Toujours au cours du même rendez-vous avec la presse, Patrick Muyaya a noté qu’il y a déjà les retombées des mesures qui ont été prises suite à la réunion de crise présidée par le président de la République sur la situation du Franc congolais et le taux se maintenir ou continue à baisser. Ce sont des mesures qui vont bouleverser tout le fonctionnement financier que nous avons jusqu’à présent, pense-t-il.

« Sur le Franc congolais, peut-être que les uns et les autres lorsqu’ils réagissent, doivent avoir tous les éléments du contexte et il faut juger de la crédibilité des personnes qui s’expriment sur le sujet. Sur ce qui se passe, c’est plus que les mesures ordinaires, c’est plus que les interventions de la BCC sur le marché des changes. C’est surtout la correction des règles de jeu qui ont entrainé cette baisse », avoue-t-il.

Après la réunion que le président de la République a présidée, raconte-t-il, on a corsé la politique des réserves obligatoires des banques auprès de la Banque centrale du Congo, qui a pour effet de stériliser une partie de leurs dépôts en Francs congolais. Une autre mesure exigeant le paiement de l’impôt exclusivement en Frans congolais coïncide avec l’échéance fiscale du 31 juillet.

Il y a des entreprises qui savent que c’est aujourd’hui qu’ils doivent payer les apports en Francs congolais. Ce qui fait que la demande des Francs congolais a explosé et les mesures que nous avons prises vont consolider la baisse constatée. « Vous vous souviendrait que le 17 juillet, nous avons non seulement annoncé les mesures, mais aussi les conséquences de ces mesures. A ce jour, il n’y a pas de paiement en cache et tout se fait sur base de virement bancaire. Il faut considérer que tout ce qui s’est fait, c’est pour résorber une situation, mais aussi changer le secteur financier en Rdc », explique le ministre de la Communication et médias.

Et de poursuivre qu’il y a un processus qui a commencé pour le contrôle du fichier général de paie. Vous savez que l’on parle de la maitrise des effectifs depuis bien longtemps. C’est un processus qui se fait autour du Vice-premier ministre, ministre de la Fonction publique, mais aussi autour de l’IGF. « Je crois savoir que ce soir, on a déjà commencé à payer certaines catégories les plus urgentes. Ne nous reprochez pas de poser des actes qui nous permettront non seulement de maitriser les effectifs des fonctionnaires et agents publics de l’Etat, mais aussi des actes qui vont nous permettre d’améliorer leur vie. Autant que nous travaillions pour consolider la stabilité macroéconomique pour nous rassurer que le dollar revienne a un taux plus bas », insiste-t-il.

Le fait que le pouvoir de Kigali a renoué des contacts tant avec la République centrafricaine qu’avec le Congo-Brazzaville, n’est pas du goût des Congolais. Et cette situation peut-être à la base des incompréhensions des uns vis-à-vis des autres. Voulant situer le contexte, le ministre de la Communication et médias, M. Patrick Muyaya a expliqué que le président Sassou était attendu à Kinshasa, il n’est pas arrivé parce qu’il y a eu un problème de calendrier.

D’ailleurs, vous avez tous commenté le fait que le président Tshisekedi n’était pas en Russie, alors qu’il y était attendu. Sassou s’est fait représenter à Kinshasa par le Premier ministre de Brazzaville, qui s’est fait représenter par le ministre de la Communication. Cette présence à la cérémonie marquant le début des jeux de la francophonie, illustre les genres des rapports que nous avons avec le Congo-Brazzaville.

« Comme je l’ai dit la fois dernière fois, chaque pays est souverain et libre d’avoir sa stratégie diplomatique. Que le Congo, la RCA se rapprochent du Rwanda, nous comme pays, on respecte leur choix. Ici, il faut comprendre la frustration justifiée des Congolais lorsqu’ils estiment que du fait de notre proximité avec le Congo, il ne peut pas se rapprocher du Rwanda. C’est une opinion congolaise qui s’est exprimée et qu’il faut la respecter », indique le ministre.

Et d’ajouter que nous sommes dans un cadre démocratique où les citoyens ont le droit de s’exprimer sur la situation générale du pays, y compris ce qui se passe dans la sous-région. Ce qui n’est pas acceptable, ça vaut pour vous et pour tout le monde, on ne prend pas parole pour injurier ou tenir des propos discriminatoires envers un quidam ou un chef d’Etat.

« Nous avons eu l’occasion de parler des sujets qui intéressent les deux pays : l’énergie, le bassin forestier, le pont-route-rail. Mais ce qu’il faut que les Congolais retiennent, ce que nous la Rdc, nous sommes le plus grand pays de la région avec 9 pays voisins qui sont tributaires de nous. Vous savez que dans les rapports entre Etats, il n’y a que les intérêts qui comptent. Ce que nous nous faisons, c’est de reconstruire notre appareil diplomatique », pense-t-il.

D’ailleurs, la tenue de ces jeux est la preuve que diplomatiquement, la Rdc a repris sa place. Autant dans le leadership sur les questions climatiques nous parlons de pays solution, la Rdc est à sa place et ceci dans tous les domaines avec l’armée, ce qui fera que notre pays puisse avoir un outil de dissuasion.

La question de l’artiste musicien Ferré Gola a été abondamment exploitée par la presse qui a voulu savoir si ce dernier avait réellement signé le contrat. Répondant à cette préoccupation, Mme Catherine Furaha Katungu s’est dite surprise de voir que cette question revient. « Quand on prenait des dispositions pour l’appropriation de tous les culturels, nous avons estimé qu’il fallait tenir compte de ce qui était équitable, nous devrions rester au milieu du village. Pour la question de Ferré Gola, je n’avais pas été saisi d’un quelconque problème. Je sais qu’il y a des gens qui ont voulu créer le buzz et qui ont estimé que c’était le moment ou jamais de créer des conflits », dit-elle.

Et de penser qu’il y a certains mélomanes qui voudraient que Ferré puisse jouer ou voir où il peut être placé. S’il y a une information particulière, je n’ai pas été saisi d’un quelconque problème dans ce sens-là pour dire qu’il y a une discrimination ou une injustice dans ce sens-là.

De son côté, Patrick Muyaya attribue cette polémique à des commentaires inappropriés qui ont irrités l’artiste Ferré Gola. « La cérémonie d’ouverture a été préparée de longue date. C’était un scénario pensé depuis longtemps. Fally avait été intégré, de même que Mme Kirongozi avec le robot femme. Parce qu’il était intéressant pour nous de laisser la place à la femme entrepreneur, mais aussi de leur contribution pour la Rdc. La cérémonie a été co-organisé par le comité et un prestataire extérieur dans un scénario convenu u à l’avance », annonce-t-il.

Poursuivant, Patrick Muyaya souligne que parce que les athlètes et les délégations viennent en Rdc reconnue comme la ville de la rumba, nous avons voulu, au côté de ce qui se faisait comme compétition sportives ou culturelles, donner de la voix pour des concerts populaires qu’on appelle les nuits africaines. C’est une autre série d’événements que nous organisons en marge des jeux de la Francophonie. Sur cet ordre-là, il y avait une programmation des artistes faites et Ferré Gola était prévu. Je pense que l’artiste a été irrité par des commentaires inappropriés. Ces jeux que nous avons présentés comme jeux de l’unité et de la solidarité. Il a attiré l’attention des uns et des autres pour éviter d’apporter la polémique là où il ne faut pas.

C’est ainsi que Mme Catherine Furaha Kathungu demandera aux spécialistes des médias d’aider la population à rester dans la bande et de ne pas se laisser emporter par des provocations. Nous sommes focalisés sur les jeux de la francophonie et tout ce qui a été fait, c’est pour attirer la population et faire ainsi l’appropriation. Nous risquons de perdre un bon moment, alors que nous pouvons orienter les gens à ne pas suivre ce qui va nous dérouter.

Au regard de l’organisation des jeux de la Francophonie et compte tenu du fait que ce sont des disciplines de lutte qui glanent beaucoup de médailles, nombreux sont ceux-là qui pensent qu’il faut penser les financer. Voilà qui a permis à Muyaya de dire qu’il y a eu un avant et il y a aura un après les jeux. « Aujourd’hui, nos athlètes ne se prépareront plus de la même manière. Ça sera sur les sites modernes qui peuvent accueillir les compétitions, y compris à l’international. Une chose est d’investir dans les infrastructures, une autre est d’investir dans les hommes », dit-il.

Et de poursuivre que hier, j’ai été personnellement interpellé par les lutteurs et j’ai eu le temps d’échanger avec eux. Il y a évidemment besoin de continuer à appuyer. Malheureusement, il faut peut-être avoir une stratégie nationale de savoir comment on finance les sports. Parce que c’est un domaine qui ne dépend pas que de l’Etat, mais il faut trouver pourquoi pas des annonceurs qui pourraient commencer à accompagner les disciplines.

Il est revenu sur le président de la République qui avait dit, au sujet de la gestion des infrastructures que nous aurons en héritage, il y a besoin de mettre en place un dispositif qui implique à la fois les sportifs, les professionnels du sport pour la bonne gestion, mais aussi pour l’encadrement des sportifs.

Intervenant au cours du Briefing Presse qu’il a organisé, Patrick Muyaya Katembwe, ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement Muyaya a expliqué comment l’incident a eu lieu à Kananga, en marge du séjour de l’honorable Delly Sesanga.

« Le Gouvernement condamne tous les actes de violence et le VPM de l’Intérieur, Me Peter Kazadi qui est arrivé à Isiro m’a rassuré qu’il va prendre des dispositions pour que les responsables soient traduits en justice et punis », dit-il, tout en soulignant qu’on n’oublie pas les journalistes qui l’accompagnaient et qui participent régulièrement aux briefings, qui ont aussi été touchés. C’est l’occasion de rappeler que la violence n’a pas de place en démocrati

e.

La police nationale Congolaise (PNC) a interpellé plus de 40 personnes dans une opération de bouclage organisée la nuit du lundi à ce mardi dans les communes de la N’sele et Lemba à Kinshasa.

Des sources du commissariat provincial de la police dans la capitale Congolaise, ont livré ces chiffres ce mardi après-midi.

« Nous avons interpellé plus de 40 personnes parmi lesquelles une femme avec ses sacs des canabis (chanvres), un faux policier et 7 recherchés de justice. La plus part de personnes qui étaient innocentes sont libérées », a fait savoir notre source.

Cette opération a été conduite par le commissaire divisionnaire adjoint Blaise Kilimbalimba à Bibwa, dans la commune de la N’sele et au quartier Congelasses dans la commune de Lemba.

Autres résultats de ce bouclage, c’est la saisine de quelques armes à feu et armes blanches dont une trentaine des machettes et une grande quantité de boissons fortement alcoolisées communément appelée Zododo.

Cette opération vise à lutter contre le banditisme urbain et s’est déroulée dans un climat apaisé et sans incident.

Rémi Mulingati

Patrick Muyaya Katembwe, ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement a convoqué, ce lundi 31 juillet 2023 à 20h00 au Centre de Presse de la Francophonie situé au Palais du Peuple, un Briefing Presse, qui avait comme thème central : «Neuvièmes Jeux de la Francophonie : de l’ouverture officielle au déroulement des compétitions». C’était avec la participation de Mme Catherine Furaha Katungu, ministre de la Culture, Arts et Patrimoine, ainsi que de M. Isidore Kwandja Ngembo, Directeur du comité national de l’organisation des IXèmes Jeux de la francophonie (CNJF).

Dans ses mots luminaires, Mme Catherine Furaha Kathungu a expliqué, concernant les jeux de la francophonie dans son volet culture, que nous avons déjà commencé à avoir des médailles. Pour ce qui concerne la culture, dit-elle, nous avons eu seulement une médaille en bronze dans la discipline Jonglerie avec ballon.
« Ce mardi, nous attendons les résultats dans Contes et Conteurs, Création numérique, parce que nous avons déjà participé à la finale. Mais aussi dans la chanson et danse de création où nous attendons les résultats. Dans la photographie, la sculpture installation, la peinture, nous sommes encore au niveau d’ateliers », indique-t-elle.
Et d’ajouter que le point final, ça sera le 3 août et ça démarre aujourd’hui avec la danse Hip Hop et la Marionnette géante commence demain au niveau de l’Echangeur. Il y a des activités qui sont bien chronométrées comme la photographie, la finale de la peinture ça sera une façon de montrer au monde que nous avons souscrit dans toutes les disciplines en attendant des médailles. La compétition de la chanson qui est intervenue lundi et qui va continuer mercredi, nous vous invitons à venir nombreux les motiver. « Nous demandons à vous, les gens du 8ème art, vous qui faites de l’opinion, de mobiliser les gens pour qu’ils viennent suivre les jeux. La culture a été là dès le départ, elle accompagne les disciplines et sera là même après », martèle-t-elle.
Au cours du même Briefing Presse, M. Isidore Kwandja Ngembo, Directeur du comité national de l’organisation des IXèmes Jeux de la francophonie (CNJF) a remercié la population congolaise. « Pendant une année et demie, nous avons travaillé fort pour offrir à la population congolaise en particulier et la communauté francophone une belle cérémonie d’ouverture. Il a reconnu que la population congolaise s’est appropriée cet événement. « Nous sommes au 4ème jour, il va nous rester 6 jours pour clôturer les 9èmes jeux de la Francophonie. La situation est sous contrôle. Les questions d’hébergement, restauration, sécurité sont réglées. Globalement, la situation est sous contrôle. La cérémonie va rester dans l’histoire », note-t-il.

Depuis la ville de Goma, chef-lieu de la province du Nord-Kivu où elle a choisi de commémorer ce 31 juillet 2023, la Journée Internationale de la Femme Africaine, Marie-Josée Ifoku Mputa Mpunga, initiatrice du mouvement de pression Ekoki Inatosha et Présidente de la formation politique Alliance des élites pour un nouveau Congo (AéNC), a annoncé sa candidature à la présidence de la République Démocratique du Congo pour les élections du 20 décembre 2023.

Cela après qu’elle ait d’abord proposé, depuis déjà quelques mois, l’instauration d’une période de transition de 2 ans avec maintien en place des institutions issues des élections générales de 2018. Une disposition de sortie de crise (transition) qui ne devait pas être un nième occasion de partager de postes politiques comme c’est devenu l’habitude en RDC lors des pourparlers, mais plutôt une transition de remise en question pour l’avènement de la 4e République au Congo et pour une révolution éthique.

N’ayant pas trouvé d’échos favorable dans la classe politique, l’unique femme candidate à la présidentielle de 2018 a pris la résolution de ‘s’assumer’ en se portant comme en 1018, candidate Président de la République. La candidate déclarée, Marie Josée Ifoku pense ainsi concrétiser personnellement sa vision de la rupture du système de Prédation par la Kombolisation qui va conduire à la Renaissance de la RDC.

Depuis Goma, ville victime de la prédation dans le sang et dans la désacralisation de la femme, l’unique femme candidate à la présidentielle de 2018 a choisi la journée de la femme africaine pour annoncer son retour à la course pour la présidence de cette année.

“J’ai quitté Kinshasa. Je suis venu à Goma, la raison principale, c’est vrai que c’est aujourd’hui la journée internationale de la femme africaine, une journée qui doit être très importante pour nous femmes africaines, et j’ai voulu la célébré à Goma et une des raisons principale est que j’ai voulu la célébré avec les femmes ici présentes les déplacés.(…)Et à partir de Goma je viens de déclarer devant tout le monde que j’ai décidé de retourner à la course pour la magistrature suprême de la RDC”, a annoncé Marie Josée Ifoku.

A en croire le Directeur de la Commission Communication et Médias du Réseau Ekoki Inatosha que préside Marie Josée Ifoku, cette candidature est ”la plus sérieuse des candidatures déclarées jusque-là car ayant une base et un soubassement rationnels formalisés par la philosophie politique de la Kombolisation qui préconise l’éradication du système de prédation pour la renaissance d’un nouveau Congo”.

Estimant qu’il n’existe pas nettement de démarcation ‘opposition-pouvoir’ au Congo Kinshasa, du fait que la classe politique semble s’accommoder au système de prédation instauré depuis la Conférence de Berlin en 1885 sous le joug duquel croupis les congolais depuis le 1er juillet 1885.

Pour perpétuer ce système, le prédateur constitué par les 14 puissances participantes à la Conférence de Berlin (dite communauté internationale), se sert de certains affairistes politiques nationaux que étrangers, comme vassaux. En 1885, la Communauté internationale s’est servi du souverain belge Léopold II, lui attribuant un vaste territoire de 2345 410Km2 en cheval sur l’équateur, appelé pompeusement ‘Etat indépendant du Congo’ (EIC) comme propriété privée. Une imposture sans participation des ‘autochtones’, sans qu’ils ne soient ni consultés ni même signifiés. C’est donc de ce système de prédation que Marie Josée Ifoku, par la Kombolisation, invite les congolais à éradiquer pour faire renaître un nouveau Congo.

La Kombolisation pour l’avènement de la 4e République

La Kombolisation, est un concept tiré du vocable ‘kombo’, le balai en lingala. C’est une idéologie fondée sur le balayage des antivaleurs et mauvaises règles en partant de l’intérieur et ensuite autour de soi, puis dans le pays et en Afrique pour aboutir dans le monde. Symbolisée par le balai fait de plusieurs nervures, la Kombolisation se décline ainsi en 7 points:

Le nettoyage personnel, le nettoyage autour de soi, le prolongement de soi, l’unité dans la diversité, le nettoyage de l’état, la bonne gouvernance pour aboutir à la renaissance de la République.

Dans son souci de vivre authentiquement et dans la vérité les valeurs évangéliques, la probité et le respect des règles de bonne gouvernance, Marie Josée Ifoku affirme ” faire de la politique et de tous ses engagements sociaux une expérience chrétienne de partage fondée sur les valeurs d’amour, de vérité, de fraternité, d’unité dans la diversité, de rigueur dans le travail, de respect du bien d’autrui, de justice et de réconciliation nationale’.

De ce fait, elle pense ainsi vivre sa foi dans la politique. Habituée à sortir de sa zone de confort personnel, elle qui fut former professionnellement dans le privé au Canada d’abord et en RDC en suite, a su partager avec nombreux compatriotes les conditions difficiles de la route qui mène vers le bonheur collectif en ‘leur faisant confiance et comptant sur sa foi’, deux solides piliers de sa motivation pour la présidentielle de décembre 2023.

Willy Makumi Motosia

Voici un commentaire (29/07/2023) de l’un des analystes des affaires internationales du Minzu-Joson (ou Corée Démocratique), journal gouvernemental de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR), qui se lit comme suit;

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Pour notre Nation coréenne, sont les ennemis jurés ou irréconciliables qui ont, brutalement, violé la souveraineté nationale de toute la Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant» fière de sa Civilisation de 5.000 ans, NDLR) et infligé, à notre Peuple, les malheurs et souffrances incommensurables;

• les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s après leur fiasco d’agression de la Corée en 1866 dans le cadre de la poursuite de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR)

• le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Corée la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée, NDLR).

Le 29 juillet 1905 au Japon, eurent lieu, les pourparlers secrets USA-Japon sous le couvert de la Paix et de la Sécurité de l’Asie, dans lesquels, le Vicomte Koshaku Katsura TARO (1848-1913; Général de l’Armée Impériale Japonaise, et homme d’Etat – plusieurs fois 1er Ministre -, NDLR) et le Secrétaire à la Guerre des USA William Howard TAFT (1857-1930; Général de l’US Army pendant longtemps, NDLR) fabriquèrent l’Accord Katsura-Taft, après avoir discuté sur le partage de la sphère d’influence en Asie; l’invention pour envahir la Péninsule coréenne. En vertu de cet Accord;

• les USA comptaient réaliser leur ambition d’hégémonie mondiale en faisant du Japon la troupe de choc pour l’agression contre le Continent

• le Japon espérait devenir le Patron de l’Asie sous la protection de ceux-ci.

A l’aide dudit Accord, le Japon;

• obtint des USA une garantie pour annexer à sa guise et coloniser toute la Corée complète

• fabriqua le Traité en 5 Points de l’An Ulsa (novembre 1905) et le Traité en 7 Points de l’An Jongmi (juillet 1907) pour s’emparer des pouvoirs de la Corée sur les affaires diplomatiques et intérieures

• absorba, complètement, toute la Péninsule coréenne en se servant du Traité d’Annexion de la Corée au Japon (août 1910) et pratiqua la plus cruelle domination fasciste coloniale sur notre Peuple

• adopta une politique consistant à tuer, à brûler et à extorquer tout; en massacrant, sauvagement, 01 million des Coréens innocents, enlevant ou réquisitionnant de force 8,4 millions de jeunes et adultes coréens pour les travaux forcés ou pare-balles et appliquant le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc.

Ce sont les crimes les plus graves contre l’Humanité, immoraux d’une monstruosité exceptionnelle et à jamais impardonnables. Bien que le temps passe, son histoire criminelle ne peut jamais s’effacer ni se cacher. Après la fin de la 2ème (1939-1945) Guerre Mondiale, le Japon, soutenu activement par les USA, jeta, rapidement, les bases pour sa renaissance et son réarmement. La Guerre (dimanche 25/06/1950 04:00 – lundi 27/07/1953 10:00) provoquée en Corée par les impérialistes US était une belle occasion pour la résurrection du militarisme japonais;

• Suivant les directives des USA, les militaristes japonais participaient (8.000 hommes) à la Guerre de Corée et collaboraient, avec ceux-ci, à la guerre bactériologique (surtout en janvier – mars 1952 seuls, à 804 reprises dans les 169 régions malgré la protestation de l’Association Internationale des Juristes Démocrates, NDLR) en Corée.

• Tout l’Archipel ou Territoire japonais servait de base de départ ou de base logistique, à l’US Army et aux troupes armées (167.868 hommes) des 15 Pays satellites actuels ou de l’époque des USA.

L’Ambassadeur (William J. SEBALD ou Robert D. MURPHY ou John M. ALLISON) des USA au Japon de l’époque avoua: Le Japon a transformé son Pays, à une vitesse étonnante, en un entrepôt de ravitaillement gigantesque. Sans cela, les USA n’auraient pu faire la Guerre de Corée.

De nos jours aussi, l’ambition de nouvelle agression des réactionnaires du Japon n’a nullement changé et loin de là. Sa complicité et sa conspiration avec les USA s’avèrent plus ouvertes avec le temps. L’histoire prouve à l’évidence que;

• la paix dont parlent, bruyamment, les impérialistes n’est rien d’autre qu’un camouflage de leur nature d’agresseurs

• plus la collusion USA-Japon se renforce, plus le danger de guerre en Asie augmente.

Si les USA et le Japon qui ont commis les péchés mortels et séculaires, tentent, à nouveau, de mettre leurs sales pieds d’agression sur notre sol-ci, le Peuple et les forces armées de notre RPDC devront faire exploser leur rancune accumulée et anéantir, immédiatement, ces agresseurs.

Les épreuves de l’athlétisme ont démarré ce lundi 31 juillet 2023 au stade des martyrs.

Au programme du jour, le matin 400 m femmes et messieurs, 100 m femmes et messieurs et Lancer du poids F40-41 femmes. Pour cette dernière épreuve, les marocaines ont survolé la compétition comme le témoigne le relevé de la finale.

1. Karim Youssra (Maroc) 8.90 m

2. El Garaa Hayat (Maroc) 8.07 m

3. El Garaa Ibtissam (Maroc) 7.08 m

4. Lelo Kifulu Sarah (RDC) 5.35 m

5. Lifaefi Lokoki (RDC) 4.16 m

6. Sululu Titi Christine (RDC) 4.06 m

7. Laini Esther (RDC) 3.98 m

Pour ce qui est du 100 m hommes, il y a eu 5 séries :

La 1ère série remportée par un togolais en 10’’50

La 2è série remportée par un camerounais en 10’’53

La 3è série rempotée en 10’’43

La 4è série remportée en 10’’25

La 5è série remportée en 10’’34

L’après-midi était marqué par l’épreuve de 100 m T11-12, 100 m femmes et messieurs, marteau, 10.000 m homme finale, poids finale, 400 m messieurs finale, 10.OOO m hommes remise des médailles et poids femmes Remise des médailles.

A l’issue des ½ finale, les qualifiés de 100 m Hommes sont les suivants :

1. Bibi Gary Noa Jerrel MRI

2. Chakir Machmour Maroc

3. Sarr Mamadou Fall Sénégal

4. Gaguele Raphaël Cameroun

5. Eseme Emmanuel Alobwede Cameroun

6. Cissé Gue Arthur Côte D’Ivoire

7. Tshimanga Muteba Lionel RDC

8. Itoungue Bongogne Claude Cameroun

Cette finale de 100 m Hommes intervient ce mardi 1 er août 2023 au stade des martyrs.

Lancer du marteau Hommes Finale

1. Carre Jean Ian MRI 52.50 m

2. Manzila Mahambou Romeo Congo 30.76 m

3. Kalonda Nyandwe Gedeon RDC 28.18 m

4. Benime Kitsa Benhim RDC 21.54 m

5. Bakakenga Kayembe Johns RDC 20.69 m

Luttes

La Rdc glane 7 médailles dont deux en or

Aux 9èmes Jeux de la Francophonie, les Lutteurs congolais répondent déjà aux attentes de la population. Ils ont raflé au total 7 médailles dont 2 en or, 3 argent et 2 bronze en Lutte Libre.

Qui sont les Lutteurs médaillés ?

79 kg messieurs

Andy Mukendi Kabeya a battu en finale l’arménien Simonya 7-0

Mbo a battu en finale le français Hounkaev aux points 6-2

61 kg messieurs

Kilandi Rabbi a arraché l’argent

Madunu Prisca femme a arraché l’argent

62 kg Femme

Mbemba Mervedie de la RDC a arraché l’argent pour avoir perdu en fnale face à la canadienne Cannickel 0-10

Tshotsha a glané le bronze homme. Il a gagné le tchadien Saleh aux points 11-0 lors de la petite finale.

55 kg femme

Ngomba Chancelvie a glané le bronze.

Ce lundi 31 juillet, d’autres médail

es sont attendues du côté de la Luttes.

Antoine Bolia