35è Lettre sociale congolaise : « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » de Charles Mbutamuntu : une rationalité politique pour un vote utile

« C’est une règle générale : l’homme qui réussit le mieux dans la vie est celui qui détient la meilleure information ». Benjamin Disraeli.

Chères lectrices, chers lecteurs,

  1. Cet article est une analyse bibliologique de l’anecdote que Charles Mbutamuntu raconte à ses futurs électeurs lors de l’enrôlement organisé par la Commission Electorale Nationale Indépendante en décembre 2022 et janvier 2023 pour les élections de décembre 2023. Cette anecdote se lit littéralement en français comme suit : « Ils nous ont fuis, ils viendront, ils partiront, ils nous laisseront… ».
  2. L’intérêt de cette analyse porte sur la dimension langagière inséparable d’un contexte socio-economicopolitique des dominants et dominés. L’auteur assigne à son anecdote un rôle documentaire de sens et de vérité tout en rappelant à ses futurs électeurs(potentiels dominés) la vérité sur le passé des postulants politiques(potentiels dominants) qui voudraient solliciter leurs voix aux élections politiques de décembre 2023. L’auteur présage aussi ce que feraient les postulants politiques après avoir bénéficié les voix des électeurs (potentiels dominés). La science s’occupant, aujourd’hui, de l’ordinaire, me basant sur l’anthropologie de l’écriture, il m’incombe donc la responsabilité de questionner l’anecdote de Charles Mbutamuntu afin d’y tirer sa valeur scientifique.
  3. Le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » est un discours politique, une communication et une communication intelligente.
  4. Le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » est un discours politique dans la mesure où la politique est, pour Eric Weil(1993), « la gestion de la chose publique laquelle chose appartient à tous les citoyens et citoyennes de la société ». C’est alors que le discours politique devient, pour Bertin Mushagalusa (2020), « un lieu de manifestation du sens de la politique en tant qu’effort de donation de sens ç une vie pour la liberté, la paix sociale et la justice ». La liberté, la paix sociale et la justice sont des composantes essentielles dans un régime démocratique et surtout pour la fondation d’un Etat de droit.
  5. Le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » pose un problème de la justice juste laquelle justice est mise en péril par l’opportunisme et l’imposture de certains congolais qui ont brillé par la résignation en quittant nos villages pour s’installer dans les chefs-lieux de nos provinces ou dans la capitale politique de la RDC, Kinshasa, d’un côté et , de l’autre , celles et ceux qui sont partis de Kinshasa et de certains Chefs-lieux des provinces pour les capitales et villes étrangères , singulièrement les capitales et villes occidentales, en laissant les autres se tirer le marron de feu à Kinshasa et à l’intérieur du pays.
  6. La phrase la plus usitée quand on quitte son village, son territoire, sa ville, sa province ou son pays est : « Ici ça ne va pas, les conditions de vie ne sont pas bonnes, je vais ailleurs où il fait bon vivre ». Il y en a même de celles et ceux qui n’ont jamais été en enfer, mais qui disent que « la RD c’est l’enfer ».Ce sont les raisons pour lesquelles ils nous ont fuis pour reprendre l’expression de Mbutamuntu.
  7. Il est alors injuste de voir celles et ceux qui ont quitté nos villages, nos provinces, notre pays à cause de la résignation venir solliciter les voix, de nous qui sommes restés résilients aux villages et au pays, pour être nos représentants dans les différentes structures de notre pays. Que seraient devenus nos villages, nos villes, nos provinces et notre pays si nous avions tous fui pour aller chercher les bonnes conditions de vie ailleurs ? C’est là que « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » revêt toute son importance d’un discours politique on montrant que celles et ceux qui nous ont fuis viendront pour leurs intérêts personnels, mais non pour l’intérêt général.
  8. Le problème posé par le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » prend des dimensions inquiétantes quand celles et ceux qui nous ont fuis s’arrogent par la loi du plus fort la part du lion méritant les postes politiques dans les institutions politiques et des cadres dans les entreprises et établissements publics avec le plus désir ardent de s’amasser de l’argent. Alors que sans notre résilience aux villages et au pays, le pays ne pouvait pas atteindre le niveau qu’il a aujourd’hui pour offrir les bonnes conditions d’exercice de certaines fonctions et occupations de certains postes juteux. Dorénavant, la situation stigmatisée par Mbutamuntu nous plonge dans ce qu’a été déjà dénoncé par le dramaturge Sacha Guitry (1885-1957) quand il montre qu’ « Au spectacle de la vie comme au théâtre, les plus exigeants sont ceux-là qui n’ont pas payé leur place ». Evidement celles qui ont fui les mauvaises de vie dans nos villages, la répression sous tes ses formes, l’imposition de la pensée unique doivent être considérés comme celles et ceux qui n’ont pas payé leur prix. Il s’agit donc pour eux, comme l’a bien montré Guitry(1935) dans son roman sur la tricherie intitulé Mémoire d’un tricheur, de la tricherie.
  9. Le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » fait penser au calvaire que connaissent les diplômés des établissements d’enseignement congolais sur le marché d’emploi dans leur propre pays. Deux congolais détenteurs chacun d’un Diplôme de Licencié dont l’un a été obtenu dans un établissement congolais et l’autre obtenu dans un établissement étranger, en l’occurrence en occident, l’on prendra gaiement le diplôme de l’étranger même si son détenteur ignore le contexte professionnel congolais. Le détenteur d’un diplôme d’un établissement congolais doit se débrouiller, il peut faire la cabine pendant que celui qui a étudié à l’étranger va occuper le bureau climatisé de l’Etat et passer son temps à être scotché à son téléphone tout en contemplant le nombre important des dossiers qui l’attendent pour le traitement.
  10. Le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » comme discours politique est donc une rationalité politique pour un vote utile. Les électrices et électeurs congolais qui vont intérioriser l’anecdote de Charles Nbutamuntu voteront utile en se choisissant les candidats qui habitent avec eux, les candidats qui n’imaginent pas les problèmes de leurs électrices et électeurs, mais qui les connaissent très bien pour être les uns d’entre eux et avoir été avec eux. Les candidats qui, dès qu’ils sont élus, mettront leurs compétences théoriques, techniques, personnelles et politiques au service de leurs entités administratives et de leurs électrices et électeurs. Ils seront alors les représentants proches de leurs électrices et électeurs, ils feront les charges téléphoniques auprès de leurs électrices et électeurs, ils achèteront les bananes et les arachides vendues par les électrices et électeurs, ils mangeront dans les restaurants de leurs électrices et électeurs… Bref, les émoluments des élus qui sont une conséquence logique des voix leur données par leurs électrices et électeurs pourront profiter à ces derniers non pas comme aumône, mais comme échange des services électeurs – élus.
  11. Le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » est ensuite une communication. Mortimer Jérôme Adler(1965) affirme que « communication is an effort on the part of one man to share something with another, his knowledge, his decisions, his sentiments ». La communication est un effort de la part d’un homme à partager quelque chose avec un autre, sa connaissance, ses décisions, son sentiment. Par le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… », Charles Mbutamuntu a non seulement communiqué son anecdote, mais aussi lutté contre l’opportunisme et l’imposture dont la finalité est de servir l’intérêt personnel au détriment de l’intérêt général qui est la raison même d’être de la politique. Car, Thierry Libaert et Jean Marie Pierlot(2015) montrent que « la communication est une lutte et la lutte est une communication ». Pour ces deux auteurs, il n’y a pas de lutte sans communication tout comme il n’y a pas de communication sans lutte.
  12. Les électrices et électeurs congolais ont été prévenus par la communication – la lutte de Mbutamuntu au sujet l’opportunisme et l’imposture de celles et ceux qui viendraient solliciter leurs voix. Un homme averti, en vaut deux.
  13. Le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » est enfin une communication intelligente dans la mesure où Mbutamuntu vise à former une communauté des personnes qui partagent les idées et objectifs communs. Mortimer Jérôme Adler ci-haut cité précise que « the good society, in large, must be an association of men made friends by intelligent communication ». Une bonne société doit, en général, être, une association des hommes devenus amis par une communication intelligente. Le « Bakima biso, bakoya, bakokende, bakotika biso… » comme idée de lutte contre l’opportunisme et l’imposture de certains acteurs politiciens est susceptible d’avoir l’adhésion populaire pour mettre hors-jeu les profito-situationistes qui mettent en mal notre démocratie.
  14. J’ai fait ma part. Si vous êtes intéressés par cette lettre sociale congolaise, rejoignez la coupe pleine au numéro + 243 994 994 872 pour appel normal, whatsApp ou X et à l’e-mail jsphngandu@gmail.com pour la suite.

Fait à Kinshasa, le 21 septembre 2023

  1. Joseph NGANDU NKONGOLO

Anthropobibliologue, Formateur Psycho SocioProfessionnel et Chercheur à l’Observatoire Congolais du Travail

+ 243 994 994 872.




Orange RDC & Airtel Congo RDC au travers de leur co-entreprise Mawezi RDC SA a fait atterrir le câble sous-marin 2Africa en Rdc au large de Muanda

Muanda, le 21 septembre 2023, réunis autour de Meta (anciennement Facebook), le consortium 2Africa, composé d’opérateurs de télécommunication China Mobile International, Bayobab (anciennement MTN Global Connect), Orange, center3 (anciennement stc), Telecom Egypt, Vodafone et WIOCC, a posé le câble 2Africa en République Démocratique du Congo, aux larges de la côte de Muanda dans la province du Kongo-Central.

 

2Africa, sera le plus grand projet de câble sous-marin au monde, qui va relier 33 pays à partir de 2023 et va offrir un service internet plus rapide et plus fiable à chaque pays où il sera installé.

L’arrivée à Muanda fait suite à des atterrages africains réussis à Port-Saïd en Egypte, à Pointe Noire en République du Congo et à Nacala au Mozambique plus tôt cette année.

Avec ce câble sous-marin, plus de trois milliards de personnes à travers les 3 continents (l’Afrique, l’Asie et l’Europe) seront connectés, offrant ainsi un potentiel économique qui devrait à terme décupler, favorisant ainsi le transfert de données et développant les opportunités commerciales en République Démocratique du Congo mais également dans toute l’Afrique.

Mawezi RDC SA, issu de l’alliance de Orange RDC et Airtel Congo RDC SA, est partenaire d’atterrage pour la République Démocratique du Congo et a la responsabilité de s’assurer de l’obtention de toutes les différentes autorisations en amont de l’atterrage du câble, construire la station d’atterrage mais également exploiter la station en mode d’accès ouvert pour faire profiter tous les acteurs de l’internet de ces capacités internationales additionnelles. Nous vivons donc aujourd’hui une échéance importante pour le projet 2Africa en République Démocratique du Congo qui en fait un élément d’infrastructure essentiel pour la transformation numérique du pays et sa connectivité avec le reste du monde.

Mawezi RDC SA s’est associée à Meta, partenaire d’atterrage (landing party) du câble sous-marin 2Africa en République démocratique du Congo. Meta en tant que partie prenante a été le principal investisseur dans la planification et la préparation de l’arrivée puis de l’exploitation du câble en RDC.

La Directrice Générale Madame Laetitia Molasoko N’Singa de Mawezi RDC SA a déclaré : « je suis extrêmement fière de voir aboutir ce projet qui va permettre d’améliorer l’accès à internet haut débit et d’accélérer les ambitions du Plan National du Numérique de son Excellence Mr Felix Antoine Tshisekedi »

A travers ce partenariat, Orange RDC et Airtel Congo RDC SA renforcent leur ambition d’améliorer l’inclusion digitale et le développement en République Démocratique du Congo.

À propos d’Airtel Africa

Airtel Africa est l’un des principaux fournisseurs de services de télécommunications et d’argent mobile, présent dans quatorze pays d’Afrique, principalement en Afrique de l’Est, en Afrique Centrale et en Afrique de l’Ouest.

Airtel Africa propose à ses abonnés un ensemble intégré de solutions de télécommunications, notamment des services de téléphonie mobile de voix et données, ainsi que des services d’argent mobile, tant au niveau national qu’international.

Nous souhaitons continuer à offrir une expérience client simple et intuitive grâce à des parcours clients fluides. www.airtel.africa

A propos de Orange RDC

Orange RDC est une filiale du Groupe Orange. Elle bénéficie de la confiance de plus de 15 millions d’abonnés. Orange RDC participe au développement économique et humain de la RDC par son engagement en faveur de l’inclusion numérique et social, de même que sa proximité avec les populations congolaises. www.orange.cd

A propos du Groupe Orange

Orange est l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde, avec un chiffre d’affaires de 43,5 milliards d’euros en 2022 et 136 000 salariés au 30 juin 2023, dont 74 000 en France. Le Groupe servait 291 millions de clients au 30 juin 2023, dont 246 millions de clients mobile et 24 millions de clients haut débit fixe. Le Groupe est présent dans 26 pays. Orange est également l’un des leaders mondiaux des services de télécommunication aux entreprises multinationales sous la marque Orange Business. En février 2023, le Groupe a présenté son plan stratégique “Lead the Future”, construit sur un nouveau modèle d’entreprise et guidé par la responsabilité et l’efficacité. “Lead the Future” capitalise sur l’excellence des réseaux afin de renforcer le leadership d’Orange dans la qualité de service.

Orange est coté sur Euronext Paris (symbole ORA) et sur le New York Stock Exchange (symbole ORAN).

Pour plus d’informations (sur le web et votre mobile) : www.orange.com, www.orange-business.com et l’app Orange News ou pour nous suivre sur Twitter : @presseorange.

Orange et tout autre produit ou service d’Orange cités dans ce communiqué sont des marques détenues par Orange ou Orange Brand Services Limited.




Reçu en audience par Simon Kimbangu (chef spirituel de l’église Kimbanguiste) à Nkamba, Me Morel Ntalani, CN 5è Dan révèle : ‘’Ce fut un moment de communion et de bénédictions’’

Reçu en audience par Simon Kimbangu, chef spirituel de l’église Kimbanguiste, le dimanche 17 septembre 2023, Me Morel Ntalani, CN 5è Dan, Secrétaire Général de Police Taekwondo Congo/Brazzaville et expert en arts martiaux adepte du Kimbanguisme révèle ce qu’a été sa rencontre avec ce dernier : ‘’Je suis arrivé à Nkamba le samedi 9 septembre pour participer à la date anniversaire du 12 septembre, date marquant la naissance de Simon Kimbangu et chef spirituel m’a reçu en audience, le dimanche 17 septembre 2023. Le message le plus important pour moi, c’est d’annoncer au monde que papa Simon Kimbangu est Dieu le Saint Esprit et tout ce qu’on vit aujourd’hui dans le monde avait été prédit par lui. Et c’est de là que partira le développement de l’Afrique.

Tous les pays ayant été enrichis par le sang du peuple africain s’effondrant. C’est pourquoi aujourd’hui le monde bouge. Dieu va les réduire à zéro. Entre temps, ils n’auront plus les moyens de piller l’Afrique. Et Dieu enlèvera la couverture spirituelle avec laquelle il a couvert nos richesses et viendra la révolution. Nos jeunes feront des inventions qui vont révolutionner le monde. Il y aura la faim et c’est les trois Congo vont nourrir le monde’’.

Antoine Bolia    

 




Page d’histoire Judo : Tout ce qu’il faut retenir de la compétition de judo aux 9èmes jeux de la francophonie

Les 9èmes Jeux de la francophonie ont pris fin depuis le 6 août 2023. Nous gardons de ces jeux des souvenirs inoubliables aussi bien du côté de la culture que du sport. En notre qualité d’officier de presse, nous avons sillonné tous les sites des jeux dans le cadre de service qui nous a été demandé. Néanmoins, en tant que journaliste, nous avons pu tirer beaucoup des leçons et des informations que nous dévoilons au fur et à mesure à l’opinion sportive nationale et internationale.

Une affluence monstre durant toute la durée de la compétition

C’est du mercredi 2 au vendredi 4 août 2023 que la compétition de judo s’est déroulée. 28 pays pour un total de 157 athlètes ont pris part à la compétition. Chaque journée, le gymnase était bourré du monde.

A la 1ère journée, 4 catégories étaient en lice : -48 kg et – 52 kg dames et -60 kg et -66 kg messieurs.

Tableau de médailles -48 kg dames

Or : Perrot Anais Christa (France)

Arg : Kanyamuneza Signoline (Burundi)

Br : -Chakir Aziza (Maroc)

-Medilo Charize Isabelle (Canada)

Chez -52 kg dames, la congolaise Muisi Philipe Laurette a échoué en ½ finale face à la française Devictor Chloe.

Tableau des médailles -52 kg dames

Or : Baba Matia Marie  (Cameroun)

Arg : Badiceanu Florina (Cameroun)

Br : -Barka Segue Fatime (Tchad)

-Beaton Evelyn (Canada)

Chez les -60 kg messieurs, le congolais Kisoka Kiamfumu Arnold ‘’ Daso’’ a remporté le bronze en dominant le Mauritanien Gangaya Winsley. L’arménien Andreyan Ashik a remporté l’or face à Matei (Roumanie).

Tableau des médailles -60 kg messieurs

Or : Andreyan Ashik (Arménie)

Arg : Matei Alexandru (Roumanie)

Br : -Jean Enzo Patrick (France)

– Kisoka Kiamfumu Arnold ‘’ Daso’’ (RDC)

Chez les -66 kg, le congolais Matonta Benny a échoué face à un roumain. La finale a été remportée par le canadien Frascadore julien qui a battu le gabonais Nkero Fernand par un wazari.

Tableau des médailles -66 kg messieurs

Or : Frascadore julien (Canada)

Arg : Nkero Fernand (Gabon)

Br : -Haddad Joe (Liban)

-Bors Duùitrescu Lucian (Roumanie)

Le 3 août 2023 pour la 2è journée,  4 catégories étaient à l’affiche: -57 kg et -63 kg dames et -73 kg et -81 kg messieurs

Chez les dames -57 kg, 13 judokas étaient en lice. Etina Litolo Davina de la RDC a échoué en repêchage face à la marocaine Taibi Chaimae.

Tableau des médailles -57 kg dames

Or : Devictor Chloé Valérie (France)

Arg : Rakotovao Narindra  Herintsoa (Madagascar)

Br : -Hassane Abdou Zaikatou (Niger)

-Ziane Wissal (Maroc)

Muisi Philippe Laurette de la RDC s’est classée 5è.

Chez les dames -63 kg, 12 judokas étaient en lice. Etina Litolo Davina de la RDC a échoué en repêchage face à la marocaine Taibi Chaimae.

Tableau des médailles -63 kg dames

Or : Drid Rania (Maroc)

Arg : Harris Isabelle(Canada)

Br : -Taibi Chaimae (Maroc)

-Chayeb Aqulina (Liban)

Etina Litolo Davina (RDC) 7è

Chez les messieurs -73 kg, 18 judokas étaient en lice. Le rd congolais Kasota Gedeon alias zibiyu à l’étape de ½ finale était mené par wazari par le sénégalais Gaye Serigne. Mais il a su renverser la situation par un joli ippon. En finale, il échoue face au Marocain Doukkali Hassan.

Tableau des médailles -73 kg messieurs

Or : Doukkali Hassan (Maroc)

Arg : Kasota Gédeon (RDC)

Br : -Cena Dardan (Kos)

-Rubiano Alexandre (France)

Chez les messieurs -81 kg, le congolais Diakanua José n’a su relever le défi. Ayant gagné le camerounais Beina Bangmo qui a écopé hansoku make=disqualification pour avoir totalisé 3 sanctions, il a subi la loi du canadien  Popovici à l’étape suivante. Au repêchage, il échoue également face à l’ivoirien Bamba Massoma.

Chez les -81 kg, 15 judokas étaient en lice. Le rd congolais Diakanua José alias Griezzman est passé à côté de la plaque. Après avoir passé difficilement le camerounais Ben Bangmo, il a lamentablement échoué au repêchage face à l’Ivoirien Bamba Massoma.

Tableau des médailles -81 kg

Or : Popovici (Canada)

Arg : Gnamien (France)

Br : -Kabdani Hamza (Maroc)

-Konate Kissouli (Burundi)

Le 4 août 2023 pour la 3è journée,  6 catégories étaient à l’affiche : -70 kg, -78 kg et +78 kg dames et -90 kg, -100 kg et +100 kg messieurs

En outre, l’après-midi était marqué par la compétition mixte par équipe.

Tableau des médailles -70 kg dames

Or : Rasoanaivo Razafy (Madagascar)

Arg : Biron Laurence (Canada)

Br : -Khairi Oulava (Maroc)

-Biami Zita Omella (Cameroun)

Tableau des médailles +78 kg dames

Or : Ngelebeya Liz Laury (France)

Arg : Godbout Coralie (Canada)

Br : -Niragira Ange Ciela (Burundi)

-Djendue Moune Georgika (Cameroun)

Tableau des médailles 78 kg dames

Or : Rasoanaivo Razafy (Madagascar)

Arg : Biron Laurence (Canada)

Br : -Khairi Oulava (Maroc)

-Biami Zita Omella (Cameroun)

Chez les -90 kg messieurs, le rd congolais Lusamba Kalala a redonné de la joie au public sportif congolais en glanant la médaille de bronze.

Tableau des médailles -90 kg messieurs

Or : Sibisan Alexandru Razafy (Roumanie)

Arg : Arencibia Alexandre (Canada)

Br : -Lussamba Kalala Thierry (RDC)

-Ngueya Naheu Vladimir Carlos (Cameroun)

Tableau des médailles -100 kg messieurs

Or : Zekau Shpati (Kosovo)

Arg : Serban Eduard  (Roumanie)

Br : -Boukhriss Walid (Maroc)

-Ndiaye Libasse  (Sénégal)

Tableau des médailles +100 kg messieurs

Or : Saparbaev Khamzat (France)

Arg : Messe A Bessong John Junior Serge (Canada)

Br : -Samba Hardel (Congo)

-Lahboub Mohammed  (Maroc)

L’après-midi de cette journée était marquée par la compétition par équipe mixte. L’on doit noter que ces équipes comportaient des judokas issus de diverses nationalités. Tout a démarré par la constitution des équipes : Niamey, Othawa, Beyrouth, Mbuji-Mayi, Bukavu et Paris. Pour la finale de bronze, Othawa a chuté face à Beyrouth 2-4 et en finale, Mbuji-Mayi a dominé Paris 4-3.

Tableau des médailles équipe mixte

Or : Mbuji-Mayi

Arg : Paris

Br : Beyrouth

En notre qualité d’officier de presse, nous faisions le point de chaque journée avec M. Michel Huet, représentant de la Fédération Internationale de Judo sur les conditions de travail des journalistes qui couvraient la compétition de judo à cette 9è édition.

Antoine Bolia




Ce vendredi à l’Université Simon Kimbangu : Prof Nicot Omeonga devant les étudiants de médecine en conférence sur l’entrepreneuriat médical

Professeur des universités et Docteur en Economie, Nicot Omeonga  sera parmi les orateurs d’une conférence-débat prévue ce vendredi 22/09/2023 devant les étudiants de la Faculté de Médecine de l’Université Simon Kimbangu, sise Avenue Bongolo dans le quartier Kauka, commune de Kalamu. La conférence que va animer le Prof Nicot Omeonga porte sur l’étudiant en Médecine, mais lui planchera sur l’entrepreneuriat médical.

Antoine Bolia