Xi Jinping répond à une lettre du corps professoral et des étudiants de lInstitut Confucius de lUniversité de technologie de Durban en Afrique du Sud

Récemment, le président chinois Xi Jinping a répondu à la lettre du corps professoral et des étudiants de lInstitut Confucius de lUniversité de technologie de Durban en Afrique du Sud et les a encouragés à bien apprendre la langue chinoise et à contribuer à faire progresser lamitié et la coopération amicale entre la Chine et lAfrique du Sud.

 

Dans sa lettre, Xi Jinping a déclaré quil avait assisté à la création de cet Institut Confucius il y a dix ans et quil était heureux de constater que, grâce aux efforts conjoints des deux parties, les échanges éducatifs et culturels entre les deux pays avaient donné des résultats fructueux. Une multitude de jeunes sud-africains ont eu un aperçu de lhistoire et de la culture de la Chine, ont élargi leurs possibilités de carrière et ont réalisé leurs rêves en apprenant le chinois, sest-il félicité.

 

La Chine et lAfrique du Sud, toutes deux pays en développement importants, ont forgé une amitié fraternelle spéciale, a souligné Xi Jinping. Lapprentissage et la compréhension de la langue et de la culture de lautre contribuent à faciliter la compréhension mutuelle et à cultiver une amitié durable entre les peuples des deux pays, a indiqué le président chinois. Tout en ayant une bonne maîtrise de la langue chinoise, les enseignants et les étudiants sont invités à visiter la Chine plus souvent et à avoir une compréhension plus profonde de la Chine, à partager une vision vraie, multidimensionnelle et panoramique de la Chine avec plus damis en utilisant ce quils ont appris, réfléchi ainsi que ce quils ont vu et entendu, et à sefforcer dêtre des ambassadeurs pour transmettre et développer lamitié entre les deux pays, afin de contribuer à promouvoir lamitié et la coopération entre la Chine et lAfrique et à construire une communauté davenir partagé pour lhumanité, a souligné Xi Jinping.

 

Lors de sa visite en Afrique du Sud en mars 2013, Xi Jinping a assisté à la signature dun accord sur la création de lInstitut Confucius à lUniversité de technologie de Durban entre la Chine et lAfrique du Sud. En dix ans, linstitut a formé près de 10000 étudiants. Récemment, cinquante enseignants et étudiants de l’institut ont écrit au président Xi une lettre conjointe, dans laquelle ils ont partagé leurs expériences, acquis et sentiments dans l’apprentissage du chinois, remercié Xi Jinping et le gouvernement chinois d’offrir davantage d’opportunités aux jeunes africains pour poursuivre leurs rêves, tout en exprimant leur grande attente pour une nouvelle visite de Xi Jinping en Afrique

du Sud.




Départ du président chinois pour le 15e Sommet des BRICS à Johannesburg

Le président chinois, Xi Jinping, est parti lundi de Beijing pour participer au 15e Sommet des BRICS qui se tiendra à Johannesburg, en Afrique du Sud, et effectuer une visite d’Etat dans ce pays.

M. Xi effectue cette visite à l’invitation du président de la République d’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa. En Afrique du Sud, les deux dirigeants co-présideront le Dialogue des dirigeants Chine-Afrique.

L’entourage de M. Xi comprend notamment Cai Qi, membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) et directeur de la Direction générale du Comité central du PCC, ainsi que Wang Yi, membre du Bureau politique du Comité central du PCC et ministre des Affaires étrangères.




Diplomatie : Xi Jinping en Afrique du sud pour 15e sommet des Brics

Le président chinois Xi Jinping séjourne depuis le lundi en Afrique du Sud précisément à Johannesburg où il participe au 15e Sommet des Brics qui ouvre ces portes ce mardi 22 août.

Cette visite est sur invitation de son homologue Sud-africain Cyril Ramaphosa. Les deux dirigeants vont co-présidéer le dialogue des dirigeants Chine-Afrique.

Le 15e Sommet des BRICS, qui se tient en Afrique du Sud du 22 au 24 août, a pour thème «Partenariat pour une croissance mutuellement accélérée, un développement durable et un multilatéralisme inclusif». Selon les responsables des BRICS, cette nouvelle suscite l’intérêt d’environ 40 pays pour rejoindre le groupe. Plus des pays expriment leur intérêt pour rejoindre le bloc.

Déjà les discussions sur l’expansion du groupe des Brics, notamment des critères d’adhésion et des principes directeurs, sont également prévus. «Vingt-deux pays se sont formellement adressés aux pays des BRICS pour devenir des membres à part entière», a fait remarquer Carlos Maria Correa, directeur exécutif de South Center, lors d’une récente interview accordée à Xinhua.

L’Algérie est parmi les derniers pays à montrer leur intérêt. “Nous avons officiellement demandé à rejoindre le groupe des BRICS et nous avons envoyé une lettre demandant à être membres actionnaires de la banque (Nouvelle Banque de développement)”, a indiqué son président, Abdelmadjid Tebboune, dans une interview accordée, à la chaîne de télévision arabophone Ennahar TV au mois de juillet dernier.

Les BRICS défendent la multipolarité et le multilatéralisme, mais c’est aussi une réponse pour réformer l’ordre mondiale, donc façonner un ordre politique et économique plus inclusif, estime un spécialiste Kenyan des relations

Il faut dire que les Brics est un moyen de croissance accélérée avec des opportunités commerciales et d’investissements accrues. Une nouvelle vision qui attire de plus en plus de pays, le président Français Emmanuel Macron, a au cours de ses entretiens avec la ministre sud-africaine des relations internationales et des coopérations au mois de juin dernier, avait exprimé son intention de participer au prochain sommet, donc le 15e Sommet.

Le bloc est devenu une force positive, stable et constructive dans les affaires internationales. Les dirigeants membres des Brics réfléchissent déjà sur la perspective d’une monnaie.

Hugo Matadi




Digitalisation de TRANSCO: Le DG Cyprien Mbere échange avec le DG de la société Solutech 

Le bâtonnier Cyprien Mbere Moba, Directeur général de l’établissement public transports au Congo « TRANSCO », a accordé une audience dans son bureau de travail au Directeur général de la société privée Solutech, M. Emmanuel Koloando.

Cette rencontre qui a également connue la participation du Directeur général adjoint Flory Bwatuka était axée notamment sur un partenariat gagnant-gagnant entre TRANSCO et SOLUTECH a eu lieu dans l’après-midi de ce lundi 21 août 2023 à Kinshasa, précisément à la Direction générale de cet Établissement Public de transports, situé dans la Commune de Masina, au quartier Siforco.

Les échanges entre les deux personnalités ont essentiellement tournés autour de la mise en œuvre du projet de digitalisation des services de l’Etablissement Public TRANSCO. C’est par une volonté manifeste du chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui tient mordicus à l’adaptation et à l’application des nouvelles technologies de l’information et de la communication en RDC, que ce vaste projet sur la réforme mieux encore la digitalisation des services TRANSCO exécuté par la société privée Solutech se concrétise enfin.




*KIM JONG UN visite un chantier de réparation des dégâts*

Ce 21 août, le Maréchal KIM JONG UN;

• Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti au pouvoir et de la plus longue histoire du monde, NDLR)
• Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes dont les Généralissimes KIM IL SUNG (1912-1994) et KIM JONG IL (1942-2011) ainsi que KIM JONG UN, NDLR)

a visité le chantier de réparation des dégâts du Polder Ansok du Combinat d’Aménagement de Polders de la Province Sud-Phyongan. KIM JONG UN;

• s’est informé, sur le terrain, du feed-back (l’état des dégâts et celui de leur réparation) à travers les cadres du Bureau Politique du Comité Central (CC) du PTC et du Ministère de la Défense Nationale, dont JO Yong Won, KIM Jae Ryong, KANG Sun Nam, JONG Kyong Thaek, KIM Jong Gwan et PAK Jong Chon (Tout récemment, la digue du Polder Ansok, sise dans la Commune Sokchi de l’Arrondissement Onchon de la Ville Nampho, a été endommagée sous l’impact de l’eau de la Mer de l’Ouest de Corée, car le Combinat d’Aménagement de Polders de la Province Sud-Phyongan n’avait pas achevé, comme il faut, les travaux d’installation d’ouvrages de drainage sur ladite digue. Il en est résulté que la zone de polder englobant plus de 560ha de terres y compris quelque 270ha de rizières, était submergée.)
• a critiqué, sévèrement sur base de l’enquête et de l’analyse détaillées sur le motif et la cause de l’apparition des dégâts, l’irresponsabilité et la négligence professionnelle des certains cadres.

KIM JONG UN a indiqué entre autres;

• Quelques jours avant, après avoir reçu un rapport sur la submersion des rizières du Polder Ansok, on a dépêché les Secrétaires du CC du PTC sur le lieu pour qu’ils dirigent, sur place, les travaux de remise en état, en mobilisant même les militaires. Or, les responsables du Conseil des Ministres, des ministères et d’autres organismes du niveau central ne s’étaient jamais présentés sur le chantier de réparation.
• Quant au 1er Ministre, il ne faisait qu’un tour en tant qu’un simple spectateur, une ou deux fois, dans le chantier, avant d’y envoyer un Vice-1er Ministre qui ne jouait que le rôle d’approvisionneur de carburant.
• De son côté, le Chef de la Direction d’Aménagement de Polders chargé de la direction de ces travaux a proposé, au comité de ladite Direction du PTC, son intention de retourner chez soi, sous prétexte qu’il n’avait rien d’importance à faire, ce qui le poussait à s’exposer à la critique. Malgré cela, il gaspillait la plupart de son temps dans son bureau. De surcroît, il n’hésitait pas à receler incognito une quantité de carburant approvisionné par l’Etat pour les travaux de construction de vannes de vidange, chose vraiment méchante. En tant que personnes intéressées à l’apparition de graves dégâts, ils n’ont pas des remords ni de volonté de remplir leur mission. Cela relève de leur manque intentionnel aux devoirs.
• Il y a peu de temps à l’occasion de l’apparition des dégâts causés par la submersion de terres cultivées dans l’Arrondissement Anbyon (Province Kangwon), on a éveillé l’attention de la prise stricte des mesures de prévention des dégâts à l’échelle nationale et critiqué, sévèrement, la manière de travailler irresponsable des cadres du Gouvernement et des cadres des organismes locaux de l’administration et de l’économie à travers le style de lutte des militaires mobilisés dans la réparation des dégâts. Mais, ceux-ci sont encore insensibles. Ils recourent, aujourdhui encore, à une attitude éhontée et arrogante, en exigeant pour l’Armée Populaire de Corée (APC) de s’occuper, entièrement, de la réparation et en le prenant comme un fait naturel.
• Cette année-ci, le Combinat d’Aménagement de Polders de la Province Sud-Phyongan a procédé, de façon bâclée et grossière, aux travaux d’installation d’ouvrages de drainage dans le cadre de prévention de la submersion des terres cultivées dès ce juin, sans l’autorisation de construire de l’Etat et en dehors de la surveillance et du contrôle de l’organe de supervision de la construction. Malgré qu’il ait découvert, au préalable, la fuite d’eau depuis la digue d’écluse, il n’avait pas pris les mesures adéquates. La méthode de travail erronée des unités d’échelon inférieur est, certes, une question non négligeable. Néanmoins, si le Conseil des Ministres n’était pas encore au courant de ce que la Direction d’Aménagement de Polders avait approuvé de sa propre volonté cette construction qui se déroulait sans méthode, c’est un exemple typique démontrant le désordre dans l’administration et l’économie nationale. Cela nous permet de bien connaître que toutes les activités de l’administration et de l’économie nationale du Conseil des Ministres détonnent dans le milieu.
• Un système de travail cohérent n’est pas instauré, à l’heure actuelle, au sein du Conseil des Ministres, et les cadres incompétents sont promus et restent seulement en titre. Ainsi, ils ne dirigent pas, comme il faut, les travaux des unités d’activités affiliées.
• Ces quelques dernières années, la discipline de l’administration et de l’économie nationale se relâche, au fil des jours, au sein du Cabinet de KIM Tok Hun (1er Ministre). Ainsi, la manière de travailler irresponsable des paresseux gâte les activités économiques de l’Etat. Le Conseil des Ministres est devenu, maintenant, bureau des instructions et celui de feed-back, ce qui est imputable, plus ou moins, au CC du PTC qui s’occupe de la direction politique du PTC et de celle de la direction par le PTC sur les affaires économiques de l’Etat et les organismes économiques.
• Le présent dommage n’est nullement une calamité causée par les catastrophes naturelles, mais le désastre engendré, d’un bout à l’autre, par l’irresponsabilité et l’indiscipline des paresseux. On ne peut jamais pardonner les gens politiquement immatures qui n’agissent pas de concert avec l’appel du CC du PTC, les débiles mentaux qui ne considèrent pas l’avertissement dans le propre sens ou terme, les bureaucrates qui ignorent la sûreté de la vie et des biens du Peuple, et les malhonnêtes qui montrent peu de sérieux dans l’accomplissement de leur devoir. Je donne mon Ordre, au Département de l’Organisation et de la Direction et au Département de l’Enquête de la Discipline du CC du PTC, au Comité National du Contrôle et au Parquet Central de la RPDC, de dénicher les organismes et les intéressés responsables pour les blâmer fort et punir sévèrement au niveau du PTC et dans le cadre juridique.
• Même au moment où l’on insiste sur la nécessité de prendre les mesures parfaites pour prévenir les dégâts causés dans les produits agricoles au niveau de tout l’Etat, l’irresponsabilité et l’indiscipline des cadres sévissent. Cela est redevable à l’attitude irrésolue et à la vision injuste du 1er Ministre qui, à travers son feed-back, a fait part des dispositions indignes, insistant sur le fait que la superficie de rizières du Polder Ansok appartenait aux terres d’une unité de l’APC en stationnement, terres non comprises dans le plan de production céréalière de l’Etat pour l’année en cours. En laissant presque toute la réparation à la charge de l’APC, il a organisé, grossièrement, un travail en la matière. Son comportement ignoble fait entrevoir son relâchement et son inactivité vis-à-vis des dégâts. C’est, vraiment, regrettable de voir une pensée et une action irresponsables du 1er Ministre indigne du commandant de l’économie du Pays et de la maîtresse de la vie de la population. L’irresponsabilité et la vision erronée de celui-ci devraient être contrôlées au sein du PTC. Et, l’exclusion du PTC du Chef de la Direction d’Aménagement de Polders sera à la discussion de la soumission d’examen de la discipline du PTC.
• On tire une nouvelle autre sonnette d’alarme à la désobéissance ou à l’indifférence à l’égard du commandement et de l’ordre du PTC et du Gouvernement, et au style de travail paisible et paresseux de certains cadres incompétents qui tournent le dos à l’entreprise qui n’est pas de leur ressort, sans se préoccuper du malheur du Pays. Il est vraiment nécessaire de changer l’état d’esprit des cadres prisonniers du défaitisme et de la crainte de se compromettre et de faire régner la coutume d’amener tous les hommes à obéir à une discipline et à participer avec le sens de responsabilité aux affaires de l’Etat.
• L’important c’est d’achever la réparation des dégâts causés au polder le plus vite possible. Il faut terminer, rapidement, la remise en état de digues détruites, d’une part, et d’autre part, élargir, au maximum, la superficie des rizières susceptibles d’être restaurées, prendre des mesures décisives pour améliorer la croissance du riz, notamment prévention des dégâts de salinité et entretien nutritif, et faire, ainsi, tous les efforts pour minimiser la diminution du rendement de riz et obtenir une récolte céréalière prévue au début.
• Tous les secteurs agricoles du Pays entier sont tenus de mettre en valeur, par tous les moyens, des mesures préventives destinées à faire face aux catastrophes naturelles et de faire dissiper, parfaitement, leurs dégâts.
• Actuellement, tous les domaines et toutes les unités d’activités, au lieu de se tenir en vigilance absolue, se contentent, toujours, de travailler à la manière de prendre des précautions quand le mal est arrivé, comme prendre des mesures nécessaires et tirer des leçons après avoir subi les pertes nationales. A l’occasion de cet incident, il nous faut prendre des mesures de prévention, dispositions substantielles et impeccables, de sorte que ne s’apparaissent plus d’absurdes dommages dus à l’absence de la riposte et au manque de compétence, ni surtout des catastrophes causées par l’irresponsabilité.
• J’appelle tous les cadres et travailleurs des unités d’activités de différents échelons, conscients de leur responsabilité de maître, à s’acquitter, strictement, de leur devoir et à faire, pleinement, preuve de patriotisme et de dévouement pour s’investir, corps et âme, dans les affaires du Pays.

Selon l’Ordre de KIM JONG UN, un contrôle concentré s’effectuera sur;

• la Direction d’Aménagement de Polders
• le Ministère de la Surveillance Nationale du BTP
• le Combinat d’Aménagement de Polders de la Province Sud-Phyongan
• la Direction de la Protection du Territoire National et de l’Environnement de la Ville Nampho
• la Direction de la Surveillance du BTP de la Ville Nampho.




Xi Jinping: Faire naviguer le navire géant de lamitié et de la coopération Chine-Afrique du Sud vers un plus grand succès

Le 21 août 2023, une tribune signée du président chinois Xi Jinping intitulée « Faire naviguer le navire géant de lamitié et de la coopération Chine-Afrique du Sud vers un plus grand succès » a été publiée lundi dans des médias sud-africains, alors que Xi Jinping sapprête à assister au 15e sommet des BRICS à Johannesburg et à effectuer une visite dÉtat en Afrique du Sud. Voici le texte intégral de la tribune, dont la version anglaise a été publiée par The Star, Cape Times, The Mercury et Independent Online.

À linvitation du président Matamela Cyril Ramaphosa, jeffectuerai bientôt une visite dÉtat en République dAfrique du Sud et jassisterai au 15e sommet des BRICS. Ce sera ma sixième visite dans la terre prometteuse de la « nation arc-en-ciel ». LAfrique du Sud est la patrie du grand homme dÉtat Nelson Mandela, et elle senorgueillit des ressources touristiques les plus riches, du réseau routier le plus long, de la plus grande bourse de valeurs, ainsi que des aéroports et ports les plus fréquentés dAfrique. Ce pays dégage un charme unique, alliant parfaitement lancien et le moderne, la nature et la culture.

Chacune de mes visites en Afrique du Sud ma donné de nouvelles impressions. Mais la plus profonde est toujours le sentiment fraternel que nous éprouvons les uns envers les autres. Notre amitié a traversé une longue période. Dès le milieu du 20e siècle, la République populaire de Chine nouvellement fondée a fermement soutenu le peuple sud-africain dans sa lutte contre lapartheid et sest tenue aux côtés du Congrès national africain en tant que camarades et amis. Notre amitié a défié les obstacles des montagnes et des océans. Face à la pandémie de la COVID-19, la Chine a été lun des premiers pays à fournir des produits anti-pandémiques à lAfrique du Sud, réaffirmant ainsi notre fraternité particulière. Plus récemment, la Chine a également fourni au pays des équipements électriques durgence. Au cours des 25 années qui se sont écoulées depuis létablissement de liens diplomatiques, nos relations ont progressé à pas de géant, passant dun partenariat à un partenariat stratégique, puis à un partenariat stratégique global. Il sagit de lune des relations bilatérales les plus dynamiques du monde en développement. Nos relations sont entrées dans un « âge dor », avec de vastes perspectives et un avenir prometteur.

Ces dernières années, le président Ramaphosa et moi-même avons maintenu une communication étroite par le biais de visites, de rencontres, dappels téléphoniques et de lettres. Nous explorons ensemble les possibilités de coopération, poursuivons le développement et relevons des défis communs. Notre confiance stratégique mutuelle na cessé de sapprofondir. Nous nous soutenons mutuellement avec fermeté sur les questions concernant nos intérêts fondamentaux respectifs et nos préoccupations majeures, et nous maintenons une coordination sur les grandes questions internationales et régionales. Nous travaillons ensemble à la pratique dun véritable multilatéralisme et à la construction dun ordre international plus juste et plus équitable.

LAfrique du Sud a été le premier pays africain à signer le document de coopération sur lInitiative « la Ceinture et la Route » avec la Chine. Elle a été le plus grand partenaire commercial de la Chine en Afrique pendant 13 années consécutives, ainsi que lun des pays africains ayant le plus grand stock dinvestissements chinois. Le gâteau de la coopération bilatérale ne cesse de sagrandir. Les vins, le thé rooibos et les gels daloe vera dAfrique du Sud sont des produits à la mode en Chine. De nombreuses entreprises chinoises étendent leurs activités tout en assumant davantage de responsabilités sociales en Afrique du Sud. Les automobiles et les appareils électroménagers de marques chinoises, mais fabriqués en Afrique du Sud, sont très populaires auprès des consommateurs locaux, et de nombreux ménages sud-africains en possèdent aujourdhui. Les entreprises sud-africaines sempressent également dinvestir sur le marché chinois pour saisir les nombreuses opportunités commerciales, et elles ont apporté une contribution importante à la croissance économique de la Chine.

La philosophie sud-africaine Ubuntu prône la compassion et le partage. Elle résonne bien avec les valeurs du confucianisme : « aimer le peuple et tous les êtres et rechercher lharmonie entre toutes les nations ». En 2015, jai participé aux activités de lAnnée de la Chine en Afrique du Sud et jai été témoin des réalisations gratifiantes de nos programmes de lAnnée de la Chine et de lAfrique du Sud. En avril dernier, les professeurs et les étudiants de lInstitut Confucius de lUniversité de technologie de Durban mont écrit une lettre en chinois, exprimant leur attachement à la culture chinoise et remerciant la Chine pour les précieuses opportunités offertes aux jeunes Africains qui poursuivent leurs rêves. Cela me fait chaud au cur. En effet, ces échanges dynamiques de peuple à peuple renforcent lempathie entre nos peuples et permettent à notre amitié de se transmettre de génération en génération.

Les relations entre la Chine et lAfrique du Sud se trouvent à un nouveau point de départ historique. Elles ont dépassé le cadre bilatéral et exercent une influence mondiale de plus en plus importante. Au cours de ma prochaine visite, je me réjouis de travailler avec le président Ramaphosa pour définir le plan dun nouveau chapitre de notre partenariat stratégique global.

La Chine et lAfrique du Sud devraient être des compagnons partageant les mêmes idéaux. Comme le dit un ancien proverbe chinois, « un partenariat forgé avec la bonne approche défie la distance ; il est plus épais que la colle et plus fort que le métal et la pierre ». Nous devons accroître nos échanges dexpériences en matière de gouvernance et nous soutenir fermement les uns les autres dans lexploration indépendante dune voie de modernisation adaptée à nos conditions nationales respectives. Nous ne devons craindre aucune hégémonie et travailler les uns avec les autres en tant que véritables partenaires pour faire progresser nos relations dans un paysage international en pleine mutation.

La Chine et lAfrique du Sud devraient être les pionniers de la solidarité et de la coopération. Nous réussirons grâce à nos atouts majeurs que sont la forte complémentarité économique et les bases solides de la coopération. Nous devons poursuivre la synergie des stratégies de développement, promouvoir une coopération plus forte en matière dinfrastructures, déconomie numérique, dinnovation scientifique et technologique et de transition énergétique, et veiller à ce quun plus grand nombre de personnes de nos deux pays bénéficient des résultats du développement. La Chine accueille davantage de produits sud-africains sur son marché et encourage davantage dentreprises chinoises à investir et à faire des affaires en Afrique du Sud, afin de soutenir lobjectif de lAfrique du Sud de doubler ses investissements entrants au cours des cinq prochaines années.

La Chine et lAfrique du Sud devraient être les héritières de lamitié sino-africaine. Nous devons tirer parti des mécanismes globaux, multi-niveaux et institutionnalisés pour les échanges entre les peuples de nos deux pays, et continuer à faire progresser les échanges et la coopération dans les domaines de la culture, du tourisme, de léducation, du sport, des médias, des universités, des gouvernements locaux et de la jeunesse. Nous devons maintenir lesprit de lamitié et de la coopération entre la Chine et lAfrique aussi vivant et fort que jamais à travers les vastes territoires de la Chine et de lAfrique.

La Chine et lAfrique du Sud doivent être les champions de nos intérêts communs. Ce dont le monde a besoin aujourdhui, cest de paix, pas de conflit ; ce que le monde veut, cest la coordination, pas la confrontation. La Chine et lAfrique du Sud, en tant que membres naturels du Sud global, devraient dautant plus travailler ensemble pour demander que les pays en développement aient plus de poids et dinfluence dans les affaires internationales, pour promouvoir une réforme accélérée des institutions financières internationales et pour sopposer aux sanctions unilatérales et à lapproche « petites cours avec de hauts murs ». Nous devons préserver ensemble nos intérêts communs.

Le sommet des BRICS est un autre point important à lordre du jour de ma visite en Afrique du Sud. Cest la troisième fois que le sommet se tient sur ce continent plein de vitalité et despoir. Je me souviens encore très bien du sommet qui sest tenu dans la ville pittoresque de Sanya, dans la province chinoise de Hainan, lorsque lAfrique du Sud a fait ses débuts officiels en tant que membre de la famille des BRICS. Au cours des douze dernières années, lAfrique du Sud a apporté dimportantes contributions au développement du mécanisme de coopération des BRICS, renforçant ainsi la coopération au sein des BRICS et étendant leur influence. Aujourdhui, de plus en plus de pays frappent à la porte des BRICS, aspirant à rejoindre notre coopération. Cela témoigne de la vitalité et de linfluence du mécanisme de coopération des BRICS. La Chine est prête à travailler avec ses partenaires des BRICS pour agir dans lesprit des BRICS douverture, dinclusivité et de coopération mutuellement bénéfique, établir un consensus sur les questions importantes, poursuivre notre tradition de diplomatie indépendante et défendre résolument léquité et la justice internationales. Nous exhorterons la communauté internationale à se recentrer sur les questions de développement, à promouvoir un rôle plus important du mécanisme de coopération des BRICS dans la gouvernance mondiale et à renforcer la voix des BRICS.

Cela fait dix ans que jai présenté « la sincérité, les résultats réels, lamitié et la bonne foi » comme les principes du développement des relations entre la Chine et lAfrique. Au cours de la dernière décennie, nous avons poursuivi ensemble la création dune communauté davenir partagé Chine-Afrique dans la nouvelle ère, et nous avons achevé et remis une série de projets, notamment le siège du CDC Afrique, le pont de Foundiougne au Sénégal, lautoroute de Nairobi et le chemin de fer Mombasa-Nairobi, renouvelant ainsi lamitié sino-africaine à travers les vastes territoires de la Chine et de lAfrique.

Face à des changements profonds sans précédent depuis un siècle, une relation Chine-Afrique forte et une coopération Chine-Afrique productive donneront un nouvel élan au développement mondial et assureront une plus grande stabilité au monde. Il sagit dune responsabilité internationale et dune mission historique confiées aux 2,8 milliards de Chinois et dAfricains. Nous organiserons un Dialogue des dirigeants Chine-Afrique. Je travaillerai avec les dirigeants africains pour apporter à lAfrique des initiatives de développement plus actives, plus efficaces et plus durables, élargir la coopération dans les domaines de lagriculture, de lindustrie manufacturière, des nouvelles énergies et de léconomie numérique, et faciliter lintégration économique, lindustrialisation et la modernisation agricole de lAfrique. La Chine continuera à uvrer en faveur de progrès substantiels dans ladhésion de lUnion africaine (UA) au G20 cette année, et espère que les pays africains et lUA joueront un rôle plus important dans les affaires internationales et régionales.

Comme le dit un ancien poème chinois, « avec la marée haute et le vent arrière, il est temps de naviguer en douceur ». Pour les 25 prochaines années en perspective, le navire géant de lamitié et de la coopération entre la Chine et lAfrique du Sud poursuivra sa route et nous accomplirons des progrès encore plus importants dans la construction dune communauté davenir partagé Chine-Afrique dans la nouvelle ère, ainsi que dans la construction dune communauté davenir partagé pour lhumanité.




Montage des véhicules : Julien Paluku convainc la société « UD TRUCKS » à venir s’installer dans l’une des ZES

Les facilités qu’offrent les Zones Economiques Spéciales en République Démocratique du Congo attirent davantage les opérateurs économiques tant nationaux qu’étrangers. La société japonaise “UD TRUCKS” spécialisée dans le montage des véhicules basée à Pretoria en République Sud-africaine promet par le biais de ses responsables de venir s’installer dans certaines de ces zones économiques spéciales.

Faisant partie de la délégation gouvernementale qui accompagne le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde au 15ème sommet des BRICS à Johannesburg, le Ministre de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya a visité ces usines d’assemblage des véhicules accompagné de l’Ambassadeur de la RDC accrédité en Afrique du Sud, Fidèle Mulaja Binene.

« Nous sommes dans la délégation conduite par le Premier ministre pour participer au sommet BRICS qui doit renforcer le partenariat avec l’Afrique. Nous avons été conduits par l’ambassadeur de la Rdc en Afrique du Sud, qui tient à ce que la vision du chef de l’Etat soit matérialisée dans différents domaines. Il y a quelques temps on a suivi qu’à Kinshasa, on commence à fabriquer les carreaux et les faïences comme matériaux de construction, il y a un besoin très important, celui du transport. Voilà pourquoi l’ambassadeur nous a amené ici pour établir des contacts avec cette entreprise qui produit les marques bus, pour nous permettre de monter une industrie automobile en Rdc », indique Julien Paluku.

Le ministre de l’Industrie rappelle que nous sommes un pays avec 2.300.345.000 Km, avec un vaste programme de chantiers que le président de la République tient à ouvrir sur l’ensemble du pays, il va se poser énormément des problèmes de transport. Si on installe une industrie automobile en Rdc, ça sera pour répondre à ce besoin futur qui va se poser d’ici 5, 10, 15 ans. Ce contact que nous venons de prendre, c’est pour voir comment nous pouvons l’installer dans l’une des Zones économiques spéciales qui sont en Rdc, d’une part à Kinshasa, d’autre part à côté de Lubumbashi, et peut-être une troisième fois à l’Est, pour nous permettre de faire une politique d’encerclement de l’ensemble de la République.

A en croire Julien Paluku, si nous avons autant de véhicules qui sont produits dans 3 ou 4 espaces, ça va permettre de rencontrer les besoins de l’ensemble de la population congolaise en matière de transport. Nous allons signer un mémorandum avec l’entreprise pour dérouler une feuille de route qui va nous permettre d’ici 3 ou 4 mois, de mettre en œuvre le contenu de notre feuille de route.

 

 

 

 




«Le Maroc poursuit sa mue », estime le magazine Le Point

Sous le titre éloquent « Protection sociale, droits des femmes : le Maroc poursuit sa mue », le magazine français Le Point consacre, à l’occasion du 61ème anniversaire de SM le Roi Mohammed VI, un long article traitant des diverses transformations qui ont marqué les vingt-quatre ans de règne du Souverain.

Alors que le Roi Mohammed VI célèbre ses soixante ans et vingt-quatre ans de règne, le pays se trouve à un carrefour décisif de son évolution sociale. L’objectif est de réajuster son modèle de développement afin de bâtir des bases solides pour devenir une puissance régionale durable, souligne Le Point.

Depuis 1999, année de l’accession du Roi Mohammed VI au trône, le Maroc a considérablement évolué. Il s’est implanté dans les chaînes mondiales de valeur, a réintégré l’Union africaine et a remporté des succès diplomatiques majeurs concernant notamment le Sahara, dont la souveraineté est désormais reconnue par les États-Unis et Israël, rappelle le magazine.

Sur le plan interne, le pays a renforcé sa défense, démontré son efficacité dans la lutte antiterroriste et s’est affirmé comme acteur mondial. Au niveau social, plusieurs programmes ambitieux ont été lancés pour atténuer les inégalités, réduire la pauvreté et favoriser l’émergence d’une classe moyenne.

En 2020, le Souverain a annoncé le lancement d’une couverture sociale universelle sur cinq ans, incluant l’assurance maladie pour 22 millions de personnes, des allocations familiales pour 7 millions d’enfants scolarisables et l’extension des régimes de retraite. Cette réforme d’envergure, d’un coût de 51 milliards de dirhams par an, représente 4,25 % du PIB marocain, rappelle Le Point.

Cette démarche a permis d’élargir la couverture de l’assurance maladie, passant de 7,8 millions de bénéficiaires en décembre 2020 à 23,2 millions en avril 2023. Environ 79,8 % de la population marocaine bénéficient désormais d’une forme de couverture médicale, contre 74,2 % en 2021.

De plus, la modernisation du statut de la femme en 2004 à travers la réforme de la Moudawana, reflète les changements sociétaux en cours au Maroc.

Ainsi, alors que le Maroc aspire à devenir une puissance régionale durable, il s’engage dans des réformes sociales ambitieuses sous la direction du Roi Mohammed VI. Ces efforts visent à réduire les inégalités et à renforcer la stabilité économique et sociale du pays, en capitalisant sur les réalisations économiques et les succès diplomatiques, estime le magazine français.




Le groupe « la Ceinture et la Route » fait découvrir la Chine au monde à travers ses chanson

À Nanchang, capitale de la province chinoise du Jiangxi, il y a un groupe nommé « la Ceinture et la Route » composé d’étudiants africains de la Nanchang Hangkong University (Université de l’Aéronautique de Nanchang). Les membres du groupe viennent de Tanzanie, du Zimbabwe et de Zambie. Ils ont fait des études en Chine pendant plusieurs années et ont été témoins d’une nation pleine de vitalité et de charme. Quelles sont leurs expériences impressionnantes en Chine ? Que savent-ils de l’initiative « la Ceinture et la Route » et quels sont leurs vœux pour l’initiative ? Écoutons ensemble leurs histoires en Chine !

 

Question 1 : Pourquoi le groupe s’appelle-t-il « la Ceinture et la Route » ?

Daniel Mnyaga, Tanzanie, chanteur principal et claviériste :

Le groupe a été créé en 2013 avant notre venue dans la Nanchang Hangkong University. Et donc plus tard, avec nos professeurs, nous avons réalisé que la plupart d’entre nous venaient de pays connectés par l’initiative « la Ceinture et la Route ». Et c’est la raison pour laquelle il s’appelle le groupe « la Ceinture et la Route ».

Question 2 : Présentez une des chansons créée par votre groupe.

Daniel Mnyaga, Tanzanie, chanteur principal et claviériste :

Nous avons actuellement créé environ quatre chansons. Une chanson qui représente la voix de nous tous est « Ma professeure de chinois ». Parce que nous sommes tous des étrangers en Chine. Et puisque nous sommes venus dans une école en tant qu’étudiants, ce sont nos professeurs qui nous aident à nous adapter à l’environnement en Chine. Je veux apporter les bonnes choses que j’ai vues en Chine dans mon pays. Donc je pense que cette chanson représente la voix de nous tous dans le groupe et de tous les autres étudiants en Chine.

Question 3 : Quelles sont vos expériences impressionnantes en Chine ?

Daniel Mnyaga, Tanzanie, chanteur principal et claviériste :

Avant de venir en Chine, j’avais l’impression que la Chine était vraiment développée technologiquement et je n’ai pas été déçu. En fait, j’étais encore plus impressionné quand je suis arrivé ici. Une des choses qui est très claire, c’est que quand je suis arrivé à Nanchang en 2015, il n’y avait pas de métro. Et pour les sept ans ou peut-être huit ans que je suis resté à Nanchang, nous avons vu les lignes un, deux, trois et quatre. Donc, la Chine n’est pas seulement développée, elle continue également de se développer rapidement.

 

Audrey Tanaka, Zimbabwe, choriste :

Quand je suis arrivée en Chine, j’ai été accueillie chaleureusement. Mes professeurs et certains étudiants que j’ai rencontrés ici étaient très sympathiques et cela m’a donné l’impression d’être dans une grande famille et je suis heureuse d’être ici.

 

Abel Jacob, Zambie, bassiste :

J’ai eu différentes expériences que je n’aurais jamais eues si je n’étais pas venu en Chine. J’ai eu l’opportunité de rejoindre le groupe « la Ceinture et la Route » et de jouer de la musique qui m’a toujours passionné. J’ai eu l’occasion de voyager dans différentes villes de Chine. Et j’ai appris les différences culturelles, et même des choses que je ne comprenais pas vraiment sur la Chine, comme la porcelaine de Jingdezhen. C’est un héritage culturel avec une longue histoire. J’étais heureux de pouvoir le savoir et d’en faire l’expérience.

 

Isaiah Nyasha, Zimbabwe, batteur :

Quand je suis arrivé ici, ma première impression était différente de ce que j’avais en tête. J’avais l’impression, comme tout autre Africain ordinaire, que les Chinois sont tous bons en Kung Fu, qu’ils sont tous gymnastiques. Mais ce n’était pas le cas. J’ai découvert qu’ils sont amicaux, accueillants, ils aiment traiter les étrangers avec soin, leur faisant découvrir de nombreux aspects de la Chine. Et mes merveilleuses expériences ont été de communiquer de temps en temps avec des Chinois parce que j’en apprends plus sur la Chine, car c’est un très grand pays. Donc, chaque fois que je rencontre des Chinois, c’est une expérience merveilleuse parce que j’apprends quelque chose de nouveau.

 

Question 4 : Connaissez-vous des projets dans le cadre de l’initiative « la Ceinture et la Route » dans votre pays ?

Daniel Mnyaga, Tanzanie, chanteur principal et claviériste :

L’un des projets est l’expansion du port de Dar es Salaam. Et cela a permis à de plus gros navires et aussi à davantage de bateaux de venir au port de Dar es Salaam. Cela a donc contribué au développement rapide des affaires des gens. Et nous pouvons aussi vendre plus à l’extérieur et avoir plus pour notre peuple.

Abel Jacob, Zambie, bassiste :

À l’heure actuelle, je sais qu’il y a eu un projet qui a été récemment réalisé concernant une centrale hydroélectrique qui a aidé le pays à réduire tout déficit d’électricité qu’il a eu. Et le pays a pu aller de l’avant, même relancer des affaires qui se sont interrompues en raison d’un manque d’approvisionnement suffisant en énergie. Donc, cette initiative a réduit tout déficit en énergie. Et je sais que cela continuera à être le moteur d’un développement durable.

Question 5 : Exprimez vos vœux pour l’initiative « la Ceinture et la Route ».

Daniel Mnyaga, Tanzanie, chanteur principal et claviériste :

À l’initiative « la Ceinture et la Route », je voudrais dire félicitations pour son 10e anniversaire. Et j’exprime mes meilleurs vœux pour les futurs projets et je souhaite plus de coopérations avec tous les autres.

 

Isaiah Nyasha, Zimbabwe, batteur :

Je tiens à les féliciter pour la décennie de la constance.

 

Abel Jacob, Zambie, bassiste :

C’est une grande réussite qu’ils ont accomplie au cours de cette décennie. Je leur souhaite continuer de se développer.

 

Audrey Tanaka, Zimbabwe, choriste :

Je veux aussi juste leur souhaiter bon succès et bon progrès dans tous leurs projets et la vision qu’ils ont pour « la Ceinture et la Route ».




Nord-Kivu : Mort brusque d’un député provincial en mission parlementaire à Butembo

Le député provincial Muhindo Magezi Celse, élu du territoire de Beni a rendu l’âme, dans la soirée du dimanche 20 août 2023 en ville de Butembo au Nord-Kivu.

Selon les premières informations, ce dernier était dans une mission parlementaire dans cette ville avant qu’une mort brusque ne lui soit arrivée ; une mort qui serait due à une crise cardiaque, indique les sources proches de la famille.

Cet élu du territoire de Beni massivement voté à la députation provinciale lors de la législature passée prévoyait de nouveau de déposer sa candidature ce lundi 21 août 2023 au bureau de la CENI/antenne territoire de Beni.

Cette triste nouvelle a été accueillie comme un coût de foudre dans le chef des habitants de Basongora en secteur de Rwenzori grâce à ces compétences parlementaires, témoigne un habitant de la place interrogé ce lundi.

Notons que le corps du député provincial Muhindo Magezi Celse est gardé à la morgue de Butembo Mathanda, en attendant le programme de son inhumation.

Il laisse derrière lui plusieurs enfants orphelins et une veuve inconsolables.

Alain Wayire/Beni