Coopération Rdc- EAC: Vital Kamerhe favorable au renforcement de la coopération entre les pays de la sous-région dans un climat de paix pour l’intérêt de tous

M. Vital Kamerhe, Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale a échangé ce mercredi 16 août avec une délégation de l’Autorité de Concurrence de la Communauté des États de l’Afrique de l’Est (EACCA). Il était question pour la délégation conduite par Liliane Kajuju Mukoronia de faire part au patron de l’Économie nationale de sa mission entamée en début de semaine à Kinshasa.

Mme Liliane Kajuju, registraire de l’EACCA a affirmé que cette mission s’inscrit dans le cadre du processus d’intégration de la RDC au sein des organes de la Communauté des États de l’Afrique de l’Est (EAC).

« Nous sommes là pour rassurer que nous pouvons faire des affaires dans un climat favorable et dans un marché commun. Nous avons eu des discussions avec trois équipes : la CONAC, les représentants des institutions dont les ministères sectoriels et d’autres parties prenantes dont les associations des consommateurs, les organisations de la société civile… », a affirmé la registraire de l’EAC, à l’issue des échanges avec le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie nationale Vital Kamerhe.

D’après Liane Kajuju, son organisation prône la concurrence loyale dans la sous-région en vue d’assainir le marché, attirer plus d’investissements et protéger les intérêts des consommateurs.

Le Vice-Premier, Ministre, Ministre de l’Économie nationale s’est dit favorable au renforcement de la coopération entre les pays de la sous-région dans un climat de paix pour l’intérêt de tous.

 

« Le Président de la République, Son Excellence Félix Tshisekedi est un homme de paix . Et il a toujours rappelé qu’il n’y a pas développement sans paix. Et pour lui, la priorité pour le moment, c’est la paix à l’Est», a fait savoir Vital Kamerhe.

A en croire le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale, les destins des pays africains sont liés. D’où la nécessité d’œuvrer pour une véritable coopération en vue de promouvoir le développement de tous.

« Ça nous peine d’avoir la guerre à l’Est de la Rdc, au Sud-Soudan, en Somalie, au Niger, au Mali, au Burkina Faso, etc. Ce n’est pas ça l’Afrique que nous voulons! Nous voulons une Afrique en paix, qui voit les intérêts des populations pour œuvrer véritablement pour le développement», a martelé le Docteur Vital Kamerhe

Et de poursuivre : « L’Afrique doit aimer l’Afrique. Si nous mettons ensemble le Burundi, la Tanzanie, l’Ouganda, le Rwanda, etc., nous pouvons faire beaucoup de choses pour le développement de la sous-région. C’est aussi un point de départ pour résoudre le problème de l’insécurité. Nous prouvons à la face du monde que les Africains peuvent travailler ensemble car nos intérêts sont communs. »

Concernant la mission de la délégation de l’EAC en RDC, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale croit qu’elle constitue « un premier pas pour une véritable intégration sous-régionale.

Vital Kamerhe a salué différentes recommandations issues de l’atelier de mise en œuvre de la politique de la concurrence entre la Communauté de l’Afrique de l’Est et la République Démocratique du Congo, notamment la présence de la RDC à la tête de l’une des neuf structures de l’EAC, en l’occurrence l’institut monétaire.

Il faut noter que la délégation de l’Autorité de la Concurrence de l’EAC a eu trois jours d’échanges avec différentes parties prenantes.

Le premier jour a été consacré à une sensibilisation des membres de la Commission Nationale de la Concurrence de la RDC. Le deuxième jour était dédié à la sensibilisation des délégués des institutions dont la présidence de la République, du parlement, de la Primature et des ministères sectoriels. Cette série d’échanges s’est clôturée ce mercredi 16 août avec notamment les délégués la Fédération des entreprises du Congo (FEC), des Régies financières, des associations de protection des consommateurs, des milieux académiques, des cours et tribunaux, des autorités de régulation, de l’Office Congolais de contrôle, de la Direction Générale de Migration, du conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication, de l’Institut Nationale des recherches biomédicales etc.

Les participants ont eu des informations nécessaires sur la Communauté de l’Afrique de l’Est (EAC), sa structure de régulation de la concurrence (EACCA) et la législation de la communauté sur la concurrence.

Ces assises visaient l’harmonisation de différents outils règlementaires de la concurrence et des structures économiques, en vue d’une intégration de la CONAC au sein de l’EACCA.

 




5ème journée de la grande fête des Juifs : Le Pasteur Dieumerci Mutombo conseille au chrétien de refuser et briser toutes les lois qui l’excluent de la bénédiction  

L’Eglise mère de la Communauté des Assemblées Chrétiennes Voici l’homme « CAC/VH) continue à vibrer au rythme de la première édition de la grande fête des juifs, qui a débuté le 11 août 2023. Cette grande activité spirituelle de portée internationale qui se déroule pendant 10 jours, soit du 11 au 20 août 2023, a pour thème principal : “Pourquoi deviens-tu ainsi chaque matin plus maigre, toi fils de roi ? “, tiré du deuxième livre de Samuel 13:4.

Comme au premier jour, cette célébration continue encore à rassembler de milliers des fidèles qui viennent de 4 coins de la capitale et qui suivent en direct la retransmission de cette activité sur les différentes plateformes sociales, notamment sur la page Facebook de votre média en ligne le quotidienrdc.com.

Le pasteur François Mutombo Voici l’homme a annoncé à toute l’église que tous les prédicateurs prévus pour cette activité ont foulé le sol congolais. Et après cette étape, l’hôte de cette célébration a parlé de la semence et la récolte, un principe établi par le Seigneur après le déluge au temps de Noé. Ainsi, l’homme de Dieu a invité les prédicateurs à déclarer sur le peuple pour qu’il puisse hériter de la bénédiction du Seigneur dans leur vie.

Pour cette cinquième journée, le Pasteur Dieumerci Mutombo, ex-Directeur de cabinet de Lambert Mende, a été choisi comme prédicateur du soir, avec comme sous thème: “Donne-nous une possession parmi les frères de notre père”, tiré dans le livre des Nombres 27: 1-4.

Prenant la parole, l’homme de Dieu a d’abord rappelé le thème principal de cette activité qui est : “Pourquoi deviens-tu ainsi chaque matin plus maigre, toi fils de roi ?».

Abordant son message, il a rappelé les enfants de Dieu, une grande notion que cache ce thème qui est celle de l’identité de chaque enfant de Dieu, tout en s’appuyant sur ce que la bible dit : « qu’a tout ce qui l’on reçut, il les a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu “. Pour l’orateur du jour, le Seigneur a d’abord donné à l’homme une nouvelle identité qui lui permet de jouir tous les privilèges de l’Eternel.

En Israël, il y avait une loi qui disait que “l’héritage ne se transmettait que de père à fils “, pas le contraire. Cependant, il eut un homme de la maison d’Israël répondant au nom de Tselophchad qui n’avait que des filles pas des garçons. Après sa mort, tout son héritage fut confisqué par ses frères au nom de cette loi. Ainsi, ces 5 filles qui se sont vues refusées l’héritage de leur père s’élevèrent pour réclamer la part de leur père. Elles sont allées voir Moïse pour lui demander que l’héritage de leur père leur soit accordé sans aucun obstacle. Lorsque ses filles ont réalisé que le nom de leur père allait disparaître lors de la redistribution de ses terres, parce qu’il n’y avait pas d’héritier mâle, elles ont fait quelque chose d’extraordinaire, qui n’avait encore jamais été faite en Israël. Moïse qui avait présenté leur requête devant Dieu, le Seigneur avait répondu favorablement à leur demande ainsi ses 5 filles possédèrent les terres en Israël comme héritage prévu de leur père.

Pour le pasteur Dieumerci Mutombo, ces filles du moins savaient leur identité, elles se sont appuyées sur le nom de leur père. Chaque enfant de Dieu doit s’élever et reconnaître qu’il est le fils et la fille du roi des rois, que la bénédiction de Dieu et notre héritage et personne ne peut nous la confisquer. Pour lui, s’il y a des lois qui t’excluent de ta bénédiction, que cela soit brisée au nom de Jésus-Christ. Il a invité également tout enfant de Dieu à refuser toutes les lois qui nous empêchent de jouir de l’héritage de Dieu et de sa bénédiction.

Ces filles ont dit à Moïse : ” nous refusons que le nom de notre père soit effacé et oublié, tout ce qu’il y a des meilleurs dans la maison de Dieu t’appartient selon le livre aux Ephésiens 1 :13 à souligner l’homme de Dieu.




Avant de les déployer sur le terrain : Eddy Mfumumpoko forme les OPJ de la DGRK sur le mode opératoire des missions 

Deux semaines après leur prestation de serment, devant le Procureur au Parquet près le Tribunal de Grande Instance de Kinshasa/Gombe, les Inspecteurs assermentés de la DRGK ont été convoqués par le Directeur général Eddy Mfumumpoko, ce mercredi 16 août 2023 dans la salle polyvalente Frère Henry Carolus de la Gombe, pour un échange professionnel axé sur le mode opératoire des missions qui leurs seront dévolues.

Le numéro 1 de la DGRK a d’abord félicité tous ces cadres pour avoir fourni les efforts pour atteindre ensemble cette étape si importante qui leur donne une nouvelle qualité professionnelle pour la suite de leur carrière au service de la province. « Vous êtes la police au sein de la régie. La mission qui vous est dévolue et non seulement de vouloir faire de missions d’enquête, mais aussi vous êtes appelés à encadrer les différents services que regorgent notre régie», explique-t-il.

Soucieux de voir les choses aller plus loin et correctement au sein de la Direction générale des recettes de Kinshasa, Eddy Mfumumpoko a invité les agents à demeurer fidèles à leur serment et à agir loyalement dans l’exécution de leur mandat. Sur terrain, il a appelé les uns et les autres à ne pas brader leur serment. Et ce, avant de mettre en garde ceux qui se méconduiront qu’ils verront leur qualité d’OPJ être retirée.

Pour sa part, Félicien Ngobila, Inspecteur Coordon de l’Inspection générale de la Direction générale des recettes de Kinshasa (DGRK) a à son tour remercié le numéro 1 de la régie financière provinciale pour avoir transformé cette direction. Au nom de tous les inspecteurs, Félicien Ngobila a promis au Directeur général que sa direction ne va pas le décevoir et tout sera mis en marche pour que le résultat escompté soit réalisé.

Mme Mamie Sanganyi Bulambo, Directeur de la coordination, études et contentieux qu’accompagner le directeur général Eddy Mfumumpoko a de f son côté salué cette rencontre. Pour elle l’inspection est comme le bras de la DGRK ainsi elle mérite beaucoup d’attention. Sur ce Mamie Sangani Bulambo a invité les inspecteurs à maîtriser, les textes légaux car dit-elle la fiscalité est procédurale.

A noter que dans les jours qui viennent, les Inspecteurs aujourd’hui revêtus de la qualité d’OPJ à compétence restreinte seront déployés dans les différentes directions et centres opérationnels pour encadrer les services et les agents dans l’assiduité et dans l’encadrement des recettes.




Cinq raisons de s’inquiéter du poids de l’économie informelle

Économie de l’ombre, grise, non déclarée ou informelle : tous ces termes renvoient à une réalité très répandue dans les pays émergents et en développement. Cette « informalité » généralisée est particulièrement préoccupante aujourd’hui, car elle risque de compliquer la tâche des pays à l’heure de s’engager sur la voie d’un développement inclusif indispensable pour réparer les dégâts de la pandémie de COVID-19.

Première raison : l’économie de l’ombre est omniprésente. Dans les économies émergentes et en développement, le secteur informel contribue à pratiquement un tiers du PIB et représente plus de 70 % de l’emploi total, dont la moitié environ sous la forme de travail indépendant (figure 1). Parmi les six régions émergentes et en développement, c’est en Afrique subsaharienne, en Europe et Asie centrale, et en Amérique latine et Caraïbes que le poids de l’économie informelle dans le PIB est le plus élevé. Tandis que la part des emplois informels (estimée en fonction du travail indépendant) est la plus importante en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud, et en Asie de l’Est et Pacifique.
Figure 1. Poids du secteur informel dans la production et l’emploi

Note : La production du secteur informel est estimée à l’aide d’un modèle d’équilibre général dynamique et exprimée en pourcentage du PIB officiel. L’emploi informel et l’emploi indépendant sont exprimés en pourcentage de l’emploi total. Les barres représentent les moyennes non pondérées pour la dernière année disponible.
Deuxième raison : un niveau élevé d’informalité rime avec une faible productivité. Dans les économies émergentes et en développement, la productivité du travail dans les entreprises informelles n’atteint qu’un quart en moyenne de celle que connaissent les structures déclarées . La rémunération des travailleurs informels est inférieure de 19 % en moyenne à celle des salariés du secteur formel. Un écart qui s’explique en grande partie par les caractéristiques qui distinguent ces deux catégories de travailleurs. De fait, dès lors que l’on prend en compte le faible niveau d’éducation, le manque d’expérience et d’autres traits caractéristiques des travailleurs informels, les disparités de salaire deviennent négligeables (figure 2).
Figure 2. Écart de salaire en faveur des travailleurs du secteur formel

Note : L’avantage salarial (représenté par les barres) est calculé à partir de 18 études empiriques sur les écarts de salaire entre travailleurs formels et informels. Les traits verticaux représentent l’intervalle de confiance à 90 %. Voir Ohnsorge, Okawa et Yu (2021) pour des informations détaillées.
Troisième raison : l’économie informelle est corrélée à de multiples difficultés de développement — une plus grande pauvreté, des revenus par habitant plus faibles, des progrès plus lents sur les Objectifs de développement durable, des inégalités plus prononcées et des investissements moins importants. Environ un quart (26 %) de la population des économies émergentes et en développement dont le niveau d’informalité est supérieur à la médiane vit dans l’extrême pauvreté, contre un taux de 7 % seulement dans celles où l’informalité est inférieure à la médiane (figure 3).
Figure 3. Extrême pauvreté


Note : Les économies « très informelles » et « peu informelles » correspondent respectivement aux économies émergentes et en développement dont le poids du secteur informel dans la production, exprimé en pourcentage du PIB officiel, est supérieur ou inférieur à la médiane, en fonction d’estimations basées sur un modèle d’équilibre général dynamique sur la période 1990-2018. Le taux d’extrême pauvreté correspond au pourcentage de la population vivant avec moins de 1,90 dollar par jour aux prix internationaux de 2011. Les barres représentent les moyennes simples de 155 économies émergentes et en développement pour la dernière année disponible (jusqu’en 2018).
Quatrième raison : l’économie de l’ombre est généralement d’autant plus forte que les capacités de l’État sont faibles. La prépondérance du secteur informel s’accompagne d’un niveau de recettes et de dépenses considérablement moins élevé, d’institutions publiques moins efficaces , de pesanteurs réglementaires et fiscales importantes et d’une gouvernance plus fragile. Dans les économies émergentes et en développement où le degré d’informalité est supérieur à la médiane, les recettes publiques sont inférieures de 5 à 12 points de pourcentage de PIB à celles des autres économies (figure 4).
Figure 4. Recettes et dépenses publiques


Note : Les économies « très informelles » et « peu informelles » correspondent respectivement aux économies émergentes et en développement dont le poids du secteur informel dans la production, exprimé en pourcentage du PIB officiel, est supérieur ou inférieur à la médiane, en fonction d’estimations basées sur un modèle d’équilibre général dynamique sur la période 1990-2018. Les barres représentent les moyennes de 2000-18 pour les économies émergentes et en développement dont la population est supérieure à 3,5 millions d’habitants.
Cinquième raison : Il n’y a pas de solution simple à l’économie de l’ombre. Pour certains, travailler dans le secteur informel est un choix. Pour d’autres, c’est un dernier recours. L’emploi informel recouvre un large éventail de situations : travailleurs indépendants, petits exploitants agricoles, employés sans contrat de travail, etc. Dans les régions émergentes et en développement où les niveaux d’emploi informels sont les plus élevés, l’agriculture — un secteur où les travailleurs ne sont généralement pas déclarés — continue d’occuper une place particulièrement importante (figure 5).
Les causes de l’informalité sont trop diverses pour que les solutions conviennent à toutes les situations. Il faut par conséquent des réformes globales et adaptées au contexte national.
En Afrique subsaharienne, où les travailleurs se tournent souvent vers une activité informelle par nécessité, les mesures se sont attachées en priorité à développer le capital humain et améliorer l’accès aux financements, aux marchés et aux intrants dans le but d’accroître la productivité du travail. En revanche, en Europe et Asie centrale, en Amérique latine et Caraïbes, et dans une grande partie du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, elles ont avant tout visé à assouplir les contraintes réglementaires et à mettre en place des institutions plus efficaces et responsables, en mettant en particulier l’accent sur le renforcement de l’application de la loi et la lutte contre la corruption.
Figure 5. Part de l’agriculture dans le PIB, par région


Note : Les barres représentent des moyennes régionales simples pour la période 2010-18. EAP = Asie de l’Est et Pacifique ; ECA = Europe et Asie centrale ; LAC = Amérique latine et Caraïbes ; MNA = Moyen-Orient et Afrique du Nord ; SAR = Asie du Sud ; SSA = Afrique subsaharienne.
Shu Yu, Économiste, Groupe des perspectives de développement et Vorisek, Économiste senior, Groupe des perspectives de développement à la Banque




En marge de la grande fête des juifs : Le pasteur Florent Mwalimu explique le bien-fondé d’une alliance entre l’église et son pasteur   

Venu à Kinshasa, mieux à Kalembelembe pour participer à la célébration de la grande fête des Juifs, du 11 au 20 août 2023, le Pasteur Florent Mwalimu de Toronto au Canada a été approché par la presse congolaise, qui a voulu avoir le cœur net sur sa prédication. Il a dit avoir repris presque la même chose dans sa deuxième prédication, mais cette fois-ci pour parler de la race. « La race, c’est quelque chose qui distingue les gens. Et souvent, la race est liée à la personne qui est comme leader. La race de Dieu est liée à la personne que Dieu donne. La race des vainqueurs, c’est la race de ceux qui perdurent jusqu’à la fin », explique-t-il.

Et de poursuivre qu’avant, je croyais que ce sont les capacités, les qualités, la beauté, … qui ouvraient la voix à quelqu’un d’accéder à quelque chose. J’ai fini par croire que c’est faux. « Avant je croyais que quand on jeûne beaucoup, c’est là que Dieu se produit. Dieu se produit quand il veut comme il veut. Ça peut être quelqu’un qui jeûne beaucoup, mais rien ne se produit. Ça peut être quelqu’un qui jeûne beaucoup, rien ne se fait. Mais quand Dieu décide, quelque soient des épreuves, il y a des effets. Et qu’est-ce qui est à la base, c’est Dieu », répond-t-il.

Il a insisté pour dire qu’il ne t’appartient pas à toi de te valoriser, cela appartient à Dieu qui choisit et qui établit. « Ce ne pas que nous nous avons postulé », tranche-t-il.

Il a poursuivi en disant que Dieu ne peut pas venir au travers des animaux, mais de l’homme. Et quand on fait alliance avec Dieu, on ne le fait pas parce qu’on ne le voit pas. Il faut qu’il y ait la présence d’un homme. Quand Dieu veut te parler, il va le faire au travers d’un homme. Si tu crois que c’est qu’on prononce va arriver, ça va arriver. C’est pourquoi c’est très intéressant de faire cette alliance pour que l’homme de Dieu prononce des paroles sur moi et je les verrais arriver.

Il a terminé par dire qu’on n’était venu pour 15 jours, et là c’est 10 jours, c’est comme si c’est la première fois d’arriver ici. L’ambiance et l’atmosphère spirituelle sont différentes. Je peux dire qu’il y a quelque chose qui est parti, et il y aussi quelque chose qu’on a mis. Je crois que c’est la plate-forme, la première, une réussite complète.

Il a été complété par le Pasteur François Mutombo Voici l’homme qui a avoué avoir aimé la prédication du jour, à travers laquelle l’homme de Dieu a parlé sur le thème : « Je suis Juif, je suis de la race des juifs, et je ne perds jamais ». Pour dire que d’autres races peuvent perdre, mais la race juive est une race exceptionnelle, une race mise à part, qui ne perd jamais », dit-il.

Il a précisé que les deux orateurs qui trainaient encore suite à certains empêchements, viennent d’arriver. « Je crois que demain, nous montons à une autre vitesse. Voilà pourquoi je lance un appel à ceux qui hésitent encore d’être là parce que le quorum vient d’être atteint », dit-il, avant d’ajouter que je crois qu’à partir de demain 15 jusqu’au 20. Les avant-midis, nous allons continuer avec l’école du ministère.




Présidente de la Ligue des Femmes du MSC au Kongo Central: Frida Munshy, une tournée qui a changé toute la donne politique électorale

L’honorable Frida Munshy, présidente national de la Ligue des Femmes du Mouvement de Solidarité pour le Changement (MSC) s’impose désormais dans la cours des grands non seulement comme une vrai leader politique, mais également comme une mère rassembleuse. Candidate à la députation nationale dans la circonscription de la Tshangu, son dernier périple dans le Kongo Central profond vient effectivement de changer la donne politique électorale du MSC. Cette étape a été la plus déterminante, parce qu’elle a constitué un véritable enjeu de réunifier les membres, expliquer la vision de l’Autorité morale Laurent Batumona, présenter la candidature unique de Félix Tshisekedi au poste de Président de la République de son parti MSC et de ses regroupements. Devant les candidats à la députation nationale, provinciale et des Conseillers communaux, elle a mis à profit ces moments de rencontre pour remonter le moral des cadres et leurs responsables des fédérations et Ligues.

Au début du mois d’août, la Présidente de la Ligue des Femmes du MSC, l’honorable Frida Munshy, l’une de candidate potentielle du Regroupement AMSC aux prochaines élections de 2023, s’est rendue dans le Kongo Central pour évaluer et motiver les candidats qui vont affronter les élections prochaines de décembre 2023 à tous les niveaux. Des contacts politiques qu’elle a entrepris avec dextérité et détermination dans les différentes fédérations, il en est ressorti la confirmation d’un bon message de rassemblement et de conscientisation pour soutenir la candidature de Félix Tshisekedi Tshilombo pour un deuxième mandat.
Il a été question pendant son séjour de redynamiser les activités du parti au Kongo Central, de procéder au réarmement moral et politique afin de mettre en place une stratégie électorale.
Il a été aussi question d’expliquer la vision aux regroupements politiques crées en cette période électorale. Il s’agit de : AAAP, AMSC, AE et ADR qui sont conduit de main de maître par l’honorable Laurent Batumona Kandi Kham et Autorité morale l’honorable de MSC.
Elle a livré un message d’apaisement qui a touché les consciences des candidats à tous les niveaux : ‘’ les candidats de tous les regroupements politiques doivent se sentir à l’aise parce que vous avez un président dynamique, travailleur, homme social et sans aucun doute orienté vers la paix, homme de bonne moralité et qui travail aux côtés du Président de la République Félix Tshisekedi pour le progrès social de notre pays.
Laurent Batumona n’a pas l’esprit de frustrer les candidats qui que ce soit. Compte tenu de l’ampleur de candidature, s’il quelqu’un ne se retrouve pas sur une liste, ce qu’il n’est pas aligné dans un regroupement choisi. C’est qu’il sera classé dans un autre regroupement’’. C’est le même message d’encouragement qu’elle a lancé partout où elle est passée.
Frida Munshy Yaya Yalake a rappelé que ceci fait partie d’une stratégie électorale peaufinée par l’Autorité morale, l’honorable Laurent Batumona, dans l’objectif ultime d’offrir une majorité parlementaire écrasante au Parlement et la réélection sans faille de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo aux élections de décembre 2023 en vue de poursuivre son programme de rendre la République Démocratique du Congo un pays émergent.
‘’Voilà qui va tant soit peu apporter un début de solution aux multiples problèmes qui se posent avec acuité au pays. Plus fondamentalement, la perspective de renforcer le programme de 145 territoires, l’implantation des usines et la réalisation des autres projets sociaux’’, constituent une des innovations dans son message.
A cette occasion, le drapeau du MSC flottait fièrement devant tous les lieux de rendez-vous de travail de Mama Frida. S’adressant aux dirigeants du MSC/Kongo Central, la dame de fer les a invités à travailler d’arrache-pied sur terrain avec mission de recruter les candidats potentiels à l’élection législative provinciale et municipale, étant donné que la CENI a déjà convoqué l’électorat pour l’élection de députés provinciaux et conseillers communaux de décembre 2023. Et surtout de présenter, dans un bref délai, la liste des mandataires ainsi que les dirigeants pouvant piloter les regroupements politiques au niveau du Kongo Central.
Ce périple qui l’a conduit à Kasangulu, Mbanza-Ngungu, Lukala, Matadi, Boma pour chuter à Moanda a certainement présenté un signe non seulement d’un heureux évènement réussi celui de réunifier, de conscientiser les bases du MSC et surtout de pouvoir rétablir les relations entre les dirigeants.
Partout où elle est passée, Frida Munshy a été accueillie tambour battant par les responsables de chaque fédération du MSC/Kongo Central ainsi que par les membres du parti avec lesquels les échanges ont tourné autour de questions électorales.
Très captif au message de la Présidente de la Ligue des Femmes du MSC, les membres et cadres du parti ont par leur témoignage confirmé et assuré que le message de l’honorable Frida a réarmé leur moral est que la victoire du MSC est certaine près de rafler un bon nombre des sièges à l’Assemblée nationale et à l’Assemblée provinciale. ‘’ Nous avons reçu une mission que maman Frida nous assigne : celle de travailler dans les villes et territoires de la province du Kongo Central pour rafler les voix au moment des élections’’, a déclaré Sita Ngoma Shadrack, Président Provincial du MSC/Kongo Central.
Au terme de sa mission et à titre de reconnaissance, les cadres du MSC/KC ont offert un dîner en l’honneur de la présidente Frida Munshy ainsi qu’à toute sa délégation dans la ville de Matadi. A cette occasion, elle a remercié l’Autorité morale, l’honorable Laurent Batumona Kandi Kham pour avoir fourni des efforts inlassables pour que toutes les listes des regroupements politiques soient déclarées recevables par la CENI.
Il faut noter que la tournée du Kongo Central fait suite à la vision de l’honorable Laurent Batumona consistant à réveiller les consciences des membres, redynamiser les activités à la base et la réarmée moralement et politiquement. Ainsi, elle a rencontré tous les présidents fédéraux, les présidentes des Ligues des femmes avec qui elle a abordé toutes les questions liées au fonctionnement, à la mobilisation et au renforcement des liens entre le haut sommet et la base. ‘’Enfin, que tout le monde s’approprie les échéances électorales 2023. Le MSC pose déjà des jalons pour le meilleur résultat. C’est la raison d’être de cette tournée de l’honorable Frida Munshy de présenter Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo comme candidature unique au poste de Président de la République aux 4 regroupements.

 




« La situation que nous vivons fait partir d’un plan concocté par Kigali et des alliés » (Sylvain Ekenge)

Malgré les opérations conjointes, la Rdc peut-être se féliciter d’avoir des alliés fidèles ? Pour répondre à cette question et tant d’autres, Muyaya a rappelé que la crise a commencé depuis la période qui a suivi le génocide, en 1994. « Le prix que nous payons est énorme pour une guerre qui a plusieurs facettes », dit-il, avant de souligner que les pays n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts. Et d’ajouter qu’il fallait fragiliser le grand Zaïre pour reconstruire les pays voisins. Heureusement, le président Félix Tshisekedi a fini par dévoiler le jeu rwandais, parce qu’il a proposé des partenariats entre États. Et le ministre de la Communication et médias de préciser que les réponses que nous avons démontrent qu’il n’y a pas de volonté de faire la paix, parce que c’est une zone d’approvisionnement pour ces pays-là.

Muyaya a dit que nous allons couper les approvisionnements, notamment avec Primera Gold. Lorsque nous travaillons à la montée en puissance des FARDC, c’est parce qu’on a compris le besoin d’assurer la défense de notre pays. Ceux qui se sont construits par des massacres et des pillages, ne pourront pas nous laisser en paix. Nous sommes à la fin de ce cycle de pillages et nous pensons que la combinaison de la diplomatie et de l’option militaire pourra conduire vers la paix.

De son côté, Sylvain Ekenge est d’avis que la situation que nous vivons fait partie d’un plan concocté par Kigali et ses alliés. Pour la survie du Rwanda comme régime, comme économie et comme système, il faut maintenir l’instabilité dans cette région. Sinon, le Rwanda cessera d’exister comme régime et comme système. Heureusement, le président Félix Tshisekedi est un visionnaire. Il a compris les enjeux.

Il vise la montée en puissance parce que personne d’autre ne viendra défendre le Congo. La meilleure façon de pérenniser les acquis, de développer notre pays, c’est d’avoir une armée bien formée, bien équipée et bien entraînée pour assurer la défense de l’intégrité de notre pays, de nos frontières et de la population sans recourir à l’extérieur. Nous comptons sur nos propres efforts. Les efforts extérieurs viennent en appui et nous nous préparons sérieusement.

JMNK




Sylvain Ekenge : « L’agression rwandaise a perturbé l’état de siège »

La pérennisation des acquis de l’état de siège, c’est la préoccupation de ce briefing presse, qui a permis de démontrer combien cette mesure visait principalement le retour de la sécurité dans cette partie du pays, même si la crise du M23 l’a sérieusement perturbé.

Dans son discours luminaire, Sylvain Ekenge a expliqué que l’état de siège a été proclamé par le président de la République, Félix Tshisekedi, dans deux contextes différents. La détérioration de la situation sécuritaire en Ituri a commencé en décembre 2017 avec la tuerie des Hema. Mais aussi l’émergence du groupe Codeco, qui a donné naissance à d’autres milices locales. En 2020, il y a eu création du G5 Zaïre, constitué des membres de la communauté victimes des atrocités de la Codeco. Au même moment, les ADF fuyant Béni, ont migré en Ituri.

Au Nord-Kivu, il y a eu 3 mouvements : le M23, les ADF MTN et les groupes supplétifs qui terrorisent la population. Il y aussi d’autres groupes armés dans le petit nord: à Rutshuru, Masisi, Rubero. Une autre, ce sont les Fdlr. Avec l’état de siège, ces menaces ont été circonscrites. Des opérations ont été menées, il y a eu beaucoup de rendus, des groupes armés cantonnés. Tout cela a permis de réouvrir certaines routes.

Et d’ajouter que la pression a été telle qu’on a neutralisé un grand nombre d’Adf. « Nous avons anéanti le réseau de ravitaillement, des collaborateurs, beaucoup d’Adf ont été neutralisés. Ils étaient de plusieurs nationalités : jordaniens, égyptiens, centrafricains, rwandais, burundais, somaliens, etc. Malheureusement, cette situation a été perturbée par l’agression rwandaise qui a occupé des pans de notre territoire et l’armée a été obligée de faire de prélèvement, au point qu’il y a eu des zones lagunaires qui sont restés », indique-t-il, tout en soutenant que des axes routiers ont été ouverts, des routes réhabilitées, des zones libérées, une réduction drastique des attaques. Malheureusement, l’agression rwandaise est venue tout mettre par terre.

Pour Muyaya, la meilleure façon de sauvegarder les acquis de l’état de siège, c’est d’assurer la montée en puissance des Fardc. « Rassurez-vous que la Rdc a mis tous les moyens pour que les Fardc montent en puissance et nous nous préparons pour que cette montée en puissance soit effective », rassure-t-il.

Sylvain Ekende n’a pas apprécié le fait qu’on s’attaque aux Gouverneurs militaires, comme si ce sont eux qui étaient à l’origine de l’état de siège, pendant que eux n’ont obéit qu’à l’ordre, mieux à la décision prise par le politique. « Que l’état de siège soit là ou pas, l’armée va rester et va continuer à accomplir sa mission régalienne. Les gouverneurs ont été nommés sur décision politique. Le jour où on dira c’est terminé, ils prendront leur avion parce qu’ils sont aux ordres et dépendent des décisions politiques. Les commentaires sur la levée, le maintien ou pas, ça nous importe peu ! Nous c’est la défense de l’intégrité du pays », affirme-t-il.

JMNK




Des FDLR au sein de la GR : Corneille Nangaa a menti

Au cours du même rendez-vous, la presse a voulu avoir la réaction du Gouvernement au sujet d’une déclaration de Corneille Nangaa, l’ex-président de la CENI, qui pense que des éléments des Fdlr seraient intégrés au sein de la Garde Républicaine.

Patrick Muyaya pense qu’il y a moyen pour Corneille Nangaa de se reconvertir en politique et savoir s’informer. Et ce, pour ne pas faire le relai des propos qui sont d’une extrême gravité et pour lesquels il peut même répondre devant la justice. Muyaya a rappelé comment le chef de l’Etat a déjà dit qu’aucun Officier des Fardc ne peut collaborer avec une quelconque force négative. Comment pouvez-vous penser qu’on intègre dans l’unité de lutte qui s’occupe de la sécurité de Fatshi des tels éléments? Lorsqu’on parle de la collaboration avec les FDLR, c’est l’argument du Rwanda qui trouve malheureusement des relais en Rdc.

De son côté, Sylvain Ekenge se dit tenté de dire que certains congolais, par leurs propos, par leurs agissements, démontrent leur soutien à l’agression rwandaise. Des gens pareils, si on les interpelle, ils vont dire que c’est de l’acharnement. Pensez-vous que la République manque des jeunes ? On a 40.000 qui sont dans les centres d’instruction. Pourquoi prendre les Fdlr dans une unité de lutte ? C’est honteux pour un tel homme !

JMNK




P. Muyaya : « Les Usa font le relais de la propagande rwandaise »

« Les acquis de l’état de siège décrété en provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu», c’est le thème d’un Briefing Presse qui a été organisé ce mercredi 16 août 2023 à 17h30 dans la salle de presse de la RTNC3 sur le site de la RTNC 1. Pour bien analyser cette actualité, M. Patrick Muyaya Katembwe, ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, a fait appel au Porte-parole des Forces Armées de la République Démocratique du Congo, le Général-Major Sylvain Ekenge Bomusa Efomi.

Au cours de ce rendez-vous de rédévabilité, la presse a demandé au ministre de la Communication de commenter une inquiétude des autorités américaines au sujet des bruits de bottes constatés à la frontière entre la Rdc et le Rwanda.

Le porte-parole du Gouvernement s’est dit très surpris d’entendre cette déclaration des autorités américaines. Il a démontré que la frontière est entre les mains des Rwandais et de la force régionale. De quelle tension on parle ?, s’est-il demandé, avant d’affirmer qu’il ne pense pas qu’il y a matière à désescalade ! Et de poursuivre que ça fait un bout de temps qu’on a entrepris des discussions qui ont abouti à l’accord de Luanda. On observe un respect du cessez-le-feu.

« On a eu beaucoup de discussions avec la force régionale sur le programme de pré-cantonnement. Il y a de cela 5 semaines que le matériel est bloqué à Goma, parce que le Rwanda s’oppose à son acheminement à Rumangabo », dit-il, avant d’avouer que les Etats-Unis font le relais de la propagande rwandaise.

Il a réitéré la volonté de la Rdc de restaurer l’intégralité de son territoire, malgré cette mascarade qui aveugle malheureusement les Etats-Unis qui oublient vite qu’il y a des rapports qui montrent de manière claire les exactions commises par le Rwanda. Parallèlement à ça, poursuit Patrick Muyaya, nous travaillons pour assurer la montée en puissance de nos Fardc.

« Nous ne pouvons que compter sur nous-mêmes. Car si les différents processus ne donnent pas des résultats escomptés, nous allons tirer les conséquences au moment venu. On ne peut pas rester indifférente face aux tueries de nos concitoyens et aux pillages de nous ressources naturelles », dit-il, avant de soutenir qu’il y a la preuve supplémentaire de l’implication du Rwanda, notamment à travers le blocage de ce matériel qui doit aller à Rumangabo. Nous préparons les élections et nous ne voulons nous verser dans cette propagande inutile.

Pour le Général-Major Sylvain Ekenge Bomusa Efomi, les Usa répercutent la propagande rwandaise qui est un prétexte pour justifier l’agression. « Les Fdlr ne constituent plus une menace sérieuse pour le Rwanda. Au contraire, celui-ci les utilisent pour justifier l’agression contre la Rdc. Nous avons une politique de défense, une doctrine et nous ne servons pas de base arrière à des groupes armés qui veulent déstabiliser les voisins. Au contraire, ce sont les voisins qui les utilisent pour nous agresser », martèle-t-il.

Et le Général de souligner que la frontière avec le Rwanda est contrôlée par le même pays ainsi que la force régionale. Et les deux sont là où il y a les Fdlr. Il a affirmé que cette partie ne restera pas éternellement occupée. Nous nous préparons pour récupérer notre territoire. Il a aussi ajouté qu’un militaire ne vous dira jamais à quand l’offensive.