Dossier ECOBANK : Astalia Investissement (Moïse Katumbi) et Nb Mining Africa (Pascal Beverragi) Début du procès à Makala  

Une audience foraine s’ouvre ce lundi 21 août à Makala à travers le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe. Les prévenus qui sont tous cadres de la banque ECOBANK sont invités à répondre des faits graves mis à leur charge : abus de confiance, détournement de fonds et blanchiment d’argent. Les faits sont clairs, cinq millions ont disparu d’un compte innocent vers un bénéficiaire inconnu des décisions judiciaires. La banque elle-même, dont la réputation est déjà fortement et durablement entachée, s’expose à devoir régler d’importants dommages-intérêts pour avoir failli à son devoir de protéger son client.

C’est ce lundi 21 août que débutent à Makala, les débats judiciaires sous l’égide du Tribunal de Grande instance de Kinshasa/Gombe, dans le dossier Ecobank déjà bien connu de nos lecteurs.

 

Les prévenus dans cette affaire sont au nombre de trois. Jean-Baptiste Siate Ayawovi, de nationalité togolaise, né à Lomé le 24 juin 1965, Directeur général de la branche congolaise de la banque panafricaine à l’époque des faits frauduleux commis sous sa direction. Bien qu’âgé de 57 ans seulement, l’intéressé serait soi-disant à la retraite. Il est en réalité en fuite, et activement recherché par les autorités judiciaires congolaises, mais aussi par Interpol. Il ne comparaitra pas et sera jugé par défaut.

 

Auguste Sengo Mambu, de nationalité congolaise, né à Kikwit le 3 juillet 1964, Directeur des Opérations de la banque au moment de la commission des faits et actuellement conseiller au Ministère du Plan est, quant à lui, à Kinshasa. Son arrestation dernièrement, a été relayée par la presse. Il a été placé en liberté conditionnelle pour raisons de santé depuis, mais est appelé à comparaître à Makala où il a séjourné déjà.

 

C’est lui qui a exécuté l’opération de transfert de plus de cinq millions de dollars depuis le compte de la société NB Mining Africa, jamais condamnée dans ce dossier qui implique Octavia (Pascal Beveraggi) et Astalia (Moise Katumbi), vers le compte de la société MCK qui n’a rien à faire dans cette affaire. Pour rappel, MCK avait ouvert un compte à Ecobank le 2 novembre 2020 et recevra les cinq millions détournés dès le 6 novembre.

 

Alain Serge Mungimur Essang Thelly, de nationalité congolaise, né à Kikwit le 17 janvier 1978, Directeur juridique de la banque alors, promu au rang de Secrétaire général depuis lors, sans doute au regard de sa parfaite intégrité, grand professionnalisme et déontologie. C’est lui qui aurait dû protéger son client NB Mining Africa contre la prédation de ses avoirs par Moise Katumbi.

 

Vous le savez déjà, il ignorera sciemment le contenu des jugements pourtant clairs, fera semblant de ne pas comprendre que les dommages-intérêts réclamés par Astalia dans ses saisies sont interdits par les juges et acceptera une simple procuration signée à Genève (sans apostille et sans passage chez le notaire) par Bertrand Kirszbaum pour ordonner le détournement. Il est toujours détenu à Makala, malgré ses pleurnicheries permanentes depuis son arrestation il y a de nombreuses semaines déjà. Nous vous en avons parlé.

 

Entre parenthèses, ledit Kirszbaum, ce belgo-suisse domicilié en Suisse, architecte de toutes les structures qui permettent aux sociétés de Katumbi d’éviter le fisc congolais, est lui aussi recherché par le Parquet de Lubumbashi et Interpol, pour faux et usages de faux, escroquerie au jugement et autres.

 

Les prévenus sont invités à répondre de faits graves : abus de confiance, détournement de fonds et blanchiment d’argent. Rien que ça pour des gens que Ecobank continue de présenter comme de grands professionnels observant les meilleurs critères de gestion. On croit rêver ! La banque elle-même, dont la réputation est déjà fortement et durablement endommagée, s’expose à devoir régler d’importants dommages-intérêts pour avoir failli à son devoir de protéger son client.

 

Mais assez de propagandes et de communiqués à l’emporte-pièce, assez de menaces contre la presse libre et indépendante, le temps est venu de donner la parole à la Justice congolaise.

 

Aujourd’hui, les débats vont commencer pour l’éclatement de la vérité. Chacun y présentera ses arguments. Naturellement les sociétés Octavia et NB Mining Africa se sont constituées parties civiles et seront présentes lors des débats.

 

Les faits sont clairs, cinq millions ont disparu d’un compte innocent vers un bénéficiaire inconnu des décisions judiciaires. Alors, la seule question qui découlera logiquement de ces débats et à laquelle les juges devront répondre est : Ecobank ou Escroc Banque ?

L’Avenir




ARSP, coup de filet dans le secteur de la sous-traitance: Des dirigeants chinois d’une société partenaire de TFM et Kisanfu transférés au Parquet

Les dirigeants chinois de la société CCECAS ont été transférés au Parquet, parce que soupçonnés de plusieurs faits infractionnels. Il ressort que sur une somme de 27 millions des dollars américains payés à la société sous-traitante, les actionnaires chinois n’ont remis à leur co-actionnaire congolais que la modique somme de 680.000 francs congolais. Un comportement que ne peut encourager le Directeur général de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur (ARSP), l’honorable Miguel Kashal Katemb qui a reçu du chef de l’Etat la mission de créer des millionnaires congolais dans le secteur de la sous-traitance.

 

C’est un cas flagrant de fraude découvert par la haute direction de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé qui a décidé de transférer les sujets chinois trempés dans le système prête-nom au Parquet.

 

Il s’agit de la société CCECAS dont les dirigeants chinois ont utilisé leur chauffeur comme 4eme actionnaire figurant pour couvrir leurs opérations dans le cadre d’un contrat de partenariat signé avec les sociétés Tenke Fungurume Mining et Kisanfu toutes les deux, des filiales du groupe CMOC.

 

Après des investigations menées par les Officiers de police judiciaire de l’ARSP suivies des séances de travail présidées personnellement par le Directeur général, l’honorable Miguel Kashal Katemb, il ressort que sur une somme de 27 millions des dollars américains payés à la société sous-traitante, les actionnaires chinois n’ont remis à leur coactionnaire congolais que la modique de 680.000 francs congolais.

 

« Nous actionnaires nationaux, on a demandé aux Chinois de tenir une Assemblée générale ordinaire pour parler des états financiers ainsi que leurs affectations. C’est de là que les problèmes ont commencé, car les Chinois ne voulaient pas. Ils voulaient peut-être utiliser des prête-noms pour dire que c’est son entreprise et de l’autre côté vous n’êtes que congolais vous ne pouvez pas avoir ce que vous désirez, comme nous savons que nous avons un numéro à l’ARSP. Nous y sommes venus pour que nous puissions être régulé et nous sommes personnellement ravis parce qu’il y a eu une régularisation régulière, si nous devons prendre les 3 contrats, nous sommes dans une affaire de 63 millions de dollars. Même si vous êtes animés de mauvaise foi, comment pouvez-vous arriver à dire qu’un tel contrat n’a pas généré de bénéfices ou ne pas donner aux actionnaires congolais que nous sommes et en majorité avec 51% et vous nous refusez le bénéfice”, s’est plaint M. Toussaint Katako, l’actionnaire congolais.

 

Un cas d’abus de confiance

 

Côté de l’ARSP, le Directeur de l’inspection et contrôle, M. Feruzi Guillaume estime que les infractions d’abus de confiance sont bel et bien établies.

 

“Dans le chef de M. Fuu qui est le Directeur général de la société, les OPJ ont retenu les infractions d’abus de confiance, de faux en écriture et usage de faux, car la société a produit des faux documents en faisant passer le chauffeur de M. Fuu comme associé de la société, alors qu’après investigation des OPJ de l’ARSP, il s’est dégagé que M. Mupalanga est un prête-nom avec l’attestation qui a été obtenue de manière frauduleuse.

 

Le Directeur général (ARSP) va prendre des décisions administratives par apport à ce document, la 3eme infraction c’est le blanchiment des capitaux, car il n’y a pas eu des traces sur les banques installées au pays du paiement des montants du marché, de l’acompte payé par TFM dans les banques ici au Congo.

 

Au regard des éléments en notre possession, le paiement aurait été effectué à partir de l’étranger. Sur instruction du Directeur général de l’Arsp, nous avons détecté ce cas et sur ce fait nous transférons le dossier au Parquet avec le prévenu pour qu’une instruction pénale soit ouverte par rapport à ce cas d’infraction, et le parquet prendra des décisions par rapport à ces infractions

 

Il sied de noter que le Directeur général de l’Arsp, l’honorable Miguel Katemb Kashal est totalement déterminé à mettre fin à ces pratiques malveillantes qui freinent le développement de la classe moyenne dans

le pays.

L’Avenir




Kinshasa : La FEC félicite Gentiny Ngobila pour la construction du nouveau marché central 

Les membres de la Fédération des entreprises du Congo (FEC) ont visité, samedi 19 août, les travaux de la construction du nouveau marché central moderne de Kinshasa, projet initié par le gouverneur de la ville de Kinshasa Gentiny Ngobila Mbaka. Ces entrepreneurs RD-congolais ont été conduits par le chef de l’exécutif provincial de Kinshasa qui, avec le coordonnateur des travaux, Emany Mputu, ont fourni des explications à leurs hôtes. Ils ont commencé leur visite à partir du rez-de-chaussée jusqu’au troisième et dernier niveau. Visiblement satisfaits de ce qu’ils ont vu, ils n’ont pas manqué exprimer leur satisfecit devant la presse.

Le cas du président de la FEC, Albert Yuma, qui a félicité le gouverneur Gentiny Ngobila pour cette réalisation, tout en louant la qualité des travaux exécutés. Pour le patron des entreprises du Congo, ce nouveau marché va pousser, dans la ville de Kinshasa, le développement de petites et moyennes entreprises nationales congolaises.  «Nous sommes venus en tant que FEC pour promouvoir auprès de nos membres de venir s’installer au marché, parce que toutes les conditions d’un marché moderne sont réunies. Nous avons tous grandi à Kinshasa, on savait à quoi ce marché ressemblait. Ce qu’on vient de voir, on ne sait pas si beaucoup de pays d’Afrique ont ce type de marché», a-t-il dit. De l’avis d’Albert Yuma, il n’y a aucun bâtiment dans la ville de Kinshasa qui a été construit comme ce qui est fait au Marché central.

“Avec l’œil d’expert, je vois que toutes les normes d’architecture sont respectées et nous allons attendre à la fin pour voir comment tout va se présenter”, a indiqué le président de la commission Infrastructures à la FEC. Ces entrepreneurs ont promis d’inviter le gouverneur de la ville Gentiny Ngobila pour qu’il leur amène la maquette, pour voir avec détails ce qui est en train d’être fait sur ce grand chantier de Zando.

Nous étions parmi ceux qui ne croient pas en ce projet. Maintenant, nous pouvons rassurer que le gouverneur Gentiny Ngobila ne dormait pas, il y avait des travaux qui se faisaient sérieusement. Nous venons de le constater avec satisfaction”, a conclu ce cadre de la FEC.

Mêmes sentiments de satisfaction pour madame Éliane, aussi cadre de la FEC. “Je suis contente de voir un marché moderne, mon souhait est d’avoir aussi des femmes entrepreneures travailler ici dans ce marché, car elles font partie des clients des marchés”, a-t-elle plaidé.

Visiblement satisfaits, les membres de la FEC ont promis d’avoir une réunion de travail avec le gouverneur Gentiny Ngobila dans la perspective de travailler avec l’hôtel de Ville pour faire de ce marché quelque chose qui permet à la ville de Kinshasa non seulement de donner du travail mais aussi de déclencher un processus économique pour les nationaux.

De l’avis des constructeurs, l’ouvrage sera remis à la ville de Kinshasa à la fin du mois de novembre 2023. “Les bâtiments en construction seront d’une architecture moderne et ils vont combiner confort et vision futuriste”, ont soutenu ces constructeurs.

 

Celcom P HVK




De l’Enseignement à la vie associative d’entraide: Le notable Euclide Muhindo et l’Association VEA endurent dans les actions caritatives à Goma

Depuis juillet 2021, M. Muhindo Nyamwirapfulu Euclide, un acteur de développement et fondateur de l’Association VEA Asbl, encadre environ 500 mamans, jeunes filles et quelques papas dans un projet des crédits rotatifs.

Deux ans après, le samedi 12/08/2023 dernier au collège Mwanga, M. Muhindo Nyamwirapfulu Euclide, en termes d’évaluation, a réuni une centaine de ses membres afin de s’enquérir des difficultés que connait le projet et voir ensemble comment les surmonter.

C’était une bonne occasion d’échanger avec cette classe des gagnes petits qui ont été édifiés par ce projet, d’après quelques témoignages qu’ils ont pu présenter.

Rappelons que dans l’une des séances d’évaluation de 2022, cette population avait émis le vœu de voir M. Muhindo Nyamwirapfulu Euclide déposer sa candidature comme Député national afin de plaider d’avantage les causes des opprimés. C’était donc une occasion pour lui d’informer solennellement l’assistance qu’il a répondu favorablement à cette demande et qu’il a déposé sa candidature au compte du parti politique LGD (Leadership et Gouvernance pour le Développement), Parti cher à l’Honorable Sénateur Matata Ponyo Mapon.

Profitant de cette occasion, M. Muhindo Nyamwirapfulu Euclide a exposé en quelques lignes sont contrat social qui se résume par la promotion de l’égalité sociale, la lutte contre les antivaleurs telles que la corruption, la paresse, l’abus du pouvoir, le trafic d’influence, le détournement et les tracasseries.

Satisfait de la nouvelle, les participants ont promis sans ambages leur accompagnement indéfectible à ce digne Leader acteur de Développement.

Antoine Bolia




Fête de la Jeunesse : Grâce royale au profit de 760 personnes 

A l’occasion de la Fête de la Jeunesse, le Roi Mohammed VI a accordé sa grâce à 760 personnes condamnées par différents tribunaux du Royaume, dont 601 en détention et 159 en liberté, a annoncé le ministère de la justice dans un communiqué.

En voici le texte :

« A l’occasion de la Fête de la Jeunesse de cette année 1445 H-2023 G, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu perpétue Sa gloire, a bien voulu accorder Sa grâce à un ensemble de personnes condamnées par différents tribunaux du Royaume. Ces personnes sont au nombre de 760 et se présentent comme suit:

* Les bénéficiaires de la Grâce Royale qui sont en détention sont au nombre de 601 détenus se répartissant comme suit :

– Grâce sur le reliquat de la peine d’emprisonnement ou de réclusion au profit de 50 détenus.

– Remise de la peine d’emprisonnement ou de réclusion au profit de 551 détenus.

* Les bénéficiaires de la Grâce Royale qui sont en liberté sont au nombre de 159 personnes se répartissant comme suit :

– Grâce sur la peine d’emprisonnement ou son reliquat au profit de 37 personnes.

– Grâce sur la peine d’emprisonnement avec maintien de l’amende au profit de 08 personnes.

– Grâce sur la peine d’amende au profit de 107 personnes.

– Grâce sur la peine d’emprisonnement et d’amende au profit de 06 personnes.

– Grâce sur la peine d’amende et le reliquat d’emprisonnement au profit de 01 personne.




Construction des logements décents: Le Gouverneur de la Lomami frappe à la porte de l’ACOPRIM  

A peine installé à la tête de l’Agence congolaise de promotion immobilière (ACOPRIM), le Directeur général, M. Mika Kayemba Mukebail avait saisi les gouverneurs des provinces pour leur demander de faire des états des lieux de leurs entités dans le domaine des infrastructures à réhabiliter et des sites où on peut ériger les nouveaux bâtiments. Et ce, dans le respect strict de son objet social, la construction des logements décents et équipements sociocommunautaires de base.

Le gouverneur de la province de Lomami, Nathan Ilunga Numbi est le premier à avoir non seulement répondu, mais aussi est venu à Kinshasa où il a été reçu en audience, le 18 août dernier par le Directeur général de l’ACOPRIM, accompagné du Directeur général adjoint, Léopold Muyembe.

A la question de savoir, en quoi l’ACOPRIM peut vous être utile, le gouverneur Nathan Ilunga Numbi a commencé par remercier le Directeur général de l’ACOPRIM qui, dès qu’il a été nommé par le président de la République en main 2023, il nous a écrit pour dire qu’il a besoin des états des lieux dans nos provinces dans le domaine des infrastructures à réhabiliter et des sites où on peut ériger les nouveaux bâtiments.

« Il s’est battu pour mettre en application la politique de son ministère dans le cadre des options levées par le président de la République, celle de doter de bonnes infrastructures à nos provinces, des logements sociaux dans le cadre de sa nouvelle politique, le peuple d’abord. C’est comme ça que nous nous sommes mis debout pour rencontrer le Directeur général afin d’obtenir des éclaircissements, par rapport à ce programme », explique-t-il.

Et de préciser devant la presse qu’il a été question d’échanger sur ces différents éléments pour qu’ils se déploient dans notre province. « L’ACOPRIM est d’une importance capitale pour ma province issue du démembrement et aujourd’hui le chef-lieu qui abrite les institutions provinciales, c’est un ancien chef-lieu du district. Comme vous pouvez déjà le deviner, c’est un chef-lieu qui est encore non viable et cela demande une intervention rapide de l’ACOPRIM dans le cadre de la réhabilitation des infrastructures laissées par le colon belge, mais aussi suppléer d’autres bâtiments », souligne Nathan Ilunga Numbi.

Voilà pourquoi dit-il, il n’a plus tardé à le rencontrer pour voir comment cela peut être possible et d’ici avant 2024, qu’on puisse déjà démarrer les activités.

Par où commencer ?

A cette question, le gouverneur Nathan Ilunga indique que lorsque vous êtes dans la ville de Kabinda, tous les animateurs des services publics n’ont pas des logements adéquats. « Nous avons des bureaux administratifs qui sont insuffisants et délabrés. Qu’il s’agisse des bâtiments administratifs et des logements des administrateurs des services publics, ce sont là des grandes priorités, car on ne peut pas avoir une province sans des logements pour ses animateurs », indique-t-il.

Au regard de tous ces défis de taille pour la nouvelle province de Lomami, mais par où commencer ? Avant de répondre à cette question, M. Mika Kayemba Mukeba, Directeur général de l’ACOPRIM s’est dit comblé. « Aujourd’hui, je suis un homme comblé, parce que ça n’a pas été un coup d’épée dans l’eau. Les correspondances envoyées commencent à payer. C’est comme ça que j’ai rassuré le Gouverneur et le premier à s’annoncer, c’est le premier à être servi », dit-il, avant de rassurer que nous allons commencer d’abord par notre installation avant décembre 2024 et le gouverneur a rassuré qu’il va nous donner le bâtiment qui va abriter notre agence et nous allons commencer par la réhabilitation de ce bâtiment, mais aussi d’autres bâtiments. Et ce, conformément au décret qui porte création de l’ACOPRIM et qui stipule que des agences ou succursales peuvent être créées en tous autres lieux de la République par décision du conseil d’administration après approbation de l’autorité de tutelle.

Jean-Marie Nkambu

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