En visite dans les BRTC de Kinshasa : Le Rapporteur de la CENI confirme la clôture de l’opération de dépôt des candidatures à la députation nationale

Clôture des BRTC, le Rapporteur de la Commission Électorale Nationale Indépendante, Patricia Nseya est en visite ce dimanche 23 juillet, des quatre Bureaux de réception et traitement des candidatures (BRTC) de Kinshasa. Un engouement vertigineux est observé au BRTC de Lukunga situé dans l’Antenne  de Gombe, à la Maison communale de Lingwala. ” A 17h, nous arrêtons cette opération de dépôt des candidatures à la députation nationale. Il n’y aura même pas 1 jour pour une deuxième prolongation”, insiste d’un ton sévère, le Rapporteur de la CENI.

Après Lukunga, le Rapporteur est arrivée au BRTC de FUNA, installé à l’Antenne de Kalamu, Commune portant le même nom. Pas de repos pour les Agents de la CENI commis à cette opération qui doivent recevoir les derniers mandataires qui apportent les dossiers de leurs partis et regroupements politiques, et même les candidats indépendants.




Candidat à la magistrature suprême : Le Gouverneur honoraire Tony Cassius Bolamba présente son programme du changement : gouvernons ensemble Sese

M.Tony Cassius Bolamba, Gouverneur honoraire de la province de l’Equateur et candidat Président de la République, à l’élection présidentielle de décembre 2023. A l’en croire, sa candidature est pour un seul but : pour que le Congo revive, pour que le Congo redevienne le Congo, pour que le Congo retrouve sa place dans le monde. Pour cela, il présente un programme de gouvernance nommé : SESSE, un programme du changement, qui aura 5 axes : la Santé, l’Education, la Sécurité, le Social et l’Emploi. Voilà pourquoi sa démarche n’a rien d’une ambition personnelle, et sa candidature n’est pas contre celle de qui que ce soit ni contre celle du Président de la République sortant, notre concitoyen Félix Tshisekedi. « En homme éclairé, libre et des bonnes mœurs, je suis candidat pour apaiser les colères des Congolais, incarner leurs espoirs, tracer la route pour un meilleur avenir de notre pays et de notre peuple afin de réparer leurs blessures. Mes Frères et Sœurs qui partagent nos valeurs, aidez-moi ! », explique-t-il.

Mes chers Concitoyens, Congolaises et Congolais,

Vu la situation déliquescente de notre pays, ce 18 Juillet 2023, à travers vous, toutes les Congolaises et tous les Congolais dans le monde, j’informe tous les partenaires historiques du Congo que je solliciterais votre suffrage pour la magistrature suprême de notre pays aux prochaines élections afin de réconcilier le Congo avec lui-même.

Notre Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo à qui je rends un vibrant hommage, a fait ce qu’il pouvait pour la République, mais comme nous le savons tous, l’œuvre humaine n’est jamais parfaite! Allons-nous tous condamner le Président de la République seul? En homme d’Etat libre et responsable, je dis Non! Car l”Union Sacrée a eu des partenaires dans sa coalition, ceux qui refuseront d’assumer leur part de responsabilités dans la situation déliquescente actuelle de notre pays ne sont pas dignes d’être appelés des hommes d’Etat, et ne sont pas dignes de la confiance des Congolaises et Congolais patriotes et sensés!

En Homme d’Etat responsable, libre et éclairé, j’assume tout ce qui nous arrive aujourd’hui!

L’insécurité grandissante au quotidien crée de doute dans nos esprits ! Notre pays la République Démocratique du Congo cesse d’être un État! Il l’est par les faits, mais pas par la forme!

Il ne m’appartient pas en tant qu’homme d’Etat, de me limiter à critiquer les maux, j’ai le seul devoir,  la mission de les guérir.

Ma démarche n’a rien d’une ambition personnelle, et ma candidature n’est pas contre celle de qui que ce soit ni contre celle du Président de la République sortant, notre concitoyen Félix Tshisekedi.

Ma candidature est pour un seul but : pour que le Congo revive, pour que le Congo redevienne le Congo, pour que le Congo retrouve sa place dans le monde.

Oui, je suis candidat à la Présidence de la République, pour guérir les maux, afin que le Congo soit juste, pour que le Congo revive!

Mes chers Concitoyens, Congolaises et Congolais,

Permettez-moi de rappeler ici qu’avant l’égalité, il y a d’abord l’équité. Une société injuste ne peut espérer au développement. On ne se développe que dans l’équité, la liberté, la justice et la paix.

Je suis candidat pour rétablir l’équité, l’unité, la justice et la paix, sans quoi l’on ne peut parler du développement.

Je compte sur votre élan patriotique, citoyen et républicain pour soutenir notre démarche, soutenir notre Association de fait l’Alliance des Mobutistes pour le Peuple et la République, AMPR en sigle et notre Association le Mouvement pour le Congo, MOCO en sigle, ainsi que toute Association, tout Parti politique ou tout autre Regroupement avec qui nous allons nous allier ou qui va s’allier avec nous dans un futur très proche afin que nous puissions accompagner et matérialiser notre programme de gouvernance nommé : SESSE, Le programme du changement, qui aura 5 axes :

  1. La Santé, 2. L’Education, 3. La Sécurité, 4. Le Social, 5. L’Emploi.

Je suis conscient que nous aimons tous notre pays et je sais que certains aiment le Congo mais pour asservir, diviser, piller et appauvrir le peuple Congolais, comme je sais que d’autres aiment le Congo pour unir et servir le Congolais, pour rendre aux Congolais ce qui leur appartient et enrichir le peuple Congolais. J’appartiens à cette seconde catégorie!

Toute citoyenne Congolaise et tout citoyen Congolais de bonne foi savent que je suis très attaché à notre pays, la République Démocratique du Congo, l’ex-Zaïre, ainsi qu’à ses valeurs d’hospitalité, de l’unité et au cosmopolitisme de notre peuple qui malheureusement se dégrade au quotidien suite à certains comportements et déclarations non condamnés par les décideurs de la République sensés conserver l’essence de la nation congolaise!

Mes chers Concitoyens, Congolaises et Congolais,

Je sais que notre pays la République Démocratique du Congo reste un pays ouvert dans le monde, et je suis conscient que des débats insensés et non républicains et non citoyens comme celui de projet de Loi dit des pères et des mères, du projet de Loi dit Loi Milou, marquent une fissure dans notre vivre ensemble !

Nonobstant la situation déliquescente dans laquelle se trouve la République Démocratique du Congo, l’ex-Zaïre reste et restera toujours une grande nation ! Notre pavé mosaïque de cohabitation dans notre grande diversité ethnique, sociale ou culturelle fait du peuple Congolais un grand peuple et aucun discours tribal, xénophobe ou sécessionniste ne coupera la corde de solidarité et de l’unité qui lie notre République à son peuple et notre peuple à la nation Congolaise!

Souvenons-nous tous de ces paroles du bâtisseur, du rassembleur et de l’unificateur de notre nation, le Maréchal Mobutu Sese Seko d’heureuses mémoires : «Zaïrois partout azali na mboka naye, Mokongo azali te, Mongala azali te, Moluba azali te, Moswahili azali te, nous sommes tous des Zaïrois! »

Mes chers Concitoyens, Congolaises et Congolais,

Nous sommes tous des Congolais, je sais que nous aimons tous notre pays la République Démocratique du Congo, la situation déliquescente et délétère multisectorielle que notre pays traverse actuellement pas une fatalité ! Nous devons avoir confiance et foi en notre pays pour demeurer dans l’unité que nous a légué le Maréchal Mobutu dans la République !

Aujourd’hui ce Congo, l’ex-Zaïre qui est gravé dans nos cœurs a besoin de nous tous ! Et moi votre Concitoyen, candidat à la Présidence de la République de notre pays, j’ai besoin de vous, enfin qu’ensemble nous puissions rendre le Congo juste et uni pour reconstruire un Congo fort et rendre les Congolais libres pour leur épanouissement et le développement de notre pays.

Plusieurs candidats se sont déclarés et veulent prendre le pouvoir, mais en toute humilité et sincérité, tout Congolais de bonne foi le reconnaîtra que quand je fus Gouverneur de la Province de l’Equateur, j’avais servi notre République dans la Province dans l’unité, avec abnégation et sans état d’âme !

Mes chers Concitoyens, Congolaises et Congolais,

C’est est la cause du républicanisme de résister aux concentrations de pouvoir, privées ou publiques, qui imposent un tel conformisme et infligent un tel despotisme. C’est la cause du républicanisme de s’assurer que le pouvoir reste entre les mains du peuple.

Aujourd’hui, je me prononce pour briguer la magistrature suprême car je veux redonner le pouvoir aux citoyens, je vais rendre le pouvoir au peuple Congolais, d’origine, de père ou de mère, d’adoption ou de cœur, afin que l’unité, la paix, la solidarité, la justice sociale et le vivre ensemble règnent, pour que le Congo soit éclairé, fort et puisse derechef rayonné en Afrique et à travers le monde !

Oui je veux réunir le peuple Congolais aujourd’hui divisé par des discours xénophobes et sécessionnistes, par des débats qui  stigmatisent d’autres citoyens Congolais.

Je veux réconcilier le peuple Congolais lui-même, afin que le Congo se réconcilie avec lui-même, avec l’Afrique et avec tous ses partenaires historiques à travers le monde !

En homme éclairé, libre et des bonnes mœurs, je suis candidat pour apaiser les colères des Congolais, incarner leurs espoirs, tracer la route pour un meilleur avenir de notre pays et de notre peuple afin de réparer leurs blessures. Mes Frères et Sœurs qui partagent nos valeurs, aidez-moi !

Peuple Congolais, je compte sur votre soutien et votre clairvoyance dans le choix que vous apporterez sur ma modeste personne!

Plus juste, le Congo sera plus fort !

Mbandaka, le 22 Juillet 2023

Votre candidat Président de la République, M. Tony Cassius Bolamba Gouverneur honoraire




Dakhla : Condamnation de l’enrôlement systématique d’enfants soldats à Tindouf

Le Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats à Dakhla a condamné vigoureusement les violations et l’enrôlement militaire systématique d’enfants dans les camps de Tindouf en Algérie.

Dans un communiqué publié, vendredi, le Centre dit rester « profondément préoccupé par la poursuite du recrutement systématique » d’enfants-soldats dans les camps de Tindouf en Algérie après avoir assisté à un défilé de centaines d’enfants (garçons et filles) en uniformes militaires.

« Nous avons directement fait part de nos profondes préoccupations à la communauté internationale et tenons l’Algérie pour responsable juridique et morale de cette violation flagrante et de ce mépris du droit international humanitaire sur son sol », ajoute la même source.

Le Centre rappelle également dans son communiqué que l’Algérie est partie à la Convention relative aux droits de l’enfant et a l’obligation de respecter, de protéger et de réaliser les droits des enfants à la vie, à la vie privée, à la liberté de pensée et de réunion pacifique.

“Notre Centre exhorte tous les militants des droits de l’Homme, les chercheurs et les journalistes à faire preuve de conscience professionnelle et d’intégrité intellectuelle afin qu’aucune pression ne soit exercée sur les parents par la milice du polisario”, conclut-il.

Créé en 2022 à Dakhla, le Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats a pour objectif de contribuer à la lutte contre le recrutement des enfants-soldats, à travers notamment la sensibilisation sur leur sort, les processus de leur embrigadement, ainsi que sur les causes sous-jacentes qui alimentent la persistance de ce fléau.

Avec MAP




Ayant touché aux millions interdits: Le gouverneur Kabeya Matshi dans le viseur de l’IGF

Selon Africanews qui sonne l’alarme, les égarements et l’incivisme du gouverneur de la province du Kasaï-Oriental, Kabeya ont commencé à agacer les structures locales de son propre parti, l’UDPS, et à lui valoir la réprobation des députés provinciaux du Kasaï-Oriental. «Si l’idée était d’aider la province à rattraper son retard, le comportement du gouverneur Kabeya est contreproductif. Il a touché aux millions qu’il ne fallait jamais détourner. Dommage. L’ennemi du Kasaïen c’est le Kasaïen lui-même», a tapé un élu provincial, très remonté.

Les agissements suspects du gouverneur du Kasaï-Oriental, Patrick Kabeya Matshi Abidi, sont depuis quelques semaines dans le viseur de l’Inspection générale des finances -IGF. Depuis cinq mois, la province reçoit un virement mensuel régulier chiffré chacun à 1,5 million de dollars, logés dans un compte à part dont le gouverneur détenait seul le secret jusque-là et dont l’utilisation reste opaque, révèle une enquête documentée.

A en croire des sources, le gouverneur Patrick Kabeya a dans un premier temps caché l’existence de ce compte aux Inspecteurs des finances en mission dans la province. Ce compte a été finalement découvert grâce à la vigilance de l’Inspecteur général chef de service de l’IGF, Jules Alingete, qui a décidé de redéployer une nouvelle mission annoncée à Mbuji-Mayi ce dimanche mais à laquelle s’oppose bizarrement le gouverneur.

Confondu par le Premier président de la Cour des comptes

«Le gouverneur Kabeya avait initialement instruit ses différents services de ne jamais présenter ce compte à l’Inspection générale des finances. A toutes les personnes informées sur ce compte, il a toujours fait croire que sa gestion était une exclusivité du gouvernement central. Quand il a appris le déploiement d’une nouvelle mission d’audit de l’IGF, il a commencé à multiplier prétextes et obstacles. Nous avons les informations qu’il a associé le Directeur général du Bceco dans une démarche consistant à associer un procureur près la Cour des comptes, faire croire à l’opinion que cette dernière était déjà en mission similaire au Kasaï-Oriental et que l’IGF ne pouvait plus agir. Malheureusement, le directeur général du Bceco s’est prêté à ce mauvais jeu en minutant un courrier tendant à obstruer l’audit de l’IGF, organisé dans le cadre du contrôle et suivi de l’exécution du Programme de développement des 145 territoires», relate une source proche du dossier.

Puis: «C’est ça l’origine des échanges épistolaires entre l’IGF, le gouverneur et le Premier président de la Cour des comptes, favorable à l’audit de l’IGF, qui évoque une mission imaginaire de la Cour des comptes derrière laquelle a tenté de se réfugier Kabeya Matshi».

Le 11 juillet 2023, le gouverneur du Kasaï-Oriental a effectivement adressé une copie de sa correspondance à l’GF au président de la Cour des comptes, parlant d’un prétendu non-respect des attributions et promettant de saisir le président de la République en sa qualité de garant du bon fonctionnement des institutions.

Le Premier président de la Cour des comptes, Jimmy Munganga, l’a confondu dans sa lettre de riposte datée du 18 juillet 2023. «J’accuse bonne réception de la copie me réservée de votre lettre n° 01/1134/CAB.PROGOU/K.OR/2023 du 11 juillet 2023 adressée à Monsieur l’inspecteur Général des Finances-Chef de Service, relative à l’objet repris en marge. Y faisant suite, je note que sous prétexte d’une mission imaginaire de la Cour des comptes au Kasaï-Oriental, vous tentez d’échapper au contrôle de l’inspection Générale des Finances en invoquant ma lettre d’annonce d’une mission d’audit des finances de votre province, référencée CAB.PPCC/CC/TKG/132/2023, que vous qualifiez à tort d’ordre de mission.

Vous êtes pourtant sans ignorer que la lettre à laquelle vous faites allusion ne constitue nullement un ordre de mission mais plutôt l’annonce d’une mission de la Cour des comptes, du reste ajournée sine die par ma lettre n°CAB.PPCC/CC/MMG/161/2023 du 28 mai 2023», a rappelé Jimmy Munganga.

Puis: «Je saisis, par ailleurs, la présente opportunité pour vous rappeler qu’il n’appartient pas à un Responsable d’une entité auditée de se prévaloir de la préséance de la Cour des comptes sur tous les autres organes de contrôle des finances et des biens publics. Pareille attitude doit être interprétée et comprise comme une volonté manifeste d’échapper au contrôle et d’éviter, par ce fait-même, de s’acquitter de son devoir sacré de redevabilité en tant qu’agent public.

C’est la raison pour laquelle, je vous prie de déférer sans réserve ni résistance au contrôle de l’inspection Générale des Finances en mission dans votre entité».

Le verrou de l’IGF

Entre-temps, l’IGF, convaincue du bien-fondé de sa mission, a entrepris de resserrer l’étau. Ses investigations lui ont ouvert la voie du compte caché dans lequel le gouverneur Kabeya puise pour effectuer des dépenses autres que celles dédiées selon les subventions du gouvernement central. Depuis quatre mois, ces fonds publics au profit de la province prennent une destination inconnue.

Dans son élan de mégestion des finances publiques, le gouverneur Kabeya a encore voulu s’accaparer du dernier virement mensuel en date, effectué le 20 juillet 2023 via le compte Agripel suivant l’avis de débit datant du même jour, et destiné à l’achat et au transport des 15 tracteurs pour la relance de l’activité agricole au Kasaï-Oriental, mais l’IGF a placé son verrou grâce à sa patrouille financière. Elle a ordonné le gel de ce compte et conditionné l’utilisation de ces fonds à la justification préalable de précédents décaissements. Selon nos informations, les relevés de compte disponibles attestent que le gouverneur Kabeya y a puisé comme dans ses propres poches et c’est ce qui explique des agitations de sa part.

Les égarements et l’incivisme du gouverneur Kabeya ont commencé à agacé les structures locales de son propre parti, l’UDPS, et à lui valoir la réprobation des députés provinciaux du Kasaï-Oriental. «Si l’idée était d’aider la province à rattraper son retard, le comportement du gouverneur Kabeya est contreproductif. Il a touché aux millions qu’il ne fallait jamais détourner. Dommage. L’ennemi du Kasaïen c’est le Kasaïen lui-même», a tapé un élu provincial, très remonté.

Pour sa part, l’ONG ACAJ de Georges Kapiamba a exhorté le Directeur Général du BCECO, Jean Mabi, à se soumettre au contrôle de l’IGF sur l’usage de l’argent du contribuable congolais mis à sa disposition par le Trésor public pour exécuter le programme PDT-145, jugeant suspecte l’attitude de ce mandataire de l’Etat.

 

Natine K.




Le Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats dénonce l’enrôlement militaire des enfants à Tindouf

Le Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats à Dakhla a vivement condamné les violations et l’enrôlement militaire systématique d’enfants dans les camps de Tindouf en Algérie.

Dans un communiqué publié vendredi, le Centre exprime sa profonde préoccupation concernant la persistance du recrutement systématique d’enfants-soldats, après avoir été témoin d’un défilé de centaines d’enfants, garçons et filles, en uniformes militaires.

“Nous avons directement fait part de nos profondes préoccupations à la communauté internationale et tenons l’Algérie pour responsable juridique et morale de cette violation flagrante et de ce mépris du droit international humanitaire sur son sol”, indique le communiqué.

Le Centre rappelle que l’Algérie est partie à la Convention relative aux droits de l’enfant et a l’obligation de respecter, de protéger et de réaliser les droits des enfants à la vie, à la vie privée, à la liberté de pensée et de réunion pacifique.

Fondé en 2022 à Dakhla, le Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats s’engage à lutter contre le recrutement des enfants-soldats en sensibilisant sur leur sort, les processus de leur embrigadement, ainsi que sur les causes sous-jacentes qui alimentent la persistance de ce fléau. Il appelle tous les militants des droits de l’Homme, les chercheurs et les journalistes à agir avec professionnalisme et intégrité intellectuelle pour éviter toute pression exercée sur les parents par la milice du polisario.




Des détracteurs de Tshisekedi dans l’armée numérique d’Alingeti

Moïse Musangana a raison. En réaction à un tweet posté ce samedi 23 juillet 2023 par Peter Tiani, il écrit : «Les incongruités de Peter Tiani. Il combat Tshisekedi au profit de Katumbi, mais soutient paradoxalement Jules Alingeti, un soldat de Tshisekedi. Qu’est-ce qui fait courir Peter ?» En effet, dans le tweet dont question où il affiche le portrait du patron de l’IGF, Peter Tiani note : «Audit et contrôle de la gestion du Projet 145 Territoires : Le BCECO aurait-il peur de l’IGF». Il y a un autre où il se demande pourquoi de l’agitation pour l’audit du PDL-145 T. En plus du portrait, il affiche également un panneau de l’IGF sur lequel on peut lire le message suivant : «LA GESTION PUBLIQUE C’EST AUSSI ACCEPTER DE RENDRE COMPTE SANS AGITATIONS. LE BANDITISME FINANCIER DANS LA GESTION PUBLIQUE EST UN ACTE ANTIPATRIOTIQUE».

Invétéré détracteur de la politique de Félix Tshisekedi et inconditionnel communicateur de Moïse Katumbi qu’il vend à tout vent et qu’il appelle PR 06, Peter Tiani relayait ainsi l’armée numérique envoyée à l’assaut du DG de BCECO dans la polémique entre celui-ci et le N°1 de l’IGF au sujet de l’audit initié par ce dernier auprès de cette agence d’exécution dans le cadre du PDL-145 T. En dehors du patron de Perfect TV, cette armée contient aussi plusieurs autres tireurs d’élite qui ne ménagent pas le régime Tshisekedi.

La question que d’aucuns se posent est celle de savoir comment peut-on mépriser un oranger et en manger les fruits ? En d’autres termes, comment se fait-il que l’on peut tirer à boulets rouges sur le président Félix Tshisekedi et dont le bilan est qualifié de négatif, raison pour laquelle il doit partir, et en même temps adouber Jules Alingete qui matérialise la vision du précité ? C’est tout simplement de l’incohérence. Qu’est-ce qui fait donc courir ces communicateurs patentés de Moïse Katumbi auprès du patron de l’IFG ? Est-ce par amour, sympathie ou par intérêt. Sûrement, ce n’est ni par amour ni sympathie, parce que par Jules Alingete interposé, ces tireurs francs devaient baisser leurs armes. Donc, c’est par intérêt. Cela voudrait dire que le patron de l’IGF, obnubilé par son image, nourrit la main qui porte le sabre pour assommer la personne qui l’a rendu star. En est-il conscient ? Le président de la République




L’Algérie de mèche avec le polisario dans le recrutement d’enfants soldats

S’il est un fait indéniable dans les camps de Tindouf, c’est que l’armée algérienne (ANP) soutient les séparatistes du polisario quant au recrutement massif d’enfants soldats au sein de leurs milices.

Le Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats (CIRPES) a mis en garde contre la poursuite « du recrutement qui affecte l’enfance des camps de Tindouf sous parrainage algérien et ce, au milieu d’un silence assourdissant de la part de la communauté internationale. Le CIRPES a vivement condamné les violations et l’enrôlement militaire systématique d’enfants à Tindouf, en Algérie.

Le CIRPES a en outre, dans un communiqué publié vendredi, exprimé sa profonde préoccupation concernant la persistance du recrutement systématique d’enfants-soldats, après avoir été témoin d’un défilé de centaines d’enfants, garçons et filles, en uniformes militaires.

« Nous avons directement fait part de nos profondes préoccupations à la communauté internationale et tenons l’Algérie pour responsable juridique et morale de cette violation flagrante et de ce mépris du droit international humanitaire sur son sol », indique le communiqué à cet effet.

Le Centre rappelle que l’Algérie est partie prenante à la Convention relative aux droits de l’enfant et a l’obligation de respecter, de protéger et de réaliser les droits des enfants à la vie, à la vie privée, à la liberté de pensée et de réunion pacifique.

Fondé en 2022 à Dakhla, le Centre international de recherches sur la prévention des enfants soldats s’engage à lutter contre le recrutement des enfants-soldats dans le monde en sensibilisant sur leur sort, les processus de leur embrigadement, ainsi que sur les causes sous-jacentes qui alimentent la persistance de ce fléau. Pour ce qui est du Sahara il appelle tous les militants des droits de l’Homme, les chercheurs et les journalistes à agir avec professionnalisme et intégrité intellectuelle pour éviter toute pression exercée sur les parents par la milice du polisario.

Le CIRPES a déclaré, dans un communiqué, que  » les camps de Tindouf en Algérie connaissent toujours un recrutement systématique et continu d’enfants, car ils sont filmés dans des clips d’émissions TV et autres « . Selon la même source, « ces craintes profondes de la poursuite du recrutement d’enfants dans les camps de Tindouf ont été transférées à la communauté internationale, l’Algérie portant l’entière responsabilité de cette violation flagrante« . Le CIRPES, a en outre souligné « la nécessité pour l’Algérie de respecter la Convention relative aux droits de l’enfant, dont elle est signataire, et qui jusqu’à présent, continue d’être violée sur son territoire« .

Abdelkader Filali, directeur du CIRPES qui focalise ses missions autour des études, des recherches et des consultations portant sur la prévention et l’exploitation des enfants dans les zones de conflit, a déclaré à Hespress :  » Cet avertissement est le résultat de la poursuite des violations flagrantes par l’Algérie concernant le recrutement d’enfants systématique d’enfants de Tindouf “.

Abdelkader Filali a ajouté, « les uniformes de recrutement sont produits par l’armée algérienne et s’adressent en particulier aux enfants des camps de Tindouf, en violation flagrante des exigences humanitaires et juridiques internationales ». Il a indiqué, que « cette mise en garde est un message à la conscience humaine internationale afin d’intervenir de toute urgence pour faire cesser ces graves violations morales contre les enfants dans les camps« .

Le président directeur général du CIRPES, a en outre souligné que « l’Algérie est directement responsable de la poursuite de ces violations, qui contredisent les exigences juridiques internationales, en complicité évidente avec un front armé non reconnu ». Toujours dans ce contexte, il ajoutera : « Les victimes de cette violation flagrante se multiplient dans les camps de Tindouf. Cela place l’Algérie dans une position qui viole les exigences internationales et affecte les libertés individuelles et humaines ».

Filali a conclu en disant que : « La fin de cette violation est conditionnée par le respect de l’Algérie de la Convention relative aux droits de l’enfant, qui interdit complètement le recrutement d’enfants sous quelque forme que ce soit« . Cela rejoint l’appel de l’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès des Nations Unies, Omar Hilale à la communauté international en juin dernier à Oslo.

Il avait en effet demandé à la communauté internationale de prendre des mesures « fermes et urgentes » contre l’enrôlement militaire, par le groupe armé du polisario sous tutelle de l’Algérie, des enfants des camps de Tindouf et à empêcher qu’ils deviennent  » les extrémistes et les terroristes de demain « . Omar Hilale s’exprimait à l’occasion à la conférence internationale d’Oslo organisée par le gouvernement de la Norvège.

« La communauté internationale a le devoir de prendre des mesures fermes et urgentes, en vue de protéger les enfants, dans toutes les régions du monde, contre la spoliation de leur enfance, la privation de leurs droits élémentaires et leur enrôlement militaire par des groupes armés, dont celui du polisario, afin que les enfants des camps de Tindouf d’aujourd’hui, ne deviennent pas les extrémistes ou terroristes de demain », avait souligné Omar Hilale lors de cet évènement qui rassemblait plus de 400 personnes représentant une centaine d’Etats membres, des organismes onusiens et de la société civile sous le thème : « La protection des enfants en temps de conflits armés ».




COMMENT RENVERSER LES AUTELS NEGATIFS ET BATIR LES AUTELS POSITIFS / DIMANCHE 23 JUILLET 2023




Une sextape pour empêcher Bifaible à devenir Bifort

Nombreux sont ceux-là qui n’ont pas du tout apprécié que le jour où l’ancien conseiller du président de la République, Fortunat Biselele alias « Bifort » doit obtenir sa liberté provisoire, sois celui-là où doivent être publiées sur les réseaux sociaux plusieurs sextapes ou vidéos intimes. Ce qui leur fait dire qu’il s’agit tout simplement d’un acharnement dont le seul mobile est de le déstabiliser moralement, pour l’empêcher d’avoir une quelconque ambition.

Sinon, il est de notoriété publique que lorsqu’on est en détention, les téléphones et autres objets personnels de l’ancien conseiller privé du chef de l’État étaient entre les mains des services de renseignement. Qui d’autre alors pourrait y avoir accès pour en dénicher le contenu des personnes consentantes s’adonnant à leurs plaisirs intimes?

Voilà qui pousse une certaine opinion à dire que sur si sur le plan judiciaire il n’y a pas eu grand-chose pour l’inquiéter, ses détracteurs ont voulu publier ces vidéos pour ternir complétement son image dans la société congolaise et ainsi détruire son mariage.

Tout ceci est fait dans l’ignorance totale du principe selon lequel, la personne humaine est sacrée et l’Etat a l’obligation de protéger celle-ci. L’article 18 de la loi fondamentale est clair quant à ce, quand il affirme que tout détenu doit bénéficier d’un traitement qui préserve sa vie. Ainsi, Fortunat Biselele déjà affaibli par la maladie, est encore attaqué de plein fouet par la diffusion de ses vidéos intimes afin de le précipiter vers le gouffre.

Lui qui a déjà passé quelques temps à Makala et qui a tant enduré, puisera inévitablement dans moi intérieur pour se redonner le courage et affronter ainsi d’autres défis qui restent à relever.




Le Marocain Yassine Bounou intéresse le PSG

Le PSG aurait formulé une première offre au FC Séville pour s’attacher les services de Yassine Bounou.

En quête d’un gardien de but pour concurrencer Gianluigi Donnarumma, le Paris Saint-Germain aurait des vues sur Yassine Bounou. Un intérêt confirmé par Foot Mercato, qui révèle que le club de la capitale a formulé une offre de 12 millions d’euros (plus des bonus) au FC Séville pour récupérer le portier marocain.

Une offre qui devrait être repoussée par la formation andalouse, qui attendrait 15 millions d’euros plus 3 millions de bonus pour se séparer de son gardien de but de 32 ans. Mais les positions ne sont pas très éloignées et un terrain d’entente pourrait être trouvé dans les prochains jours.

Par ailleurs, il se dit que Yassine Bounou serait de son côté emballé à l’idée de rejoindre les champions de France. Pour rappel, la piste Hugo Lloris a également été évoqué du côté du Parc des Princes ces derniers jours.