*KIM IL SUNG et les femmes la RPDC* 

Le 30 juillet est une journée de portée historique où l’émancipation des femmes est déclarée en République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR). Et, en voici l’histoire;

*1. La déclaration de l’émancipation des femmes* 

Le 30 juillet 1946, l’année suivante de la Libération de la Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant» fière de sa Civilisation de 5.000 ans, NDLR) de la domination militaire du Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée tels que l’enlèvement de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le massacre de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR), eut lieu, à Pyongyang (Capitale de la RPDC), la 11ème session du Comité Populaire Provisoire de la Corée du Nord (qui désigne l’actuelle RPDC avant sa création, NDLR) sous la direction du Généralissime KIM IL SUNG (1912-1994).

 

A la réunion, prirent part les membres dudit Comité, et, à titre d’observateurs, les cadres de tous les Partis politiques et organisations sociales y compris ceux du Comité Central de l’Union des Femmes Démocrates de la Corée du Nord. KIM IL SUNG déclara l’ouverture de la session en disant; La présente session allait adopter la Loi de la Corée du Nord sur lÉgalité des Sexes.

 

Malgré ses multiples occupations pour l’édification d’une Patrie nouvelle, KIM IL SUNG;

 

• rédigea, en personne, l’avant-projet de cette Loi pour présenter à la 10ème (22/07/1946) session du Comité Populaire Provisoire de la Corée du Nord

• veilla à ce que ledit projet soit soumis à la discussion des larges masses populaires, surtout des femmes.

 

Celui-ci avait un grand retentissement auprès du public et les Partis politiques comme les organisations sociales proposèrent de l’adopter comme Décret officiel en traduisant la volonté unanime de tout le Peuple. A partir de ces exigences, ce jour-là (30/07/1946), KIM IL SUNG;

 

• se proposa d’adopter, officiellement, la Loi de la Corée du Nord sur l’Egalité des Sexes dans la réunion susmentionnée

• pria le Secrétaire Général du Comité Populaire Provisoire de la Corée du Nord de donner lecture du projet de la Loi (Composé de 9 chapitres stipulant que les femmes sont investies des mêmes droits que les hommes dans tous les domaines de la vie sociale, surtout politique, économique et culturel, le projet produisit une vive émotion chez lassistance.).

• se leva de son siège, après la lecture terminée, et dit, à ceux qui étaient pour, de lever les mains

• déclara, avec une voix sonore; L’ensemble des membres titulaires ont approuvé l’adoption de la Loi.

 

Les applaudissements enthousiastes se firent entendre dans la salle de réunion. Toute l’assistance adressa leurs remerciements à KIM IL SUNG qui venait de proclamer la Loi de la Corée du Nord sur l’Egalité des Sexes d’intérêt historique pour émanciper, une fois pour toutes, les femmes des coutumes féodales qui avaient duré depuis longtemps, de l’exploitation et de l’oppression coloniales et des traitements inhumains, pour leur permettre de pousser l’une des deux roues de la charrette de l’édification d’une Patrie nouvelle.

*2. «Il ne faut pas se contenter de crier victoire!»* 

Début août 1946 lors d’une réunion, KIM IL SUNG dit, en présence des cadres;

• La Loi sur l’Egalité des sexes promulguée il y a quelques jours est une loi permettant, à nos femmes, d’être investies des mêmes droits que les hommes, en les débarrassant de l’oppression féodale et de l’exploitation coloniale, et une autre victoire de nos forces démocratiques.

• La mise en vigueur de cette loi a permis, aux Coréennes, de jouir des droits démocratiques et d’avoir une nouvelle voie d’émancipation. • Personne ne peut les soumettre, maintenant, à l’oppression et à l’exploitation, ni les mépriser. Grâce à cette loi, les femmes peuvent participer à la vie sociale avec les mêmes droits que les hommes sur tous les plans politique, économique et culturel.

• Seule la promulgation de cette loi ne signifie pas une solution parfaite du problème de l’émancipation des femmes. Il y a beaucoup de choses à faire pour permette, à celles-ci, de bénéficier de la même égalité que les hommes. Il faut effectuer, donc substantiellement, le travail d’information et d’éducation de sorte que toute femme se dresse pour se procurer une égalité authentique.

• Il ne faut pas se contenter de crier victoire de ladite loi. Il faut obtenir l’égalité des sexes, l’une après l’autre, à travers les efforts réels.

 

En fait, fort reconnaissantes des bienfaits de KIM IL SUNG qui les débarrassèrent des entraves féodales qui avaient persisté depuis des millénaires, elles perdaient même la notion du temps à causer, nuit et jour, de l’égalité des sexes.

Hommage aux femmes appelées, dignement et fièrement, fleurs;

• de la vie

• des foyers

• du Pays!




A Saint-Petersburg:Kabasele Tshimanga présent à la création du Conseil d’affaires Crimée-Afrique

Le Président National de l’Union des Démocrates Socialistes [UDS], Monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, a regagné Kinshasa, ce dimanche 30 Juillet 2023, après un séjour fructueux d’une semaine en Russie à l’invitation du Gouvernement russe.

Au cours de son séjour dans la capitale russe, le Président National de l’UDS a eu un agenda très chargé.

Il a été reçu, le mardi 25 Juillet 2023, en audience par l’Ambassadeur Docteur Georgy L. Muradov, Vice-Premier de la République de Crimée et Représentant Permanent de la République de Crimée auprès du Président de la Fédération de Russie au siège de la Représentation de Crimée à Moscou.

Cette audience a tourné autour de l’importance de la République de Crimée dans les relations économiques avec l’Afrique en tant que partenaire et portée de sortie et d’entrée de la Fédération de Russie sur la Mer Noire.

Grenier de la Russie en sa qualité de productrice des céréales, de l’huile de tournesol et du poisson, la République de Crimée qui a déjà des échanges commerciaux avec huit pays africains, est disposée à multiplier et à renforcer ces échanges avec d’autres parties de l’Afrique.

Dans l’après-midi du même mardi 25 Juillet 2023, le Président National de l’UDS a été convié à visiter les sites historiques et symboliques de la ville de Moscou. Il s’est rendu, tour à tour, à la Place Rouge, au Mausolée Lénine, au Kremlin et au Monument du soldat inconnu, entre autres.

Réunion des amis africains de la Crimée

La journée du mercredi 26 Juillet 2023 a été consacrée à la réunion des Africains amis de la Crimée.

Cette rencontre a réuni les amis de la Crimée venus de la Côte-d’Ivoire, du Ghana, de Tunisie, d’Égypte, du Niger, de la Guinée, du Bénin, et de la République Démocratique du Congo.

Deux importantes décisions ont été prises au cours de cette rencontre, à savoir la création du Conseil d’Affaires Crimée-Afrique [CABC], dont la première Assemblée générale se tiendra en Crimée en octobre prochain, et l’implantation dudit Conseil dans plusieurs pays africains.

Il faut noter que les textes organiques et la mise en place des organes dirigeants du CABC interviendront lors des assises d’octobre 2023 à Yalta en Crimée.

Signature de la déclaration de création du CABC à Saint Petersburg

Quant à la journée du jeudi 27 Juillet 2023 à Saint-Petersburg, elle a été dominée par la cérémonie solennelle d’ouverture du Deuxième Sommet Russie-Afrique sous la présidence du Chef de l’État russe Vladimir Poutine et en présence de plusieurs Chefs d’État africains.

Après la séance d’ouverture du Forum Économique et Humanitaire de Saint-Petersburg, les Africains amis de la Crimée se sont retrouvés pour la séance de signature de la Déclaration de création du Conseil d’Affaires Crimée-Afrique, en sigle CABC.

Cette Déclaration de Saint-Petersburg a été respectivement signée par Monsieur S. V. Kalmykov, Directeur du Centre d’Affaires et de Culture de la République de Crimée pour la partie russe, et du côté africain par Monsieur Awuku Boateng Lawrence, Président du Comité africain pour la coopération commerciale avec la Crimée du Ghana, et Honorable Henri Doue Tai, Président de la Chambre de commerce et d’industrie russi-ivoirienne de Côte-d’Ivoire. Le Président National de l’UDS, m

Monsieur Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi, a pris une part active aux travaux.

Visite des stands d’exposition

En marge du Deuxième Sommet Russie-Afrique, une imposante exposition à été organisée. À travers celle- ci, tout visiteur avisé a été en contact direct avec les avancées réalisées par la Fédération de Russie sous la houlette du Président Vladimir Poutine. La Fédération de Russie est réellement une grande puissance économique et militaire mondiale.

De nombreuses entreprises russes ouvertes sur le monde ont, de leur part, impressionné les visiteurs par leurs réalisations. Il ne faut pas oublier la présence de certaines régions russes. Le complexe militaro-industriel russe a été aussi impressionnant.

Dans le cadre de ce Sommet Russie-Afrique, des conférences sur des thèmes variés ont organisés à l’intention des participants. Tout cela en vue de renforcer la coopération entre la Fédération de Russie et l’Afrique.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/CP




La gestion d’eau de Tenke, une réussite

Autrefois butés à la difficulté d’accéder à l’eau potable, c’est depuis 2017 que l’agglomération de Tenke bénéficie d’un système d’approvisionnement en eau potable. Chaque jour, à travers Tenke et sa périphérie, l’eau potable est pompée dans 15 bornes-fontaines qui sont gérées par la Coopérative de Gestion d’Eau de Tenke (C.G.E.T.). Cette coopérative, qui travaille de manière autonome fait parler d’elle à travers sa bonne gestion et ses projets.

 

 

L’eau c’est la vie, dit-on, et l’accès à l’eau potable et à l’assainissement est un droit humain. Les membres de la communauté l’avaient aussitôt compris. Ainsi, dès que TFM a mis à leur disposition un système d’eau, ils ont saisi l’occasion pour faire partie du comité de gestion initié par TFM. C’était sous l’accompagnement des services spécialisés, entre autres, le Service National d’Hydraulique Rurale (S.N.H.R.) et Action pour la Construction des Ouvrages Hydrauliques et Assainissement du Milieu (ACOHYDRAM), invités par TFM que le premier comité de gestion d’eau a été formé et mis en place en 2016. Dès lors, il y a eu succession de plusieurs comités de gestion avec un mandat d’exécution de 3 ans. Actuellement, Justin Ilunga est le président de la C.G.E.T. qui, aujourd’hui, emploie un total de nonante-quatre agents.

À ce jour, la C.G.E.T. a pu économiser 41 mille dollars rien qu’en vendant de l’eau et facturant l’utilisation des douches et toilettes publiques qu’elle a construites. Avec cette épargne, l’association compte financer des projets au profit de toute la population. « Nous sommes en train de tout faire pour commencer à empaqueter de l’eau ici à Tenke. Notre objectif est que la population ait un accès facile à l’eau en bouteille ici même, au lieu de toujours voyager à Likasi pour s’en procurer », s’est confié Ilunga.

Outre ce projet, la coopérative planifie la construction d’un restaurant à Tenke. Le projet est dans la phase de fabrication de briques. 15 mille sont déjà prêtes. Joseph Faray, assistant coordination santé au département du développement communautaire de TFM, a salué tout haut la bonne gestion et les initiatives de la C.G.E.T. « Nous voulons que les comités qui sont en place, avec les initiatives qu’ils ont, puissent continuer de l’avant et surtout progresser dans leur système de gestion. De notre côté, nous serons toujours là pour les accompagner », a dit Faray.

Il convient de signaler qu’hormis la C.G.E.T. il y a deux autres structures de gestion d’eau dans la concession TFM, notamment le Comité de Gestion des Puits d’eau dans la Concession (COGEPCO) et la commune de Fungurume, qui gère le circuit d’eau de Fungurume. Toutes ces structures jouissent d’un accompagnement technique de TFM tel que la maintenance des groupes électrogènes qui alimentent les stations de pompage, la réparation des pompes d’eau et tuyauteries, mais aussi l’approvisionnement régulièrement en carburant, comme c’est le cas à Tenke.




Enfin, des Musulmans se réconcilient à l’initiative du chef de l’Etat. 

Après l’appel à l’unité lancé aux musulmans par le Chef de l’Etat il y a un mois, les différentes branches de la Communauté islamique du Congo (COMICO) ont décidé, hier samedi, de fumer le calumet de la paix.

C’était au cours d’une cérémonie de réconciliation, riche en émotions, à laquelle ont participé tous les groupes en conflit. Demande mutuelle de pardon et accolades ont marqué cet événement. Selon le secrétaire général de la COMICO, Idriss Katenga, la division au sein de la COMICO appartient désormais à l’histoire. « Tous les musulmans à travers le pays doivent travailler maintenant pour ramener la paix », a-t-il déclaré.

Ce travail de longue haleine, qui vient concrétiser le vœu du Président de la République, a porté fruit grâce aux bons offices de monsieur Amadou Diaby, un membre influent de la COMICO, accompagné de madame Blanche Aminata Kasa, femme musulmane. La COMICO a remercié le Chef de l’État pour l’attention accordée aux problèmes des musulmans. Elle dit accepter d’enterrer la hache de guerre par respect de l’exhortation du Président Tshisekedi et par respect d’Allah le Très Exalté.

 

Le 28 juin dernier à RECONCILATION DES MUSULMANS SOUS L’IMPULSION DU PRESIDENT FELIX TSHISEKEDI

 

Kinshasa, dimanche 30 juillet 2023

Cellcom / presidence.cd

 

Après l’appel à l’unité lancé aux musulmans par le Chef de l’Etat il y a un mois, les différentes branches de la Communauté islamique du Congo (COMICO) ont décidé, hier samedi, de fumer le calumet de la paix.

 

C’était au cours d’une cérémonie de réconciliation, riche en émotions, à laquelle ont participé tous les groupes en conflit. Demande mutuelle de pardon et accolades ont marqué cet événement. Selon le secrétaire général de la COMICO, Idriss Katenga, la division au sein de la COMICO appartient désormais à l’histoire. « Tous les musulmans à travers le pays doivent travailler maintenant pour ramener la paix », a-t-il déclaré.

 

Ce travail de longue haleine, qui vient concrétiser le vœu du Président de la République, a porté fruit grâce aux bons offices de monsieur Amadou Diaby, un membre influent de la COMICO, accompagné de madame Blanche Aminata Kasa, femme musulmane. La COMICO a remercié le Chef de l’État pour l’attention accordée aux problèmes des musulmans. Elle dit accepter d’enterrer la hache de guerre par respect de l’exhortation du Président Tshisekedi et par respect d’Allah le Très Exalté.

 

Le 28 juin dernier à Kinshasa, lors de sa rencontre avec les musulmans à l’occasion de la grande fête d’Eid el-Kébir, le Chef de l’Etat leur avait demandé de privilégier l’unité et la paix. « Pourquoi êtes-vous divisés, alors que vous n’avez qu’Allah le Miséricordieux en qui vous croyez tous ? », avait-t-il dit à ses interlocuteurs, avant de mentionner l’important poids démographique des musulmans en République démocratique du Congo (RDC). Le Chef de l’Etat s’était dit prêt à les accompagner dans la recherche des solutions à leurs problèmes.

 

C’est depuis quatre ans que la COMICO était déchirée par une guerre fratricide. Toutes les tentatives pouvant apporter la paix entre les musulmans se soldaient par des échecs et au fil du temps, les positions de chaque partie se durcissaient. Trois factions se disputaient le leadership de la gestion de leur communauté. L’opinion garde à l’esprit les échauffourées qui avaient causé mort d’hommes au Stade des Martyrs le 13 mai 2021 où les musulmans s’étaient rassemblés pour clôturer le Ramadan. Des feuilletons judiciaires s’en étaient suivis tout au long de cette crise.




Ituri : Les déplacés de guerre regagnent progressivement la chefferie de Boga 

Une accalmie s’observe déjà dans plusieurs localités de la chefferie de Boga en province de l’Itiri.

D’après M. Bahemuka Kwatoti Daniel, président du comité de déplacés de guerre dans la chefferie précitée qui livre la nouvelle ce dimanche 30 juillet 2023, indique qu’ environ 740 ménages de la population regagnent déjà leurs localités respectives.

Il révèle que cette accalmie est le fruit des opérations menées par les Forces armées de la République démocratique du Congo contre les groupes armés actifs dans la zone.

 

Outre le rétablissement de la sécurité, ces retournés traversent des conditions déplorables car ils sont dépourvus de tout notamment nourritures, médicaments et logements car leurs maisons étaient incendiées par les hors la loi.

Bahemuka Kwatoti Daniel appelle le gouvernement congolais et les organisations humanitaires de leur venir en aide afin de sauver des vies humaines.

Précisons que ces retournés sont concentrés dans deux localités Rubingo et Boga où ils sont exposés à des maladies hydriques.

Alain Wayire




Kinshasa : Restitution des résultats de sous-composantes 1.2 et 2.1 relatives au concours des plans d’affaires (COPA jeunes et COPA PME) du PADMPME

L’une des bénéficiaires, Tendresse Lombala, qui œuvre dans le secteur de l’agro-alimentaire à Kinshasa

M. Désiré M’Zinga Birihanze, ministre de l’Entrepreneuriat, des petites et moyennes entreprises a ouvert, ce samedi 29 juillet 2023 l’atelier de restitution des résultats de sous-composantes 1.2 et 2.1 relatives au concours des plans d’affaires (COPA jeunes et COPA PME) du PADMPME. Cette activité a été organisée par M. Alexis Mangala Ngongo, Coordonnateur du Projet d’Appui au Développement des Micro, Petites et Moyennes Entreprises « PADMPME », qui est un programme de soutien que le gouvernement de la Rdc a mis sur pied pour promouvoir des initiatives économiques des opérateurs du secteur des MPME. Il constitue la première activité de mise en œuvre de la Stratégie Nationale de Développement des Petites et Moyennes Entreprises adoptée en 2016.

A l’issue de deux panels organisés à cet effet, où les bénéficiaires ont partagé leurs expériences, le ministre a expliqué que le concours sur le plan d’affaires nous permet d’évaluer, de savoir où nous allons avec cette vision de création des millionnaires congolais. Il faut commencer par ce par-là. « Ce projet nous permet de nous évaluer et de savoir qui sont parmi ceux-là qui ont bénéficié de notre accompagnement financier et qui ont excellé », dit-il, avant d’ajouter que je suis tout heureux, parce que toute à l’heure dans la salle, nous nous sommes rendus compte que nous avons déjà des millionnaires congolais.

Pour moi, pense-t-il, c’est une bonne évaluation de me dire que nous les avons déjà. Mais j’ai répondu en disant, nous avons déjà fait des millionnaires, mais nous sommes encore très loin. Par rapport à 100 millions d’habitants, en avoir fait une centaine, c’est une goutte d’eau dans l’océan. Le ministre a promis de continuer à relever ce défi-là, même si ceux dont on a présenté aujourd’hui ont déjà fait le chiffre d’affaire de 22 millions de dollars Us. « Nous devons encore continuer, sinon, on va se distraire et ne pas continuer à gérer avec les nouvelles méthodes. C’est une évaluation à ceux qui ont excellé et un encouragement pour ceux qui continuent à travailler », insiste M. Désiré M’Zinga Birihanze, ministre de l’Entrepreneuriat, des petites et moyennes entreprises.

L’une des bénéficiaires, Tendresse Lombala, qui œuvre dans le secteur de l’agro-alimentaire à Kinshasa, a expliqué que le projet PADMPME l’a aidé à développer son projet. « Bien que je travaillais dans l’artisanat, aujourd’hui j’ai une petite industrie au niveau de Limete/Kingabwa », dit-elle, d’un ton rassurant. Sur le terrain, elle a reconnu avoir connu des problèmes pour l’obtention des documents. Mais grâce à COPA, ces difficultés appartiennent au passé.

Selon son témoignage, elle a commencé avec un capital de 500 dollars américains comme chiffre d’affaire. Aujourd’hui elle totalise 25.000 dollars de chiffre d’affaires. Elle travaille avec 7 personnes, dont 5 agents commerciaux et 2 dans l’administration.

Comme difficultés, elle dit avoir eu du mal à trouver les fournisseurs et à faire entrer ses produits dans les supermarchés. Mais grâce à l’accompagnement de COPA, elle expose ses produits dans deux supermarchés la capitale.

Quid de PADMPME et COPA

A en croire Odon Charles Mubiala, le PADMPME est né à la suite d’une ordonnance du président de la République et bénéficie d’un crédit de la Banque mondiale de 100 millions de dollars Us. Il a pour mission de soutenir la croissance des MPME, accroître les possibilités d’emploi et d’entrepreneuriat pour les Jeunes. Il a comme objectifs d’augmenter la part des PME dans l’économie du pays, à la fois en termes de création d’emplois et de richesses. Ce programme qui est installé dans 4 villes: Matadi, Lubumbashi, Goma et Kinshasa comporte trois composantes (entrepreneuriat des jeunes et des femmes entrepreneures ; développement et création des centres des PME et enfin, le renforcement des capacités des acteurs de l’écosystème des PME. Si le PADMPME n’intervient pas dans le commerce général, l’import-export et l’agro foresterie, il est opérationnel dans trois secteurs : l’agro transformation, la petite industrie légère, les services à valeur ajoutée, entrepreneuriat social (école, centres de santé, assainissement). Comme indicateurs clés, le programme s’était lancé dans un challenge de la création de 2000 emplois occupés par les femmes, la formation des 4500 femmes pour créer des bonnes entreprises. Il était aussi question de subventionner 2500 femmes, subventionner 500 entreprises à potentiel de croissance, mais qui ont des difficultés à bénéficier les services des banques.

M. Odon Charles Mubiala n’a pas manqué de dire un mot au sujet du Concours de plans d’Affaires (COPA), qui constitue une initiative du Projet d’Appui au Développement des Micro, Petites et Moyennes Entreprises (PADMPME) dont l’objectif de fournir à celles-ci l’accompagnement technique et financier nécessaires qui leur permettront d’améliorer leurs performances, de renforcer leur résilience, la création d’emplois et d’assurer de façon durable leur croissance par le développement des activités à forte valeur ajoutée.

La sous-composante cible les PME qui opèrent dans les secteurs de l’industrie légère et des services, à l’exclusion du commerce. Le nombre de bénéficiaires ciblés est de 500 PME. Pour encourager la participation des PME dirigées par des femmes, cette sous-composante établit un ratio de 40% d’allocation de subventions de contrepartie pour les PME dirigées ou appartenant à des femmes, et les PME dirigées par des femmes qui répondent à tous les critères d’éligibilité seront prioritaires dans l’allocation de subventions de contrepartie. L’objectif est d’atteindre ou de dépasser le ratio de 40%, qui est beaucoup plus élevé que le ratio des PME dirigées par des femmes en RDC (moins de 20%).




1 dollar américain vaut 2.300 FC : Des mesures prises par Fatshi à la base de l’appréciation du taux de change

Après les différentes mesures prises à l’issue d’une réunion sur l’état de l’économie du pays, présidée par le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi le 17 juillet dernier, une baisse du taux de change du dollar américain a été constatée ce week-end à Kinshasa, capitale de le République démocratique du Congo (RDC).

Ce dimanche 30 juillet, 1 dollar américain vaut 2.300 Franc congolais (FC). Il se négociait jusqu’à 2.600 FC il y a quelques jours. « Je confirme cette baisse du taux de change qui nous réjouit. Merci aux autorités pour cet effort de continuer à valoriser le Franc congolais », a déclaré à la presse présidentielle Désiré Loma, Président des cambistes de Kinshasa.

Il y a près de deux semaines, le Chef de l’Etat avait réuni urgemment les membres du gouvernement, le Président du Conseil économique et social, l’Inspection générale des finances, la Fédération des entreprises du Congo, l’Association congolaise des banques et la Banque centrale du Congo (BCC) pour une séance de travail visant à remédier à la dépréciation du FC sur le marché de change.

Parmi les décisions annoncées à l’issue de cette rencontre figuraient la poursuite par la BCC des interventions vigoureuses et régulières sur le marché de change en mettant à la disposition de celui-ci les devises étrangères prélevées sur notamment les réserves de change, la gestion rigoureuse des finances publiques, l’interdiction du paiement des dépenses publiques en espèces aux guichets de la BCC et le paiement de tous les impôts, taxes, redevances et droits dus à l’Etat en FC.

Le Chef de l’Etat avait fait un rappel de ces mesures lors la 105ème réunion du Conseil des ministres, le 21 juillet dernier, et avait chargé le ministre d’Etat/ministre du Budget, le ministre des Finances, la gouverneure de la BCC et l’Inspection générale des Finances de veiller à leur application. Le Premier ministre était chargé d’assurer le suivi de leur mise en œuvre.

Bien avant cette réunion, le Président Félix Tshisekedi s’était déjà montré à l’écoute des préoccupations des Congolais sur la situation économique du pays. Il l’avait fait savoir lors de son discours, le 30 juin dernier, lors de la célébration des 63 ans d’indépendance de la RDC. « L’amélioration des conditions de vie de mes concitoyens demeure au cœur de mes priorités quotidiennes », avait déclaré le Chef de l’Etat. « J’ai assigné au gouvernement de la République et à la BCC, la tâche particulière d’accentuer les efforts de stabilisation des paramètres macroéconomiques, en vue de limiter au maximum les effets néfastes sur le panier de la ménagère », avait-il conclu.




Du 29 juillet au 4 août : La secrétaire d’État adjointe par intérim Nuland visite l’Afrique du Sud, la Côte d’Ivoire et la Rdc

La secrétaire d’État adjointe par intérim et sous-secrétaire d’État aux Affaires politiques Victoria Nuland se rendra en Afrique du Sud, en Côte d’Ivoire et en République démocratique du Congo du 29 juillet au 4 août.

Selon une note aux médias de l’Ambassade des Etats-Unis en Rdc, en Afrique du Sud, la secrétaire d’État adjointe par intérim dirigera la délégation américaine qui participera au Groupe de travail États-Unis-Afrique du Sud sur les questions africaines et mondiales. La secrétaire d’État adjointe par intérim s’entretiendra aussi avec des responsables de haut rang du gouvernement sud-africain et des leaders du secteur de l’énergie.

En Côte d’Ivoire, la secrétaire d’État adjointe par intérim s’entretiendra avec des responsables du gouvernement ivoirien pour discuter de questions relatives à la paix régionale et à la sécurité, de la coopération économique et de l’appui à la gouvernance démocratique.

En République démocratique du Congo, elle s’entretiendra avec des responsables de haut rang du gouvernement pour discuter de l’appui des États-Unis à des élections libres et équitables, de la paix et de la sécurité dans l’est de la RDC, de l’aide humanitaire, de la prospérité économique et des institutions démocratiques et de la gouvernance.




A l’occasion de la fête du Trône : L’ambassadeur Rachid Agassim félicite le président Tshisekedi qui s’est personnellement engagé pour la tenue et la réussite des Jeux de la Francophonie 

M. Rachid Agassim, ambassadeur du Royaume du Maroc en Rdc a organisé ce dimanche 30 juillet une grandiose réception, à l’occasion du 24éme anniversaire de l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au Trône de ses Glorieux ancêtres. A l’en croire, l’intronisation du souverain marocain intervient en pleine période des 9éme Jeux de la Francophonie que nos frères rd-congolais ont eu le mérite d’abriter et qu’ils sont en train de l’accomplir de main de maitre. Dans son intervention, Rachid Agassim a vanté des relations sincères, pragmatiques et solides, matérialisées par plusieurs faits. Pendant la période du Covid-19, le Maroc a fait don à la RDC de 12 tonnes de produits médicaux et matériel sanitaire pour faire face à cette pandémie et ce, dans le cadre d’une opération continentale qui a concerné 20 pays africains, en plus de la Commission de l’Union Africaine. Aussi, au début de cette année, le Maroc a fait don de 5500 tonnes d’engrais et fertilisants au profit des petits agriculteurs pour améliorer leur productivité. Dans son discours devant les invités de marque dans un restaurant de la place, l’ambassadeur Rachid Agassim souligne que ces relations ont été, également, marquées, cette année, par une dynamique remarquable au niveau des relations économiques entre la RDC et le Royaume du Maroc, sous l’impulsion des deux Chef d’Etat frères et amis et animée par la ferme volonté des pouvoirs publiques et privés dans les deux pays.

Il s’agit des actions suivantes : Une importante mission de prospection économique et d’investissement s’est déplacée au Maroc, ce qui a permis plusieurs échanges entre les institutionnels et les communautés d’affaires des deux pays, devant déboucher sur des partenariats multisectoriels. S’en est suivie, en avril dernier, la signature d’une convention de partenariat économique entre les Chambres de Commerce, d’Industrie et des Services des deux capitales Kinshasa et Rabat; ainsi, c’est la deuxième Chambre de Commerce après celle créée en février 2020, la Chambre de Commerce RDC-Maroc.

Pas plus tard que la semaine dernière, il y a eu la signature, à Rabat, d’un Protocole d’Accord de collaboration entre l’ANAPI et l’ASMEX pour la promotion des investissements; La finalisation et le paraphe de plusieurs Projets d’Accord qui sont de nature à valoriser considérablement les relations bilatérales.

Ci-dessous le discours prononcé par l’Ambassadeur à l’occasion de la célébration du 24éme anniversaire de la Glorieuse Fête du Trône :

Jean-Marie Nkambua

 

Discours de circonstance de Monsieur l’Ambassadeur à l’occasion de la célébration du 24éme anniversaire de la Glorieuse Fête du Trône

Honorables Députés, Excellences, Chers compatriotes, Mesdames et Messieurs, Tout protocole observé

L’honneur m’échoit de vous accueillir parmi nous, aujourd’hui, pour célébrera avec le peuple marocain le 24éme anniversaire de l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’Assiste, au Trône de ses Glorieux ancêtres.

Je profite de l’occasion pour vous exprimer, au nom de mon pays et de mes concitoyens, mes sincères remerciements pour avoir honoré de votre présence les festivités de cette glorieuse Fête.

Aujourd’hui, nous célébrons l’intronisation du souverain marocain, mais également la longévité des liens forts, immémoriaux et indéfectibles d’allégeance, sans cesse affirmés entre les Sultans et les Rois de la Glorieuse dynastie Alaouite et le peuple marocain avec toutes ses composantes linguistiques, culturelles et confessionnelles de Tanger au Nord à Lagouira au Sud.

Cette année-là, nous nous réjouissons, également, de la reprise de ces festivités, lesquelles ont été malheureusement rompues pendant un certain moment, suite à la crise sanitaire qui sévissait partout dans le monde due à la pandémie du Covid-19.

Cette année se distingue par plusieurs particularités.

D’abord, elle se tient en pleine période des 9éme Jeux de la Francophonie que nos frères rd-congolais ont eu le mérite d’abriter et qu’ils sont entrain de l’accomplir de main de maitre.

Je saisis cette occasion pour féliciter S.E. M. Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République Démocratique du Congo, qui s’est personnellement engagé pour la tenue et pour la réussite de ces Jeux.

Je félicite, également, le Gouvernement de la RD-Congo et tous les partenaires de ce pays, en l’occurrence les pays membres de l’OIF, qui ont tous concouru à ce succès.

Ces Jeux sont, tout d’abord, la célébration de la Jeunesse et représente un investissement idoine dans cette Jeunesse, qui est l’avenir et l’espoir de notre cher Continent, l’Afrique.

Excellences, Mesdames et Messieurs,

Sur le plan bilatéral, le Royaume du Maroc et la République Démocratique du Congo, deux pays africains amis et frères, ont noué depuis leur indépendance, des relations solides ayant pour base la sincérité, l’entraide, la solidarité et le soutien mutuel.

L’histoire nous rappellera toujours que le Maroc a été aux côtés de la RDC dans les années 60 et 70 quand il était question de défendre son intégrité territoriale. Dans ce contexte, le Maroc est toujours dans cette dimension à travers la participation d’un contingent militaire au sein de la MONUSCO.

Et bien évidemment, on se rappellera toujours que la RDC a été aux côtés du Maroc s’agissant de la marocanité du Sahara.

Des relations sincères, pragmatiques et solides, ce n’est pas un slogan, c’est une réalité :

1- Pendant la période du Covid-19, le Maroc a fait don à la RDC de 12 tonnes de produits médicaux et matériel sanitaire pour faire face à cette pandémie et ce, dans le cadre d’une opération continentale qui a concerné 20 pays africains, en plus de la Commission de l’Union Africaine;

2- Au début de cette année, le Maroc a fait don de 5500 tonnes d’engrais et fertilisants au profit des petits agriculteurs pour améliorer leur productivité.

Ces relations ont été, également, marquées, cette année, par une dynamique remarquable au niveau des relations économiques entre la RDC et le Royaume du Maroc, sous l’impulsion des deux Chef d’Etat frères et amis et animée par la ferme volonté des pouvoirs publiques et privés dans les deux pays.

Citons, à cet égard, entre autres, les actions suivantes :

1. Une importante mission de prospection économique et d’investissement s’est déplacée au Maroc, ce qui a permis plusieurs échanges entre les institutionnels et les communautés d’affaires des deux pays, devant déboucher sur des partenariats multisectoriels.

2. S’en est suivie, en avril dernier, la signature d’une convention de partenariat économique entre les Chambres de Commerce, d’Industrie et des Services des deux capitales Kinshasa et Rabat; ainsi, c’est la deuxième Chambre de Commerce après celle créée en février 2020, la Chambre de Commerce RDC-Maroc.

3. Pas plus tard que la semaine dernière, il y a eu la signature, à Rabat, d’un Protocole d’Accord de collaboration entre l’ANAPI et l’ASMEX pour la promotion des investissements;

4. La finalisation et le paraphe de plusieurs Projets d’Accord qui sont de nature à valoriser considérablement les relations bilatérales.

Le domaine des médias et de l’information n’est pas en reste : l’Agence Congolaise de Presse et l’Agence Maghreb Arabe Presse ont, récemment, signé un accord de partenariat.

A cela s’ajoute un autre pilier majeur qui fait l’exception de nos relations bilatérales, celui de la formation et de l’enseignement supérieur.

En effet, le Royaume du Maroc continue, d’une manière consistante et constante, à accorder des centaines de bourses d’études, chaque année, au profit des jeunes rdcongolais.

Cette année encore, 160 bourses ont été accordées pour les études au cycle supérieur normal et pour la formation professionnelle, 20 bourses au profit de la Fondation Denis Nyakeru dans le cadre du programme Excellentia. En sus, une cinquantaine de bourses ont été accordées aux médecins optant pour la spécialisation dans plusieurs domaines médicaux de pointe au Maroc.

Autant d’exemples et d’indications qui invitent les décideurs et les opérateurs économiques rd-congolais à opter pour un partenaire de choix, un pays qui a fait ses preuves en Afrique, le Royaume du Maroc.

Ce n’est pas un hasard si le Maroc est, pour le moment, le 2éme investisseur africain en Afrique, bientôt le premier et ce, grâce à la politique et à la vision clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’Assiste.

Excellences, Mesdames et Messieurs,

Par ailleurs, cette année sera le témoin d’une autre expérience démocratique qui touche la scène politique du pays, celle des élections présidentielles et législatives prévues en décembre 2023.

Nous souhaitons tous que cet exercice se passe dans la paix et la sérénité à l’image des précédentes élections de décembre 2018.

J’espère, également, de tout mon cœur, que cette année sera porteuse d’un dénouement à la crise qui sévit à l’Est du pays dans le respect total de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de la RDC.

Je vous remercie tous

Na tondi bino nioso botondi

 




Bukavu : L’incendie de l’entrepôt n’est pas de nature à retarder l’ouverture des BRTC pour les élections des députés provinciaux et des conseillers communaux (Patricia Nseya)

La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) informe l’opinion nationale et internationale que, dans la nuit du vendredi 28 au samedi 29 juillet 2023, un incendie s’est déclaré à l’entrepôt de son Secrétariat Exécutif Provincial, situé dans l’enceinte de la concession de la Société Nationale des Chemins de Fer du Congo (SNCC), dans la province du Sud-Kivu.

En attendant les enquêtes approfondies en vue de déterminer l’origine de cet incendie, indique Mme Patricia Nseya, les dégâts matériels ci-après ont été constatés : 963 sur 1 292 dispositifs électroniques de vote (DEV), anciennement connus sous le nom de machines à voter, calcinés; des batteries au lithium consumées; des groupes électrogènes brûlés; des motos calcinées; des panneaux solaires et autres matériels électoraux totalement détruits.

La CENI invite donc les autorités compétentes à diligenter une enquête pour déterminer les causes de cet incendie et le cas échéant, sanctionner les auteurs matériels et intellectuels, conformément à la loi.

Toutefois, la CENI rassure que cet incendie n’est pas de nature à retarder l’ouverture des Bureaux de Réception et de Traitement des Candidatures (BRTC) pour les élections des députés provinciaux et des conseillers communaux, prévue, le 03 août 2023, dans la province du Sud-Kivu.