Satisfait de l’évolution des travaux sur le chantier: Le gouverneur Gentiny Ngobila confirme l’inauguration du Marché central en novembre prochain
Après son passage en mai dernier sur le chantier de Zando, le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, était de nouveau au Marché central de Kinshasa, lundi 7 août dernier, pour s’imprégner de l’évolution des travaux de construction de ce prestigieux lieux de négoce de Kinshasa. “Le constat est plus que satisfaisant”, s’est réjoui le gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka, qui a confirmé l’inauguration de cette grande bâtisse à la fin du mois de novembre 2023.
“Au terme de ma visite, je constate avec satisfaction que les travaux évoluent à pas de géant. Les ingénieurs sur place m’ont confirmé que l’ouvrage sera livré dans le délai. Je me permets donc de rassurer toute la population Kinoise que le nouveau Marché central sera ouvert au public en novembre prochain. Nous ferons l’honneur au Chef de l’État Félix Tshisekedi de procéder à l’inauguration de ce grand centre commercial de la capitale et pourquoi pas de la RD-Congo”, a déclaré le gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka.
Sur le terrain, l’engouement est plus perceptible dans le chef des équipes commises à ce chantier. Le troisième et dernier niveau de cette bâtisse est déjà fini, les ingénieurs chinois qui exécutent les travaux avec brio évoluent avec la préparation des dalles du premier et deuxième étage qui devront accueillir les étales. En même temps, les travaux de placement des champignons sont aussi en cours toujours au deuxième étage. Des rampes d’accès à tous les niveaux pour les personnes à mobilité réduite sont également en phase de construction. Ce, dans le souci de répondre aux normes non discriminatoires exigées dans la construction moderne des sites à haute fréquentation.
Construit avec des briques rouges produites à Kwilu Ngongo dans le Kongo Central, tel que l’avait exigé le patron de la ville pour valoriser les produits locaux, le nouveau Zando est d’une capacité d’accueil de près de 80.000 personnes interagissant par jour. Il compte 630 magasins avec une zone des chambres froides et des entrepôts. 52 cages d’escaliers sont prévus en vue de faciliter le déplacement des personnes d’un niveau vers un autre. Aussi, une station d’essence sera construite et des parkings seront aménagés tout autour du bâtiment. Par ailleurs, ce marché central moderne aura trois grandes voies d’accès, chacune dotée des caméras de surveillance.
Le premier citoyen de la ville de Kinshasa a, à cette occasion, invité les Kinoises et les Kinois à la patience mais surtout à lui faire confiance pour la suite. Il n’a pas manqué d’inviter ses administrés à croire au Président de la République Félix Tshisekedi qui se bat jour et nuit en faveur du mieux être social de l’ensemble de la population RD-congolaise.
*Corée; Le 1er Crime étatique du Japon*
Il est de notoriété publique qu’au début (1905-1945) du 20ème siècle, le Japon a perpétré, en Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant» fière de sa Civilisation de 5.000 ans dont plusieurs étaient exposés à l’invasion des Pays étrangers – USA, Japon, etc. – vu la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, le statut géopolitique et le paysage splendide du Pays, NDLR), toutes sortes d’atrocités (pour être stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination manu militari en Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que l’enlèvement ou la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le massacre de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR) pour supprimer, complètement, la Nation coréenne. Toutefois, ce n’est pas à partir du siècle dernier que ce Pays insulaire sans aucune ressource naturelle est démené pour anéantir la Nation coréenne et conquérir la Péninsule coréenne.
C’est depuis la 2ème domination unifiée du Japon par le Général Toyotomi HIDEYOSHI (1537-1598) sur l’ensemble de son Pays que ce dernier ayant pénétré, souvent, dans la Côte de la Corée pour s’y livrer à la piraterie révéla, ouvertement, son ambition d’agression contre la Péninsule coréenne. A l’époque, le Japon s’empêtrait dans de profondes contradictions à cause du conflit entre les seigneurs féodaux qui avait duré plus de 100 ans. Toyotomi HIDEYOSHI a voulu sortir de cette crise en provoquant une guerre d’agression contre la Corée.
Le 23 mai (13 avril selon le Calendrier lunaire) 1592, le Japon a déclenché une guerre en mobilisant ses forces armées pléthoriques (170.850 à part celles spéciales et de réserve, NDLR) de l’Archipel. Ainsi, a éclaté la Guerre appelée, autrement, l’Invasion Japonaise de l’An Imjin (1592). Les Samouraïs (ou les hommes d’armes ou la classe d’élite de guerriers en service militaire pour les nobles et caractérisés par le port de 2 sabres en dirigeant le Japon féodal durant 700 ans, NDLR) barbares ont;
• massacré, au hasard, les Coréens sous le mot d’ordre: «Tuez tous les Coréens!»
• commencé la Guerre par l’attaque contre la Forteresse Busan
• tué, sans distinction d’âge et de sexe, les habitants (Un tel carnage a été perpétré partout où les agresseurs allaient.).
En 1593, dans la Forteresse Jinju, a été perpétré un massacre de la plus grande envergure pendant la Guerre. Après avoir pris cette Forteresse, les Japs ont tué, sauvagement, la population innocente. De même, ces nains scélérats ont enfermé, dans un entrepôt, ceux qui avaient survécu avec peine, avant de les brûler, de sorte que l’on ne pouvait trouver aucun habitant dans la Forteresse.
Pour calculer le nombre des Coréens qu’ils avaient tués dans la Guerre, les agresseurs ont coupé les oreilles et les nez des Coréens et les ont emportés dans leur Pays. Il y a, à Kyoto au Japon, la Tombe Mimizka (tombe des oreilles) où avaient été enterrés les 214.752 oreilles et nez des Coréens, témoin historique des atrocités et de la barbarie du Japon. Outre le massacre, les agresseurs ont;
• kidnappé, pendant la Guerre, un grand nombre (100.000 selon les archives japonaises, NDLR) de Coréens
• enlevé et emmené, de force, les céramistes, les médecins, les architectes, les peintres, les brodeurs, les fabricants de caractères d’imprimerie, les typographes, etc. (pour leur civilisation éventuelle, NDLR), voire les gens ordinaires.
Les Coréens kidnappés ont été forcés aux travaux d’esclave au Japon et même vendus à d’autres Pays. Après sa défaite (16/12/1598 ou 19/11/1598 d’après le Calendrier lunaire) quand le Japon les renvoyaient sur la demande du Gouvernement coréen, il n’a pas permis aux savants et techniciens coréens de talent remarquable de se rapatrier.
Les Japonais ont kidnappé d’innombrables Coréennes pour les réduire en esclavage sexuel. Ils les ont violées sans distinction, même si elles étaient âgées ou mariées ou mineurs. Quand ils partaient pour d’autres champs de bataille, ils les y emmenaient, de force, pour satisfaire leur désir sexuel (incomparable à l’obsession, NDLR).
D’autre part, les agresseurs ont détruit et pillé, sans discernement, les biens culturels précieux de la Corée;
• Ils ont brûlé, au début de la Guerre, le Temple Pulguk-sa à Kyongju et par la suite, partout où ils se rendaient, ils ont fait main basse sur les monuments historiques et bon nombre de biens culturels ayant valeur de trésor national.
• Ils ont brûlé et fouillé le sanctuaire royal pour piller les objets du tombeau et mis feu même au cercueil.
Pendant les 7 ans (1592-1598) de Guerre, les Samouraïs ont infligé les dégâts considérables au Peuple coréen et fait un grand obstacle au développement économique et culturel de la Corée.
Tout le Peuple coréen (à part les Autorités sudistes de YOON Suk-Yeol pro-US et pro-japonaises obligées ou forcées, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis plus d’un an, son côté Nord – République Populaire Démocratique de Corée – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, tout en faisant l’objet de la condamnation des millions de manifestants locaux depuis une année, NDLR) n’oublie jamais les malheurs et souffrances que le Japon a causés à la Nation coréenne depuis des centaines d’années et les lui fera payer fort cher.
La CASE exige la libération de Jean-Marc Kabund, Salomon Idi Kalonda et Mike Mukebay Nkoso
M. Simaro Mbayo Ngongo, président de la CASE exige la libération de Jean-Marc Kabund, Salomon Idi Kalonda et Mike Mukebay Nkoso. A l’en croire, le maintien en détention des personnalités politiques de l’opposition enquiquine la vie démocratique et ne favorise pas l’ouverture des discussions sérieuses sur la gestion de la transition en vue de l’organisation des élections crédibles en République Démocratique du Congo.
La plaidoirie de l’Honorable Député national Jean-Marc Kabund A Kabund, président du parti politique Alliance pour le Changement (ACh) et candidat à l’élection présidentielle le lundi 7 août 2023 à la Cour de Cassation, a démontré que le régime du Président Félix Tshisekedi n’est pas disposé à libérer l’espace politique en République Démocratique du Congo.
Les arguments défendus par le candidat ont étalé au grand jour les contours de l’acharnement de la justice contre un acteur politique qui n’a fait que dénoncer les faiblesses de gouvernance du régime actuel.
La CASE rappelle que le film consternant de l’arrestation de M. Salomon Idi Kalonda Della, cueilli brutalement sur le tarmac de l’aéroport de Ndjili (Kinshasa) le mardi 30 mai 2023, après avoir entendu le récit de l’enlèvement barbare de l’Honorable Mike Mukebay Nkoso, Député provincial interpellé et arrêté après la marche de l’opposition le dimanche 21 mai 2023 devant son domicile, constituent des faits d’une extrême gravité qui prouvent à suffisance que le régime de l’Union Sacrée plonge le pays dans un gouffre.
Le flou artistique qui entoure jusqu’à ce jour l’assassinat cruel du Député national Chérubin Okende Senga et dont les enquêtes piétinent sans espoir que les élucubrations judiciaires feront honnêtement éclater la vérité, n’apaise pas le peuple congolais à quelques mois de la tenue des élections.
La CASE invite le Président de la République, Magistrat Suprême, à soupeser les tensions politiques en aggravation excessive dans le pays et à arrêter des mesures urgentes de décrispation. Le Président Tshisekedi est la seule autorité constitutionnelle capable de stopper l’hémorragie des procès politiquement orientés et qui ne visent qu’une catégorie des citoyens.
Le Chef de l’Etat est également interpellé au sujet des personnalités de l’Union Sacrée qui excellent dans les contraventions, injures publiques et violations intempestives des lois de la République et qui sont considérées comme des intouchables. Au moment où les services de sécurité et de police font la chasse aux opposants, les membres du parti présidentiel et de l’Union Sacrée jouissant d’une certaine impunité autorisée.
La CASE recommande au gouvernement de libérer les opposants Jean-Marc Kabund À Kabund, Salomon Idi Kalonda Della et Mike Mukebay Nkoso en signe de volonté politique de relâchement et d’ouverture aux discussions en vue de l’inclusivité du processus électoral
« Avec Kadima à la CENI, le gagnant ne gagnera pas et le perdant sera illégalement proclamé vainqueur » (La CASE)
Avec Kadima à la CENI, le gagnant ne gagnera pas. La CASE demande au candidat de l’Union sacrée à l’élection présidentielle d’éviter de se faire proclamer par M. Kadima que l’opinion a déjà stigmatisé comme praticien de la falsification des résultats des votés.
Comme dans ses habitudes, M. Simaro Mbayo Ngongo, président la Commission africaine pour la supervision des élections (CASE), pense que la déclaration de M. Denis Kadima selon laquelle : “Le scénario de ne pas organiser des élections est plus catastrophique que d’avoir un ou deux partis politiques qui ne participent pas”, est une expression d’immaturité électorale qui ressemble à une déclaration de guerre contre le peuple congolais.
« Une autorité électorale ne décrète pas l’exclusion des partis politiques dans une compétition qu’elle est censée arbitrer. En exprimant son choix d’organiser des élections par défi contre le peuple, Denis Kadima désigne son choix d’exclure l’opposition de la compétition électorale », dit-il.
Ainsi, la CASE rappelle à M. Kadima que son gangstérisme électoral sera combattu par tous les moyens légaux à tous les niveaux. Si la CENI croit s’appuyer sur les feux d’artifices des Jeux de la Francophonie pour justifier son penchant en faveur du pouvoir, elle devra déchanter. Car, QUAND ON PAIE DES APPLAUDISSEURS DE PUBLICITÉ ÉLECTORALE, CEUX-CI NE REPRÉSENTENT PAS LA POPULATION.
La CASE note que la CENI désillusionnée par le pourrissement de sa réputation au sein de l’opinion internationale après qu’elle ait accumulé des revers désespérément inguérissables, devient un danger public. Tout scrutin piloté par M. Denis Kadima sera une négation électorale catastrophique qui plongera la République Démocratique du Congo dans le chaos.
Car avec Kadima À LA CENI, LE GAGNANT NE GAGNERA PAS et LE PERDANT MÊME S’IL EST CONNU DE TOUS SERA ILLÉGALEMENT PROCLAMÉ VAINQUEUR en application du Plan de Fraude électorale concocté par le parti présidentiel qui ne jure que par la victoire imposée de son candidat.
C’est ainsi que la CASE rappelle au candidat de l’Union Sacrée que toute proclamation des résultats électoraux par M. Denis Kadima ne lui sera pas bénéfique étant entendu que le schéma de fraude emprunté par la CENI est connu de tous.
Le président Lula attendu à Kinshasa pour le premier sommet trilatéral sur les forêts tropicales
En mission au Brésil pour participer au sommet sur le bassin de l’Amazonie, le Président Félix Tshisekedi s’est entretenu, ce mardi à BelemDoPara, avec M. Luhut Binsar Pandjaitan, ministre indonésien des Investissements et Affaires maritimes. Ce sommet vise à créer une dynamique pour mieux défendre les intérêts de l’humanité et des peuples. Il entend aussi réduire la pauvreté et créer les conditions d’une croissance socio-économique. Par ailleurs, le Chef de l’État a également échangé avec Cheikh Abdallah Ben Zayed Al Nahyan, ministre d’État et ministre des Affaires extérieures des Émirats Arabes Unis sur le projet du port en eaux profondes de Banana.
Après avoir abrité les IXemes Jeux de la Francophonie, Kinshasa sera au cœur d’un autre grand événement planétaire à la deuxième quinzaine de ce mois. La capitale de la République Démocratique du Congo va abriter le premier sommet trilatéral sur les trois grandes forêts tropicales du monde.
La confirmation a été donnée par le ministre indonésien des investissements et affaires maritimes Luhut Binsar Pandjaitan à l’issue de l’audience lui accordée ce mardi à Belém par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Le même sujet sera aussi au centre du tête-à-tête prévu ce mercredi entre le président Félix Tshisekedi et son hôte Lula da Silva. Ce sommet de Kinshasa va réuni au tour du président Tshisekedi les Chefs d’Etat du Brésil, Lula da Silva pour le compte de l’Amazonie et son homologue de l’Indonésie pour le compte du bassin de Bornéo -Mékong.
Avec leurs trois grands bassins forestiers, ces trois pays se présentent comme la solution mondiale au problème planétaire du réchauffement climatique. Depuis novembre 2022, les trois pays ont décidé de travailler en synergie et parler d’une même voix sur la sauvegarde de leurs pays et favoriser le développement de leurs populations qui vivent de ces forêts.
Le ministre indonésien a confirmé la participation de son pays et la détermination des trois pays à faire un front commun, à partager d’expérience et travailler ensemble pour la sauvegarde de leurs forêts tropicales, poumons de l’humanité et trouver une juste compensation en faveur de leurs populations.
Le sommet de Kinshasa va mettre en lumière le bassin du Congo, deuxième du monde après l’Amazonie et dont plus de 60% couvre le territoire national de la RDC. Avec la déforestation accélérée de l’Amazonie, le bassin du Congo est en passe de prendre la première place de ce trio.
Ce même mardi, le Président de la République a reçu le ministre d’Etat et ministre des affaires extérieures des Émirats arabes unis. Cheikh Abdallah ben Zayed Al Nahyane s’est entretenu avec le Chef de l’Etat sur le projet du port en eau profonde de Banana en cours d’exécution. Le ministre Emiratis a réaffirmé la détermination de son pays à conduire à terme ce mégaprojet.