MAOMBI- NON- STOP*PROPHETIE* LE 09/AOUT 2023 / avec le Past. François MUTOMBO




Satisfait de l’évolution des travaux sur le chantier: Le gouverneur Gentiny Ngobila confirme l’inauguration du Marché central en novembre prochain

Après son passage en mai dernier sur le chantier de Zando, le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, était de nouveau au Marché central de Kinshasa, lundi 7 août dernier, pour s’imprégner de l’évolution des travaux de construction de ce prestigieux lieux de négoce de Kinshasa. “Le constat est plus que satisfaisant”, s’est réjoui le gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka, qui a confirmé l’inauguration de cette grande bâtisse à la fin du mois de novembre 2023.

 

“Au terme de ma visite, je constate avec satisfaction que les travaux évoluent à pas de géant. Les ingénieurs sur place m’ont confirmé que l’ouvrage sera livré dans le délai. Je me permets donc de rassurer toute la population Kinoise que le nouveau Marché central sera ouvert au public en novembre prochain. Nous ferons l’honneur au Chef de l’État Félix Tshisekedi de procéder à l’inauguration de ce grand centre commercial de la capitale et pourquoi pas de la RD-Congo”, a déclaré le gouverneur Gentiny Ngobila Mbaka.

Sur le terrain, l’engouement est plus perceptible dans le chef des équipes commises à ce chantier. Le troisième et dernier niveau de cette bâtisse est déjà fini, les ingénieurs chinois qui exécutent les travaux avec brio évoluent avec la préparation des dalles du premier et deuxième étage qui devront accueillir les étales. En même temps, les travaux de placement des champignons sont aussi en cours toujours au deuxième étage. Des rampes d’accès à tous les niveaux pour les personnes à mobilité réduite sont également en phase de construction. Ce, dans le souci de répondre aux normes non discriminatoires exigées dans la construction moderne des sites à haute fréquentation.

Construit avec des briques rouges produites à Kwilu Ngongo dans le Kongo Central, tel que l’avait exigé le patron de la ville pour valoriser les produits locaux, le nouveau Zando est d’une capacité d’accueil de près de 80.000 personnes interagissant par jour. Il compte 630 magasins avec une zone des chambres froides et des entrepôts. 52 cages d’escaliers sont prévus en vue de faciliter le déplacement des personnes d’un niveau vers un autre. Aussi, une station d’essence sera construite et des parkings seront aménagés tout autour du bâtiment. Par ailleurs, ce marché central moderne aura trois grandes voies d’accès, chacune dotée des caméras de surveillance.

Le premier citoyen de la ville de Kinshasa a, à cette occasion, invité les Kinoises et les Kinois à la patience mais surtout à lui faire confiance pour la suite. Il n’a pas manqué d’inviter ses administrés à croire au Président de la République Félix Tshisekedi qui se bat jour et nuit en faveur du mieux être social de l’ensemble de la population RD-congolaise.




*Corée; Le 1er Crime étatique du Japon*

Il est de notoriété publique qu’au début (1905-1945) du 20ème siècle, le Japon a perpétré, en Corée (ou Joson ou Pays du «matin calme avec le soleil brillant» fière de sa Civilisation de 5.000 ans dont plusieurs étaient exposés à l’invasion des Pays étrangers – USA, Japon, etc. – vu la qualité et la quantité respectives des ressources humaines et naturelles, le statut géopolitique et le paysage splendide du Pays, NDLR), toutes sortes d’atrocités (pour être stigmatisé Etat ennemi par la Charte de l’ONU du fait de ses crimes les plus graves contre l’Humanité commis pendant sa domination manu militari en Corée occupée sous la collusion USA-Japon 29/07/1905, tels que l’enlèvement ou la réquisition forcée de 8,4 millions de jeunes et adultes coréens pour les travaux forcés ou pare-balles, le massacre de 01 million des Coréens et le système d’esclavage sexuel pour son Armée en mobilisant les 200 milles Coréennes, etc., NDLR) pour supprimer, complètement, la Nation coréenne. Toutefois, ce n’est pas à partir du siècle dernier que ce Pays insulaire sans aucune ressource naturelle est démené pour anéantir la Nation coréenne et conquérir la Péninsule coréenne.

C’est depuis la 2ème domination unifiée du Japon par le Général Toyotomi HIDEYOSHI (1537-1598) sur l’ensemble de son Pays que ce dernier ayant pénétré, souvent, dans la Côte de la Corée pour s’y livrer à la piraterie révéla, ouvertement, son ambition d’agression contre la Péninsule coréenne. A l’époque, le Japon s’empêtrait dans de profondes contradictions à cause du conflit entre les seigneurs féodaux qui avait duré plus de 100 ans. Toyotomi HIDEYOSHI a voulu sortir de cette crise en provoquant une guerre d’agression contre la Corée.

Le 23 mai (13 avril selon le Calendrier lunaire) 1592, le Japon a déclenché une guerre en mobilisant ses forces armées pléthoriques (170.850 à part celles spéciales et de réserve, NDLR) de l’Archipel. Ainsi, a éclaté la Guerre appelée, autrement, l’Invasion Japonaise de l’An Imjin (1592). Les Samouraïs (ou les hommes d’armes ou la classe d’élite de guerriers en service militaire pour les nobles et caractérisés par le port de 2 sabres en dirigeant le Japon féodal durant 700 ans, NDLR) barbares ont;

• massacré, au hasard, les Coréens sous le mot d’ordre: «Tuez tous les Coréens!»
• commencé la Guerre par l’attaque contre la Forteresse Busan
• tué, sans distinction d’âge et de sexe, les habitants (Un tel carnage a été perpétré partout où les agresseurs allaient.).

En 1593, dans la Forteresse Jinju, a été perpétré un massacre de la plus grande envergure pendant la Guerre. Après avoir pris cette Forteresse, les Japs ont tué, sauvagement, la population innocente. De même, ces nains scélérats ont enfermé, dans un entrepôt, ceux qui avaient survécu avec peine, avant de les brûler, de sorte que l’on ne pouvait trouver aucun habitant dans la Forteresse.

Pour calculer le nombre des Coréens qu’ils avaient tués dans la Guerre, les agresseurs ont coupé les oreilles et les nez des Coréens et les ont emportés dans leur Pays. Il y a, à Kyoto au Japon, la Tombe Mimizka (tombe des oreilles) où avaient été enterrés les 214.752 oreilles et nez des Coréens, témoin historique des atrocités et de la barbarie du Japon. Outre le massacre, les agresseurs ont;

• kidnappé, pendant la Guerre, un grand nombre (100.000 selon les archives japonaises, NDLR) de Coréens
• enlevé et emmené, de force, les céramistes, les médecins, les architectes, les peintres, les brodeurs, les fabricants de caractères d’imprimerie, les typographes, etc. (pour leur civilisation éventuelle, NDLR), voire les gens ordinaires.

Les Coréens kidnappés ont été forcés aux travaux d’esclave au Japon et même vendus à d’autres Pays. Après sa défaite (16/12/1598 ou 19/11/1598 d’après le Calendrier lunaire) quand le Japon les renvoyaient sur la demande du Gouvernement coréen, il n’a pas permis aux savants et techniciens coréens de talent remarquable de se rapatrier.

Les Japonais ont kidnappé d’innombrables Coréennes pour les réduire en esclavage sexuel. Ils les ont violées sans distinction, même si elles étaient âgées ou mariées ou mineurs. Quand ils partaient pour d’autres champs de bataille, ils les y emmenaient, de force, pour satisfaire leur désir sexuel (incomparable à l’obsession, NDLR).

D’autre part, les agresseurs ont détruit et pillé, sans discernement, les biens culturels précieux de la Corée;

• Ils ont brûlé, au début de la Guerre, le Temple Pulguk-sa à Kyongju et par la suite, partout où ils se rendaient, ils ont fait main basse sur les monuments historiques et bon nombre de biens culturels ayant valeur de trésor national.
• Ils ont brûlé et fouillé le sanctuaire royal pour piller les objets du tombeau et mis feu même au cercueil.

Pendant les 7 ans (1592-1598) de Guerre, les Samouraïs ont infligé les dégâts considérables au Peuple coréen et fait un grand obstacle au développement économique et culturel de la Corée.

Tout le Peuple coréen (à part les Autorités sudistes de YOON Suk-Yeol pro-US et pro-japonaises obligées ou forcées, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis plus d’un an, son côté Nord – République Populaire Démocratique de Corée – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, tout en faisant l’objet de la condamnation des millions de manifestants locaux depuis une année, NDLR) n’oublie jamais les malheurs et souffrances que le Japon a causés à la Nation coréenne depuis des centaines d’années et les lui fera payer fort cher.




La CASE exige la libération de Jean-Marc Kabund, Salomon Idi Kalonda et Mike Mukebay Nkoso

M. Simaro Mbayo Ngongo, président de la CASE exige la libération de Jean-Marc Kabund, Salomon Idi Kalonda et Mike Mukebay Nkoso. A l’en croire, le maintien en détention des personnalités politiques de l’opposition enquiquine la vie démocratique et ne favorise pas l’ouverture des discussions sérieuses sur la gestion de la transition en vue de l’organisation des élections crédibles en République Démocratique du Congo.
La plaidoirie de l’Honorable Député national Jean-Marc Kabund A Kabund, président du parti politique Alliance pour le Changement (ACh) et candidat à l’élection présidentielle le lundi 7 août 2023 à la Cour de Cassation, a démontré que le régime du Président Félix Tshisekedi n’est pas disposé à libérer l’espace politique en République Démocratique du Congo.
Les arguments défendus par le candidat ont étalé au grand jour les contours de l’acharnement de la justice contre un acteur politique qui n’a fait que dénoncer les faiblesses de gouvernance du régime actuel.
La CASE rappelle que le film consternant de l’arrestation de M. Salomon Idi Kalonda Della, cueilli brutalement sur le tarmac de l’aéroport de Ndjili (Kinshasa) le mardi 30 mai 2023, après avoir entendu le récit de l’enlèvement barbare de l’Honorable Mike Mukebay Nkoso, Député provincial interpellé et arrêté après la marche de l’opposition le dimanche 21 mai 2023 devant son domicile, constituent des faits d’une extrême gravité qui prouvent à suffisance que le régime de l’Union Sacrée plonge le pays dans un gouffre.
Le flou artistique qui entoure jusqu’à ce jour l’assassinat cruel du Député national Chérubin Okende Senga et dont les enquêtes piétinent sans espoir que les élucubrations judiciaires feront honnêtement éclater la vérité, n’apaise pas le peuple congolais à quelques mois de la tenue des élections.
La CASE invite le Président de la République, Magistrat Suprême, à soupeser les tensions politiques en aggravation excessive dans le pays et à arrêter des mesures urgentes de décrispation. Le Président Tshisekedi est la seule autorité constitutionnelle capable de stopper l’hémorragie des procès politiquement orientés et qui ne visent qu’une catégorie des citoyens.
Le Chef de l’Etat est également interpellé au sujet des personnalités de l’Union Sacrée qui excellent dans les contraventions, injures publiques et violations intempestives des lois de la République et qui sont considérées comme des intouchables. Au moment où les services de sécurité et de police font la chasse aux opposants, les membres du parti présidentiel et de l’Union Sacrée jouissant d’une certaine impunité autorisée.
La CASE recommande au gouvernement de libérer les opposants Jean-Marc Kabund À Kabund, Salomon Idi Kalonda Della et Mike Mukebay Nkoso en signe de volonté politique de relâchement et d’ouverture aux discussions en vue de l’inclusivité du processus électoral




« Avec Kadima à la CENI, le gagnant ne gagnera pas et le perdant sera illégalement proclamé vainqueur » (La CASE)

Avec Kadima à la CENI, le gagnant ne gagnera pas. La CASE demande au candidat de l’Union sacrée à l’élection présidentielle d’éviter de se faire proclamer par M. Kadima que l’opinion a déjà stigmatisé comme praticien de la falsification des résultats des votés.
Comme dans ses habitudes, M. Simaro Mbayo Ngongo, président la Commission africaine pour la supervision des élections (CASE), pense que la déclaration de M. Denis Kadima selon laquelle : “Le scénario de ne pas organiser des élections est plus catastrophique que d’avoir un ou deux partis politiques qui ne participent pas”, est une expression d’immaturité électorale qui ressemble à une déclaration de guerre contre le peuple congolais.
« Une autorité électorale ne décrète pas l’exclusion des partis politiques dans une compétition qu’elle est censée arbitrer. En exprimant son choix d’organiser des élections par défi contre le peuple, Denis Kadima désigne son choix d’exclure l’opposition de la compétition électorale », dit-il.
Ainsi, la CASE rappelle à M. Kadima que son gangstérisme électoral sera combattu par tous les moyens légaux à tous les niveaux. Si la CENI croit s’appuyer sur les feux d’artifices des Jeux de la Francophonie pour justifier son penchant en faveur du pouvoir, elle devra déchanter. Car, QUAND ON PAIE DES APPLAUDISSEURS DE PUBLICITÉ ÉLECTORALE, CEUX-CI NE REPRÉSENTENT PAS LA POPULATION.
La CASE note que la CENI désillusionnée par le pourrissement de sa réputation au sein de l’opinion internationale après qu’elle ait accumulé des revers désespérément inguérissables, devient un danger public. Tout scrutin piloté par M. Denis Kadima sera une négation électorale catastrophique qui plongera la République Démocratique du Congo dans le chaos.
Car avec Kadima À LA CENI, LE GAGNANT NE GAGNERA PAS et LE PERDANT MÊME S’IL EST CONNU DE TOUS SERA ILLÉGALEMENT PROCLAMÉ VAINQUEUR en application du Plan de Fraude électorale concocté par le parti présidentiel qui ne jure que par la victoire imposée de son candidat.
C’est ainsi que la CASE rappelle au candidat de l’Union Sacrée que toute proclamation des résultats électoraux par M. Denis Kadima ne lui sera pas bénéfique étant entendu que le schéma de fraude emprunté par la CENI est connu de tous.




Le président Lula attendu à Kinshasa pour le premier sommet trilatéral sur les forêts tropicales

En mission au Brésil pour participer au sommet sur le bassin de l’Amazonie, le Président Félix Tshisekedi s’est entretenu, ce mardi à BelemDoPara, avec M. Luhut Binsar Pandjaitan, ministre indonésien des Investissements et Affaires maritimes. Ce sommet vise à créer une dynamique pour mieux défendre les intérêts de l’humanité et des peuples. Il entend aussi réduire la pauvreté et créer les conditions d’une croissance socio-économique. Par ailleurs, le Chef de l’État a également échangé avec Cheikh Abdallah Ben Zayed Al Nahyan, ministre d’État et ministre des Affaires extérieures des Émirats Arabes Unis sur le projet du port en eaux profondes de Banana.
Après avoir abrité les IXemes Jeux de la Francophonie, Kinshasa sera au cœur d’un autre grand événement planétaire à la deuxième quinzaine de ce mois. La capitale de la République Démocratique du Congo va abriter le premier sommet trilatéral sur les trois grandes forêts tropicales du monde.
La confirmation a été donnée par le ministre indonésien des investissements et affaires maritimes Luhut Binsar Pandjaitan à l’issue de l’audience lui accordée ce mardi à Belém par le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Le même sujet sera aussi au centre du tête-à-tête prévu ce mercredi entre le président Félix Tshisekedi et son hôte Lula da Silva. Ce sommet de Kinshasa va réuni au tour du président Tshisekedi les Chefs d’Etat du Brésil, Lula da Silva pour le compte de l’Amazonie et son homologue de l’Indonésie pour le compte du bassin de Bornéo -Mékong.
Avec leurs trois grands bassins forestiers, ces trois pays se présentent comme la solution mondiale au problème planétaire du réchauffement climatique. Depuis novembre 2022, les trois pays ont décidé de travailler en synergie et parler d’une même voix sur la sauvegarde de leurs pays et favoriser le développement de leurs populations qui vivent de ces forêts.
Le ministre indonésien a confirmé la participation de son pays et la détermination des trois pays à faire un front commun, à partager d’expérience et travailler ensemble pour la sauvegarde de leurs forêts tropicales, poumons de l’humanité et trouver une juste compensation en faveur de leurs populations.

Le sommet de Kinshasa va mettre en lumière le bassin du Congo, deuxième du monde après l’Amazonie et dont plus de 60% couvre le territoire national de la RDC. Avec la déforestation accélérée de l’Amazonie, le bassin du Congo est en passe de prendre la première place de ce trio.
Ce même mardi, le Président de la République a reçu le ministre d’Etat et ministre des affaires extérieures des Émirats arabes unis. Cheikh Abdallah ben Zayed Al Nahyane s’est entretenu avec le Chef de l’Etat sur le projet du port en eau profonde de Banana en cours d’exécution. Le ministre Emiratis a réaffirmé la détermination de son pays à conduire à terme ce mégaprojet.




Jeux de la Francophonie: le Maroc installe son leadership

La performance de la sélection marocaine lors de la 9ème édition des Jeux de la francophonie, qui s’est déroulée du 28 juillet au 6 août à Kinshasa, vient confirmer à nouveau le leadership et le rayonnement du sport national, mais au-delà, du génie marocain, en se classant première devant des nations sportives, telles que la Roumaine (2ème avec 38 médailles) et la France (6ème avec 15 médailles).
En effet, avec ses 58 médailles, le Maroc a terminé pour la première fois de son histoire en tête du classement de cette manifestation sportive internationale, établissant un nouveau record en termes du nombre de médailles récoltées, avec 42 médailles en athlétisme, 8 en judo, 5 en cyclisme sur route, 2 en lutte et une en jonglerie avec ballon.
Les observateurs internationaux estiment que pareille moisson s’inscrit dans le prolongement d’une série de performances qui, au fil des compétitions régionales, continentales et internationales, font invariablement du Maroc un acteur incontournable de la scène sportive mondiale. Et pas que!
De par le monde, on cherche à sonder le “secret” de cette performance marocaine et à comprendre la dynamique vertueuse qui anime les athlètes et les sportifs nationaux, tant et si bien que plus rien ne semble arrêter leur marche inéluctable et déterminée vers les podiums.
Demi-finaliste au Qatar-2022, champion de la Coupe d’Afrique des Nations des moins de 23 ans, finaliste de la CAN de football U17, champion pour la troisième fois de la Coupe arabe de futsal, champion de l’AfroCAN 2023 de basketball,…difficile de cerner toutes les disciplines où le Maroc continue à rafler médailles, lauriers et louanges.
Loin d’être le fruit du hasard, cette marche constante et déterminée vers la gloire et la grandeur est portée par une Vision Royale patiemment mûrie, autour de deux maîtres-mots: le sérieux et l’abnégation.
Mot d’ordre: le sérieux !
Dans le Discours adressé à la Nation à l’occasion de la Fête du Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a magistralement souligné que “le sérieux que Nous exaltons n’est pas un terme vide de sens, de portée purement formelle. C’est, au contraire, un concept intégré qui recouvre un ensemble d’idéaux et de principes opératoires”.
De fait, a expliqué le Souverain, “chaque fois que la jeunesse marocaine a eu les moyens de donner la pleine mesure de son sérieux et de son patriotisme, elle a fasciné le monde par des performances d’un calibre inédit, à l’instar de l’exploit accompli par la Sélection nationale à la dernière Coupe du monde de football”, tant et si bien que “de l’aveu de tous, en interne comme à l’international, nos enfants ont offert les plus belles images de ferveur patriotique, d’unité et de cohésion familiale et populaire”.
Rien d’étonnant donc à ce que le Maroc, capitalisant sur cette vertu cardinale qu’est le sérieux, présente avec l’Espagne et le Portugal une candidature commune pour l’organisation des phases finales de la Coupe du monde de football 2030.
Le sérieux de la jeunesse marocaine s’exprime aussi dans les domaines nécessitant un génie créateur et un esprit novateur, à l’instar de la réalisation de la première voiture de fabrication locale, ou encore de la présentation du premier prototype de voiture à hydrogène, développé par un jeune marocain.
Tout récemment, pas moins de 41 Marocains, sur 60 élèves étrangers de la filière des Classes Préparatoires aux Grandes Écoles (CPGE), ont été admis cette année, révélant ainsi l’excellence des talents marocains dans le domaine académique.
Une autre performance qui vient s’ajouter à la belle consécration réalisée, en mai dernier à Kigali, par l’équipe marocaine aux Olympiades panafricaines des mathématiques (OPAM 2023), au cours de laquelle le Maroc a remporté la première place, deux médailles d’or, trois médailles d’argent et une médaille de bronze.
Et ce n’est pas tout! L’une des participantes à ces Olympiades, Hiba El Ferchioui, a été sacrée “Reine africaine des mathématiques” après s’être positionnée au top du classement des filles.
Les Lionnes rugissent!
Sur la même lancée d’excellence, les Lionnes de l’Atlas viennent écrire une nouvelle page glorieuse dans les annales du football marocain, arabe et continental, après avoir obtenu une qualification historique pour les huitièmes de finale du Mondial féminin 2023, qui se tient en Australie et en Nouvelle-Zélande.
En décrochant une précieuse victoire contre l’équipe colombienne au titre du dernier match de la phase de groupes, les Lionnes de l’Atlas confirment ainsi la place de premier plan qu’occupe désormais le football marocain sur les plans arabe et continental, fruit d’un travail de longue haleine portée par une Vision Royale perspicace et prospective.
La défaite des co-équipières de Ghizlane Chebbak face à l’équipe allemande, lors du premier match de ces phases finales, n’a nullement entamé la détermination des Lionnes à croire en toutes leurs chances pour une qualification aux huitièmes de finale.
Première sélection arabe à réussir un tel exploit, pour une première participation à cette grand-messe du football mondial, l’équipe marocaine féminine a fait preuve d’un mental d’acier et d’un courage sans pareil en enchaînant deux victoires successives sur deux grandes équipes de haut niveau: la Corée du Sud et la Colombie.
Tout porte à croire que cet exploit, du reste largement mérité, a forcé l’admiration du public en interne comme à l’international, à tel point que les Lionnes de l’Atlas, désormais sereines et confiantes, s’apprêtent à écrire une nouvelle page dans l’histoire du football mondial lors du duel prévu demain mardi à Adélaïde, face à l’équipe de France.




Mondial féminin de football : Pour les Lionnes, l’aventure s’arrête, pas le rêve

La sélection marocaine féminine de football a terminé, mardi, son aventure à la Coupe du monde de la FIFA, qui se tient en Australie et en Nouvelle-Zélande, après avoir concédé une défaite face à l’équipe de France sur le score de 4 à 0, mais sans jamais démériter pour une première participation à cette grand-messe du football mondial.
La participation des Lionnes de l’Atlas à cette compétition restera gravée à jamais dans la mémoire collective nationale comme une fabuleuse épopée, mémorable et inspirante, pour avoir valu au Royaume une entrée très remarquée dans le panthéon des grandes nations du football féminin.
Les coéquipières de Ghizlane Chebbak n’ont, certes, pas réussi à franchir le cap des huitièmes de finale, elles quittent néanmoins la compétition la tête haute en signant, avec bravoure et dignité, un des parcours les plus honorables dans cette compétition planétaire.
L’histoire retiendra avec beaucoup d’estime et d’admiration qu’elles ont inscrit leurs noms en lettres d’or dans les annales du football mondial, pour avoir réussi un double exploit inédit et cru en leurs talents jusqu’au bout du souffle, jusqu’au bout du rêve.
Grâce à leur performance, le Maroc peut s’enorgueillir d’être le premier pays arabe à se qualifier pour la Coupe du monde féminine, mais également la première nation arabe à aller au-delà de la phase de groupes.
La belle aventure des Lionnes de l’Atlas s’achève donc, mais le Maroc en sort grandi au prix d’une percée spectaculaire obtenue à la faveur d’un travail de longue haleine et d’efforts soutenus marqués du sceau du sérieux, de l’abnégation et du dévouement, conformément à la Vision éclairée de SM le Roi Mohammed VI.
La bonne performance réalisée contre des équipes de calibre mondial comme la Corée du Sud et la Colombie, respectivement 17ème et 25ème au classement de la FIFA, témoigne, d’une part, de l’ascension rapide du football marocain et, d’autre part, de la volonté des Lionnes de l’Atlas, à forcer d’abord le respect de leurs paires, puis à inspirer les générations montantes à s’affirmer dans le domaine sportif, à nourrir de grandes ambitions et à se donner les moyens de réussir.
Grâce à cette remarquable prestation, arrachée au prix d’un mental d’acier et d’un courage à toute épreuve, elles deviennent une source d’inspiration pour de jeunes sportives marocaines en droit de rêver grand et de cultiver la passion du ballon rond pour porter haut et loin les couleurs du Royaume.
Par l’impressionnante ferveur qu’elles ont fait naître, les Lionnes de l’Atlas ont prouvé une fois de plus que le sport est un langage universel qui peut unir les peuples et inspirer les jeunes partout dans le monde à braver les obstacles pour atteindre l’excellence.
A bien des égards, leur saga marque le début d’un nouveau chapitre pour le football national féminin. Source de fierté pour toute la Nation, leur prouesse, contre tous pronostics, a su forcer l’admiration autant des adversaires que des amis, donnant ainsi toute sa grandeur au déploiement du génie marocain au féminin.
A l’instar de l’exploit réalisé par l’équipe masculine au Mondial du Qatar-2022, les Lionnes de l’Atlas auront prouvé, de la plus belle des manières, que l’impossible n’est pas marocain et que “tout vient à point qui sait attendre”.




Après que la Belgique ait rejeté l’accréditation de Vincent Karega Le nouvel ambassadeur rwandais récusé en Egypte ?

Le Conseil des ministres du Rwanda avait procédé en sa séance du 1er août 2023, à une série de nominations des Ambassadeurs du pays des mille collines à l’étranger. Dans ce cadre, le Commissaire Général de Police Dan Munyuza a été désigné Ambassadeur du Rwanda en Egypte, alors que le Major Général Charles Karamba a été envoyé ambassadeur du Rwanda en Ethiopie et à l’Union Africaine (UA). Toutefois, selon certaines sources, l’Égypte aurait refusé l’accréditation du Général Dan Munyuza comme ambassadeur du Rwanda au pays des pharaons.
Demi de ses fonctions d’inspecteur Général de la Police (IGP) rwandaise, depuis le 1er août 2023, le Général Major Dan Munyuza a été nommé ambassadeur en Egypte, sur une liste des 7 personnes dont Ange Kagame, la fille de Paul Kagame nommée Directrice adjointe des Stratégies et Politiques au sein du Bureau du Président de la République, Michel Sebera ambassadeur pour la Guinée ; Shakila Kazimbaya Mutoni pour le Royaume du Maroc et François Ngarambe a été désigné président de l’Ordre National des Héros et des Médailles.
La même réunion des ministres avait confirmé Claude Morel comme représentant des Seychelles au Rwanda comme Haut-Commissaire avec résidence à Pretoria en Afrique du Sud.
Toutefois, selon des sources concordantes, après avoir été accusé comme étant l’un des principaux instruments de terreur, d’une multitude d’assassinats politiques à travers le monde et dans les massacres en RDC, au Rwanda et de pillage systématique des ressources du Congo pour le compte du régime de Kigali ainsi que pour l’hégémonie du tutsi power, ce l’un des ‘principaux instruments de terreur, Kagame l’a jeté à la poubelle avec un poste-garage d’ambassadeur en Egypte, un pays qui n’a pas de relations intenses avec le Rwanda’, affirme certains observateur de la politique dans la région des grands lacs africains.
Ceux-ci n’hésitent pas à affirmer « qu’après avoir atteint le sommet dans le régime de terreur. Il semble amorcer le parcours de chute des anciens compagnons de maquis de Kagame. C’est comme ça qu’il écarte ses anciens compagnons, surtout les « From Ouganda » (entendez, anciens opposants au régime rwandais d’Habyarimana qui vivaient en exil en Ouganda), a affirmé Marcellin Cikwanine, un ancien Kadogo qui avait accompagné l’AFDL dans leur épopée qui avait conduit à la chute de Mobutu en mai 1997.
Connaissant bien le mode opératoire du tutsi power par le bras de Kagame, Cikwanine persiste et signe qu’« Il (Kagame) les écarte progressivement de la gestion du pays en les envoyant dans les missions diplomatiques et autres missions à l’extérieur à défaut de les tuer, les arrêter ou les contraindre en exil ». Il cite en guise d’illustration « le cas de l’ancien chef d’état-major général, Kayumba Nyamwasa, nommé ambassadeur en Inde ». Cette façon d’aborder le sujet de la nomination de Dan Munyuza, ne peut que soulever des questions du genre « Qu’est-ce qui peut justifier réellement cette ‘déchéance’ » ? 
Si le refus de l’accréditation du Général Munyuza se confirmait, il serait le deuxième ambassadeur récusé dans moins d’un mois après Vincent Karega, après avoir été chassé de la République démocratique du Congo, où il était affecté après que l’Afrique du Sud l’ait déclaré « personae non grata » pour son implication dans l’assassinat des opposants rwandais dont le Colonel Patrick Karegeya, venait d’être récusé par la Belgique. Le monde prend-il de plus en plus conscience de la menace que représentent des ‘assassinats sans frontières’ avec lesquels le régime de Kigali crache sur la noblesse des missions diplomatiques ?

Qui est le Général Dan Munyuza,
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Selon le profil dressé par Marcellin Cikwanine le 20 décembre 2021 « à partir de l’analyse des scènes du crime et de la reconstitution des scénario criminels », celui qui se présente comme défenseur des droits de l’homme et de l’éveil de la conscience africaine, après avoir lister de manière synthétique les crimes qu’il affirme être commis par le Général Dan Munyuza, dans ses fonctions d’Inspecteur Général de Police rwandaise, déclare :
« C’est après l’assassinat d’Habyarimana que Dan Munyuza avec deux autres officiers (Rwakabi Kakira et Kalemera) furent déployés sur le terrain pour s’assurer que plus des Tutsis soient tués afin que le FPR ait un alibi », avait écrit Marcellin Cikwanine qui avait côtoyé cet officier rwandais entre 1998 et 2001. Il est donc l’un des rares congolais témoins de son implication dans la perpétuation des violences dans l’Est de la RDC.
Au nombre d’atrocités qu’il impute à cet officier rwandais, ce renseignant affirme qu’«en tant qu’officier de renseignement pour la branche de formation (Training Wing) de la DMI (Service de renseignement militaire de l’APR), il était au cœur de l’assassinat des Tutsis parlant français qui étaient soupçonnés d’être des espions à la solde du gouvernement d’Habyarimana. Il fait partie des officiers qui avaient facilité d’une manière ou d’une autre le plan du « génocide des Tutsi » de l’intérieur afin de permettre au FPR d’accéder au pouvoir ».
Et d’ajouter, « d’ailleurs c’est Dan Munyuza qui est l’officier qui avait donné le ‘Go’ au massacre de Byumba du 24 avril 1994. Plus de 4.000 Hutus (femmes, enfants, vieillards…) avaient été rassemblés dans le stade de football de Byumba et furent tous exterminés à l’aide des grenades, armes à feu et « Agafuni » (l’arme signature du FPR, une sorte de petite houe aiguisé que les ‘Inkotanyi’ utilisent pour arracher les crânes de leurs victimes).
C’est donc Dan Munyuza qui, selon le témoignage d’un ex-soldat de l’APR présent sur le lieu, avait découpé en premier le grenade et le lancer au milieu de la foule pour ainsi donner l’ordre de supprimer ces milliers de vies ».
Est-ce que ce tableau sombre aurait influer sur la position de l’Egypte ? C’est probable mais, cette nomination intervenant la veille de la commémoration du Genocost, ‘le génocide congolais’ principalement par le régime Kagame, le 2aout 2023, et la réaction supposée de l’Egypte montrent clairement que l’épuration nationale du Rwanda en RDC n’est plus frappé de l’omerta imposé par des prédateurs !

Willy Makumi Motosia
 




Incendie du camion-citerne sur By-pass Peter Kazadi annonce des sanctions contre les PCR à la base du désordre sur cette route

Aussitôt informé de l’incendie d’un camion-citerne ce mardi 08 août 2023 sur la route By-pass, précisément au Rond-point Ngaba à Kinshasa, le Vice-Premier Ministre et Ministre de l’Intérieur et sécurité s’est rendu sur le lieu pour se rendre compte des dégâts causés par le drame.
Sur place, indique notre source, Me Peter Kazadi Kankonde a été choqué par la mort d’au moins cinq personnes.
« Ce que nous avons connu aujourd’hui fait partie de ce désordre que nous observons : le manque d’observance des règles de la route, et là je suis surpris très désagréablement. Toutes les maisons qui ont pris feu sont sur l’emprise publique, c’est-à-dire si elles étaient éloignées de la voie publique, on n’allait pas connaître cette catastrophe qui a engendré la mort de 5 de nos compatriotes. Je viens également de constater qu’il y a une maison construite sur la route brutalement stoppée par cette construction », a-t-il déploré.
D’après quelques témoignages recueillis sur place, ce véhicule qui provenait de la province du Kongo-Central a percuté un poteau électrique, en provoquant cet incendie.
Cependant, le Vice-Premier Ministre et Ministre de l’Intérieur estime que l’ampleur du drame s’explique aussi par le fait qu’il y a beaucoup de désordre dans ce tronçon. Suite à cette situation, il a annoncé des sanctions contre les agents de la Police commis à la circulation routière dans ce secteur (PCR).
« C’est vrai que nous avons pris des mesures hier, il nous faut un peu du temps pour répercuter dans les unités. Moi-même en venant ici, j’ai constaté beaucoup de désordre sur la route, surtout au niveau du Rond-point Ngaba où des conducteurs s’arrêtent comme ils veulent, des agents de service de circulation ne faisant rien, et nous avons appelé le commandant de la ville pour des mesures à l’endroit de ces policiers », s’est fâché le garant de la sécurité.
Outre les pertes en vies humaines, plusieurs maisons et biens des personnes plus proches du macadam ont été également détruits par l’explosion de ce véhicule.
JMNK