Production de la quinine en Rdc: Julien Paluku rassure le staff dirigeant de Pharmakina de l’accompagnement du gouvernement

Après avoir servi la République démocratique du Congo dans le secteur pharmaceutique en produisant la quinine qui lutte contre le paludisme, un médicament qui a traversé les frontières, un produit entièrement congolais. Préoccupé actuellement à faire mieux qu’avant en produiqant plus en terme de qualité et quantité, c’est dans ce cadre que le staff dirigeant de Pharmakina conduit par son Président, Roland Decorvet a rencontré ce jeudi 7 septembre 2023 le ministre de l’Industrie Julien Paluku Kahongya pour lui faire part de ce projet et solliciter en même temps l’accompagnement du gouvernement de la République en mettant en place un plan directeur d’industrialisatio.
” Nous sommes venus voir le ministre pour lui parler des nos activités. Nous sommes la société qui transforme la quinine, un médicament contre le Paludisme et la malaria. Nous pensons que nous avons encore beaucoup de pontetialités pour développer cette industrie. Peu de gens savent que le Kivu est la source de 80% de ressources mondiales de quinine. Et notre usine est la seule en Afrique à transformer cette écorce en médicament si spécial et unique qui sauve les millions des vies.

Et 80% de toute la production est en faite de l’écorce exportée en Inde et nous ne transformons que 20%. Nous voulons agrandir cette usine et devenir un centre de compétence pour pouvoir fournir des médicaments que soit au Congo et dans les pays environnants et pour y arriver, l’aide de l’Etat congolais sera la bienvenue”, a dit Roland Decorvet.

Et pour sa part, le ministre de l’Industrie Julien Paluku Kahongya qui maîtrise très bien ce dossier soit en chiffre et en volume, a estimé que ce projet s’inscrit dans le cadre de la vision du chef de l’Etat de booster l’industrie congolaise, a promis à ses hôtes un accompagnement de l’Etat congolais au développement de cette industrie et à la rendre encore forte et efficace pour le bien-être de la population congolaise.

Toujours dans ce cadre, bientôt une série de formations seront organisées avec les cultivateurs et qui sera accompagnée par un plan d’ augmentation en terme de production. Signalons que Gurpreet Kang et Étienne Erny, respectivement CEO et Administrateur de Pharmakina ont pris part à cette rencontre.




KIM IL SUNG et la Coopération Sud-Sud (CSS)

Le Généralissime KIM IL SUNG a déclaré dans son Discours lors du banquet consacré au 35ème (09/09/1983) anniversaire de la fondation de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire en voie de la poursuite du statut de la Puissance économique et où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’Etat de la RPDC, NDLR): Notre RPDC est un Etat non-aligné, attaché à l’indépendance et à la paix. De nos jours, l’important dans la lutte pour l’émancipation du monde entier est que tous les Pays en développement (PED; 152 au total actuel, NDLR), y compris Pays non-alignés, réalisent la CSS pour accéder à l’indépendance économique et consolider l’indépendance nationale.

La CSS était destinée à renforcer l’indépendance de l’économie nationale et à réaliser, complètement, la libération économique grâce à une étroite coopération économique et technique entre les PED. Cette œuvre sublime constituait un maillon important de la lutte pour instaurer un nouvel ordre économique international.

Déjà au début des années 1970, KIM IL SUNG a proposé de s’investir dans la coopération économique et culturelle avec les PED tout en resserrant les liens politiques avec eux; Nous devons assister les Pays nouvellement indépendants, quitte à mener une vie quelque peu difficile, veillant à aider, de tout cœur dans plusieurs domaines, les Peuples de ces Pays à leur édification nationale.

L’aide sincère de la RPDC aux PED a continué dans les années 1980 dans le cadre de la CSS. Or, le Sommet (octobre 1981 à Cancun, Mexique) Nord-Sud des 22 Pays a révélé, telle quelle, la nature d’agresseur et de pillard des puissances de l’Occident qui empiétaient sur l’esprit d’indépendance et les intérêts économiques des PED en recourant à l’ancien ordre économique international. Dans ses entretiens (octobre 1982 et juin-juillet 1983), KIM IL SUNG a indiqué: Le résultat du Sommet de Cancun a montré clairement qu’il est impossible de résoudre le problème par le moyen de négociations avec les puissances de l’Occident. Pour démolir l’ancien ordre économique international et en instaurer un nouveau, il faut, avant tout, réaliser la CSS entre les PED.

En vue d’étendre et de développer cette CSS sur tous les plans, il a pris soin de promouvoir, avec vigueur, la coopération et les échanges économiques et techniques. En juin 1987, a eu lieu, solennellement à Pyongyang (Capitale de la RPDC), la Conférence Ministérielle extraordinaire des Pays Non-Alignés sur la CSS, avec la participation des représentants d’une centaine de PED de 5 Continents. A la réunion, KIM IL SUNG a prononcé son Discours «Développons la CSS!», dans lequel il a souligné: La CSS est une entreprise qu’ont à réaliser les Pays non-alignés eux-mêmes pour promouvoir leurs intérêts communs. Pour étendre et développer cette CSS dans tous les domaines, il faut que tous les Pays non-alignés adoptent une vision et une attitude identiques en la matière en se soutenant, énergiquement les uns les autres, sur le plan politique et s’attachent à réaliser cette CSS.

Quand il a terminé son Discours, le Ministre (Witness MANGWENDE 1946-2005) zimbabwéen des Affaires Etrangères qui présidait la réunion a proposé d’adopter ce Discours-là comme Document officiel de celle-ci, disant: Je présente mes plus grands respects à S.E.M. le Président KIM IL SUNG pour avoir bien voulu faire son Discours excellent qui servira de guide à la CSS.

Sa proposition a été saluée par les applaudissements enthousiastes des participants.).




Wibinaire sur la désinformation induite par l’IA: Les journalistes invités à l’adaptation d’outils de vérification des faits

L’ intelligence artificielle (IA) et comment celle-ci pourra influencer l’avenir de la més/désinformation, tel est le sujet qui était au centre d’un webinaire organisé mardi 6 septembre 2023 par Code for Africa (CfA), par l’intermédiaire de l’Alliance africaine de vérification des faits (AFCA). Pour les intervenants, l’intercession entre l’évolution de l’IA et la désinformation est de plus en plus amplifiée. Ils ont invité les journalistes et les fake-checkers de s’adapter aux outils sophistiqués pour pouvoir tracer une désinformation.

 

La désinformation est un fait qui ne date d’aujourd’hui. Elle a existé depuis les temps. Elle devient de plus amplifier avec l’IA. Les fausses informations montées par l’IA ne sont plus de nos jours à chercher. Plusieurs personnalités et institutions ont vu leur réputations se tenir par ces informations générées par l’IA que ce soit par images ou vidéos. Et pour lutter contre cette situation, Code for Africa (CfA), par l’intermédiaire de l’Alliance africaine de vérification des faits (AFCA) a organisé pour la unième fois, une formation en ligne avec des journalistes africains.

Pour les intervenants de cette session de formation, l’IA est un danger pour le monde d’information. Toutefois, ils ont épinglé quelques avantages que cette IA apporte à la société. L’IA aide à la communication et la socialisation. Avec l’IA qui contribue à l’existence des bases des données, rend la tâche facile à des milliers de personnes à faire des recherches sans beaucoup d’efforts. Cependant, dans un autre aspect, cette IA permet à l’invention des fausses informations, désinformation. Dans la plupart des cas, les fausses nouvelles parviendraient à se répandre plus largement en exploitant des émotions fortes, comme la peur et le dégoût.
Les fausses informations générées par l’IA ont la capacité de ruiner la réputation d’une personne connue. Il faudrait plus de sensibilisation pour aider la communauté à ne pas se fier au danger de la désinformation créée par l’IA, ont indiqué ces intervenants, avant d’insister auprès des journalistes d’avoir l’information à la source, aussi à avoir un esprit critique. Celui-ci permettre de faire face à la manipulation abusive de l’AI qui induit la communauté dans l’erreur de la désinformation.

M. Dimon Raymond Oyeniran, un des intervenants du jour, souligne qu’un
un journaliste doit refonder l’information, c’est-à-dire aller à la source de l’information et suspendre toutes les informations qui ne viennent pas des sources officielles

De son côté, Dieynaba Tshiombane décourage les journalistes à ne pas se fier à l’IA. « Il y a aucune fiabilité dans l’IA pour la vérification de l’information », car dit-elle, l’apparition de fausses nouvelles par l’IA doit faire pression aux journalistes pour chercher la bonne information, a-t-elle martelé.

Pour Esther Awanabi Idrissou, une autre intervenante, les médias doivent utiliser l’IA dans le fact-checking pour donner les vraies informations à des populations. Par ailleurs, elle a montré que ces populations sont dépourvues des outils de vérifications des faits et reçoivent toutes les informations, vraies et fausses.

Notons que l’Alliance africaine de fact-checking (AFCA), facilitateur de ce webinaire, est un réseau composé de rédactions et d’organisations de la société civile qui luttent contre la désinformation en publiant des vérifications de faits pour démystifier les théories de conspiration virales et autres contenus toxiques.

A Kinshasa, près d’une quinzaine de journalistes ont suivi ce webinaire au centre culturel américain de l’ambassade des USA en RDC.

Mamie Ngondo




763 millions d’adultes ne savent toujours pas lire et écrire: L’Unesco tend la perche au système éducatif congolais

Le chef de bureau et Représentant de l’UNESCO en RDC, Isaias Barreto Da Rosa a réaffirmé ce mercredi 06 septembre 2023 à Kinshasa, au cours de la conférence de presse hebdomadaire des Nations unies, le soutien et l’accompagnement au secteur éducatif congolais de cet organisme des nations unies. L’objectif étant l’intégration d’un nombre important d’enfants âgés de 6 à 11 ans non scolarisés.
proclamée par l’UNESCO en 1965 journée internationale de l’alphabétisation, chaque 8 septembre, depuis 1967, cette journée est célébrée à travers le monde, pour rappeler au public, notamment aux décideurs, l’importance de l’alphabétisation en tant que facteur de dignité et de droits humain. Cette célébration de sensibilisation, vise à mettre en évidence l’importance de l’alphabétisation pour les individus, communautés et sociétés et permet d’afficher les réalisations et de réfléchir aux moyens de relever les défis restants. Etant donné que l’alphabétisation fait partie du « programme de développement durable à l’horizon 2030 » de l’ONU, l’objectif de la commémoration chaque année du 8 septembre est donc de promouvoir l’alphabétisation en tant que partie intégrante de l’apprentissage tout au long de la vie. La lutte contre l’analphabétisme a pour but de donner accès à tous à une éducation de qualité, sur un pied d’égalité. L’une des cibles de ce programme est de veiller, d’ici à 2030, à ce que tous les jeunes et une proportion considérable d’adultes, hommes et femmes, sachent lire, écrire et compter.
Pour cette année en exercice 2023, dans son allocution, le chef de bureau et Représentant de l’UNESCO en RDC a salué la mise en œuvre de la mesure de la gratuité de l’enseignement de base en expliquant que sa conséquence directe est d’atteindre la scolarisation de tous les enfants au cycle primaire.

Alphabétisation pour l’autonomisation et l’épanouissement de l’apprenant

Rien ne sert de rappeler que la maîtrise de l’écrit donne à l’individu accès aux informations les plus basiques de la vie courante, conditionne aussi bien sa participation à la vie politique, à la vie sociale, économique et impacte sur sa culture. En cette ère de la mondialisation, l’accès à l’information n’est plus seulement l’apanage d’une élite mais un besoin au même titre que manger, se vêtir ou se loger. Ainsi donc, la journée internationale de l’alphabétisation est célébrée chaque 08 septembre dans le monde pour,comme le dit le thème de cette année « Promouvoir l’alphabétisation pour un monde en transition, bâtir les fondations de sociétés durables et pacifiques».
Depuis 1946, l’UNESCO œuvre à la réalisation d’une vision de l’alphabétisation pour tous basée sur la conviction que l’acquisition et l’amélioration des compétences tout au long de la vie. L’accès à l’alphabétisation fait donc partie intégrante du droit à l’éducation et procurent une grande émancipation et d’immenses bénéfices.
Selon des recherches, il est démontré que l’alphabétisation a un impact sur la santé, puisqu’on estime que plus le niveau d’instruction de la mère est élevé plus son nourrisson a de chance de passer l’âge de 5 ans.

Une alphabétisation en conformité avec la culture locale

De nombreux pays dans le monde connaissent des taux d’analphabétisme importants, particulièrement dans les pays en voie de développement. Cette impossibilité de lire et d’écrire un énoncé simple qu’est l’analphabétisme vient également de la mise en marge de certaines cultures dans ces pays que l’on a voulu « civilisé » par la colonisation.
Même si l’analphabétisme est généralement liée au fait d’avoir été privé d’enseignement scolaire, par conséquent l’analphabétisme est rare dans les pays où l’école publique est gratuite et obligatoire, le fait de mépriser les cultures locales des apprenants est aussi à la base de l’alphabétisme en berne dans certains pays.

La langue étant le véhicule de la culture, l’alphabétisation se trouve sur un champ miné dans les régions du monde où par complexe, on méprise les langues locales. Le fait d’apprendre dans sa propre langue ou même apprendre à lire et à écrire dans l’alphabet de sa langue, favorise mieux l’apprentissage que les faire dans les langues étrangères.
« Les parents et enseignants qui vont jusqu’à punir les élèves qui s’expriment en lingala à l’école (langue locale à Kinshasa),les traitant avec mépris de ‘lingala phones’, leur bloquent l’accès à la meilleure des voies d’acquisitions des informations, la langue maternelle », prévient un pédagogue, enseignant de la 1ère année primaire depuis plus d’un quart de siècle.

L’alphabétisation est donc le moteur du développement durable, autorisant une plus grande participation au marché du travail, améliorant la santé et la nutrition des enfants et des familles, réduisant la pauvreté et élargissant les possibilités offertes dans la vie. L’approche de l’UNESCO dans le domaine de l’alphabétisation continue d’évoluer de concert avec l’évolution de la définition du lettrisme dans un monde de plus en plus numérisé. Approcher l’alphabétisation dans le respect des langues locales permet de « bâtir les fondations de sociétés durables et pacifiques», tranche le vieil enseignant paraphrasant le thème de l’année.
Le chemin reste erncore long pour l’alphabétisation car, en dépit des progrès réalisés à l’échelle mondiale, 763 millions d’adultes ne savent toujours pas lire et écrire.

Willy Makumi Motosia




Dilemne d’une mission de maintien de la paix: Monusco, force de maintien de l’agression rwandaise?

Dans la lettre de ‘Mise au point du Ministère des Affaires Étrangères et Francophonie au sujet des propos du Directeur des Affaires Politiques de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation en République démocratique du Congo, au cours de la conférence de presse du mercredi 06 septembre 2023 à Kinshasa’, signé par son Conseiller en communication et Porte-parole, Alain Tshibanda Ngoy, le Gouvernement de la République démocratique du Congo s’interroge sur le rôle réel de la MONUSCO en RDC. Et cherche à comprendre son role réel : force de maintien de l’agression rwandaise ou de paix ?
En scrutant les propos de François Grignon, Directeur des Affaires Politiques, de la MONUSCO, le ministère des Affaires étrangères de la RDC estime sa déclaration « serait du reste de défier le peuple congolais et ses dirigeants, et vouloir pervertir la MONUSCO qui risquerait d’être perçue comme une force de maintien de l’insécurité et de l’agression rwandaise en RDC au lieu de contribuer à la stabilisation », estime-t-on dans cette lettre de mise au point.
Au cours de la conférence de presse de la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) du mercredi 06 septembre 2023 à Kinshasa, par François Grignon son Directeur des Affaires Politiques, la mission onusienne en RDC juge « opportune » la lettre du Gouvernement congolais adressée au Conseil de sécurité de l’ONU sur son « retrait accéléré » à partir de décembre 2023.


Bien que le diplomate onusien estime que cette communication va permettre les discussions nécessaires pour la préparation et la planification de la mise en œuvre du plan conjoint et révisé de transition d’être acté, le Ministère des Affaires Étrangères et Francophonie déplore que la lettre ayant été adressée au Président du Conseil de sécurité de l’ONU, un agent au sein de la MONUSCO de s’autoriser d’y répondre au lieu de la haute institution onusienne concernée et trouve cela irrévérencieux et indélicat.
« Cette communication à la présidence du Conseil de sécurité est opportune et dans la lignée des échanges et de la publication du rapport du Secrétaire général (de l’ONU). Elle prépare l’Assemblée générale des Nations unies, qui aura eu lieu à la fin du mois de septembre et la prochaine consultation du Conseil de sécurité qui aura lieu le 28 septembre », avait expliqué François Grignon.
Dans cette lettre de 6 pages, signée le 1er septembre 2023 par le Vice-Premier ministre aux Affaires étrangères, Christophe Lutundula Apala, Kinshasa réitère l’option d’accélérer et d’avancer à la fin de l’année 2023, le « retrait échelonné, responsable et durable » de la MONUSCO, annoncé depuis 2018 et dont le plan de transition a été adopté en 2021.
Et dans la lettre de ‘Mise au point du Ministère des Affaires Étrangères et Francophonie, il y est repris que « le retrait de la MONUSCO avait été décidé et annoncé par le Conseil de sécurité dans sa resolution n°2409(2018) du 27 mars 2018et ne restait que l’application.
Ainsi donc, dans la lettre du ministre, « il ne s’agissait pas de « précipiter » le départ de la MONUSCO, encore moins la le divorce d’avec la MONUSCO », précise-t-on dans la Mise au point. Et pour conclure, la lettre du ministère statue que « dès que la plus haute autorité de l’ONU, le Secrétaire général Antonio Guterres a reconnu que la MONUSCO n’est pas capable d’affronter les groupes armés et le M23 (…) et que la situation sécuritaire ne fait que se déteriorer(…), il est criminel de s’accrocher au maintien de la mission onusienne ».

Willy Makumi Motosia




Taekwondo/ITF: A quelques heures du coup d’envoi du championnat du monde Séoul 2023, Me Coco Bosobi entraineur titulaire confiant aux chances des Léopards/ITF

Me Bosobi Nsangi Coco, entraineur titulaire de l’équipe nationale de taekwondo continue à suivre ses poulains à la loupe. Sur place à Séoul, il s’est occupé d’eux ce matin de jeudi 7 septembre 2023 de la manière que voici :

De O6 h00 à 7h00 : exercices de mise en train pour que ces derniers puissent être toujours à chaud avant les hostilités des deux journées de la compétition allant du 08 au 09 septembre 2023.

Il s’en suivra le programme de la pesée des athlètes qui interviendra de 09 h à 12h00 à l’hôtel ‘’The Recenz’’, dans une grande salle amenagée au sous-sol de l’hôtel. Après la pesée, les 4 Léopards rentreront dans leurs chambres pour prendre du repos en attendant les compétitions du 8 et 9 septembre 2023.

Voici le calendrier des championnats :

Le 07 septembre : (de 09 h00 à 12 h00) : la pesée des athlètes ;

Le 07 septembre : (à partir de 13 h00) : la réunion des Coaches ;

Le 07 septembre : (à partir de 15 h00) : la réunion des arbitres

Du 08 au 10 septembre : (à partir de 9 h00) : la compétition.

Contacté, Me Bosobi est rassurant. Ses poulains vont donner le meilleur d’eux durant ce championnat du monde.

Antoine Bolia




Page spéciale Judo: Me Patrick Kalala (coordonnateur adjoint de la Conaju) a participé au congrès de l’U.A.J

En marge de cette 44è édition du championnat d’Afrique seniors individuel et équipes mixtes de judo,  le 05/09/2023 à partir de 09h00 sur place à Casablanca, Me Patrick Kalala, Coordonnateur adjoint de la Coordination Nationale des Activités de Judo en RDC a représenté le judo congolais au Congrès de l’Union Africaine de Judo dont les résolutions seront dévoilées dans nos prochaines éditions. Et il a posé dans une photo avec Mme Estony, Secrétaire Générale de l’U.A.J.

Antoine Bolia




Judo: Le cordon Nico Liyanza a épongé les dettes de la cotisation annuelle de la Fénacoju de 2 ans auprès de l’UAJ

Présent également au Maroc, Me Nico Liyanza, coordonnateur de la Conaju n’est pas resté bras croisés. Il a épongé les dettes de la cotisation annuelle de la Fénacoju de 2 ans auprès de l’UAJ.

Antoine Bolia




Judo: Me Tina Nzoyengenza Constant a réussi avec 74 % au test d’arbitre international

Ayant consentis personnellement des sacrifices pour se retrouver à Casablanca, au Maroc en compagnie de Me José Mbuyulu, Me Tina Nzoyengenza Constant n’a pas hésité une fois de plus de mettre la main à la poche en déboursant pour le Billet 1266 $,

Gopass 55 $, Hébergement + Accréditation 120 € par jour. Et il a participé au séminaire d’arbitrage. Et au test d’arbitre international, il a réussi avec 74 %. Une fierté pour l’arbitrage congolais.

Voici les Programmes du championnat d’Afrique individuel et kata de Casablanca 2023 au Maroc

Le 06/09/2023 : suite d’accréditation

Du 07 au 10/09/2023 :  Championnat d’Afrique.

Antoine Bolia




Judo: Voici les 4 athlètes de la RDC à la 44è édition du championnat d’Afrique Seniors individuel et équipes mixtes Casablanca

La République Démocratique du Congo aligne 4 athlètes à la 44è édition du championnat d’Afrique Seniors individuel et équipes mixtes Casablanca, Maroc 2023.

Parmi eux, deux évoluent en Europe et deux évoluent au pays. Ils tenteront de bien défendre les couleurs de la RDC sous l’encadrement de Me Dady Bakoyene alias coach androide ou coach international, entraineur national en charge des judokas de la diaspora.

Il s’agit des athlètes ci-après :

  1. Kisoka Arnold -60 kg
  2. Amaro Aristote -73 kg
  3. Cédrick Kalonga -81 kg
  4. Clément Musumadi +100 kg

Antoine Bolia