Taxe sur la superficie Forestière et sur le crédit carbone bénéficie : Six gouverneurs représentant toutes les 26 provinces de la Rdc en plaidoyer chez Sama Lukonde

Le Premier Ministre Jean-Michel Sama Lukonde a reçu en audience, dans la soirée du mardi 29 août 2023, une délégation de six gouverneurs représentant toutes les 26 provinces de la RDC, venus plaider pour que la Taxe sur la superficie Forestière et sur le crédit carbone bénéficie aux populations locales.

Au sortir de l’audience, la gouverneure de la province de Maï-Ndombe, Ritha Bola, qui a fait office de Porte-parole de la délégation a brossé, en quelques mots, la problématique de la gestion de la Taxe forestière et du crédit carbone qui demeure pour elle une question d’actualité pour les provinces concernées.

“Nous sommes ici six gouverneurs, représentant les 20 autres qui ne sont pas là. Nous sommes venus avant les élections pour parler au Premier Ministre des problèmes que nous rencontrons dans nos provinces. En l’occurrence celui du crédit carbone et de la superficie forestière”, a-t-elle renseigné.

Par ailleurs, Ritha Bola a souligné que le Chef du Gouvernement a promis de s’impliquer personnellement afin que ces problèmes soient résolus.




A 113 jours des élections : Le chronogramme des activités de sensibilisation des scrutins de décembre 2023 présenté à Didi Manara

Le 2e Vice-Président de la Commission Électorale Nationale Indépendante, (CENI), Didi Manara, a examiné les détails pour une meilleure application du chronogramme des activités de sensibilisation des scrutins de décembre 2023 à la Maison des élections.

Après avoir introduit cette séance de présentation qui a regroupé quelques cadres et agents de la Centrale électorale, le Directeur de cabinet adjoint, Jésus Longange, en a circonscrit le cadre.

Tandis que Idriss Katenga, Conseiller principal du Président Denis Kadima, en charge de la sensibilisation, s’est appliqué à livrer les rubriques du chronogramme des activités à la veille de la convocation, vendredi 1er septembre 2023, de l’électorat pour la Présidentielle. La réception des dossiers de candidature commencera le 9 septembre pour se clôturer le 8 octobre prochain. Rappelant l’ambition affichée par l’actuelle équipe de la CENI de mieux organiser les élections à venir.

Devant prendre effet dès le mois de septembre 2023, ces activités pour leur mise en œuvre se concentreront sur un intervalle d’au moins trois mois avec la poursuite des cadres de concertation avec notamment les partis et regroupements politiques. Elles débuteront par la conception et la production des supports y afférents précédant la formation des sensibilisateurs.

Relayé par le Directeur de la Sensibilisation, Désiré Molekela, qui s’est employé à présenter le descriptif des activités prévues dans ce cadre et l’appui à la société civile pour accompagner la CENI dans cet exercice qui débouchera sur les élections du 20 décembre 2023.

Didi Manara, après s’être imprégné de différentes activités prévues dans ce chronogramme pour lequel il a promis son implication pour une application sans faille, a livré ses impressions sur l’avènement de la Maison des élections.

« Lorsque nous avons un cadre comme celui-ci, nous ne pouvons que nous réjouir, à juste titre. Une Maison des élections est un outil par excellence de fluidité de contacts entre la CENI et toute la population congolaise qui est aujourd’hui intéressée par les élections, toutes les parties prenantes, les partis et regroupements politiques, bref tous les électeurs. Cette Maison des élections, c’est pour tout le monde.

Nous saluons cette initiative prise par le Président Denis Kadima pour que la population congolaise vienne se ressourcer, s’abreuver à la bonne source pour une meilleure information au lieu de se fier aux réseaux sociaux : la vraie information se trouve donc ici. Cette information électorale, elle, est dynamique et toujours d’actualité. Voilà pourquoi, nous demandons à tout le monde de venir s’y ressourcer. Les services ici sont permanents et je tiens à confirmer que la Maison sera ouverte toute la semaine, du lundi au samedi, nous serons présents ici : la documentation nécessaire sera disponible », a relevé le 2e Vice-Président.

« Le siège demeure le lieu où se trouvent concentrés, l’administration, les machines en plus du serveur central et la Maison des élections qui est une prolongation des activités existe pour des impératifs opérationnels. Le personnel qui est bien formé commis à la tâche pourra fournir le service qu’il faut au public qui sera certainement apprécié par la population. Je serai, personnellement permanent ici en étant bien évidemment entre les deux. Vous savez que nous sommes à 113 jours des élections et nous n’avons plus beaucoup de temps », a conclu Didi Manara.

En rappel, le Président Denis Kadima a lancé, mercredi 23 août 2023, les activités de la Maison des élections (située sur 54, avenue Kolwezi à Gombe) dont Marie Laure Yaone est la coordonnatrice du projet.




Gabon : des militaires annoncent l’annulation des résultats des élections et la dissolution des institutions

Un groupe de militaires gabonais a annoncé mercredi matin l’annulation des résultats des élections et la dissolution des institutions après l’annonce de la réélection du président sortant Ali Bongo Ondimba. Toutes les frontières du pays sont fermées jusqu’à nouvel ordre, selon eux.

Un groupe d’officiers de l’armée gabonaise est apparu mercredi matin à la télévision nationale et a décidé de “mettre fin au régime en place” en raison du manque de crédibilité des récentes élections générales et ont affirmé représenter toutes les forces de sécurité et de défense du Gabon.

Après avoir constaté “une gouvernance irresponsable, imprévisible qui se traduit par une dégradation continue de la cohésion sociale risquant de conduire le pays au chaos (…) nous avons décidé de défendre la paix en mettant fin au régime en place”, ont-ils indiqué. Ils ont lu leur déclaration au nom d’un “Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI)”.

“Toutes les institutions de la République sont dissoutes, notamment le gouvernement, le Sénat, l’Assemblée nationale, la Cour constitutionnelle, le Conseil économique, social et environnemental, le Centre gabonais des élections”, ont-ils signalé.

La présidence gabonaise et le gouvernement n’ont pas encore répondu à cette déclaration.

Le 26 août, les élections présidentielle, législatives et locales ont eu lieu à l’échelle nationale au Gabon. Ali Bongo Ondimba, du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir), briguait un troisième mandat contre 18 autres candidats.

Mercredi matin, le Centre gabonais des élections (CGE) a annoncé qu’Ali Bongo Ondimba avait été réélu avec 64,27% des voix. Son principal opposant, Albert Ondo Ossa, est arrivé deuxième avec 30,77% des voix




Procès Edouard Mwangachuchu : Les avocats rejettent en bloc les accusations du Ministère public et sollicitent l’acquittement de leur client

Après le réquisitoire du Ministère public la semaine dernière, sollicitant la peine de mort contre le député national pour l’infraction de trahison et participation à un mouvement insurrectionnel et détention illégale d’armes de guerre. L’audience de ce mardi 29 août a été consacrée à la plaidoirie des parties au procès.

Le collectif des avocats du député national étaient dans l’obligation de déployer tous les moyens possibles pour prouver devant la Cour l’innocence de leur client. Une audience de beaucoup d’enjeux pour la partie défenderesse. Prenant la parole à tour de rôle, les avocats du député national ont tenu à éclairer la Cour sur chacune des accusations du Ministère public et du côté de la Rdc, sur les griefs qui pèsent sur l’élu de Masisi qui lutte avec sa liberté depuis le mois de mars derrière sous le verrou.

Devant la Cour, le bloc Mwangachuchu a rejeté toutes les accusations portées contre leur client. Selon eux, le Ministère public n’a pu fournir au cours de ce procès, les éléments des preuves irréfutables de ses accusations contre Édouard Mwangachuchu Izi. Pour enrichir leur argumentaire, la partie défenderesse a évoqué plusieurs irrégularités constatées et aussi la demande de l’Officier du Ministère public qui consistait à la requalification de l’infraction d’espionnage qui est parmi les griefs majeurs qui pesaient sur lui et l’infraction de trahison. Profitant de cette sollicitation, la partie défenderesse a à son tour accusé le Ministère public de tourner dans la confusion en créant des fausses accusations.

Concernant d’autres accusations, notamment la participation à un mouvement insurrectionnel et détention illégale d’armes de guerre, le bloc des avocats du député national soutien que leur client n’est pas impliqué dans tout ce qui lui est reproché dans cette lancée. A cet effet, la partie défenderesse a sollicitée l’acquittement pur et simple de leur client qui selon eux est innocent.

Contraint par le temps, la Haute Cour Militaire a renvoyé l’audience pour le vendredi prochain pour la suite de cette partie et permettre aussi aux avocats du Commissaire principal Robert Mushamalirwa, un co-accusé dans cette même affaire de présenter leurs moyens de défense pour leur client. A noter qu’à présent, le député national Mwangachuchu est poursuivi pour trahison, participation à un mouvement insurrectionnel et détention illégale d’armes de guerre.




La justice canadienne condamne Zakaria Moumni

Le 27 juillet 2023, la Cour Supérieure du Canada, réunie à Montréal, a émis un jugement qui a abouti à la condamnation de Zakaria Moumni. Selon cette décision judiciaire, Z. Moumni se voit contraint de débourser la somme de 30 000 $ canadiens à M. Rachid Najahi. Celui-ci occupe le poste de directeur général au sein du Groupe Atlas Media. Cette restitution financière vise à compenser les torts occasionnés suite à la diffusion de propos diffamatoires proférés publiquement par Zakaria Moumni, selon un communiqué du Groupe Atlas Media.

Les origines de cette affaire remontent aux circonstances qui ont entouré la 7ème édition de la Fête marocaine de Montréal, tenue le 29 juillet 2022. Cette manifestation était sous l’égide de M. Najahi et du Groupe Atlas Media. Cependant, la festivité a été troublée par les commentaires offensants émis par Zakaria Moumni, lesquels visaient à la fois les participants d’origine marocaine et l’ensemble des individus présents lors de l’événement.

Zakaria Moumni avait notamment qualifié M. Rachid Najahi d’ »agent stipendié » du gouvernement marocain. De plus, il avait affirmé que la Fête marocaine était « une activité de propagande financée par le gouvernement ». Toutefois, les audiences devant la Cour ont prouvé de manière concluante que l’événement se finançait de manière autonome, n’ayant jamais bénéficié de subventions institutionnelles ou d’appui gouvernemental.

La Cour Supérieure du Canada a statué que Zakaria Moumni soit tenu de verser 20.000 $ à M. Rachid Najahi en compensation des atteintes portées à sa réputation, et de payer 10.000 $ à titre de dommages-intérêts punitifs.

Pour Rachid Najahi, « cette décision s’avère être une sauvegarde des droits et de la réputation des individus. »

Notons que Zakaria Moumni a également été mis en accusation pour agression physique à l’encontre de trois participants lors de la Fête Marocaine.




La justice canadienne donne une gifle à Zakaria Moumni

La Cour supérieure du Canada, dont le siège est basé à Montréal, a rendu, le 27 juillet dernier, un jugement condamnant Zakaria Moumni à verser 30.000 dollars canadiens à Rachid Najahi, directeur général du groupe Atlas Media, en réparation des préjudices causés par des propos infondés tenus publiquement.

L’affaire concerne les évènements ayant marqué la 7ème édition de la Fête marocaine de Montréal (à l’occasion de la Fête du Trône), organisée le 29 juillet 2022 par Rachid Najahi et le groupe Atlas Media, auquel ont pris part plus de 10.000 invités.

Zakaria Moumni avait perturbé la célébration en tenant des propos insultants envers les Marocains présents et les participants. Il avait notamment accusé Rachid Najahi d’être un «agent stipendié» du gouvernement marocain et affirmé que la Fête marocaine était «une activité de propagande financée par le gouvernement». Cependant, il a été démontré devant la Cour que cet évènement est autofinancé et n’a jamais reçu aucune subvention institutionnelle ou étatique.

Le verdict de la Cour supérieure du Canada est tombé fin juillet dernier, condamnant Zakaria Moumni à verser 20.000 dollars canadiens à Rachid Najahi pour atteinte à la réputation et 10.000 dollars de dommages-intérêts punitifs.

«Ce n’est pas l’argent qui m’intéresse. C’est une question de principe, de réputation et d’intégrité. Ça fait 31 ans que je vis au Canada, où je dirige un groupe de médias depuis 2001. Nous ne tolérons aucune atteinte à l’image des Marocains», souligne Rachid Najahi, contacté par Le360.

Et d’ajouter: «D’habitude, les procès pour diffamation au Canada prennent 4 à 5 ans avant d’être jugés. J’ai pris contact avec le juge pour le sensibiliser au comportement dangereux de Moumni, qui risquait de récidiver avec violence. D’où la décision d’activer l’instruction de ce dossier avant la sortie du verdict fin juillet dernier.»

Pour Rachid Najahi, la condamnation de Zakaria Moumni est aussi une leçon pour les spécialistes de la diffamation sur les réseaux sociaux qui, loin du Maroc, se croient protégés contre toute action judiciaire. «Le jugement souligne l’importance de la vérité et de la responsabilité dans la diffusion d’informations publiques», conclut le patron du groupe Atlas Media.

Notons enfin que Zakaria Moumni a également été accusé d’agression physique envers trois participants à l’évènement du 29 juillet 2022.

 

Par Ayoub Khattabi




Promotion de l’industrie du manioc en Rdc : Lancement des travaux préparatoires de l’atelier de validation des mesures gouvernementales incitatives  

Démarrage ce mardi à Kinshasa des travaux préparatoires de l’atelier de validation des mesures gouvernementales incitatives pour la promotion de l’industrie de la panification et de la pâtisserie à base de la farine de manioc panifiable, organisés par le Ministère de l’Industrie en collaboration avec le Fonds Social de la République.

Les experts des ministères sectoriels notamment l’Industrie, l’Agriculture et le Développement Rural, mais aussi ceux du Fonds Social de la République et d’autres structures réfléchissent sur la création des conditions incitatives à l’utilisation industrielle de la farine panifiable de manioc dans les boulangeries et pâtisseries en République Démocratique du Congo.

C’est donc un travail qui sera sanctionné par la mise en place d’une feuille de route de mise en œuvre de ces mesures. La promotion de la filière manioc doit relever l’économie de la République Démocratique du Congo, a fait entendre Philippe Ngwala, Coordonnateur du Fonds Social de la République

« Aujourd’hui, il s’agit de travailler sur les mesures gouvernementales incitatives sur la promotion de la farine du manioc panifiable, qui vont permettre en fait de pouvoir attirer le secteur privé à investir dans l’industrialisation du manioc », a-t-il indiqué.

L’adoption de la norme sur la farine panifiable de manioc dans la fabrication du pain et produits de la pâtisserie par la RDC va contribuer à la consolidation de la mise en œuvre du Plan Directeur d’Industrialisation, a ajouté Saturnin Wangwamba Mutshima, Secrétaire général à l’industrie qui a parlé au nom du ministre de l’industrie, Julien Paluku Kahongya

« Pour la première fois, nous avons une norme nationale congolaise qui ne statue que sur la farine de manioc panifiable. Avec cet outil, nous sommes capables de développer ce pays », rassure-t-il.

Signalons que ces travaux de 4 jours vont se clôturer le 1er septembre prochain.




Lutte contre la variole du singe : L’Union Européenne accorde une aide financière de 350.000 Euros à la Rdc

L’Union Européenne (UE) a annoncé, dans un communiqué parvenu, ce mardi 29 août 2023, à CongopresseNet, qu’elle accordera une aide financière d’un montant de 350 000 euros à la République Démocratique du Congo. Cette somme sera destinée à soutenir les efforts déployés par le pays pour faire face à l’épidémie de la variole du singe qui sévit actuellement dans le pays.

La variole du singe est une maladie virale grave et potentiellement mortelle qui affecte principalement les primates, y compris les humains. Elle se propage rapidement et peut avoir des conséquences dévastatrices sur la santé publique. La République Démocratique du Congo fait face à une augmentation alarmante des cas depuis ces derniers mois, nécessitant ainsi une intervention urgente.

« Outre le financement d’urgence pour la lutte contre la variole simienne, l’UE, qui a toujours aidé les populations vulnérables de l’Est de la RDC, a lancé, le 22 août 2023, une nouvelle phase du pont aérien humanitaire ouvert en début d’année pour Goma », peut-on lire dans ce communiqué.

D’après les informations reçues auprès de nos sources, le contrôle de cette pandémie a été renforcé depuis 2022 dans un centre de traitement de la Tunda dans la province de Maniema.

« Dans la province de Maniema, les capacités de détection et traitement des cas, et de contrôle de l’épidémie, ont été renforcées depuis mai 2022. Au Centre de Traitement de la Zone de Santé de Tunda, où 70% des cas et des décès concernent les moins de 15 ans, la provenance des patients met à jour cette année des foyers épidémiques dans de nouvelles zones auparavant non affectées », a indiqué la source.

Soulignons que le soutien financier apporté par l’Union Européenne témoigne de son engagement envers la République Démocratique du Congo dans sa lutte contre cette épidémie. Il s’agit d’une collaboration essentielle pour endiguer rapidement le virus et protéger la santé des populations touchées.

Il convient également de noter que l’aide financière accordée par l’Union Européenne permettra de renforcer les capacités médicales et logistiques dans le pays afin d’améliorer la surveillance, le diagnostic et la prise en charge des patients atteints de cette maladie. Elle contribuera également à sensibiliser la population sur les mesures préventives à prendre pour limiter sa propagation et protéger la santé des populations touchées.

Selon les dernières statistiques de l’Union Européenne, près de neuf mille cas et cinq-cents (500) décès dus à la variole de singe ont été signalés dans le monde depuis le début de l’année. Ces chiffres alarmants soulignent la gravité de cette maladie et mettent en évidence la nécessité d’une action rapide pour prévenir sa propagation.

Jean-Luc Lukanda




La 1ère édition de l’African Football League (AFL) démarre en octobre et sera précédée d’un tirage au sort officiel ce samedi 2 septembre 2023

Les clubs de football les mieux classés d’Afrique s’affronteront dans la nouvelle et passionnante African Football League (AFL), conçue pour mettre en lumière le meilleur du football de club africain et offrir aux fans de football en Afrique et dans le monde entier, l’occasion de voir et d’apprécier l’un des plus grands spectacles du football africain.

L’AFL est un partenariat entre la CAF et la FIFA. L’édition inaugurale réunira 8 des équipes les plus célèbres et les plus performantes d’Afrique, issues des trois blocs régionaux africains que sont la région Nord, la région Centre-Ouest et la région Sud-Est.

Al Ahly Football Club (Egypte), l’Espérance Sportive de Tunis (Tunisie) et le Wydad Athletic Club (Maroc) sont les clubs issus de la région Nord.

La région Centre-Ouest est représentée par Enyimba Football Club (Nigeria) et le Tout Puissant Mazembe (RD Congo).

Le Mamelodi Sundowns Football Club (Afrique du Sud), l’Atlético Petróleos de Luanda (Angola) et le Simba Sports Club (Tanzanie) sont issus de la région Sud-Est.

Le tirage au sort de la compétition inaugurale de l’AFL aura lieu au Caire, en Égypte, le 2 septembre 2023, à 19H00 (heure du Caire, 16h00 GMT). L’évènement sera retransmis en direct sur le site web de l’AFL et télévisé par les partenaires de diffusion de la CAF.

Le calendrier de la compétition inaugurale de l’AFL est structuré sur la base d’un match à domicile et d’un match à l’extérieur. La compétition débutera par des quarts de finale à élimination directe, suivis des demi-finales et de la finale, qui se joueront en matches aller-retour.

Cette édition inaugurale historique de l’AFL se déroulera sur quatre semaines, avec la cérémonie d’ouverture et le premier match le 20 octobre 2023 à Dar-es-Salaam, en Tanzanie.

 

Les demi-finales se dérouleront entre le 29 octobre et le 1er novembre.

Les matchs finaux, qui détermineront le vainqueur de la compétition inaugurale de l’AFL, auront lieu les 5 et 11 novembre 2023.

Cette édition inaugurale est un précurseur de la compétition AFL à part entière qui réunira les 24 clubs de football les mieux classés du continent africain et débutera au cours de la saison de football 2024/2025.

Les fans de football du monde entier peuvent se tenir au courant des dernières nouvelles et informations sur l’AFL via le site web de la compétition, ainsi que sur les plateformes de médias sociaux Facebook, Instagram et X (Twitter).

Le site web de l’AFL offrira également un accès en direct Over-The-Top (“OTT”) au tirage au sort et à tous les matches de l’AFL, ainsi qu’un contenu spécial pour maintenir l’intérêt des fans tout au long de la compétition, à partir du 3 septembre 2023.




Office des routes : Me Harold Badibanga met en garde les escrocs

La Direction Générale de l’Office des Routes fait une énième mise en garde contre les individus malveillants œuvrant dans l’escroquerie de l’argent des paisibles citoyens au nom de cet Etablissement Public.

Dans un communiqué signé par Me Harold Badibanga wa Badibanga, Coordonnateur au sein de cet établissement, l’Office des Routes rappelle qu’il n’a publié ni dans les réseaux sociaux, ni dans d’autres canaux de communication une offre de recrutement en collaboration avec la Banque Africaine de Développement (BAD). Les offres publiées sur les réseaux sociaux ne sont donc que l’œuvre des personnes mal intentionnées.

De ce fait, indique le même document, l’Office des Routes insiste sur le fait qu’elle n’a prévu d’organiser aucune formation ou conférence le mardi au centre Culturel Boboto, comme des hackers sans foi ni loi l’ont propagé. Dans sa dernière mise au point, le coordonnateur de l’Office des Routes avait souligné, par ailleurs, que le siège de la Direction Générale de cet Etablissement de l’Etat ne se trouve plus sur l’avenue Office des Routes numéro l dans la commune de la Gombe comme mentionné dans des soi-disant offres d’emploi, œuvre, des individus malveillants.

La Direction Générale de l’Office des Routes appelle la Population congolaise à la vigilance et réitère son engagement à démanteler ce réseau mafieux. Enfin, l’Office des Routes ne sera pas tenu responsable, de loin ou de près des conséquences de cette entreprise criminelle, toutes les mises au point par lui faites étant claires.