Combats Libres et Arts martiaux modernes: Les athlètes de la FCCL passeront le test médical le vendredi 18 août au CNMS

Me Rodrigue Masuama Ndangi Wolf, président de la Fédération Congolaise des Combats Libres et arts martiaux modernes ‘’FCCL’’ en sigle, informe les amoureux des arts martiaux qu’en prévision des championnats nationaux prévus dans les jours à venir (NDLR il donnera des précisions là-dessus très bientôt), les athlètes de la FCCL vont passer leur test médical, le vendredi 18 août 2023 au Centre National de Médecine du Sport ‘’CNMS’’, sise stade des martyrs.

A cet effet, tous les athlètes de la FCCL sont invités à inscrire dans leur agenda des rendez-vous cette date du 18 août 2023. La participation aux championnats nationaux est subordonnée au test médical. Sans contrôle médical, personne ne pourra prendre part à ce grand rendez-vous des arts-martiaux. Un homme averti en vaut deux.

Antoine Bolia




Dossier brûlant: Les médaillés des 9èmes Jeux de la francophonie réclament leurs dus

Décidément, on aura tout vu e République Démocratique du Congo où les anti- valeurs semblent prendre la place des valeurs. On en a pour preuve ce qui vient de se passer après les 9èmes Jeux de la Francophonie qu’a abrité Kinshasa du 28 juillet au 6 août 2023. Pour ceux qui l’ignorent, la RDC a glané un total de 34 médailles dont 5 or, 11 argent et 18 bronze. Une grande première du pays dans l’histoire de ces jeux.

Mais voilà, au-delà du prestige qu’a récolté le pays avec ces médaillés qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour qu’on en arrive là, il faudra prendra en compte l’aspect humanitaire. La situation de crise étant ce qu’elle est, il est tout à fait normal que chacun tire profit de son mérite. C’est ici pourtant que nous perdions notre latin.

Depuis le matin, notre téléphone ne cesse de recevoir des appels des athlètes médaillés qui sont mécontents pour une raison toute simple. L’équité et le bon sens. Qu’on leur donne ce qu’ils méritent.

De quoi s’agit-il ?

Il nous revient que chaque athlète ayant pris part aux 9èmes jeux de la francophonie devait percevoir 1000 dollars comme prime. Il semblerait, reste à vérifier que certains n’ont pas perçu cette somme. On nous parle de 500 et 700 dollars.

Quid des médaillés

 

Les médaillés d’or : chacun a pu percevoir 10.000 dollars

Les médaillés d’argent : chacun a pu percevoir 7.000 dollars

Les médaillés de bronze : chacun a pu percevoir 5000 dollars.

N.B : ces primes de médailles n’ont rien à voir avec la prime de participation que chacun a droit. Et certains ne l’ont pas reçu. Mais pourquoi cela ? Si tel est réellement le cas, rendez aux médaillés leurs dus. Dossier à suivre

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Antoine Bolia




Tshisekedi encourage les athlètes ayant pris part aux jeux de la Francophonie

Après leur participation aux IXèmes Jeux de la Francophonie, les athlètes congolais ont été reçus par le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Le Chef de l’État a offert un dîner en leur honneur ce mardi soir au chapiteau de la cité de l’UA à Kinshasa.

Avec une participation de 361 athlètes et 40 artistes alignés, la RDC a récolté 39 médailles dont 5 en or, 11 en argent et 23 en bronze et s’est hissée à la 9ème place au classement général, ce qui constitue une première pour le pays.

En recevant ces sportifs et ces artistes, le Chef de l’Etat a voulu les remercier et les féliciter pour l’honneur fait au pays avec une moisson abondante de médailles malgré les difficultés de leur préparation à des grandes compétitions.

“Vous avez fait la fierté du pays et vous nous donnez raison d’avoir construit les nouvelles infrastructures sportives “, leur a dit le Président de la République.

Au sujet des infrastructures sportives nouvellement construites, le Président de la République a annoncé qu’elles serviront désormais de lieux de stage et préparation des athlètes aux frais de l’État congolais.

Pour promouvoir le sport congolais et mieux préparer les compétitions internationales, le Président Félix Tshisekedi a fait part de son souhait d’organiser chaque année à Kinshasa des “Jeux de la RDC.”

Il a instruit le Premier Ministre afin d’octroyer des primes de mérite pour les médaillés et des primes de participation en faveur de tous les compétiteurs congolais alignés.

Dans son mot introductif, le ministre des sports et loisirs François Kabulo a remercié le Chef de l’État pour sa détermination et son implication personnelle dans l’organisation des IXèmes Jeux de la francophonie.

” Avec les nouvelles infrastructures répondant aux standards internationaux, la RDC peut organiser n’importe quelle compétition internationale “, a dit le ministre Kabulo.




Kinshasa : La perspective d’un contrôle des prix des biens sur le marché inquiète les commerçants

Les tenanciers des boutiques, magasins, quincailleries, supermarchés éprouvent des soucis au regard des exigences que peuvent afficher les autorités pendant le contrôle.

À ce jour, votre rédaction a effectué une descente dans quelques marchés de Kinshasa pour récolter les avis des vendeurs et acheteurs sur le contrôle des prix des biens et services initié par le Comité de conjoncture économique. Un contrôle qui vise à renforcer le pouvoir d’achat des Congolais en conformité avec les mesures économiques du Gouvernement sur le taux de change.

En réponse à nos différentes questions, des commerçants expliquent le maintien de la majoration des prix des biens et services par les achats des marchandises effectuées pendant la variation et la hausse du taux de change.

« Je demande au Gouvernement de se montrer raisonnable lorsqu’il va entamer le contrôle. Nous maintenons les anciennes tarifications des produits, parce que nous ne voulons pas perdre, car nous avions acheté des marchandises pendant la hausse de taux de change », a déclaré Christ Evingi Bola, commerçant au marché de Gambela dans la commune de Kasa-Vubu.

Depuis le début de l’année 2023, la RDC fait face à la dépréciation de sa monnaie face au dollar américain. L’instabilité du taux de change est une situation qui, non seulement, entraîne la flambée des prix des produits de première nécessité, mais également une occasion pour les cambistes de manipuler arbitrairement le taux de change.

« Nous achetons les produits en dollars et nous les vendons en franc congolais et après, nous sommes obligés d’acheter le dollar américain qui varie à tout moment pour payer les marchandises », a déploré Rose Ilunga, vendeuse des fournitures scolaires au marché de Matete. Elle estime que les prix des produits pourront connaître une baisse que par « l’épuisement des stocks achetés pendant la hausse de taux d’échange ».

De l’autre côté, la population s’impatiente de voir le début de ce « contrôle économique rigoureux ». Elle exige également le suivi de cette démarche. « Le mal avec notre Gouvernement, il commence bien, mais souvent la continuité pose problème », a réagi Marlette, une acheteuse croisée au marché Simba Zigida.

Il va sans dire que le Comité de conjoncture économique du Gouvernement, qui s’est réuni mercredi passé, a promis des sanctions à ceux qui ne se soumettront pas à ce contrôle. Une question qui fait mal dans le chef des vendeurs et des acheteurs, connaissant le comportement moins digne des exécutants sur terrain.

Jean-Luc Lukanda




La CASE attire l’attention du peuple congolais sur l’existence de deux CENI parallèles

La Commission Africaine pour la Supervision des Elections CASE, à travers son président Simaro Mbayo Ngongo, attire l’attention du peuple Congolais sur l’existence de deux CENI parallèles du pouvoir, celle de Kadima qui joue la façade de la fraude électorale et celle de l’Union Sacrée dont la machine est gérée par le libanais Kamal El Feghali, cerveau électoral de l’UDPS (parti présidentiel). C’est à ce niveau qu’est conçu le stratagème de la FRAUDE ÉLECTORALE MASSIVE TRÈS LOURDEMENT FINANCÉE. C’est aussi la raison pour laquelle le régime manifeste une certaine négligence dans le financement de la CENI officielle car, la véritable manipulation des chiffres s’effectue dans la boîte noire du régime.

La dilapidation des finances destinées au processus électoral pour servir aux activités politiques et électorales au bénéfice du pouvoir est un complot diabolique qui met à nu les facettes cachées de la FRAUDE ÉLECTORALE PLANIFIÉE EN RÉPUBLIQUE DÉMOCRATIQUE DU CONGO.

La CASE juge gravissime que le processus électoral en République Démocratique du Congo soit de bout en bout, taillé sur la corruption. La réforme électorale a été monnayée, la désignation des animateurs de la CENI grassement financée, certaines parties prenantes payées en échange de leur soutien déclaratif au processus et surtout une précampagne maquignonnée. Cette monétisation du processus électoral dont le seul objectif est de dresser une représentation caricaturale de visibilité médiatique de leur fausse popularité a été démontrée lors des Jeux de la Francophonie où les spectateurs infidèles ont reçu des gifles nourries de la part des éléments de la Garde Républicaine au Stade des Martyrs. La terreur électorale est en marche.

La CASE invite les peuples congolais à la prudence pour éviter de tomber dans un traquenard tendu par le pouvoir au moment où tous les signaux visibles indiquent que le régime de Félix Tshisekedi n’est nullement préparé à des élections crédibles, démocratiques et transparentes: La CASE rappelle à la CENI et au Gouvernement congolais que leur surdité persistante vis-à-vis des cris et sonnettes d’alarme des forces vives de la Nation par rapport au risque d’un tonneau électoral d’ici au jour du scrutin, la responsabilité des échecs prévisibles pourrait être fatale au processus et aux assises démocratiques du pays.

La CASE rappelle au pouvoir et aux forces politiques de l’Union Sacrée que toutes leurs manœuvres seront conséquemment vouées à l’échec.




Pour régler les crises multiformes : La CASE invite Fatshi à convoquer un dialogue politique de haut niveau 

Simaro Mbayo Ngongo, président de la Commission africaine pour la supervision des élections (CASE), déclare : « Pas d’élections sans Bunagana, Rutshuru, Masisi et Nyitagongo. A l’en croire, le Gouvernement devrait écouter les délégués du Nord-Kivu et de l’Ituri qui mesurent les conséquences de l’état de siège préjudiciable à la paix et au processus électoral. Il faut aussi stopper la CENI qui s’est taillée une trajectoire maléfique.

Les premières impressions des Députés provinciaux du Nord-Kivu et de l’Ituri qui prennent part aux travaux de la Table-ronde convoquée à Kinshasa sur les problématiques de l’Etat de siège viennent d’étaler nettement l’étendue des contraintes sécuritaires, politiques, administratives et militaires pour l’organisation des élections crédibles dans les provinces septentrionales de la République Démocratique du Congo.

Comment comprendre que le régime de l’Union Sacrée bouche les oreilles face aux difficultés existentielles d’une telle hauteur de gravité : des milliers de morts, des milliers de personnes déplacées et sans assistance, des personnes enlevées de leurs milieux naturels de vie sous une surmilitarisation cacophonique desdites provinces ? Comment s’en tenir à des élections chaotiques alors qu’il est possible de mieux aborder le processus, dans un climat apaisé ? Comment concevoir que M. DENIS KADIMA se moque éperdument de la population en zappant des millions d’électeurs aujourd’hui pris en otage par des armées étrangères ?

La CASE interpelle le gouvernement de la République Démocratique du Congo sur l’urgence d’écouter enfin la voix du Peuple et de s’exécuter conséquemment en stoppant, et le processus électoral, et l’état de siège et la campagne électorale précoce qui s’est institutionnalisée à tous les niveaux du pays.

La CASE invite une fois de plus le Président de la République, M. Félix Tshisekedi Tshilombo à convoquer un dialogue politique de haut niveau avec toutes les parties prenantes au processus électoral afin de mettre en place un PLAN DE SORTIE DE CRISE ET DE STABILISATION DE LA GOUVERNANCE ÉLECTORALE qui inclura une TRANSITION PATRIOTIQUE préparatoire aux élections générales inclusives.

Le dialogue attendu devrait être convoqué de toute urgence afin de rassurer le peuple congolais et régler solidement LES CRISES MULTIFORMES qui minent le processus électoral et mettent en mal la sécurité nationale. À cet effet, le Chef de l’État devrait toujours se méfier des incantations des membres de l’Union Sacrée de la Nation dont la fanfaronnade ne fait que l’éloigner de l’adhésion populaire. C’est aussi le cas des fanatiques tribaux du Président de la République qui devraient atténuer leur suffisance mégalomaniaque vis-à-vis des autres communautés ethniques de la République.

L’expérience de la table-ronde est un indicateur qui prouve à la face du monde que ce qui est chanté à longueur de journée par l’Union Sacrée et le parti présidentiel est aux antipodes du ressenti populaire. Ne s’en tenir qu’aux rodomontades des applaudisseurs qui vivent au dépend des billets de banque qui leur sont jetés à la figure, c’est se mentir tristement.

Si la CENI n’est pas stoppée maintenant, elle accumulera bien plus de dégâts irréparables. Car cette CENI est une malchance ensevelir définitivement.

La CASE encourage les participants à la table-ronde sur l’état de siège à dire la vérité et à privilégier l’intérêt supérieur de la nation. La levée de l’état de siège est la décision la plus attendue.




Élections provinciales et municipales : Patricia Nseya supervise l’opération de dépôt des candidatures à Kalemie

Dans la province de Tanganyika, le Rapporteur de la commission électorale nationale Indépendante (CENI), Patricia Nseya est arrivée précisément dans la Ville de Kalemie, chef-lieu de la province.

C’est pour un séjour de travail, de supervision de l’opération de réception et traitement des candidatures à la députation provinciale et pour l’élection des conseillers municipaux.

“Ma présence aujourd’hui à Kalemie, c’est pour superviser et coordonner l’opération de réception et traitement des candidatures pour l’élection des députés provinciaux et conseillers municipaux, mais aussi me rassurer du respect strict des procédures de fonctionnement de nos BRTC”, a-t-elle déclaré devant la presse à sa descente d’avion.

Aussitôt arrivées, Mme Patricia Nseya et sa délégation ont pris la direction du Gouvernorat de province pour présenter les civilités à l’autorité provinciale Julie Ngungwa avec qui elle a évoqué plusieurs points notamment l’accompagnement du gouvernement provincial dans la sécurisation des matériels et agents de la CENI.

Il est à signaler que le Rapporteur de la CENI était accompagné, lors de cette rencontre, du Secrétaire Exécutif Provincial CENI/Tanganyika, Saidi Bilali.

Mme Patricia Nseya a précisé qu’il est important pour les candidats indépendants, partis et regroupements politiques concernés par ces deux scrutins de déposer leurs listes de candidatures avant, pour permettre à la CENI d’avoir le temps matériel nécessaire de traiter tous les dossiers, au lieu d’attendre les dernières heures.




18ème édition du SMIB : le Kenya sur la plus haute marche du podium  

Le semi-marathon international de Brazzaville (SMIB) a retrouvé les artères de Brazzaville après quelques années de silence. La 18ème édition qui s’est déroulée le 14 Août a regroupé 1 095 athlètes africains.

Les athlètes africains étaient habitués depuis sa première édition au SIMB. Mais, la pandémie à Covid-19 est passée par là, avec son lot d’interdit, dont la pratique du sport collectif. SIMB a donc « pris un congé forcé » pendant deux ans.

Adossée aux festivités marquant le 63ème anniversaire de l’indépendance du Congo, cette 18ème édition a connu la participation de près de 2 000 athlètes venus de différents pays africains. Ils étaient 1 095 inscrits sur la liste des compétiteurs et qui ont pris le départ après le coup d’envoi donné par le président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso. Ils ont parcouru 21 km 100, parcours retenu conformément aux règlements de la Fédération congolaise d’athlétisme (FCA). En cette année où le semi-marathon international de Brazzaville célèbre ses 20 ans d’existence, le plateau international comptait sept athlètes : quatre kenyanes et trois rwandais.

A l’arrivée, le kenyan Geoffrey Kipyego a réalisé un chrono d’une heure 04 minutes 26 secondes (1h 04‘26’), en version masculine, battant ainsi le record de la 17ème édition, alors que sa compatriote, Agnès Barsosio a réalisé une heure 10 minutes et 40 seconde en version féminine.

Les nationaux Julienne Loufoua et Nelson Biyoko à l’honneur

Cette année, la première place chez les dames a été occupée par Julienne Loufoua qui a bouclé la distance en 1h28’’36’. Chardevie Missamou, la congolaise qui a gagné la 17ème édition n’a pas réitéré son exploit. Elle s’est contentée de la deuxième place.

Bénéficiaire du stage de formation au centre Lornha à Eldort au Kenya, à l’instar de Julienne Loufoua, Nelson Biyoko a inscrit son nom au palmarès de cette prestigieuse compétition sportive avec un chrono de 1h29 minutes 48 secondes.

20 ans pour un projet, un record à saluer

Sponsor officiel du SMIB, la société nationale des pétroles du Congo (SNPC) appuie l’état congolais à ancrer la course à pied au cœur de la vie des jeunes congolais, contribuant ainsi à unir cette jeunesse autour de l’idéal de l’unité nationale.

Devant les micros de la presse, le directeur général de cette société, Maixent Raoul Ominga, a salué la performance des Congolais. « On a vu les Congolais à l’arrivée », au grand bonheur de leurs compatriotes, a martelé Maixent Raoul Ominga. Pour lui, après 20 ans, le SMIB n’est pas un investissement vain. Il a, par ailleurs, invité, les africains à encourager cette initiative du président Denis Sassou N’Guesso.

Par Roch Bouka/Correspondant du journal L’Avenir au Congo.




Léopards : La liste contre le Soudan attendue le 24 août

Léopards : La liste contre le Soudan attendue le 24 aoûtSebastien Desabre, sélectionneur RDC
Sébastien Desabre, le sélectionneur de l’équipe nationale de la République Démocratique du Congo, se prépare à dévoiler la liste tant attendue des joueurs retenus pour le match crucial de la dernière journée du groupe I des éliminatoires, contre les Crocodiles du Nil du Soudan.

Ce match programmé le 9 septembre prochain à domicile est déjà dans toute les têtes en RDC. Les Léopards, premiers de leur poule avec 9 points, après avoir récupéré deux unités sur tapis vert contre la Mauritanie, pourront se contenter d’un match nul pour valider leur qualification. Bien que lanterne rouge du groupe, l’équipe du Soudan est loin d’avoir été ridicule puisqu’elle a tout de même récolté 6 points durant ces phases de qualifications. Et surtout, elle avait créé la surprise au match aller puisque la RDC s’était incliné 2 buts à 1. C’était le 8 juin 2022, soit il y a plus d’un an, mais personne dans les rangs congolais n’a oublié cette rencontre. Espérons pour Desabre et ses troupes qu’ils aient pu en tirer des leçons afin d’être prêt le 9 septembre prochain. En attendant, le sélectionneur de 47 ans devra constituer sa liste. Elle sera dévoilée en conférence de presse le jeudi 24 août à 11h au siège de la FECOFA, a annoncé l’instance ce mardi. Les convoqués affronteront également l’Afrique du Sud le 12 septembre en match amical.

Les Congolais n’étaient pas de l’aventure lors de la dernière CAN, qui s’était déroulée en début d’année 2022 au Cameroun. Trois ans plus tôt, lors de l’édition 2019, ils avaient atteint les huitièmes de finale. Deux ans plus tôt, les quarts. Encore deux ans plus tôt… les demis ! Pour pouvoir revivre de telles émotions et chasser cette impression de déclin, il faudra déjà être présent lors des phases de poules avant d’envisager d’aller plus loin. Et cela passera par un match solide le 9 septembre prochain. Le peuple congolais n’en attend pas moins. Surtout au vu de la qualité de cette génération… (Cédric Bakambu, Chancel Mbemba, Gaël Kakuta…).




Félix Tshisekedi échange avec l’ambassadeur du Japon en Rdc

Le Président Félix Tshisekedi a échangé, ce mardi à la cité de l’Union africaine, avec M. Minami Hiro, ambassadeur du Japon en RDC. Les deux hommes ont essentiellement abordé les questions de coopération bilatérale.

Évoquant ce partenariat entre leurs pays respectifs, l’ambassadeur Minami Hiro a rassuré que « la coopération entre le Japon et la RDC est parfaite».

Au terme de cette audience, le diplomate japonais a émis le souhait de voir le Président Félix Tshisekedi visiter prochainement le Japon.