévitable.

Kylian Mbappé au PSG, cela semble bel et bien fini… Buteur ce vendredi face au Havre en match de préparation, l’attaquant tricolore ne figure pas dans le groupe parisien appelé à s’envoler ce samedi pour le Japon. Or, le message relayé ces jours-ci par le club de la capitale est on ne peut plus clair: « Tous ceux qui ne voyagent pas au Japon ne font pas partie des plans du club », rappelle ce vendredi soir L’Equipe.

Au total, Luis Enrique a retenu pas moins de 29 joueurs pour ce stage asiatique qui verra les Parisiens affronter successivement Al-Nassr (le 25 juillet), le Cerezo Osaka (le 28 juillet), l’Inter Milan (le 1er août) et enfin le Jeonbuk Motors (le 3 août). Un Mbappé certes est de la partie, Ethan… mais pas Kylian. « Si quelqu’un ne veut pas être ici pour défendre nos couleurs, la porte est ouverte, a martelé mardi le président Nasser Al-Khelaïfi en s’adressant à l’ensemble du collectif rouge et bleu. Vous devez être fidèles à ce club. Je compte sur vous, je vais vous soutenir comme ma propre famille, mais il faudra en faire de même et être loyal. »

Le PSG en fait bien une affaire de loyauté, et de principe. Aussi restera-t-il ferme dans sa posture, décidé à laisser à sa star jusqu’au 31 juillet pour faire le choix ultime: prolonger son bail – ce que l’intéressé exclut totalement à ce jour – ou partir cet été. Convaincu que Kylian Mbappé a d’ores et déjà un accord avec le Real Madrid pour s’envoler libre dans un an, Paris refuse d’être le dindon de la farce. Passée la date du 31 juillet, s’il n’a pas daigné rempiler, le capitaine des Bleus verra son nom automatiquement couché sur la liste des transferts. Plusieurs clubs – mais pas le Real – auraient déjà fait part de leur intérêt.

Football.fr




Le TPM à Kamina et Kalemie pour des matchs de fixation

Dans un peu plus d’un mois, les joueurs du TPM débuteront le championnat de L1 et la Ligue des Champions de la CAF. Découvrez la première étape consacrée aux matchs de fixation des Corbeaux.

L’équipe démarre une mini-tournée à travers deux villes de l’ex-province du Katanga : Kamina et Kalemie. Après ces deux déplacements, une troisième étape de préparation sera communiquée à l’intention de tous les supporters.

Le programme

– Samedi 22 juillet à 10h : Sélection Kamina – TP Mazembe, au Stade Joseph Kabila de Kamina

– Du lundi 24 au vendredi 28 juillet : Séances au CEF de Futuka

– Samedi 29 juillet à 10h : Sélection Kalemie – TP Mazembe, au Stade Joseph Kabila de Kalemie




Coach Mfutila n’est plus

L’ancien coach des Corbeaux (vainqueur de la Ligue des Champions en 2009) et récemment membre du staff technique jusqu’au mois de mai de cette année, Magloire Mfutila Kisabu Andia nous a quitté ce vendredi 21 juillet aux premières heures du matin. Il était admis aux Cliniques Universitaires de Kinshasa depuis le dimanche dernier.

Paix à son âme et nos condoléances les plus attristées à sa famille et ses proches. Vas en paix “Coach Andi”, tu auras marqué ton temps avec les Corbeaux.




Les inspecteurs attendus à Lubumbashi en août, le tirage en septembre

La CAF a confirmé la participation du TPM à cette compétition expérimentale qui aura lieu prochainement. Les inspecteurs sont attendus à Lubumbashi du 4 au 7 août 2023.

“Suite à notre inspection et aux dernières correspondances, nous vous écrivons pour vous informer que le tirage au sort et l’atelier des équipes prévus en juillet 2023 seront reportés à septembre 2023 et nous partagerons au plus tôt des informations sur le lieu, le mécanisme du tirage au sort et l’atelier des équipes”, a indiqué l’African Football League au TPM dans une correspondance à la direction du club.

Avant le lancement de cette compétition, une deuxième inspection de la CAF à Lubumbashi est prévue à Lubumbashi du 4 au 7 août. Il sera question d’étudier les opérations organisationnelles du match qui incluent la sécurité, le médical et la gestion des invités.

Du côté du stade, des travaux sont en cours pour l’élargissement de la salle de presse et le changement des sièges avec dossiers dans les tribunes latérales. Pour la tribune de presse, la délocalisation a été faite selon les recommandations de la première inspection. La direction sous la conduite du Chairman Moïse Katumbi travaille sans relâche pour que l’équipe soit prête techniquement et logistiquement.




Députation nationale : Le dépôt des dossiers des candidatures prend fin le dimanche 23 juillet 2023 

Dans un communiqué signé par Mme Patricia Seya Mulela, Rapporteur, la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) rappelle aux candidats indépendants et aux partis et regroupements politiques que conformément au Communiqué de Presse N° 033/CENI/2023 du 15 juillet 2023, le dépôt des dossiers des candidatures pour l’élection des députés nationaux prend fin ce dimanche 23 juillet 2023 à 16h30, heures locales, dans tous les 168 Bureaux de Réception et de Traitement des Candidatures (BRTC) à travers le territoire national.

La CENI invite les candidats indépendants, les partis et regroupements politiques retardataires à déposer leurs dossiers de candidature dans le strict respect du timing leur imparti.

Pour rappel, la suite du chronogramme opérationnel relatif au dépôt et traitement des candidatures à la députation nationale se présente comme suit:

• Du 24 au 28 juillet 2023: Ajout, retrait ou substitution des dossiers des candidats députés nationaux;

*Le 09 août 2023: Publication des listes provisoires des candidats députés nationaux ;

*Du 10 au 26 août 2023: Dépôt et traitement des recours en contestation des listes des candidatures à la députation nationale:

*Le 10 septembre 2023: Publication par la CENI des listes définitives des candidats députés nationaux.




En présence du ministre Augustin Kibassa : Présentation du FDSU aux opérateurs des télécoms

Augustin Kibassa Maliba, ministre des PTNTIC (Postes, Télécommunications et Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication) a présidé dans son cabinet de travail, la réunion de présentation du Fonds de Développement des Services Universels (FDSU) aux opérateurs des télécommunications exerçant en République Démocratique du Congo.

Cette réunion était organisée dans le but d’unifier les intelligences des experts du secteur pour l’opérationnalisation de l’intention du gouvernement, celle de créer un réseau de télécommunications le plus large possible en RDC.

Le président de l’ARPTC (Autorité de Régulation de la Poste et des télécommunications du Congo) qui a également pris part à ces travaux, affirme que ce fonds constitué par les opérateurs des télécoms depuis des années porte 3% de leurs chiffres d’affaires et sera destiné au développement des télécommunications dans les zones les moins rentables.

“L’objectif est que nous atteignons rapidement le meilleur réseau de communication que tout congolais où qu’il se trouve accède à internet”, a déclaré Christian Katende.

De son côté, Khalil Al Americani, Directeur général de Vodacom Congo était heureux de voir que cette structure “va permettre de développer la connectivité et l’inclusion financière dans les zones périurbaines et rurales.

“On a eu de très bons échanges avec le reste de l’industrie des télécommunications et le Coordonnateur de FDSU, le président de l’ARPTC et le ministre Augustin Kibassa Maliba sur les propositions qui doivent être faites à court, moyen et long terme afin de pouvoir implémenter le fonds de service universel et atteindre des dizaines des millions d’abonnés congolais qui ne sont toujours pas couverts par la connectivité et l’inclusion financière”, a-t-il ajouté.

Vodacom Congo “est prêt à accompagner le fonds de développement du service universel qui veut offrir à la population congolaise l’opportunité de se connecter, d’avoir accès à l’internet et de faire des transactions financières”.

Nommé à la tête du FDSU pour sa matérialisation, Paterne Binene a Kadiat a indiqué que cette réunion permet de préparer toutes les procédures et les plans d’aménagement des services universels.

“Tout devrait se faire en collaboration avec les parties prenantes. Le Ministre Kibassa Maliba a invité tous ces acteurs dans le but de créer un cadre de concertation pour qu’ensemble nous puissions contribuer à l’implémentation de ce fonds, analyser les difficultés rencontrées par les opérateurs qui ont déjà proposé ce fonds dans d’autres pays et enfin proposer les facteurs clés du succès obtenu en vue de le copier et surtout de l’adapter au modèle congolais”, a-t-il renchéri.

Par ailleurs, il appelle au respect de ces 3 principes à savoir l’universalité, l’égalité et la continuité de service.

Le numéro 1 du FDSU a souligné aussi que le gouvernement est dans l’obligation de connecter toutes les personnes qui “vivent dans les zones blanches, dans lesquelles les opérateurs n’arrivent pas, en leur donnant accès aux services universels qui sont l’Internet, la téléphonie et la messagerie”.

“Ce sont là les services que nous avons jugés essentiels pour permettre à chaque congolais peu importe sa position géographique de se connecter à l’internet au même prix, même coût que ceux qui sont dans les villes de Kinshasa et Lubumbashi”, a-t-il conclu.

Le FDSU est un établissement public créé par le décret 22/51 ayant pour objectif de promouvoir les télécommunications dans les zones rurales et Périurbaines.




Tirer meilleur parti des ressources naturelles pendant la transition énergétique

La croissance en Afrique subsaharienne devrait ralentir, passant de 3,6 % en 2022 à 3,1 % en 2023 − tirée vers le bas par l’incertitude de l’économie mondiale, la sous-performance des plus grandes économies du continent, une inflation élevée et une forte décélération de la croissance de l’investissement.

Africa’s Pulse est une publication semestrielle du bureau de l’économiste en chef de la Banque mondiale pour l’Afrique. Chaque édition analyse les perspectives économiques à court terme pour le continent, les défis de développement et aborde un thème de développement spécifique.

L’édition d’avril 2023 de l’Africa’s Pulse constate que la croissance en Afrique subsaharienne reste faible, tirée vers le bas par l’incertitude de l’économie mondiale, la sous-performance des plus grandes économies du continent, une inflation élevée et une forte décélération de la croissance de l’investissement – et demeure insuffisante pour réduire l’extrême pauvreté. La croissance économique en Afrique subsaharienne devrait ralentir, passant de 3,6 % en 2022 à 3,1 % en 2023. Bien que l’inflation semble avoir atteint son maximum l’année dernière, elle devrait rester élevée, à 7,5 % en 2023.

Face à l’assombrissement des perspectives de croissance et à l’augmentation des niveaux d’endettement, les gouvernements africains doivent se concentrer davantage sur la stabilité macroéconomique, la mobilisation des recettes intérieures, la réduction de la dette et l’accroissement des investissements productifs. À l’heure de la transition énergétique et de l’augmentation de la demande de métaux et de minéraux, les gouvernements riches en ressources ont la possibilité de mieux tirer parti des ressources naturelles pour financer leurs programmes publics, diversifier leur économie et élargir l’accès à l’énergie.

Ce qu’il faut retenir :

Les gouvernements sont confrontés à une augmentation des paiements de la dette et à des problèmes de liquidités, liés à des emprunts coûteux et à l’appréciation du dollar américain. Les risques de surendettement restent élevés, 22 pays de la région présentant un risque élevé de surendettement extérieur ou étant en situation de surendettement en décembre 2022. Les conditions financières mondiales défavorables ont augmenté les coûts d’emprunt et les coûts du service de la dette en Afrique, détournant l’argent des investissements de développement indispensables, et menaçant la stabilité macro-budgétaire.

Les richesses en ressources naturelles de l’Afrique recèlent un grand potentiel économique inexploité. Les pays riches en ressources peuvent tirer parti de la forte demande en minéraux et métaux liée à la transition énergétique (tels que le cobalt, le cuivre et le lithium) pour accroître leurs ressources fiscales, créer de nouvelles chaînes de valeur régionales génératrices d’emplois et accélérer l’accès à l’énergie sur le continent. Toutefois, pour transformer la “malédiction des ressources” en opportunité, les pays devront adopter une meilleure gouvernance, une fiscalité appropriée pour capter une plus grande part de la rente des ressources, ainsi qu’une coopération et des investissements régionaux accrus.

La maîtrise de l’inflation et une politique budgétaire ancrée dans la viabilité de la dette restent essentielles pour assurer la stabilité macroéconomique. Les gouvernements africains ont le pouvoir d’entreprendre des réformes internes pour rétablir la stabilité macroéconomique et mieux hiérarchiser les dépenses afin de jeter les bases de la croissance et de l’emploi futurs.

Les performances économiques de l’Afrique subsaharienne ne sont pas uniformes d’une sous-région à l’autre. La croissance du produit intérieur brut (PIB) réel de la sous-région Afrique de l’Ouest et centrale (AFW) est estimée à 3,4 % en 2023, contre 3,7 % en 2022, tandis que celle de la sous-région Afrique de l’Est et australe (AFE) est estimée à 3,0 % en 2023, contre 3,5 % en 2022.

La croissance des investissements a fortement diminué dans tous les domaines. La forte décélération de la croissance des investissements a été généralisée dans toutes les sous-régions, dans les pays, qu’ils soient riches ou pauvres en ressources, et parmi tous les types d’investisseurs, qu’ils soient publics, privés ou étrangers. Le ralentissement de la croissance des investissements en Afrique subsaharienne freine la croissance à long terme de la production et du revenu par habitant.




Coopération entre la Rdc et la Tanzanie: Marc Ekila et Mwigulu Lameck déterminés à renforcer le partenariat dans les secteurs des transports ferroviaire, aérienne et portuaire   

La Rdc et la Tanzanie sont disposées à renforcer le partenariat dans le secteur des transports.

Le sujet a fait objet d’un échange ce jeudi 20 juillet 2023 avec le ministre des Transports, voies de communication et désenclavement avec le ministre Tanzanien des finances, Dr. Mwigulu Lameck, sur sa demande; ce dernier est en mission de travail en RDC.

Il participe à la réunion du comité des Ministres des Finances et de l’investissement de la SADC tenue à Kinshasa.

Les deux hommes d’Etats ont fructueusement échangé sur la nécessité exprimée par la délégation Tanzanienne de renforcer le partenariat dans les secteurs des Transports ferroviaire, aérienne et portuaire.

Me Marc Ekila a salué la convergence des intérêts réciproquement bénéfiques pour les deux pays. Ce, avant de prendre bonne note de l’invitation lui adressée par son collègue Tanzanien des Finances à se rendre à Dar-es-Salaam. Occasion d’examiner la mise en valeur du port sec de la RDC situé dans cette ville Tanzanienne.




« Autant on a préparé l’accueil, autant on a préparé la sécurité… » (Muyaya) 

Intervenant toujours sur l’aspect sécuritaire afin de rassurer les Congolais et les étrangers, Patrick Muyaya, ministre de la Communication et médias explique qu’en clair, autant on a préparé l’accueil, autant on a préparé la restauration, autant on a préparé l’hébergement, autant on a préparé la santé, autant on a préparé la sécurité.

« Peut-être faudrait-il alors qu’on invite le Vice-premier ministre, ministre de l’Intérieur pour que l’on parle des dispositions qui sont prises, dans le volet de la sécurisation de la ville et le volet sécurité dans les sites. Les sites dans lesquelles les compétitions doivent se dérouler, on devra vous accréditer. Il y aura une répartition des tâches faites dans cet ordre-là. Il y a aussi des mesures qui sont prises », précise-t-il.

Vous connaissez plus ou moins le contexte, rappelle-t-il, parce que la Garde Républicaine viendra en appui pour s’assurer que les dispositifs pris par la Police suivant le règlement convenu avec un prestataire privé pour la sécurité des athlètes, pour être sûr qu’à toutes les étapes, les précautions ont été prises pour qu’il n’y a pas d’incidents. En plus des ambulances, des dispensaires, il y a des hôpitaux qui ont été préparés spécialement pour gérer les cas de maladies et autres crises.




« On a pris beaucoup de dispositions pour nous assurer que la sécurité se fera dans les meilleures conditions » (Isidore Kwandja)

Au cours de cet échange avec les journalistes, à quelques jours du grand rendez-vous, le Directeur du Comité national de l’organisation des IXèmes Jeux de la francophonie (CNJF), Isidore Kwandja Ngembo donné des explications claires sur le volet sécuritaire. « Pour la sécurité, vous savez que le stade des Martyrs est dans la commune de Kinshasa, le stade Tata Raphaël dans la commune de Kalamu, le Palais du peuple qui est dans la commune de Lingwala, le Centre Wallonie, dans la commune de la Gombe. La sécurité aussi bien dans les airs des jeux, dans les villages et dans les hôtels où seront logés les officiels a été prise en compte », dit-il, avant de révéler que nous avons plusieurs catégories des mesures prises.

A l’intérieur du village et dans les airs des jeux, informe-t-il, il y a un prestataire privé qui va assurer la sécurité avec les caméras, les portiques pour faire en sorte que les gens ne puissent pas entrer en désordre. A l’extérieur, il y a les policiers en uniformes, mais aussi d’autres services qui seront en civils pour assurer la sécurité.

« On a pris beaucoup de dispositions pour nous assurer que la sécurité se fera dans les meilleures conditions. D’abord, le site universitaire est clôturé. On a placé des caméras un peu partout. Il y a quelqu’un qui sera devant son ordinaire pour visionner toutes les caméras pour nous rassurer que quelqu’un ne puisse pas s’infiltrer. A l’extérieur, il y a les jeeps de la Police qui seront en train de patrouiller et prendre des dispositions pour empêcher que des personnes ne s’infiltrent dans les villages des jeux », rassure-t-il.

A en croire M. Isidore Kwandja Ngembo, il y a des déplacements lors des jeux, les bus seront escortés par les jeeps de la Police. « Tout cela sont des mesures prises pour assurer les conditions sécuritaires aux athlètes, mais aussi aux membres des délégations qui seront dans les différents hôtels. Il y a également la Garde Républicaine qui va donner un coup de main pour se rassurer que tout se passe dans l’ordre et la sécurité », pense-t-il.

Soulignons que la sécurité qui est mis en place, c’est notamment pour sécuriser la ville de Kinshasa pendant les jeux, même après les jeux et plus particulièrement autour des villages et autours des airs des jeux, parce qu’on sait que lors des tels événements, il y a toujours des gens qui peuvent venir faire des histoires pour parler d’eux.