L’Algérie retire sa candidature à l’organisation des CAN 2025 et 2027

L’Algérie a décidé de retirer sa candidature à l’organisation des éditions 2025 et 2027 de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), a annoncé mardi la Fédération algérienne de football (FAF), à la veille de la désignation des pays hôtes.

La FAF «a officiellement transmis à la Confédération africaine de football (CAF) un courrier par lequel elle l’informe de sa décision de retirer la candidature de l’Algérie pour l’organisation de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN)» en 2025 et 2027, selon le communiqué de la fédération.

Pour 2025, l’Algérie était en concurrence avec le Maroc et un dossier commun présenté par le Bénin et Nigeria. Pour 2027, elle devait rivaliser avec le Sénégal et le Botswana ainsi qu’une candidature commune du Kenya, de la Tanzanie et de l’Ouganda.

«Ce retrait est motivé par la nouvelle approche de la FAF relative à la stratégie de développement du football en Algérie», a encore indiqué la Fédération.

Le communiqué de la FAF a été publié le même jour que l’installation de son nouveau président, Walid Sadi.

Selon le communiqué, la FAF «concentrera désormais ses efforts dans la réorganisation et la redynamisation du football en Algérie, de même qu’elle réitère son engagement indéfectible au profit du développement du football africain».

Le Comité exécutif de la CAF, l’instance africaine de football, se réunira mercredi au Caire, avant une conférence de presse de son président, le Sud-Africain Patrice Motsepe, au cours de laquelle ce dirigeant annoncera l’identité des pays hôtes des éditions 2025 et 2027.

Par Le360 Afrique (avec AFP)




CSAC fustige la montée en flèche d’une campagne électorale précoce dans les médias

Dans un communiqué parvenu au média en ligne www.lequotidienrdc.com, signé par Ndjibu Ngoy Serge, Rapporteur adjoint, le Bureau du CSAC constate avec regret la montée en flèche d’une campagne électorale précoce dans les médias depuis la publication par la CENI de la liste définitive des candidats à la députation nationale en date du 23 septembre courant.

« Le Bureau du CSAC rappelle que la date du début de la campagne électorale telle que prévue par la CENI n’est pas encore arrivée. Ainsi le CSAC, dans son rôle de régulateur, demande aux Médias et aux professionnels des Médias de s’abstenir de diffuser tout message ayant un caractère promotionnel en rapport avec la campagne électorale », indique le communiqué officiel.

A ceux des Médias qui s’adonnent déjà à cette pratique au mépris de la loi, de cesser immédiatement sous peine des sanctions conformément à la Directive du CSAC n° CSAC/AP/002/2015 du 05 Mars 2015 relative à la campagne électorale à travers les Médias.

C’est ainsi que le Bureau du CSAC lance un appel aux journalistes, animateurs, producteurs, techniciens et tous autres professionnels des médias ainsi que les acteurs politiques au patriotisme et au respect non seulement de la loi, mais également du processus électoral lui-même.

Le Bureau du CSAC les invite à l’observance stricte des prescrits de l’article 80 de la loi n°15/001 du 12 février 2015 relative aux amendes pour toute personne qui s’engage dans une campagne électorale en dehors de la période légale.

 

 




Le Roi Mohammed VI adresse une Lettre au Chef du gouvernement relative à la révision du Code de la famille

“Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, que Dieu L’assiste, a adressé une Lettre au Chef du gouvernement relative à la révision du Code de la famille.

Cette Lettre Royale vient concrétiser la décision Royale annoncée par SM le Roi dans le Discours du Trône de l’année 2022 et traduire la Haute sollicitude que le Souverain, que Dieu Le Glorifie, ne cesse d’accorder à la promotion des questions de la femme et de la famille en général.

Parallèlement à la mission dont Sa Majesté le Roi, que Dieu Le préserve, a chargé Monsieur le Chef du gouvernement, à travers cette Lettre, le Souverain a confié le pilotage de la préparation de cette importante réforme, de manière collective et collégiale, au ministère de la Justice, au Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire et à la Présidence du Ministère public et ce, au vu de la centralité des dimensions juridiques et judiciaires de cette question.

Sa Majesté le Roi a appelé les institutions précitées à associer étroitement à cette réforme les autres instances concernées directement par cette question, à leur tête, le Conseil Supérieur des Ouléma, le Conseil National des Droits de l’Homme, l’Autorité gouvernementale chargée de la solidarité, de l’insertion sociale et de la famille, tout en s’ouvrant également sur les instances et acteurs de la société civile, les chercheurs et les spécialistes.

Les Hautes Instructions Royales stipulent de soumettre les propositions d’amendements qui vont émaner de ces larges consultations participatives à la Haute appréciation de SM le Roi, Amir Al-Mouminine, le garant des droits et libertés des citoyens, dans un délai maximum de six mois et ce, avant l’élaboration par le gouvernement du projet de loi à ce sujet et sa soumission au parlement pour adoption”.