Election présidentielle : Les Forces politiques alliées à l’Udps/Tshisekedi désignent Félix Tshisekedi candidat président de la République

Après deux jours des travaux du conclave, soit du vendredi 15 au samedi 16 septembre 2023, des forces politiques alliées à l’Udps/Tshisekedi qui avaient qu’un seul sujet retenu à l’ordre du jour à savoir : choisir un candidat commun à l’élection présidentielle de décembre 2023. C’était à l’unanimité que les partis politiques membres du regroupement politique les Forces politiques alliées à l’Udps/Tshisekedi ont porté leur choix sur Félix Tshisekedi comme candidat président au scrutin de décembre 2023.
C’est à travers une grande manifestation organisée ce samedi 16 septembre 2023 à Kinshasa, en présence du patriarche Jonas Munkamba Kadiata Nzemba, du Coordonnateur général de FPU Elysée Bakumuana Maposa et d’un invité spécial et représentant le chef de l’Etat Augustin Kabuya, le Secrétaire général de l’Udps, que la décision de ce conclave faisant de Félix Tshisekedi candidat à la présidentielle de 2023 pour le compte des Forces politiques alliées à l’Udps/Tshisekedi a été annoncée avec pompe et à la satisfaction de tous les militantes et militants des partis membres des FPAU.


Prenant la parole pour son mot à cette occasion, le patriarche et haute autorité des FPAU Jonas Munkamba a d’abord remercié tous les membres des partis politiques qui se sont engagés pendant 2 jours pour la réalisation de ces travaux. ” Je remercie toute les grandes figures politiques sociales qui se sont évertuées à observer scrupuleusement les objectifs statutaires de notre regroupement, notamment en soutenant et en accompagnant toutes les initiatives et actions politiques, diplomatiques, socioculturelles du président de la République Félix Antoine Tshisekedi, en s’organisant et en travaillant de commun en accord pour une victoire aux prochaines échéances électorales. La volonté exprimée par tous les membres de notre regroupement politique à l’unanimité est la preuve de notre maturité politique et pour la sauvegarde de notre pays la RDC », a-t-il dit.
Un invité de marque en ce jour et considéré comme représentant du chef de l’Etat Augustin Kabuya, le Secrétaire général du parti présidentiel Udps qui a été à la genèse de la fondation de ce regroupement politique a à son tour rappelé les débuts de ce regroupement politique qui était le premier regroupement politique à s’unir à l’Udps/Tshisekedi en 2018, avant d’appeler les uns et les autres à plus d’unité et à travailler durement pour donner un deuxième mandat à Félix Antoine Tshisekedi à l’élection présidentielle prochaine prévue au mois de décembre dernier.


Le Coordonnateur national des Forces politiques alliées à l’Udps/Tshisekedi (FPU) Elysée Bakumuana Maposa qui avait initié ces assises a remercié tous les participants de ce conclave pour le travail réalisé et a en même temps appelé les uns et les autres à se mettre maintenant au travail pour donner à Félix Tshisekedi un deuxième mandat et une majorité écrasante à l’Assemblée nationale et cela à tous les niveaux.
Sachez que les Forces politiques alliées à l’Udps/Tshisekedi (FPU) est un regroupement qui rassemble en son sein plus 50 partis politiques, notamment le Front pour un Congo nouveau (FPCN) de l’honorable docteur Claude Nyamugabo Bazibuhe qui ne jure que sur la réélection de Félix Antoine Tshisekedi en décembre 2023. A noter également que plusieurs autres personnalités politiques du pays avaient rehaussée de leur présence à cette cérémonie, notamment le professeur émérite Vunduawe Tepemako, le député national Steve Mbikayi, Yves Bunkulu, ministre de la Jeunesse, le professeur Lumanu Mulenda Bwana Sefu et tant d’autres invités des marque.




Bill Richardson s’en est allé au très mauvais moment pour la RDC…

De son vrai nom William Blaine Richardson III, Bill Richardson né le 15 novembre 1947 à Pasadena est mort le 1ᵉʳ septembre 2023 à Chatham. C’est à lui qu’on doit la déclaration formidable en termes de puissance économique, mais malheureuse en termes de conséquences au plan sécuritaire et même humanitaire pour la RDC au point de cautionner le concept La malédiction des ressources naturelles.

En effet, le 5 novembre 1997 – alors que se tenait à Paris la Conférence des Amis du Congo, au cours de laquelle les fonds levés avaient péniblement atteint USD 150 millions pendant que la Conférence des Amis d’Irak s’était terminée avec une levée des fonds évaluées à près de USD 33 milliards, Bill Richardson déclarait devant le congrès, selon Patrick Mbeko en page 595 de son ouvrage Stratégie du chaos : “La République Démocratique du Congo revêt une très grande importance pour les intérêts des Etats-Unis en Afrique. (…) La RDC est essentielle pour ce qui est des intérêts américains, parce qu’elle est appelée à devenir le moteur de la croissance en Afrique centrale, en raison de sa situation stratégique. La RDC constitue un pont entre les pays en développement de l’Afrique australe et orientale, et des pays pauvres d’Afrique centrale. (…) La RDC offre des possibilités immenses pour ce qui est de son développement économique et des investissements américains : elle possède 13 % des réserves hydroélectriques du monde, 20 % des réserves de cobalt au monde, 18 % des réserves de diamant à usage industriel au monde, 6% des réserves de cuivre du monde, des sols fertiles pour l’agriculture…et enfin la moitié des forêts tropicales d’Afrique”.

Il s’y connaissait pour avoir été secrétaire d’Etat à l’Énergie et secrétaire d’Etat au Commerce, outre la fonction de gouverneur du Nouveau Mexique.

Les médias africains en général, congolais en particulier, ont presque ignoré l’annonce du décès de ce diplomate.

Pourtant, Bill Richardson avait énormément contribué à la transition difficile du Pouvoir entre le maréchal Mobutu et Mzee Laurent-Désiré Kabila en 1997.

Malheureusement – et sauf cas contraire – son plaidoyer auprès du Congrès de son pays le 5 novembre 1997 avait, vraisemblablement, motivé l’activisme des anti-Congo dans leur schéma de démembrement du géant africain.

En effet, il se constate qu’en dépit des assurances qu’ils donnent quant au respect de la souveraineté de la République Démocratique du Congo garantie par l’intégrité territoriale du pays, les États-Unis ne sont pas conséquents avec eux-mêmes dans le traitement du dossier Congo.

Si, avant, pendant et après Berlin 1855, si pendant et après la colonisation belge entre 1908 et 1960, ou si pendant la Guerre froide, formellement observée du 12 mars 1947 au 26 décembre 1991, ils veillaient réellement sur leur ” intérêt stratégique en Afrique ” en lui assurant de toutes attentions allant jusqu’au maternage, les Américains ont profité de la Perestroïka (comme) pour s’en débarrasser. D’abord avec le Désinvestissement. Ensuite avec l’Insécurité. Enfin avec la Démocratie.

Tenez !

1. Avec le Désinvestissement.

Depuis une quarantaine d’années, Washington ne peut pas aligner 5 sociétés américaines qui se soient implantées sur le sol congolais après l’épopée glorieuse du Consortium Inga Shaba, General Motors, Midema, Goodyear, CitiBank etc. autour des décennies 1970-1980. A preuve, pendant les 5 ans de Félix Tshisekedi, des investisseurs se sont signalés avant de disparaître !

2. Avec l’Insécurité.

Depuis 1994 – année d’une guerre civile interwandaise Hutu-Tutsi dans laquelle les Congolais – alors Zaïrois – n’y étaient pour rien ni de près, ni de loin, guerre ayant débouché sur le génocide rwandais, Washington agit comme si c’est Kinshasa qui en est la cause. Le cas M23 en est l’illustration.

3. Avec la Démocratie.

Au sein de la sous-région des Grands Lacs, pas un seul pays n’atteint la RDC au niveau de la cheville en matière des libertés constituant le fondement de la Démocratie. Curieusement, c’est sur ce pays que Washington dirige tous ses tirs, toute son ire pour non-respect des principes établis.

Aussi, les Congolais – qui connaissent bien l’Histoire de la création de l’Association Internationale Africaine (AIA), de l’Etat Indépendant du Congo (EIC), du Congo-Belge (CB), de la République du Congo (RC), de la République Démocratique du Congo (RDC), de la République du Zaïre (RZ) et encore de la République Démocratique du Congo (RDC) – n’ont pas tort de s’interroger sur la volonté réelle des Etats-Unis par rapport à leur pays visiblement mis en jachères.

Déjà, certains considèrent le Congo comme une sorte de ” 51ème ” État américain puisque les Belges n’auront colonisé l’ex-EIC que par procuration ; d’autres luttent pour son intégrité territoriale en combattant l’ethnotribalisation, d’autres par contre mènent la même lutte mais en se laissant submerger par l’ethnotribalisation quand ils ne l’encouragement pas consciemment ou inconsciemment.

Bref, à leurs yeux, Washington n’aide pas assez son ” intérêt stratégique ” à assumer son leadership si pas en Afrique, tout au moins en Afrique centrale, orientale et australe en raison de son emplacement géographique.

D’où nécessité d’un leadership non pas que visionnaire, mais aussi et surtout pragmatique. Un leadership qui puisse approcher courageusement Washington et lui poser la question qu’il n’obtiendra plus de Bill Richardson : que veut finalement Maison-Blanche ?

Pour rappel, en 2001, reçu pour la première fois par un chef d’Etat américain à Washington (George W. Bush), Joseph Kabila avait déclaré : “*Je ramène le Congo sur la table des décideurs”.

Apparemment, les Américains – qui avaient délaissé le Congo bien avant la Perestroïka en 1989, c’est-à-dire 12 ans avant l’avènement du sénateur à vie à la tête du pays, sont sur un autre schéma.

Peut-être celui d’un Peter Pham !

Dans une vidéo actuellement en circulation, Bertrand Bisimwa, président du M23, clarifie la déclaration de Paul Kagame en avril dernier au Bénin !

Il signifie au Gouvernement central que c’est le Congo qui a trouvé les Banyarwanda dans leurs terres. Si le Congo ne veut pas de cette communauté, il n’a qu’à se retirer.

On parie que les États-Unis vont demeurer silencieux. Exactement comme ils l’ont été après la déclaration de Paul Kagame…

Omer Nsongo die Lema




A Beni: Jonas Kasimba présente son projet de société et se prononce sur des questions de l’heure 

Le candidat député national en ville de Beni et Autorité morale du parti politique ACDIP, Jonas Kasimba, a présenté son projet de société à la population dans un échange avec la presse de Beni. Lors de cette discussion, celui qu’on appelle le ”Rassembleur” Jonas Kasimba a également abordé des sujets tels que les projets de construction, ses relations avec d’autres politiciens, la démocratie, l’économie et l’importance de la participation collective pour le développement de la province du Nord-Kivu.

 

Les projets de construction pour créer les emplois et le développement

 

Jonas Kasimba a mis en avant plusieurs projets de construction importants pour Beni, notamment l’entrepôt de TCB Mupanda et la caserne de Mambango. Il a souligné que ces initiatives créeront plus de deux mille emplois pour les habitants de Beni, contribuant ainsi à stimuler l’économie locale. Cela démontre son engagement envers le développement de la province du Nord-Kivu et la création d’opportunités pour la population.

 

“Ces grands projets vont prendre plus de deux mille filles et fils de Beni. C’est sur des projets pareils que je suis en train de travailler, car ils sont essentiels pour l’avancement de notre communauté”, a déclaré Jonas Kasimba.

 

Relations politiques: Collaboration et unification au-delà des partis

 

Ce candidat député national en ville de Beni et Autorité morale du parti politique ACDIP a souligné ses bonnes relations avec le ministre d’État en charge de l’Intégration régionale, Antipas Mbusa Nyamwisi, rejetant tout conflit entre eux. Il a expliqué que créer un parti politique ne devrait pas être une source de discorde, mais plutôt un moyen de contribuer au développement du pays. Pour Jonas Kasimba, la politique devrait être une affaire de collaboration et non de rivalité personnelle.

 

“Entre moi et le ministre d’État en charge de l’Intégration régionale, son excellence Antipas Mbusa Nyamwisi, il y a des bonnes relations, il n’y a jamais eu de conflits entre lui et moi. Pourquoi y aurait-il des conflits, simplement parce que j’ai créé un parti politique?”, s’est-il interrogé.

 

Démocratie et projet de société: L’importance de l’authenticité

 

Jonas Kasimba a souligné l’importance pour chaque candidat de présenter son propre projet de société, mettant en garde contre ceux qui copient les projets de leurs adversaires. Il a insisté sur le fait que la démocratie exige l’originalité et la sincérité dans les propositions politiques. Selon lui, les candidats doivent avoir des idées claires et des plans bien définis pour le bien-être de la population.

 

“Je ne suis pas là pour me défendre. Quelqu’un qui se promène avec le nom de l’autre pour vouloir se positionner, c’est-à-dire qu’il n’a pas un projet de société qu’il veut réaliser avec la population pour son bien-être”, a t-il poursuivi.

 

Politique et économie: Un mariage nécessaire pour le développement

 

En tant que politologue de formation et fils de commerçant, Jonas Kasimba a souligné l’importance de combiner la politique et l’économie pour atteindre le développement. Selon lui, les deux aspects sont interdépendants et doivent être traités conjointement pour stimuler la croissance économique et améliorer la situation sociale. Son objectif est de promouvoir le développement de sa province, le Nord-Kivu, en utilisant ces deux leviers essentiels.

 

“C’est l’économie qui supporte la politique. Moi, je marche avec les deux. Mon objectif est d’atteindre le développement chez nous. On ne peut pas faire de politique sans l’économie, car les deux vont de pair”, dit-il.

 

Participation collective et redevabilité: Évaluer ensemble pour avancer

 

Le Rassembleur Jonas Kasimba a souligné les valeurs de redevabilité et de responsabilité de son parti, ACDIP. Il a rappelé que si la population lui accorde sa confiance lors des élections, ils évalueront ensemble chaque étape de leur projet de société. Cette approche met l’accent sur la participation collective, où la population est impliquée dans le processus de prise de décision et dans le suivi des progrès réalisés, permettant ainsi une gouvernance transparente et responsable.

 

“L’ACDIP prône le monde de la redevabilité qui conduit à la recevabilité. Si la population me prête confiance à chaque vacance parlementaire, nous évaluerons ensemble palier par palier notre projet de société”, a t-il conclu.




*KIM JONG UN visite une usine aéronautique de la Russie*

KIM JONG UN, Maréchal de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire en voie de la poursuite du statut de la Puissance économique et où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont KIM JONG UN, Président des Affaires d’État de la RPDC, NDLR), est arrivé, ce vendredi matin 15 septembre, à la Gare Komsomolsk-sur-l’Amour, ville industrielle importante (dans le Kraï Khabarovsk) en Extrême-Orient de la Fédération de Russie (FR) pour sa visite de l’Usine Aéronautique Youri Alekseyevitch GAGARINE (1934-1968, pilote et cosmonaute russe entré dans l’Histoire en devenant le 1er être humain à découvrir l’Espace en 1961, 108mn a bord de son vaisseau Vostok, dans le cadre du Programme Spatial pour devenir Héros national, NDLR).

On voyait, aux différents endroits de la Ville, l’inscription lumineuse «Bienvenue chaleureuse au Camarade Président des Affaires d’État de la RPDC!». KIM JONG UN;

• a été accueilli, sur le terrain, par Alexander Alexandrovitch KOZLOV (Ministre des Ressources Naturelles et de l’Ecologie et Président russe du Comité de coopération commerciale, économique, sci-tech entre les Gouvernements RPDC-FR), Mikhaïl Vladimirovitch DEGTYAREV (Gouverneur du Kraï Khabarovsk) et Alexander Viktorovitch ZHORNIK (Maire de la Ville Komsomolsk-sur-l’Amour); les femmes en costume traditionnel lui ont offert du pain et du sel selon la coutume et une enfant, un bouquet de fleurs.
• a adressé ses salutations cordiales aux enfants russes qui lui souhaitaient la bienvenue chaleureuse, agitant les Drapeaux nationaux des 2 Pays, pour se diriger vers l’Usine, guidé par les cadres russes
• a été accompagné par les membres de sa suite, dont CHOE Son Hui, Ministre des Affaires Etrangères, RI Pyong Chol et PAK Jong Chon, Maréchaux de l’Armée Populaire de Corée (APC), KANG Sun Nam, Ministre de la Défense Nationale, OH Su Yong et PAK Thae Song, Secrétaires du Comité Central du Parti du Travail de Corée (PTC de la plus longue histoire du monde depuis 1945 comme parti au pouvoir, NDLR), et le Général d’armée KIM Kwang Hyok, Commandant des forces aériennes de l’APC.

L’Usine fondée en 1934 pour contribuer, grandement, à écraser le fascisme (de l’Allemagne nazie, NDLR) en fabriquant diverses sortes d’avions, entre autres bombardiers à longue portée, à l’époque de la Grande Guerre (1941-1945) Patriotique, est;

• la plus grande des usines de chasseurs de série SU (abréviation du nom de Pavel Ossipovitch SUKHOI 1895-1975, créateur du Bureau d’Etudes Aéronautique Sukhoï, NDLR) en Russie
• la base centrale de l’industrie de défense nationale et de l’industrie de transport aérien du Pays

où se produisent différentes sortes de chasseurs et d’avions, notamment les SU-57 «Felon» (les meilleurs avions de combat du monde supersoniques, polyvalents et furtifs, mis en service depuis 2020, NDLR), chasseurs de 5ème génération.

Arrivé à l’Usine, KIM JONG UN a été accueilli par Denis Valentinovitch MANTOUROV, Vice-1er Ministre et Ministre de l’Industrie et du Commerce, Yury Borisovitch SLYUSARI, P-DG du Conglomérat United Aircraft Corporation, et Alexander Ivanovitch PEKARSH (ingénieur et concepteur d’avions, NDLR), Directeur Général de l’Usine dont une femme lui a offert un bouquet de fleurs et tout le personnel lui a réservé un accueil chaleureux avec les sentiments de vénération sans bornes. KIM JONG UN;

• a écouté les explications d’Alexander Ivanovitch PEKARSH en parcourant plusieurs endroits, y compris l’institut de plans, l’atelier de montage du fuselage du chasseur, l’atelier de production d’ailes d’avion, l’atelier de peinture et l’atelier de montage de l’avion de ligne
• s’est souvenu, avec respect, de la vie et des hauts faits glorieux du Généralissime KIM JONG IL (1942-2011) qui avait visité l’Usine, 21 ans plus tôt, pour se donner beaucoup de peine afin de resserrer l’amitié RPDC-FR, cela à travers ses plusieurs photos exposées dans l’Usine
• a, dans l’atelier de montage du fuselage du chasseur, vu les pilotes chargés du vol d’essai et, monté sur un SU-57 pour écouter les explications détaillées sur les caractéristiques techniques et la performance de vol du chasseur ultra-moderne
• a monté sur un avion de ligne en cours de fabrication pour se renseigner sur sa performance
• a assisté au vol d’essai d’un Su-35, appréciant beaucoup que les cadres, scientifiques, techniciens et ouvriers de l’Usine fassent un apport important au développement de l’industrie aéronautique du Pays en obtenant les succès brillants dans la production grâce à la technique de pointe et à la puissante force morale
• a dit; Je suis fort touché par l’abondante potentialité indépendante et la modernité de l’industrie aéronautique de la Russie, ainsi que les efforts progressistes dirigés toujours vers de nouveaux objectifs. Je vous souhaite qu’à l’avenir, des progrès durables soient réalisés grâce à une augmentation poussée de la production.
• s’est fait photographier, en souvenir, avec les cadres des 2 Pays qui l’accompagnaient devant les SU-27 et SU-30 exposés dans l’enceinte de l’Usine en commémoration de sa visite.

Yury Borisovitch SLYUSARI a offert, à KIM JONG UN, un déjeuner qui s’est déroulé dans une ambiance chaleureuse et amicale;

• Dans leurs allocutions, Denis Valentinovitch MANTOUROV et Alexander Ivanovitch PEKARSH ont affirmé; La visite du Camarade KIM JONG UN a inspiré de la vigueur au développement et à la production d’avions de nouvelle génération, et nous le remercions vivement d’avoir apprécié, hautement, les succès de l’Usine.
• Dans son allocution-réponse, RI Pyong Chol a mentionné; Par sa visite à l’Usine significative, le Camarade KIM JONG UN vient d’écrire une nouvelle page de la gloire qui brillera, à jamais, dans l’histoire du développement des relations RPDC-FR, et j’exprime ma certitude que les cadres et le personnel de l’Usine apporteront une plus grande contribution au renforcement du potentiel de défense nationale du Pays sous la direction du Camarade Président Vladimir Vladimirovitch POUTINE.

Après le déjeuner, KIM JONG UN a;
• exprimé sa reconnaissance aux cadres de l’Usine pour l’avoir guidé avec bienveillance et lui avoir réservé une hospitalité chaleureuse
• laissé, dans le livre d’or, la note manuscrite «On ressent le niveau de l’aéronautique russe en progrès rapide et son immense potentialité. KIM JONG UN, 15/09/2023».

Denis Valentinovitch MANTOUROV, Mikhaïl Vladimirovitch DEGTYAREV et Yury Borisovitch SLYUSARI lui ont offert le cadeau en souvenir. KIM JONG UN a;

• félicité le pilote qui venait de faire son vol d’essai en faisant preuve de la technique excellente pour se faire photographier avec lui devant le SU-35
• témoigné son respect pour l’aéronautique russe qui connaît le développement vertigineux en l’emportant sur les menaces potentielles de l’extérieur
• souhaité que l’Usine remporte, à l’avenir, de pleins succès dans son développement.

Le même jour après-midi, il est parti pour sa destination suivante, guidé toujours par les cadres russes.




Faisabilité du PGI : « Nous travaillons en étroite coordination avec les trois gouvernements, les bailleurs de fonds potentiels et nos partenaires européens »

Au cours de cet échange avec la presse, le Jornal de Angola a voulu savoir s’il y a une date limite pour que les États-Unis concrétisent cet investissement pour soutenir le corridor de Lobito ? Et investissez-vous dans des personnes, des machines ou d’autres composants en investissant dans le corridor de Lobito ? »

A ces deux questions, Mme Matza tranche : « nous nous imposons donc certainement des jalons très stricts et de dernières tentatives en matière de délais. Bien sûr, nous avons notre propre élément associé à la façon dont nous allons gérer notre flux de financement au cours des cinq prochaines années. Nous travaillons en étroite coordination avec les trois gouvernements, les bailleurs de fonds potentiels et nos partenaires européens pour parvenir à la faisabilité le plus rapidement possible, dit-il, avant d’ajouter que nous espérons donc que dans les prochaines semaines, avec, bien sûr, nos partenaires gouvernementaux à nos côtés, nous serons en mesure de négocier les derniers éléments de ce dont nous aurions réellement besoin pour pouvoir nous lancer dans une étude de faisabilité complète, qui éclairera le reste du projet.

Et de poursuivre : je peux dire, du moins du point de vue américain, que nous avons déjà commencé non seulement à allouer des fonds, mais aussi à réorganiser certains mécanismes pour pouvoir commencer à soutenir activement, non seulement le développement du nouveau réseau ferroviaire, mais aussi pour répondre à votre deuxième question, les projets associés dont nous pensons qu’ils nous permettront de tirer parti de la connectivité par le rail. Ainsi, par exemple, notre MCC, notre Millenium Challenge Corporation, est actuellement en Zambie et cherche des opportunités pour pouvoir relier les routes de desserte au rail afin que nous puissions amener l’agro-industrie, en plus de nombreux minéraux et autres ressources essentielles dont nous savons qu’ils seront exploités.

« J’espère que dans le cas de l’Angola, cette conversation évoluera, et nous sommes également en très bonne coordination avec ce gouvernement sur les modalités de réponse aux besoins supplémentaires en matière d’expansion portuaire, d’entreposage et, bien sûr, comme je l’ai déjà mentionné, en continuant à faciliter non seulement le développement solaire à grande échelle, mais aussi l’accès aux micro-réseaux dans certaines communautés plus isolées », mentionne-t-elle, avant de poursuivre sur le fait que nous envisageons donc réellement cela comme des solutions globales dans lesquelles nous pouvons tirer parti de l’investissement initial dans une connectivité physique massive pour pouvoir contribuer à favoriser les avantages correspond

ants.




Dans le cadre du PGI : Les Etats-Unis offrent près d’un milliard de dollars sous forme de prêt pour la rénovation de la voie ferroviaire du port de Lobito jusqu’à la frontière de la Rdc 

Mme Helaina Matza, Coordonnatrice spéciale par intérim du Partenariat pour l’investissement dans les infrastructures mondiales, a, lors d’une conférence de presse online, planché sur les investissements américains dans le corridor de Lobito pour accélérer le développement des infrastructures critiques en Afrique subsaharienne et réaliser l’énorme potentiel de cette région.

Dans son discours préliminaire, elle a donné un aperçu de ce qu’est le Partenariat pour l’investissement dans les infrastructures mondiales et de l’intérêt précoce des États-Unis pour le continent africain.

Donc, le partenariat, que nous appelons PGI pour ne pas avoir à répéter « Partenariat pour l’investissement dans les infrastructures mondiales » à chaque fois que nous en parlons, a été mis en place lors du G7 de 2022, entre tous les pays partenaires de ce groupe, dans le but de trouver une solution pour concrètement contribuer à combler le déficit des infrastructures dans les économies émergentes du monde entier.

« Nous avons conçu cette initiative avec nos partenaires, pour faciliter le déploiement de 600 milliards de dollars d’aide aux investissements dans les infrastructures sur une période de cinq ans. En tant que gouvernement américain, nous, le président Biden, nous sommes engagés à déployer et à mobiliser 200 milliards de ces 600 milliards de dollars », explique-t-elle.

Depuis ce lancement, nous avons beaucoup travaillé. Et lors du G7 au printemps dernier à Hiroshima, il a présenté le concept sur lequel nous travaillons étroitement pour essayer de contribuer à faciliter le développement des infrastructures et ce qu’il appelle une approche de corridor économique. Et il a annoncé notre premier projet, notre premier corridor, qui était fortement axé sur l’expansion de la connexion transafricaine grâce à un investissement précoce dans le corridor de Lobito. Lors de ce sommet, il a donc annoncé notre premier type de tranche d’investissements, principalement concentrés en Angola, mais nous travaillons aussi sur la connectivité entre l’Angola, la RDC et la Zambie.

« Nous avons donc été ravis non seulement de pouvoir annoncer le déploiement de près d’un milliard de dollars d’aide au nouveau développement solaire, dont, nous le savons, la construction débutera dans quelques jours seulement, mais également d’annoncer notre soutien et notre intention de fournir une aide sous forme de prêt pour la rénovation de la voie ferroviaire du port de Lobito jusqu’à la frontière de la RDC et, à terme, jusqu’à Kolwezi en RDC », indique Mme Helaina Matza.

A en croire la Coordonnatrice spéciale par intérim du Partenariat pour l’investissement dans les infrastructures mondiales, ce n’était en réalité que le début. C’est un exemple de la manière dont nous avons pu mobiliser un budget limité des États-Unis mais, qui, nous l’espérons, aura un impact très significatif pour faciliter le déploiement de la transformation et de la connectivité sur plusieurs fronts – non seulement dans les transports, non seulement dans l’accès à l’électricité, mais aussi dans le travail que nous avons réalisé en matière de connectivité numérique, en travaillant avec des partenaires pour garantir que dans la capitale de l’Angola, nous soyons en mesure d’aider à déployer un accès 4 et 5G supplémentaire – nous travaillons avec des fournisseurs de confiance et, bien sûr, des opérateurs qui offrent des services supplémentaires, chaque jour, dans l’ensemble du pays. Nous sommes ravis d’élargir ce travail, pas seulement en RDC, comme je l’ai mentionné, mais bien sûr également en Zambie.

Pas plus tard que le week-end dernier, pense-t-elle, au G20 – et vous avez probablement constaté que nous utilisons ces rassemblements très importants de dirigeants mondiaux comme jalons pour mobiliser des actions et un soutien supplémentaires. Ainsi, le week-end dernier, nous avons pu annoncer que l’Union européenne se joignait à nous dans notre entreprise de mise en valeur de l’ensemble du corridor. Et elle nous aidera dans le cadre de certains des travaux de faisabilité que nous effectuerons pour ce qui sera une nouvelle expansion ferroviaire couvrant la partie sud de l’Angola et à travers à peu près tout le territoire de la Zambie. Il s’agit d’un ensemble très important de projets d’infrastructure qui, à notre avis, contribuent non seulement à favoriser le commerce régional et la connectivité vers l’Ouest, mais qui nous permettent également d’investir dans les communautés qui travaillent et vivent le long de ces voies de multiples façons différentes.

« J’espère donc qu’au cours de cette conversation, je pourrai expliquer ce que nous faisons pour soutenir l’agro-industrie, l’accès à l’électricité, le déploiement d’énergies propres et certains des autres éléments vraiment importants que nous pensons essentiels au travail que nous faisons sur le continent », dit-elle, avant d’avouer que nous sommes ravis qu’il s’agisse véritablement de notre corridor phare. Nous commençons déjà à annoncer des travaux supplémentaires, non seulement sur le continent, mais aussi sur d’autres corridors que nous espérons vraiment faire progresser grâce à nos partenariats avec le gouvernement américain et nos partenariats au sein du G7.

Elle s’est dite heureuse de réfléchir également à chacun d’entre eux, mais ravie d’être la personne qui dirige notre équipe de mise en œuvre pour le gouvernement américain et de faire cet excellent travail sur le continent.




TFM, sponsor platine de KBM 2023

Les opérateurs économiques de la République Démocratique Congo se sont réunis au forum Katanga Business Meeting organisé à Kolwezi du 11 au 12 septembre sous le thème « Débloquer le potentiel économique de la RDC pour une croissance durable et équitable ». La participation de Tenke Fungurume Mining a été remarquable à plusieurs titres. TFM a participé dans un panel de haut niveau et a exhibé ses couleurs dans un stand d’exposition géant.

Pendant deux jours, une riche variété de sujets a été développée, – un examen minutieux des domaines et stratégies susceptibles de contribuer à débloquer le potentiel économique de la RDC. Dans ces discussions, les mines ont été identifiées comme un accélérateur du développement du pays. Leur apport influe directement sur tous les domaines clés porteurs du développement tant des communautés que de la république dans sa totalité.

C’est dans ce contexte que TFM à travers son directeur des relations extérieures, Maître Hugo Sinza, a déclaré au point de presse annonçant le forum que « TFM est engagé à redistribuer les bénéfices de ses activités d’exploitation afin de relever les secteurs de base de la vie de ses communautés riveraines ».

Au premier jour du forum, le 11 septembre, son directeur des relations communautaires, professeur Edouard Swana, est intervenu dans le panel sur la thématique « Secteur minier au service du développement durable et équitable ».

Le directeur des Relations communautaires de TFM, Edouard Swana, dans un panel au KBM

Le professeur Swana a expliqué comment TFM valorise le contenu local. Ainsi, en application de sa responsabilité sociale, TFM a développé maints programmes par différents véhicules : le cahier des charges, l’allocation de 0,3 % devenu actuellement la dotation et inscrite dans le nouveau code minier. Le renforcement des capacités des associations féminines, le projet de construction du centre Songhaï, etc., n’en sont qu’un échantillon. Et l’un des plus exquis, le projet de construction d’un hôpital de référence, dont la maquette a été retenue par le ministère de la Santé comme modèle-type pour toute la république.

Pour susciter l’appropriation de ces ouvrages, la redevabilité auprès des détenteurs d’enjeux, terme par lequel le professeur désigne les parties prenantes, est le maître-mot. Elle garantit la licence sociale. Des rencontres régulières sont organisées avec les différentes parties prenantes dont les associations socioculturelles locales, les chefs coutumiers, les autorités politico-administratives et d’autres forces vives.

Des panelistes de haut niveau ont défilé sur le podium. Ce sont entre autres la ministre du Plan, Mme Judith Suminwa Tuluka, le gouverneur de la province du Lualaba, Mme Fifi Masuka Saini, le président de la Chambre des Mines, M. Louis Watum, les directeurs généraux de agences publiques ARCA et ARSP, et bien d’autres experts.

À leur visite du stand TFM, le gouverneur du Lualaba et la ministre du Plan, ainsi que plusieurs autres délégations ont eu droit à un exposé succinct des chiffres clés de TFM, notamment la production et la contribution fiscale et communautaire, rendu par le directeur des relations extérieures, M. Hugo Sinza.

La ministre du Plan, Judith Suminwa, et le gouverneur du Lualaba, Fifi Masuka, suivent la présentation de TFM par le directeur des Relations extérieures, Hugo Sinza

TFM participe au KBM depuis 2015, date de lancement de ce forum. Là, TFM est souvent cité comme modèle à plusieurs titres. Tant les performances de l’entreprise sont exemplaires dans plusieurs domaines, à l’exemple de l’observance des exigences ESG, l’exécution de sa RSE, les programmes communautaires mis en place.




Rdc-USA : La réciprocité des visas pour les touristes et les étudiants étendue à deux ans 

« Nous avons le plaisir d’annoncer que la réciprocité des visas pour les touristes et les étudiants a été étendue à deux ans, à compter du 29 septembre 2023 », indique le compte tweeter de l’ambassade des Etats-Unis en Rdc.

Et d’ajouter que ce changement permettra aux citoyens de la RDC titulaires d’un visa B1/B2 ou F de se rendre aux États-Unis aussi souvent qu’ils le souhaitent au cours de la période de validité de deux ans.

« Nous sommes heureux de voir le partenariat entre les Etats-Unis et la RDC entrer dans cette nouvelle phase passionnante », termine le même documxxent.




Tshopo : Les candidats députés nationaux, provinciaux et conseillers municipaux de l’AACPG bien outillés pour affronter les élections

Comment est-ce qu’un candidat peut se comporter avant, pendant et après les élections ? Quel discours de propagande tenir devant les électeurs ? Sans oublier le calcul du seuil électoral. Autant de matières qui ont fait l’objet d’un atelier de renforcement des capacités des candidats députés nationaux, provinciaux, des conseillers municipaux ainsi que leurs suppléants de l’Alliance pour l’Avènement d’un Congo Prospère et Grand, regroupement politique cher au ministre d’État en charge de l’Urbanisme et Habitat, Pius Muabilu Mbayo Mukala.

Sur la liste des participants, il faut ajouter les membres de comité interfédéral du Congrès National Congolais (CNC) avec à leur tête le président interfédéral Thomas Makunya, ceux des comités urbains et communaux des partis qui composent le regroupement politique AACPG dans la Tshopo.

La formation a été assurée par Joseph d’Arimathée Ntumba Mukala, coordonnateur national de la jeunesse en charge de la formation et idéologie du Congrès National Congolais.

Se confiant à la presse, l’émissaire de Pius Muabilu Mbayo Mukala explique que l’Autorité morale avait jugé opportun d’organiser cette formation pour permettre aux candidats de l’AACPG de partir aux élections en étant aguerris afin que le président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo puisse avoir une majorité écrasante aux élections de décembre 2023.

Enfin, Joseph d’Arimathée Ntumba Mukala affirme que le chemin des élections étant irréversible, l’heure n’est plus à la distraction.

François Okonda




Les présidents chinois et zambien annoncent l’élévation des relations sino-zambiennes

 Le président chinois Xi Jinping s’est entretenu avec son homologue zambien, Hakainde Hichilema, vendredi à Beijing.

Les deux chefs d’Etat ont annoncé l’élévation des relations entre la Chine et la Zambie au rang de partenariat stratégique global de coopération.

M. Xi a déclaré que l’amitié traditionnelle forgée par les anciennes générations de dirigeants des deux pays avait résisté aux épreuves de l’évolution du paysage international et le chemin de fer Tanzanie-Zambie est devenu un symbole de l’amitié Chine-Afrique.

M. Xi a déclaré que la Chine avait toujours considéré et développé les relations sino-zambiennes dans une perspective stratégique et à long terme et que le pays était prêt à travailler avec la Zambie pour transformer l’amitié traditionnelle profonde en une force motrice puissante en faveur de la coopération gagnant-gagnant dans la nouvelle ère, ainsi que pour faire passer les relations bilatérales à un nouveau niveau.

Le président chinois a déclaré que la Chine soutenait la Zambie dans la sauvegarde de sa souveraineté nationale, de sa sécurité et de ses intérêts de développement, et dans l’exploration d’une voie de développement adaptée à ses propres conditions. Il a exprimé la volonté de la Chine de renforcer les échanges entre les partis et les échanges d’expériences en matière de gouvernance d’Etat avec la Zambie. Les deux pays doivent se soutenir sur les questions liées à leurs intérêts fondamentaux respectifs et à leurs préoccupations majeures.

La réussite de la modernisation chinoise montre la diversité des modèles de modernisation dans le monde, et le développement de haute qualité de la Chine et son processus de modernisation continueront à apporter de nouvelles opportunités à tous les pays, y compris la Zambie, a déclaré M. Xi.

La Chine souhaite construire conjointement “la Ceinture et la Route” avec la Zambie et élargir la coopération dans la construction d’infrastructures, l’agriculture, l’exploitation minière et l’énergie propre pour réaliser un développement et une revitalisation communs, a noté M. Xi.

M. Xi a déclaré que la Chine encourageait davantage de produits zambiens de qualité à entrer sur le marché chinois et soutenait davantage d’entreprises chinoises à investir en Zambie.

Il a appelé les deux parties à faire un succès de la célébration du 60e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques l’année prochaine, et à intensifier les échanges et la coopération dans les domaines de l’éducation et de la formation, des soins de santé, de la culture, du tourisme et d’autres domaines.

Notant que la montée collective des pays en développement et leur influence internationale croissante sont devenues une tendance irréversible de l’époque, M. Xi a appelé la Chine et la Zambie à renforcer la solidarité et la coordination, à pratiquer un véritable multilatéralisme, à défendre fermement l’équité et la justice internationales, à œuvrer pour accroître la voix des pays en développement, et à sauvegarder les intérêts communs des deux pays et d’autres pays en développement.

M. Hichilema a déclaré que la Zambie chérissait l’amitié forgée par les anciennes générations de dirigeants des deux pays. Le développement de la Chine a permis aux pays du Sud de progresser, d’accroître leur représentation et leur voix dans les affaires internationales, et de promouvoir le développement de l’ordre international dans une direction plus juste et plus rationnelle, a déclaré M. Hichilema.

M. Hichilema a ajouté que la Zambie remerciait la Chine d’avoir soutenu l’entrée de l’Union africaine dans le G20 et d’avoir joué un rôle positif dans la résolution des questions de la dette zambienne. La Zambie respecte le principe d’une seule Chine, apprécie hautement la philosophie et les principes directeurs de la modernisation chinoise, et souhaite tirer profit de l’expérience de la Chine en matière de développement.

M. Hichilema effectue une visite d’Etat en Chine du 10 au 16 septembre à l’invitation de M. Xi.