Échange documentaire sino-africain : rencontre avec le réalisateur congolais Ngalouo Flogy Dostov

La “Journée d’échange documentaire Chine-Afrique” s’est déroulée mardi, dans le cadre du “Festival international sur le documentaire de la Route maritime de la Soie” à Quanzhou, dans la province du Fujian, dans le Sud de la Chine. À cette occasion, le réalisateur congolais, Ngalouo Flogy Dostov, a partagé avec nous ses expériences dans la production sino-africaine et ses attentes à l’égard de l’événement.

 

“Les films sino-africains ou les documentaires sino-africains sont caractérisés par les perspectives croisées, c’est-à-dire que nous avons la collaboration qui existe entre la Chine et l’Afrique, nous avons des vidéos, disons, des films, qui parlent de sujets des Africains, des Chinois, mélangés, et ce sont des sujets qui parlent de l’économie, de la culture entre les deux régions. Les malentendus, là où il y a des êtres humains, il y a toujours des malentendus. Mais cela ne veut pas dire qu’il y a toujours des malentendus, et je pense bien que dans le documentaire que nous faisons, nous avons déjà eu à filmer des histoires qui montrent qu’il y avait une grande distance entre les deux peuples par rapport à la compréhension culturelle, la compréhension de la façon dont les gens vivent ici et ailleurs, en Afrique et en Chine. Mais après avoir eu à faire cette production, nous remarquons qu’il y a beaucoup de personnes ici en Chine, et aussi en Afrique, qui comprennent les deux cultures, qui essaient de travailler dans le sens de mettre les deux peuples ensemble.

Je pense, premièrement, que cet événement met en lumière les documentaires pour essayer de propager l’information et d’aider les personnes à comprendre la culture chinoise et la culture africaine. Et je pense que si on continue dans cet élan, à avoir ce genre d’activités, cela permettra aux peuples africains et aux peuples chinois de se comprendre, d’apprendre beaucoup de choses des deux côtés, et aussi, cela va permettre aux réalisateurs et aux scénaristes africains et chinois de travailler ensemble, parce que c’est très important. Nous avons besoin de ces plateformes”, a déclaré Ngalouo Flogy Dostov.

CGTN




Procès des présumés kidnappeurs à Kinshasa : Magistrature et chirurgie de pointe indexées

Après l’identification mardi des présumés kidnappeurs, le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe a tenu l’audience publique ce mercredi 05 juillet 2023 à l’esplanade du bâtiment de la Territoriale, abritant le ministère de l’Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières. Les présumés criminels sont jugés en procédure de flagrance. Ces présumés auteurs de kidnapping dans la capitale de la RDC, Kinshasa, ont été présentés publiquement lundi par le VPM de l’Intérieur et sécurité après un réquisitoire sévère de la police nationale qui avait procédé à leurs attestations. L’Organe de la loi (Ministère public)  en avait ainsi décidé pour permettre aux prévenus d’être assistés par leur défense. Ces présumé kidnappeurs doivent répondre des quatre griefs retenus contre eux, à savoir : Association des malfaiteurs, enlèvement des personnes, assassinats et vols avec violences et risquent la peine maximale, la perpétuité.

A en croire la cellule de communication de la Vice Primature, ministère de l’Intérieur, à l’instar des avocats de la partie civile, « toute l’opinion nationale  attend des sanctions exemplaires contre toutes ces personnes », et surtout qu’ils purgent effectivement leurs peines. Pour cela, la population a massivement ‘investi le Bâtiment de la Territoriale pour assister à l’audience où les victimes des actes de ces malfrats ont été invité à témoigner devant le Tribunal.

« Le problème est assez profond que l’on ne pense! C’est un réseau hautement sécurisé qui doit bénéficier de la complicité possible  des policiers et militaires haut gradés, des dirigeants  politiques et des magistrats cupides  », soupçonne un observateur qui n’a pas manqué de  rappeler qu’un de ces kidnappeurs a affirmé qu’il a fait 7 fois la prison, mais a toujours été relâché. Il est donc logique de se  demander s’il n’y a pas une puissante main à la manœuvre pour faciliter ainsi  la libération de ce kidnappeur.

« Sûrement un groupe d’officiers hautement élevés en grade qui font en sorte de libérer tous leurs complices pour justement effacer les traces pour qu’ils ne soient pas poursuivis.  Il faut donc remonter au sommet, au cerveau pour détruire le réseau»», présume un témoin sur les lieux de l’audience.

Sur les réseaux sociaux circule un autre cas d’un soit disant ex kidnappeur en liberté après arrestation. Il s’agit d’une fille qui aurait été arrêté en 2020  pour de faits d’enlèvements et qui circulerait librement dans les rues de Kinshasa qu’on aurait même aperçue dans une grande production musicale.

Quid du trafic d’organes humains à Kinshasa ?

Généralement à Kinshasa, pour ne pas parler de la RDC en général, à chaque fois qu’il y a des événements comme celui de la présentation  des présumés  kidnappeurs ce mardi 04 juillet 2023, on insiste sur le trafic d’organes qui, selon les spéculations,  serait la motivation des cas d’enlèvements ces derniers temps. Ce possible piste soulève toutefois des interrogations.

Tenez,  « pour enlever un rein qui soit fonctionnel, il faut un neurochirurgien, espèce rare en RDC. Pour transplanter, il faut en plus d’un neurochirurgien, un neurologue et le rein meurt en moins de 3 heures, donc il faut que la personne réceptrice soit en moins de trois heures de l’endroit », éclaire un médecin.

En se renseignant sur le trafic  d’organes,  on s’apercevra  que pour prélever un organe dans un corps, le conserver pour une transplantation, il faut de l’expérience en chirurgie. C’est un processus extrêmement compliqué qui exige d’un chirurgien au moins 15 ans d’expérience et un plateau médical ne des plus grands hôpitaux. Souvent l’intervention se fait sur la même table pour le donneur et le récepteur, pour une  transplantation quasi instantanée.

A en croire certains médecins, à moins que l’opération soit pour des fins mystiques ou pour l’alimentation, mais en aucun cas pour des fins médicales. Si ce sont des enlèvements pour trafics d’organes humains, à moins d’autres mécanismes, cette opération chirurgicale est compliquée. L’hypothèse probable serait donc celle des opérations sur place, ici à Kinshasa.

Il est vrai que le prélèvement et la transplantation des organes sont une opération compliquée, car il faut maintenir ces organes en vie et intervenir le plus rapidement possible.  En cas d’expatriation,  faire sortir du pays, il est quasi impossible de les envoyer par avions cargo.

Alors, soit il y a une vraie industrie à Kinshasa avec des potentiels commanditaires extrêmement puissants, des médecins chevronnés dont un urologue et un  néphrologue ainsi qu’un centre hospitalier moderne très performant. « Les véritables trafiquant d’organes dans le monde, enlève des enfants, souvent, les élèves en fait de manière saine pour qu’ils puissent être compatibles et potentiel donneur », renseigne un ancien habitant de Bombay en Inde, en séjour à Kinshasa.

Sinon, on « peut tomber sur un alcoolique, un fumeur de tabac à hygiène de vie incertaine pour prendre son rein ou son foi. Ou bien sur quelqu’un qui  a  déjà lui-même un problème de santé comme une cirrhose ou quelque insuffisance rénale ou je ne sais pas moi hépatite de de quelque lettre », renchérit un autre observateur.

Ceux qui sont donc dans ce business doivent prendre toutes les mesures nécessaires pour que le business marche. Avoir une logistique médicale conséquente derrière et c’est vers elle que la justice et la police doivent s’orienter pour mettre un terme au phénomène. On peut donc soupçonner  l’implication des certains chirurgiens expatriés et certains centres hospitaliers ultra-modernes de la capitale qui accueillent des patients qui viennent de l’étranger pour la transplantation, et que tout se passerait  sur place à Kinshasa… Wait and see.

                                                           Willy Makumi Motosia




Le cinquième Concours de vidéos courtes de l’initiative « la Ceinture et la Route » est officiellement lancé

Le cinquième Concours de vidéos courtes de l’initiative « la Ceinture et la Route » a été officiellement lancé en 2023, à l’occasion du 10e anniversaire de la proposition de cette initiative. Sous le haut patronage Département de l’information du ministère chinois des Affaires étrangères et  du Bureau de la Commission centrale des affaires du cyberespace, l’événement est conjointement organisé par l’Association chinoise de diplomatie publique, le Centre d’information de la Commission d’administration et de supervision des actifs publics du Conseil d’État (SASAC) et Global Times Online. Kuaishou est utilisé comme plateforme exclusive de vote et StarTimes est le partenaire média de cette édition du concours.

Ayant pour thème « Écrivons un nouveau chapitre ensemble par l’interconnexion », le concours comprendra des compétitions régionales et la finale mondiale. Tous les constructeurs, les participants et les citoyens des pays et régions situés le long de l’initiative « la Ceinture et le Route » sont invités à montrer, sous forme de vidéos courtes, les résultats fructueux de la coopération entre la Chine et ces pays et régions, dans le but d’améliorer la compréhension de la communauté internationale vis-à-vis de cette initiative ainsi que de l’esprit de la Route de la soie, caractérisé par la paix, la coopération, l’ouverture, la tolérance, l’apprentissage et l’inspiration mutuels, les avantages réciproques et le gagnant-gagnant.

L’appel à candidatures en ligne du concours a été déjà lancé et s’adresse aux entreprises ou individus (équipes). La sélection du concours de cette année se déroulera en trois étapes : sélection préliminaire par le comité d’organisation, vote d’internautes et enfin évaluation par des experts. Après la première sélection du comité d’organisation, les vidéos répondant au thème et aux règles du concours seront soumises au vote d’internautes sur Kuaishou pour une durée spécifiée. Les 100 œuvres ayant obtenu le plus grand nombre de votes ainsi que les œuvres exceptionnelles recommandées par le comité d’organisation seront jugées par des experts, qui effectueront une sélection complète basée sur les effets visuels, la communication émotionnelle, l’expression d’opinions et le nombre de vues sur d’autres plateformes.

L’édition de cette année décernera « Prix de l’intégration des civilisations », « Prix des plus beaux constructeurs de ‘la Ceinture et la Route’ », « Prix de la voix de la génération Z », « Prix de la popularité (en Chine) », « Prix de la popularité (à l’étranger) », « Prix de la meilleure technologie », « Prix des meilleurs diffuseurs de la Route de la soie », « Prix d’excellence pour les œuvres », « Prix d’excellence pour les organisateurs », etc. Les vidéos exceptionnelles récompensées auront la possibilité d’être diffusées sur des plateformes de vidéo de Global Times Online, ainsi que sur des applications vidéo chinoises et internationales telles que Kuaishou, TikTok, Facebook et YouTube. La cérémonie de remise des prix aura lieu vers la fin du mois d’août prochain à Xiamen, dans la province du Fujian (sud-est de la Chine).

En tant qu’événement international organisé avec succès pour quatre fois, le Concours de vidéos courtes de l’initiative « la Ceinture et la Route » fait preuve d’une belle vitalité et d’une influence croissante dans le monde entier. Pendant les quatre éditions précédentes, le comité d’organisation a reçu près de 3000 vidéos venant de 89 pays et régions du monde, avec une diffusion totale de plus d’un milliard de vues, dont 100 millions de vues à l’étranger. À travers des histoires émouvantes et des réalisations remarquables, le concours a témoigné des efforts déployés conjointement par la Chine et les pays situés le long de l’initiative « la Ceinture et la Route » pour créer un avenir meilleur.




Tunisie : actes de haine et de discriminations à Sfax contre les Subsahariens

Dans la nuit de lundi à mardi, des affrontements violents entre migrants Subsahariens et populations locales se sont intensifiées à Sfax en Tunisie. Un Tunisien a été tué dans des heurts avec des migrants africains à Sfax dans le centre-est du pays, et ville portuaire et pôle économique majeur du pays. La seconde ville de Tunisie au Centre-est est où la tension et à son comble est également le point de départ d’un grand nombre de traversées illégales vers l’Italie. 

Dans la soirée de lundi, une maison louée à des Subsahariens a été incendiée au quartier Bahri à Sfax. Des accrochages dans le quartier “Al-Rabadh“ de la ville de Sfax, entre des migrants et habitants de la région, ont fait de nombreux blessés et des dommages matériels et un certain nombre de voitures ont été brûlées et détruites, des maisons incendiées.

Des individus masqués avec des barres de fer, jets de pierre, bref toute la panoplie d’une révolte urbaine manifeste ont caractérisé la nuit de lundi à mardi à Sfax et témoignent de la violence entre Tunisiens et Subsahariens. Il a fallu l’intervention de la police et les gaz lacrymogènes pour ramener un calme précaire.

L’homme, né en 1981, a été mortellement poignardé lors d’affrontements entre des habitants d’un quartier de Sfax et des migrants originaires d’Afrique subsaharienne, a indiqué le porte-parole du Parquet de Sfax, « Trois subsahariens soupçonnés d’implication dans ce meurtre et qui seraient de nationalité camerounaise, selon les informations préliminaires, ont été arrêtés », a-t-il ajouté.

Des affrontements à coups de jets de pierres avaient déjà opposé dimanche soir des Subsahariens à des habitants de Sfax, lors desquels des véhicules et des logements ont été endommagés. La police avait fait usage de gaz lacrymogène pour mettre fin aux heurts. Les habitants de Sfax protestent régulièrement contre la présence de subsahariensen situation irrégulière et réclament leur départ. Dans les quartiers populaires de la ville où habitent les migrants, des violences verbales et physiques éclatent souvent entre les deux parties.

Ces violences s’étaient multipliées après le discours pour le moins teinté de racisme, en février dernier du président Kais Saied qui avait pourfendu l’immigration clandestine et l’avait présenté comme une menace démographique pour son pays. Plusieurs ONG locales et internationales se sont alors soulevées pour dénoncer et condamner « le discours de haine et de discrimination et d’intimidation à l’encontre les migrants (d’Afrique subsaharienne). Le président tunisien avait attribué aux « migrants clandestins » un prétendu complot « pour changer la composition du paysage démographique en Tunisie ».

C’était un feu vert donné à la population pour s’adonner à des actes de violence, chasse aux migrants légaux ou illégaux subsahariens, dont nombre de ces derniers (21 000) furent expulsés manu-militari de leurs logements. Fin mai, un migrant béninois de 30 ans trouvait la mort, poignardé en cela lors d’une attaque menée par un groupe de jeunes Tunisiens dans un quartier populaire à Sfax justement.

Cela avait été l’étincelle qui avait accru le racisme dans la ville. Les Sfaxiens dans une énième manifestation devant le siège du gouvernorat réclamaient l’intervention des autorités pour mettre fin au phénomène migratoire et expulser les Subsahariens du pays. La situation avait dégénéré en chasse aux migrants de leurs domiciles, les assaillants profitant du laxisme des autorités tunisiennes usaient de force et de violence en toute impunité.

La plupart des migrants d’Afrique subsaharienne viennent en Tunisie pour tenter ensuite de rejoindre l’Europe par la mer, en débarquant clandestinement sur les côtes italiennes. Sfax est depuis longtemps connue comme un lieu de départ pour les embarcations de migrants tentant de traverser illégalement vers l’île italienne de Lampedusa, située à environ 150 kilomètres des côtes tunisiennes. En 2023, plus de 30 000 personnes ont déjà rejoint l’île italienne depuis les côtes de Sfax.

https://fr.hespress.com

 

 




MAOMBI-NON STOP*PROPHETIE* DU MERCREDI 05 JUILLET 2023 AVEC LE Past. François MUTOMBO VOICI L’HOMME




Volley-ball : Suite et fin du calendrier de la phase retour du championnat de l’Euvokin

M.Charles Mananga, secrétaire exécutif de l’Entente Urbaine de Volley-ball de Kinshasa ‘’Euvokin’’ a publié la suite et fin du calendrier de la phase retour.

16è journée du championnat. Tous les matchs se jouent au terrain du commissariat général de la police.

A suivre Jeudi 06/07/2023

11h00 : Olympic vs Force Terrestre (M) :

12h00 : Inter vs Green Team (M):

13h00 : Espoir vs Bythiah (M) :

Samedi 08/07/2023

11h00 : La Loi vs Ouragan (D) :

12h00 : Free Boys vs Inter (M):

13h00 : Police  vs Madaka (M) :

Dimanche 09/07/2023

9h00 : Green Team  vs Olympic (M) :

10h00 : Force Terrestre vs Espoir (M):

11h00 : DCMP vs Canon (D) :

Lundi 10/07/2023

12h00 : Bythiah vs Olympic (M):

13h00 : Madaka vs Free Boys (M) :

Par ailleurs, le secrétariat de l’Euvokin informe tous les clubs que le début du play off est fixé le 13/07/2023.

Antoine Bolia




Judo et Cyclisme : Président Me Minimbu Bibola alias MB ou Domo sera enterré le mercredi 5 juillet au cimetière de Kimberley Park

Décédé à Kinshasa, le jeudi 22 juin 2023 de suite d’une crise, Me MB, Domo Mubarak, président de l’Entente Urbaine de Judo de Kinshasa Est pendant plusieurs mandats, il était également ancien membre du comité de la Ligue Provinciale de cyclisme de Kinshasa, sera enterré ce mercredi 5 juillet 2023 au cimetière de Kimberley Park, route de Matadi.

Après la veillée mortuaire dans la salle polyvalente du Centre Culturel de Lemba, ex Alliance Franco-congolaise de Lemba hier, voici la suite :

Mercredi 05/07/2023

Levée du corps après recueillement à la morgue du cinquantenaire à partir de 9h45 qui sera suivi de l’enterrement au cimetière de Kimberley Park, route de Matadi vers Kasangulu, dans la province de Kongo Central.

A cet effet, la Ligue Provinciale de Cyclisme de Kinshasa ‘’Liprocykin’’ invite les cyclistes kinois qui seront disponibles ce mercredi 5 juillet 2023 de se retrouver ce matin à l’hôpital du cinquantenaire pour rendre un dernier hommage à l’illustre disparu.

Antoine Bolia




Badminton : La Febadco célèbre ce 5 juillet la journée mondiale de Badminton

Ce mercredi 5 juillet 2023, c’est la journée mondiale de Badminton.

Pour la petite histoire, c’est en cette date que la première fédération mondiale de Badminton a été créée. C’était la Fédération Internationale de Badminton en 1934, à Londres, en Angleterre.

Antoine Bolia 




Taekwondo : Les Léopards/ITF déjà 4è séance de préparation au stade des martyrs

Le mardi 4 juillet 2023, les Léopards de taekwondo ITF ont eu leur 4è séance d’entrainement au dojang national situé à l’entrée 9, stade des martyrs.

Pour revenir à la journée de mardi dernier, le coach national titulaire Me Coco Bosobi N’sangi qui était assisté des Me Irvin Patrick Mvemba Kuvela, le coach national adjoint et Billy Keteve, entraineur provincial de la ligue de taekwondo de Kinshasa, ont coordonné l’entrainement. Cette séance était beaucoup plus axé sur les travaux de sparing partner pour s’assurer du timing de chaque présélectionné en vue de l’orientation parfaite et à la hauteur de la compétition qui pointe à l’horizon, à savoir Championnat du monde qui sera organisé à Séoul, capitale de la Corée du Sud.

A la fin de l’entrainement, le staff technique a organisé la séance de la pesée afin de bien suivre et de bien règlementer l’oscillation des poids de chacun des Léopards.

Remerciements à Me Willy Makengo Ngunga, président de la Fédération de Taekwon-do du Congo ITF pour les  équipements mis à la disposition des Léopards/ITF. La 5è séance est fixée pour le Jeudi 6 juillet 2023 toujours au stade des martyrs à partir de 14h00.

En ce qui concerne l’horaire des entraînements des Léopards de taekwondo/I.T.F, ils s’entrainent le mardi et le jeudi. Le samedi de 6 h à 10 h. Lieu : Stade des martyrs voir l’entrée 9.

Antoine Bolia




Beach Volley : Belle entame des Léopards à Bangui pour la 1ère fenêtre des éliminatoires zone 4

Le mardi 4 juillet 2023, les Léopards dames et messieurs ont dans l’ensemble bien démarré les éliminatoires zone 4 de beach volley constituant la 1ère fenêtre des qualifications pour les Jeux Olympiques d’été Paris 2024. La compétition se joue à Bangui, capitale de la République Centrafricaine.

La cérémonie d’ouverture a été marquée par le mot de bienvenue prononcé par M. Badekaras Konghazi Bernardin, président de la fédération Centrafricaine de volley-ball qui a été suivi de celui du délégué du ministre centrafricain des sports et bien attendu les rencontres du jour.

Ci-après les résultats enregistrés mardi 4/07/2023 :

Dames

RCA 1 vs Cameroun 2 : 0-2 (05-21, 08-21)

RDC2 (Tetila et Mpeti) vs Tchad2 : 2-0 (21-05, 21-02)

Cameroun1 vs RDC1 (Nsimba et Tshama) : 0-2 (11-21, 17-21)

Messieurs

RCA1 vs Tchad2 : 2-0 (21-7, 21-9)

Cameroun1 vs RDC2 : 2-0 (21-17, 21-12)

Tchad1 vs RCA2 : 2-0 (22-20, 21-13)

Le dernier match qui devait opposer RDC1 (Shesha et Perpétu Salasala) vs Cameroun2 n’a pu se jouer à cause de l’insuffisance de lumière.

La 2è journée se joue ce mercredi 5/07/2023

Tout va commencer par le match non joué hier RDC1 (Shesha et Perpétu Salasala) vs Cameroun2.

Programme de la journée

Messieurs

10h00 : RCA1 vs RDC2 :

11h00 : Tchad1 vs Cameroun1 :

12h00 : RCA1 vs Cmr2 :

13h00 : RDC1 vs Tchad2 :

Dames

14h00 : RDC2 vs RCA1 :

15h00 : CMR2 vs RDC1 :

16h00 : RCA2 vs CMR1 :

Messieurs

17h00 : RCA1 vs RDC1 :

18h00 : CMR2 vs Tchad2 :

19h00 : RCA2 vs CMR1 :

20h00 : Tchad1 vs RDC2 :

Pour rappel, 4 nations sont présentes et participent à cette compétition. Il s’agit de : Cameroun, Tchad, RDC et RCA.

Antoine Bolia