Rose Mutombo échange avec une délégation de la Commission de l’Onu sur le commerce et le développement

Mme Rose Mutombo Kiese, ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, a accordé une audience ce lundi 28 août 2023, à une équipe de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement à son cabinet de travail au Palais de Justice à Kinshasa-Gombe. La délégation a été conduite par son administrateur des Affaires économiques, service des politiques de la concurrence et des consommateurs, Division du commerce international et des produits de base, Yves Kenfack.

Cette équipe mène une mission d’évaluation de dispositif institutionnel et réglementaire de la République Démocratique du Congo en vue de promouvoir la concurrence et la protection des consommateurs. Durant tout le séjour à Kinshasa, la délégation des experts des Nations Unies qui se fait accompagner de coordonnateur national de la Commission Nationale de la Concurrence de la RDC, Freddy Nsimba Luzolo, va rencontrer les parties prenantes importantes et pertinentes qui sont impliquées dans la conception et la mise en œuvre des dispositifs de la concurrence et de la protection des consommateurs.

« Nous venons de rencontrer  la ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Rose Mutombo Kiese, qui est la présidente du comité des lois en République Démocratique du Congo et dont les actions permettront d’encadrer tout le travail que nous faisons avec la Commission nationale de la Concurrence de la RDC », a insisté Yves Kenfack.

Cette mission fait suite à la demande expresse du gouvernement de la République Démocratique du Congo qui a été formulée à la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement après une assistance qu’elle a préalablement apporté au gouvernement congolais dans le cadre d’un programme régional sur le renforcement de la concurrence et la protection des consommateurs en Afrique Centrale et qui avait été déployée entre 2017 et 2029.

C’est à la suite du travail commencé dans le cadre de ce programme que nous avons été sollicités par le gouvernement congolais pour poursuivre ce travail en vue de développer et consolider le dispositif et pour promouvoir la concurrence et la protection des consommateurs en République Démocratique du Congo.

Ce dispositif est en cours d’élaboration en République Démocratique du Congo. Un texte a été élaboré dans le domaine de la concurrence en 2018. En ce qui concerne la protection des consommateurs, le texte qui a été élaboré est actuellement dans le circuit de la Chambre basse et de la Chambre haute du parlement en vue de son examen et son adoption dans les tout prochains mois.

BM




Kinshasa : Sama Lukonde lance la 55ème session des ministres de la Justice de l’OHADA

Le Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde, a au nom du chef de l’Etat, ouvert les travaux de la 55ème session du Conseil des ministres de la Justice de l’OHADA qui tient dans la ville de Kinshasa avec la participation de 17 pays membres en présentiel et en visioconférence.

“Aujourd’hui, nous nous retrouvons pour honorer les trois décennies d’engagements envers l’harmonisation du droit des affaires en Afrique et pour tracer une voie audacieuse vers un avenir pour la convergence juridique et la prospérité économique ne font qu’un”, a-t-il déclaré.

Mme Rose Mutombo Kiese, ministre d’État, ministre de la Justice et Garde des Sceaux de la République Démocratique du Congo et Présidente en exercice du Conseil des ministres de l’OHADA, a commencé son allocution par rendre hommage à Félix-Antoine Tshisekedk Tshilombo, Président de la République et Président en exercice de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’OHADA, “pour qui l’amélioration du climat des affaires constitue le gage du développement des Etats, vision qui cadre parfaitement avec les objectifs de notre organisation communautaire.

Son engagement, depuis sa prise de mandat à la tête de notre organisation communautaire est un réel motif d’espoir pour l’accélération de l’intégration économique au sein de l’Afrique’.

Elle a adressé ses sincères remerciements au Premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde, qui a toujours répondu favorablement à ses sollicitations chaque fois qu’elle a eu à organiser des réunions de cette envergure.

“La présence du Premier ministre, en dépit de ses nombreuses et lourdes charges d’Etat, démontre à suffisance sa ferme volonté d’accompagner la mandature de la RDC à la tête de l’OHADA, mais aussi de concrétiser l’un des objectifs du programme du Gouvernement. C’est aussi l’occasion pour la ministre d’Etat de remercier les responsables des Institutions de l’OHADA et l’ensemble du personnel de cette organisation commune, qui n’ont ménagé aucun effort pour faire avancer l’agenda d’intégration juridique au service du développement inclusif.

« Point n’est besoin de rappeler l’objectif ultime de notre Organisation, à savoir, celui de matérialiser l’intégration juridique et de favoriser un environnement propice aux affaires dans notre continent. Ainsi, tous les Etats membres sont appelés à concourir à cet objectif qui permettra à notre continent de se positionner en leader en matière d’uniformisation du droit des affaires. Je reste convaincue que ces assises nous permettront de contribuer à l’atteinte de cet objectif”.

Beaucoup de points à l’ordre du jour

Au cours de cette session, les participants vont examiner plusieurs points cruciaux inscrits à  l’ordre du jour, reflétant leur engagement collectif à renforcer le cadre juridique dans lequel les économies des pays membres opèrent et à améliorer la gouvernance au sein de cette organisation commune.

« Il s’agit notamment du projet de modification de l’Acte uniforme portant organisation des procédures simplifiées de recouvrement et des voies d’exécution. Cette initiative témoigne de notre engagement à rendre le processus de recouvrement plus efficace et plus transparent ; ce qui est essentiel pour garantir la confiance dans nos systèmes commerciaux. Nous allons par ailleurs faire le point sur l’évolution du processus de révision du Traité OHADA, une étape cruciale pour nous assurer que notre cadre institutionnel reste adapté aux défis et aux opportunités en constante évolution ».

De même, au cours de ces travaux, les participants examineront le processus d’élaboration du Statut des Juges de la CCJA qui renforcera sans nul doute la qualité du système judiciaire des Etats membres, assurant ainsi la crédibilité des décisions juridiques.

Par ailleurs, un point d’honneur devra également être réservé à la redynamisation du système d’arbitrage de la CCJA et la création d’une unité de suivi-évaluation du droit OHADA, étapes importantes pour garantir que notre organisation commune fonctionne de manière transparente et efficiente”, a souligné la ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Rose Mutombo Kiese.

Elle a également évoqué la situation du personnel de l’OHADA qui est caractérisée notamment par les intérims prolongés et des vacances de postes ainsi que divers autres points seront également examinés durant nos assises.

“Instituée par le Traité du 17 octobre 1993 signé à Port-Louis, notre organisation va totaliser 30 ans d’existence dans exactement 51 jours. Il va de soi que le point relatif à la préparation de cet anniversaire soit évoqué. Cet événement, soulignons-le, est une occasion mémorable de célébrer nos réalisations passées et de tracer la voie pour les réalisations futures”, a-t-elle déclaré.

Pour la ministre d’Etat, ministre de la Justice et Garde des Sceaux, cette réunion est une opportunité pour les participants de contribuer activement à façonner le futur du droit des affaires en Afrique. Les délibérations approfondies qu’ils auront joueront un rôle essentiel dans leur quête commune d’un développement économique durable.

“Il ne me reste plus qu’à nous exhorter à des discussions fructueuses. Nos perspectives et nos idées sont essentielles pour guider notre organisation commune vers un avenir où le droit des affaires en Afrique est à la fois solide et adaptable”, a-t-elle ajouté.

Le secrétaire permanent, Emmanuel Darankoum est revenu sur son bilan à son avènement à la tête de l’OHADA en 2019. Il a parlé des points forts et des points faibles que cette organisation a traversé pendant la période de Covid-19 et la crise sécuritaire dans la région. Les finances de l’organisation qui étaient au rouge sont désormais au vert grâce à la contribution des Etats membres et des organisations internationales qui commencent à s’intéresser à l’OHADA.

BM




COMBAT SPIRITUEL/ DU MARDI 29 AOUT 2023/AVEC LE PAST.FRANCOIS MUTOMBO VH




Baromètre d’Idiofa : Voici le Top 10 des personnalités les plus populaires

L’enquête a été réalisée par Sangol, une structure spécialisée en Communication, sondage d’Opinion et information  d’avril  en  août 2023 dans un contexte totalement électoral où le territoire d’Idiofa comme circonscription électorale vient d’enregistrer près de 340 candidatures à la députation nationale pour 6 fauteuils au Parlement.

Et ce, au moment où la circonscription  venait elle-même d’être amputée de trois sièges, soit un  au niveau national et deux sièges pour les provinciales.

Ce sondage a été effectué auprès d’un échantillon de 2000 personnes représentatif de la population du territoire d’Idiofa âgée de 18 ans ou plus en raison de 122 sondés par secteur dont Banga, Belo, Bulweme, Kalanganda, Kapia, Kipuku,  Madimbi, Mateko,  Musanga, Kanga,  Sedzo, et Yasa-Lokwa ) et 186 dans chaque grande cité dont Idiofa le chef-lieu, Dibaya et Mangay.

Librement, la population d’Idiofa s’est exprimée sur les personnalités politiques, les leaders de la Société civile, charismatiques, des opérateurs culturels et même sur certains leaders d’opinion qui disposent de l’influence sur la vie territoriale. Bref, la population d’Idiofa a émis son opinion sur ceux  de qui elle prétend attendre des solutions pour un changement global et intégral de son vécu quotidien, même si la résolution des problèmes reste l’apanage de l’Etat.

« Sangol » qui est un Centre d’analyse et d’évaluation des actions à impact visible pour le Développement a réalisé ce sondage de manière objective afin d’obtenir son opinion sur les personnalités qui ont marqué la vie de cette population entre avril et août 2023.

Au-delà d’un nombre considérable d’obstacles liés aux difficultés de langage, les personnes sondées ont soutenu leur opinion sur quelques facteurs d’appréciation parmi lesquels, les actions à impact visible dans différents domaines du développement,  la formation de l’homme, les infrastructures, l’éducation, l’eau, la santé, l’énergie, l’assistance, le rapprochement avec la base, le leadership et les capacités managériales susceptibles d’apporter des solutions durables aux différents problèmes des  communautés locales.

En attendant le dernier sondage prévu d’ici début décembre, voici le Top 10 de personnalités qui ont marqué cette deuxième partie de l’année 2023.

Hugues Pulusi Eka

Jeune Manager, Avocat au Barreau de Kinshasa Matete, Hugues Pulusi mène toujours la barque et vient en  tête du peloton avec 75,2%  d’opinions favorables, surtout dans les milieux des jeunes. Très effacé ce dernier temps, il a travaillé en sourdine à Idiofa à travers sa Fondation et demeure une personnalité la plus populaire d’Idiofa grâce aux actions menées par sa Fondation  à travers les bourses d’études à près de 200 jeunes nouvellement diplômés qui se sont distingués dont 15 lauréats  identifiés avec de 70% ou plus, ainsi qu’à ceux qui ont obtenu plus de 65% aux Examens d’État.

Ces boursiers seront tous pris en charge par la Fondation Hugues Pulusi Eka dans les universités de Kinshasa pour certains et dans différents instituts supérieurs d’Idiofa pour d’autres. Ce geste philanthropique de grande envergure sur la formation et la relève est une première dans l’histoire du Kwilu et lui confère beaucoup d’opinions favorables.

Selon les sondés, la population d’Idiofa se dit aussi séduite par les actions à impacts visible, notamment  le projet d’adduction d’eau potable  à travers les forages d’eau dans différents secteurs donc l’engin  (véhicule moderne) est immobilisé sur la 7e rue, place commercial de Limete en partance pour Idiofa. Déjà en juin, 3 générateurs de 10 KVA chacun ont été acheminés à Idiofa pour pérenniser la fourniture en eau pour les forages déjà réalisés afin d’éviter la rupture faute d’énergie.

Le public sondé voit en Hugues Pulusi Eka un vrai et meilleur  défenseur de ses intérêts à travers ces projets de grande envergure d’intérêt vital surtout pour les populations vivant dans le milieu rural.

Dhedhe Mupasa

Député national, Dhedhe Mupasa  est l’un des 7 sept élus d’Idiofa marquant indélébilement la population avec une côte favorable de 74 %.  Les sondés estiment qu’il incarne réellement une vision pour le développement d’Idiofa. Dans son actif, la population se dit satisfaite de la réhabilitation de plusieurs routes de desserte agricole, le financement du cantonage manuel pour l’entretien de ces routes,  l’installation de l’antenne de l’Institut national  pour l’étude et la recherche agronomique (INERA) à Mbala ,  la construction des 2 grands centres de formation professionnelle à  Sedzo, la construction du Centre informatique et centres d’apprentissage des métiers assorti d’autres activités sportives, culturelles et sociales au profit des jeunes désœuvrés dans la cité d’Idiofa qui ouvrira ses portes bientôt, la réhabilitation et l’équipement des plusieurs centres hospitaliers, la construction des bâtiments modernes pour plusieurs écoles notamment dans la Commune rurale de  Mangai.

Dans le cadre de son association socio-culturelle Bana Ama, Dhedhe Mupasa s’est investi dans la promotion de la culture, des valeurs et de la Jeunesse avec l’installation des radios communautaires à Mokala et Dibaya pour promouvoir le vivre en commun.  Le député Dhedhe Mupasa garde toujours sa popularité intacte.

Aubin Minaku

Trois fois élu, la majorité des sondés l’ont qualifié leader intemporel.  Sa côte de popularité est montée en flèche ces derniers jours depuis la loi sur la répartition des sièges qui ampute la circonscription électorale d’Idiofa de trois sièges. Pour la plupart de Fadiolais, Aubin Minaku est celui qui usait de son influence, son poids et son leadership politique afin de manager politiquement pour que Idiofa maintienne ses sièges intactes tout en mettant des moyens financiers non seulement pour la sensibilisation à l’enrôlement, mais aussi le suivi, interpellant le personnel de la CENI afin de donner à Idiofa les mêmes chances que d’autres circonscriptions électorales.

Par ailleurs, la population est revenue avec satisfaction sur la construction de la route asphaltée, la construction de plusieurs bâtiments servant d’auditoires notamment à l’ISTM IPAMU et l’ISP  Kipuku en facilitant la mécanisation avec salaire des centaines de  fonctionnaires sur l’étendue du territoire, sans parler de la création dans l’enseignement primaire, secondaire et technique de la sous division d’idiofa 3  avec ses lots importants d’engagés.

A ce jour, le territoire d’Idiofa dispose d’une direction de l’institut national de préparation professionnelle (INPP) et  de la Caisse nationale de sécurité sociale qui permet actuellement à tous les retraités de toucher leurs dus. Et subsidiairement, Aubin Minaku s’est battu pour ramener une banque privée qui, aujourd’hui, paye l’ensemble des fonctionnaires  de l’Etat sans parcourir des nombreux Km comme dans d’autres Provinces de la RDC. C’est ici l’occasion pour toutes ces familles des fonctionnaires de dire merci à Aubin Minaku, disent les sondés.

Fervent catholique, cet enseignant de l’université a reçu dernièrement les hommages de tous les chrétiens et la bénédiction des pères de l’Église pour la construction de  la cathédrale de la paroisse de Koshibanda dans le secteur de Belo sur fonds propres. Selon plusieurs  personnes sondées, personne ne l’a fait à l’exception de maman Olive Lembe Kabila dans le Nord-Kivu.

Les actions d’intérêt général et communautaire sont très nombreuses comme la création de 5 radios communautaires locales dans la cité d’Idiofa, à Kalo, Mangai, Kipuku et Panu, l’éclairage public au grand marché d’Idiofa  sans évoquer les forages d’eau réalisés pour l’intérêt des Fadiolais toute tendance confondues.

La plupart des sondés estiment que toutes ces actions méritent reconnaissance de la part de la population et remettent le pendule dans l’air.

 

Papy Labila

Ce jeune Juriste et Conseiller juridique au ministère  des Infrastructures, Papy Labila est le plus jeune leader qui a créé l’unanimité entre les populations d’Idiofa. Grace aux actions menées par sa fondation, plus d’un millier des ménages  d’Idiofa ont  aujourd’hui accès à l’eau potable gratuitement, réduisant au maximum les risques de contamination aux germes des maladies hydriques.

Les sondés se disent en outre très flattés par la production et la récolte  de plusieurs tonnes de maïs  que la Fondation a mis à la disposition de la population à vil prix afin de résorber la crise que vit cette population depuis plusieurs mois. Un projet vital que papy Labila souhaite installer dans chaque grande agglomération de tous les secteurs.

Au sujet des infrastructures, la population d’Idiofa, toute tendance confondue se dit satisfaite par ses nombreux plaidoyers au niveau des décideurs politiques qui ont abouti aujourd’hui au lancement des travaux de la  réhabilitation de  la RN 20 tronçon Ingudi –Idiofa-Bokonda et Bokonda-kapia. La population se dit très confiant en ce  jeune leader car cette route permettra non seulement de désenclaver Idiofa mais permettra aux paysans de tous les secteurs d’évacuer leurs produits agricoles vers les centres Kikwit et Kinshasa aux moindres couts.

Très engagé pour l’intérêt des populations d’Idiofa, Papy Labila s’est battu pour obtenir du VPM en charge de la Fonction publique les assurances pour la régularisation de la situation des NP et la mécanisation des NP du territoire d’Idiofa.  A ce jour, les NU et les NP peuvent retrouver leur sourire grâce à ce porte-voix de la population.

Par ailleurs, les sondés ont appris avec joie son plaidoyer auprès de Cobil pour la construction d’une station moderne à Idiofa qui aura comme conséquence la réduction du coût du carburant pour tous.

Dans le lot des actions de Papy Labila et sa fondation s’ajoute aussi l’aide et l’assistance aux démunis et aux jeunes désœuvrés ainsi que le soutien à la police du territoire d’Idiofa. Il est présenté comme le jeune le plus influent du Territoire d’Idiofa.

Dans le Top 10, figure également le député provincial Egide Wawene, le sénateur Sacré Lanfel Inioki, le Député Richard Ndambu,  le professeur Jean de Dieu Minengu, la DGA des Lignes Maritimes Gisèle Mbwansiem Mupa ainsi que le député national Boris Mbuku.




Guy Loando invité d’honneur au lancement des travaux de la nouvelle ambassade américaine à Kinshasa

En présence du ministre d’État Guy Loando Mboyo, Lucy Tamlyn a lancé officiellement les travaux de construction de la nouvelle ambassade américaine à Kinshasa.

La cérémonie a été honorée par la participation de Guy Loando Mboyo en tant qu’invité d’honneur de l’Ambassade des États-Unis en République Démocratique du Congo.

« Nous sommes ravis de constater l’engagement continu des États-Unis envers notre pays. La construction de cette nouvelle ambassade témoigne de leur investissement à long terme dans notre développement mutuel », a déclaré le ministre d’Etat, Guy Loando Mboyo.

« Nous appelons à la poursuite et au renforcement de nos relations bilatérales, afin de promouvoir la paix, la prospérité et la coopération dans divers domaines. »

Après 65 ans, la construction de cette nouvelle ambassade marque un jalon significatif dans les relations diplomatiques entre les deux pays. Cette initiative témoigne de l’engagement de l’administration américaine à fournir des services de qualité à la communauté américaine et aux citoyens congolais.

Le nouveau bâtiment, qui sera inauguré en 2028, représente l’engagement durable des États-Unis envers la République Démocratique du Congo. Il symbolise non seulement l’intérêt continu des États-Unis pour le pays, mais renforce également la volonté de devenir un partenaire stratégique solide pour la République Démocratique du Congo.

Les États-Unis restent déterminés à contribuer au développement et à la prospérité de la République Démocratique du Congo, en collaborant étroitement dans divers domaines d’intérêt

mutuel.




À l’UDPS, le retour à la légalité est irreversible

Pour nous les combattants historiques, qui ont intériorisé les enseignements de notre Me Étienne Tshisekedi Wa Mulumba, la constance et le respect des textes, sont la clef du succès. La non-violence est la forme de lutte, difficile certes car elle vous demande des sacrifices, des privations des libertés, des emprisonnements arbitraires et autres tortures morales et physiques de la part des régimes dictatoriaux d’hier et aujourd’hui, de la part, de nos collègues combattants d’hier.

Les fédéraux légalistes du parti, et tous les autres oubliés du pouvoir actuel, les frustrés qu’on les appelle, ont connu toutes ces exactions de la part de la” hiérarchie “et de celui qui se nomme impudiquement” présidence “du parti.!

Aujourd’hui, le Président de l’UDPS élu au deuxième congrès extraordinaire, dans le respect des statuts, M. Hubert Mukuna Kabongo, est gardé au Parquet général de Matete, au motif de propagation de faux bruits ! .

Le système, le circuit et ses agents sont connus. Ils ont tous leurs bureaux sur boulevard Lumumba, le tronçon Echangeur de Limete, 10ieme rue et une autre ème rue Limete. De nombreux légalistes ont fait ce chemin de la croix qui les ont tous acheminé à la prison de Makala, le golgota. Le Président honoraire de la Convention Démocratique du Parti, CDP en sait quelque chose.

La plume, comme montrent les armoiries du parti, est notre arme. D’autres en moudjaidin patenté et forces du progrès se nomment AK47, faute de cerveau bien fait.

Hier, sous notre plume, nous nous demandions : À QUAND L’ETAT DE DROIT EN RDC.?

Aujourd’hui, nous avons la réponse, un haut cadre magistrat a été limogé.

Merci Monsieur le Président de la République.

La force est à la loi.

La corruption est une antivaleur à laquelle se livre la hiérarchie, elle ne marche pas à tous les coups. Vous avez amené errer l’Udps dans le désert, pendant cinq ans !

Lisez les signes du ciel, Il n’est plus avec vous !

Le temps de chargement a sonné et inexorable.

Nous vous convions à une passation civilisée du pouvoir.

Dr TAMBWE MBUYI MANU , Combattant

historique.

 




Le PAM dénonce de multiples procédures de dédouanement très lourdes lors du transport de nourriture à travers les frontières internationales

Le PAM opère dans un environnement extrêmement difficile et il adapte et modifie ainsi ses opérations selon les besoins, à condition que les ressources y afférentes soient disponibles.

Les risques sécuritaires posés par les groupes armés non étatiques créent des contraintes d’accès sur les principales routes d’approvisionnement. La capacité du PAM à atteindre certaines communautés qui en ont le plus besoin se trouve donc être limitée.

Cela est particulièrement vrai pour les programmes d’urgence et de nutrition du PAM à Rutshuru et Masisi, au Nord-Kivu et dans une grande partie de l’Ituri. Les restrictions de mouvement, y compris les barrages routiers illégaux, ont également un impact sur les coûts de nourriture et de transport, en particulier sur les routes menant aux terres agricoles ou aux marchés, perturbant ainsi la disponibilité alimentaire dans les zones touchées.

En conséquence, les familles sont parfois contraintes de recourir à des mécanismes d’adaptation périlleux pour trouver de l’argent et de la nourriture, ce qui entraîne souvent des risques en matière de protection. La violence basée sur le genre, parmi autant d’autres risques en matière de protection, constitue un défi supplémentaire dont le PAM doit tenir compte dans ses efforts de réponse. Par exemple, la protection des femmes et des filles lorsqu’elles ramassent du bois d.e chauffe pour cuisiner reste une préoccupation majeure

Le PAM est confronté à de multiples procédures de dédouanement très lourdes lors du transport de nourriture à travers les frontières internationales, ce qui retarde sa réponse humanitaire car la présence d’un groupe armé non étatique au Nord-Kivu et en Ituri oblige le PAM à traverser plusieurs pays voisins pour atteindre les sites de distribution.

Les livraisons du PAM sont également fortement impactées par d’autres problèmes de transport. Il s’agit notamment de mauvaises infrastructures routières, de conditions météorologiques extrêmes et de ressources.




Le PAM a besoin de 11 millions de dollars pour traiter les femmes et les enfants souffrant de malnutrition aiguë dans 47 zones de santé

Les programmes de traitement et de prévention de la malnutrition du PAM sont essentiels dans les zones de conflit et de déplacement, où les familles ont du mal à trouver une nourriture saine pour leurs enfants. Cependant, le PAM est confronté à de graves déficits de financement, ce qui a un impact sur ses activités de nutrition.

Le PAM projette d’assister 144 000 femmes et enfants dans le cadre du programme de traitement de la malnutrition aiguë modérée (MAM), tandis que 215 000 femmes et enfants sont ciblés par son programme de prévention de la malnutrition dans les provinces du Sud-Kivu, du Nord-Kivu et de l’Ituri pour la durée de l’intensification des activités du PAM jusqu’à décembre 2023. Entre janvier et juin, le PAM a aidé 66 000 enfants et femmes en moyenne par mois grâce à des programmes d’urgence de traitement et de prévention de la malnutrition dans ces trois provinces de la RDC. Grâce à l’augmentation de ses capacités, ce chiffre est passé en juillet dernier à 100 000 femmes et enfants.

Début 2024, les besoins en soutien nutritionnel devraient rester élevés. C’est pourquoi le PAM a besoin de 11 millions de dollars pour les six prochains mois jusqu’en janvier 2024, pour traiter les femmes et les enfants souffrant de malnutrition aiguë dans 47 zones de santé réparties dans les trois provinces. En outre, compte tenu du caractère dynamique des conflits et des déplacements dans l’est de la RDC et qui sont en constante évolution, le PAM travaille avec le Cluster Nutrition et ses partenaires en utilisant des enquêtes nutritionnelles et d’autres sources de données pour mettre à jour de manière permanente la compréhension des besoins et ajuster les plans d’action et les plans de priorisation en conséquence.

Alors que les ressources destinées au traitement de la malnutrition sont déjà insuffisantes pour répondre aux besoins existants, le programme de prévention de la malnutrition qui l’accompagne est encore plus gravement sous-financé, nécessitant 18 millions de dollars entre août et janvier 2024.

Investir dans la prévention de la malnutrition n’est pas seulement important pour la santé des mères et des enfants, mais présente également des avantages à long terme en évitant que les mères et/ou les enfants ne reviennent pour un traitement contre la malnutrition aiguë. De plus, la prévention est plus rentable que le traitement.




De graves déficits de financement limitent la portée de l’intervention du PAM 

Au cours du premier semestre 2023, le PAM a fourni une aide alimentaire, monétaire et nutritionnelle d’urgence à environ un demi-million de personnes par mois dans le Nord-Kivu, le Sud-Kivu et l’Ituri.

Grâce à la capacité supplémentaire mise en place grâce à l’intensification de ses opérations, le PAM a aidé 748 000 personnes en juin et 1 230 000 personnes en juillet avec une aide en espèces, en nature et nutritionnelle. Ces chiffres auraient pu être plus élevés si davantage de ressources avaient été disponibles.

En ce mois d’août, le PAM continue de se focaliser sur l’intensification de l’assistance en espèces, étant donné que ses stocks de produits alimentaires sont faibles. L’objectif affiché étant d’atteindre 1 million de personnes avec des distributions de l’aide en espèces en août, tandis que 500 000 personnes supplémentaires recevront de l’aide alimentaire en nature. Pour garantir que les bonnes personnes reçoivent l’assistance à laquelle elles ont droit, le PAM a lancé un vaste exercice d’enregistrement biométrique. Au stade actuel, près d’un million de personnes ont été enregistrées biométriquement depuis le début de l’intensification des opérations.

De graves déficits de financement limitent la portée de l’intervention du PAM alors que, selon les plans de ce dernier dans le cadre de l’intensification de ses opérations, environ 3,6 millions de personnes ont besoin d’une aide alimentaire chaque mois au moins jusqu’à la fin de l’année.

À partir d’octobre, le PAM souhaite accroître ses distributions alimentaires en nature dans les trois provinces touchées par le conflit, suite à l’arrivée prévue davantage de ressources alimentaires. Ces produits seront livrés progressivement au fur et à mesure des cycles de distribution.

Malheureusement, cette arrivée de nouveaux stocks alimentaires coïncide avec une réduction drastique des fonds disponibles pour les distributions monétaires, de sorte que le nombre total de personnes assistées ne pourra augmenter que si davantage de fonds sont obtenus.

Le PAM vise à maintenir une flexibilité programmatique de ses modalités d’assistance en espèces et en vivres en fonction des ressources disponibles.




Nord-Kivu, Sud-Kivu et Ituri : Le PAM a besoin de 567 millions de dollars pour répondre aux besoins les plus urgents à une plus grande échelle au cours des six prochains mois

Dans les provinces de l’Est de la RDC, le Nord-Kivu, le Sud-Kivu et l’Ituri, 6,7 millions de personnes sont confrontées à une insécurité alimentaire aiguë. Il s’agit d’une zone fortement en proie au conflit et à l’insécurité et dont la situation est particulièrement désastreuse, affectant non seulement les personnes déplacées par le conflit, mais aussi une grande partie de la population locale.

Pour faire face à cette crise humanitaire multidimensionnelle, une intensification des opérations et une révision du niveau de la crise à l’échelle du système des Nations Unies a été déclarée dans ces trois provinces de l’Est. Pourtant, les ressources restent désespérément faibles pour répondre aux besoins humanitaires, du reste extrêmement élevés.
Le PAM maintient son assistance sur le terrain et intensifie ses opérations pour augmenter progressivement le nombre de personnes bénéficiant d’une aide alimentaire et en espèces. Cependant, les besoins croissants mettent à rude épreuve une opération déjà gravement sous-financée et peu prise en compte.
L’aide du PAM est cruciale à environ 3,6 millions de personnes dans ces provinces en constante expansion. Par ailleurs, les ressources ne suivent pas et sont indisponibles pour répondre à tous les besoins de cette population.
Compte tenu du déficit actuel en termes de ressources, et tout en donnant une grande priorité à l’aide en espèces, le PAM a déjà du mal à répondre aux besoins des 1,5 million de personnes déjà enregistrées. Si aucun financement supplémentaire n’est reçu, le PAM sera contraint de réduire considérablement le nombre de personnes vulnérables, dont les femmes et les enfants en situation d’insécurité alimentaire qu’il compte assister d’ici octobre.
A cet effet, le PAM lance un appel urgent de 567 millions de dollars en vue de répondre aux besoins les plus urgents dans les trois provinces, à une plus grande échelle au cours des six prochains mois, soit d’août 2023 à janvier 2024.
Des ressources prévisibles et flexibles sont nécessaires de toute urgence, car elles donnent au PAM la capacité non seulement d’augmenter le nombre de personnes dans le besoin qu’il assiste, mais également de garantir l’agilité et la rapidité de l’intervention du PAM compte tenu de la situation sécuritaire et humanitaire fragile.

De graves déficits de financement limitent la portée de l’intervention du PAM

Au cours du premier semestre 2023, le PAM a fourni une aide alimentaire, monétaire et nutritionnelle d’urgence à environ un demi-million de personnes par mois dans le Nord-Kivu, le Sud-Kivu et l’Ituri.
Grâce à la capacité supplémentaire mise en place grâce à l’intensification de ses opérations, le PAM a aidé 748 000 personnes en juin et 1 230 000 personnes en juillet avec une aide en espèces, en nature et nutritionnelle. Ces chiffres auraient pu être plus élevés si davantage de ressources avaient été disponibles.
En ce mois d’août, le PAM continue de se focaliser sur l’intensification de l’assistance en espèces, étant donné que ses stocks de produits alimentaires sont faibles. L’objectif affiché étant d’atteindre 1 million de personnes avec des distributions de l’aide en espèces en août, tandis que 500 000 personnes supplémentaires recevront de l’aide alimentaire en nature. Pour garantir que les bonnes personnes reçoivent l’assistance à laquelle elles ont droit, le PAM a lancé un vaste exercice d’enregistrement biométrique. Au stade actuel, près d’un million de personnes ont été enregistrées biométriquement depuis le début de l’intensification des opérations.
De graves déficits de financement limitent la portée de l’intervention du PAM alors que, selon les plans de ce dernier dans le cadre de l’intensification de ses opérations, environ 3,6 millions de personnes ont besoin d’une aide alimentaire chaque mois au moins jusqu’à la fin de l’année.
À partir d’octobre, le PAM souhaite accroître ses distributions alimentaires en nature dans les trois provinces touchées par le conflit, suite à l’arrivée prévue davantage de ressources alimentaires. Ces produits seront livrés progressivement au fur et à mesure des cycles de distribution.
Malheureusement, cette arrivée de nouveaux stocks alimentaires coïncide avec une réduction drastique des fonds disponibles pour les distributions monétaires, de sorte que le nombre total de personnes assistées ne pourra augmenter que si davantage de fonds sont obtenus.
Le PAM vise à maintenir une flexibilité programmatique de ses modalités d’assistance en espèces et en vivres en fonction des ressources disponibles.