Le port en eau profonde de Kribi au Cameroun : moteur clé du décollage économique du pays

Le projet du port en eau profonde de Kribi, à la construction et à l’exploitation duquel l’entreprise chinoise a participé, est un projet clé au Cameroun. Tout en construisant le port, on a également veillé à contribuer à la relocalisation des populations locales, ainsi qu’à l’emploi et à la formation des jeunes locaux.

L’achèvement et l’exploitation du port ont favorisé le développement économique de Kribi et même du Cameroun. Avec la mise en service du port, les projets de développement du réseau routier, du réseau électrique, du réseau aérien ainsi que d’autres projets dans les zones environnantes du port ont considérablement augmenté les demandes s’y rapportant, et stimulé le développement régional. Notre journaliste a interviewé M. Xu Huajiang, directeur général de la Société régionale d’Afrique centrale de China Harbour.

CGTR




Le port en eau profonde de Kribi au Cameroun

Au brise-lames de la première phase du port de Kribi au Cameroun, M. Xu Huajiang, directeur général de la Société régionale d’Afrique centrale de China Harbour, nous a expliqué les grandes étapes de la construction de ce grand port. Au cours de la première phase de construction, la plus grande drague du monde a été utilisée. La profondeur naturelle de l’eau est de huit mètres. Pourtant grâce à un creusement continu, la profondeur de l’eau atteint maintenant 16 mètres.

Selon la planification, le port de Kribi comptera 22 postes d’amarrage. Dans les temps à venir, si toute cette zone de construction est couverte, le port en eau profonde de Kribi sera l’un des plus grands ports en Afrique.

  1. Xu nous a raconté le début de cette expérience en Afrique qui a changé sa vie. En 2000, son entreprise avait besoin d’un responsable financier pour son bureau au Nigeria. À l’époque, il venait d’obtenir son diplôme universitaire deux ans plus tôt. Son supérieur pensait qu’il devait travailler en Afrique pendant un certain temps. C’est ainsi qu’il a obtenu l’occasion d’aller au Nigeria pour entamer sa belle histoire de 23 ans en Afrique.

L’un des témoins privilégiés du développement de la coopération sino-africaine, M. Xu nous a partagé ses constats. Selon lui, en dehors de la construction des infrastructures, les entreprises chinoises en Afrique se sont impliquées dans le développement de l’économie régionale en participant activement à la planification des pays.

Qu’est-ce qui l’impressionne le plus dans l’initiative “la Ceinture et la Route” ? “C’est la communion d’esprit entre les peuples”, a immédiatement répondu M. Xu.

Avant la construction du port, le gouvernement a élaboré un plan qui nécessitait l’acquisition de terres. Il y a un petit village au port, où les habitants pêchent depuis des générations. À cette époque, les villageois étaient très inquiets pour leur futur gagne-pain. Au lieu de simplement rendre public les bénéfices que le projet leur apporterait, l’entreprise a essayé de comprendre leurs difficultés. Par exemple, quand le gouvernement les relocalisait dans un nouvel endroit, de gros équipements ont été envoyés pour les aider à niveler le terrain. D’abondants matériaux ont été mis à leur disposition, et même après le démarrage du projet, des jeunes ont été recrutés et formés pour devenir des travailleurs qualifiés. Beaucoup d’entre eux continuent à travailler jusqu’à présent. L’entreprise chinoise s’efforce de contribuer au développement des villages locaux de plusieurs façons.

 

De nombreuses difficultés ont été surmontées durant la construction du port. M. Xu, tout fier, nous a confié : “Après avoir construit ce port en trois ans, nos partenaires européens et français, ont tous trouvé cela incroyable. Mais nous l’avons réalisé.”

Selon lui, les ports, les routes et les ponts construits par la Chine ouvrent désormais non seulement des canaux géographiques, mais rapprochent également les cœurs des habitants du pays où se trouvent ces infrastructures. Quand les cœurs seront proches, l’avenir promet une meilleure coopération.

CGTN




Grâce à la perspicacité de Mbusa Nyamwisi : Marie-Madeleine Kalala entre au Comité des Sages de la CEEAC

Lobbying payant pour le minÉtat en charge de l’Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi. Des Congolais occupent de plus en plus des postes de haut rang dans des structures des organisations régionales.

Nommée dans le Comité des Sages de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), l’ex-ministre des Droits humains, Marie-Madeleine Kalala est venue, ce lundi 24 juillet 2023, remercier le minÉtat, pour l’honneur qui lui a été fait à sa personne, qui puis est, une femme.

Marie Madeleine kalala  a tenu, par la même occasion, à remercier le Président  de la République, Félix Antoine Tshisekedi,  qui travaille d’arrache-pied pour promouvoir le leadership féminin. Ce  qui lui a valu la désignation de champion de la masculinité positive par ses pairs de l’Union Africaine, en raison de ses efforts inlassables pour la promotion des droits des femmes. Mme Kalala a réitéré ses remerciements au minÉtat    de l’Intégration régionale pour son accompagnement.

Outre sa  nomination au Comité des sages de la CEEAC, Marie Madeleine Kalala a été désignée chef de la mission d’observation du scrutin référendaire  en Centrafrique. Mme Kalala  se dit fière de représenter son pays et  promet de faire un travail de qualité en l’honneur de la  femme en Afrique.

Marie Madeleine Kalala est une militante des droits de la femme congolaise  elle a été ministre des droits humains de la Rdc de 2003 à 2007, en 2010 elle était élue membre du panel des sages de l’Union africaine.




L’assassinat de Chérubin Okende met déjà à dure épreuve la loi sur le Numérique !

La livraison de ce jour vient en appui à la dernière en date intitulée «Communicateurs ‘renseignants’ potentiels pour Chérubin Okende : faites gaffe !» publiée le 17 juillet 2023.

Il y est question, essentiellement pour les forces politiques et sociales se réclamant du régime en place, de s’aligner sur la position du Chef de l’État. A savoir, laisser la justice faire son travail. Concrètement, arrêter de spéculer autour d’un sujet hypersensible, susceptible d’amener des gens en procès, sinon de les pousser à la clandestinité, à défaut de les contraindre à l’exil.

Certes, la levée des boucliers observée du côté des Tshisekedistes s’explique : le Pouvoir est fragilisé. Ce qu’il faut d’emblée retenir, c’est que partout sur ce plancher des vaches, en démocratie ou non, le Pouvoir n’y échappe pas lorsqu’une personnalité publique – politique de surcroît – est assassinée.

Ainsi, avant que les enquêtes ne classent celui perpétré sur Chérubin Okende dans la catégorie du crime violent, financier ou passionnel, l’assassinat frappe d’abord un homme d’Etat. Normal que l’État se sente concerné le premier et, tout naturellement, se défende, sans nécessairement se faire aider par une base emportée plus par la passion que par la raison.

Pourquoi alors revenir à la dernière livraison ? Réponse simple : changé par les réseaux sociaux, le temps prend sa revanche sur les mêmes réseaux.

C’est, en effet, sous le régime actuel que le pays s’est doté de l’Ordonnance-Loi N°23/010 du 13 mars 2023 portant code du Numérique. Il n’y a de répréhensible puisque le monde a ajouté aux crimes existants le désormais crime informatique !

Comprenant 390 articles, ce texte contient des dispositions draconiennes en matière de répression. Cas de l’article 360 selon lequel «Quiconque initie ou relaie une fausse information contre une personne par le biais des réseaux sociaux, des systèmes informatiques, des réseaux de communication électronique ou toute autre forme de support électronique est puni d’une servitude pénale d’un à six mois et d’une amende de cinq cent mille à un million de francs congolais».

Ou de l’article 359 ainsi libellé «Quiconque aura harcelé, par le biais d’un réseau de communication électronique, une personne alors qu’il savait ou aurait dû savoir qu’il affecterait gravement par ce comportement la tranquillité de la personne visée, sera puni d’une servitude pénale d’une ou deux ans et d’une amende de cinq cent mille à dix millions de Francs Congolais ou l’une de ces deux peines seulement».

Ou encore de l’article 358 d’après lequel : «Quiconque initie une communication électronique qui contraint, intimide, harcèle ou provoque une détresse émotionnelle chez une personne, en utilisant un système informatique dans le but d’encourager un comportement haineux, tribal et hostile aux bonnes mœurs et aux valeurs patriotiques est puni d’une servitude pénale d’un mois à deux ans et d’une amende de cinq cent mille à dix millions de Francs Congolais».

L’assassinat de Chérubin Okende est comme le premier test grandeur nature auquel est confrontée la nouvelle loi !

Normalement, avec tous les débordements, tous les écarts de conduite qui se constatent dans les réseaux sociaux, une mise en garde s’impose de la part de ceux qui en ont la responsabilité publique : Gouvernement (Ministères de l’Intérieur, du Numérique, des Pntic et de la Communication et Médias), Cours et Tribunaux et Csac. But : prévenir les « internautes » des risques d’interpellation, de procès, voire d’arrestation qu’ils sont en train de susciter sans peut-être le savoir ou, pour ceux qui en sont conscients, les risques de se croire intouchables en raison de son positionnement politique.

Car, le silence qu’on peut afficher aujourd’hui peut se révéler un précédent fâcheux (d’aucuns diraient jurisprudence) alors que la Constitution déclare clairement à l’article 62 : «Nul n’est censé ignorer la loi».

Au demeurant, ce qui est valable aujourd’hui pour l’«affaire Chérubin Okende » l’est aussi pour les autres sujets brûlants de la vie nationale : sécurité, élections, pouvoir d’achat etc.

Aucune logique ne justifierait l’arrestation de telle personne pour avoir relayé dans les réseaux sociaux une infox sur cet assassinat et justifier l’interpellation de telle autre personne pour avoir relayé par le même procédé l’ ‘intox sur le processus électoral.

En rappelant l’existence de ces dispositifs légaux, la préoccupation n’est pas d’étouffer la libre expression ou d’opinion.

Il y a lieu de le noter : toutes les libertés reconnues dans toutes les Constitutions du monde portent l’incise «sous réserve du respect de la loi, de l’ordre public et de bonnes mœurs».

C’est là que l’Etat fait valoir le Droit et fait sentir la Loi.

En définitive, on ne peut pas s’ériger bâtisseurs et défenseurs de l’État de Droit, mais aussi se prévaloir initiateurs des lois et oublier, à défaut de les appliquer, de prévenir, le moment venu, des risques encourus.

Le Pouvoir, le vrai, ne piège jamais ses sujets. Il ne garde surtout pas sa base dans l’ignorance des dangers qui la guette….

Omer Nsongo die Lema




A Casablanca: L’ANAPI et l’ASMEX signent un protocole d’accord pour le développement des relations économiques

L’Agence Nationale de la Promotion des Investissements (ANAPI) de la République Démocratique du Congo (RDC) et l’Association Marocaine des Exportateurs (ASMEX) ont signé un protocole d’accord lors d’une cérémonie officielle ce lundi 24 juillet à Casablanca. Cette étape cruciale vise à renforcer les liens économiques entre le Royaume du Maroc et la République Démocratique du Congo, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour la coopération commerciale et l’investissement entre les deux nations.

Selon un communiqué en notre possession, le protocole d’accord a été signé lors d’une cérémonie officielle qui s’est déroulée le 24 juillet 2023 à Casablanca, en présence du Directeur général de l’ANAPI, M. Anthony Nkinzo Kamole, et du Président de l’Association Marocaine des Exportateurs, M. Hassan Sentissi El Idrissi.

Cette initiative est le fruit d’une première visite fructueuse effectuée par le Directeur Général de l’ANAPI au siège de l’ASMEX en mars dernier, qui a permis d’établir un dialogue constructif et de jeter les bases d’une coopération mutuellement bénéfique.

L’objectif de ce protocole d’accord est de promouvoir les relations économiques en favorisant les investissements, les échanges commerciaux et le transfert de savoir-faire entre les deux nations. Cette collaboration renforcera la compétitivité des entreprises marocaines et congolaises tout en créant un environnement propice à l’émergence de nouvelles opportunités d’affaires pour les investisseurs et les exportateurs des deux pays.

M. Anthony Nkinzo Kamole, Directeur général de l’ANAPI, a déclaré : « La signature de ce Protocole d’Accord entre l’ANAPI et l’ASMEX est une étape décisive dans le renforcement des relations économiques entre le Royaume du Maroc et la République Démocratique du Congo. Il vient aussi confirmer la volonté de la RDC de renforcer les relations avec ses partenaires africains. Nous sommes convaincus que cette collaboration fructueuse ouvrira de nouvelles perspectives pour le développement des affaires, l’investissement et les échanges commerciaux entre nos deux nations. D’autres partenariats seront lancés prochainement afin de développer la marque Invest in DRC sur le continent africain et dans d’autres régions du monde ».

« Nous sommes honorés d’accueillir la délégation congolaise et de signer ce Protocole d’Accord avec l’ANAPI, qui marque le début d’une nouvelle ère de partenariat économique entre le Maroc et la République Démocratique du Congo. L’ASMEX est déterminée à soutenir activement les entreprises marocaines souhaitant investir en RDC et à faciliter les échanges commerciaux entre nos deux pays. » a déclaré M. Hassan Sentissi El Idrissi, Président de l’ASMEX.

En marge de la cérémonie officielle s’est tenu un webinaire intitulé “Doing Business with DRC” qui visait à informer les acteurs économiques marocains sur les opportunités d’investissement en République Démocratique du Congo. Aux côtés des dirigeants de l’ANAPI et de l’ASMEX étaient présents S.E l’Ambassadeur de RDC au Royaume du Maroc, M. Henri Mangaya Yange Mondowa, la présidente de la Commission Afrique de l’ASMEX, Mme. Saloua Karkri, ainsi la directrice de cabinet adjoint du ministère du commerce Extérieur en République démocratique du Congo, la professeure Youyou Bande. Ensemble, ils ont offert une occasion unique aux acteurs économiques marocains de s’informer sur les opportunités d’affaires en Afrique, en mettant l’accent sur la République Démocratique du Congo en tant que marché clé pour les investissements et les échanges commerciaux.




RDC: Pas en fuite ni opposé à son affectation à Tshikapa (Mise au point du général Sylvano Kasongo)

Le nouveau commandant de la Police/Kasaï dénonce “des informations calomnieuses et diffamatoires dans les médias et sur les réseaux sociaux” faisant état de son déplacement suite à son mécontentement.

Dans une mise au point faite ce lundi 24 juillet 2023, le commissaire divisionnaire Sylvano Kasongo dissipe ce qu’il qualifie de “faux bruits” et met en garde toutes les personnes qui lui attribue les faits “farfelus”.

 

“Je rejoindrai le lieu de mon affectation sans désistement ou mécontentement. Le policier apolitique sert son pays sans hésitation partout jusqu’au sacrifice suprême”, dit le général Sylvano Kasongo

 

Il prévient que “tout propos diffamatoire et toute médisance sont passibles des poursuites judiciaires”.

 

Entre-temps, il poursuit ses soins spécialisés à l’étranger pour lesquels il a obtenu toutes les autorisations nécessaires, affirme-t-il.

 

Derick Katola




Reprise des travaux à Mbuela Lodge : Le banc syndical obtient les listings qui sont déjà à l’état liquidatif et la prime de gratuité qui passe de 50.000 FC à 80.000 FC

Ouverts le 19 juillet dernier par le Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba Kazadi, au nom du Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde et suspendus le vendredi 20 juillet par le Banc syndical de l’EPST qui s’était retiré de la salle, les Travaux de Mbuela tenus dans la Cité de Kisantu, Territoire de Madimba, Province du Kongo-Central sur l’exigence des listings de paie en état liquidatif ont repris ce lundi 24 juillet 2023 dans la salle des réunions de ce site touristique sous la note de satisfaction des délégués syndicaux venus de toutes les 60 provinces éducationnelles de la RDC.

Ce satisfecit se justifie par la réponse positive apportée par le Gouvernement de la RDC a remis les listings des enseignants avec comme innovations, le réajustement de la prime de gratuité, la paie des Nouvelles Unités identifiables sur ces listes comme ”NB: Nouvellement budgétisé ”, l’octroi et le réajustement des frais de fonctionnement, le paiement et le réajustement des frais de fonctionnement des écoles primaires ayant connu le changement des structures, l’octroi des frais de fonctionnement aux bureaux gestionnaires, le paiement des Inspecteurs et agents d’appoint de l’Inspection scolaire générale. Ces listings à l’état liquidatif sont pris en charge dès la fin de ce mois de juillet 2023.

C’est avec les cris de joie, chants et danses que les délégués syndicaux scandaient: “On a gagné !” pour exprimer leur satisfecit. Il sied de noter que la prime de gratuité est passée de 50000 FC à 80000 FC.

Il ne s’agit pas de la démagogie. Les enseignants peuvent consulter leur paie qui est effective et consultable dans le site www.dinacoperdc.com à partir de demain mardi 25 juillet 2023.

Les délégués des provinces ont été très contents de constater l’augmentation des enseignants dans différents écoles. Ce qui les rend davantage heureux d’avoir abattu un travail de titan qui a produit les résultats.

Ainsi, les travaux peuvent se poursuivre étant donné que les préalables posés ont été rencontrés par Gouvernement en dépit des difficultés




*RPDC; La fête de la grande Victoire*

S’approche la fête (jeudi de la semaine en cours, NDLR) de la grande Victoire du Peuple de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, NDLR) à l’occasion de laquelle, les Vétérans qui avaient fait preuve de vaillance incomparable dans l’âpre Guerre (dimanche 25/06/1950 04:00 – lundi 27/07/1953 10:00) de Libération de la Patrie et leurs descendants se rassemblent sur la Place de la Victoire, place de la célébration, pour se remémorer, avec émotion, les jours passés.

Sous la direction clairvoyante du Généralissime KIM IL SUNG (1912-1994), le Peuple de la RPDC a mené cette Guerre (1.129 jours) contre l’agression armée des impérialistes ayant à leur tête les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) et de la Clique fantoche de Syngman RHEE (1875-1965; le № 1) de la Corée du Sud (DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis plus d’un an, son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, NDLR).

Pour le Peuple au lendemain de la Libération du Pays de la domination militaire du Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que l’enlèvement de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le massacre de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR) et la RPDC âgée, à peine, de 2 ans, ce fut;
• un affrontement entre les fusils conventionnels et la bombe A
• une bataille à outrance mettant en jeu le sort de la Patrie.

Dans cette Guerre où les ennemis étaient, incomparablement, supérieurs en effectifs, le Peuple de la RPDC a;
• fait preuve de l’héroïsme et de l’esprit de sacrifice inouïs pour vaincre les agresseurs US qui se vantaient d’être les plus Puissants du monde, créant, ainsi, les miracles jamais connus dans l’histoire des guerres mondiales
• combattu, sans hésiter à donner sa vie, pour sa Patrie unique puisqu’il avait mené une vie digne d’être vécue, pour la 1ère fois, en tant que maître de la terre et des usines dans sa Patrie libérée grâce aux bienfaits de KIM IL SUNG et qu’il avait su comprendre la valeur de celle-ci.

La détermination de défendre son Leader (KIM IL SUNG) au péril de sa vie et de sauvegarder sa Patrie et l’héroïsme collectif dont a fait preuve le Peuple dans la Guerre constituent de plus précieuses richesses idéologico-spirituelles sur le trajet de développement de la RPDC, voie pour la richesse, la puissance et la prospérité de la Patrie et la victoire de l’œuvre révolutionnaire de Juché (idéologie directrice éternelle créée en 1930, NDLR). La grande Victoire dans la Guerre de Libération de la Patrie n’a pas, simplement, l’importance d’avoir vaincu les impérialistes US; mais, réside l’immense signification de l’issue victorieuse pour avoir;
• défendu la dignité, l’honneur et la souveraineté de la RPDC
• préservé un contexte favorable au développement indépendant de l’Etat
• entravé la stratégie d’hégémonie mondiale des impérialistes US
• prévenu une nouvelle 3ème Guerre Mondiale (la 2ème; 1939-1945, NDLR) pour sauvegarder la paix de l’Humanité.

Sous le leadership de KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, le Peuple célèbre, chaque année solennellement, cette fête marquée des hauts faits de KIM IL SUNG comme journée de sa 2ème Libération du Pays.




Gouverneur du Haut-Katanga : Jacques Kyabula entendu deux fois par le Parquet général près la Cour de Cassation (AfricaNews)

M. Jacques Kyabula, le gouverneur du Haut-Katanga, signalé depuis quelques jours à Kinshasa où il a déjà été entendu deux fois, notamment par le Parquet général près la Cour de Cassation. Kyabula a été appelé par la hiérarchie.

Selon des sources, son audition a tourné autour de différents dossiers, entre autres la présumée fuite du ministre provincial de l’Intérieur Eric Muta après la plainte de la société Maj Logistics Limited se rapportant à la disparition du contenu de trois camions des cathodes de cuivre appartenant à Tenke Fungurume Mining (TFM).
Dans sa plainte du 05 juillet dernier, la société Maj Logistics Limited explique que les contenus de ces trois camions de cuivre, appartenant à TFM ont disparu. Ils ont été arrêtés par certains agents pour les acheminer au ministère provincial de l’intérieur, ensuite à la 22ème région militaire des FARDC à Lubumbashi. C’est là, précise la plainte, que tous les trois camions ont été vidés de leur contenu, «la nuit du 1er au 02 juillet dernier et les chauffeurs de ces véhicules acheminés en escorte vers Kasumbalesa pour faire disparaître frauduleusement les traces».
Peu après ces faits, le ministre provincial de l’intérieur a quitté le territoire national pour ses vacances et un député national a évoqué dans une séquence filmée (1) sa prétendue fuite. Dans une vidéo (2) devenue virale, le ministre de l’Intérieur Muta, depuis objet d’un mandat d’arrêt émis par le PG Cassation, a nié sa fuite mais expliqué que le gouverneur Jacques Kyabula lui a donné l’autorisation d’aller en vacances en dehors du pays et qu’il sera de retour d’ici peu pour éclairer la lanterne sur cette question. Dans un tweet, le journaliste Pero Luwara a affirmé avoir eu un entretien au téléphone avec Éric Muta qui aurait tout rejeté sur le gouverneur Kyabula.
Et comme promis, confient d’autres sources, Muta est finalement rentré au pays mercredi dernier via l’aéroport international de Ndjili, où un galonné de l’armée l’a pris au pied de l’avion, tordant le cou à la rumeur.
Dans une autre vidéo tournée à Lubumbashi, la fédération locale de l’UDPS se réjouit que le parti ne soit pas mêlé dans cette affaire des cathodes de cuivre et demande à la Justice de poursuivre et sanctionner les coupables.
Tout récemment, Kyabula a été aussi accusé de présumée vente frauduleuse des minerais par son ancien ministre des Mines, Georges Mawine.




Kabasele Tshimanga à Saint-Pétersbourg pour le sommet Russie-Afrique

Le Président National de l’Union des Démocrates Socialistes, UDS, Monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, a quitté Kinshasa, ce lundi 24 Juillet 2023, pour Saint-Pétersbourg en Russie à l’invitation du Gouvernement russe.

Dans la deuxième ville fédérale russe où se tiendra, du 27 au 28 Juillet 2023, le deuxième Sommet Russie-Afrique, le Sénateur honoraire Kabasele Tshimanga aura des entretiens avec les différents responsables Russes de premier plan ainsi que les dirigeants de la République de Crimée.
Le Président National de l’UDS mettra à profit son séjour pour parler de la situation générale de la République Démocratique du Congo ainsi que de l’agression barbare dont est victime notre pays dans sa partie orientale de la part du Rwanda.
Dans l’invitation officielle qui lui a été adressée portant la signature du Docteur Georgy Muradov, le Comité Organisateur “exprime sa gratitude aux estimés membres de l’Union des Démocrates Socialistes pour avoir ouvertement approuvé l’initiative publique mondiale visant à désigner le 4 juillet comme jour de libération de l’hégémonie américaine et apprécie le soutien indéfectible de l’UDS dans cette affaire”.
Le Comité Organisateur note que “la relation entre la Russie et les nations africaines est enracinée dans de longues traditions d’amitié et de solidarité, qui trouvent leurs origines dans le soutien apporté par la Russie au peuple africain dans sa lutte contre le colonialisme, le racisme et l’apartheid”.
Le rôle important joué par la Fédération de Russie dans la décolonisation du continent africain n’a pas été oublié : «La Russie a toujours défendu l’indépendance et la souveraineté des nations africaines, contribuant activement à l’établissement d’un État”, tout en rappelant le passé négatif de l’Occident “qui manifeste souvent un complexe de supériorité envers les autres pays et peuples”.
“Les Russes sont considérés par les Africains comme des amis et des libérateurs plutôt comme des propriétaires d’esclaves et des colonisateurs” a-t-il été souligné dans cette invitation.
Il est également signalé “qu’actuellement, la promotion et la consolidation de partenariats avantageux avec les nations africaines, y compris la République démocratique du Congo, revêtent une importance significative dans la politique étrangère russe”.
L’accent particulier est aussi mis sur la coopération entre la Crimée et la RD Congo : “en outre, la République de Crimée, en tant que partie intégrante la Fédération de Russie, s’est engagée à renforcer ses liens économiques et humanitaires avec le continent africain”.
Enfin, le Comité Organisateur du Sommet Russie-Afrique veut engager des discussions approfondies sur certaines questions de l’heure avec le Président Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi lors du sommet Russie-Afrique à Saint-Pétersbourg”.
Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp