Députation nationale : Me Sylvain Tshiaba victime de menace de mort d’un certain Olivier Mulamba

Un mois après le dépôt de sa candidature à la députation nationale dans le territoire de Tshikapa, sa circonscription électorale, dans la province du Kasaï, le jeune leader et haut cadre du parti politique Alliance des forces démocratiques du Congo (AFDC), parti cher au président du Sénat Modeste Bahati Lukwebo.
Sylvain Tshiaba est victime de plusieurs menaces de ses droits et devoirs entant qu’un citoyen congolais par ses anciens alliés du parti CAAC qui ne veulent pas que ce dernier se présente candidat aux prochaines législatives nationales en lieu et place de représenter la base du feu sénateur Flory Ntumba décédé au mois de février dernier à Kinshasa la capitale, suite à un incendie de sa résidence privée a Limete.
Connu au nom de Olivier Mulamba Buana, il persiste avec ses appels, messages et audios r lesquels il profère des menaces de mort et promettant l’enlèvement au cas où Sylvain Tshiaba ne renonce pas à sa candidature à la députation nationale pour préserver sa vie humaine. Il souligne dans ses messages de menaces que «  si tu ne renonces pas à ta candidature, tu finiras mal avant ces élections comme ton défunt grand frère », conclut-t-il.
C’est ainsi que la victime lance cet appel aux autorités politico-administratives et militaires et celles de la police judiciaire contre ces propos et menaces anti-démocratiques qui foulent aux pieds les principes de la démocratie dans un pays où un Etat de droit est établi et promet de saisir la justice dans les prochaines heures.




A Kele/Kasaï: Un voleur calcinée dans la nuit du jeudi au vendredi

Justice populaire à Tshikapa. Un voleur a été copieusement frappé, avant d’être calciné dans la nuit du jeudi au vendredi 11 août 2023 par la population de Kele, dans la province du Kasaï. Celle-ci était fâchée suite à plusieurs cas d’insécurité enregistrés actuellement. Selon les témoignages de la population du coin, cet acte a été posé parce que la plupart de personnes arrêtées et traduites devant les juges sont libérées quelques jours après.
Disons que l’identité de la victime n’a pas été révélée.
Signalons que c’est depuis quelques jours que la ville de Tshikapa fait face à plusieurs cas d’insécurité, les tueries, les vols en main armée, les coupeurs des routes non encore officiellement identifiés. La population de Kele accuse le gouvernement provincial et la justice d’être à la base, d’autant plus que plusieurs voleurs sont arrêtés puis relâchés.
Une source parle des enquêtes déjà menées par les autorités et les services de sécurité bien que rien n’a filtré.
Jean-Luc Bakampenda depuis Tshikapa




« Ces confessions religieuses anti-population qui bradent leur moralité en échange des intérêts individuels seront punies par la population » (La CASE)

Fort de sa proximité tribalo-politique avec le pouvoir, l’Evêque Général Dodo Kamba vassalise ses collègues à coups de billets de banque et intimidations pour confisquer le processus électoral, indique M. Simaro Mbayo Ngongo, président de la Commission africaine pour la supervision des élections (CASE).
Après avoir suivi les propos politiquement motivés tenus par le Président Félix Tshisekedi le mercredi 9 août 2023, à BelemdoPara (Brésil) devant la diaspora de la République Démocratique du Congo et à travers lesquels le Chef de l’Etat a officiellement reconfirmé d’être en intelligence avec la CENI-Kadima dans ses excès d’irrégularités et de fraude électorale planifiée, les Confessions religieuses membres de l’Union Sacrée ont été de nouveau sollicitées par le pouvoir afin d’exécuter leur sale besogne contre le peuple Congolais. En soutenant avec vocifération l’équipe contestée de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), les membres de la CIME ont fait le choix catastrophique du pire et de la déflagration politique préélectorale.
Pour Simaro Mbayo Ngongo, président de la Commission africaine pour la supervision des élections (CASE), la déclaration faite par l’évêque général Dodo Kamba et sa bande pro Kadima a effrayé la population congolaise par son arrogance schizothymique. Alors que les mêmes confessions religieuses ont déjà blessé la nation par la désignation corrompue et têtue de M. Denis Kadima à la tête de la CENI, elles viennent de récidiver en s’attaquant très politiquement à la Conférence Épiscopale Nationale du Congo (CENCO) et à l’Eglise du Christ au Congo (ECC). Pire, ce groupe de religieux débauchés a accepté de sacrifier la Nation pour privilégier leurs intérêts limités.
« La CASE note avec grande déception que ce groupe d’individus peu recommandables a décidément cessé d’obéir à DIEU pour ne compter que sur des petits avantages ingrats du pouvoir. Dans leur insubordination au CRÉATEUR, ils ont pris le courage politique de vendre aux enchères le Peuple Congolais, peu importe les conséquences qui s’en suivront », indique notre source.
Et d’ajouter, en gonflant leurs effectifs populairement insignifiants pour se constituer une plateforme concurrente à la CENCO-ECC, ils nourrissent le rêve de mobiliser le Peuple Congolais derrière leur aventure de mauvais goût. La CASE rappelle à ces pasteurs égarés que leurs faits et gestes sont comptabilisés et qu’ils finiront par payer le prix de leur trahison.
La CASE souligne également qu’en matière d’élections, la manipulation n’a jamais conquis les consciences des électeurs, quels que soient le nombre de concerts musicaux monnayés. Même les Jeux de la Francophonie n’ont rien changé à l’idée des Congolais selon laquelle le régime actuel a démontré ses limites. Toutes les assemblées de cultes convoquées par les confessions religieuses du pouvoir n’ont fait que témoigner de leur impopularité dramatique. L’argent mobilisé pour corrompre ces responsables religieux est un gaspillage.




DGRK : Les assujettis aux impôts provinciaux et locaux sont priés de payer uniquement dans les comptes receveurs fiscal et non fiscal logés dans les banques partenaires

Dans un communiqué signé par M. Eddy Mfumumpoko Monsempo, la Direction générale des Recettes de Kinshasa (DGRK), rappelle les contribuables, personnes physiques et morales, assujettis aux Impôts Provinciaux et Locaux, la stricte observance des dispositions du Décret n°20/019 du 21 août 2020 modifiant et complétant le Décret n°007/2002 du 02 février 2002 relatif au mode de paiement des dettes envers l’Etat.
A cet effet, indique la même source, elle les invite à déclarer leurs impôts, taxes, redevances, droits dus à la ville de Kinshasa et à payer uniquement dans les comptes receveurs fiscal et non fiscal logés dans les banques partenaires de la ville.
Et ce, parce que celui qui paie mal, paie deux fois.




CENI : Les contestations relatives à la validité des candidatures sont portées devant la Cour constitutionnelle dans un délai de 5 jours

La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), par la voix du Président Denis Kadima Kazadi, a rendu publique, à la salle Abbé Apollinaire Malu Malu, la liste provisoire des candidatures déclarées recevables et irrecevables des députés nationaux en présence de l’ensemble des membres du bureau et de la plénière de l’institution.

Sur un total de 28.791 candidatures reçues 24.295 ont été déclarées conformes dont 23.653 recevables, 642 irrecevables et 4.496 non conformes. Au nombre de candidatures recevables, 19.698 hommes (soit 83%) et 3 955 femmes (17%).
Parmi ces candidatures on dénombre 155 indépendants, 3.785 présentées par les partis et 19.713 émanant des regroupements politiques. Celles déclarées irrecevables en raison de candidatures multiples et/ou non conformes aux conditions d’éligibilité, en application des dispositions de l’article 102 de la Constitution ainsi que 9, 10, 15, 21 alinéa 1, point 1, 3 et 4 ainsi que 22 alinéa 1, point 3 de la Loi électorale.
Il est rappelé aux partis et regroupements politiques ainsi qu’aux candidats indépendants que conformément aux dispositions de l’article 25 de la Loi électorale, les contestations relatives à la validité des candidatures sont portées devant la Cour constitutionnelle dans un délai de 5 jours à dater de la publication de la liste provisoire.
Du 11 au 28 août 2023 : Dépôt et traitement des recours en contestation des listes de candidatures. Du 29 au 31 août : Notification à la CENI des arrêts de la Cour constitutionnelle. Du 1er au septembre : Prise en compte par la CENI des arrêts de la Cour constitutionnelle. Le 5 septembre : Publication par la CENI des listes définitives des candidats députés nationaux.
En outre, la CENI informe l’opinion que les listes provisoires des candidats députés nationaux seront affichées aux Secrétariats Exécutifs Provinciaux et aux Antennes et également disponibles sur le site web www.ceni.cd.
Conformément aux dispositions légales, la Cour constitutionnelle dispose d’un délai de 10 jours ouvrables pour rendre ses décisions à compter de la date de sa saisine.




Trêve d’illusion : L’Occident ne voudra jamais pour l’Afrique son type de démocratie !

Motif simple : sa démocratie est trop coûteuse en termes de niveau social, d’économie et de sécurité pour être compatible avec les réalités sociales, économiques et sécuritaires fragiles de la majorité des pays africains…
En une soixantaine d’années d’indépendance, les pays africains, autrefois colonisés par l’Europe occidentale sous le regard attentionné des Etats-Unis, font maintenant la troisième expérience de la démocratie. Venue avec le vent des indépendances, la première vague remonte aux 1960-1965. Elle va se planter avec l’avènement des coups d’État militaires et l’instauration des régimes à Parti-Etat à partir des années 1963 jusqu’en 1990. La deuxième expérience s’est manifestée entre 1990 et 2020 avec la cogestion des transitions et l’avènement des institutions issues des élections sujettes à contestation. Jamais deux sans trois : la troisième est en cours. Elle se vit malheureusement avec la propension à la révision de la Constitution pour plus que deux mandats, tendance coïncidant avec le recours aux coups d’Etat militaires. Le dernier en date – celui du Niger – a pour mérite inespéré de voir la France Etat menacer ouvertement les putschistes nigériens des répressions en cas de mise à mal de ses intérêts économiques. Paris refuse de subir une troisième humiliation après celles du Mali et du Burkina Faso…
Démocratie à l’occidentale
Pour une fois depuis 1960, avec l’entrée en lice de l’Algérie, trois pays voisins décident de coaliser leurs forces armées pour combattre au Niger toute autre force étrangère qui empêcherait l’armée nigérienne d’exercer les prérogatives régaliennes.
A la base, il est certes aisé de citer la menace djihadiste qui, elle-même, a ses origines dans la mort brutale et atroce de Mouammar Kadhafi, mort planifiée sous Nicolas Sarkozy par Paris, dit-on
Mais, en réalité, la vraie crise a ses racines dans la démocratie telle que vendue à l’Afrique : la démocratie à l’occidentale pratiquée dans les pays d’Amérique du Nord et de l’ex-Europe de l’Ouest, tous membres de l’Otan.
Et comment !
Cette forme de démocratie, on le sait, est entretenue dans ces pays avec le niveau social relativement élevé des populations, niveau garanti par une économie forte et une sécurité optimale.
Tous les partis qui se succèdent aux affaires en Occident savent que sans celles-ci, celui-là est nul.
La preuve est que pour une majoration de prix d’un centime d’euro, ou d’un cent de dollar, le pouvoir – peu importe qu’il soit de gauche, du centre ou de droite – s’expose à une déferlante du genre Gilets jaunes.
Au moins, il est formellement établi que pour garantir le standing acquis pour leurs populations, la plupart des pays occidentaux ont besoin des matières premières dont regorge en abondance l’Afrique. Continent qui, depuis sa « découverte » par des explorateurs puis son exploitation par des colons européens, les nourrit au travers de l’exploitation industrielle et artisanale des ressources naturelles du sol et du sous-sol.
Conséquence : l’Afrique renoue avec des coups d’Etat militaires
De cette démocratie profitable essentiellement aux Américains et aux Européens, les Africains sont de plus en plus nombreux à ne plus en vouloir.
Normal : à l’échec patent de la démocratie suscitée dans la foulée des indépendances en 1960 a succédé l’échec, tout aussi patent, du monopartisme justifié par la Guerre froide au moyen des coups d’Etat militaires et civils. Et tout naturellement, cet échec a douché les espoirs démocratiques suscités par la « Perestroïka » (reconstruction) et la « Glasnot » (transparence), concepts lancés par Mikaël Gorbatchev dernier président de l’Urss en 1990-1991, mais surtout promus lors de la 16ème conférence des chefs d’État d’Afrique et de France organisé à La Baule en juin 1990 sous un François Mitterrand plutôt napoléonien que gaullien.
En effet, pour préserver ses intérêts, l’Occident avait fait le choix de se débarrasser de tous les régimes à parti unique qu’il avait utilisés en gendarmes de ses intérêts géopolitiques, géostratégiques et économiques sous la Guerre froide. Il avait alors misé sur les opposants africains propulsés au-devant de la scène grâce aux ONG, aux médias, aux syndicats des travailleurs, aux églises chrétiennes etc.
D’où sa (re)prise de contrôle de tous les changements institutionnels opérés dans bon nombre de pays africains : élections là où il y a possibilité d’élections, soulèvements populaires là où il y a possibilité de soulèvement, coups d’Etat militaires là où il y a possibilité de coup d’Etat militaires.
Paradoxalement, les filleuls – une fois aux affaires – ont réalisé les limites de la démocratie à l’occidentale. La gestion démocratique se révélant de plus en plus difficile à assumer, certains vont découvrir la « nouvelle recette » consistant à faire sauter dans la Constitution la limitation des mandats pourtant initialement fixés à deux.
Conséquence : l’Afrique renoue avec des coups d’Etat militaires.
Aux enjeux économiques, ils opposent des enjeux politiques
A dire vrai, l’échec de tous les cycles expérimentés résulte d’une même cause : la persistance des crises sociales consécutives à la persistance des crises économiques consécutives, elles-mêmes, à la persistance des crises sécuritaires.
Aussi, depuis 6 décennies, la population africaine ne sait pas couvrir ses besoins primaires en logement, en énergie (eau et électricité), en éducation, en santé, en transport etc.
Elle se demande, non sans raison, quand est-ce que Washington pourrait, par exemple, aider Kinshasa à se rapprocher ne serait-ce que de 10 % du PIB par habitant aux Etats-Unis qui est de USD 70.248,63 en 2021, soit USD 7.024, puisque celui de la RDC par habitant est de USD 577,21 ! Dans 10 ans ? Dans 20 ans ? Plutôt dans 50 ans ?
Choquante, la vérité à laquelle il faut finalement préparer l’opinion africaine est que jamais, mais alors jamais l’Occident ne saura pousser l’Afrique à adopter son mode de démocratie et se l’approprier. Ce mode étant trop onéreux, les Occidentaux ne voudront pas s’étrangler en voyant l’Afrique, avec son 1,4 milliard d’habitants, jouir du même niveau de vie que les Américains et les Européens (ex-Europe de l’Ouest) qui sont 820 millions d’habitants.
Pour rien au monde ils n’encourageront les Africains à disposer d’un système sécuritaire et à se doter d’un système économique sur lequel va devoir s’appuyer un système social consolidé par un système politique démocratique à l’occidentale. Ce sera suicidaire pour la « civilisation universelle ».
Par contre, ils seront derrière tout système politique aux apparences démocratiques, système qui rende au moins les élections potentiellement inflammables pour leur permettre d’agir en sapeurs-pompiers.
Que représentent alors l’Afrique pour ses leaders institutionnels ?
Une partie de la réponse est dans le communiqué de presse 9 août 2022 publié par Africom (Commandement militaire américain pour l’Afrique) à l’occasion de la prise de fonction du général Stephen G. Townsend. Ce dernier déclare : «*L’Amérique ne peut pas se permettre d’ignorer l’Afrique – la sécurité future de l’Amérique, et je crois que la prospérité – dépend d’une Afrique plus sûre et plus prospère».
Comment ces leaders, conscients du rôle-pilote des Etats-Unis dans le monde occidental, négocient-ils avec Washington la contrepartie de l’Afrique en termes de niveau social, de niveau économique et de niveau sécuritaire ?
Evidemment, comme relevé dans une chronique récente, aux enjeux économiques constituant la priorité des priorités pour les Occidentaux, les leaders africains opposent continuellement les enjeux politiques ; leur préoccupation première étant de figurer dans le Guinness World Records Book des meilleurs démocrates du continent !
Omer Nsongo die Lema




Al-Nassr affronte Al-Hilal dans une finale de la coupe Arabe!

C’est l’heure de la finale ! Ce samedi 12 août, Al-Nassr affronte Al-Hilal sur l’ultime marche de de la Coupe Arabe des clubs champions.

Cette finale entre Al-Nassr et Al-Hilal se déroulera samedi au King Fahd Stadium (20 000 places) de Ta’if, en Arabie saoudite. Elle aura lieu à 15h GMT. Pour les fans de Sadio Mané et de Kalidou Koulibaly, il sera 15h au Sénégal. Vous pourrez suivre cette rencontre en direct et en intégralité sur Twitch ou la chaîne saoudienne SSC.

Al-Nassr – Al-Hilal : l’analyse du match
Après un parcours mitigé lors des phases de poules (1 victoire, 2 nuls), Al-Nassr n’a fait qu’une bouchée du Raja Casablanca (1-3), tenant du titre, en quarts de finale, avant de prendre le dessus sur les Irakiens d’Al-Shorta lors du dernier match (0-1). C’est Cristiano Ronaldo qui a inscrit le but de la victoire sur un penalty, qui a été provoqué par son nouveau compère d’attaque, l’inévitable Sadio Mané. Si l’ancien joueur du Bayern Munich attend toujours son premier but sous ses nouvelles couleurs, il n’y aurait sans doute pas meilleur timing que cette finale et derby de Riyad face à Al-Hilal… L’autre club phare de Riyad a réalisé une campagne encore plus mitigée en phase de poules (1 victoire, 1 nul, 1 défaite). La machine bleue a véritablement démarré en quarts de finale contre l’Al-Ittihad de Karim Benzema (1-3), puis au tour suivant devant les compatriotes Al-Shabab (2-1).

Difficile de faire un pronostic pour cette finale. Sur le papier, le duo Mané-Ronaldo aurait tendance à faire légèrement pencher la balance pour Al-Nassr, mais il y a un roc qui s’appelle Kalidou Koulibaly (ex-Chelsea) en face. De plus, Al Nassr n’a obtenu qu’une seule victoire lors de ses 6 derniers matchs contre Al Hilal. Les deux équipes, respectivement 2ème (Al-Nassr) et 3ème (Al-Hilal) du dernier championnat de Saudi Pro League, sont sensiblement proches en termes de niveau intrinsèque. Une finale est toujours un match un peu à part et cette rencontre, qui s’annonce passionnante, pourra basculer d’un côté comme de l’autre.




LA GRANDE FETE DES JUIFS 2023 1ER EDITION / VENDREDI 11 AOUT 2023 AVEC LE PAST. FRANCOIS MUTOMBO VH




Députation nationale : Sur un total de 28.791 candidatures reçues, 4.496 déclarées non conformes, 24.295 déclarées conformes dont 23.653 recevables et 642 irrecevables

La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), par sa Décision n° 075/CENI/AP/2023 du 10 août 2023, publie la liste provisoire des candidatures déclarées recevables et irrecevables à l’élection des Députés Nationaux du 20 décembre 2023 ainsi que celle des partis et regroupements politiques ayant atteint le seuil de recevabilité.

Selon un communiqué de presse signé par Mme Patricia Nseya, sur un total de 28.791 candidatures reçues, 4.496 ont été déclarées non conformes, 24.295 déclarées conformes dont 23.653 recevables et 642 irrecevables. Pour les candidatures recevables, il y a 19.698 hommes, soit 83% et 3.955 femmes, soit 17%. De ces candidatures, il y a 155 candidats indépendants. 3.785 candidats présentés par les partis politiques et 19.713 candidats présentés par les regroupements politiques.

Les candidatures sont déclarées irrecevables en raison de candidatures multiples et/ou non-conformes aux conditions d’éligibilité, en application des dispositions de l’article 102 de la Constitution ainsi que des articles 9, 10, 15, 21 alinéa 1, points 1, 3 et 4 ainsi que 22 alinéa 1 point 3 de la Loi électorale.

La CENI informe l’opinion publique que les listes provisoires des candidats Députés Nationaux ainsi publiées seront affichées aux Secrétariats Exécutifs Provinciaux et aux Antennes. Elles seront également disponibles sur le site web: www.ceni.cd

La suite du chronogramme opérationnel relatif aux candidatures à la députation nationale se présente comme suit:

  • Du 11 au 28 août 2023: Dépôt et traitement des recours en contestation des listes des candidatures à la députation nationale
  • Du 29 au 31 août 2023 Notification à la CENI des arrêts de la Cour constitutionnelle
  • Du 1er au 04 septembre 2023 Prise en compte par la CENI des arrêts de la Cour Constitutionnelle
  • Le 05 septembre 2023: Publication par la CENI des listes définitives des candidats Députés Nationaux.

La CENI rappelle aux partis et regroupements politiques ainsi qu’aux candidats indépendants que, conformément aux dispositions de l’article 25 de la Loi électorale, les contestations relatives à la validité des candidatures sont portées devant la Cour Constitutionnelle dans un délai de cinq jours, à dater de la publication de la liste provisoire des candidatures.

Conformément aux dispositions de l’article 27 de la Loi électorale, la Cour Constitutionnelle dispose d’un délai de dix jours ouvrables pour rendre ses décisions à compter de la date de sa saisine. A la réception des arrêts de la Cour Constitutionnelle, la CENI rendra publique la liste définitive le 05 septembre 2023, en application de l’article 27 ter de la Loi électorale.

 




RDC: L’avis de recherche contre Kalev Mutond, désormais retiré.

Kalev Mutond ne fait plus objet de recherches par la justice Congolaise. Le procureur général près la cour d’appel de Kinshasa – Gombe retire l’avis de recherches qui visait l’ancien chef de l’agence nationale des renseignements (ANR).
Pour le procureur général Robert Kumbu qui a signé ce document le jeudi 10 Août 2023, les raisons de cet avis de recherche “ne subsistent plus”.

Faudra-t-il le signaler que Kalev Mutond était poursuivi pour arrestations arbitraires, traitement cruel, inhumain et dégradant et tentative d’assassinat.

Derick Katola