Infrastructures à Kinshasa : Kikwit réhabilité, une valeur ajoutée aux recettes des bailleurs et commerçants 

Les travaux de réhabilitation de l’avenue Kikwit, longue de 3,5 km est une valeur ajoutée aux recettes des bailleurs et marchands riverains de la route partant de la deuxième porte de la Fikin jusqu’à la Jonction avec Elengesa dans la commune Bumbu, ville de Kinshasa, a constaté votre média.

 

Sur terrain, la population impatiente se dit prête à vivre l’inauguration de ces tronçons déjà en forme, et fait appel au chef de l’Etat. “ Nous attendons impatiemment l’inauguration par le chef de l’Etat de notre avenue qui a redoré l’image de notre milieu autre fois périurbain et vient ajouter une valeur à nos parcelles. Cette avenue réhabilitée vient rallumer le feu du développement et de l’émergence à nos activités commerciales qui se sont éteintes il y a longtemps “, dit M. Mupuati, un résident du quartier.

Cette avenue réhabilitée traverse cinq communes dont Lemba, Ngaba, Limete et Makala ainsi que Kalamu. La construction de cette avenue facilitera des échanges commerciaux intercommunaux puis un désengorgement du Boulevard Lumumba, de l’avenue Kianza et Université. Elle revêt un caractère socio-économique parce que les infrastructures font partie du développement d’un pays”, a indiqué Lugi Nsamba conducteur de taxis bus.

M. Nsamba a fait savoir que la construction de cette avenue est bénéfique pour les transporteurs. C’est une autre ligne qui s’ajoute dans leur itinéraire. Ce cinquantenaire a suggéré qu’avant l’ouverture de la route aux engins moteurs, que des dos d’ânes soient construits à chaque amorce pour la prévention des éventuels accidents, y compris des panneaux de signalisation. Selon lui, notre population doit être éduquée au respect du code de la route.

De son côté M. Jules Mupuati, habitant de ce coin a réagi en ces termes: “nous sommes très satisfaits pour la construction de cette avenue qui est le rapprochement des communes voisines telles que Ngiri-Ngiri, Kasa-Vubu, la Place victoire et le marché Gambela, mais aussi le grand marché Zando pour nos approvisionnements. Nous remercions le Chef de l’Etat et l’exécutif provincial pour la réponse au social du peuple congolais et le désenclavement de nos entités.

Ce projet qui date de 2019 est arrivé à son terme avec la construction de deux ponts moderne jetés sur la rivière Lubefu entre Lemba et Ngaba d’un côté long de 15 m large de 10,5 m et de l’autre côté sur la rivière Kalamu reliant les communes de Makala et Kalamu long de 17m sur 10,5m.

Il faut préciser que les travaux de réhabilitation dans ces coins ont évolué et ne reste que des petits travaux de maçonnerie à réaliser avant l’inauguration dans les prochains jours, a renseigné l’ingénieur Guylain de Safrimex aux reporters Sukisa et Muzama de l’ACP.

Jean-Luc Lukanda




Maroc-BRICS : la tentative de récupération malsaine de Pretoria

L’Afrique du Sud n’en finit pas de manifester son hostilité envers le Maroc. Fervente avocate de la cause des séparatistes du polisario, elle ne rate plus aucune occasion pour porter atteinte aux intérêts supérieurs du Royaume. Le dernier épisode en date en dit long sur cette animosité qui ne faiblit pas. Elle a adressé à Rabat une invitation à la réunion «BRICS-Afrique», prévue le 24 août à Johannesburg, en ayant pris grand soin de convier des entités sans légitimité. L’objectif de la manœuvre est clair : faire passer des messages politiques pro-polisario sur le dos des BRICS. Mais la diplomatie marocaine, tout à sa sagacité, a tué dans l’œuf les perfides menées de Pretoria qui allait ainsi mouiller les autres membres de ce groupement économique d’envergure.

À quoi joue l’Afrique du Sud encore ? Pour qui roule-t-elle ? Et pourquoi tant de hargne envers le Maroc et ses intérêts supérieurs ? Difficile de donner une réponse simple à toutes ces questions, tant il est vrai que son attitude notoirement et ostensiblement malveillante à l’égard du Royaume ne date pas d’hier. Depuis des décennies, Pretoria, dans le sillage d’Alger, prend fait et cause pour le polisario et n’hésite pas mettre sa diplomatie au service de la rhétorique propagandiste de cette entité fantoche.

Mais de là à vouloir prendre en otage une organisation de l’envergure des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) et l’instrumentaliser dans le seul but de nuire au Maroc et de servir les agendas de ses ennemis, il faut avoir perdu tout bon sens et manquer gravement de discernement. Sinon comment expliquer autrement les «entorses protocolaires délibérées et provocatrices» qui ont émaillé l’invitation qu’elle a adressée «à titre national» au Maroc à cette réunion, d’autant que de «nombreux pays et entités semblent avoir été invités arbitrairement par le pays hôte sans fondement réel, ni consultation préalable avec les autres pays membres du Groupement BRICS», estime à juste titre une source autorisée du ministère des Affaires étrangères, de la coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.

De même, comment justifier le fait qu’elle se soit arrogé le droit de parler d’une prétendue candidature du Maroc aux BRICS, sans consultation préalable avec le Royaume. Pour beaucoup d’analystes, la mauvaise foi est avérée et la volonté d’entraîner ce groupement économique dans une affaire gérée par l’ONU est patente. L’Afrique du Sud, aveuglée par sa haine envers le Maroc, entendait lui tendre un piège en le mettant devant le fait accompli. Elle lui a adressé une invitation à un événement en ayant pris grand soin de convier des entités sans légitimité, de manière à faire passer des messages politiques sur le dos des BRICS. Mais la diplomatie marocaine, tout à sa sagacité, a tué dans l’œuf les perfides menées de Pretoria qui allait ainsi mouiller les autres membres de ce groupement. C’est ce qui a fait d’ailleurs que certains pays, notamment l’Inde, ont tenu à prendre leurs distances avec les manœuvres sud-africaines. En effet, un communiqué du gouvernement indien a confirmé le caractère unilatéral et à titre national des invitations adressées par l’Afrique du Sud pour la réunion «BRICS-Afrique», prévue le 24 août à Johannesburg.

Réunion BRICS-Afrique : L’Inde prend ses distances

Le même communiqué indique, à ce propos, que le Premier ministre indien, Shri Narendra Modi, est attendu en Afrique du Sud du 22 au 24 août pour prendre part au 15e sommet des BRICS, en précisant qu’il participera aussi à la réunion «BRICS-Afrique» qui comprend d’autres participants «invités par l’Afrique du Sud». C’est dire à quel point le jeu sournois de Pretoria gêne les autres membres du groupement. Par sa légèreté et son acharnement incompréhensible sur le Maroc, l’Afrique du Sud compromet déjà cet événement qui aurait pu être mis à profit pour examiner les perspectives et moyens d’une coopération fructueuse entre les BRICS et l’Afrique. Au lieu d’être un acteur d’intégration africaine, Pretoria exploite éhontément ce rendez-vous pour atteindre des objectifs inavoués qui, en tous état de cause, n’affecteront aucunement le Royaume, ni son rayonnement, ni son protagonisme. Il n’est pas étonnant que le Maroc ait réagi avec autant de de fermeté et de clarté. Pour lui, «Il était ainsi devenu évident que l’Afrique du Sud allait détourner cet événement de sa nature et de son objectif, pour servir un agenda inavoué», ajoute la même source diplomatique, avant d’ajouter que le Maroc a par conséquent écarté, dès le départ, toute réaction favorable à l’invitation sud-africaine.

Animosité implacable de l’Afrique du Sud envers le Maroc

L’entêtement de Pretoria à porter atteinte aux intérêts vitaux du Maroc et en particulier à son intégrité territoriale est désormais érigé en axe majeur de sa diplomatie, à l’image d’une Algérie qui cherche à exporter ses crises internes. «La position de l’Afrique du Sud vis-à-vis du Maroc est purement idéologique et ne repose pas sur des faits», analyse Paolo Von Schirach, président du think tank américain «Global Policy Institute» (GPI), relevant qu’il n’est pas surprenant de voir l’Afrique du Sud instrumentaliser des événements comme la réunion «BRICS-Afrique» pour nuire aux intérêts du Royaume.

Rappelons-nous qu’en mars dernier la Mission permanente de l’Afrique du Sud a fait circuler parmi les membres du Conseil de sécurité une lettre signée par le chef du groupe séparatiste du «polisario», le dénommé «Brahim Ghali», poursuivi par la justice en Europe pour viol et torture. Le Maroc avait réagi à l’époque en regrettant «fortement que l’Afrique du Sud distribue une lettre truffée de mensonges au sujet de la situation des droits de l’Homme au Sahara marocain, alors que le Conseil de sécurité salue, dans ses résolutions successives, le rôle des deux Commissions régionales du Conseil national des droits de l’Homme à Laâyoune et Dakhla, ainsi que la coopération du Maroc avec les mécanismes onusiens des droits de l’Homme».

Le Royaume du Maroc avait également regretté «profondément que l’Afrique du Sud se prête, une fois encore, au rôle de facteur d’un groupe séparatiste armé, dont les connexions avec le terrorisme au Sahel sont avérées». Le Royaume avait aussi déploré que l’Afrique du Sud, qui ambitionne d’assumer un rôle important dans le maintien de la paix et la sécurité internationales, ait transmis aux membres du Conseil de sécurité une lettre qui fait l’apologie de la guerre, appelle à la violence armée et aux actes terroristes, justifie fallacieusement la dénonciation du cessez-le-feu et viole les résolutions du Conseil de sécurité.

Alimentée par des motifs ayant trait à la concurrence économique, à une idéologie surannée et probablement à la course au leadership continental, l’animosité de l’Afrique du Sud envers le Maroc demeure à l’évidence implacable. Pourtant, ce pays symbole d’une Afrique affranchie du joug du racisme et du colonialisme, pourrait faire l’histoire, s’il acceptait de se joindre à la dynamique de paix, portée par le Conseil de sécurité et par une centaine de pays à travers le monde qui ont enfin compris les véritables enjeux du conflit autour du Sahara marocain.




Patrick Muyaya tient à la tenue du congrès de l’UNPC avant la fin de son mandat 

M. Patrick Muyaya Katembwe, ministre de la Communication et Médias, a assisté à la restitution des conclusions des travaux préparatoires du congrès extraordinaire de l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC), ce mardi 22 août 2023 à Béatrice Hôtel, à Kinshasa.

Cette activité s’est tenue en présence du Président a.i de l’UNPC, des membres du comité directeur de cette même union, du Vice-Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, des membres du comité des sages de cette association et de quelques professionnels des médias de Kinshasa.

Pour arriver à l’activité de ce jour, un comité scientifique a été mis en place et a été piloté par le Professeur en sciences de l’information et de la communication, Séverin Bamany. Après un bruyant exposé de quelques minutes, l’assistance a apprécié le travail réalisé par son comité et souhaite son application dans les prochains jours.

Satisfait du travail abattu par le comité scientifique, le ministre tient à la tenue de ce congrès avant la fin de son mandat pour avoir une presse digne de la République Démocratique du Congo. C’est-à-dire qui respecte quotidiennement l’éthique et la déontologie afin de mieux informer la population congolaise et le reste du monde. “Concernant la question de l’UNPC sur la contribution des journalistes dans la salubrité médiatique et dans l’assainissement du paysage de l’exercice de la presse au Congo, le président de la République à démontrer l’engagement de l’état à l’accompagnement de cet objectif vers le congrès”, a dit le ministre Muyaya.

D’ajouter : “Une nouvelle structure est attendue après le congrès et aura une mission cruciale d’identification des journalistes à travers la carte de presse et d’assurer que lorsqu’il y a dérapage dans le secteur des médias, que les journalistes soient en mesure de donner des réponses avant que cela ne se retrouve devant la communauté. Cette innovation sera une manière d’honorer l’exercice de la profession et le changement de narratif”.

Pour Modeste Shabani Bin-Sueni, Président a.i de l’UNPC, ces conclusions présentées par le Professeur Bamany, permettront au ministre de constituer un argumentaire face au Président de la République et au gouvernement Sama afin d’une organisation imminente du congrès extraordinaire de son association avant la tenue des élections en décembre prochain.

Comme l’UNPC, le ministre a remercié les traditionnels partenaires de la presse congolaise notamment Internews, la Coopération suédoise, l’USAID et Fhi360 pour leur appui inconditionnel à la refondation de la presse congolaise, vecteur de l’unité et de la cohésion nationales.




BRICS : les opportunités de croissance abondent alors que de plus en plus de pays se préparent à rejoindre le bloc

Un soleil rayonne dans cinq couleurs : vert, bleu, orange, rouge et jaune, représentant les cinq membres actuels des BRICS, sur le logo de son sommet de 2023.

 

Le 15e Sommet des BRICS, qui se tient en Afrique du Sud du 22 au 24 août, défend le thème “Partenariat pour une croissance mutuellement accélérée, un développement durable et un multilatéralisme inclusif”. Selon les responsables des BRICS, cet esprit a suscité l’intérêt d’environ 40 pays pour rejoindre le groupe.

 

A mesure que davantage de pays expriment leur intérêt pour rejoindre le bloc, le soleil semble encore plus lumineux et vibrant.

 

Un groupe grandissant

 

Lors du sommet, les dirigeants discutent de l’expansion du groupe des BRICS, notamment des critères d’adhésion et des principes directeurs, a fait remarquer Carlos Maria Correa, directeur exécutif de South Center, lors d’une récente interview accordée à Xinhua.

 

“Vingt-deux pays se sont formellement adressés aux pays des BRICS pour devenir des membres à part entière. Un nombre égal de pays ont posé de manière informelle des questions sur l’adhésion aux BRICS”, a déclaré Anil Sooklal, ambassadeur de l’Afrique du Sud pour les BRICS.

 

L’Algérie est parmi les derniers pays à montrer leur intérêt. “Nous avons officiellement demandé à rejoindre le groupe des BRICS et nous avons envoyé une lettre demandant à être membres actionnaires de la banque (Nouvelle Banque de développement)”, a indiqué le président algérien Abdelmadjid Tebboune, cité le 22 juillet par la chaîne de télévision arabophone Ennahar TV.

 

Selon le quotidien japonais Mainichi Shimbun, l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Nigeria et d’autres pays producteurs de pétrole ont également présenté des demandes. Une fois approuvés, les membres des BRICS couvriront plus de la moitié des ressources mondiales en pétrole et en gaz.

 

“De nombreux pays du Sud global ont cherché à se réunir afin de travailler en faveur d’un ordre mondial plus juste et plus inclusif (…) Les BRICS inspirent de nombreux pays à se réunir à nouveau pour faire progresser cette vision”, a déclaré Kenneth Creamer, professeur principal à l’Université de Witwatersrand, lors d’une récente interview avec Xinhua.

 

Le charme des Brics

 

En juin dernier, le président français Emmanuel Macron a exprimé son intention de participer au prochain sommet à la suite de ses entretiens avec la ministre sud-africaine des Relations internationales et de la Coopération, Naledi Pandor.

 

C’est là que réside le charme des BRICS. Le bloc est devenu une force positive, stable et constructive dans les affaires internationales.

 

Plusieurs économies émergentes, par exemple, sont en difficulté financière en raison des politiques économiques strictes du FMI, a déclaré Deutsche Welle, la chaîne de télévision publique allemande. Elle a noté que la Nouvelle Banque de développement et l’Accord de réserve éventuel des BRICS pourraient soutenir les économies en difficulté de paiement.

 

“La Nouvelle Banque de développement est la réalisation la plus remarquable. Elle a également conduit à une augmentation des échanges entre les pays et a gagné une certaine attention internationale”, a déclaré Daniel Bradlow, professeur à l’Université de Pretoria, qui a étudié le groupe.

 

Avant tout, les BRICS défendent la multipolarité et le multilatéralisme, a affirmé le président cubain Miguel Diaz-Canel. Ce faisant, “les pays des BRICS contrent le concept de la Guerre froide et ouvrent la possibilité d’un ordre international plus équitable et plus juste, bénéfique pour le monde”.

 

“Dans un monde de plus en plus polarisé, les BRICS créent une voie propice aux pays pour façonner un ordre politique et économique plus inclusif”, a déclaré Cavince Adhere, spécialiste kényan des relations internationales.

 

Des perspectives plus vastes

 

De nombreux pays en ont assez de la quasi-domination des Etats-Unis sur l’économie mondiale depuis des décennies, a noté le site internet espagnol Rebelion. Le non-respect des directives de Washington entraîne des sanctions et un chantage financier.

 

Avec de futurs membres potentiels, le commerce transfrontalier au sein du groupe deviendrait plus efficace et attirerait davantage d’investisseurs. La perspective d’une monnaie émise par les BRICS est une possibilité.

 

“Ses membres seraient probablement en mesure de produire une gamme plus large de biens que n’importe quelle union monétaire existante”, a indiqué le magazine américain Foreign Policy, en commentant la monnaie potentielle. “Etant donné que chaque membre du groupe des BRICS est un poids lourd économique dans sa propre région, les pays du monde entier seraient probablement disposés à faire des affaires dans cette monnaie hypothétique”.

 

Alors que le Bangladesh, l’Egypte, les Emirats arabes unis et l’Uruguay ont été admis en tant que nouveaux membres de la Nouvelle Banque de développement, il est inévitable qu’il y ait un commerce international encore plus équitable et accessible, car ces quatre pays se trouvent sur trois continents.

 

“Pour les nouveaux venus, faire partie des BRICS pourrait étendre leur influence diplomatique et ouvrir des opportunités commerciales et d’investissement lucratives”, a récemment commenté le Washington Post.

 

Lors d’une interview accordée à l’agence de presse TASS, Nozipho Mxakato-Diseko, représentante permanente de l’Afrique du Sud auprès des Nations Unies à Genève, a déclaré que les BRICS étaient heureux d’accepter de nouveaux membres ayant exprimé leur intérêt pour rejoindre le groupe.

 

“Les BRICS s’engagent à soutenir le multilatéralisme, à réformer le système de gouvernance mondiale et ont constamment plaidé en faveur d’un traitement équitable des pays en développement sur la scène internationale”, a déclaré Gerald Mbanda, expert en coopération Afrique-Chine, à Xinhua.

 

“C’est la raison pour laquelle je crois que les BRICS sont sans aucun doute un moyen de croissance accélérée avec des opportunités commerciales et d’investissement accrues”, a-t-il ajouté.




Le commerce entre la Chine et les autres pays des BRICS enregistre une expansion rapide de janvier à juillet

Le commerce de la Chine avec les quatre autres pays des BRICS a maintenu une expansion rapide au cours des sept premiers mois de l’année, selon les données officielles publiées lundi.

 

Les importations et exportations de la Chine avec les autres membres des BRICS ont augmenté de 19,1% en glissement annuel pour atteindre 2.380 milliards de yuans (environ 330,62 milliards de dollars) sur la période janvier-juillet, d’après les données publiées par l’Administration générale des douanes.

 

Les exportations ont progressé de 23,9% sur un an à 1.230 milliards de yuans, tandis que les importations ont augmenté de 14,3% par rapport à l’année dernière pour atteindre 1.150 milliards de yuans, précisent les données.

 

Le commerce avec ces pays s’est élevé à 10,1% du total du commerce extérieur de la Chine au cours des sept premiers mois, soit 1,6 point de pourcentage de plus qu’il y a un an, selon les autorités douanières.

 

Les échanges commerciaux de la Chine avec les autres pays des BRICS ont augmenté de 17% sur un an pour atteindre 3.690 milliards de yuans en 2022, d’après les données douanières.

 

Les entreprises privées chinoises sont le principal contributeur à l’expansion du commerce de la Chine avec les autres pays des BRICS. Les importations et les exportations de ces entreprises ont augmenté de 29,4% d’une année sur l’autre pour atteindre 1.360 milliards de yuans au cours des sept premiers mois, représentant 57,1% du total du pays.

 

Les principaux moteurs de la croissance des exportations sont les biens à forte intensité de main-d’uvre et les produits mécaniques et électriques, selon les autorités douanières.

 

Les exportations de produits mécaniques et électriques ont augmenté de 38% par rapport à l’année dernière au cours de la période janvier-juillet, tandis que celles de biens à forte intensité de main-d’uvre ont progressé de 20,5% en glissement annuel, d’après les données.

 

En particulier, les exportations de batteries au lithium et de véhicules de tourisme électriques ont enregistré une croissance annuelle de 129,5% et de 601,3%, respectivement.

 

Stimulées par une coopération étroite, les importations chinoises de produits énergétiques et de produits agricoles ont connu une augmentation constante. Le pays a acheté un total de 422,78 milliards de yuans de produits énergétiques des autres membres des BRICS au cours des sept premiers mois, en hausse de 17,3% en

glissement annuel.




Xi Jinping répond à une lettre du corps professoral et des étudiants de lInstitut Confucius de lUniversité de technologie de Durban en Afrique du Sud

Récemment, le président chinois Xi Jinping a répondu à la lettre du corps professoral et des étudiants de lInstitut Confucius de lUniversité de technologie de Durban en Afrique du Sud et les a encouragés à bien apprendre la langue chinoise et à contribuer à faire progresser lamitié et la coopération amicale entre la Chine et lAfrique du Sud.

 

Dans sa lettre, Xi Jinping a déclaré quil avait assisté à la création de cet Institut Confucius il y a dix ans et quil était heureux de constater que, grâce aux efforts conjoints des deux parties, les échanges éducatifs et culturels entre les deux pays avaient donné des résultats fructueux. Une multitude de jeunes sud-africains ont eu un aperçu de lhistoire et de la culture de la Chine, ont élargi leurs possibilités de carrière et ont réalisé leurs rêves en apprenant le chinois, sest-il félicité.

 

La Chine et lAfrique du Sud, toutes deux pays en développement importants, ont forgé une amitié fraternelle spéciale, a souligné Xi Jinping. Lapprentissage et la compréhension de la langue et de la culture de lautre contribuent à faciliter la compréhension mutuelle et à cultiver une amitié durable entre les peuples des deux pays, a indiqué le président chinois. Tout en ayant une bonne maîtrise de la langue chinoise, les enseignants et les étudiants sont invités à visiter la Chine plus souvent et à avoir une compréhension plus profonde de la Chine, à partager une vision vraie, multidimensionnelle et panoramique de la Chine avec plus damis en utilisant ce quils ont appris, réfléchi ainsi que ce quils ont vu et entendu, et à sefforcer dêtre des ambassadeurs pour transmettre et développer lamitié entre les deux pays, afin de contribuer à promouvoir lamitié et la coopération entre la Chine et lAfrique et à construire une communauté davenir partagé pour lhumanité, a souligné Xi Jinping.

 

Lors de sa visite en Afrique du Sud en mars 2013, Xi Jinping a assisté à la signature dun accord sur la création de lInstitut Confucius à lUniversité de technologie de Durban entre la Chine et lAfrique du Sud. En dix ans, linstitut a formé près de 10000 étudiants. Récemment, cinquante enseignants et étudiants de l’institut ont écrit au président Xi une lettre conjointe, dans laquelle ils ont partagé leurs expériences, acquis et sentiments dans l’apprentissage du chinois, remercié Xi Jinping et le gouvernement chinois d’offrir davantage d’opportunités aux jeunes africains pour poursuivre leurs rêves, tout en exprimant leur grande attente pour une nouvelle visite de Xi Jinping en Afrique

du Sud.




Départ du président chinois pour le 15e Sommet des BRICS à Johannesburg

Le président chinois, Xi Jinping, est parti lundi de Beijing pour participer au 15e Sommet des BRICS qui se tiendra à Johannesburg, en Afrique du Sud, et effectuer une visite d’Etat dans ce pays.

M. Xi effectue cette visite à l’invitation du président de la République d’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa. En Afrique du Sud, les deux dirigeants co-présideront le Dialogue des dirigeants Chine-Afrique.

L’entourage de M. Xi comprend notamment Cai Qi, membre du Comité permanent du Bureau politique du Comité central du Parti communiste chinois (PCC) et directeur de la Direction générale du Comité central du PCC, ainsi que Wang Yi, membre du Bureau politique du Comité central du PCC et ministre des Affaires étrangères.




Diplomatie : Xi Jinping en Afrique du sud pour 15e sommet des Brics

Le président chinois Xi Jinping séjourne depuis le lundi en Afrique du Sud précisément à Johannesburg où il participe au 15e Sommet des Brics qui ouvre ces portes ce mardi 22 août.

Cette visite est sur invitation de son homologue Sud-africain Cyril Ramaphosa. Les deux dirigeants vont co-présidéer le dialogue des dirigeants Chine-Afrique.

Le 15e Sommet des BRICS, qui se tient en Afrique du Sud du 22 au 24 août, a pour thème «Partenariat pour une croissance mutuellement accélérée, un développement durable et un multilatéralisme inclusif». Selon les responsables des BRICS, cette nouvelle suscite l’intérêt d’environ 40 pays pour rejoindre le groupe. Plus des pays expriment leur intérêt pour rejoindre le bloc.

Déjà les discussions sur l’expansion du groupe des Brics, notamment des critères d’adhésion et des principes directeurs, sont également prévus. «Vingt-deux pays se sont formellement adressés aux pays des BRICS pour devenir des membres à part entière», a fait remarquer Carlos Maria Correa, directeur exécutif de South Center, lors d’une récente interview accordée à Xinhua.

L’Algérie est parmi les derniers pays à montrer leur intérêt. “Nous avons officiellement demandé à rejoindre le groupe des BRICS et nous avons envoyé une lettre demandant à être membres actionnaires de la banque (Nouvelle Banque de développement)”, a indiqué son président, Abdelmadjid Tebboune, dans une interview accordée, à la chaîne de télévision arabophone Ennahar TV au mois de juillet dernier.

Les BRICS défendent la multipolarité et le multilatéralisme, mais c’est aussi une réponse pour réformer l’ordre mondiale, donc façonner un ordre politique et économique plus inclusif, estime un spécialiste Kenyan des relations

Il faut dire que les Brics est un moyen de croissance accélérée avec des opportunités commerciales et d’investissements accrues. Une nouvelle vision qui attire de plus en plus de pays, le président Français Emmanuel Macron, a au cours de ses entretiens avec la ministre sud-africaine des relations internationales et des coopérations au mois de juin dernier, avait exprimé son intention de participer au prochain sommet, donc le 15e Sommet.

Le bloc est devenu une force positive, stable et constructive dans les affaires internationales. Les dirigeants membres des Brics réfléchissent déjà sur la perspective d’une monnaie.

Hugo Matadi




Digitalisation de TRANSCO: Le DG Cyprien Mbere échange avec le DG de la société Solutech 

Le bâtonnier Cyprien Mbere Moba, Directeur général de l’établissement public transports au Congo « TRANSCO », a accordé une audience dans son bureau de travail au Directeur général de la société privée Solutech, M. Emmanuel Koloando.

Cette rencontre qui a également connue la participation du Directeur général adjoint Flory Bwatuka était axée notamment sur un partenariat gagnant-gagnant entre TRANSCO et SOLUTECH a eu lieu dans l’après-midi de ce lundi 21 août 2023 à Kinshasa, précisément à la Direction générale de cet Établissement Public de transports, situé dans la Commune de Masina, au quartier Siforco.

Les échanges entre les deux personnalités ont essentiellement tournés autour de la mise en œuvre du projet de digitalisation des services de l’Etablissement Public TRANSCO. C’est par une volonté manifeste du chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui tient mordicus à l’adaptation et à l’application des nouvelles technologies de l’information et de la communication en RDC, que ce vaste projet sur la réforme mieux encore la digitalisation des services TRANSCO exécuté par la société privée Solutech se concrétise enfin.




*KIM JONG UN visite un chantier de réparation des dégâts*

Ce 21 août, le Maréchal KIM JONG UN;

• Secrétaire Général du Parti du Travail de Corée (PTC, parti au pouvoir et de la plus longue histoire du monde, NDLR)
• Président des Affaires d’Etat de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes dont les Généralissimes KIM IL SUNG (1912-1994) et KIM JONG IL (1942-2011) ainsi que KIM JONG UN, NDLR)

a visité le chantier de réparation des dégâts du Polder Ansok du Combinat d’Aménagement de Polders de la Province Sud-Phyongan. KIM JONG UN;

• s’est informé, sur le terrain, du feed-back (l’état des dégâts et celui de leur réparation) à travers les cadres du Bureau Politique du Comité Central (CC) du PTC et du Ministère de la Défense Nationale, dont JO Yong Won, KIM Jae Ryong, KANG Sun Nam, JONG Kyong Thaek, KIM Jong Gwan et PAK Jong Chon (Tout récemment, la digue du Polder Ansok, sise dans la Commune Sokchi de l’Arrondissement Onchon de la Ville Nampho, a été endommagée sous l’impact de l’eau de la Mer de l’Ouest de Corée, car le Combinat d’Aménagement de Polders de la Province Sud-Phyongan n’avait pas achevé, comme il faut, les travaux d’installation d’ouvrages de drainage sur ladite digue. Il en est résulté que la zone de polder englobant plus de 560ha de terres y compris quelque 270ha de rizières, était submergée.)
• a critiqué, sévèrement sur base de l’enquête et de l’analyse détaillées sur le motif et la cause de l’apparition des dégâts, l’irresponsabilité et la négligence professionnelle des certains cadres.

KIM JONG UN a indiqué entre autres;

• Quelques jours avant, après avoir reçu un rapport sur la submersion des rizières du Polder Ansok, on a dépêché les Secrétaires du CC du PTC sur le lieu pour qu’ils dirigent, sur place, les travaux de remise en état, en mobilisant même les militaires. Or, les responsables du Conseil des Ministres, des ministères et d’autres organismes du niveau central ne s’étaient jamais présentés sur le chantier de réparation.
• Quant au 1er Ministre, il ne faisait qu’un tour en tant qu’un simple spectateur, une ou deux fois, dans le chantier, avant d’y envoyer un Vice-1er Ministre qui ne jouait que le rôle d’approvisionneur de carburant.
• De son côté, le Chef de la Direction d’Aménagement de Polders chargé de la direction de ces travaux a proposé, au comité de ladite Direction du PTC, son intention de retourner chez soi, sous prétexte qu’il n’avait rien d’importance à faire, ce qui le poussait à s’exposer à la critique. Malgré cela, il gaspillait la plupart de son temps dans son bureau. De surcroît, il n’hésitait pas à receler incognito une quantité de carburant approvisionné par l’Etat pour les travaux de construction de vannes de vidange, chose vraiment méchante. En tant que personnes intéressées à l’apparition de graves dégâts, ils n’ont pas des remords ni de volonté de remplir leur mission. Cela relève de leur manque intentionnel aux devoirs.
• Il y a peu de temps à l’occasion de l’apparition des dégâts causés par la submersion de terres cultivées dans l’Arrondissement Anbyon (Province Kangwon), on a éveillé l’attention de la prise stricte des mesures de prévention des dégâts à l’échelle nationale et critiqué, sévèrement, la manière de travailler irresponsable des cadres du Gouvernement et des cadres des organismes locaux de l’administration et de l’économie à travers le style de lutte des militaires mobilisés dans la réparation des dégâts. Mais, ceux-ci sont encore insensibles. Ils recourent, aujourdhui encore, à une attitude éhontée et arrogante, en exigeant pour l’Armée Populaire de Corée (APC) de s’occuper, entièrement, de la réparation et en le prenant comme un fait naturel.
• Cette année-ci, le Combinat d’Aménagement de Polders de la Province Sud-Phyongan a procédé, de façon bâclée et grossière, aux travaux d’installation d’ouvrages de drainage dans le cadre de prévention de la submersion des terres cultivées dès ce juin, sans l’autorisation de construire de l’Etat et en dehors de la surveillance et du contrôle de l’organe de supervision de la construction. Malgré qu’il ait découvert, au préalable, la fuite d’eau depuis la digue d’écluse, il n’avait pas pris les mesures adéquates. La méthode de travail erronée des unités d’échelon inférieur est, certes, une question non négligeable. Néanmoins, si le Conseil des Ministres n’était pas encore au courant de ce que la Direction d’Aménagement de Polders avait approuvé de sa propre volonté cette construction qui se déroulait sans méthode, c’est un exemple typique démontrant le désordre dans l’administration et l’économie nationale. Cela nous permet de bien connaître que toutes les activités de l’administration et de l’économie nationale du Conseil des Ministres détonnent dans le milieu.
• Un système de travail cohérent n’est pas instauré, à l’heure actuelle, au sein du Conseil des Ministres, et les cadres incompétents sont promus et restent seulement en titre. Ainsi, ils ne dirigent pas, comme il faut, les travaux des unités d’activités affiliées.
• Ces quelques dernières années, la discipline de l’administration et de l’économie nationale se relâche, au fil des jours, au sein du Cabinet de KIM Tok Hun (1er Ministre). Ainsi, la manière de travailler irresponsable des paresseux gâte les activités économiques de l’Etat. Le Conseil des Ministres est devenu, maintenant, bureau des instructions et celui de feed-back, ce qui est imputable, plus ou moins, au CC du PTC qui s’occupe de la direction politique du PTC et de celle de la direction par le PTC sur les affaires économiques de l’Etat et les organismes économiques.
• Le présent dommage n’est nullement une calamité causée par les catastrophes naturelles, mais le désastre engendré, d’un bout à l’autre, par l’irresponsabilité et l’indiscipline des paresseux. On ne peut jamais pardonner les gens politiquement immatures qui n’agissent pas de concert avec l’appel du CC du PTC, les débiles mentaux qui ne considèrent pas l’avertissement dans le propre sens ou terme, les bureaucrates qui ignorent la sûreté de la vie et des biens du Peuple, et les malhonnêtes qui montrent peu de sérieux dans l’accomplissement de leur devoir. Je donne mon Ordre, au Département de l’Organisation et de la Direction et au Département de l’Enquête de la Discipline du CC du PTC, au Comité National du Contrôle et au Parquet Central de la RPDC, de dénicher les organismes et les intéressés responsables pour les blâmer fort et punir sévèrement au niveau du PTC et dans le cadre juridique.
• Même au moment où l’on insiste sur la nécessité de prendre les mesures parfaites pour prévenir les dégâts causés dans les produits agricoles au niveau de tout l’Etat, l’irresponsabilité et l’indiscipline des cadres sévissent. Cela est redevable à l’attitude irrésolue et à la vision injuste du 1er Ministre qui, à travers son feed-back, a fait part des dispositions indignes, insistant sur le fait que la superficie de rizières du Polder Ansok appartenait aux terres d’une unité de l’APC en stationnement, terres non comprises dans le plan de production céréalière de l’Etat pour l’année en cours. En laissant presque toute la réparation à la charge de l’APC, il a organisé, grossièrement, un travail en la matière. Son comportement ignoble fait entrevoir son relâchement et son inactivité vis-à-vis des dégâts. C’est, vraiment, regrettable de voir une pensée et une action irresponsables du 1er Ministre indigne du commandant de l’économie du Pays et de la maîtresse de la vie de la population. L’irresponsabilité et la vision erronée de celui-ci devraient être contrôlées au sein du PTC. Et, l’exclusion du PTC du Chef de la Direction d’Aménagement de Polders sera à la discussion de la soumission d’examen de la discipline du PTC.
• On tire une nouvelle autre sonnette d’alarme à la désobéissance ou à l’indifférence à l’égard du commandement et de l’ordre du PTC et du Gouvernement, et au style de travail paisible et paresseux de certains cadres incompétents qui tournent le dos à l’entreprise qui n’est pas de leur ressort, sans se préoccuper du malheur du Pays. Il est vraiment nécessaire de changer l’état d’esprit des cadres prisonniers du défaitisme et de la crainte de se compromettre et de faire régner la coutume d’amener tous les hommes à obéir à une discipline et à participer avec le sens de responsabilité aux affaires de l’Etat.
• L’important c’est d’achever la réparation des dégâts causés au polder le plus vite possible. Il faut terminer, rapidement, la remise en état de digues détruites, d’une part, et d’autre part, élargir, au maximum, la superficie des rizières susceptibles d’être restaurées, prendre des mesures décisives pour améliorer la croissance du riz, notamment prévention des dégâts de salinité et entretien nutritif, et faire, ainsi, tous les efforts pour minimiser la diminution du rendement de riz et obtenir une récolte céréalière prévue au début.
• Tous les secteurs agricoles du Pays entier sont tenus de mettre en valeur, par tous les moyens, des mesures préventives destinées à faire face aux catastrophes naturelles et de faire dissiper, parfaitement, leurs dégâts.
• Actuellement, tous les domaines et toutes les unités d’activités, au lieu de se tenir en vigilance absolue, se contentent, toujours, de travailler à la manière de prendre des précautions quand le mal est arrivé, comme prendre des mesures nécessaires et tirer des leçons après avoir subi les pertes nationales. A l’occasion de cet incident, il nous faut prendre des mesures de prévention, dispositions substantielles et impeccables, de sorte que ne s’apparaissent plus d’absurdes dommages dus à l’absence de la riposte et au manque de compétence, ni surtout des catastrophes causées par l’irresponsabilité.
• J’appelle tous les cadres et travailleurs des unités d’activités de différents échelons, conscients de leur responsabilité de maître, à s’acquitter, strictement, de leur devoir et à faire, pleinement, preuve de patriotisme et de dévouement pour s’investir, corps et âme, dans les affaires du Pays.

Selon l’Ordre de KIM JONG UN, un contrôle concentré s’effectuera sur;

• la Direction d’Aménagement de Polders
• le Ministère de la Surveillance Nationale du BTP
• le Combinat d’Aménagement de Polders de la Province Sud-Phyongan
• la Direction de la Protection du Territoire National et de l’Environnement de la Ville Nampho
• la Direction de la Surveillance du BTP de la Ville Nampho.