Réouverture de l’Avenue Ouganda: Pas de règlement des comptes ni un acte de provocation

Dans une mise au point, M. Celé Kanangila Beya, Conseiller en charge de communication et des Questions politique qui s’exprimait au nom du Cabinet de ministre d’Etat, ministre de l’Urbanisme et Habitat, précise que la réouverture de l’Avenue Ouganda n’est ni un règlement des comptes ni un acte de provocation comme le disent les mauvaises langues. Elle est une opération de police dont l’objectif principal est de rétablir la fluidité de la circulation, illégalement perturbée et asphyxiée dans la capitale.

MINISTÈRE DE L’URBANISME ET HABITAT

Cabinet du Ministre d’Etat

MISE AU POINT

À la suite de la réouverture de l’avenue Ouganda allant du petit pont à la lisière du fleuve Congo, plusieurs fausses informations ont été diffusées dans les médias traditionnels et réseaux sociaux avec médisances.

À cet effet, le Cabinet de son Excellence Monsieur le Ministre d’Etat à l’Urbanisme et Habitat tient à faire la mise au point suivante:

1. La réouverture de l’Avenue Ouganda n’est ni un règlement des comptes ni un acte de provocation comme le disent les mauvaises langues. Elle est une opération de police dont l’objectif principal est de rétablir la fluidité de la circulation, illégalement perturbée et asphyxiée dans la capitale.

Ceci pour lutter contre les embouteillages monstres, permettre aux riverains de GLM de vaquer librement à leurs occupations après 23 ans de fermeture inédite de cette voie. L’idéal est de permettre au personnel de deux structures médicales se trouvant dans ce coin de la capitale d’atteindre leur lieu de travail facilement, mais aussi aux malades de se faire prendre en charge rapidement en cas de nécessité.

2. Conscient du fait que l’érection de ce mur a causé beaucoup de préjudices aux citoyens depuis plusieurs années et qu’il s’agissait d’une erreur à rectifier, l’Etat Congolais avait décidé de mener cette opération dans la discrétion la plus totale. Fort malheureusement, ce sont des gens sans respect du Peuple ni maîtrise du dossier qui, dans l’ignorance la plus totale vont amener caméras et journalistes pour induire la population en erreur.

3. Le cabinet de son Excellence Monsieur le Ministre d’Etat, Ministre de l’Urbanisme et Habitat rappelle que les avenues de la vallée, des Nations-Unies et Ouganda (GLM) ne sont pas les premières à être rouvertes. Bien avant, le boulevard Tshatshi, Avenue Nguma et bien d’autres ont été rouverts à la grande satisfaction de la population Congolaise.

Par ailleurs, le cabinet de son Excellence Monsieur le Ministre d’Etat précise qu’aucun mur d’une quelconque résidence n’a été cassé. L’opération a visé les barricades érigées sur la voie publique en violation des lois de la République.

Fait à Kinshasa, ce 05 Septembre 2023

Pour le Cabinet de Son Excellence Monsieur le Ministre d’Etat, Ministre de l’Urbanisme et Habitat

Celé K7ANANGILA BEYA




Sommet Africain sur le climat: Sama Lukonde plaide pour un accès équitable au financement et pour la réduction de la dette économique de la Rdc contractée pendant la période de Covid-19

Les changements climatiques sont une menace existentielle pour l’ensemble de l’humanité, y compris pour l’Afrique. Alors, comment faire du continent noir un leader vert et une puissance économique ? C’est au fond l’objectif affiché des 54 États du continent, berceau de l’humanité, au Sommet Africain pour le climat de Nairobi, le premier du genre. D’où son thème principal : “Promouvoir la croissance verte et le financement de l’action climatique pour l’Afrique et le Monde “. Il s’agit donc de tracer une nouvelle voie pour l’action climatique en Afrique et dans le monde, en promouvant les énergies renouvelables dont le continent noir dispose des potentialités immenses.

Au deuxième jour du Sommet africain pour le Climat, le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde Kyenge est monté sur la tribune, au nom du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour donner la position de la République démocratique du Congo par rapport aux questions soulevées à cette rencontre internationale fondée sur le climat.

Dans une salle archi-comble, en présence des Chefs d’État et de Gouvernement, des responsables d’entreprises et des représentants de la Société civile, le Premier Ministre, Sama Lukonde a proposé trois ingrédients par rapport aux défis climatiques évoqués par le sommet de Nairobi.

Il a, en premier lieu, plaidé pour un accès à des conditions justes et équitables des pays africains au financement devant les aider à promouvoir une croissance verte et développer, à l’échelle du continent, des énergies renouvelables. Aussi, a-t-il appelé à la réduction des dettes économiques que les pays africains avaient contractées pendant la crise mondiale de la pandémie de Covid-19.

En deuxième lieu, le Premier Ministre a plaidé pour la solidarité sur des projets d’intérêt commun dans le secteur des énergies renouvelables. À ce propos, le Chef du Gouvernement congolais a cité le cas du projet intégrateur du barrage d’Inga qui attend toujours des financements à ce jour. L’autre exemple de solidarité qu’il a cité est celui de la mise en œuvre du projet de développement d’une chaîne de valeur dans la fabrication des batteries. Ce projet est en cours de mise en œuvre conjointement par la République démocratique du Congo et son voisin, la Zambie.

L’occasion était aussi donnée au Chef du Gouvernement d’appeler la communauté internationale à la solidarité sur des questions de paix et de sécurité dont souffre notamment la RDC depuis près de trois décennies dans sa partie orientale. De l’avis du premier des warriors, les guerres détruisent les forêts et la biodiversité et favorisent le braconnage.

Dans son troisième ingrédient proposé pour les solutions innovantes sur les défis environnementaux, il a évoqué une nouvelle économie du climat, axé sur la conservation et la restauration des forêts, mais aussi sur une agriculture susceptible de garantir la santé et la sécurité alimentaire. Ainsi, il a appelé non seulement à la création d’un Fonds d’investissement sur l’économie du climat, mais aussi à un marché de carbone équitable.

Soulignons que la RDC, défendant sa position de “Pays Solution “, mise sur ses atouts, à savoir ses 155 millions d’hectares de forêts tropicales (soit, 10% des forêts tropicales de la planète et plus de 60% des forêts du Bassin du Congo), son vaste territoire de 2 345 410 km² disposant de 80 millions d’hectares des terres arables utiles au développement de grands projets agricoles, sa main d’œuvre de plus de 50 millions des jeunes, ses tourbières de plus de 30 gigatonnes de dioxyde de carbone, sa faune et sa flore classant le pays à la 5ᵉ position de puissance mondiale en termes de biodiversité, son potentiel photovoltaïque estimé à 70 000 mégawatts grâce à son exposition naturelle sous la ligne de l’Équateur, son important potentiel énergétique d’environ 37% du potentiel africain et 6% du potentiel mondial, son barrage hydroélectrique d’Inga capable de fournir plus de 100 000 mégawatts, ses 40% des réserves de mènerai stratégique de cobalt dont le pays assure actuellement 60% de la production mondiale, etc.

Nécessité de financer la lutte contre le changement climatique

Avant l’allocution du Premier Ministre Sama Lukonde, plusieurs hautes personnalités sont intervenues sur la tribune du Sommet africain pour le climat, en l’occurrence le président de la BAD, Akumwimi Adesina, le président de la commission de l’Union africaine, Moussa Faki, le Premier Ministre Égyptien, Moustafa, la présidente de la Commission de l’Union européenne, Ursula Von Der Yen, le Secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, le président du Kenya, William Ruto, le président des Comores, l’envoyé spécial des États-Unis d’Amérique pour l’environnement, Jonh Kerry, le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, le président de l’Erytrée, Isaias Afwerki, le président du Rwanda, Paul Kagame, le président du Sud-Soudan, Salvar Kiir, le président du Sénégal, Macky Sall, le président du Mozambique, Filipe Nyusi, le président du Ghana, Nana Addo Akufo, la présidente de Tanzanie, Mme Samia Suluhu, le président de la Lybie, Muhamed Al-Menfi, le président de Sierra Leonne, Julius Maada, la présidente de l’Éthiopie, Sahle-Whork Zewde, le président du Burundi, Evariste Ndayishimiye, la vice-présidente de l’Angola, Bornito De Souse, le vice-président de la Namibie, Ngololo Mbumba.

De toutes leurs interventions, il ressort la nécessité des financements conséquents en faveur de la lutte contre le changement climatique sur le continent qui, jusque-là, ne bénéficie toujours pas conséquemment des appuis financiers de la communauté internationale malgré ses immenses potentialités devant contribuer à la transition énergétique dans le monde et à la lutte contre les changements climatiques.

C’est le Kenyatta International Convention Centre (KICC), le monument emblématique et symbole de l’engagement du Kenya en faveur de la coopération internationale, qui abrite ces assises.

Africa Climate Summit 2023 (ACS23) de Nairobi est la première édition du genre. Une de ses motivations principales est d’aboutir à une position commune des pays africains à défendre lors de la prochaine Conférence des parties à la Convention des Nations unies sur les changements climatiques, la COP28 qui se tiendra fin novembre et début décembre 2023 à Dubaï, aux Émirats Arabes Unis. Ici, la bataille programmée est d’enterrer les énergies fossiles, cause principale du réchauffement climatique, et promouvoir les énergies renouvelables dont l’Afrique dispose des potentialités immenses non encore exploitées.

Le mercredi 6 septembre, lors de la troisième journée des travaux, il est attendu une déclaration commune des pays africains, qui devrait être la position du continent à la COP28 de Dubaï.




Élections 2023: ADOTSH adhère à l’AVC-A

Élections 2023: ADOTSH adhère à l’AVC-A

En prspective des scrutins combinés prévus le 20 décembre 2023 en République démocratique du Congo (RDC) par la Commission électorale nationale indépendante (CENI), l’Association sans but lucratif dénommée “Les Amis de Dieudonné Otshinga Otenga (ADOTSH) en sigle, a adhéré officiellement à la plateforme politique “Autre Vision du Congo et Alliés (AVC-A), dirigée par Didier Budimbu, actuel ministre des Hydrocarbures. Pour marquer cette adhésion, les membres de cette association ont pris une part active à la sortie officielle de l’AVC-A, le samedi 2 septembre 2023 à la place Sainte Thérèse dans la commune de Ndjili, dans la partie est de Kinshasa, la capitale de la RDC.
Ici, plus de 17 partis politiques et associations ont adhéré à l’AVC-A, unissant ainsi leurs efforts pour soutenir la candidature de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à la prochaine présidentielle. A l’instar de ses co-societaires de l’AVC-A, ADOTSH et son coordonnateur Dieudonné Otshinga Otenga promettent de mouiller leur chemise pour la réélection de Félix Tshisekedi à la magistrature suprême en décembre prochain. “Je soutiens personnellement à 100 % la vision du Chef de l’État pour bâtir un Congo uni, fort et prospère”, a fait savoir Dieudonné Otshinga. Et pour être compétitif, le coordonnateur d’ADOTSH ASBL porte les couleurs de l’AVC-A à la députation nationale dans la circonscription électorale de Lomela, territoire portant le même nom, dans la province démembrée de Sankuru dans l’espace Grand Kasaï au centre du pays. Ingénieur entrepreneur, Dieudonné Otshinga se dit prêt à contribuer au développement de la RDC dans le domaine des énergies renouvelables et de l’électricité. A travers son association qui s’occupe de l’encadrement de la jeunesse congoliase, ce jeune entrepreneur est engagé à imprimer une nouvelle dynamique dans la marche du pays.

“ADOTSH ASBL s’occupe de l’encadrement de la jeunesse à travers la formation professionnelle, nous avons en cours un projet de création d’un centre de formation professionnelle à Kinshasa et à Lomela qui pourra s’étendre sur l’ensemble du territoire national. Nos jeunes apprendrond le métier et l’entrepreneuriat. Ce qui nous conduira à la réduction du taux de chômage des jeunes en RDC”, a-t-il dit. Dieudonné Otshinga compte sur l’appui de la population de Lomela. D’où la devise de son association : “Na lisabga nde tokotonga”, traduisez avec nous : “Ensemble nous allons bâtir”.

Kantuntu Ka-Bintu




Bambou Studio: Xi Jinping, son histoire

De Liangjiahe, un village situé sur le Plateau de Lœss dans le nord-ouest de la Chine, à Zhongnanhai, le centre politique chinois à Beijing, Xi Jinping a occupé divers postes à différents niveaux du gouvernement dans toute la Chine, depuis ses premières classes comme jeune fonctionnaire local jusqu’à son accession au pouvoir central comme dirigeant de la Chine.

Comment est-il, aussi bien en tant qu’individu qu’en tant que dirigeant ? Comment ses expériences professionnelles des décennies précédentes ont-elles influencé son leadership comme dirigeant national ? Quels sont les principes fondamentaux qui ont guidé ses décisions et ses actions ?

En cet été 2023, Bambou Studio a lancé la série de podcasts « Xi Jinping, son histoire », qui partage les expériences de vie et de travail de Xi Jinping et explore la formation de ses principes de gouvernance, de sa philosophie et de ses croyances, entre autres.

Le podcast explique également les principes fondamentaux qui ont guidé les décisions et les actions de Xi Jinping en tant que dirigeant national.

Connaître les idées de Xi sur la gouvernance nationale et la manière dont son leadership a pris forme peut vous aider à mieux comprendre les voies empruntées par la Chine, mais aussi sa gouvernance et ses principes.

Suivez la série de podcasts « Xi Jinping, son histoire » pour mieux comprendre le futur de la Chine et la manière dont le leadership de Xi Jinping y a contribué.

Le podcast est disponible sur toutes les principales plateformes.

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Rentrée scolaire effective:  Muyaya et Mwaba mettent en exergue le dialogue permanent

La rentrée scolaire a-t-elle été effective ? Quel est le sort des écoles sous administrations des terroristes du M23 dans le Rutshuru et à Masisi, dans la province du Nord-Kivu ? Quelle évaluation faire de la gratuité de l’enseignement ? C’est autour notamment de ces questions que M. Patrick Muyaya Katembwe, ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement a convié son collègue Tony Mwaba Kazadi, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, à un Spécial Briefing Presse ce lundi 04 septembre 2023 à 18h00 dans la salle de Presse RTNC1.

Si ce rendez-vous a commencé sous une note noire relative au décès tragique du journaliste Stéphie Mukinza, le ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique a, dans son discours luminaire, confirmé que la date du 4 septembre a été respectée pour la rentrée scolaire. Dans l’ensemble, dit-il, la rentrée scolaire est effective sur toute l’étendue du territoire national. A Goma par exemple, il n’y a pas eu rentrée scolaire suite à une ville morte ; à Tshikapa, une forte pluie a perturbé la rentrée. Mais dans l’ensemble, reconnait-il, la rentrée a été très effective. Même en Ituri, on a enregistré une grande affluence des enseignants et des élèves.

À Masisi, poursuit le ministre, les parents ont refusé d’envoyer les enfants à l’école par peur d’être enrôlés dans les rangs des terroristes. Toutefois, explique le ministre, nous leur avons demandé de prendre des dispositions pour que ces élèves puissent étudier. Il a quand même reconnu que l’insécurité a un impact non négligeable dans le sous-secteur de l’Epts. Car 708 écoles ont été détruites ou incendiées, 51 écoles occupées par les déplacés internes, etc. A Kwamouth cité, un président d’une société civile a demandé aux parents de ne pas envoyer les enfants à l’école à cause du conflit qu’il aurait avec le gouverneur. Par contre dans la périphérie de Kwamouth, les activités scolaires se sont déroulées sans problème.

Plus de disparité dans le sous-secteur de l’EPST

Qu’est-ce qui justifie la disparité salariale constatée dans le sous-secteur de l’EPST ? Quelles dispositions prises pour assurer la scolarité dans la province du Nord-Kivu où certains territoires sont entre les mains des rwandais du M23?

Abordant la question de disparité salariale, le ministre Tony Mwaba a expliqué qu’au niveau de l’Epst, les enseignants ont tous un même salaire de base. Les disparités sont constatées dans le transport et les indemnités de logement. Ici, il a donné l’exemple d’un enseignant qui habite Kwamouth et l’autre Kinshasa. Il a avoué que les deux ne sont pas confrontés aux mêmes réalités. En dépit de cette explication, les enseignants qui sont dans les territoires ont protesté disant que ce ne pas le fait d’être en ville qui doit occasionner la disparité. Voilà pourquoi le gouvernement décidé de leur payer une prime de brousse, d’environ 50.000 Fc. C’est plus de 700.000 enseignants qui bénéficient de cette prime de brousse, soit 80%.

Au sujet des écoles privées de scolarité dans le Rutshuru et Masisi, le ministre de l’EPST a précisé que tous les déplacés qui sont à Goma, grâce au fonds de promotion de l’éducation et de la formation, des dispositions ont été prises pour construire des tentes, de manière à ce que les enseignants et les élèves continuent les activités scolaires. Et ce, le temps que la situation se normalise.

Quelle recette pour une rentrée paisible?

Mieux, quel est le sort de ces élèves ? Est-ce une partition de fait du pays dans le secteur de l’éducation ? Dans certaines écoles, on demande l’argent, êtes-vous au courant? Quid des retraités de 2018, 2019 et 2020 ?

Au sujet de la rentrée paisible, le ministre s’est défendu en disant qu’il y avait de mauvaises habitudes qui faisaient qu’à chaque rentrée, les bancs syndical et gouvernemental étaient toujours en désaccord. Ici, la recette, dit-il, c’est le dialogue permanent. « Avant la rentrée des classes, nous avons été à Mbwela Lodge dans la province de Kongo Central où nous avons examiné les engagements pris par le gouvernement. Voilà qui est à la base de l’accalmie constatée.

Au sujet des acomptes dans les écoles, le professeur Tony Mwaba a expliqué que la gratuité, c’est dans les écoles primaires publiques, et il faut l’exclure dans les écoles privées. Dans les écoles maternelles et secondaires par contre, il n’y a pas de gratuité. Dans les écoles primaires publiques, il y a les conventionnés et les non conventionnés. Comme ils sont pris en charge en termes de salaires, ils doivent respecter la gratuité. Dans les écoles conventionnées, il y a aussi les écoles privées catholiques ou protestantes. Avant de faire un jugement sur une école, il faut s’interroger du régime de gestion d’une école.

Même s’il faut réduire les frais dans l’enseignement privé, le ministre explique que ce qui est prohibée, c’est de conditionner l’accès dans la salle de classe par la présentation d’un reçu. Et c’est tout à fait normal que les parents qui a mis son enfant dans l’école non officielle puisse payer.

Au sujet des retraités, Tony Mwaba a souligné que plus de 70.000 enseignants devaient aller en retraite, dont l’âge varie entre 65 et 105 ans. Un enseignant qui a 105 ans, qu’est-ce qu’il va transmettre aux enfants, se demande-t-il. « Nous avons engagé le débat et nous avons commencé la mise à la retraite. 4427 ont été envoyés en retraite. On a arrêté l’opération, parce que la Cnsapp a vu le jour. L’Epst ne paye que la prime de fin de carrière. L’enseignant retraité doit aller au Cnsapp pour être identifié et se prendre en charge.

JMNK




Prétendu rapport de l’ANR sur l’assassinat de Chérubin Okende « Ils font le relais d’une campagne de diabolisation de la justice congolaise » (Muyaya)

Lors du Special Briefing Presse de ce lundi 04 septembre 2023 dont le thème central était: « Rentrée scolaire 2023-2024 en République Démocratique du Congo », certaines questions d’actualité n’ont pas manqué d’être posées par les journalistes. Ainsi, l’un d’entre eux a voulu avoir le commentaire du ministre face au prétendu rapport de l’ANR qui affirme que l’ex-ministre des Transports, voies de communication et désenclavement, Chérubin Okende est mort par étouffement et qu’à la DEMIAP, on a constaté que son décès.

Pour répondre à cette question, le ministre Patrick Muyaya s’est posé quelques questions. Etes-vous sûr que le rapport dont vous faites allusion provient réellement de l’Anr ? Et de dire que c’est dommage que les médias que nous estimons crédibles tombent aussi bas. Sinon, lorsque nous regardons ce rapport, il y a des éléments qui ne collent pas. D’ailleurs à ce sujet, le Vice-Premier ministre, ministre de l’Intérieur va adresser une protestation vigoureuse aux médias ayant publié ces contre-vérités.

Pour le porte-parole du Gouvernement, Jeune Afrique, comme il en a l’habitude, aurait dû confronter les sources. Malheureusement, ils ont été manipulés. « Il y a une volonté délibérée de discréditer une enquête en cours », dit-il, avant d’ajouter que depuis le début de ce crime, il y avait des enquêteurs belges, sud-africains, du bureau conjoint des Nations unies, etc.

S’il y a des gens qui ont un rapport ou des informations à donner, pourquoi ils n’ont pas versé ces éléments au Parquet ? Car, même si vous ne croyez pas aux Congolais qui font l’enquête, il y a au moins des étrangers ! Pourquoi vous ne voulez pas attendre? Ces journalistes-là ont fait juste le relais d’une campagne de diabolisation de la justice congolaise. Il s’agit d’un document faux.

JMNK




Le Projet TRANSFORME lance son fonds de garantie en faveur des MPME

Après le lancement solennel de ses activités le 6 mars dernier à Mbuji-Mayi, le Projet d’autonomisation des femmes entrepreneures et mise à niveau des PME pour la transformation économique et l’emploi, « TRANSFORME», procède au lancement d’un Fonds de Garantie Partielle des Portefeuilles de Crédit, « Fonds GPPC ». Ce Fonds, financé à hauteur de 37 millions de dollars américains, s’inscrit dans le cadre de la deuxième composante du Projet, consacrée à l’amélioration de l’accès au crédit et à l’inclusion financière pour les PME. Pour l’opérationnaliser, le Projet TRANSFORME recourt au Fonds de promotion de la micro finance, FPM SA qui en assurera la gestion.

La cérémonie de signature du protocole de collaboration entre l’Unité de coordination du Projet TRANSFORME et FPM SA intervient ce mardi 5 septembre 2023 à Kinshasa. A cette occasion, M. Alexis Mangala, Coordonnateur National du Projet TRANSFORME et M. Patrick Nkongo Mambu, Directeur Général Adjoint du FPM SA, procéderont à l’inauguration de cet outil indispensable de développement, en présence de Mme Marie-France Malangu Kabedi Mbuyi, Gouverneure de la Banque Centrale du Congo, des représentants de l’écosystème des PME et du Gouvernement, ainsi que de la Banque mondiale et des autres partenaires au développement.

Le Fonds GPP est le fruit du partenariat entre le Gouvernement Congolais, la Banque Mondiale et le FPM SA. Grace à cet appui financier s’élevant à 37 millions de dollars américains, le FPM SA a mis en place une Garantie Partielle des portefeuilles de crédit (GPP) dont la finalité est d’atténuer le risque de non-remboursement que courent les institutions financières congolaises, les incitant ainsi à accroitre leurs financements envers les MPME et à leur accorder des conditions de prêt plus favorables.

FPM SA, agréé par la BCC depuis 2015, œuvre depuis plusieurs années auprès des Institutions Financières en RD Congo par des activités de refinancement afin de faciliter l’accès aux produits et services financiers aux MPME et aux populations actives à faibles revenus dans un but de réduction de la pauvreté et amélioration des conditions de vie des populations en RD Congo.

Avec la Garantie Partielle des Portefeuilles de Crédit, FPM SA devient le seul Fonds privé ayant reçu mandat du Gouvernement congolais afin de proposer simultanément des produits en refinancement et de garantie. Les perspectives d’impact sont donc très importantes pour l’économie congolaise.

En visite à Goma, au mois de juin, la Vice-Présidente Afrique de la BM avait évoqué la question de financement avec les femmes entrepreneures

Le Gouvernement de la RDC a identifié le secteur des PME comme un des secteurs stratégiques majeurs de développement. Dans ce cadre, il a sollicité et obtenu de la Banque Mondiale, en juin 2022, un appui financier dédié au Projet « TRANSFORME » visant l’autonomisation des femmes entrepreneures et la mise à niveau des PME pour la transformation économique et l’emploi en RDC. De commun accord, le Gouvernement et la Banque mondiale ont choisi, à travers l’accord de financement n0 7101-ZR, E028-ZR, le FPM SA pour opérationnaliser un Fonds de Garantie Partielle des Portefeuilles de Crédit « Fonds GPPC ».

Bien que TRANSFORME consacre une bonne partie de son financement à des subventions, le « FGPPC » est un instrument qui améliorera l’accès au financement, surtout pour les PME aguerries qui ont besoin de crédit bancaire afin de mettre en œuvre des projets de croissance plus ambitieux.




Ne bradez pas le catholicisme contre les combines politiques ! (Protestation aux combines politiques de certains membres de notre hiérarchie catholique)

L’Eglise prend part aux joies et souffrances du peuple au sein duquel elle se situe. Vatican II l’a bien souligné dans un de ses documents : « les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des hommes de ce temps, sont aussi les joies et les espoirs, les tristesses et les angoisses des disciples du Christ » (Gaudium et spes, Constitution pastorale sur l’Eglise dans le monde de ce temps, § 1). Aussi les pasteurs interviennent-ils pour donner leur contribution aux efforts de redressement et de la construction de la cité terrestre. Mais cela ne veut nullement dire que c’est à la hiérarchie de l’Eglise de gérer l’administration du temporel. Nous ne devons pas tolérer que le bureau permanent de la CENCO devienne une structure de contrôle du fonctionnement des institutions de la République, qu’il se mette à donner des leçons au parlement de notre République comme si c’était un groupuscule d’ignares, qu’il se charge de juger les magistrats et de déterminer la marche de la CENI ! Un tel agissement est une insulte publique à nos institutions, même si ces dernières n’ont pas atteint leur vitesse de croisière. Selon la doctrine sociale de l’Eglise catholique, le secteur de la « mission séculière » pour la gestion du temporel en conformité aux valeurs évangéliques, incombe aux laïcs chrétiens. Comment ne pas faire confiance à nos laïcs chrétiens, formés et compétents, qui œuvrent à la CENI et qui ont fait un rapport d’une centaine de pages sur un audit que l’institution avait confié à un organisme étranger ? Serait-ce uniquement parce que le directeur de la CENI est d’origine de la même tribu qu’un des candidats à l’élection présidentielle ? C’est un scandale !

 

Pourquoi oublier si vite les avertissements du pape François en visite au pays dans son discours du 3 Février dernier, contre l’esprit mondain et politicien qui ferait que nos ecclésiastiques endossent le costume des entrepreneurs, des « maîtres », prompts à donner des leçons en dehors de leur mission propre ? (Voyage apostolique du pape François en République démocratique du Congo, éd. St Paul, Kinshasa, 2023, p.101 : « Mais attention, il ne s’agit pas d’une action politique. La prophétie chrétienne s’incarne dans de multiples actions politiques et sociales, mais telle n’est pas la tâche des évêques et des pasteurs en général » (p.104). De même le discours d’adieux du Nonce apostolique en R.D.C. Mgr Ettore Balestrero aux Evêques réunis au congrès eucharistique de Lubumbashi en Juin dernier, comporte de sérieuses mises-en-garde à ce sujet : « Si nous voulons que notre ministère puisse avoir des fruits, nous ne devons pas nous occuper de quelles sont les routes que je dois construire, les maisons que je dois faire, quels sont les changements que je dois obtenir dans le pays ! Parce qu’en réalité, le changement dans le pays ne dépendra pas directement de l’Eglise ; ce ne sera pas à nous les Evêques, pas à nous les prêtres, de changer le pays ; nous devons donner le principe : …amener et porter Dieu à ce pays ; nous sommes très préoccupés de faire ce qui ne relève pas de nous… ».

 

Il y aurait aussi à dénoncer des relents de tribalisme dans les propos du secrétaire général de la CENCO, quand il répand des rumeurs tribalistes discréditant les institutions de la République ! Selon lui, la CENI serait prise en otage par une tribu de la République, celle de son président Kadima ! C’est à se demander si, dans les prédictions de Mgr Nshole, il n’y aurait pas quelque scénario d’une réédition de multiples exodes luba depuis l’indépendance, scénario d’un retour au quota dans les universités et la fonction publique qui avait jadis amené plusieurs Luba à changer de noms et d’identité ethnique pour subsister ? Le spectre de l’épuration ethnique de 1990 s’agite à nouveau, et ce n’est pas un rêve : à l’annonce de la victoire de Tshisekedi au scrutin de 2018, souvenons-nous que des pillages de certaines parcelles et des massacres de quelques ressortissants de la tribu stigmatisée ont eu lieu à Kinshasa ; ces désordres étaient alimentés, entre autres par des allégations relatives à la fameuse « vérité des urnes », clamées en chaire et réitérées, de Monseigneur Nshole et du cardinal Ambongo. La banalisation du discours ainsi que la reprise des stéréotypes contre une tribu est un crime, car elle sème des germes d’une guerre civile et mine la cohésion d’une société. Un pasteur chrétien ne sème jamais la haine, mais la paix et la communion ; ses propos ne doivent pas faire le lit d’un éventuel « leader courageux » qui profiterait du chaos créé au pays en vue de prendre le pouvoir par les armes et de tirer son épingle du jeu politique.

Les pasteurs doivent éviter d’opposer les tribus les unes aux autres ; « Dieu est amour » (1 Jn 4,8), et tout envoyé de Dieu cultive l’amour. Aussi tout pasteur doit-il s’abstenir d’exposer ouvertement sa haine à l’égard du président de la République en exercice et des fonctionnaires de l’Etat ; sinon, ce pasteur se situe aux antipodes de sa mission. Le croyant est optimiste, car il sait que Dieu est présent et qu’il n’a pas abandonné son œuvre ; aussi le croyant relève-t-il tous les actes positifs qui sont posés, toutes les lueurs d’espoir dans un environnement ; il n’oublie pas d’attirer l’attention des fidèles sur les moindres réalisations positives d’un gouvernement.

 

A nous Catholiques, le Droit canonique nous demande le respect et l’obéissance à notre hiérarchie (canon 212) ; mais il y est aussi reconnu aux fidèles le droit de faire savoir leur opinion aux pasteurs : « selon le savoir, la compétence et le prestige dont ils jouissent, ils (les fidèles) ont le droit et même parfois le devoir de donner à leurs pasteurs sacrés leur opinion sur ce qui touche le bien de l’Eglise et de la faire connaître aux autres fidèles, restant sauves l’intégrité de la foi et des mœurs et la révérence due aux pasteurs, et en tenant compte de l’utilité commune et de la dignité des personnes » (§ 3). Ainsi, à cause des interventions impromptues de son Eminence le Cardinal Ambongo et de Monseigneur Nshole dans le domaine politique, la religion catholique est de plus en plus décriée, et les fidèles catholiques deviennent la risée de différentes confessions religieuses en R.D.C. Il devient fréquent d’entendre dire dans la rue : « que la CENCO s’érige en parti politique » !

 

Nous admettons que le président Felix Tshisekedi n’est pas parfait, et qu’il n’inspire pas de sympathie à tous ; mais de là à essayer de répandre la haine à son égard dans la société et dans les assemblées liturgiques, cela devient une profanation du culte chrétien et de l’Eglise et nous avons le devoir de le dénoncer ; et comme théologien et prêtre, je m’en insurge. Loin de moi l’intention d’insulter son Eminence le Cardinal et Monseigneur le porte-parole et secrétaire général de la CENCO, car ils demeurent des membres de notre hiérarchie. Mais nul n’étant à l’abri des bavures, leurs opinions politiques, leurs analyses des situations socio-politiques, ne doivent pas passer pour celles de l’Eglise catholique de la R.D.C.; le cardinal au Congo ne représente pas l’Eglise catholique du Congo, mais l’archidiocèse de Kinshasa ; Mgr le secrétaire général de la CENCO est sous les ordres de l’évêque (actuellement Mgr Utembi) qui est président de la CENCO et duquel il devrait recevoir les ordres pour des déclarations relatives à ces sujets qui n’ont pas été débattus dans les assemblées.

 

Le processus électoral entamé depuis 2022 et qui arrive bientôt à son terme devrait être soutenu et non boycotté, quels que soient ses manquements ; car il y va du maintien du pays dans la stabilité et nous devons éviter de faire tomber nos institutions dans l’illégalité. Les déficiences de ce processus seront dénoncées et cataloguées pour des corrections ultérieures. L’histoire des démocraties est toujours jalonnée d’erreurs et de débordements, lesquels sont corrigés au fur et à mesure que les administrations mûrissent. Les 50 ans des régimes militaires en R.D.C. sans élections véritables, suffisent ; il faut être aveugle ou mal intentionné, pour ne pas constater que nous progressons, même à pas de tortue, depuis 2018 ; et ce n’est pas le moment de saper les efforts de la CENI précédente et actuelle, si nous aimons réellement notre pays, surtout en ce moment où il est infiltré à plusieurs niveaux, attaqué par des voisins et des prédateurs internationaux. Prêtre, théologien et historien des religions, je ne ferai jamais la propagande d’un politicien ni d’un parti politique ; je resterai « au milieu du village », prêt à voter pour ceux que je crois pouvoir faire progresser le bien être des congolais, et donner à notre peuple des raisons d’aimer leur pays, de se dépenser pour son essor, et d’espérer en son avenir. Que Dieu bénisse la R.D.C.

Prof. Abbé Kabasele-Lumbala François




Diplomatie parlementaire : les Sénats congolais et français renforcent leurs liens

Le Sénat français et le Sénat de la République Démocratique du Congo s’engagent à redynamiser leur coopération dans le cadre de la diplomatie parlementaire. Le sujet était au centre de l’audience que le président de la Chambre haute du Parlement congolais, l’honorable Modeste Bahati Lukwebo a accordée, le lundi 4 septembre 2023, à une forte délégation de parlementaires français conduite par la vice-présidente du Sénat français, Laurence Rossignol.

La possibilité d’échanges d’expériences entre les deux chambres et entre leurs administrations a été évoquée au cours de cette rencontre à laquelle des questions de coopération économique se sont aussi invitées au débat.

Sur ce chapitre, les hôtes de Modeste Bahati qui étaient conduits auprès du speaker du Sénat congolais par le ministre des Hydrocarbures Didier Budimbu ont exprimé la volonté de la France de revenir investir en RDC dans plusieurs domaines, notamment dans le secteur des hydrocarbures.

Les parlementaires français ont promis de mener un plaidoyer auprès de leur exécutif, en vue du renforcement de cette coopération qui sera bénéfique pour les deux peuples.

« Nous avons partagé la satisfaction avec le président du Sénat du groupe d’amitié qui existe entre la France et la Rdc, nous avons évoqué l’opportunité » de ce déplacement pour faire le travail que nous sommes en train de faire aux institutions et à l’échange d’expérience que nous allons continuer au niveau parlementaire. Mais aussi nos collaborateurs qui ont un rôle important dans les institutions, mais aussi dans l’administration. Et ce sont des coopérations qui se créent régulièrement », dit-elle.

Elle poursuit en disant que nous sommes ravis de pouvoir le conforter. « Nous ferons en sorte que cette diplomatie parlementaire travail au côté de la diplomatie gouvernementale pour que cela bénéficie d’un accompagnement. Nous avons des enjeux à partager sur le partage des richesses, mais aussi la préservation de notre environnement, mais aussi l’engagement que pourrait avoir la France, mais aussi l’ensemble des dossiers qui nous préoccupent, que ça soit les hydrocarbures, etc. », souligne la vice-présidente du Sénat français, Laurence Rossignol.

Le président du Sénat congolais, Modeste Bahati Lukwebo, a salué la visite de ses collègues parlementaires français qui va contribuer au développement de la Rdc par la création de nombreux emplois et la création des richesses. Il a émis le souhait de voir la France venir investir au Congo. Surtout avec l’amélioration du climat des affaires que connaît le pays sous l’impulsion du Chef de l’Etat Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo qui tient à faire de la Rdc un pays attrayant en matière d’investissements.




Ichanges Nation: Guy Loando souligne l’importance de l’harmonisation des politiques de planification territoriale

Guy Loando Mboyo, met en lumière l’organisation spatiale lors du Sommet Mondial sur la transformation de la République Démocratique du Congo et l’industrialisation de l’Afrique

Le sommet mondial organisé par Ichanges Nations s’est déroulé avec succès. Cette année, le sommet a mis en lumière la transformation du potentiel de la République Démocratique du Congo et l’industrialisation de l’Afrique en tant que thème central. L’événement a été honoré par la participation de l’ex-Vice Présidente de la République de l’Équateur, Mme Rosalia Arteaga, ainsi que la présence marquante du Ministre d’État, Ministre de l’Aménagement du Territoire, Guy Loando Mboyo.

Le Ministre d’État, Guy Loando Mboyo, a joué un rôle clé lors de ce sommet en présentant un exposé détaillé sur le rôle crucial du Ministère de l’Aménagement du Territoire dans la planification spéciale. Son discours a éclairé les participants sur les initiatives et les projets en cours visant à stimuler le développement durable et l’urbanisation stratégique de la République Démocratique du Congo. Il a également souligné l’importance de l’harmonisation des politiques de planification territoriale pour atteindre les objectifs de transformation économique du pays.

Ce sommet a réuni un éventail diversifié de participants, notamment des leaders politiques, des experts en développement, des entrepreneurs et des acteurs clés de la société civile. Les discussions animées et les échanges fructueux qui ont eu lieu tout au long de l’événement ont mis en lumière l’engagement collectif en faveur de la croissance économique durable et de l’industrialisation de l’Afrique.

Ichanges Nations exprime sa gratitude envers tous les participants, les orateurs et les partenaires qui ont contribué au succès de ce sommet mondial. Nous sommes convaincus que les idées partagées et les initiatives discutées ici auront un impact positif sur la transformation de la République Démocratique du Congo et sur l’essor de l’ensemble du continent africain.

Soulignons qu’ Ichanges Nations est une organisation internationale dédiée à la promotion de la coopération mondiale, du développement durable et de la paix. L’organisation organise régulièrement des sommets mondiaux visant à rassembler des leaders du monde entier pour discuter de questions cruciales et collaborer à des solutions innovantes.