Présidente de la Ligue des Femmes du MSC au Kongo Central : Frida Munshy, une tournée qui a changé toute la donne politique électorale

L’honorable Frida Munshy, présidente national de la Ligue des Femmes du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC) s’impose désormais dans la cours des grands non seulement comme une vrai leader politique, mais également comme une mère rassembleuse. Candidate à la députation nationale dans la circonscription de la Tshangu, son dernier périple dans le Kongo Central profond vient effectivement de changer la donne politique électorale du MSC. Cette étape a été la plus déterminante, parce qu’elle a constitué un véritable enjeu de réunifier les membres, expliquer la vision de l’Autorité morale Laurent Batumona, présenter la candidature unique de Félix Tshisekedi au poste de Président de la République de son parti MSC et de ses regroupements. Devant les candidats à la députation nationale, provinciale et des Conseillers communaux, elle a mis à profit ces moments de rencontre pour remonter le moral des cadres et leurs responsables des fédérations et Ligues.

Au début du mois d’août, la Présidente de la Ligue des Femmes du MSC, l’honorable Frida Munshy, l’une de candidate potentielle du Regroupement AMSC aux prochaines élections de 2023, s’est rendue dans le Kongo Central pour évaluer et motiver les candidats qui vont affronter les élections prochaines de décembre 2023 à tous les niveaux. Des contacts politiques qu’elle a entrepris avec dextérité et détermination dans les différentes fédérations, il en est ressorti la confirmation d’un bon message de rassemblement et de conscientisation pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi Tshilombo pour un deuxième mandat.

Il a été question pendant son séjour de redynamiser les activités du parti au Kongo Central, de procéder au réarmement moral et politique afin de mettre en place une stratégie électorale.

Il a été aussi question d’expliquer la vision aux regroupements politiques crées en cette période électorale. Il s’agit de : AAAP, AMSC, AE et ADR qui sont conduit de main de maître par l’honorable Laurent Batumona Kandi Kham et Autorité morale l’honorable de MSC.

Elle a livré un message d’apaisement qui a touché les consciences des candidats à tous les niveaux : ‘’ les candidats de tous les regroupements politiques doivent se sentir à l’aise parce que vous avez un président dynamique, travailleur, homme social et sans aucun doute orienté vers la paix, homme de bonne moralité et qui travail aux côtés du Président de la République Félix Tshisekedi pour le progrès social de notre pays.

Laurent Batumona n’a pas l’esprit de frustrer les candidats qui que ce soit. Compte tenu de l’ampleur de candidature, s’il quelqu’un ne se retrouve pas sur une liste, ce qu’il n’est pas aligné dans un regroupement choisi. C’est qu’il sera classé dans un autre regroupement’’. C’est le même message d’encouragement qu’elle a lancé partout où elle est passée.

Frida Munshy Yaya Yalake a rappelé que ceci fait partie d’une stratégie électorale peaufinée par l’Autorité morale, l’honorable Laurent Batumona, dans l’objectif ultime d’offrir une majorité parlementaire écrasante au Parlement et la réélection sans faille de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo aux élections de décembre 2023 en vue de poursuivre son programme de rendre la République Démocratique du Congo un pays émergent.

‘’Voilà qui va tant soit peu apporter un début de solution aux multiples problèmes qui se posent avec acuité au pays. Plus fondamentalement, la perspective de renforcer le programme de 145 territoires, l’implantation des usines et la réalisation des autres projets sociaux’’, constituent une des innovations dans son message.

A cette occasion, le drapeau du MSC flottait fièrement devant tous les lieux de rendez-vous de travail de Mama Frida. S’adressant aux dirigeants du MSC/Kongo Central, la dame de fer les a invités à travailler d’arrache-pied sur terrain avec mission de recruter les candidats potentiels à l’élection législative provinciale et municipale, étant donné que la CENI a déjà convoqué l’électorat pour l’élection de députés provinciaux et conseillers communaux de décembre 2023. Et surtout de présenter, dans un bref délai, la liste des mandataires ainsi que les dirigeants pouvant piloter les regroupements politiques au niveau du Kongo Central.

Ce périple qui l’a conduit à Kasangulu, Mbanza-Ngungu, Lukala, Matadi, Boma pour chuter à Moanda a certainement présenté un signe non seulement d’un heureux évènement réussi celui de réunifier, de conscientiser les bases du MSC et surtout de pouvoir rétablir les relations entre les dirigeants.

Partout où elle est passée, Frida Munshy a été accueillie tambour battant par les responsables de chaque fédération du MSC/Kongo Central ainsi que par les membres du parti avec lesquels les échanges ont tourné autour de questions électorales.

Très captif au message de la Présidente de la Ligue des Femmes du MSC, les membres et cadres du parti ont par leur témoignage confirmé et assuré que le message de l’honorable Frida a réarmé leur moral est que la victoire du MSC est certaine près de rafler un bon nombre des sièges à l’Assemblée nationale et à l’Assemblée provinciale. ‘’ Nous avons reçu une mission que maman Frida nous assigne : celle de travailler dans les villes et territoires de la province du Kongo Central pour rafler les voix au moment des élections’’, a déclaré Sita Ngoma Shadrack, Président Provincial du MSC/Kongo Central.

Au terme de sa mission et à titre de reconnaissance, les cadres du MSC/KC ont offert un dîner en l’honneur de la présidente Frida Munshy ainsi qu’à toute sa délégation dans la ville de Matadi. A cette occasion, elle a remercié l’Autorité morale, l’honorable Laurent Batumona Kandi Kham pour avoir fourni des efforts inlassables pour que toutes les listes des regroupements politiques soient déclarées recevables par la CENI.

Il faut noter que la tournée du Kongo Central fait suite à la vision de l’honorable Laurent Batumona consistant à réveiller les consciences des membres, redynamiser les activités à la base et la réarmée moralement et politiquement. Ainsi, elle a rencontré tous les présidents fédéraux, les présidentes des Ligues des femmes avec qui elle a abordé toutes les questions liées au fonctionnement, à la mobilisation et au renforcement des liens entre le haut sommet et la base. ‘’Enfin, que tout le monde s’approprie les échéances électorales 2023. Le MSC pose déjà des jalons pour le meilleur résultat. C’est la raison d’être de cette tournée de l’honorable Frida Munshy de présenter Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo comme candidature unique au poste de Président de la République aux 4 regroupements.

 

 

 

 

 




*RPDC; «Cet août où les USA occupent la Présidence du CSNU sera le mois le plus honteux de l’histoire de l’ONU!»* 

Voici les 2 documents (15-16/08/2023) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire sous le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR), relatifs aux USA (ou United States of America ou États-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s après leur fiasco dans la 1ère agression de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration par le Japon grâce à la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR).

*1. Le communiqué de presse de KIM Son Kyong, Vice-ministre chargé des Organisations Internationales au Ministère des Affaires Etrangères* 

L’apparence pitoyable et honteuse des USA désavantagée à la puissance, à la diplomatie et à la moralité dans la confrontation avec la RPDC, s’exprime, pleinement, même au Conseil de Sécurité des Nations Unies (CSNU).

 

Les USA ont appelé (10/08/2023) à une réunion publique (17/08/2023; la 1ère depuis fin janvier 2017, mais le Sénat US vient d’approuver, fin juillet 2023, une «envoyée spéciale sur les questions des droits de l’homme en Corée du Nord» du Département d’État US, NDLR) du CSNU pour discuter des «questions des droits de l’homme» de notre RPDC en incitant leurs marionnettes comme le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Péninsule coréenne la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant son occupation 1905-1945 manu militari en Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que l’enlèvement ou la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le massacre de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR) et l’Albanie, etc. Cela;

 

• révèle, à nu, les ignobles traits hostiles des USA imprégnés totalement de la conscience de confrontation avec la RPDC

• montre, clairement, la situation actuelle du CSNU réprimé par le diktat et l’arbitraire des USA pour souffrir de son dysfonctionnement.

 

La RPDC condamne et rejette, résolument, le racket méprisable des «droits de l’homme des USA comme une violation flagrante et un défi grave à la dignité et à la souveraineté de notre RPDC;

 

• Les USA cherchent, par force, à mettre, sur la table, les «questions des droits de l’homme» de quelqu’un; ce qui va, entièrement, à l’encontre du principe de dépolitisation des questions des droits de l’homme et de la fonction du CSNU dont la mission est d’assurer la paix et la sécurité dans le monde.

• Un tel comportement insensé et de brigand ne fait que mettre en relief les vraies couleurs des USA qui deviennent les plus grandes menaces pour la paix et la sécurité mondiales.

• C’est l’adresse actuelle des USA qui se vantent d’être la Superpuissance mondiale pour maintenir, à peine, leur faible Présidence du CSNU en fabriquant, en secret et par surprise, une réunion pour critiquer, injustement, les États souverains, sans se soucier de leur décence en tant que Pays exerçant la Présidence.

 

Si un certain Pays doit être traité au CSNU sur ses «questions des droits de l’homme», les USA en devraient être les 1ers car c’est l’Empire du Mal anti-populaire, totalement dépravé en raison de toutes sortes de maux sociaux. Les USA non satisfaits de conniver et de favoriser la discrimination raciale, les crimes commis avec les armes à feu, la maltraitance des enfants et les travaux forcés qui sévissent dans leur société;

 

• imposent, à d’autres Pays, les normes contraires à l’éthique en matière des droits de l’homme et fomentent les troubles et la confusion internes

• sont les menaces les plus graves à la paix et à la sécurité internationales et un État criminel total qui devrait, certainement, être traité dans l’arène onusienne.

 

C’est une parodie des droits de l’homme et une tromperie envers la Communauté internationale qu’un tel groupe criminel d’État convoque une réunion sur les «questions des droits de l’homme» de quelqu’un, se déclarant être un État-membre permanent du CSNU. La réalité actuelle dans laquelle le diktat et l’arbitraire des USA pour étouffer l’idéologie et le système de notre RPDC dépassent les limites, nous rappelle la vérité immuable selon laquelle toute pitié ou tolérance envers les impérialistes US est absolument inutile;

 

• Pour la RPDC confrontée aux menaces sécuritaires US les plus hostiles et les plus réalistes, défendre la souveraineté nationale signifie défendre les droits de l’homme et utiliser tous les moyens disponibles pour défendre cette souveraineté est le droit légitime de l’État souverain que personne ne peut nier.

• La RPDC est prête pour la confrontation tant politico-militaire qu’idéologique avec les impérialistes US et suit, de près, le comportement des USA tout en ouvrant toutes ses options.

• Le racket imprudent des «droits de l’homme» est un choix trop insuffisant pour maintenir le destin des USA en déclin, et un tel acte insensé ne fera que conduire les USA dans l’impasse ou dilemme.

 

Les membres (5+10) du CSNU devront adopter une position et une attitude correctes, comprenant, clairement, que la véritable intention des USA qui ont soulevé les «questions des droits de l’homme» de la RPDC;

 

• n’a rien à voir avec la conception universelle de la protection des droits de l’homme

• n’est que pour réaliser leur objectif géopolitique borné et hégémonique.

 

Notre RPDC profite de cette opportunité d’avertir, sérieusement, certaines forces qui suivent, aveuglément, les USA quoi qu’ils fassent, de;

 

• faire carrément face à la tendance de l’époque actuelle

• se comporter correctement.

 

La RPDC s’opposera, résolument, à tout acte hostile des USA menaçant la paix et la stabilité de la Péninsule coréenne et du reste du monde et défendra, absolument, la souveraineté nationale – les droits de l’homme suprêmes – et les intérêts des masses populaires.

 

Cet août où les USA occupent la Présidence du CSNU sera enregistré comme le mois le plus honteux de l’histoire de l’ONU.

 *2. Les résultats provisoires de l’enquête sur un GI Travis KING* (publiés par la KCNA ou Korean Central News Agency)

Le 18 juillet 2023 dans l’aire de sécurité conjointe (ou JSA ou joint security area, sans aucune barrière physique, NDLR) sise dans la Zone Démilitarisée (le point le plus chaud du monde, NDLR) de Panmun-jom (l’ancien petit village sis tout au milieu de la Péninsule coréenne et historique par la signature de l’Accord d’Armistice RPDC-USA, NDLR), Travis KING (23 ans), soldat de 2ème classe (depuis 2021) de l’US Army en Corée du Sud (DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis plus d’un an, son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, d’où la condamnation des millions de manifestants locaux depuis une année, NDLR) a, illégalement, pénétré sur le Territoire de la RPDC.

 

L’Incident (le 1er depuis 2018 mais plusieurs depuis le traçage de la Ligne de Démarcation Militaire en 1945, NDLR) s’est produit à 15h30m alors qu’il visitait la JSA avec les autres touristes civils. Travis KING a été;

 

• infiltré, délibérément ou volontairement (ou sans autorisation), dans notre côté entre la salle de contact des Autorités militaires RPDC-USA et la salle privée de notre Police Militaire

• maintenu sous contrôle des militaires en service de l’Armée Populaire de Corée.

 

Selon l’enquête des Autorités compétentes de la RPDC, Travis KING a;

 

• reconnu avoir pénétré, illégalement, sur le Territoire de la RPDC

• avoué qu’il avait décidé de venir en RPDC avec son aversion pour la maltraitance inhumaine et la discrimination raciale au sein de l’US Army

• affirmé qu’il était désillusionné par la société d’inégalités des USA

• exprimé son intention de demander asile en notre RPDC ou dans un Pays tiers.

 

L’enquête se poursuit.




Coopération Rdc- EAC: Vital Kamerhe favorable au renforcement de la coopération entre les pays de la sous-région dans un climat de paix pour l’intérêt de tous

M. Vital Kamerhe, Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale a échangé ce mercredi 16 août avec une délégation de l’Autorité de Concurrence de la Communauté des États de l’Afrique de l’Est (EACCA). Il était question pour la délégation conduite par Liliane Kajuju Mukoronia de faire part au patron de l’Économie nationale de sa mission entamée en début de semaine à Kinshasa.

Mme Liliane Kajuju, registraire de l’EACCA a affirmé que cette mission s’inscrit dans le cadre du processus d’intégration de la RDC au sein des organes de la Communauté des États de l’Afrique de l’Est (EAC).

« Nous sommes là pour rassurer que nous pouvons faire des affaires dans un climat favorable et dans un marché commun. Nous avons eu des discussions avec trois équipes : la CONAC, les représentants des institutions dont les ministères sectoriels et d’autres parties prenantes dont les associations des consommateurs, les organisations de la société civile… », a affirmé la registraire de l’EAC, à l’issue des échanges avec le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie nationale Vital Kamerhe.

D’après Liane Kajuju, son organisation prône la concurrence loyale dans la sous-région en vue d’assainir le marché, attirer plus d’investissements et protéger les intérêts des consommateurs.

Le Vice-Premier, Ministre, Ministre de l’Économie nationale s’est dit favorable au renforcement de la coopération entre les pays de la sous-région dans un climat de paix pour l’intérêt de tous.

 

« Le Président de la République, Son Excellence Félix Tshisekedi est un homme de paix . Et il a toujours rappelé qu’il n’y a pas développement sans paix. Et pour lui, la priorité pour le moment, c’est la paix à l’Est», a fait savoir Vital Kamerhe.

A en croire le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale, les destins des pays africains sont liés. D’où la nécessité d’œuvrer pour une véritable coopération en vue de promouvoir le développement de tous.

« Ça nous peine d’avoir la guerre à l’Est de la Rdc, au Sud-Soudan, en Somalie, au Niger, au Mali, au Burkina Faso, etc. Ce n’est pas ça l’Afrique que nous voulons! Nous voulons une Afrique en paix, qui voit les intérêts des populations pour œuvrer véritablement pour le développement», a martelé le Docteur Vital Kamerhe

Et de poursuivre : « L’Afrique doit aimer l’Afrique. Si nous mettons ensemble le Burundi, la Tanzanie, l’Ouganda, le Rwanda, etc., nous pouvons faire beaucoup de choses pour le développement de la sous-région. C’est aussi un point de départ pour résoudre le problème de l’insécurité. Nous prouvons à la face du monde que les Africains peuvent travailler ensemble car nos intérêts sont communs. »

Concernant la mission de la délégation de l’EAC en RDC, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale croit qu’elle constitue « un premier pas pour une véritable intégration sous-régionale.

Vital Kamerhe a salué différentes recommandations issues de l’atelier de mise en œuvre de la politique de la concurrence entre la Communauté de l’Afrique de l’Est et la République Démocratique du Congo, notamment la présence de la RDC à la tête de l’une des neuf structures de l’EAC, en l’occurrence l’institut monétaire.

Il faut noter que la délégation de l’Autorité de la Concurrence de l’EAC a eu trois jours d’échanges avec différentes parties prenantes.

Le premier jour a été consacré à une sensibilisation des membres de la Commission Nationale de la Concurrence de la RDC. Le deuxième jour était dédié à la sensibilisation des délégués des institutions dont la présidence de la République, du parlement, de la Primature et des ministères sectoriels. Cette série d’échanges s’est clôturée ce mercredi 16 août avec notamment les délégués la Fédération des entreprises du Congo (FEC), des Régies financières, des associations de protection des consommateurs, des milieux académiques, des cours et tribunaux, des autorités de régulation, de l’Office Congolais de contrôle, de la Direction Générale de Migration, du conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, de l’Institut Nationale des recherches biomédicales etc.

Les participants ont eu des informations nécessaires sur la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC), sa structure de régulation de la concurrence (EACCA) et la législation de la communauté sur la concurrence.

Ces assises visaient l’harmonisation de différents outils règlementaires de la concurrence et des structures économiques, en vue d’une intégration de la CONAC au sein de l’EACCA.

 




5ème journée de la grande fête des Juifs : Le Pasteur Dieumerci Mutombo conseille au chrétien de refuser et briser toutes les lois qui l’excluent de la bénédiction  

L’Eglise mère de la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme « CAC/VH) continue à vibrer au rythme de la première édition de la grande fête des juifs, qui a débuté le 11 août 2023. Cette grande activité spirituelle de portée internationale qui se déroule pendant 10 jours, soit du 11 au 20 août 2023, a pour thème principal : “Pourquoi deviens-tu ainsi chaque matin plus maigre, toi fils de roi ? “, tiré du deuxième livre de Samuel 13:4.

Comme au premier jour, cette célébration continue encore à rassembler de milliers des fidèles qui viennent de 4 coins de la capitale et qui suivent en direct la retransmission de cette activité sur les différentes plateformes sociales, notamment sur la page Facebook de votre média en ligne le quotidienrdc.com.

Le pasteur François Mutombo Voici l’homme a annoncé à toute l’église que tous les prédicateurs prévus pour cette activité ont foulé le sol congolais. Et après cette étape, l’hôte de cette célébration a parlé de la semence et la récolte, un principe établi par le Seigneur après le déluge au temps de Noé. Ainsi, l’homme de Dieu a invité les prédicateurs à déclarer sur le peuple pour qu’il puisse hériter de la bénédiction du Seigneur dans leur vie.

Pour cette cinquième journée, le Pasteur Dieumerci Mutombo, ex-Directeur de cabinet de Lambert Mende, a été choisi comme prédicateur du soir, avec comme sous thème: “Donne-nous une possession parmi les frères de notre père”, tiré dans le livre des Nombres 27: 1-4.

Prenant la parole, l’homme de Dieu a d’abord rappelé le thème principal de cette activité qui est : “Pourquoi deviens-tu ainsi chaque matin plus maigre, toi fils de roi ?».

Abordant son message, il a rappelé les enfants de Dieu, une grande notion que cache ce thème qui est celle de l’identité de chaque enfant de Dieu, tout en s’appuyant sur ce que la bible dit : « qu’a tout ce qui l’on reçut, il les a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu “. Pour l’orateur du jour, le Seigneur a d’abord donné à l’homme une nouvelle identité qui lui permet de jouir tous les privilèges de l’Eternel.

En Israël, il y avait une loi qui disait que “l’héritage ne se transmettait que de père à fils “, pas le contraire. Cependant, il eut un homme de la maison d’Israël répondant au nom de Tselophchad qui n’avait que des filles pas des garçons. Après sa mort, tout son héritage fut confisqué par ses frères au nom de cette loi. Ainsi, ces 5 filles qui se sont vues refusées l’héritage de leur père s’élevèrent pour réclamer la part de leur père. Elles sont allées voir Moïse pour lui demander que l’héritage de leur père leur soit accordé sans aucun obstacle. Lorsque ses filles ont réalisé que le nom de leur père allait disparaître lors de la redistribution de ses terres, parce qu’il n’y avait pas d’héritier mâle, elles ont fait quelque chose d’extraordinaire, qui n’avait encore jamais été faite en Israël. Moïse qui avait présenté leur requête devant Dieu, le Seigneur avait répondu favorablement à leur demande ainsi ses 5 filles possédèrent les terres en Israël comme héritage prévu de leur père.

Pour le pasteur Dieumerci Mutombo, ces filles du moins savaient leur identité, elles se sont appuyées sur le nom de leur père. Chaque enfant de Dieu doit s’élever et reconnaître qu’il est le fils et la fille du roi des rois, que la bénédiction de Dieu et notre héritage et personne ne peut nous la confisquer. Pour lui, s’il y a des lois qui t’excluent de ta bénédiction, que cela soit brisée au nom de Jésus-Christ. Il a invité également tout enfant de Dieu à refuser toutes les lois qui nous empêchent de jouir de l’héritage de Dieu et de sa bénédiction.

Ces filles ont dit à Moïse : ” nous refusons que le nom de notre père soit effacé et oublié, tout ce qu’il y a des meilleurs dans la maison de Dieu t’appartient selon le livre aux Ephésiens 1 :13 à souligner l’homme de Dieu.




Avant de les déployer sur le terrain : Eddy Mfumumpoko forme les OPJ de la DGRK sur le mode opératoire des missions 

Deux semaines après leur prestation de serment, devant le Procureur au Parquet près le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe, les Inspecteurs assermentés de la DRGK ont été convoqués par le Directeur général Eddy Mfumumpoko, ce mercredi 16 août 2023 dans la salle polyvalente Frère Henry Carolus de la Gombe, pour un échange professionnel axé sur le mode opératoire des missions qui leurs seront dévolues.

Le numéro 1 de la DGRK a d’abord félicité tous ces cadres pour avoir fourni les efforts pour atteindre ensemble cette étape si importante qui leur donne une nouvelle qualité professionnelle pour la suite de leur carrière au service de la province. « Vous êtes la police au sein de la régie. La mission qui vous est dévolue et non seulement de vouloir faire de missions d’enquête, mais aussi vous êtes appelés à encadrer les différents services que regorgent notre régie», explique-t-il.

Soucieux de voir les choses aller plus loin et correctement au sein de la Direction générale des recettes de Kinshasa, Eddy Mfumumpoko a invité les agents à demeurer fidèles à leur serment et à agir loyalement dans l’exécution de leur mandat. Sur terrain, il a appelé les uns et les autres à ne pas brader leur serment. Et ce, avant de mettre en garde ceux qui se méconduiront qu’ils verront leur qualité d’OPJ être retirée.

Pour sa part, Félicien Ngobila, Inspecteur Coordon de l’Inspection générale de la Direction générale des recettes de Kinshasa (DGRK) a à son tour remercié le numéro 1 de la régie financière provinciale pour avoir transformé cette direction. Au nom de tous les inspecteurs, Félicien Ngobila a promis au Directeur général que sa direction ne va pas le décevoir et tout sera mis en marche pour que le résultat escompté soit réalisé.

Mme Mamie Sanganyi Bulambo, Directeur de la coordination, études et contentieux qu’accompagner le directeur général Eddy Mfumumpoko a de f son côté salué cette rencontre. Pour elle l’inspection est comme le bras de la DGRK ainsi elle mérite beaucoup d’attention. Sur ce Mamie Sangani Bulambo a invité les inspecteurs à maîtriser, les textes légaux car dit-elle la fiscalité est procédurale.

A noter que dans les jours qui viennent, les Inspecteurs aujourd’hui revêtus de la qualité d’OPJ à compétence restreinte seront déployés dans les différentes directions et centres opérationnels pour encadrer les services et les agents dans l’assiduité et dans l’encadrement des recettes.




Cinq raisons de s’inquiéter du poids de l’économie informelle

Économie de l’ombre, grise, non déclarée ou informelle : tous ces termes renvoient à une réalité très répandue dans les pays émergents et en développement. Cette « informalité » généralisée est particulièrement préoccupante aujourd’hui, car elle risque de compliquer la tâche des pays à l’heure de s’engager sur la voie d’un développement inclusif indispensable pour réparer les dégâts de la pandémie de COVID-19.

Première raison : l’économie de l’ombre est omniprésente. Dans les économies émergentes et en développement, le secteur informel contribue à pratiquement un tiers du PIB et représente plus de 70 % de l’emploi total, dont la moitié environ sous la forme de travail indépendant (figure 1). Parmi les six régions émergentes et en développement, c’est en Afrique subsaharienne, en Europe et Asie centrale, et en Amérique latine et Caraïbes que le poids de l’économie informelle dans le PIB est le plus élevé. Tandis que la part des emplois informels (estimée en fonction du travail indépendant) est la plus importante en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud, et en Asie de l’Est et Pacifique.
Figure 1. Poids du secteur informel dans la production et l’emploi

Note : La production du secteur informel est estimée à l’aide d’un modèle d’équilibre général dynamique et exprimée en pourcentage du PIB officiel. L’emploi informel et l’emploi indépendant sont exprimés en pourcentage de l’emploi total. Les barres représentent les moyennes non pondérées pour la dernière année disponible.
Deuxième raison : un niveau élevé d’informalité rime avec une faible productivité. Dans les économies émergentes et en développement, la productivité du travail dans les entreprises informelles n’atteint qu’un quart en moyenne de celle que connaissent les structures déclarées . La rémunération des travailleurs informels est inférieure de 19 % en moyenne à celle des salariés du secteur formel. Un écart qui s’explique en grande partie par les caractéristiques qui distinguent ces deux catégories de travailleurs. De fait, dès lors que l’on prend en compte le faible niveau d’éducation, le manque d’expérience et d’autres traits caractéristiques des travailleurs informels, les disparités de salaire deviennent négligeables (figure 2).
Figure 2. Écart de salaire en faveur des travailleurs du secteur formel

Note : L’avantage salarial (représenté par les barres) est calculé à partir de 18 études empiriques sur les écarts de salaire entre travailleurs formels et informels. Les traits verticaux représentent l’intervalle de confiance à 90 %. Voir Ohnsorge, Okawa et Yu (2021) pour des informations détaillées.
Troisième raison : l’économie informelle est corrélée à de multiples difficultés de développement — une plus grande pauvreté, des revenus par habitant plus faibles, des progrès plus lents sur les Objectifs de développement durable, des inégalités plus prononcées et des investissements moins importants. Environ un quart (26 %) de la population des économies émergentes et en développement dont le niveau d’informalité est supérieur à la médiane vit dans l’extrême pauvreté, contre un taux de 7 % seulement dans celles où l’informalité est inférieure à la médiane (figure 3).
Figure 3. Extrême pauvreté


Note : Les économies « très informelles » et « peu informelles » correspondent respectivement aux économies émergentes et en développement dont le poids du secteur informel dans la production, exprimé en pourcentage du PIB officiel, est supérieur ou inférieur à la médiane, en fonction d’estimations basées sur un modèle d’équilibre général dynamique sur la période 1990-2018. Le taux d’extrême pauvreté correspond au pourcentage de la population vivant avec moins de 1,90 dollar par jour aux prix internationaux de 2011. Les barres représentent les moyennes simples de 155 économies émergentes et en développement pour la dernière année disponible (jusqu’en 2018).
Quatrième raison : l’économie de l’ombre est généralement d’autant plus forte que les capacités de l’État sont faibles. La prépondérance du secteur informel s’accompagne d’un niveau de recettes et de dépenses considérablement moins élevé, d’institutions publiques moins efficaces , de pesanteurs réglementaires et fiscales importantes et d’une gouvernance plus fragile. Dans les économies émergentes et en développement où le degré d’informalité est supérieur à la médiane, les recettes publiques sont inférieures de 5 à 12 points de pourcentage de PIB à celles des autres économies (figure 4).
Figure 4. Recettes et dépenses publiques


Note : Les économies « très informelles » et « peu informelles » correspondent respectivement aux économies émergentes et en développement dont le poids du secteur informel dans la production, exprimé en pourcentage du PIB officiel, est supérieur ou inférieur à la médiane, en fonction d’estimations basées sur un modèle d’équilibre général dynamique sur la période 1990-2018. Les barres représentent les moyennes de 2000-18 pour les économies émergentes et en développement dont la population est supérieure à 3,5 millions d’habitants.
Cinquième raison : Il n’y a pas de solution simple à l’économie de l’ombre. Pour certains, travailler dans le secteur informel est un choix. Pour d’autres, c’est un dernier recours. L’emploi informel recouvre un large éventail de situations : travailleurs indépendants, petits exploitants agricoles, employés sans contrat de travail, etc. Dans les régions émergentes et en développement où les niveaux d’emploi informels sont les plus élevés, l’agriculture — un secteur où les travailleurs ne sont généralement pas déclarés — continue d’occuper une place particulièrement importante (figure 5).
Les causes de l’informalité sont trop diverses pour que les solutions conviennent à toutes les situations. Il faut par conséquent des réformes globales et adaptées au contexte national.
En Afrique subsaharienne, où les travailleurs se tournent souvent vers une activité informelle par nécessité, les mesures se sont attachées en priorité à développer le capital humain et améliorer l’accès aux financements, aux marchés et aux intrants dans le but d’accroître la productivité du travail. En revanche, en Europe et Asie centrale, en Amérique latine et Caraïbes, et dans une grande partie du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, elles ont avant tout visé à assouplir les contraintes réglementaires et à mettre en place des institutions plus efficaces et responsables, en mettant en particulier l’accent sur le renforcement de l’application de la loi et la lutte contre la corruption.
Figure 5. Part de l’agriculture dans le PIB, par région


Note : Les barres représentent des moyennes régionales simples pour la période 2010-18. EAP = Asie de l’Est et Pacifique ; ECA = Europe et Asie centrale ; LAC = Amérique latine et Caraïbes ; MNA = Moyen-Orient et Afrique du Nord ; SAR = Asie du Sud ; SSA = Afrique subsaharienne.
Shu Yu, Économiste, Groupe des perspectives de développement et Vorisek, Économiste senior, Groupe des perspectives de développement à la Banque




En marge de la grande fête des juifs : Le pasteur Florent Mwalimu explique le bien-fondé d’une alliance entre l’église et son pasteur   

Venu à Kinshasa, mieux à Kalembelembe pour participer à la célébration de la grande fête des Juifs, du 11 au 20 août 2023, le Pasteur Florent Mwalimu de Toronto au Canada a été approché par la presse congolaise, qui a voulu avoir le cœur net sur sa prédication. Il a dit avoir repris presque la même chose dans sa deuxième prédication, mais cette fois-ci pour parler de la race. « La race, c’est quelque chose qui distingue les gens. Et souvent, la race est liée à la personne qui est comme leader. La race de Dieu est liée à la personne que Dieu donne. La race des vainqueurs, c’est la race de ceux qui perdurent jusqu’à la fin », explique-t-il.

Et de poursuivre qu’avant, je croyais que ce sont les capacités, les qualités, la beauté, … qui ouvraient la voix à quelqu’un d’accéder à quelque chose. J’ai fini par croire que c’est faux. « Avant je croyais que quand on jeûne beaucoup, c’est là que Dieu se produit. Dieu se produit quand il veut comme il veut. Ça peut être quelqu’un qui jeûne beaucoup, mais rien ne se produit. Ça peut être quelqu’un qui jeûne beaucoup, rien ne se fait. Mais quand Dieu décide, quelque soient des épreuves, il y a des effets. Et qu’est-ce qui est à la base, c’est Dieu », répond-t-il.

Il a insisté pour dire qu’il ne t’appartient pas à toi de te valoriser, cela appartient à Dieu qui choisit et qui établit. « Ce ne pas que nous nous avons postulé », tranche-t-il.

Il a poursuivi en disant que Dieu ne peut pas venir au travers des animaux, mais de l’homme. Et quand on fait alliance avec Dieu, on ne le fait pas parce qu’on ne le voit pas. Il faut qu’il y ait la présence d’un homme. Quand Dieu veut te parler, il va le faire au travers d’un homme. Si tu crois que c’est qu’on prononce va arriver, ça va arriver. C’est pourquoi c’est très intéressant de faire cette alliance pour que l’homme de Dieu prononce des paroles sur moi et je les verrais arriver.

Il a terminé par dire qu’on n’était venu pour 15 jours, et là c’est 10 jours, c’est comme si c’est la première fois d’arriver ici. L’ambiance et l’atmosphère spirituelle sont différentes. Je peux dire qu’il y a quelque chose qui est parti, et il y aussi quelque chose qu’on a mis. Je crois que c’est la plate-forme, la première, une réussite complète.

Il a été complété par le Pasteur François Mutombo Voici l’homme qui a avoué avoir aimé la prédication du jour, à travers laquelle l’homme de Dieu a parlé sur le thème : « Je suis Juif, je suis de la race des juifs, et je ne perds jamais ». Pour dire que d’autres races peuvent perdre, mais la race juive est une race exceptionnelle, une race mise à part, qui ne perd jamais », dit-il.

Il a précisé que les deux orateurs qui trainaient encore suite à certains empêchements, viennent d’arriver. « Je crois que demain, nous montons à une autre vitesse. Voilà pourquoi je lance un appel à ceux qui hésitent encore d’être là parce que le quorum vient d’être atteint », dit-il, avant d’ajouter que je crois qu’à partir de demain 15 jusqu’au 20. Les avant-midis, nous allons continuer avec l’école du ministère.




Présidente de la Ligue des Femmes du MSC au Kongo Central: Frida Munshy, une tournée qui a changé toute la donne politique électorale

L’honorable Frida Munshy, présidente national de la Ligue des Femmes du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC) s’impose désormais dans la cours des grands non seulement comme une vrai leader politique, mais également comme une mère rassembleuse. Candidate à la députation nationale dans la circonscription de la Tshangu, son dernier périple dans le Kongo Central profond vient effectivement de changer la donne politique électorale du MSC. Cette étape a été la plus déterminante, parce qu’elle a constitué un véritable enjeu de réunifier les membres, expliquer la vision de l’Autorité morale Laurent Batumona, présenter la candidature unique de Félix Tshisekedi au poste de Président de la République de son parti MSC et de ses regroupements. Devant les candidats à la députation nationale, provinciale et des Conseillers communaux, elle a mis à profit ces moments de rencontre pour remonter le moral des cadres et leurs responsables des fédérations et Ligues.

Au début du mois d’août, la Présidente de la Ligue des Femmes du MSC, l’honorable Frida Munshy, l’une de candidate potentielle du Regroupement AMSC aux prochaines élections de 2023, s’est rendue dans le Kongo Central pour évaluer et motiver les candidats qui vont affronter les élections prochaines de décembre 2023 à tous les niveaux. Des contacts politiques qu’elle a entrepris avec dextérité et détermination dans les différentes fédérations, il en est ressorti la confirmation d’un bon message de rassemblement et de conscientisation pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi Tshilombo pour un deuxième mandat.
Il a été question pendant son séjour de redynamiser les activités du parti au Kongo Central, de procéder au réarmement moral et politique afin de mettre en place une stratégie électorale.
Il a été aussi question d’expliquer la vision aux regroupements politiques crées en cette période électorale. Il s’agit de : AAAP, AMSC, AE et ADR qui sont conduit de main de maître par l’honorable Laurent Batumona Kandi Kham et Autorité morale l’honorable de MSC.
Elle a livré un message d’apaisement qui a touché les consciences des candidats à tous les niveaux : ‘’ les candidats de tous les regroupements politiques doivent se sentir à l’aise parce que vous avez un président dynamique, travailleur, homme social et sans aucun doute orienté vers la paix, homme de bonne moralité et qui travail aux côtés du Président de la République Félix Tshisekedi pour le progrès social de notre pays.
Laurent Batumona n’a pas l’esprit de frustrer les candidats qui que ce soit. Compte tenu de l’ampleur de candidature, s’il quelqu’un ne se retrouve pas sur une liste, ce qu’il n’est pas aligné dans un regroupement choisi. C’est qu’il sera classé dans un autre regroupement’’. C’est le même message d’encouragement qu’elle a lancé partout où elle est passée.
Frida Munshy Yaya Yalake a rappelé que ceci fait partie d’une stratégie électorale peaufinée par l’Autorité morale, l’honorable Laurent Batumona, dans l’objectif ultime d’offrir une majorité parlementaire écrasante au Parlement et la réélection sans faille de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo aux élections de décembre 2023 en vue de poursuivre son programme de rendre la République Démocratique du Congo un pays émergent.
‘’Voilà qui va tant soit peu apporter un début de solution aux multiples problèmes qui se posent avec acuité au pays. Plus fondamentalement, la perspective de renforcer le programme de 145 territoires, l’implantation des usines et la réalisation des autres projets sociaux’’, constituent une des innovations dans son message.
A cette occasion, le drapeau du MSC flottait fièrement devant tous les lieux de rendez-vous de travail de Mama Frida. S’adressant aux dirigeants du MSC/Kongo Central, la dame de fer les a invités à travailler d’arrache-pied sur terrain avec mission de recruter les candidats potentiels à l’élection législative provinciale et municipale, étant donné que la CENI a déjà convoqué l’électorat pour l’élection de députés provinciaux et conseillers communaux de décembre 2023. Et surtout de présenter, dans un bref délai, la liste des mandataires ainsi que les dirigeants pouvant piloter les regroupements politiques au niveau du Kongo Central.
Ce périple qui l’a conduit à Kasangulu, Mbanza-Ngungu, Lukala, Matadi, Boma pour chuter à Moanda a certainement présenté un signe non seulement d’un heureux évènement réussi celui de réunifier, de conscientiser les bases du MSC et surtout de pouvoir rétablir les relations entre les dirigeants.
Partout où elle est passée, Frida Munshy a été accueillie tambour battant par les responsables de chaque fédération du MSC/Kongo Central ainsi que par les membres du parti avec lesquels les échanges ont tourné autour de questions électorales.
Très captif au message de la Présidente de la Ligue des Femmes du MSC, les membres et cadres du parti ont par leur témoignage confirmé et assuré que le message de l’honorable Frida a réarmé leur moral est que la victoire du MSC est certaine près de rafler un bon nombre des sièges à l’Assemblée nationale et à l’Assemblée provinciale. ‘’ Nous avons reçu une mission que maman Frida nous assigne : celle de travailler dans les villes et territoires de la province du Kongo Central pour rafler les voix au moment des élections’’, a déclaré Sita Ngoma Shadrack, Président Provincial du MSC/Kongo Central.
Au terme de sa mission et à titre de reconnaissance, les cadres du MSC/KC ont offert un dîner en l’honneur de la présidente Frida Munshy ainsi qu’à toute sa délégation dans la ville de Matadi. A cette occasion, elle a remercié l’Autorité morale, l’honorable Laurent Batumona Kandi Kham pour avoir fourni des efforts inlassables pour que toutes les listes des regroupements politiques soient déclarées recevables par la CENI.
Il faut noter que la tournée du Kongo Central fait suite à la vision de l’honorable Laurent Batumona consistant à réveiller les consciences des membres, redynamiser les activités à la base et la réarmée moralement et politiquement. Ainsi, elle a rencontré tous les présidents fédéraux, les présidentes des Ligues des femmes avec qui elle a abordé toutes les questions liées au fonctionnement, à la mobilisation et au renforcement des liens entre le haut sommet et la base. ‘’Enfin, que tout le monde s’approprie les échéances électorales 2023. Le MSC pose déjà des jalons pour le meilleur résultat. C’est la raison d’être de cette tournée de l’honorable Frida Munshy de présenter Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo comme candidature unique au poste de Président de la République aux 4 regroupements.