Au Gabon, le temps joue en faveur du pouvoir

Le Gabon est un petit pays. Compiler les résultats de la présidentielle de samedi devrait être une simple formalité. Mais les résultats officiels tardent à tomber. Pourquoi ?

C’est le journaliste de PressAfrik Ayoba Faye qui a la formule la plus ironique pour expliquer le retard pris par le Centre gabonais des élections (CGE) pour annoncer les résultats de la présidentielle de samedi dernier.

« Bongo n’a toujours pas trouvé la formule la moins débile pour justifier son coup d’Etat institutionnel. Ça va faire 72 heures bientôt pour faire le décompte de moins de 800 mille voix », écrit le rédacteur en chef.

Et l’air de rien, Ayoba Faye n’a pas tort : dans d’autres pays, il ne faut que quelques heures pour comptabiliser les résultats. En 2020, au Togo, la CENI avait annoncé les résultats le surlendemain du scrutin, alors que 3,5 millions de personnes avaient voté.

Il paraît donc aujourd’hui surprenant que le CGE prenne autant de temps pour compiler les bulletins. Certes, il y a eu quelques soucis dans des bureaux de vote qui ont dû prolonger leur ouverture de deux heures. Mais le CGE s’est refusé à tout commentaire.

Force est de constater que le temps pris par le pouvoir pour annoncer les résultats officiels résulte d’une volonté de frauder. Le clan Bongo le sait : le président sera le grand perdant dans les urnes mais l’annonce d’une victoire provoquera forcément des troubles post-électoraux.

Les observateurs sur place s’attendent à des contestations des résultats du côté de l’opposition, qui est certaine de sa victoire, mais aussi une réponse musclée de la part du pouvoir. Selon ce tweet, https://twitter.com/autruicomoi/status/1696295691637661808, des arrestations pourraient avoir lieu et Ali Bongo Ondimba n’est pas prêt de rebrancher l’internet dans son p

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DCW




Handball : La Rdc pays hôte de la Can 2024

La République Démocratique du Congo obtient l’organisation de la 26ème édition de la Coupe d’Afrique des nations de handball seniors dames, prévue en novembre 2024. La décision de la Confédération Africaine de Handball (CAHB) est tombée ce mardi 29 août 2023.

La RDC a été préférée à l’Algérie, l’Angola et le Congo Brazzaville, trois autres pays qui souhaitaient également récupérer l’organisation de la compétition.

Pour rappel, la Fédération congolaise de handball a reçu le jeudi dernier la délégation de la CAHB pour une visite d’inspection des infrastructures de la RDC qui a émis le vœu d’accueillir cette 26ème édition, après le désistement du Cap Vert.

La RDC obtient cette organisation grâce à la construction de ses nouvelles infrastructures sportives, entre autres le gymnase jumelé du stade des martyrs et le gymnase du stade Tata Raphaël désormais adéquates.




Un mois après leur nomination par le Chef de l’Etat: Henriette Wamu et le comité de gestion de l’Office nationale de pêche et aquaculture contraints de travailler sous l’arbre

Notifiés le 26 juillet 2023 par le ministre de tutelle, aux termes des nominations par le Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo de nouveaux mandataires des entreprises et établissements publics de l’État, 31 jours après, les membres du comité de gestion de l’Office National de Pêche et Aquaculture (ONPA) travaillent sous les arbres et la première réunion du Conseil d’Administration de ce nouvel établissement public s’était tenue à Kinshasa sous la présidence de la PCA, l’honorable Henriette Wamu Ataminia, le mercredi 16 août 2023. Cette réunion s’est tenue dans des conditions déplorables, apprend-on des sources proches de l’ONPA.

L’on se rappellera que l’Office National de Pêche et Aquaculture du Directeur général Epicure Bohi Lokuta, secondé par Mutwaya Crispin son directeur général adjoint, dont l’une des missions est celle de mettre en place des infrastructures de pêche et d’aquaculture afin de contribuer à une meilleure transformation et conservation des produits de pêche et d’aquaculture, fait partie des outils de lutte contre l’insécurité alimentaire en Rdc. Une mission plus que noble pour cette puissance halieutique qu’est le bassin du Congo qui compte également un patrimoine lacustre riche, parmi les plus poissonneux au monde. Mais paradoxalement, contraint d’importer des poissons (Chinchards ou Thomson) depuis l’extérieur principalement de la Namibie.

Conscient de la responsabilité qui est la leur face à l’urgence qu’impose le défi du social du congolais, l’heure doit être à l’action. Mais cette situation désastreuse plombe le bon fonctionnement de l’Office national de pêche et d’aquaculture, 31 jours se sont écoulés, depuis que les membres du conseil d’administration ont reçu leurs notifications de mains du ministre de tutelle Adrien Bokele Djema, et ce, au terme de la nomination par ordonnance présidentielle des membres de cet Office par le chef de l’Etat, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. « Voilà seulement, jusqu’à ce jour, l’équipe piloté par la PCA Henriette Wamu, et le Directeur général Epicure Bohi ne dispose d’aucun bureau, ni frais de fonctionnement pour plancher sérieusement sur la mission leur confiée par la plus haute autorité du pays », observe-t-on. Aussi curieux que cela puisse paraître, ceux qui doivent œuvrer pour l’amélioration du plus important besoin social du congolais, à savoir la sécurité alimentaire, travaillent dans des conditions sociales difficiles…sous les arbres.

La question qui se pose avec autant d’acquittée est celle de savoir, ce que l’on fait de la ligne budgétaire allouée à l’ONPA. « C’est ici que devrait intervenir l’Inspection générale des finances qui rend énormément un grand service à la République. Le très redoutable IGF devrait entrer en danse pour tirer au claire la situation de l’Office national de pêche et d’aquaculture, voulu soit dit en passant par la volonté manifeste du président de la République « suggèrent certains observateurs qui ne manquent de s’inquiéter craignant le drame, en se demandant si « le montant alloué à cet office a-t-il été déjà utilisé avant la nomination des animateurs de l’ONPA ».

Pour rappel, l’Office national de pêche et d’aquaculture a entre autres, reçu missions de concourir à l’augmentation de la production halieutique et aquacole ainsi qu’à la promotion de la chaîne des valeurs y afférentes. En termes on ne peut plus claires, il sera question pour l’ONPA d’organiser l’approvisionnement en intrants matériels et équipements de pêche et d’aquaculture. Dans la foulée, l’ONPA va organiser la collecte et la distribution des produits de pêche à travers le territoire national. La matérialisation de cette mission salvatrice, passe aussi par les meilleures conditions de travail des animateurs de l’ONPA.

Tout en soulignant le caractère social et surtout alimentaire de l’Office National de Pêche et Aquaculture, Henriette Wamu Ataminia a rappelé aux membres du Conseil d’Administration que le Chef de l’État compte sur l’ONPA pour étoffer le volet social de sa campagne en vue du prochain mandat. Les festivités de fin d’année, période marquée généralement par des acrobaties pour approvisionner la capitale (partant tout le pays) s’approchant, il est plus qu’impérieux de se pencher sur le cas ’Office National de Pêche et Aquaculture’.

Martin Mudimbi Kapenga/Willy Makumi Motosia




L’histoire de Basongye

L’histoire des peuples Songye remonte il y a plus de 4000 ans.

Son début date de l’époque de l’apogée de la Civilisation Égyptienne, autour des rives de la Mer Méditerranée et de la Mer Rouge.

Le peuple Musongye est un peuple de la République Démocratique du Congo, une tribu du descendant pharaonique.

L’invasion de l’Égypte par des peuples du Proche-Orient a été la cause principale de l’émigration massive des descendants des bâtisseurs de célèbres pyramides en direction du Sud du Continent.

Le refus d’être colonisé par de nouveaux maîtres d’Égypte a contraint les descendants des Pharaons à émigrer en suivant soit le fleuve Nil soit la Mer Rouge.

Le peuple Musongye emprunta la Mer Rouge et accosta au niveau de l’île de Zazimbar, traversa la Tanzanie et le Lac Tanganika et s’installa à « Kantu à Muasa » (dans l’actuel Territoire de Kabambare ) avant de se fixer définitivement dans l’actuel territoire de Kasongo sous la direction des grands chefs de guerre dont le plus connu est LUSUNA (RUSUNA d’après les écrits des auteurs arabes).

Au début du 16é siècle, un des princes Songye, nommé NKONGOLO MWAMBA, grand chasseur et guerrier hors pair vint s’installer non loin du Lac Boya, imposa son autorité aux autochtones de part et d’autres du fleuve Lualaba et fonda l’empire LUBA, il est le premier MULOPWE.

Vers 1585, son neveu ILUNGA MBIDI alias Kalala Ilunga, général des armées royales, réorganisa l’empire et élargit ses frontières au-delà du Lomami et du Kasaï.

Le général Kalala Ilunga est le fondateur du deuxième empire Luba.

Au 17 siècle, un des descendants de Mulopwe ku Musengye fonde un royaume appelé Royaume de Yakitengye à EHATA (EPATA), ayant la capitale à Ebwe, près du village actuel d’Eoni dans le Territoire de Lubao. Le premier Yakitengye connu est Kilunga Kya Nkupi alias Elemba, père de Mbu Elemba (mère de Mpibwe Kitengye, ancêtre de Bekalebwe), de Ndjibu Elemba (mère de Bena Kiofwe) et de Mulo Elemba (mère de Kalanda, ancêtre de Ben’Eki), de Kakulu, ancêtre de Balaa, de Kitoto (mère de Kalume Kitoto, ancêtre des Belande.)

Selon le site Busongye du Dr Kabamba Nkamany, Nkongolo Mwamba fit partie des BAKALANGA qui, dans leur émigration de l’Egypte vers le Sud, s’était établi au site de Zimbambo avant de remonter vers le Nord en suivant la Kafue, puis à la frontière du futur Katanga, la Lufila jusqu’au Lac Zimbambo dans le groupe des lacs du Bupemba.

Faisons remarquer que selon le site des Luba du Katanga « Kyoto Kya Bana Ba Mbidi », Nkongolo Mwamba, fondateur de l’empire Luba se surnommait « KIMUNGU KYA BAKALANGA », l’hyène des Bakalanga. En effet, « Kimungu » désigne l’hyène en Kisonge jusqu’à nos jours. Par ailleurs, chaque notable Basonge appelé TSHITE se surnomme jusqu’à nos jours « Tshite KIMUNGU », ou Tshite, l’hyène, comme son ancêtre Nkongolo Mwamba.

S’agissant du terme BAKALANGA, il importe de mentionner qu’il est encore très courant dans le vocabulaire Songye, c’est le pluriel de MUKALANGA qui signifie un homme intègre, scrupuleux, et surtout courageux, bref, un brave homme.

Comme l’a mentionné le livre du Dr Kabamba, les Bakalanga avaient emprunté plusieurs directions.

Au Zimbabwe, il existe un peuple appelé les KALANGA dont la langue est très proche du Kisonge et du Luba.

Les recherches poussées sur l’origine des Kalanga du Zimbabwe pourraient nous révéler beaucoup de choses. Le royaume de “Mona Mopata” du Zimbabwe peut être traduit en kisonge par Royaume de “mwana a muipata”, l’enfant de la cour.

Evolution de l’identification du peuple Songye

Sur base des documents sus mentionnés, on peut avancer que l’identification du peuple Songe a évolué à travers son l’histoire.

Chronologiquement ils se sont fait appeler: Les BAKALANGA ; les BENA KANTU A MUASA (appellation prisée jusqu’à présent par les vieilles personnes Basonge), les BAYEMBI (une appellation utilisée jusqu’à nos jours par tous les peuples issus de l’empire Luba.

Bayembi signifiant ceux qui portent une arme blanche tranchante.

Enfin les BASONGYE, nom spécifique d’une tribu Songye ( Basonge) située sur la rive droite de la rivière Lomami à laquelle on a appliquait à toutes les autres tribus.

Voici la liste des principales tribus des Basongye telles qu’énumérées par Dr Kabamba Nkamany.

Les principales tribus [sous-tribus, clans, et familles confondus] de l’ethnie Songye sont:

√ Les Basonge de la rive droite de la Rivière Lomami (Lubao, Bena Malela, Bahina, Samba, Kisengwa, Kasongo I et II, Kabalo, Kubu, Wangongwe, Buku Kiloloshi, Bena Baye et Kongolo, Bena Nsala, Bena Malungu ; etc.).

Alors que les Bekalebwe, Ben’Eki (desquels sont issus les Bena Nsapu), Belande (Musolo et Kibeji),Bakooji Betundu, Bena Moona, Batempa, Bashilangye, Balaa, Basanga,Bena Ngandu,Bena Male, Bakankala, Bena Milembwe, Bambo, Bakwa-Nkoto, Bena Paye, Bena Majiba, Bena Budia, Bena Kiofwe, Sangwa, Bena Mpania Mutombo peuplent la rive gauche de la Rivière Lomami et ses affluents.

Les Basonge durant la colonisation

Durant la colonisation, affirme le Bureau d’Etudes Politiques Muteba,” tout le peuple Songye dans sa totalité se retrouve dans le District du Lualaba par le décret du 1 Août 1888 de l’Etat Indépendant du Congo divisant le pays en onze Districts.

L’arrêté Royal du 28 Mars 1912 divise le Congo Belge en 22 Districts dont celui du LOMAMI, lequel comprendra, à sa création, les Territoires de Kabinda, Pania Mutombo,Tshofa,Kisengwa,Kanda-Kanda (actuel Territoire de Mwena Ditu et Ngandajika), Mutombo Mukulu (actuel Territoire de Kanyama), et Mato (actuel Territoire de Kamina).

L’ensemble du District du Lomami se trouve dans la Province du Katanga, elle-même créée depuis le 07 Mars 1910.

Le poste de Kabinda créé en 1892 fut choisi pour être le chef-lieu du District du Lomami.

Les belges implantèrent à Kabinda, vers 1917, quatre services importants ; la Banque belge d’Afrique (B.B.A), INTERFINA, COTONCO et CLASSE MOYENNE pour le recrutement des travailleurs destinés aux travaux des chemins de fer BCK (KDL) et CFL, et pour l’exploitation des minérais de l’Union Minière du Haut Katanga (UMHK).Par ailleurs, les finalistes de l’Ecole Professionnelle Artisanale des Frères de la Charité à Kabinda étaient d’office engagés à l’Union Minière, qu’ils rejoignaient aussitôt leurs certificats en poche.

La réforme administrative de 1933 créant 6 provinces au Congo a provoqué l’éclatement du District du Lomami dont une partie des territoires a été annexée au District du Sankuru dans la nouvelle Province de Lusambo, et une autre partie transférée dans le District du Lualaba, province du Katanga. En 1945 le District de Kabinda est créé.




KIM JONG UN: «Je suis le plus fier de notre Marine de l’héroïque Armée Populaire de Corée (APC)!»

Les forces navales de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire en voie de la poursuite du statut de la Puissance économique et où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR) qui se sont forgés une grande réputation en écrivant une mémorable histoire de combats héroïques pour défendre la Mer de la Patrie, fidèles à la direction du Parti du Travail de Corée (PTC de la plus longue histoire du monde comme parti au pouvoir depuis 1945, NDLR) toujours victorieux, viennent de célébrer, de façon significative, l’anniversaire de leur fondation (28/08/1949).

La Marine de l’APC (08/02/1948) a proclamé son départ solennel par la fondation d’une Flotte de la nouvelle Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant», fière de sa Civilisation de 5.000 ans dont plusieurs étaient voués à l’invasion des Pays étrangers comme les USA, le Japon et d’autres, tous convoiteux de la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, du statut géopolitique et du paysage splendide de la Péninsule coréenne, NDLR). Dès lors, elle a, pendant plus de 70 ans, parcouru un chemin couronné de victoires et de gloire et marqué d’héroïsme et de bravoure sans pareils en défendant, avec sûreté, les Eaux territoriales et la dignité de la RPDC.

KIM JONG UN, Maréchal de la RPDC, a;

  • visité, ce 27 août, le Commandement de la Marine de l’APC en vue de féliciter tous ses officiers et soldats pour leur Fête
  • été accompagné par RI Pyong Chol et PAK Jong Chon, Maréchaux de l’APC, KANG Sun Nam, Ministre de la Défense Nationale, JO Yong Won, membre du Présidium du Bureau Politique du Comité Central (CC) du PTC et les autres cadres du PTC et du Gouvernement.

KIM JONG UN a été accueilli par;

  • l’Amiral KIM Myong Sik et le Vice-Amiral KIM Chang Guk, respectivement Commandant et Commissaire politique des forces navales de l’APC
  • d’autres commandants militaro-politiques du Commandement de la Marine
  • les commandants des Flottes de la Mer de l’Est et de la Mer de l’Ouest de la Marine
  • les commandants des Flottilles de navires de surface et sous-marins du ressort de celles-ci
  • les commandants des unités d’opérations spéciales.
  1. La visite au Commandement de la Marine

Son arrivée avec sa chère fille au Commandement de la Marine a été saluée par les acclamations enthousiastes des officiers et soldats de la Marine en liesse;

  • Une cérémonie d’accueil a eu lieu en l’honneur du Commandant Suprême des forces armées de la RPDC.
  • Le chef de la Garde d’Honneur de la Marine a rendu les honneurs à KIM JONG UN qui a passé en revue cette Garde d’Honneur.
  • Les marins lui ont offert les bouquets de fleurs en traduisant le sentiment de fidélité et de vénération des officiers et soldats de toute la Marine.
  • A eu lieu un défilé de la Garde d’Honneur de la Marine.

KIM JONG UN;

  • s’est fait photographier, en souvenir, avec les commandants principaux des forces navales
  • est entré dans la Maison des Militaires.
  • a transmis une corbeille de fleurs, au nom du PTC et du Gouvernement, à l’adresse des vaillants officiers et soldats de la Marine
  • a prononcé son Discours-programme significatif qui a déchaîné un autre nouveau tonnerre d’acclamations de vivats
  • a félicité, de nouveau, les marins en célébration de leur Fête
  • est guidé par le Commandant de la Marine pour sa visite au poste de commandement opérationnel
  • a reçu un rapport du Commandant sur la situation des ennemis (USA, Japon et Corée du Sud, etc., NDLR) et les opérations de la Marine
  • a fait le tour de plusieurs éléments du poste pour se renseigner, minutieusement, sur l’état de commandement opérationnel et d’informatisation de la gestion de la situation
  • a été Informé d’un plan opérationnel de la Marine de la part du Commandant pour proposer, à celui-ci, les orientations opérationnelles et tactiques de Juché (idéologie directrice éternelle créée en 1930, NDLR) à suivre par la Marine, permettant à celle-ci de prendre, sûrement, l’initiative dans tout conflit imprévu et une guerre et de juguler, de façon écrasante, les ennemis par une offensive préventive et résolue conformément au dessein stratégique et tactique du CC du PTC
  • a assisté à un match de volley-ball opposant l’équipe de la Marine à celle de l’Armée de l’Air qui est vaincue
  • s’est fait photographier avec les officiers et soldats du Commandement de la Marine (Une tempête d’acclamations «Défendons, absolument, KIM JONG UN!»  s’est déchaînée en faisant trembler ciel et terre.)
  • a exprimé son espoir et sa certitude que les officiers et soldats de toute la vaillante Marine se tiendront fin prêts à intervenir sous le mot d’ordre militant «Nous n’attendons que l’Ordre de départ du PTC!», animés d’une ferme volonté de vaincre tout ennemi puissant, et créeront un nouveau mythe de victoire digne de l’héroïque Marine, en cas d’une bataille décisive
  • a encouragé, cordialement, les officiers et soldats de la Marine dignes de confiance, déterminés à défendre, avec sûreté, la Mer de leur chère Patrie à l’instar des marins de la génération précédente.

Tous les officiers et soldats de la Marine se sont raffermis dans leur résolution de se préparer en soldats d’avant-garde de la défense nationale et en vaillants combattants sur Mer, gardant, au tréfonds du cœur, l’affection particulière témoignée par leur Commandant Suprême dont la visite sera enregistrée dans l’histoire de l’édification des forces armées, posant un jalon important pour un tournant remarquable dans le développement de l’Armée de Mer.

  1. Le banquet consacré à la Journée de la Marine

KIM JONG UN a offert, le soir, un banquet à l’occasion de la Journée de la Marine. Le Maréchal PAK Jong Chon a fait son discours de circonstance pour;

  • dire; Ces glorieuses heures d’aujourd’hui à jamais inoubliables portent témoignage de la confiance et de l’attente immenses du Commandant Suprême qui espère que les officiers et soldats de toute la Marine deviennent vaillants combattants patriotes, héros de brillantes victoires dont se glorifient notre Patrie et notre Peuple.
  • insister sur la nécessité, pour tous les commandants, de se dresser comme un seul homme pour faire briller, toujours, la gloire de l’héroïque troupe d’assaut du CC du PTC
  • proposer de porter un toast à la santé du Commandant Suprême qui a assuré un gage sûr permettant à la Marine, forces armées de pivot de la RPDC, de poursuivre toujours une voie de la victoire.

KIM JONG UN a exprimé sa reconnaissance profonde et s’est entretenu, cordialement, avec les commandants dignes de confiance et forts des forces navales en insistant;

  • Nous devons continuer, d’une façon plus pure et plus dûment, l’histoire de la victoire obtenue dans les batailles ou combats les plus acharnés contre les forces hostiles qui se démènent pour usurper notre souveraineté et notre prestige national.
  • Si l’esprit des marins infaillible permet de défendre, de pied ferme, les Eaux territoriales sacrées, la Mer de la Patrie sera tranquille et l’existence de tout dans notre Pays brillera comme gloire éternelle et biens de valeur.

Dans la salle de banquet, se sont produites les scènes impressionnantes représentant les liens de sang qui unissent l’éminent Commandant prestigieux et les membres d’élite des forces navales, sachant partager la volonté, l’affection et le sort dans la lutte sacrée pour réaliser une grande œuvre d’enrichissement du Pays et d’accroissement de la puissance de l’APC.

Les commandants de la Marine sont, farouchement, déterminés dans leur volonté de garder l’affection et la confiance du Jour-J comme une gloire de toute la vie et de se dévouer corps et âme pour;

  • perpétuer une célébrité de l’Etat et de l’APC
  • assurer une prospérité radieuse des forces navales de la RPDC et leurs développement et renforcement ininterrompus.
  1. Le Discours de KIM JONG UN

Visitant le Commandement de la Marine à l’occasion de sa Fête, je vais remettre une corbeille de fleurs, sur mandat de notre PTC et de notre Gouvernement, pour féliciter, chaleureusement, les officiers et soldats de toutes nos forces navales: je;

  • présente mes respects militants aux commandants et soldats de toute la Marine qui, même en ce moment, défendent, avec sûreté, la souveraineté, l’intégrité territoriale et la paix de la RPDC en brandissant les pavillons de navire de guerre imbus de grands exploits
  • adresse mes salutations chaleureuses à leurs familles qui consacrent toute leur affection et tout leur amour pour défendre, avec les marins, nos Eaux territoriales.

Du point de vue des exigences historiques et pratiques, le renforcement des forces navales s’impose, toujours, comme une tâche indispensable de la défense nationale et de l’édification de l’APC, pour notre Pays baigné de 3 côtés par la Mer. Historiquement, les tentacules d’agression (les USA; en 1866 et 1945, et le Japon en 1592 et 1905, NDLR) contre notre Pays venaient, principalement à travers la Mer, ce qui a fait vivre, à notre Peuple, un terrible martyre (colonisation par le Japon, NDLR) pendant longtemps (40 ans; 1905-1945, NDLR).

Il y a 74 ans, soit le 28 août 1949, nous avons, enfin, proclamé la création de la Flotte constituant un départ solennel de la fière histoire de notre Marine. Dès lors, nous avons formé et renforcé nos propres forces navales. C’était un trajet exaltant ayant rempli un rôle vraiment énorme et important pour défendre, jusqu’ici, la tranquillité de notre Pays. L’histoire sacrée de notre APC qui, dès le jour de sa fondation jusqu’ici, a sauvegardé, efficacement par les armes, la souveraineté et la dignité de notre RPDC est marquée de mérites éminents de la Marine ayant parcouru le chemin de combat débordant de l’héroïsme et de la bravoure sans pareils. Le rôle de celle-ci gagne, en importance, au fil des jours dans la théorie et la pratique militaires en changement rapide.

Dans la guerre moderne, l’armée de mer est une force générale équipée de divers moyens de frappe, voire de la force de dissuasion de l’Etat, et qui en fait usage. La bonne préparation des seules forces navales peut permettre de sauvegarder la sécurité du Pays. Vu le rôle important de la Marine, surtout la spécificité géopolitique de notre Etat, on suggère même qu’à l’avenir, on devrait dire les armées de mer, de terre et de l’air, au lieu des armées de terre, de mer et de l’air.

Non seulement le cas échéant mais aussi à l’avenir, notre Armée de Mer doit jouer le rôle le plus important dans la défense de la souveraineté et de la dignité de la RPDC ainsi que de ses intérêts pour le développement. Pour me renseigner, sur place, des problèmes urgents qui se posent dans le renforcement des forces navales ayant une signification si grande, et prendre une série de mesures importantes, j’ai inspecté récemment (il y a une semaine, NDLR) la 2ème Flottille de navires de surface, lauréate du titre Kunwi (ou garde), de la Flotte de la Mer de l’Est, et me voici, aujourd’hui, au Commandement de l’Armée de Mer à la veille de sa Fête.

A la vue de l’aspect digne de confiance des commandants de notre Marine qui a parcouru, uniquement, le chemin de la fidélité en avant-garde courageuse du PTC et de la Révolution coréenne, en dépit des vagues violentes, je ne peux m’empêcher de vénérer l’histoire sacrée de plus de 70 ans des forces navales de l’APC. Notre Armée de Mer, née du néant avec l’esprit indomptable comme sa vitalité, a couronné, de victoires et de miracles, les décennies de la Révolution grâce à son dynamisme et à son courage qui lui permettent de faire face sans hésitation au plus puissant ennemi.

La glorieuse histoire de plus de 70 ans des forces navales a été marquée par l’esprit de sacrifice sans bornes et la lutte héroïque des marins qui ont su défendre l’Etat et la Révolution par la victoire. Bien qu’elle ne soit pas équipée d’armements et de matériels de combat techniques de pointe, les actions d’éclat accomplis par notre Armée de Mer étaient les exploits énormes ayant une importance non moins grande, voire plus grande que ceux des autres Armées.

Aujourd’hui aussi comme en temps de Guerre (1950-1953; RPDC-USA, NDLR) et dans la période d’après-Guerre, la Mer dont vous êtes défenseurs est le théâtre de confrontation (l’Incident du navire-espion armé USS Pueblo de l’US Navy en 1968, capturé au-dessus de la Mer de l’Est de Corée pour la 1ère fois dans l’Histoire US et ligoté jusqu’ici au bord de la Rivière Pothong-gang toute proche du Musée de la Victoire dans la Guerre de Libération de la Patrie sis à Pyongyang, etc., NDLR) la plus acharné avec les forces ennemies. La dignité et l’honneur de la Patrie en dépendaient, alors que l’issue de cette bataille décidait, toujours, de celle de la confrontation touchant au sort du Pays et du Peuple.

L’ennemi que nous avons affronté pour la 1ère fois et affrontons en permanence est une force puissante fière de son histoire de guerres navales longue de cent et dizaines d’années. Si nos marins ont pourtant combattu avec plus de vaillance et plus de persévérance, sans se reculer le moins du monde, c’est qu’ils se sont liés à la victoire de la Patrie. Dès l’après-Guerre jusqu’ici, notre Mer n’a jamais retrouvé sa tranquillité, mais grâce à l’esprit irréductible et à la bravoure de nos combattants de la Marine, elle était toujours claire et bleue, de même qu’elle était défendue, avec sûreté, comme les ressources abondantes et les biens de l’Etat et du Peuple. C’est vraiment grâce à notre Armée de Mer que les agresseurs n’ont pu pénétrer le moins du monde dans notre Mer qui est toutefois si étendue au delà de l’horizon.

L’aspect indomptable de notre Marine s’est révélé davantage chaque fois que la Patrie était confrontée au défi et à la crise graves; sur les champs de combat acharné où l’honneur de l’héroïque Corée a rayonné en temps de paix, non pas en temps de Guerre, flottait l’étendard de notre fière Armée de Mer. Grâce au courage impérissable manifesté dans les batailles contre les pirates incomparablement supérieurs en effectif et en armement, le caractère propre de notre APC et le secret de son invincibilité ont été connus largement, de même que l’histoire de notre Marine qui ne remporte que les victoires étonnant le monde entier donne plus d’éclats à la longue et glorieuse histoire de notre APC.

La réputation de la Marine de l’APC brille comme le symbole de la vaillance et de la foi de notre Peuple irréductible et comme l’honneur du défenseur № 1 de notre PTC et de notre Révolution. L’invincibilité doit être l’objectif invariable de notre Armée de Mer et l’honneur de la Patrie s’identifier aux exploits des marins.

Devenir une puissante armée de Juché à même d’accomplir, parfaitement, sa mission historique de la défense des Eaux territoriales et des préparatifs de guerre révolutionnaire, est la tâche suprême qui incombe aux forces navales. Le 8ème (2021) Congrès de notre PTC a défini la tâche de faire de nos forces armées révolutionnaires une véritable armée du PTC ayant réalisé l’uniformisation idéologique et une armée moderne, dotée des matériels de guerre de pointe, et d’augmenter, sensiblement au plus tôt, la modernité et les capacités de combat de la Marine conformément aux exigences du développement de la Révolution et de la sécurité de l’Etat, ainsi qu’à une nouvelle tendance du développement militaire du monde.

Développer, rapidement, les forces navales est une question très urgente du fait des tentatives d’agression et du caractère des actions militaires des ennemis, ces derniers temps. Les impérialistes US déploient, ces derniers temps, davantage d’équipements stratégiques nucléaires dans les parages des environs de la Péninsule coréenne et d’autre part, se livrent, avec plus de frénésie que jamais, aux exercices militaires maritimes conjoints avec les forces à leur remorque.

Récemment, se sont réunis (le Sommet du 18/08/2023 à Washington, NDLR), les chefs de file des gangsters de;

  • les USA (ou United States of America ou Etats-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusqu’ici avec leurs 30.000 GI’s coiffés arbitrairement des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution de l’ONU № 3390B 18/11/1975 mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon grâce à la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR)
  • le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion 1592-1598 de la Péninsule coréenne – sa plus voisine géographique – et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que le kidnapping et la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, le massacre atroce de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR)
  • la ROK (ou Republic of Korea ou République de Corée, qui désigne la Corée du Sud, DROM-COM des USA comme le Japon depuis 1945 et obligée ou forcée, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis plus d’un an, son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, d’où la condamnation des millions de manifestants locaux depuis une année, et qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en apparence seulement en 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR).

Ils ont déclaré que les exercices militaires de diverses sortes des 3 parties se dérouleraient périodiquement pour s’atteler à la réalisation de ce projet. A cause des manœuvres de confrontation téméraires des forces hostiles à commencer par les USA, les parages de la Péninsule coréenne se sont transformés en;

  • ceux de concentration de matériel de guerre de la plus grande envergure du monde
  • ceux les plus instables, pleins de danger d’une guerre nucléaire.

La situation actuelle exige que notre Marine se tienne fin prête à intervenir, en permanence, en concentrant toutes les forces sur le perfectionnement de ses préparatifs de guerre, et qu’elle se prépare à anéantir, le cas échéant, la volonté de guerre des ennemis et à exécuter la stratégie militaire du Commandement Suprême. A cette fin aussi, le plus important est l’esprit de combats remarquable des commandants et des soldats, conscients de la mission honorable de défense de la Mer, assignée par la Patrie, et animés de volonté d’anéantissement des ennemis et de courage.

Certes, actuellement, pour que notre Marine s’acquitte de sa mission, un développement de la technique militaire doit être accompagné et considéré comme important, mais ce qui est le plus important est de préserver, avec fermeté, la valeur politique, morale et idéologique de notre Armée et de la cultiver davantage, puisque le combat est une confrontation morale et idéologique comme l’a prouvé l’histoire. Notre force morale dissuadera les ennemis de se jeter sur nous.

La haute mentalité de nos marins, voilà qui décourage, d’envahir notre Mer, les groupes navals d’agression qui ont l’arrogance de parcourir, à leur guise, les océans, voilà qui inspire, à notre Peuple, une confiance inébranlable, telle qu’il peut poursuivre, sans cesse, la production et la construction nécessaires pour la prospérité. Le développement de la technique militaire doit être associé, harmonieusement, à la supériorité politico-idéologique; et, voilà les desseins du PTC et les tâches immédiates à réaliser pour accélérer, encore, la modernisation des armements de la Marine, rehausser, ainsi sensiblement, sa modernité et ses capacités de combat.

Les unités des différentes armes recevront de nouveaux moyens de combat conformément à la politique d’extension de l’usage des armes nucléaires tactiques définie par la Ligne d’édification des forces nucléaires nationales; la Marine fera partie intégrante des forces de dissuasion nucléaire d’Etat chargées des tâches stratégiques.

Au niveau de la transformation rapide de la Marine de l’APC en une arme puissante, fin prête pour mener la guerre, s’impose le perfectionnement du système de commandement unique du CC du PTC sur toute la Marine comme le plus important impératif. Le renforcement de ce système de commandement est à la base du développement de la Marine et le principal moyen de son développement. Il ne faut jamais oublier que les capacités de combat de la Marine de se mobiliser et de s’acquitter de ses missions sans délai sur Ordre du CC du PTC suppose une fidélité et une obéissance absolues. Les organismes du PTC et autres organismes politiques au sein de la Marine doivent s’appliquer, principalement, à rendre tous ses officiers et soldats capables de suivre juste la voie indiquée par le PTC en haute mer où il n’y a aucun signal ni aucun indicateur et d’anéantir, complètement et dans les délais fixés, les cibles indiquées par le CC du PTC.

L’essentiel dans l’accroissement des capacités de combat de la Marine a été, et sera toujours d’assurer sa supériorité idéologique et morale, par conséquent de prioriser la formation morale de tous ses officiers et soldats. La guerre est l’affrontement avec les idéologies et les morales, plutôt que celui avec les techniques et les équipements. Il peut y avoir des changements dans notre force et nos procédés de combat ainsi que dans les modes d’action militaire des ennemis, mais pas dans notre art de guerre et notre tradition de victoire fondés sur la supériorité idéologique et morale. Ce qui s’impose, réellement, sur les champs de bataille, c’est la force idéologique et morale absolue des militaires qui emploient les armes et les équipements et non la supériorité numérique des armes et équipements ni la supériorité technique, telles sont la philosophie révolutionnaire et la doctrine relative à la guerre de l’héroïque APC.

Notre Marine doit déborder de la seule foi que les militaires formés à la fermeté peuvent l’emporter sur toute force ennemie sans jamais se laisser échouer; telle est la tradition caractéristique qu’elle doit poursuivre sans jamais s’en écarter le moindrement. Un effort particulier s’impose pour hériter l’héroïsme des générations précédentes. Les étendards de la glorieuse Marine de la RPDC brillent de l’esprit de combat indomptable dont les ont empreints les vaillants combattants de la Marine de la génération précédente dont les Héros KIM Kun Ok et CHAE Jong Bo au prix de leur sang (dans la Guerre 1950-1953; RPDC-USA, NDLR).

Les officiers et soldats de la Marine doivent, dans leur service quotidien, puiser, à la vue des glorieux étendards militaires et de ceux sur leurs bâtiments, de l’encouragement dans les exploits des Héros de la génération précédente et s’efforcer, de tout cœur, de perpétuer, brillamment, l’éminent esprit de ces derniers.

Tous les officiers et soldats de la Marine doivent s’inspirer, toujours, de l’esprit indomptable de combat des combattants de la génération précédente, en l’aiguisant encore davantage, briser la fanfaronnade des ennemis par leurs idées saines et qualités morales supérieures et honorer, à jamais, les forces navales révolutionnaires auréolées de victoires. Si nos vaillants combattants de mer pleins de vigueur et doués d’un esprit profond et d’une force inépuisable, raffermissent l’unité basée sur la camaraderie, en faisant, pleinement, preuve de la solidarité et de la bravoure, sentiments propres à la Marine héroïque sachant partager un sort commun, pour le meilleur comme pour le pire, et surmontent, avec optimisme, toutes sortes de difficultés, ils resteront toujours fidèles à leurs mission et devoir assumés par le PTC, la Révolution, la Patrie et le Peuple.

Impulser, puissamment, la modernisation des armements et mener, substantiellement, des entraînements pratiques dans une circonstance de combat réel, voilà le secret de l’amélioration remarquable des capacités de combat de notre Marine. Nous devons veiller à ce que les officiers et soldats de toutes les unités et sous-unités s’assimilent, parfaitement, les techniques de combat de surface et sous-marines originales de notre PTC, d’une part, et d’autre part, à concevoir et à établir de nouvelles stratégies et tactiques susceptibles de faire face à toute forme de combats navals actuels en évolution et à des procédés et tactiques de guerre d’agression des ennemis.

Il faut prêter, toujours, attention à l’entretien de performances initiales et aux préparatifs de combat des navires, des armes et du matériel de combat technique dont dispose actuellement notre Marine. En même temps, le secteur d’entraînement doit se fixer un objectif ambitieux et pratiquer, avec un but précis, des exercices diversifiés les plus semblables au combat réel, selon le principe d’accroître, sensiblement, les capacités de combat pouvant contenir, absolument, des manœuvres de provocation de la guerre nucléaire des troupes d’agression US et de leurs armées satellites, qui s’avèrent de plus en plus dangereuses.

Profondément conscients que la sécurité et la paix dans les Eaux territoriales de notre RPDC dépendent de leurs force et efforts, et redoublant de vigilance au maximum, tous les officiers et soldats de la Marine effectueront, sans faillite, tous leurs services militaires, y compris le service de garde maritime pour garantir, à tout prix, la prospérité de la Patrie, la sécurité et le bonheur du Peuple. Les marins, fidèles à la cause du PTC et brûlés de l’amour de la Patrie, font preuve, sans réserve, de leur style révolutionnaire et de leur tempérament aux grands chantiers de construction du socialisme, faisant l’éloge du Peuple; toujours conscients de la confiance et de l’attente du PTC et du Peuple, ils doivent leur répondre, fidèlement, comme ils en faisaient autrefois.

Je suis le plus fier de notre Marine. Grâce à nos marins déterminés à sacrifier sans remords, sans hésitation leur jeunesse et leur vie pour la sécurité du Pays et la paix de nos Mers, notre Marine de l’APC est une armée d’élite caractérisée par son excellence dans les capacités de combat et l’héroïsme. Je souhaite que notre Marine joue un rôle de pivot et d’avant-garde dans la sauvegarde des Eaux territoriales de notre Patrie et dans l’édification du socialisme et donne toute sa mesure en tant qu’une troupe de militaires révolutionnaires qui accomplissent les meilleures actions et les résultats les plus fructueux.

Nos tous les Camarades officiers et soldats des forces navales! Je suis convaincu que vous;

  • resserreriez votre union en bonne santé
  • déploieriez une lutte ardue pour la prospérité durable de la RPDC et le bonheur du Peuple
  • ouvririez, ainsi à coup sûr, l’âge d’or du développement des forces navales de Juché.

Pour obtenir de nouveaux succès dans les préparatifs de guerre révolutionnaire en vue de réaliser la réunification (la 1ère unification 918-1392 du temps du Royaume Coryo où les arts et le commerce ont fait la richesse du Pays; d’où le mot COREE tire son origine à cette époque, NDLR) de la Patrie et pour manifester, sans cesse, la puissance de la Marine de l’héroïque APC ainsi que pour faire biller, encore davantage, sa gloire, menons, tous vaillamment et jusqu’au bout, une lutte persévérante!

Vive la Marine de l’héroïque APC!




Pour mettre fin à la crise tchadienne : Didier Mazenga remet au président Mahamat Idris Deby Itno un courrier reprenant quelques propositions

2ème temps fort de la mission de Me Didier Mazenga, ministre du Tourisme au Tchad, du 28 août au 03 septembre 2023.

Dans une attraction politique hautement concertée, sous le label de la solidarité panafricaine et inter-CEEAC, M. Mahamat Idris Deby Itno, Président de la transition tchadienne a reçu en audience, ce jour, l’actuel ministre du Tourisme, Me Didier Mazenga Mukanzu, Envoyé spécial et privilégié du Facilitateur au processus de transition au Tchad, choisi par le président Félix Tshisekedi.

Occasion choc et prometteuse, le locomoteur aux solutions innovantes, l’homme à double accélérateur, lui a remis à mains propres, un courrier reprenant quelques propositions palliatives et idoines pour un aboutissement heureux audit processus déclenché au lendemain de la mort tragique du feu Maréchal Idris Deby Itno.

Bon à retenir, le ministre agit et pose ces actes au nom du Facilitateur Félix Tshisekedi. Franche et potable, cette complicité Fatshi-Didier Mazenga déjà dans toutes les franges de la société tchadienne.  Étaient présents à cette rencontre:

Le Directeur de cabinet au Tourisme, le Professeur Claver Pashi Lumana, l’Ambassadeur de la Rdc au Tchad, M. Banza Ngoy, le représentant de la CEEAC au Tchad, le DG Prince Kangila, le Conseiller politique du ministre Mazenga, M. Paul Kangila et d’autres experts du Cabinet.

 




Le casse-tête nigérien (Ambassadeur André-Alain Atundu Liongo)

La perte du pouvoir d’Etat par le Président Mohamed Bazoun à la suite de sa séquestration au palais présidentiel aura été une trainée de poudre qui a abouti à révéler la véritable nature du scénario mis en place par les Militaires à Niamey.

Cette méthode astucieuse de strangulation par contactions à la façon d’un boa, a réussi à consolider la mainmise du Général Tchiani sur le pouvoir d’Etat.

La dissimulation stratégique de la nature réelle du coup de force en un premier temps aura servi à jauger l’impact et l’incidence sur les populations du Niger.

L’enthousiasme populaire a été la chiquenaude qui a achevé la strangulation du pouvoir du Président BAZOUN. Par rapport à la déclinaison de l’attitude évolutive de la Communauté Internationale vis-à-vis du coup de force du Général Tchiani, il apparait désormais que la réaction de la CEDEAO et de la France d’intervenir pour rétablir militairement le Président Mohamed Bazoun au pouvoir était émotionnelle et mécanique.

Par la suite, une évaluation contextuelle de la situation a démontré les points faibles de la détermination de ces 2 acteurs. Ils comptaient, d’une part, sur la division de l’Armée et la réprobation de la population, d’autre part, sur la cohésion de la CEDEAO et l’abnégation des Etats de la Sous-région ayant subi le contrecoup des sanctions contre le Mali et le Burkina Faso.

L’adhésion unanime des populations nigériennes et la réprobation profonde des populations des Etats de la Sous-région ont fini par sortir la CEDEAO et la France de la torpeur de leur rêverie.

D’autant que les alliés stratégiques de la CEDEAO et de la France comme les USA recommandent une issue diplomatique.

Et comme pour allier la parole à l’acte, leur ambassadrice a débarqué à Niamey dans la foulée.

D’autre part, certains partenaires importants du Niger, comme l’Algérie et la Russie, ont clairement exprimé leur opposition à l’intervention militaire de la CEDEAO et de la France comme pour soutenir, de facto, les Nouvelles Autorités du Niger.

Enfin, le Mali et le Burkina Faso ont frappé les esprits et l’opinion internationale en prenant fait et cause avec les nouveaux dirigeants du Niger, au point de considérer toute attaque contre le Niger comme une attaque contre leurs pays – ils seraient alors en position de défense légitime face aux troupes d’intervention.

Dans cet imbroglio politico-diplomatique, le sort de la Sous-région est dans la main des Chefs d’Etat de la CEDEAO qui doivent s’interroger si l’intervention au Niger va résoudre le vrai problème au de-là du rétablissement hypothèque de Mohamed Bazoun, au risque de déclencher une guerre de résistance contre les occupants dont il faudrait libérer le Pays.

Il importe donc que les forces de la CEDEAO se comportent en baïonnette intelligente au lieu d’être une mécanique aveugle.

Sinon cette intervention risque d’apparaitre comme une guerre contre la population nigérienne et de créer ainsi un stigmate profond dans le chef de tout nigérien et africain.

Dans cette ambiance surréaliste, les partisans d’une intervention comme le Nigéria, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Bénin et le Togo paraissent de plus en plus seuls et leur volonté de plus en plus veule.

Enfin, il se pose avec une certaine acuité la question de savoir combien d’Etats vaudrait-il pour que cette intervention soit perçue comme la volonté de l’organisation régionale.

Sans entrer dans la complexité technique de coordination, les Présidents de ces Etats prendront-ils le risque et la responsabilité de jeter dans la bataille les troupes des Etats qui ne réunissent pas l’unanimité sur le plan interne.

Cette absence de modestie face à un fait avéré est plus une démission que l’expression d’une volonté déterminée.

Et la présence éventuelle de la France dans cette intervention ne risque-t-elle pas de décrédibiliser les dirigeants de ces Pays et accroitre le sentiment anti-français ? Dans ce contexte, le bras de fer autour de la décision d’expulsion de l’Ambassadeur français risque d’apparaître comme un constat d’arrière-garde ou un baroud d’honneur.

La vraie sagesse diplomatique consiste, en l’occurrence, à négocier dans un esprit de modestie et de réalisme vis-à-vis d’un fait avéré que l’on ne maitrise pas au risque de faire basculer toute la région dans la précarité sociale et politique.

Halte donc à l’égo surdimensionné de la France et à la vanité indécente d’un sens de l’honneur qui n’en est pas un.

Casse-tête ou nœud gordien, les Chefs d’Etats de la CEDEAO doivent trancher en ayant à l’esprit l’intérêt bien compris de la Sous-région.




Selon la CASE : Le syndrome électoral de la RDC affecte dangereusement le Gabon et le Zimbabwe

La Commission Africaine pour la Supervision des Élections (CASE) condamne les violations graves de la loi et des règles régissant le processus électoral en République du Gabon et en République du Zimbabwe à l’issue des deux scrutins présidentiels organisés la semaine dernière.

La CASE note que les gabonais ont droit à une démocratie juste et équitable qui mette chaque candidat dans les conditions requises pour battre campagne et vérifier démocratiquement les détails des résultats électoraux. En privant le candidat de l’opposition de ses droits civiques et politiques pendant la campagne; en décrétant un couvre-feu inattendu et en coupant la connexion internet, le régime du Président Ali Bongo Ondimba a prouvé qu’il était en situation électorale inconfortable face à ses adversaires.

L’incapacité du régime au pouvoir à désigner un candidat de rechange en remplacement du Président de la République Ali Bongo Ondimba dont la santé demeure visiblement précaire, constitue un recul pour la démocratie gabonaise. 4. La CASE dénonce tout autant l’absence des observateurs et des journalistes internationaux tout au long du processus électoral et s’inquiète quant à la qualité de la démocratie gabonaise.

D’autre part, la reconduction très autoritaire du Président Emnerson Mnangagwa à l’issue du scrutin du samedi 26 août 2023 est une surprise de mauvais goût. La très forte militarisation des opérations de vote et les menaces de mort proférées contre les opposants viennent de sacrifier tant d’efforts de renouveau démocratique dans le pays.

Se référant aux analyses recueillies en République du Gabon, en République du Zimbabwe et en Afrique de l’Ouest, la CASE constate que le mauvais traitement infligé au Président Joseph Kabila Kabange de la République Démocratique du Congo après la passation pacifique des pouvoirs, interpelle les Chefs d’Etat en fonction à travers le continent. Cette situation pousse les dirigeants actuels à adopter une attitude de « j’y suis et j’y reste », en foulant aux pieds les véritables choix des peuples.

La CASE invite particulièrement le Président Ali Bongo Ondimba du Gabon à respecter la volonté du Peuple et à se plier démocratiquement aux résultats véritables des scrutins électoraux. Fait à Chicago (Etats-Unis d’Amérique), le 29 Aout 2023.




Au ministre des Transports Marc Ekila : La CENI sollicite une facilitation d’accès au tarmac aéroportuaire de son personnel et de ses engins

Le Questeur Adjoint de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Mme Sylvie Birembano Balume, a représenté le Président Denis Kadima Kazadi (empêché), à une séance de travail, présidée par le Ministre des Transports, des Voies de communication et du Désenclavement, Me Marc Ekila, à l’immeuble du gouvernement.

Mme Sylvie Birembano était accompagnée des experts de la CENI chargés des opérations et de la logistique.

À cette rencontre, étaient conviés les responsables de l’Autorité de l’Aviation civile congolaise (AAC), de la Régie des voies aériennes (RVA), de la Société des chemins de fer du Congo (SNCC), de Congo Airways ainsi que les opérateurs privés des vols commerciaux et cargos comme Serve Air ou encore CAA pour les vols commerciaux.

La problématique sur la question de facilitation d’accès au tarmac et autres sites aéroportuaires durant les opérations de réception, de déchargement et du déploiement du matériel électoral dans les différents entrepôts de la CENI à travers toute l’étendue du pays était au menu de la séance de travail.

En faisant la restitution de cet échange, le Questeur adjoint de la CENI a relevé les points essentiels : ” la question de la mobilité du personnel et du matériel de la CENI préoccupe le Président Denis Kadima Kazadi. Raison pour laquelle il a saisi le Ministre des Transports pour solliciter une facilitation d’accès au tarmac de notre personnel et nos engins parce que la CENI va réceptionner à partir du mois de septembre un lot important des matériels électoraux. Cela constituera une grande quincaillerie que nous allons manipuler, c’est-à-dire réceptionner, décharger et déployer dans nos entrepôts principaux et secondaires jusqu’aux différents sites de vote”.

Avant de renchérir : “Le Ministre a jugé nécessaire d’associer les transporteurs ainsi que les compagnies aériennes pour qu’on puisse harmoniser nos vues. Et en sortant de cette réunion, nous sommes satisfaits parce que tout le monde a compris la préoccupation de la CENI étant donné que nous aurons les matériels sensibles que nous ne devons pas exposer aux intempéries une fois réceptionnés”.

En somme, le Ministre des Transports s’est montré réceptif en montrant la priorité de la mission de la CENI qui consiste à organiser les élections transparentes, crédibles et inclusives pour l’intérêt supérieur de la nation.




Félix Tshisekedi pose la pierre pour la construction du nouveau bâtiment de la Cour Constitutionnelle

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a posé la pierre pour le démarrage des travaux de construction du nouveau bâtiment de la Cour Constitutionnelle qui vont prendre 10 mois et sont financés par le gouvernement congolais avec un appui financier du PNUD.

En posant la première pierre de construction de cet édifice, le magistrat suprême veut donner à la plus  haute instance judiciaire du pays des espaces de travail qui lui permettent de mieux  exercer sa mission de juge constitutionnel.

Le nouveau siège de la  Cour constitutionnelle a la forme pyramidale inspirée du volcan Nyragongo, selon l’architecte.

“En optant pour cette architecture, nous avons voulu valoriser le relief volcanique de notre pays et mettre en exergue le caractère exceptionnel des décisions prises par la Cour Constitutionnelle “, a précisé l’architecte.

Situé au quartier Royal dans la commune de Gombe, le siège de la Cour Constitutionnelle comprend une grande salle d’audiences, des bureaux et d’autres espaces de travail répartis sur 4 étages.

Prenant la parole à cette occasion, le président de Cour Constitutionnelle, Dieudonné Kamuleta, a remercié le Président de la République pour l’impulsion qu’il vient de donner en procédant à la pose de la première pierre.

Issue de l’éclatement de la Cour Suprême de Justice à la suite de la réforme du pouvoir judiciaire, la Cour Constitutionnelle exerce le pouvoir de juge constitutionnel.