Kinshasa : Gentiny Ngobila au chevet des sinistrés de l’incendie du marché Matadi Kibala

Le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, est allé réconforter, mercredi 23 août, les sinistrés de l’incendie du marché Matadi Kibala situé dans l’enceinte du Camp PM à Mont-Ngafula. Accompagné du ministre provincial de l’intérieur, Gratien Tsakala, ainsi que de quelques élus provinciaux, l’autorité urbaine a d’abord visité le site où étales, entrepôts et marchandises sont réduits en cendre par cet incendie dont l’origine n’est pas encore connue. Puis, le gouverneur Gentiny Ngobila a échangé avec les vendeurs, pour la plupart des mamans ayant perdu tous leurs articles, à qui il a promis le soutien de l’hôtel de ville de Kinshasa.

Par ailleurs, devant la presse, il a annoncé l’aménagement, dès la semaine prochaine, du marché provisoire en vue de réinstaller ces victimes d’incendie. Ce, en attendant les grands travaux du marché moderne de Matadi Kibala qui doivent débuter dès que les fonds sont disponibles.

“Nous attendons les fonds nécessaires pour débuter les travaux de construction d’un marché moderne ici à Matadi Kibala. Le projet devrait démarrer depuis longtemps, mais nous attendons les moyens financiers. Nous allons matérialiser ce projet, comme nous sommes en train de le faire au marché central de Kinshasa. Car, si on avait déjà un marché moderne à cet endroit, pareil drame n’allait pas s’y produire”, a-t-il fait savoir.

Le premier citoyen de la ville a aussi invité les vendeurs de ce marché à faire confiance à leur administrateur ainsi qu’au bourgmestre de Mont-Ngafula qui sont déjà à pieds d’œuvre pour réinstaller tout le monde.

L’occasion faisant le larron, le patron de la ville de Kinshasa a souligné que son travail rentre dans le cadre de la matérialisation de la vision du Président de la République Félix Tshisekedi. C’est dans cette optique, a-t-il renchéri, que des travaux de grande envergure sont réalisés dans la capitale. Notamment la construction des routes secondaires, des routes trans-communales,  le marché central de Kinshasa, la réhabilitation de l’éclairage public sur les artères principales de la ville, l’aménagement de la ville et tant d’autres réalisations.

 




Dans son allocution au 15e Sommet des BRICS à Johannesburg : Xi Jinping conseille de rechercher le développement par la solidarité et la coopération et assumer les responsabilités pour la paix

Monsieur le Président Matamela Cyril Ramaphosa,

Monsieur le Président Luiz Inácio Lula da Silva,

Monsieur le Président Vladimir Poutine,

Monsieur le Premier Ministre Narendra Modi,

 

C’est un grand plaisir pour moi d’être parmi vous à Johannesburg pour cette discussion importante sur la coopération et le développement des BRICS. Il est hautement significatif que le Sommet des BRICS se tient en Afrique pour la troisième fois. Je voudrais remercier le Président Ramaphosa et le gouvernement sud-africain pour les dispositions attentionnées qui ont été prises.

Nous nous réunissons à un moment où le monde est entré dans une nouvelle période de turbulences et de transformations, marquée par une grande dynamique de réajustement, de division et de regroupement, ainsi que la multiplication des facteurs d’incertitude, d’instabilité et d’imprévisibilité.

Les pays des BRICS sont une force importante pour façonner l’échiquier international. Le fait que nous choisissons en toute indépendance nos voies de développement, défendons ensemble notre droit au développement et avançons ensemble vers la modernisation représente l’orientation du progrès de l’humanité et influencera certainement en profondeur le cours du monde. Au cours des années écoulées, nous avons poursuivi l’esprit d’ouverture, d’inclusion et de coopération gagnant-gagnant des BRICS et porté la coopération des BRICS à une hauteur toujours plus élevée au bénéfice du développement de nos pays. Nous avons défendu l’équité et la justice internationales et œuvré à la justice sur les grandes questions régionales et internationales pour accroître le droit à la parole et l’influence des marchés émergents et des pays en développement. Les pays des BRICS préconisent et pratiquent depuis toujours une politique étrangère d’indépendance. Nous envisageons les grandes questions internationales selon la réalité des faits et nous prononçons pour la justice en paroles comme en actes. Nous ne marchandons jamais nos principes, ne cédons jamais aux pressions extérieures et refusons d’être vassaux de quiconque. Les pays des BRICS partagent une large convergence de vues et des objectifs communs. Quels que soient les changements dans la situation internationale, notre engagement initial pour la coopération et nos idéaux communs demeureront inchangés.

La coopération des BRICS se trouve à un moment crucial pour ouvrir de nouvelles perspectives sur la base des accomplissements réalisés. Nous devons suivre la tendance générale et donner l’orientation à suivre. Nous devons poursuivre notre engagement initial à rechercher le développement dans l’unité, renforcer la coopération dans différents domaines et construire un partenariat de haute qualité. Nous devons promouvoir la réforme pour faire évoluer la gouvernance mondiale dans un sens plus juste et plus équitable et apporter au monde plus de certitudes, de stabilités et d’énergies positives.

 Nous devons approfondir la coopération économique, commerciale et financière pour contribuer au développement économique. Le développement est un droit inaliénable de tous les pays et non un privilège de quelques-uns. Actuellement, la reprise de l’économie mondiale n’est pas solide. Les institutions internationales prévoient une croissance mondiale de moins de 3% pour cette année. Les défis pesant sur les pays en développement sont encore plus sévères, et le chemin est long et ardu pour réaliser les objectifs de développement durable. Les pays des BRICS doivent être compagnons de route sur la voie du développement et du redressement et s’opposer au découplage, à la rupture des chaînes d’approvisionnement et à la coercition économique. Nous devons nous concentrer sur la coopération pragmatique notamment dans les domaines de l’économie numérique, du développement vert et des chaînes d’approvisionnement, et promouvoir les échanges économiques, commerciaux et financiers.

La Chine mettra en place un parc incubateur des sciences et de l’innovation Chine-BRICS à l’ère nouvelle pour appuyer la transformation des fruits de l’innovation. Dans le cadre du mécanisme de la constellation de satellites de télédétection des BRICS, nous explorerons la possibilité de créer une plateforme de coopération internationale des BRICS sur les données et l’application des satellites de télédétection, pour fournir un appui de données à différents pays dans les domaines de l’agriculture, de l’écologie et de la réduction des catastrophes naturelles. La Chine entend travailler avec les autres parties pour mettre en place un mécanisme de coopération industrielle des BRICS pour le développement durable, qui servira d’une plateforme de communication entre les industriels et de coopération sur les projets pour la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 des Nations Unies.

— Nous devons étendre la coopération politique et sécuritaire pour préserver la paix et la tranquillité. Comme dit un adage chinois, « rien n’est plus bénéfique que la stabilité, et rien n’est plus préjudiciable que le chaos. » Aujourd’hui, la mentalité de la guerre froide persiste, et la situation géopolitique demeure sévère. Les peuples du monde aspirent tous à un bon environnement sécuritaire. La sécurité internationale est indivisible. Ceux qui cherchent une sécurité absolue au détriment des intérêts des autres finiront par nuire à eux-mêmes. L’état actuel de la crise ukrainienne s’explique par des facteurs complexes. L’urgent est de favoriser les pourparlers de paix et de travailler à l’apaisement des tensions, à la cessation des combats et à la réalisation de la paix. Il ne faut absolument pas mettre de l’huile sur le feu et laisser la situation continuer de se détériorer.

Les pays des BRICS doivent maintenir le cap du développement pacifique et consolider le partenariat stratégique des BRICS. Nous devons faire valoir notamment les mécanismes de la Réunion des Ministres des Affaires étrangères et de la Réunion des Représentants de haut niveau pour la sécurité nationale, nous soutenir mutuellement sur les questions touchant aux intérêts vitaux de part et d’autre, et renforcer la coordination sur les grandes questions régionales et internationales. Nous devons offrir activement la médiation sur les dossiers brûlants en vue du règlement politique et de l’apaisement. L’intelligence artificielle (IA) est un nouveau domaine du développement de l’humanité. Les pays des BRICS sont convenus de démarrer au plus tôt le Groupe d’études sur l’IA de l’Institut des réseaux du futur des BRICS. Nous devons faire pleinement valoir son rôle, élargir la coopération sur l’IA, renforcer les échanges d’informations et la coopération technique, prévenir ensemble les risques et définir un cadre et des normes de la gouvernance de l’IA basés sur un large consensus, de sorte que les technologies de l’IA soient plus sûres, plus fiables, plus contrôlables et plus équitables.

 Nous devons renforcer les échanges humains et culturels pour promouvoir l’inspiration mutuelle entre les civilisations. Il existe dans le monde diverses civilisations et différentes voies de développement. Voilà le monde tel qu’il est. L’histoire de l’humanité ne s’arrêtera pas sur une seule civilisation ou un seul système. Les pays des BRICS doivent faire preuve d’une grande ouverture d’esprit, préconiser la coexistence pacifique et harmonieuse entre civilisations et respecter les voies de modernisation choisies en toute indépendance par les pays. Nous devons tirer le meilleur parti des mécanismes du Séminaire des BRICS sur la gouvernance, du Forum des BRICS sur les échanges humains et culturels, et du Concours des BRICS sur l’innovation des femmes, afin d’approfondir les échanges humains et culturels et de rapprocher nos peuples.

La Chine propose d’élargir la coopération éducative entre les pays des BRICS, de faire valoir le rôle de l’Alliance pour l’enseignement professionnel, d’explorer la mise en place d’un mécanisme de coopération sur l’éducation numérique et de bâtir une architecture de coopération multidimensionnelle sur l’éducation. Dans le même temps, il faut renforcer les échanges sur les cultures traditionnelles pour promouvoir la transmission de brillantes cultures traditionnelles et stimuler leur vitalité.

 Nous devons rester attachés à l’équité et à la justice pour améliorer la gouvernance mondiale. Renforcer la gouvernance mondiale est le bon choix de la communauté internationale pour partager les opportunités de développement et répondre aux défis mondiaux. Les règles internationales doivent être élaborées et préservées par tous sur la base des buts et principes de la Charte des Nations Unies, mais non être dictées par ceux qui ont les muscles les plus puissants ou la voix la plus forte. Encore moins faut-il monter des groupes exclusifs et déguiser les « règles domestiques » en règles internationales. Les pays des BRICS doivent porter le véritable multilatéralisme, préserver le système international centré sur l’ONU, soutenir et renforcer le système commercial multilatéral centré sur l’OMC, et s’opposer à la création de « petits cercles » et de « blocs exclusifs ». Nous devons faire valoir pleinement le rôle de la Nouvelle Banque de développement et faire avancer la réforme du système financier et monétaire international, de sorte à augmenter la représentation et le droit à la parole des pays en développement.

Je suis heureux de constater l’enthousiasme des pays en développement pour participer à la coopération des BRICS et de voir beaucoup d’entre eux déposer la demande d’adhésion à notre mécanisme. Nous devons poursuivre l’esprit d’ouverture, d’inclusion et de coopération gagnant-gagnant des BRICS pour accueillir plus de pays dans la grande famille des BRICS et faire évoluer la gouvernance mondiale dans un sens plus juste et plus équitable en rassemblant la sagesse et la force de tous.

Chers Collègues,

Le continent africain chargé d’une longue histoire porte en lui une sagesse pure et profonde. Un proverbe africain dit : « Seul on va vite, ensemble on va loin. » La philosophie de l’Ubuntu – « je suis parce que nous sommes » – met l’accent sur l’interdépendance et les liens étroits entre les peuples. De même, la coexistence harmonieuse demeure la noble aspiration de la nation chinoise depuis des millénaires. La Chine est prête à travailler avec les partenaires des BRICS pour porter la vision de la communauté d’avenir partagé pour l’humanité, renforcer le partenariat stratégique et approfondir la coopération dans tous les domaines. Nous, pays des BRICS, devons assumer nos responsabilités pour relever les défis communs, faire preuve d’engagement pour bâtir un meilleur avenir et avancer ensemble sur le chemin de la modernisation.

Je vous remercie.

 




Linafoot : Démarrage effectif de la 29e édition ce mercredi !

Le coup d’envoi de la 29e édition de la ligue nationale de football a été donné ce mercredi comme annoncé.

Pour la rentrée, les corbeaux du TP Mazembe n’ont eu aucun mal de s’imposer en déplacement sur la pelouse de l’AS SIMBA de Kolwezi 0-1, après une première période pauvre en occasion, caractérisée par un penalty de Mazembe raté par John Bakata, tout s’est plutôt joué en seconde période au stade Diur, Fily Traoré servi d’un centre par Ibrahima Keita a inscrit l’unique but de la partie, et permis aux siens de prendre la première place au classement provisoire du groupe A de la LINAFOOT.

Dans le groupe B, deux matches étaient au programme, au centre Kurara Mpova de la Fecofa, l’AS Maniema Union, a pour sa part réalisé un service minimum devant Les Aigles du Congo, sur l’unique but du Surnommé Zidane Ilunga à 67e (0-1)

L’équipe de Kindu partage la tête du classement provisoire avec la formation de Céleste de Mbandaka, après sa victoire 0-1 en déplacement sur la pelouse de L’étoile du Kivu au stade de la Concorde.

Le championnat se poursuit ce mercredi avec l’affiche OC Renaissance VS Ac Rangers.




Kinshasa : Gentiny Ngobila échange avec une délégation du projet Kin Elenda autour de différents projets en cours dans la capitale

Le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, a échangé, mardi 22 août 2023 à l’hôtel de ville de Kinshasa, avec une délégation du projet Kin Elenda. Conduite par le chef du projet Victor Rutalira, cette délégation accompagnée des membres de la Banque mondiale qui finance ces différents projets, a fait part à l’autorité urbaine de l’avancement de différents travaux sur le terrain.

“Nous avons porté à la connaissance du gouverneur de la ville de Kinshasa que les travaux sont en cours à l’intérieur de la station SNEL/Funa pour rétablir sa capacité à 100%. Cette capacité qui a été dégradée depuis les inondations de février dernier”, a fait savoir Victor Rutalira au sortir de l’audience. Et de poursuivre :”nous avons porté aussi à la connaissance du gouverneur de la ville des travaux d’aménagement de la rivière Funa qui vont débuter dès la fin du mois de septembre. Mais avant tout, il faudra exproprier toutes les personnes qui ont occupé le lit de la rivière Funa puis les indemniser”.

Par ailleurs, la délégation du projet Kin Elenda a également fait part à l’autorité urbaine d’autres travaux, notamment le démarrage, dès septembre prochain, des travaux de construction du centre de formation professionnelle de l’INPP dans la commune de Maluku. Dans la même optique, le gouverneur Gentiny Ngobila a été mis au courant du début des travaux de construction de la maison communale de N’Djili ainsi que l’aménagement du terrain Sainte Thérèse dès le mois de septembre prochain. À cette occasion, la délégation du projet Kin Elenda a également fait part au premier citoyen de la ville de Kinshasa du démarrage des travaux de lutte anti-érosive et d’adduction en eau potable qui vont avoir lieu à Kisenso à partir du mois de novembre prochain.

“La station de captage d’eaux de N’Djili a été réhabilitée et actuellement, il y a des travaux de réhabilitation de l’usine de N’Djili qui sont en cours pour restaurer sa capacité totale et ainsi permettre à la population Kinoise d’avoir accès à l’eau potable”, a indiqué le chef de projet Kin Elenda, Victor Rutalira.

Pour sa part, le gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka attend que ces différents projets salutaires pour la population Kinoise puissent démarrer effectivement. Il a invité le chef de projet Kin Elenda à s’activer à ce que tous ces projets aillent de l’avant.

Pour ceux qui ne savent pas, le projet Kin Elenda regorge beaucoup de programmes, entre autres les avancées enregistrées relatives à l’inauguration et la mise en œuvre du module 1 du complexe industriel de traitement d’eau potable d’Ozone/Ngaliema permettant à la REGIDESO de disposer d’une production supplémentaire de 110.000 mètres cubes par jour pour l’approvisionnement de la ville de Kinshasa dans sa partie Ouest.




*Corée; «Il n’y a pas de prescription pour les crimes du Japon!»* 

Le «Traité d’Annexion de la Corée au Japon» (22/08/1910) est un document frauduleux et illégal, destiné à coloniser, complètement, toute la Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant», fière de sa Civilisation de 5.000 ans dont plusieurs étaient voués à l’invasion des Pays étrangers comme les USA, le Japon et d’autres, vu la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, le statut géopolitique et le paysage splendide de la Péninsule coréenne, NDLR).

Ayant usurpé, totalement, le droit de politique intérieure de la Corée en forgeant, de toutes pièces, le «Traité en 5 Points de l’An Ulsa» (1905) et le «Traité en 7 Points de l’An Jongmi » (1907), le Japon (le plus obsédé ou ambitieux de l’expansion d’outre-mer avec sa 1ère invasion de la Péninsule coréenne la plus voisine en 1592-1598 et stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes immoraux les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination 1905-1945 de la Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, NDLR) se démenaient, follement, pour conclure le «Traité d’Annexion de la Corée au Japon», en mobilisant tous leurs pouvoirs. Les impérialistes japonais;

• élaborèrent, en juillet 1909, un Document relatif à la détermination de la politique à l’égard de la Corée, document d’agression précisant la façon d’occuper, complètement, celle-ci et même le mode de la domination coloniale à appliquer après son occupation

• nommèrent, le 30 mai 1910, un barbare samouraï (ou l’homme d’armes en service militaire pour les nobles et caractérisé par le port de 2 sabres en dirigeant le Japon féodal durant 700 ans, NDLR) Terauchi MASATAKE (1852-1919; 1er Gouverneur-Général de Corée 1910-1916) 3ème et dernier Lord-Lieutenant de Corée et lui donnèrent la mission d’occuper la Corée

• introduisirent à Hansong (Capitale d’alors), dans le cadre de la dernière étape de leurs préparatifs pour cette occupation, leurs troupes armées mobilisées pour l’«expédition punitive» contre les troupes de francs-tireurs coréens antijaponais (Près de 3.000 militaires japonais, y compris artilleurs et sapeurs, furent concentrés sur Hansong.)

• mirent cette Ville en état de siège en coopération avec la gendarmerie et la police (Ils renforcèrent la garde sur le Palais Impérial et les résidences des Ministres coréens, ainsi que le contrôle sur la presse, y compris journal et revue, sans parler du rassemblement.).

 

C’est dans cette circonstance terrible que le Japon inventa, le 22 août par fraude et escroquerie, le «Traité d’Annexion de la Corée au Japon». De peur que leur crime ne soit dévoilé, ils ne publièrent ledit Traité que le 29 août. Ayant ainsi colonisé complètement la Corée, les impérialistes japonais pratiquaient une cruelle politique d’anéantissement de la Nation coréenne;

 

• Ils massacrèrent sauvagement les Coréens qui participaient, sans arme, au Soulèvement Populaire du 1er Mars (1919) réclamant l’Indépendance Nationale, brûlèrent, au hasard, les villages des régions où avait éclaté ledit Soulèvement et tuèrent, sans distinction de sexe et d’âge, leurs habitants.

• En vue d’étendre leur agression contre le Continent asiatique, ils fabriquèrent diverses sortes de lois vicieuses, notamment la «Loi de Mobilisation Générale de lEtat» (1938), kidnappèrent et réquisitionnèrent de force plus de 8,4 millions de jeunes et adultes Coréens comme pare-balles et pour les travaux forcés, massacrèrent, atrocement, plus d’un million de Coréens, et réduisirent les 200.000 Coréennes en esclaves sexuels, crimes immoraux d’une monstruosité exceptionnelle.

• Ils s’évertuaient, frénétiquement, à supprimer la langue et l’écriture, voire les noms et prénoms des Coréens, détruisaient et pillaient, brutalement, les biens culturels et les ressources naturelles précieux de la Nation coréenne.

 

Ces malheurs et souffrances causés, autrefois, par le Japon restent une plaie à jamais incicatrisable pour les Coréens. Toutefois, le Japon s’obstine, même aujourd’hui, à dénaturer et à nier les crimes d’agression qu’il avait perpétrés dans le passé contre le Peuple Coréen. Au lieu de faire ses excuses et son indemnisation pour les torts considérables qu’il avait faits au Peuple coréen, il profère même les propos insensés tels que;

 

• L’annexion de la Corée était conforme à la volonté des Coréens

• Humain était le régime colonialiste japonais en Corée.

 

Voilà une insulte intolérable à la Nation coréenne aussi bien qu’une moquerie à l’égard de la justice et de la conscience de l’Humanité. Il ny a pas de prescription pour les crimes commis jadis par les impérialistes japonais. Bien que le temps passe, toute la Nation coréenne n’oubliera jamais les crimes passés du Japon, pas plus qu’elle ne manquera pas de les lui faire payer fort cher.




21è edition du championnat d’Afrique des nations Dames Cameroun 2023: L’Egypte se qualifie en ½ finale en étrillant l’Ouganda 3-0

On a joué hier mardi 22 août 2023 au Palais polyvalent des sports de Yaoundé, les ¼ de finale de la 21è édition du Championnat d’Afrique des nations seniors dames qui se joue dans la ville camerounaise de Yaoundé.

Etaient à l’affiche des ¼ de finale

1.Egypte vs Ouganda : 3-0 (25-13, 25-18, 25-11)

Pour cette rencontre, la joueuse Nada d’Egypte a reçu son trophée de MVP des mains de M. Christian Matata, president du comité de contrôle de la compétition, president de la Févoco et de la zone 4 Afrique Centrale.

2. Algérie vs Rwanda: 2-3 (25-23, 25-15, 18-25, 23-25, 14-16)

3. Kenya vs Nigeria :

4. Cameroun vs Maroc :

Antoine Bolia




Interpellation des membres du CONOR à la DEMIAP, empiètement dans l’organisation du calendrier de la LINAFOOT, etc.: La FIFA adresse une mise en garde à la Rdc

Dans une lettre adressée à Dieudonné Sambi, président du comité de normalisation, la Fifa insiste sur le fait que les associations membres de la FIFA sont en effet statutairement tenues de gérer leurs affaires de manière indépendante et sans influence indue de tiers. Tout manquement à ces obligations est susceptible d’entraîner les sanctions prévues dans les Statuts de la FIFA, pouvant aller jusqu’à la suspension de la fédération concernée, et ce, même si l’influence d’un tiers n’est pas imputable à l’association membre.

« Nous avons pris connaissance de votre correspondance datée du 27 juillet 2023 au sujet d’un Arrêté ministériel portant désignation des membres de la Commission chargée de l’élaboration du nouveau système de développement du championnat national de football », indique la Fifa dans un courrier.

Elle a aussi relevé que par la lettre datée du 4 août 2023, votre Ministère des Sports vous demande d’instruire toutes les ligues et ententes provinciales de football de surseoir à l’exécution du calendrier des matches pour la saison 2023-2024 publié par la LINAFOOT, en attendant la décision du Gouvernement de la République sur le rapport des travaux de la commission mixte chargée de l’élaboration de la nouvelle formule réaliste et consensuelle du championnat national congolais.

Sur ce point et tout premièrement, la Fifa constate que la FECOFA, dirigée à ce jour par son comité de normalisation, n’est ni à l’origine de la mise en place de la commission mentionnée dans cet Arrêté, ni même impliquée dans cette démarche. Or, compte tenu de la nature de la mission qui semble avoir été attribuée à cette commission, nous estimons que sa mise en place était, selon la réglementation de la FIFA, du ressort exclusif de sa Fédération membre (la FECOFA).

« Elle seule, en effet, dispose du droit de gérer le championnat national reconnu par la FIFA et la CAF », insiste-t-elle, tout en soulignant qu’en tout état de cause, cette commission ne devrait en aucune façon imposer de décision valable modifiant le championnat national organisé sous l’égide de la FECOFA.

Par ailleurs, la Fifa apprend avec inquiétude la correspondance du CONOR datée du 29 juillet 2023 concernant interpellation, en date du 25 juillet, de deux membres du comité de normalisation, du secrétaire général ainsi que d’un employé de la FECOFA, par des agents du Département de sécurité militaire de l’Etat-Major du Renseignement (DEMIAP).

Sur la base des éléments que vous nous avez fournis, la Fifa affirme que l’interpellation des personnes en question par le DEMIAP, restée sans suite à notre connaissance, semble être liée au rôle et mission du comité de normalisation.

« Si tel est effectivement le cas, nous estimons que cette interpellation ne semble pas avoir eu de motifs valables et nuit à la volonté d’apaisement et de dialogue constructif indispensable entre l’ensemble des acteurs du football congolais », mentionne-t-elle.

Cela dit, pour le bon ordre, nous souhaitons rappeler que chaque association membre de la FIFA, la FECOFA en l’occurrence, se doit de jouir d’une indépendance et d’une autonomie qui la préserve de toute ingérence indue de la part de tiers, qu’elle soit étatique ou autre. Les associations membres de la FIFA sont, en effet, statutairement tenues de gérer leurs affaires de manière indépendante, et sans influence indue de tiers (cf. art. 14, al. 1 lit. i) et art. 19 des Statuts de la FIFA). Tout manquement à ces obligations peut entraîner les sanctions prévues dans les statuts de la FIFA, pouvant aller jusqu’à la suspension de la fédération concernée, et ce même si l’influence d’un tiers n’est pas imputable à l’association membre (cf. art. 14 al. 3 des Statuts de la FIFA).




Football -Rdc : la Fifa hausse le ton !

Dans une correspondance adressée ce mardi 22 Août à la fédération congolaise de football association, l’instance du football mondial dis suivre de près la situation d’un bras de fer entre le comité de normalisation et l’état congolais.

Rappellant par ailleurs l’indépendance du football, la fifa reconnait à la suele Fecofa le pouvoir s’organiser le championnat national et dans un format voulu par cette dernière.

En dépit de la proposition du ministre des sports, celle de la mise en place d’une commission pouvant mettre en place une format consensuel.

N’ayant pas obtenu gain de cause à sa proposition, le patron du sport congolais a donné l’instruction de fermer tous les stades de l’état dans une correspondance adressée aux chefs des divisions Urbaines pour tenter d’empêcher le démarrage du championnat prévu ce mercredi 23 août .

 

Cette lettre de FIFA est une mise en garde, l’instance n’hésitera aucunement de sanctionner la FECOFA pour ingérence et la Rdc risque de manquer la Can tout comme les équipes engagées aux interclubs de la Caf, dossier à suivre…




Election des Députés Provinciaux et celle des Conseillers Communaux: La CENI proroge de 5 jours la période de dépôt des candidatures

Soucieuse de considérer les préoccupations des parties prenantes afin d’assurer l’inclusivité du processus électoral en cours et de garantir l’équité de traitement entre les différents compétiteurs, la CENI proroge de cinq jours la période de dépôt et de traitement des dossiers des candidatures à la députation provinciale et à l’élection des conseillers communaux, soit du 23 au 27 août 2023. Dès lors, la période d’ajout, du retrait ou de la substitution des dossiers ira du 28 août au 01 septembre 2023.

COMMUNIQUE DE PRESSE N°040/CENI/2023

La Commission électorale nationale indépendante (CENI) porte à la connaissance des candidats indépendants, des partis et regroupements politiques que conformément au calendrier électoral rendu public le 26 novembre 2022, les opérations de dépôt et de traitement des candidatures pour l’élection des Députés provinciaux et celle des conseillers communaux se clôturent ce mardi 22 août 2023.

Cependant, à la date de clôture, non seulement elle constate que certains Bureaux de Réception et de Traitement des Candidatures (BRTC) n’ont enregistré aucun dossier de candidatures, mais elle note également la persistance des défis logistiques auxquels font face les parties prenantes concernées pour la constitution et le dépôt des dossiers de candidatures.

En plus, la CENI relève que la plupart des partis et regroupements politiques ainsi que certains candidats indépendants sont concomitamment partagés entre la constitution des dossiers de candidatures à la députation provinciale et à l’élection des conseillers communaux ainsi que le traitement du contentieux des listes de candidature à la députation nationale devant la Cour Constitutionnelle.

Soucieuse de prendre en compte les préoccupations des parties prenantes afin d’assurer l’inclusivité du processus électoral en cours et de garantir l’équité de traitement entre les différents compétiteurs, la CENI proroge de cinq jours la période de dépôt et de traitement des dossiers des candidatures à la députation provinciale et à l’élection des Conseillers Communaux, soit du 23 au 27 août 2023. Dès lors, la période d’ajout, du retrait ou de la substitution des dossiers ira du 28 août au 01 septembre 2023.

Par ailleurs, il ressort des renseignements tirés de la lettre du Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires coutumières datée du 21 août 2023 adressée à la CENI et portant référence N 25/CAB/VPM/MININTERSECAC/PKK/2048/2023, la nécessité de reporter les élections communales dans certaines entités territoriales où se posent avec acuité les conflits du pouvoir coutumier et de délimitation administrative. Eu égard aux contraintes sus-évoquées, l’Assemblée Plénière de la CENI a, par sa Décision Nº 076/CENI/AP/2023 du 22 août 2023, décidé de n’organiser l’élection des Conseillers Communaux en date du 20 décembre 2023 que dans les communes situées dans les chefs-lieux de province.

De ce fait, la CENI rassure les candidats indépendants, les partis et regroupements politiques ayant déjà payé leur cautionnement pour les communes non concernées, que celui-ci sera pris en compte lors de l’organisation de l’élection des conseillers communaux en 2024 dans les communes restantes, selon un calendrier réaménagé qu’elle publiera dans les meilleurs délais.

Ainsi, la suite du chronogramme opérationnel relatif au dépôt et traitement des candidatures à la députation provinciale et à l’élection des Conseillers Communaux se présente comme suit:

Du 28 août au 01er septembre 2023: Ajout, retrait ou substitution des dossiers des candidats Députés Provinciaux et Conseillers Communaux;

Le 13 septembre 2023: Publication des listes provisoires des candidats Députés Provinciaux et Conseillers Communaux;

Du 14 au 29 septembre 2023: Dépôt et traitement des recours en contestation des listes des candidatures à l’élection des Députés Provinciaux devant les Cours d’appel et des Conseillers Communaux devant les Tribunaux de grande instance faisant office des Tribunaux administratifs :

Le 14 octobre 2023: Publication par la CENI des listes définitives des candidats Députés Provinciaux et Conseillers Communaux.

La CENI profite de l’occasion pour confirmer la convocation de l’électorat pour l’élection présidentielle le 1 septembre 2023 et réitère sa ferme volonté d’organiser les élections combinées, dans le délai constitutionnel, en date du 20 décembre 2023.

Patricia NSEYA MULELA

RAPPORTEUR




En prévision des éliminatoires J.O Paris 2024: Les Léopards affûtent leurs armes au stade des Martyrs

Après avoir fait sensation au championnat d’Afrique à Yaoundé au Cameroun récemment, les boxeurs de la RDC vont bientôt reprendre leur bâton de pélerin.

En effet, ils sont attendus du 5 au 15 septembre 2023 à Dakar, au Sénégal où ils vont participer aux éliminatoires des Jeux Olympiques Paris 2024. Un peu plus tard, au mois d’octobre ils prendront part au trophée Nelson Mandela en Afrique du Sud.

Conscients des enjeux qui profilent à l’horizon, les Léopards boxe s’entrainent chaque jour de 6 à 9 heures au stade des martyrs.

Antoine Bolia