Non à l’intox: « Le BUREC n’est pas allé aux élections comme parti, mais comme regroupement AB/50 qui a 420 députés » (Julien Paluku) 

Selon la liste publiée par la CENI, qui concerne les partis et regroupements politiques n’ayant pas atteint le seuil de recevabilité à la députation nationale et ce, conformément à l’article 22 de la loi électorale, le Bloc uni pour la renaissance et l’émergence du Congo (BUREC) n’a pas atteint le seuil de recevabilité, n’ayant présenté qu’un seul député national sur toute l’étendue du territoire national.
Cette information n’a pas été du goût de l’Autorité morale du BUREC, M. Julien Paluku, ministre de l’Industrie, qui dit non à toute la distraction, surtout que le BUREC est allé aux législatives nationales en regroupement dénommé AB/50 avec 420 candidats députés nationaux.
« Vous savez que nous avons lancé notre regroupement qui s’appelle Alliance bloc 50. C’est un regroupement de 8 partis politiques dont le BUREC assure la présidence. Nous avons la joie d’annoncer que selon la loi électorale, il faut 60% des candidats pour être déclaré recevable et les 60% représente 260 députés. Mais notre regroupement a atteint 420, nous sommes à près de 90% du seuil », a indiqué Julien Paluku Kahongya, Autorité morale du BUREC et de AB/50, qui fixe l’opinion après l’intox qui a alimenté les débats.
Comme on peut bien s’en rendre compte, les élections doivent se tenir au mois de décembre 2023. Et c’est dans ce sens, croit Julien Paluku, que l’on veut fragiliser le BUREC qui n’aurait aligné qu’un seul candidat. « On a compris le jeu de certaines personnes. Il y a quelqu’un qui est allé payer la caution au nom du BUREC et de l’AVFP et nous avons demandé à la CENI de nous identifier la personne et la circonscription où cela a été fait », dit-il, avant d’ajouter que la caution que nous avons payée, c’est pour 420 députés au nom de AB/50.
Il en a profité pour dire que le BUREC n’est pas allé aux élections comme parti politique, mais comme regroupement. Malheureusement, la personne voulait créer le buz pour dire, pour dire que le BUREC n’a pas atteint le seuil.
« Nous, on comprend que c’est la peur au ventre. Nous allons dénicher cette personne. Il faut que la population se calme. Le BUREC est le président de ce regroupement avec 420 députés nationaux. Les petits coups bas auxquels se lancent certaines personnes ne servent à rien. Nous sommes partants avec une bonne victoire en 2023, avec des ambitions pour lesquelles nous-mêmes nous connaissons le secret. Le BUREC, c’est un grand parti politique en Rdc », termine Julien Paluku.




Nord-Kivu : Julien Paluku pose la 1ère pierre pour la construction du guichet unique de la ZES de Musienene

Devant une forte délégation du Fonds de promotion de l’industrie (FPI), de l’AZES et de la notabilité du coin, M. Julien Paluku, ministre de l’Industrie a posé la première pierre pour la construction du guichet unique. Ceci, pour que les opérateurs économiques qui vont s’y installer ne subissent pas des tracasseries. Il y aura un seul bureau qui recevra toutes les demandes, pour que l’opérateur économique qui s’y installe puisse bénéficier d’une exonération totale.


Lancement officiel, jeudi 10 août 2023 des travaux de construction du guichet unique de la Zone Économique Spéciale (ZES) de Musienene, basée en territoire de Lubero, dans la Province du Nord-Kivu.
Le Ministre a posé la première pierre en présence des animateurs du Fonds de Promotion de l’industrie (FPI), dont la Présidente du Conseil d’Administration (PCA), Vicky Katumwa, le Directeur général (DG), Bertin Mudimu Tshisekedi et quelques administrateurs de cet établissement public. La notabilité locale et plusieurs opérateurs économiques de la région ont également pris part à la cérémonie. 600 mille dollars américains, c’est l’enveloppe mobilisée par le Gouvernement via le FPI pour la réalisation de ces travaux qui seront exécutés par la Société Tuvali Equateur (SOCITEQ), Aménageur de la ZES de Musienene.
Selon le ministre de l’Industrie, ce guichet servira pour le traitement de tous les dossiers liés à la fiscalité dans cette ZES.
« Nous sommes ici sur invitation de Mgr l’Evêque qui célèbre ses 25 ans d’épiscopat. Il était de notre devoir de répondre à cette invitation. Vous avez aussi d’autres membres du Gouvernement et les délégués de la présidence de la République. Comme nous sommes les commis de l’Etat, nous avons croisé cette invitation avec l’accomplissement d’une mission du Fonds de promotion de l’industrie conduite par la présidente du Conseil d’administration, l’honorable Vicky Katumwa, du Directeur général et des Administrateurs. Ils sont dans une tournée de la République pour voir quels sont les projets qu’ils ont financés et comment ils ont impacté la vie de la population. Ils sont passés par Kinshasa, Lualaba, le Haut Katanga, maintenant ils sont au Nord-Kivu et après ils vont finir par le Sud-Kivu », a indiqué le ministre de l’Industrie.
Et Julien Paluku de poursuivre que pour l’étape de Butembo où nous sommes, ils se rendront dans la Zone économique spéciale de Musienene qu’ils ont financé à la hauteur de 350.000 dollars Us pour les études faisabilité, mais également ils vont financer le guichet unique. Parce que dans une zone, il faut qu’il y ait un guichet unique qui reçoit tous les services qui vont administrer la zone. Mais également il y a un autre projet qu’ils vont financer, c’est la construction d’une infrastructure industrialisable pour l’eau potable.
Paluku salue Katumwa et Bertin Mudimu
« C’est le duo qui nous aide à faire passer les projets qui réindustrialisent le pays. A l’époque, le FPI c’était une caisse où tout le monde venait puiser et mettre ses mains. Mais lorsque nous sommes arrivés, nous avons d’avantage autonomisé le FPI, nous avons rabattu le taux d’intérêt jusqu’à 4% pour les jeunes et les femmes et à 6% pour tout le monde. Ce qui n’existe nulle part. Ils ont financé les travaux préliminaires de l’étude, parce que pour qu’une zone puisse naitre, il faut qu’il y ait une étude qui convainc tous les investisseurs qu’il est possible d’y investir et l’étude a été menée par un consortium. C’est une étude qui a permis à l’Agence des Zones économiques spéciales qui reconnait le statut de Zone économique spéciale », dit-il.
Pour le ministre de l’Industrie, c’est quand on a le statut qu’on bénéficie des avantages. Ils doivent encore fournir quelques éléments pour que tous les processus soient déclenchés, notamment l’Arrêté interministériel pour approuver le contrat d’Aménagement et les investisseurs qui voient cet écosystème peuvent y aller.
« Aujourd’hui, nous venons poser la pierre pour la construction du guichet unique, pour que les opérateurs économiques qui vont s’y installer ne subissent pas des tracasseries. Il y a un seul bureau qui reçoit toutes les demandes. L’avantage est que l’opérateur qui s’installe ici bénéficie de l’exonération totale. S’il importe des machines, celles-ci passent ici à zéro dollar. Ce sont des programmes qui s’étalent sur 5 à 7 ans », dit-il.
S’adressant au chef de la chefferie, il lui a dit d’être sûr que 5 ans plus tard, ça ne sera plus le même espace que vous voyez avec des herbes. 10 ans plus tard, ça sera encore d’avantage autre chose, peut-être. « Rêvez aussi grand, ne soyez pas hanté par l’esprit d’immédiateté », martèle-t-il.
De son côté, la PCA du FPI a réaffirmé le ferme engagement de cette entreprise publique à accompagner l’industrialisation du pays.
Après l’étape de Musienene, la délégation du ministre de l’Industrie s’est rendue dans la Commune de Bulengera pour lancer les travaux d’adduction gravitaire d’eau potable AGEP Lwangoko-Kyangolo. Environs 6 mille ménages de cette municipalité de la ville de Butembo vont bénéficier de ce projet de SOPRODEC avec l’appui financier du FPI.




Haut Lomami: Aimé Boji et Nicolas Kazadi à Kanyama Kasese pour encourager les jeunes en rééducation

Aimé Boji Sangara et Nicolas Kazadi, respectivement ministre d’Etat, ministre du Budget et des Finances ont effectué une visite éclair ce samedi 12 août au Centre d’encadrement et d’Instructions “Félix-Antoine Tshisekedi”, basé à Kanyama Kasese dans la province de Haut Lomami.

L’objectif était de palper du doigt le travail fait sur place au regard des Fonds décaissés par le Trésor Public en vue de viabiliser ce centre, indique une dépêche du ministère du Budget.
Les deux membres du Gouvernement avaient également encouragé les jeunes en processus de rééducation en perspective de leur réintégration sociale. A ce jour, près de 6.000 Jeunes sont basés dans ce centre du Service National, sous le commandement du Général Major, Jean-Pierre Kasongo Kabwik.
Selon la même source, les deux membres du gouvernement ont été impressionnés par le travail réalisé par le Service National, celui de transformer ces jeunes jadis qualifiés de délinquants en véritables brigades de production au service de la Nation, notamment dans le domaine de la maçonnerie, de la menuiserie, de l’agriculture, de l’élevage, de la soudure, de la charpenterie, etc…
Disons que la présence de ces deux membres de l’équipe Gouvernementale à ce Centre, témoigne non seulement l’importance que le Gouvernement de la République accorde à l’instruction de la Jeunesse, mais aussi la détermination du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, de rendre cette Jeunesse autonome, à travers l’apprentissage des différents métiers.
Situé en plein centre du pays, le centre d’encadrement et d’instruction “Félix-Antoine Tshisekedi”, encadre tous les jeunes venus de plusieurs provinces de la République, particulièrement ceux de Kinshasa, communément connus sous le nom de Kuluna (bandits), et qui sont récupérés par le Service National pour réinsertion communautaire, après formation dans divers métiers.




« La CENCO, l’ECC et les autres confessions religieuses courent derrière leurs intérêts égoïstes » (Father Arthur Lubwika)

Dans les lignes qui suivent, nous allons vous proposer la récation de Father Arthur Lubwika à notre article intitulé : « Ces confessions religieuses anti-population qui bradent leur moralité en échange des intérêts individuels seront punies par la population » (La CASE)
Je sens dans cet article le style des gens qui en veulent au pouvoir en place. Tel Mgr Fulgence Muteba de Lubumbashi avait vilipendé les autres pasteurs, telle la CASE vilipende les confessions religieuses autres que la CENCO et l’ECC, l’un et l’autre accrochés aux mêmes intérêts que procure la politique en cette mi-temps. D’autre part, le régime précédent comme l’actuel régime brillent par la privatisation de la CENI.
Il n’y a rien de nouveau sous le ciel politique congolais; mais il reste un espace pour ceux qui ont faim et soif de justice (et non pour les personnes ou les organisations opportunistes qui font semblant de parler au nom du peuple congolais). Voyez seulement le refus de nos parlementaires de modifier la loi électorale quant à l’alignement des membres proches de famille et sans compétences avérées, et vous comprendrez … Bref, la CENCO, l’ECC et les autres confessions religieuses courent derrière leurs intérêts égoïstes : inutile d’engager Dieu et le peuple congolais dans leurs diatribes. Merci et bon weekend !