Le collectif des cadres et membres de l’UDPS/Tshisekedi restructure ses organes

Le Collectif des Cadres et Membres de l’UDPS/TSHISEKEDI a tenu, ce mercredi 27 Septembre 2023, son Assemblée Générale Extraordinaire à son siège de Lingwala à Kinshasa.

Un seul point a figuré à l’ordre du jour, à savoir la restructuration de ses organes dirigeants : la Coordination Nationale et le Conseil des Sages.

Le Coordonnateur National de cette structure d’appui autonome du Parti, Monsieur Felly Fwamba Mubalamate, a fait un rapport de circonstance centré sur le fonctionnement du Collectif depuis le début de cette année 2023.

Après avoir loué l’engagement sans faille des membres dans la poursuite des missions que le Collectif s’est assignées, il a profité de cette occasion pour les réarmer moralement afin qu’ils atteignent les objectifs consignés dans leur Charte.

Au cours de cette année électorale, le Coordonnateur National a invité ses collègues à s’impliquer sans réserve dans la campagne présidentielle pour la réélection du Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à la magistrature suprême de notre pays.

Il a poursuivi en condamnant l’absentéisme de certains de ses pairs.

En vue de donner un nouveau souffle au Collectif, l’Assemblée Générale Extraordinaire a décidé, à l’unanimité, du remplacement de quelques membres qui n’étaient pas à la hauteur de la confiance placée en eux.

Trois nouveaux membres ont fait leur entrée à la Coordination Nationale dont la composition se présente comme suit :

– Coordonnateur National : Monsieur Felly FWAMBA MUBALAMATE

– Premier Coordonnateur National Adjoint : Monsieur Désiré NGANGU ZAKANDA

– Deuxième Coordonnateur National Adjoint : Monsieur Rigobert MULONDA TSHIBOLA MULUME

– Troisième Coordonnatrice Nationale Adjointe : Madame Brigitte DIYOYO KAMWENA

– Secrétaire-Rapporteur : Monsieur Jules Roger NSEVANI

– Secrétaire-Rapporteur Adjoint : Monsieur Jacques MIKOBI

– Trésorier National : Dr Jean-Félix KALONJI KATAMBWA

– Caissier : Monsieur Jean-Marie ILUNGA MULAMBA En faveur de qui

– Conseiller : Monsieur Pierre-Damien TSHIMANGA NGINDU

Quant au Conseil des Sages, il n’a pas été touché. Il est ainsi composé :

– Président : Monsieur Crispin KABASELE TSHIMANGA BABANYA KABUDI

– Vice-Président : Monsieur Jean-Pierre MUNOKO KADIEBWE KADINGU

– Secrétaire : Madame Élodie LUSAMBA LUMBALA

– Conseiller : Monsieur Maurice KANYINDA NTUMBA

Par ailleurs, l’Assemblée Générale Extraordinaire a pris l’engagement de soutenir tous ses membres qui se sont présentés aux prochaines législatives nationales, provinciales et municipales.

Jean Kabeya Mudiela Ndungu/Cp




Code de la famille: Omar Hilale souligne le rôle de catalyseur joué par le Roi

L’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU, Omar Hilale, a mis en avant, devant la 78è Assemblée générale de l’ONU, le rôle de catalyseur joué par le Roi Mohammed VI en matière de défense et de promotion des droits de la femme et de la famille.

Le Souverain « n’a eu de cesse d’oeuvrer en faveur de la promotion des questions de la femme et de la famille, comme en témoigne la Lettre que le Souverain a adressée mardi au Chef du gouvernement relative à la révision du Code de la famille », a-t-il dit lors du débat général de cette AG tenue à New York.

Dans la Déclaration au nom du Maroc, Hilale a rappelé que les hautes instructions royales stipulent de soumettre les propositions d’amendements du Code de la famille, qui vont émaner de consultations participatives, à la haute appréciation du Roi dans un délai maximum de six mois.

L’ambassadeur a, par ailleurs, relevé que le Maroc, en droite ligne des orientations Royales, s’est engagé dans une dynamique vertueuse de développement tous azimuts, à travers des chantiers d’envergure structurants, à leur tête le nouveau modèle de développement.

Ces projets socio-économiques se rapportent à des secteurs vitaux de développement durable, notamment la transition énergétique, l’eau, la couverture sociale et la lutte contre les catastrophes naturelles, a-t-il dit. Ces projets interviennent dans le cadre d’une vision intégrée qui s’inscrit dans le droit fil des Objectifs de développement durable (ODD), a précisé le diplomate.

Omar Hilale a, en outre, mis l’accent sur l’importance de renforcer la résilience des sociétés dans un monde aux prises avec une multitude de défis, tout en plaidant pour une approche globale qui repose sur les principes de l’équité et de la justice sociale et territoriale en vue de réaliser les ODD.

 




Après le FMI et la BM, l’Institut de la finance internationale confirme la tenue de sa réunion annuelle à Marrakech

L’Institut de la finance internationale (IFI) a confirmé la tenue de sa réunion annuelle à Marrakech du 12 au 14 octobre prochain, dans la foulée de la décision de la Banque mondiale (BM) et du Fonds monétaire international (FMI) de maintenir leurs assemblées annuelles au Maroc comme prévu.

«Nos pensées vont aux victimes et aux familles touchées par le tremblement de terre dévastateur au Maroc. Le FMI et la Banque mondiale ont annoncé qu’après avoir évalué la situation sur le terrain à Marrakech, ils procèdent à la tenue, comme prévu, de leur réunion annuelle. En conséquence, l’Institut de la Finance Internationale tiendra également l’assemblée annuelle de ses membres», a indiqué lundi dans un communiqué, l’association mondiale du secteur financier, basée à Washington.

Selon le PDG de l’IFI, Tim Adams, «le secteur financier mondial est le moteur de la croissance et de la résilience économiques. Et cette année, notre mission prend une importance supplémentaire à la suite du tragique tremblement de terre au Maroc.»

Ce conclave sera l’occasion pour les membres de l’association, environ 400 issus de plus de 60 pays, d’établir des relations d’affaires avec des pairs et des clients et d’écouter certains des leaders d’opinion les plus influents du secteur financier. «Les participants entendront des PDG et des présidents de grandes institutions financières ainsi que des décideurs politiques et des experts influents aux niveaux mondial et régional», ajoute le communiqué.

La réunion annuelle de l’IFI proposera une série de panels sur des questions critiques ayant un impact sur les marchés et l’économie mondiale, dont l’agenda réglementaire mondial, le financement d’une transition juste dans les marchés émergents, l’inflation et la dette, le changement du paysage des risques pour le secteur financier mondial, les opportunités et défis des changements géopolitiques et économiques pour le Moyen-Orient et l’Afrique ou encore la transformation numérique et l’avenir de la finance.

Crée en 1983, l’IFI a pour mission d’accompagner l’industrie financière dans la gestion des risques, le développement des pratiques industrielles saines et le plaidoyer en faveur de politiques réglementaires, financières et économiques qui répondent aux intérêts de ses membres et favorisent la stabilité financière mondiale et une croissance économique durable.

Cette association regroupe des banques commerciales et d’investissement, des gestionnaires d’actifs, des compagnies d’assurance, des bourses, des fonds souverains, des fonds spéculatifs, des banques centrales et des banques de développement.

Son conclave à Marrakech se tiendra en parallèle aux assemblées annuelles du FMI et de la BM qui vont rassembler les délégués des 190 pays membres de ces deux institutions internationales, dont les dirigeants du secteur public et du secteur privé, ainsi que des représentants d’organisations de la société civile et des experts issus des milieux universitaires.

C’est la première fois en 50 ans que cet événement d’envergure se tient sur le continent africain.

Par Le360 (avec AFP)




Exit l’Algérie !

Après d’innombrables reports, le comité exécutif de la Confédération africaine de football va dévoiler ce mercredi l’identité des pays hôtes des éditions 2025 et 2027 de la Coupe d’Afrique des Nations. L’Algérie a préféré, elle, battre en retraite.

Le feuilleton a assez duré et le suspense touche enfin à sa fin pour les passionnés du football africain en général et Marocains en particulier ! La Confédération africaine de football (CAF) révélera ce mercredi les noms des pays hôtes des éditions de la Coupe d’Afrique des Nations, CAN 2025 et 2027. Après plusieurs reports, le moment tant attendu est prévu pour ce mercredi 27 septembre et ce, à l’issue de la réunion du comité exécutif de la CAF qui se tiendra au Caire.

L’annonce avait été faite par le comité exécutif de la CAF le 7 septembre dernier. Pendant cette réunion, le président de la CAF, Patrice Motsepe, a déclaré : «Le comité exécutif de la CAF a pris d’importantes décisions unanimes qui apporteront une contribution significative à la durabilité, à la compétitivité mondiale et à l’attractivité du football sur le continent africain. Nous nous retrouverons à nouveau au Caire le mercredi 27 septembre 2023 pour discuter et prendre des décisions relatives aux pays qui se verront attribuer la CAN TotalEnergies 2025 et la CAN 2027».

Cette annonce tant attendue résulte d’un processus rigoureux d’inspection mené par un organisme indépendant dans les pays candidats à l’organisation des éditions de 2025 et 2027. Les équipes d’inspecteurs ont parcouru le continent pour évaluer les infrastructures, la logistique et la capacité d’accueil de chaque candidat.

Le choix des pays qui auront le privilège d’accueillir la CAN en 2025 et 2027 reposera sur le vote des 24 membres du comité exécutif de la CAF. La décision sera annoncée dès la fin des délibérations par le président de la CAF.

La compétition pour l’attribution de l’organisation de la CAN 2025 comprend de nombreux pays. Outre le Maroc, l’Algérie, le duo Nigeria-Bénin et la Zambie sont en lice pour accueillir cet événement prestigieux. Chacun de ces pays a mis en avant ses arguments, que ce soit en termes d’infrastructures de classe mondiale, de passion des supporters ou de tradition footballistique.

Toutefois, l’un de ces pays prétendants a retiré sa candidature de l’organisation des éditions 2025 et 2027 quelques heures seulement avant l’annonce officielle des pays hôtes! Il s’agit de l’Algérie visiblement qui a préféré quitter la course plutôt que d’essuyer un échec. Un rétropédalage qui intervient quelques jours seulement après l’élection du nouveau président de la fédération algérienne de football Walid Sadi le 21 septembre pour un mandat de 18 mois.

Tout porte à croire que le Maroc serait le mieux placé pour abriter le plus grand événement footballistique du continent. Le Maroc dispose d’une longueur d’avance par rapport aux autres prétendants. En l’espace de 5 mois, le Maroc avait réussi avec brio à organiser deux événements sportifs d’envergure, à savoir la Coupe du monde des clubs en février dernier et la CAN U23.

Le Royaume continue de montrer sa capacité en matière d’organisation de compétitions et d’événements sportifs importants, dans le cadre de son ambition d’abriter la CAN 2025, et ce, pour appuyer sa candidature conjointe avec l’Espagne et le Portugal pour l’organisation de la Coupe du monde 2030. Le Maroc est le principal candidat pour accueillir la compétition continentale, eu égard à la confiance placée en lui par les responsables de la CAF.

Quant à la CAN 2027, ils sont désormais quatre candidats à se disputer l’honneur d’être le pays hôte, à savoir le Sénégal, le Botswana, l’Égypte et le trio Kenya-Ouganda-Tanzanie.

 




Du 03 au 07 octobre prochain : La ville de Dakar va abriter la 6ème édition du « Forum Galien Afrique »

La ville de Dakar, capitale de la République du Sénégal va abriter la 6ème édition du « Forum Galien Afrique » sur le thème : « Maladies non-transmissibles : L’Afrique en lutte ! ». C’est ce qu’a annoncé la ministre d’Etat auprès de la Présidence du Sénégal et Présidente de l’Association Galien Afrique, la professeure  Awa Marie Coll-Seck, lors d’un wébinaire, organisé le lundi par le Réseau des Médias africains pour la promotion de la Santé et de l’Environnement (REMAPSEN).

A l’en croire, plus de 3000 participants sont attendus du monde entier, parmi lesquels les récipiendaires du Prix Nobel, leaders politiques, experts, chercheurs, étudiants, leaders communautaires, médecins, socio anthropologues, biologistes, innovateurs, investisseurs, organisations internationales, société civile, secteur privé œuvrant dans le secteur de la santé.

«  Le Forum Galien Afrique est une plateforme d’échanges scientifiques de haut niveau sur des questions d’intérêt commun et les priorités du continent africain par les africains eux-mêmes (…) Nous avons voulu pour cette occasion que les jeunes et les femmes soient à l’honneur », a indiqué la présidente du Comité scientifique du Forum Galien Afrique, avant de déplorer le fait que plus de 80% des médicaments consommés en Afrique viennent de l’extérieur. Ce qui traduit noir sur blanc, la faiblesse de la rechercher et de la production au niveau du contient.

Un chiffre qui fait froid au dos et devra interpeller les dirigeants et les gouvernements africains à renverser la tendance.

En attendant, l’Association Galien Africa, a dit la ministre-Gouverneur de la Côte d’Ivoire, Dr Raymonde Goudou-Coffie, membre du jury du Prix Galien Afrique, reconnait et prime les chercheurs.

« Le Prix Galien Afrique qui consacre l’excellence et l’innovation, a pour but de primer les chercheurs, les institutions et industries pharmaceutiques du secteur public ou du secteur privé ayant mis au point des initiatives, des services, des produits pharmaceutiques, biotechnologiques, de phytothérapie, de diagnostic, les dispositifs médicaux et solutions digitales récemment introduits sur le marché africain », a-t-elle déclaré, soulignant que ce Prix est décerné depuis 50 ans et équivaut au Prix Nobel en matière d’innovation pharmaceutique.

Ainsi, ça sera pour la troisième fois que « le Prix Galien Afrique » sera décerné au cours de cette rencontre de Dakar. Son appel à candidature a été lancé le 20 février 2023.

Quatre catégories sont retenues, à savoir : le meilleur produit pharmaceutique, le meilleur produit de tradithérapie, le meilleur produit biotechnologique, la meilleure technologie médicale ou solution digitale.

« Ce prix a deux critères de base, qui sont l’innovation et découverte, et l’impact sur le continent africain (…) vu que 90% des médicaments vendus en Afrique subsaharienne proviennent des autres continents», a-t-elle souligné.

Prenant la parole à son tour, le professeur Ibrahima Seck, membre du comité scientifique du Fondation Galien Afrique, a fait savoir qu’il s’agira pour cette édition de mettre en exergue le rôle de l’Afrique dans la lutte contre les maladies non transmissibles.

« Les facteurs de risque clés des maladies non transmissibles sont liés au comportement qu’il est possible de modifier, notamment le tabagisme, la mauvaise alimentation, l’absence d’exercice physique, et l’usage nocif de l’alcool, qui à leur tour entraînent surpoids et obésité, l’hypertension, l’hypercholestérolémie », a-t-il indiqué.

Saluant le partenariat tissé avec le REMAPSEN, la professeure Coll-Seck a qualifié cette rencontre de salutaire pour faire un large écho du Forum Galien Afrique, et surtout des recommandations qui en seront issues.  «  Pour que nous puissions avoir le retour de ce que nous faisons, il faut que les journalistes nous accompagnent », s’est réjoui Boubacar Sow, responsable de Communication et des Relations publiques de l’Association Galien Afrique.

Prince Yassa




Du 28 au 30 septembre à Kinshasa : 2.123.518 enfants de 0 à 59 mois concernés pour la vaccination contre la poliomyélite

Le gouvernement provincial de la ville de Kinshasa a procédé hier au lancement de la deuxième phase de la campagne de vaccination contre la poliomyélite, prévue pendant trois jours, soit du 28 au 30 septembre sur toute l’entendue de la capitale avec pour cibles les enfants de 0 à 59 mois.

Selon le délégué de la ministre provinciale de la Santé, Me Benoit Pinga, pour cette deuxième phase, 2.123.518, soit 18, 9 % d’enfants pour la ville province de Kinshasa, sont attendus à cette campagne.

«  L’objectif pour cette campagne est d’atteindre 95 % de notre cible en attendant le rapport du monitorage indépendant qui sera organisé par l’Organisation mondiale de la Santé. Deux gouttes de vaccin seront administrées par voie orale en stratégie porte par porte (…) Les vaccinateurs passeront d’une maison à une autre  et partout où les enfants se retrouveront … », a-t-il déclaré, avant d’assurer que pour sa visibilité, Kinshasa impliquera encore les plus hautes autorités  pour une large diffusion d’informations aux parents, proches et gardiens d’enfants.

Pour ces journées nationales de vaccination, 35 zones de santé de Kinshasa seront couvertes.

Reconnaissant l’existence de zones de santé d’accès difficile, les zones d’insécurité, dont Maluku I et II avec la présence des miliciens Mobondo, mais aussi des Kuluna, le gouvernement provincial de Kinshasa a assuré tous les partenaires présents à cette cérémonie, déroulée sur la grande avenue Kasa-Vubu à la hauteur du célèbre arrêt Bakayau dans la commune de Bandalungwa, que toutes les dispositions ont été prises  afin d’assurer la sécurité de tous les vaccinateurs pendant cette période.

Le délégué de la ministre provinciale de la Santé a saisi l’occasion pour exhorter les parents à s’approprier de cette nouvelle opportunité  pour récupérer le retard chez les enfants  en conflit avec le calendrier vaccinal.

« La poliomyélite est une maladie contre laquelle il n’existe pas encore de traitement. Et donc, la vaccination est le seul moyen de lutte le plus sûr et le plus efficace pour protéger nos enfants, les mettre à l’abri de cette maladie et leur assurer un avenir meilleur », a souligné le Docteur Joao Luvungu, Coordonnateur provincial de l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) au nom de toutes les agences des  Nations unies et autres partenaires intervenants sur la problématique.

«  (…) dans la province de Kinshasa, il a été identifié la présence du poliomyélite variant type II. Ce qui justifie le lancement à ce jour  des journées nationales de vaccination contre la poliomyélite. Cette campagne d’envergure est une réponse vigoureuse  aux épidémies de polyo, qui sévissent dans le pays depuis 2017 », a souligné le Dr. Joao Luvungu, avant d’insister sur les vaccinations de routine

Rappelons que plus de 15 millions d’enfants ont été vaccinés lors de la dernière campagne déroulée au mois de juillet 2023.

Prince Yassa

 




Aid Al-Mawlid Annabaoui: Le Roi, Amir Al-Mouminine, préside mercredi une veillée religieuse

Le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine, présidera mercredi à la mosquée Hassan à Rabat, une veillée religieuse en commémoration de l’Aid Al-Mawlid Annabaoui Acharif, annonce un communiqué du Ministère de la Maison Royale, du Protocole et de la Chancellerie.

Voici la traduction de ce communiqué:

« Le Ministère de la Maison Royale, du Protocole et de la Chancellerie annonce que Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, que Dieu L’assiste, présidera une veillée religieuse en commémoration de l’Aid Al-Mawlid Annabaoui Acharif, à la mosquée Hassan à Rabat, après la prière d’Al-Maghrib du mercredi 11 Rabii-Ier 1445 de l’Hégire, correspondant au 27 septembre 2023 ».




Officiel: Le Maroc pays hôte de la Coupe d’Afrique des Nations 2025

Le comité exécutif de la CAF, réuni ce mercredi au Caire, a désigné le Maroc comme pays organisateur de la CAN 2025. Le dossier marocain a été retenu à l’unanimité après le retrait de l’Algérie, du duo Nigeria-Bénin et de la Zambie.

Trente-sept ans après avoir accueilli la Coupe d’Afrique des Nations 1988, le Maroc recevra à nouveau sur son sol la plus prestigieuse compétition africaine. Après le retrait de l’Algérie, du duo Nigeria-Bénin et de la Zambie, la candidature marocaine a été retenue à l’unanimité.

Cette annonce, qui sera officialisée par le Comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF), ce mercredi 27 septembre, à 10h30 (heure marocaine), depuis Le Caire (Egypte), n’a pourtant rien de surprenant.

Un pays sollicité par les plus grandes instances

Comme la FIFA, la CAF sollicite constamment le Maroc pour organiser toute une panoplie d’événements: compétitions, réunions, assemblée générale, symposium…

CHAN 2018, CAN de futsal en 2020, CAN féminine en 2022, Ligue des Champions féminine en 2022, CAN U23 en 2023, Coupe du Monde des clubs en 2013, 2014 puis 2022… le Maroc fait fureur auprès des instances mondiales.

Le pays a même accueilli des finales de Supercoupes issus du Vieux continent. Le Trophée des Champions (France) en 2011 et en 2017, et la Supercoupe d’Espagne en 2018. Particularité peu commune, ces trois rencontres de prestige eurent lieu à Tanger.

Des infrastructures de classe mondiale

Depuis plusieurs années, la Fédération royale marocaine de football a signé plus d’une quarantaine de conventions avec ses homologues africains couvrant des domaines aussi innombrables que la formation, les infrastructures, le partage des savoir-faire techniques et encore l’accueil des stages préparatoires des sélections nationales.

Les infrastructures, et notamment le Complexe Mohammed VI de Maâmora, sont de classe mondiale. «Ce Complexe est incroyable, magnifique, somptueux. Un centre qui n’a absolument rien à envier à n’importe quel autre centre technique au monde. C’est une fierté pas seulement pour le Maroc, mais pour l’Afrique et aussi pour le monde», avait récemment déclaré Gianni Infantino, président de la FIFA.

Le Complexe Mohammed V de Casablanca a accueilli deux des trois dernière finale de la Ligue des Champions de la CAF. Il fermera ses portes pour se refaire une beauté, à temps pour la CAN.

D’autres stades comme le grand stade de Tanger et le Complexe Moulay Abdellah sont d’ores et déjà fermés pour travaux. Le Maroc n’a pas attendu l’annonce officielle pour agir. En plus des installations sportives, le Maroc dispose d’importantes infrastructures routières, hôtelières et de transport.

Une répétition générale avant le Mondial 2030

En plus de la CAN 2025, qu’il a désormais obtenue, le Maroc est susceptible d’organiser la première Coupe du Monde de son histoire, en 2030 conjointement avec l’Espagne et le Portugal.

Réussir la Coupe d’Afrique des Nations, c’est relever ses défis organisationnels, sécuritaires, économiques et accueillir les 24 nations ainsi que tous ceux qui les accompagnent.

Le Maroc, pays le plus stable de la région, est une référence en matière sécuritaire. La délégation sécuritaire marocaine avait apporté son expertise et son savoir-faire en matière de sécurité au pays organisateur de la Coupe du monde 2022, en participant pleinement au dispositif mis en place par le Qatar et à la couverture sécuritaire de l’événement planétaire.

37 ans plus tard, le Maroc est pleinement prêt à accueillir la deuxième CAN sur son sol, et à envoyer un signal fort avant l’attribution du Mondial 2030, en septembre 2024.




En itinérance dans la ville de Kinshasa : Tony Mwaba visite les établissements scolaires en pleine réhabilitation

Silence! Ici on travaille. C’est ce que l’on peut retenir de la résolution du Ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, le professeur Tony Mwaba en cette période où sa personne fait face à une campagne de sape pour avoir réussi à consolider et à pérenniser la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements publics. En tout cas, contrairement à ce qu’attendaient ses détracteurs l’homme reste imperturbable. Il est déterminé à améliorer la qualité de l’enseignement à travers les cadres d’apprentissage.

Serein et à peine rentré du voyage, le professeur Tony Mwaba Kazadi a mis à profit cette journée de mercredi 27 septembre, consacrée à l’itinérance pour inspecter les travaux de réhabilitation des grands établissements publics dans quelques provinces éducationnelles de Kinshasa.

L’Ecole Primaire Matonge 1 et 3 a été la première à être visitée. De la pose des treillis pour lutter contre les actes de vandalisme que subit régulièrement cette école de la part des bandits, au plafonnement des salles de classe, les détails techniques des travaux ont été fournis au Ministre par Éloi Kumbo, Directeur-Chef de Service de la Direction Nationale de Construction, d’Entretien, de Réhabilitation et de Gestion des Infrastructures Scolaires (DINAC).

Lancés le 1er septembre 2023, ces travaux initialement prévus pour un délai de plus ou moins 4 mois, vont devoir être prolongés suite aux contraintes des cours qui se donnent actuellement dans les salles de classes, a déclaré le Directeur-Chef de Service de la DINAC,  avant d’annoncer qu’un mois de plus soit 5 mois au total sont amplement suffisants pour terminer tous les programmes.

Juste après, le Ministre et sa suite ont visité l’école primaire Matonge 2 et 4 où les travaux se poursuivent également.

La visite s’est poursuivie au Lycée Technique de Matonge, avant de prendre la direction de Lemba où le Ministre a commencé par l’EPA 1 et 2 Lemba. D’abord le premier site de cet établissement où sont construits deux nouveaux bâtiments en préfabriqué comprenant   9 salles de classes au total, un autre  bâtiment administratif et un bloc sanitaire au profit de EPA1 et EPA2 Lemba.

Mwaba débarque à Lemba

Le deuxième site, c’est l’Institut Pédagogique de Lemba où la DINAC a la mission de réhabiliter deux bâtiments de 6 Salles de classes qui font un total de 12 salles de classes à rénover, deux bâtiments administratifs ainsi que le sanitaire proche de bâtiments administratifs.

Après Mont-Amba, le Ministre s’est rendu dans la province éducationnelle de Kinshasa/Plateau, précisément dans la commune de la N’sele pour inspecter les travaux de L’Ecole Primaire Maman Sifa située dans le quartier Kinkole

Dans ce site dont les travaux ont été lancés il y a une semaine, la DINAC a donc la charge de réhabiliter tout le complexe

Après la clôture de la visite, le ministre a rappelé l’objectif de cette ronde: “Nous avons voulu passer dans tous les sites pour les écoles officielles qui sont en réhabilitation afin de voir l’état d’avancement des travaux. Nous disons qu’après la gratuité, le champ de bataille c’est maintenant la qualité de l’enseignement. Je dois commencer par la viabilisation des infrastructures scolaires, qui permettent de mettre à la disposition des enfants, le meilleur cadre d’apprentissage et nous avons décidé de commencer par les grandes écoles officielles”, a-t-il déclaré.

La journée va se clôturer par une visite d’inspection à l’Ecole le Baobab toujours à Kinkole où la hiérarchie de l’établissement avait refusé d’obtempérer à la décision du PROVED demandant la fermeture de ladite école pour non viabilité.

Sur le champ, le Ministre a instruit le Directeur Provincial de l’EPST Kinshasa/Plateau de sceller à l’immédiat cette école qui ne répond pas aux normes et de délocaliser les élèves vers les autres écoles viables à proximité de celle-ci.




MAOMBI DU MERCRERDI 27 SEPT 2023 AVEC LE PAST FRANCOIS MUTOMBO VH