Ituri : 28 personnes libérées des mains des ADF près de Mambasa
Au total 28 personnes ont été libérées des mains des rebelles ADF dans la soirée du vendredi 30 juin 2023, à Mayuano, entité qui se retrouve dans la chefferie de Bakwanza, territoire de Mambasa province de l’Ituri.
La nouvelle a été rapportée à la presse ce samedi 01 juillet, par Me John Vuleveryo, Coordonnateur de la nouvelle société civile congolaise à Mambasa, qui indique que ces ex. otages ont témoigné que leur libération est intervenue au cours des affrontements qui ont opposé ces terroristes et un autre groupe armé non autrement identifié œuvrant dans la zone.
Ces derniers ont par ailleurs confirmé la détention de plus de 150 autres personnes prises en otage lors des attaques répétitives à Masiliko et Mwanya, des entités situées près de Mambasa Centre.
Vu les menaces des terroristes ADF dans cette partie de l’Ituri, la nouvelle société civile congolaise a plaidé quant à elle pour les opérations militaires.
Cette structure citoyenne appelle également la population qui fréquente ces endroits d’être trop vigilante et de continuer à collaborer avec les services de sécurité pour le retour de la paix et la sécurité dans la zone.
Alain Wayire depuis Beni
Stade des Martyrs : Fatshi félicité pour avoir dédié le pays à Dieu
Ce vendredi 30 juin 2023, jour de la commémoration du 63è anniversaire d’indépendance de la République démocratique du Congo, des Kinois, fidèles de plusieurs églises, membres des partis et regroupements politiques, ainsi que des membres des institutions du pays, venus de toutes les 24 communes, ont convergé vers le stade des Martyrs, cadre choisi pour remercier le Dieu tout puissant, qui continue à garder et à protéger ce pays.
Comme dans tous les événements, celui-ci a été agrémenté par plusieurs orchestres chrétiens qui ont rapproché les Congolais venus rendre grâce à leur Dieu créateur.
C’est alors que des puissants hommes de Dieu que compte le pays se sont succédé au podium d’honneur érigé à cet effet non seulement pour livrer leurs messages, mais aussi prier pour les Congolais et le pays.
On retiendra que le Président Félix Tshisekedi a été salué à juste titre, pour être le premier des présidents de la Rdc à avoir dédié la Rdc à Dieu. Voilà qui fait que le pays puisse appartenir à Dieu et c’est lui qui en est le guide.
Logiquement, tout devrait marcher comme sur les roulettes maintenant que Dieu règne sur le Congo. Malheureusement, le diable s’est levé provoquant la guerre et les conflits armés et empêchant aux Congolais de se concentrer au développement de leur pays. Ceci, avec la complicité des puissances étrangères qui n’ont jamais voulu l’autonomie et le développement de la Rdc.
Reconnaissante face aux efforts fournis par le Président de la République, l’église Kimbanguiste ne s’est pas cachée de remercier le président Félix Tshisekedi, pour avoir reconnu le noble combat du prophète Simon Kimbangu pour la libération du Congolais.
Ils n’ont pas oublié de mentionner que le chef de l’Etat doit être félicité pour avoir honoré le prophète Simon Kimbangu en lui accordant une date, le 06 avril de chaque année qui est désormais un jour chômé et payé.
Seul bémol pour cet événement, c’est le peu de mobilisation par les mobilisateurs, ce qui n’a pas permis à ce mythique stade de se remplir. Et pourtant, le seul parti de Gentiny Ngobila peut à lui seul remplir le stade des Martyrs. Aussi, l’Eglise catholique a brillé par son absence. Si certains pensent que c’est la dernière brouille Eglise-Etat qui est à la base de cette absence, d’autres pensent que ce fut un refus poli pour éviter de s’exposer.
La CASE pas content des félicitations de Fatshi à la CENI
La CASE proteste contre les congratulations exprimées par le Président Félix Tshisekedi à l’endroit de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) de M. Denis Kadima Kazadi et s’inquiète de l’avenir de la gouvernance électorale chancelante en République Démocratique du Congo.
Pour M. Simaro Ngongo Mbayo, président de la CASE, féliciter la CENI alors qu’elle agonise d’insuffisances opérationnelles et techniques, revient à gratifier et même, à consacrer l’irrégularité du processus électoral. Ceci démontre que non seulement le Chef de l’État est alimenté d’informations inexactes et insincères sur la marche du processus électoral, mais aussi se fait implicitement complice de la dérive électorale comme indice de dictature basée sur des fraudes électorales massives et boueuses.
« Alors qu’il a été observé vendredi 30 juin 2023 un début de dialogue en vue de la recomposition de la CENI, le Président Tshisekedi s’affiche proche et même fanatique d’une administration électorale contestée par la majorité des Congolais », indique-t-il.
Pour la CASE, indique la même source, les échanges entre les quatre leaders de l’opposition et la CENI doivent permettre de présenter à M. Denis Kadima Kazadi les preuves pratiques de son incompétence et lui faire prendre une décision responsable de démission immédiate de la tête de la CENI.
Le Président Félix Tshisekedi dont le régime est agent du tribalisme électoral et de la fragmentation de la communauté nationale à moins de six mois des élections, n’a jamais daigné écouter les revendications du peuple en ce qui concerne l’amélioration de la qualité des élections. Alors qu’il avait retoqué la candidature de Ronsard Malonda pour manque de consensus, il décida malgré tout d’investir Denis Kadima, un personnage chargé des mêmes griefs et inexpérimenté. Depuis lors, le processus évolue clopin-clopant, s’embourbe et s’écarte du droit chemin en s’éloignant de toute possibilité de cohésion nationale et des valeurs d’inclusivité.
La CASE qui ne se fait aucune illusion sur un quelconque changement d’attitude du Chef de l’État en la matière, note que le processus électoral en République Démocratique du Congo est en danger.
Dans les villes de Yeng Yang et Yeu Yang/Hunan : Julien Paluku visite les sociétés TBEA et SAPHIR CERAMICS
En consolidant davantage la diplomatie économique propulsée par le Président de la République, Félix Tshisekedi, le ministre de l’Industrie, Julien Paluku a vécu hier samedi le miracle chinois dans la province populaire de Hunan en visitant les usines de la société TBEA, le numéro 1 mondial dans la fabrication des transformateurs du courant électrique avec la plus grande capacité planétaire installées dans des parcs industriels dans la ville de Yang Yeng
Accompagné du chairman de cette entreprise, Zhong Yanmin, le ministre de l’Industrie a eu droit aux explications sur le processus de production de ces transformateurs avec la mise en contribution des robots
Très émerveillé, Julien Paluku Kahongya a demandé la TBEA de venir s’installer rapidement en République Démocratique du Congo pour ainsi aider son pays à réduire la facture des importations dans le secteur de l’électricité.
« Nous sommes venus en Chine pour voir les miracles chinois. Ils ont eu un dirigeant qui a implémenté une politique et qui fait aujourd’hui de la Chine une référence. Après les travaux, il fallait faire une descente sur le terrain pour voir exactement qu’est-ce qui est fait. Nous avons visité TBA, n°1 mondial de fabrication des transformateurs. Partout au monde, il n’y a jamais eu un géant comme celui-ci. Comme nous dévons industrialiser le pays, ce sont ces outils qui permettent d’assurer une interconnexion à travers la République, notamment les transformateurs à haute tension, moyenne tension, mais également les cabines électriques », explique le patron de l’Industrie.
Et d’ajouter que nous avons eu le temps de demander même les prix qui sont très compétitifs et de meilleure qualité. Nous sommes heureux d’avoir fait la connaissance de TBEA. Nous allons faire rapport au Gouvernement pour nous rassurer que la Rdc est partenaire de TBEA. On a fait une demande à TBEA pour dire, c’est bien de le faire en Chine, mais c’est mieux de le faire chez nous en Rdc. Nous avons formulé la demande de voir TBEA s’installer en Rdc pour former un réseau en Afrique centrale de distribution de tous les produits TBEA. Donc ça sera une manière pour nous de tisser ce lien entre la Chine et la Rdc et signe run nouvel avenir entre nous deux. C’est vraiment un sentiment de satisfaction. Je pense que la Chine est le pas de devenir la Chine demain.
Julien Paluku se dit fière d’avoir cru en la société SAPHIR CERAMICS
Juste après, en véritable homme de terrain, le ministre de l’Industrie s’est rendu dans la ville Yeu Yang où il a visité dans la nuit les usines de la société SAPHIR CERAMICS spécialisée dans la production des carreaux et faïences, et ce, en quelques semaines du lancement de la production des carreaux et faïences made in congo dans la Zone Économique spéciale pilote de Maluku par cette dernière.
Très fier, Julien Paluku a fait entendre que l’argile du Kongo Central et de l’Est sera désormais valorisée, car constitue la matière première
« Je suis venu voir ce que nous allons commencer à produire chez nous à Maluku. Parce que nous avons accueilli la société SAPHIR CERAMICS à Kinshasa pour lui accorder une présence dans la Zone économique spéciale de Maluku, pour capter le marché des matériaux de construction parce que c’est des millions de dollars qui sortaient la Rdc pour aller chercher des carreaux de faïence. Je viens de me rendre compte que nous n’avons pas fait une erreur en considérant que SAPHIR CERAMICS qui est installée à Kinshasa va nous produire des carreaux de faïence. Je viens de voir que c’est fait ici en Chine et que ça sera fait demain à Kinshasa », précise le ministre de l’Industrie.
Julien Paluku éprouve un sentiment de satisfaction que le président de la République nous ait poussé vers l’industrialisation du pays par la production locale, par l’arrêt de l’exportation de nos devises pour que nous puissions créer de l’emploi et des richesses chez nous. Déjà avec la société SAPHIR CERAMICS, c’est autour de 300 à 500 emplois directs et près de 5.000 emplois indirect que ça va créer à Kinshasa. L’ampleur du travail fait ici 24h/24 nous motive d’aller de l’avant. C’est Kinshasa aujourd’hui, demain ça sera Lubumbashi, l’Equateur, Musienene, Kisangani, le Kasaï, … D’ici 10 à 15 ans, la Rdc va emprunter la même trajectoire que la Chine, pour que le miracle ne soit pas seulement chinois, mais congolais. Si on a la volonté et la détermination, il est possible de changer les paradigmes de gouvernance en Rdc.
Signalons que le ministre est accompagné du Directeur général de l’AZES, du Directeur général adjoint du CCB et de son Directeur de Cabinet.
Clôture de l’année scolaire ce 01 juillet : Tony Mwaba renoue avec les bonnes habitudes d’antan
Tout est bien qui finit bien, dit-on. Ce samedi 01 juillet 2023 marque la fin de l’année scolaire 2022-2023 sur toute l’étendue du pays, y compris les écoles consulaires disséminées dans plusieurs pays.
Par cette clôture officielle intervenue ce premier samedi du mois de juillet, le Professeur Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, Gardien de la gratuité de l’enseignement primaire public, vision phare du premier quinquennat du Président Félix-Antoine Tshisekedi, a renoué avec les bonnes habitudes d’antan et ce, après 30 ans de rupture avec des perturbations créées par les multiples grèves illégalement organisées.
Alors que la crise sanitaire due à la Covid-19 avait chambardé le calendrier scolaire 2019-2020 au point de clore cette année au mois de septembre, les choses ne s’étaient malheureusement pas améliorées. Le 02 juillet, reconnu par tous comme une date fatidique pour les écoliers congolais, n’avait plus son côté mythique et splendide ; car, c’est toujours après cette date que les années scolaires se clôturaient. Il a fallu que le Professeur Tony Mwaba Kazadi prenne le commandement de ce ministère pour que les choses reviennent à la normale. Cette année, la clôture intervient le 01 juillet simplement parce que le 02 tombe un dimanche.
La réussite de cette année scolaire, pour le primat de l’EPST, c’est aussi la remise des documents officiels attestant la scolarité d’un élève à la fin d’une année et/ou d’un cycle.
Comme pour les années bonheurs, ce 01 juillet 2023, les élèves sont rentrés avec leurs bulletins et certificats de fin de cycle primaire pour ceux de 6ème primaire ainsi que les brevets pour ceux de 8ème CTEB ayant passé le TENASOSP.
Ces résultats attestent la détermination du Professeur Tony Mwaba Kazadi à redorer l’image ternie du sous-secteur de l’éducation.
Dans 15 jours, le ministre sera avec le banc syndical à Mbuela Lodge à Kisantu pour évaluer l’addendum à l’accord de Bibwa signé en 2019.
Détournement des fonds et matériels à la sous-division provinciale Dibaya3: Le gestionnaire peine à convaincre les contrôleurs
Les matériels et fonds de l’Unicef destinés à la construction de quelques écoles primaires à la sous-division provinciale de Dibaya3 au Kasaï-Central ne sont toujours pas retracés par les diverses équipes de contrôle dépêchées sur place par le gouvernement provincial que dirige John Kabeya Shikayi. Tout démontre qu’il s’agit bel et bien d’un détournement. La population qui s’était réjouie de ces infrastructures continue à nourrir l’espoir de voir la justice faire son travail, c’est-à-dire, obliger les gestionnaires incriminés à remettre ces matériels ainsi que les fonds en question.
Plusieurs fois interrogé par les délégations mandatées par Kananga (trois enquêtes), le Sous-Proved Tshisuyi s’est illustré par une grande incohérence dans ses propos. Il dit n’avoir reçu aucun financement de l’Unicef notamment pour l’école primaire Bena Nganza à Luekeshi ainsi que l’Ep Omuibwanyi à Kamponde Mission sans oublier une autre école primaire à Tshidima.
Toutes ces institutions de formation des enfants n’ont connu aucun début d’exécution de travaux. Mais les documents disponibles prouvent le contraire. Le Sous-Proved prétend par moment avoir effectué correctement les dépenses suivant les lignes budgétaires pour ces écoles au nom desquelles il aurait même acheté des planches et autres matériels de construction.
Après avoir effectué trois missions dans le territoire de Dibaya pour ce dossier, le gouvernement provincial doit tirer toutes les conséquences qui s’imposent alors que le détournement est bel et bien effectif. A la place des écoles bien construites financées par ce partenaire de la République, on y trouve aujourd’hui quelques briques fabriquées à la hâte et qui ne justifient nullement le montant financé. Dos au mur, le Sous-Proved doit à présent dire toute la vérité sur ce dossier afin que la justice sache qui est réellement impliqué au niveau provincial dans ce détournement qui prive ces petits enfants (les responsables du Congo de demain) d’un bon cadre éducatif.
Rappelons que dans plusieurs secteurs et villages du territoire de Dibaya, les écoles sont dans un état de délabrement très avancé. Les enfants étudient à même le sol. Les rameaux ne les protègent nullement contre les intempéries. Toute initiative visant à la construction des écoles en briques cuites est vivement saluée par la population soucieuse de voir les enfants apprendre leurs leçons dans des conditions humaines.
La justice qui est déjà saisie ne tardera pas à ouvrir des enquêtes approfondies en interpellant tous ceux qui sont impliqués de près ou de loin dans ce dossier. Voilà les ennemis du peuple qui combattent les efforts du président de la République qui rêve pourtant d’un Congo ou personne ne sera analphabète.
SK.
Haut-Uélé : Patricia Nseya supervise l’opération de réception et traitement des candidatures à la députation nationale
Le rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Patricia Nseya Mulela séjourne dans la province du Haut-Uélé depuis le vendredi 30 juin, pour la supervision managériale des opérations du bureau de réception et traitement des candidatures (BRTC), pour la députation nationale.
Elle a saisi cette occasion pour sensibiliser les potentiels candidats sur les procédures de retrait des formulaires et dépôt des candidatures.
A son arrivée, le rapporteur a été accueilli par une forte délégation du secrétariat exécutif provincial du Haut-Uélé, conduite par Etienne Akanziade, secrétaire exécutif provincial.
Première étape de sa mission, la présentation des civilités à l’autorité provinciale.
Patricia Nseya a pris langue avec le Gouverneur de province, Christophe Baseane Nangaa, auprès de qui le rapporteur a sollicité la sécurisation du processus électoral surtout lorsqu’il y aura engouement.
A ce sujet, Patricia Nseya a obtenu du Gouverneur la tenue d’un conseil provincial de sécurité mais aussi son accompagnement.
Peu après, le porte-parole de la centrale électorale a fait une mise au point avec le SEP Etienne Akanziade et les membres du bureau de réception et traitement des candidatures (MBRTC). Ils ont présenté à Patricia Nseya leurs desideratas.
Très attentive à leur doléances, Patricia Nseya Mulela leur a rassuré qu’elle fera le suivi de leurs dossiers, avant de leur dire de toujours prêter attention à la liste des partis et regroupements politiques avant d’enregistrer n’importe quelle candidature, tout en respectant les procédures.
Juste après, elle a visité le BRTC Isiro qui n’a encore reçu aucun candidat pour le retrait de formulaire. Le Rapporteur leur a rassuré que les candidats viendront, ils attendent souvent les dernières heures.
Patricia Nseya a clôturé sa visite par l’entrepôt de la Ceni Isiro. Sur place, elle a palpé du doigt l’état des matériels stockés, mais aussi ce qui leur manque.
Il sied de noter que l’opération de réception et traitement des candidatures pour la députation nationale lancée lundi 26 juin, prendra fin le 15 juillet prochain.
Enjeux électoraux au Haut-Katanga : Les détracteurs de Félix-Antoine Tshisekedi s’en vont en guerre contre Jean-Claude Kamfwa !
L’ampleur de la campagne lâche visant la déstabilisation du vice-gouverneur du Haut-Katanga préoccupe plus d’un observateur averti. Ce haut-cadre du Congrès National Congolais (CNC), parti politique cher au ministre d’Etat Pius Muabilu Mbayu Mukala gênerait, contre toute attente, les intérêts mesquins de ceux qui prétendent succéder au fils du sphinx de Limete. La moisson abondante du numéro 2 de la province du Haut-Katanga, lors de ses régulières et multiples tournées, dans le cadre de la sensibilisation des Katangais, à s’approprier la vision du chef de l’Etat, n’arrange nullement les potentiels adversaires du président Tshisekedi. Jusqu’où vont-ils chercher les poux sur la tête du chauve ?
Tantôt, ils accusent Jean-Claude Kamfwa Kimimba d’être “le tout puissant”, tantôt, ils prétendent lâchement que ce dernier serait en contact avec un leader de l’opposition. Ces détracteurs n’excluent visiblement aucun feuilleton de mauvais aloi, pour atteindre leur sale besogne. Heureusement que les Lushois sont témoins du noble travail qu’abat le Notable Katangais Jean-Claude Kamfwa.
Des émissions commandées par les potentiels adversaires du président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo sont interceptées. Que chantage, désinformation et intoxication, dans l’ultime but d’obtenir la déstabilisation pure et simple de celui qu’ils considèrent comme le gardien du temple de la mise en œuvre de la vision du Président Tshisekedi, en l’occurrence le vice-gouverneur Jean-Claude Kamfwa Kimimba.
Les ténèbres peuvent-elles l’emporter sur la lumière ? Loin s’en faut. Des encouragements sont adressés à Jean-Claude Kamfwa Kimimba, afin de persévérer à servir utilement son peuple, dans la droite ligne de la vision du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo. Ce, en étroite collaboration avec le gouverneur Kyabula Katwe.
Au sujet d’un incident vécu à l’aéroport de la Luano, qui a conduit à l’interpellation de la cheffe d’escales de la compagnie CAA pour être auditionnée, rien du genre maltraitance à son égard n’a été constaté contrairement aux fausses déclarations faites par les chroniqueurs d’une émission qui œuvrent sous une main noire des politiciens en mal de positionnement. Celle-ci a plutôt reconnu qu’il y a eu incident qu’elle n’arrivait pas à régler immédiatement, mais compte rencontrer le vice-gouverneur pour effacer la mauvaise interprétation du fait, et voir dans quelle mesure éviter pareille situation.
Roger Ngandu wa Mitaba
A Lubumbashi : Jean-Claude Kamfwa lance le concours national pour près de 350 candidats militaires et civiles
Le Vice-Gouverneur du Haut-Katanga, Jean-Claude Kamfwa Kimimba, a présidé ce samedi 1er juillet 2023 la cérémonie du concours national militaire.
La cérémonie s’est déroulée au Complexe Scolaire Kiwele de Lubumbashi, en présence des membres du Gouvernement Provincial, du Commandant de la 22è Région Militaire et du Maire de Lubumbashi.
Recrutement de jeunes diplômés des humanités secondaires et des universités de la Province du Haut-Katanga pour s’enrôler dans les Forces Armées de la République Démocratique du Congo, près de 350 candidats militaires et civiles sont partants pour défendre l’intégrité du territoire national.
Ils ont été sélectionnés et retenus grâce à leur détermination et l’amour pour la patrie conformément à l’appel à la mobilisation lancée par le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, soucieux de la paix et la souveraineté nationale.
La cérémonie du lancement du concours national militaire a eu lieu ce samedi 1er juillet 2023, dans l’enceinte du Complexe Scolaire Kiwele. Elle a été présidée par le Vice-Gouverneur Jean-Claude Kamfwa Kimimba, représentant personnel du Gouverneur Jacques Kyabula Katwe.
Une occasion pour le Général Smith Gihanga, Commandant de la 22è Région Militaire, de saluer l’engagement de tous les candidats à servir le pays sous le drapeau avec loyauté. Il a également déclaré que le maintien des écoles militaires ouvertes à travers la République a pour objectif de réformer profondément le système de défense afin de doter la RDC d’une armée nationale professionnelle, républicaine, crédible et dissuasive.
Avant de lancer officiellement ce concours, le Numéro Deux de l’Exécutif Provincial du Haut-Katanga, Jean-Claude Kamfwa Kimimba, a transmis aux récipiendaires le message d’espoir et de soutien du Gouverneur de Province. Il leur a également assuré de la volonté du Président de la République d’avoir une armée professionnelle.
Signalons que les candidats vont fréquenter différentes écoles organisées au sein des FARDC notamment, l’Ecole de Formation des Officiers qui concerne les civiles et les militaires pour 2 sessions à l’Académie Militaire, session ordinaire de 3 ans pour les diplômés des humanités, la session spéciale de 9 mois pour les diplômés des universités ou équivalent. Et les autres écoles ne concernent que les militaires.
Les postulants retenus ont deux jours pour prouver leur capacité de défendre le drapeau du pays.
Roger Ngandu wa Mitaba
A Paris : Me Guy Loando plaide pour l’accès aux financements de l’économie verte
Lors du forum sur l’accès aux financements pour les Objectifs de développement durable (ODD), en marge du sommet de Paris, Me Guy Loando Mboyo, ministre d’État à l’Aménagement du territoire a participé à une interview vidéo. En tant que représentant de la République démocratique du Congo et Ministre d’État chargé de l’Aménagement du territoire, Guy Loando a saisi cette occasion pour défendre la nécessité pour son pays d’accéder aux financements de l’économie verte. De plus, il a dénoncé les agressions terroristes dont la Rdc est victime.
Dans cette interview, le ministre d’Etat Guy Loando a souligné l’importance cruciale pour la RDC d’accéder aux financements liés à l’économie verte afin de promouvoir un développement durable et de lutter contre les défis environnementaux auxquels le pays est confronté.
Le ministre Loando a également abordé la question de l’agression terroriste qui sévit en Rdc. Il a fermement condamné ces actes de violence perpétrés par des groupes armés soutenus par le Rwanda et a souligné l’urgence d’une action internationale concertée pour mettre fin à cette situation. Il a souligné que la paix et la stabilité sont des prérequis essentiels pour permettre à la RDC d’accéder aux financements nécessaires à la réalisation des ODD.
Le ministre d’État a également mis en évidence les mesures prises par le gouvernement congolais pour créer un environnement propice aux investissements, notamment en améliorant le climat des affaires et en renforçant les infrastructures. Il a souligné la volonté du gouvernement de promouvoir des partenariats public-privé solides pour attirer les investissements et favoriser le développement économique durable.