Mandature de la Rdc à la présidence de l’OHADA : Tshisekedi instruit Rose Mutombo et Nicolas Kazadi de veiller à l’exécution du plan d’actions arrêté

Ainsi, la Ministre d’Etat, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux et le Ministre des Finances, qui sont tous les deux membres du Conseil des Ministres de l’OHADA, ont été instruits de veiller à ce que le plan d’actions arrêté par le Comité ad hoc d’appui à cette mandature ainsi que les budgets y relatifs, soient exécutés dans les meilleurs délais.

La République Démocratique du Congo assure depuis le début de cette année 2023, la Présidence de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA).

A ce sujet, le Président de la République a précisé que c’est un mandat de plus que notre pays a l’occasion d’exercer, dans le cadre de la gouvernance des Organisations communautaires d’intégration africaine. Il a rappelé au Gouvernement la nécessité de tout mettre en oeuvre pour que cette mandature, qui coïncide avec le 30ème anniversaire de l’OHADA, soit une réussite à la mesure du leadership que notre pays se doit d’affirmer en tant que plus grand pays de l’espace OHADA.

Ainsi, la Ministre d’Etat, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux et le Ministre des Finances, qui sont tous les deux membres du Conseil des Ministres de l’OHADA, ont été instruits de veiller à ce que le plan d’actions arrêté par le Comité ad hoc d’appui à cette mandature ainsi que les budgets y relatifs, soient exécutés dans les meilleurs délais.

Le Vice-Premier Ministre, Ministre des Affaires Etrangères et Francophonie a été, quant à lui, chargé de s’assurer dans le cadre de ses prérogatives que toutes les dispositions soient prises pour garantir la participation des Chefs d’Etat de l’OHADA aux travaux de Kinshasa prévus en octobre 2023.

Un rapport au prochain Conseil des Ministres sur l’état d’avancement des préparatifs de ce grand évènement.

 




Sama Lukonde encouragé à procéder à la mise en place d’une taskforce multi-acteurs chargée de structurer un programme carbone et biodiversité de conservation et d’augmentation de nos aires protégées

La République démocratique du Congo est l’un des six pays dits « mégadivers », détenant les plus grandes richesses en biodiversité de la planète. Les aires protégées couvrent actuellement 323 623 km², soit environ 14% du territoire national, l’objectif étant d’atteindre 17 %, ce qui correspondrait environ à 40 millions d’hectares.

Le Président de la République a précisé que ces aires protégées préservent un patrimoine naturel unique ; et conformément à nos engagements souscrits à la COP 15 de la Biodiversité à Montréal, notre pays devra consacrer d’ici 2030 jusqu’à 30 % de l’espace national à la conservation de la biodiversité, y compris les zones à haute valeur comme les tourbières.

Pour atteindre ces objectifs, il est urgent de mobiliser des financements conséquents à même de soutenir les efforts gouvernementaux de conservation de la nature au bénéfice des populations locales et de l’humanité.

Il a encouragé les initiatives de capitalisation des opportunités des crédits carbone et biodiversité et la structuration des projets ambitieux de monétisation des services écosystémiques de nos aires protégées pour financer le développement local à faible impact sur la biodiversité.

Le Premier Ministre a été encouragé à procéder à la mise en place d’une taskforce multi-acteurs chargée de structurer un programme carbone et biodiversité de conservation et d’augmentation de nos aires protégées, intégrant également les tourbières. Ladite taskforce devra réunir les experts des Ministères sectoriels concernés ainsi que les établissements publics en charge des aires protégées, le secteur privé, la société civile et les populations autochtones.

 




Le chef de l’Etat insiste sur la nécessité d’une meilleure coordination des projets et des programmes agricoles financés par le Gouvernement et les bailleurs de fonds

Le Président de la République a rappelé que plusieurs projets, programmes et initiatives ont été lancés dans le secteur agricole depuis plusieurs années dans notre pays sans trop de succès malgré les ressources financières qui ont été mises à disposition.

Nombreux de ces projets ou encore programmes n’ont pu connaître une pleine exécution. Cette situation qu’il a déplorée devrait nécessairement être revue en veillant à ce que ces projets soient bien mieux structurés, tel qu’il est attendu du projet présenté par le Ministre de l’Agriculture lors du Conseil des ministres du 12 mai 2023.

En effet, au-delà des interventions des Composantes 1 et 2 touchant le secteur agricole prévues dans le PDL 145T, il a été présenté le dossier relatif à la relance des filières agricoles et le ramassage des produits vivriers disponibles dans les bassins de production dans notre pays. Ce programme concerne 12 cultures vivrières et agroalimentaires (maïs, riz, blé, sorgho, manioc, pomme de terre, patate-douce, arachide, haricot, niébé, soja et banane).

Pour une meilleure cohérence, coordination et synergie, il importe que ce programme prenne en compte les interventions d’autres projets, programmes et sites de production agroindustriels existants (PDL-145T, Programme Volontariste Agricole, Programme National de Développement Agricole, Agenda de Transformation Agricole, Bukanga-Lonzo, Plateforme Agroindustrielle de Lukula, entres autres).

Ainsi, tenant compte des impératifs de temps et pour une meilleure optimisation de la coordination de toutes les interventions du secteur agricole, sans préjudice des activités en cours d’exécution, et au regard de l’urgence, le Ministre de l’Agriculture a été chargé, sous la supervision du Premier Ministre, avec l’implication de tous les Ministres sectoriels concernés, de procéder à une évaluation de tous les projets et programmes agricoles existants.

 




Fatshi appelle à mettre en œuvre le plan d’urgence de Congo Airways et de finaliser le projet de création d’Air Congo en partenariat avec Ethiopian Airlines

Le Président de la République est revenu sur la situation du transport aérien congolais qui est actuellement marquée, d’une part, par une accentuation du déséquilibre entre la demande de trafic aérien domestique de plus en plus croissante et une offre de plus en plus précaire ; et d’autre part, par l’inexploitation des lignes internationales occasionnant un manque à gagner important du fait de la non utilisation par notre pays du portefeuille des droits de trafic internationaux pourtant garantis et consacrés par plus de 52 accords aériens et ce, au profit des compagnies aériennes étrangères.

Pour y faire face, il a rappelé que la réponse du Gouvernement s’est articulée autour de deux axes : Relancer les activités de Congo Airways par la mise en oeuvre du plan d’urgence tel qu’adopté par le Gouvernement. Ce plan vise à doter cette compagnie nationale d’aéronefs à très court terme afin de lui éviter une cessation d’activités ; Finaliser le projet de Création d’Air Congo en partenariat avec Ethiopian Airlines, conformément au dossier y relatif tel qu’adopté en Conseil des Ministre lors de sa 49ème réunion tenue le vendredi 15 avril 2022. Ce deuxième axe permettra, notamment, la mise aux standards mondiaux de la nouvelle compagnie nationale et une exploitation rapide des lignes internationales par notre pays.

Au regard de l’urgence, le Ministre d’Etat, Ministre du Budget et le Ministre des Finances ont été instruits de s’activer pour la mise à disposition des fonds sollicités pour soutenir la mise en oeuvre du Plan de relance de la compagnie Congo Airways.

Par ailleurs, le Président de la République a demandé au Ministre d’État, Ministre du Budget ; à la Ministre d’État, Ministre du Portefeuille ainsi qu’au Ministre des Finances, chacun en ce qui le concerne, d’accorder le bénéfice de l’urgence à la réalisation du projet Air Congo.

Le Ministre des Transports, Voies de Communication et de Désenclavement, devra quant à lui, actualiser le business plan élaboré en 2022, ainsi que le chronogramme des actions pour le lancement des activités de la compagnie Air Congo. De même, il devra présenter l’état d’avancement global du projet à la prochaine réunion du Conseil des Ministres.




Evènements tragiques de Goma : Tshisekedi appelle la Justice à faire la lumière sur ce drame et à établir les responsabilités

Le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a présidé, à la Cité de l’Union Africaine, la cent-onzième réunion ordinaire du Conseil des Ministres du Gouvernement de la République, ce vendredi 1er septembre 2023.

C’est avec colère, effroi et consternation que le Président de la République a appris le décès, le 30 août 2023, de près d’une cinquantaine de personnes brutalement fauchées au cours d’une manifestation dans la ville de Goma, des suites d’une intervention de nos forces de l’ordre.

Cet évènement malheureux, ne peut que faire l’objet d’une forte désapprobation et d’une forte condamnation tant elle est incompatible à la vie en démocratie, d’une part ; et d’autre part, à la mission constitutionnellement dévolue aux FARDC.

Le Président de la République a appelé la Justice à faire la lumière sur ce drame et à établir les responsabilités tout en soulignant que ce drame ne peut demeurer et ne demeurera pas impuni.

Aux familles des victimes, il a présenté, au nom du peuple Congolais, ses condoléances les plus attristées.

Le Président de la République a saisi cette occasion pour lancer de nouveau un appel aux forces de l’ordre dans les efforts devant être mis en œuvre dans le registre de la prévention et du dialogue avec la population qu’elle a la noble mission de protéger.

Enfin, il a instruit le Vice-Premier ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières, le Vice-Premier Ministre, Ministre de la Défense et Anciens combattants ainsi que la Ministre d’État, Ministre de la Justice et Garde des Sceaux de lui faire rapport, dans les plus brefs délais, sur les circonstances qui ont mené à cet effroyable drame pour que, très rapidement, des sanctions sévères puissent être prises contre tous ceux qui en étaient responsables.




Goma : Massacres ou victimes sacrifiées pour des intérêts flous?

Mercredi 30 Août 2023, Goma, la capitale de la Province du Nord-Kivu, a été secouée par une manifestation officiellement interdite qui s’est soldée par mort d’hommes. Des victimes congolaises de plus à mettre sur le compte des politiciens cyniques et des ennemis de la République.

Le multirécidiviste Ephraïm Bisimwa, soi-disant “prophète” d’une ténébreuse secte messianique du nom de “Uwezo wa Neno”, s’est, de nouveau, illustré par un incivisme inacceptable et répréhensible. Son entêtement à braver l’autorité établie a étonné et surpris tout le monde.

Ce gourou illuminé n’est pas à son premier acte incivique. Par le passé, il avait occasionné la mort de ses adeptes à Uvira avant de s’enfuir en Tanzanie. Quelques années plus tard, on le retrouve à Goma sans qu’il ait répondu de ses actes d’Uvira. Ah, notre pays, notre “République des inconscients”, des corrompus!

Cet obscur individu se croît tout permis.

Au service des puissances étrangères hostiles à la Nation congolaise, il s’est arrogé le droit de jouer le rôle dévolu à l’État congolais. Au nom de quel principe, cet énergumène devrait mobiliser “ses fidèles” appuyés par des infiltrés venus de l’étranger pour “chasser” la Monusco, les ONGs internationales et la Force Est-Africaine? Quand il sait pertinemment bien que le processus du départ de la Monusco du sol congolais a déjà été enclenché par notre Gouvernement.

L’incivisme doublé de l’impunité fait certainement le lit de notre État.

Qui peut comprendre que cette manifestation interdite par l’autorité urbaine de Goma soit maintenue par le sulfureux organisateur? Et quand les policiers envoyés pour les empêcher de sortir du Quartier Nabushongo soient caillassés et l’un d’entre-eux soit enlevé et tué. Cet acte de désobéissance est publiquement tu. Aucune réaction de la part de la classe politique congolaise, toutes tendances confondues. Ailleurs, les politiciens de la majorité et ceux de l’opposition devraient condamner fermement le meurtre d’un agent de l’ordre en service commandé. Pourquoi ne peut-on pas clamer, comme les autres, que la République Démocratique du Congo est un pays à part, un pays anormal. Car, ce que nous vivons ici, vous ne le verrez jamais nulle part ailleurs.

Que cachait le refus du “fameux prophète” de “Uwezo wa Neno” d’obtempérer aux ordres des autorités tant urbaines de Goma que provinciales du Nord-Kivu?

Selon certaines sources, le chef de cette secte aurait été manipulé par les farouches opposants à l’état de siège qui ont lamentablement échoué lors de la Table Ronde d’évaluation de Kinshasa dans leur entreprise criminelle d’obtenir la fin de cette mesure de haute portée sécuritaire. On raconte que pour les tenants de la levée de l’état de siège, la seule alternative serait de pousser le Chef de l’État à changer les responsables militaires affectés au Nord-Kivu et en Ituri.

Ainsi, le boulevard de la contrebande, du pillage de nos richesses, de la criminalité économique organisée s’ouvrait largement.

Dans d’autres milieux, on n’hésite pas à citer la complicité de ce mouvement messianique avec le Rwanda. En ce sens qu’en s’attaquant à ce pays voisin par sa ville frontalière de Gisenyi, les troupes rwandaises trouveraient le prétexte fallacieux de prendre la ville de Goma et de l’offrir à ses supplétifs du M23. Il est curieux de constater qu’au moment où les regrettables événements se déroulaient à Goma, le président de l’aile politique du M23 alertait déjà l’opinion internationale sur ce qui s’y passait. Quelle curieuse coïncidence!

Par contre, on laisse entendre que certains cyniques politiciens congolais seraient à la manœuvre en intelligence avec le dirigeant de “Uwezo wa Neno” pour fléchir la position du régime en poste à Kinshasa de ne pas organiser les élections de décembre 2023 en vue de s’engager dans la voie du dialogue politique aux fins d’avoir le glissement et de se partager le gâteau.

Faut-il faire couler le sang des innocents et paisibles citoyens  congolais pour cela? D’où les tenants de cette thèse et leurs parrains étrangers se sont saisis de ce triste événement de Goma pour mettre la pression sur le pouvoir de Kinshasa.

Peut-on nous maintenant dire que la manifestation de “Uwezo wa Neno” était innocente? Difficile d’accepter cette thèse sordide. Et que dire des victimes? Ont-elles été sacrifiées pour des intérêts flous? Les paris sont ouverts.

Crispin Kabasele Tshimanga Babanya Kabudi

Président National de l’UDS




*RPDC; «Nos forces nucléaires centupleront leurs capacités de riposte appelée à juguler une guerre et à sauvegarder la paix et la sécurité!»* 

Voici les 2 événements (début septembre 2023) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC créée 3 ans après la Libération Nationale 1945; Superpuissance politico-militaire en voie de la poursuite du statut de la Puissance économique et où la population est divinisée ou déifiée sous les 3 grands Hommes bienfaiteurs dont le Maréchal KIM JONG UN, Président des Affaires d’État de la RPDC, NDLR) contre la Crise nucléaire réelle provoquée par les ennemis comme les USA (ou United States of America ou États-Unis d’Amérique; occupants de la moitié Sud de la Péninsule coréenne dès 1945 jusquici avec leurs 30.000 GI’s coiffés arbitrairement des Casques Bleues censées être ôtées depuis 1975 grâce à la Résolution de l’ONU № 3390B 18/11/1975 mais toujours en vain, après leur fiasco dans la 1ère invasion de la Corée en 1866 bientôt recouvré par leur réussite dans la domination 1905-1945 de procuration de toute la Corée par le Japon grâce à la collusion USA-Japon 29/07/1905, cela selon l’esprit de leur Destinée Manifeste de 1845, NDLR) et de la ROK;

 

• (ou Republic of Korea ou République de Corée, qui désigne la Corée du Sud et qui tire son origine, avec siège à l’étranger, en 1919 sous la domination 1905-1945 du Japon, sans aucun pouvoir ni autorité restaurés en apparence seulement en 1948 par les USA qui avaient divisé la Péninsule coréenne pour mieux régner, NDLR)

• (DROM-COM des USA – comme le Japon depuis 1945 – obligé ou forcé, afin de survivre ou subsister, de désigner, une fois de plus depuis le début 2022, son côté Nord – RPDC – comme ennemi principal en ignorant ou négligeant, totalement, son homogénéité nationale, d’où la condamnation des millions de manifestants locaux depuis plus d’une année, NDLR).

*1. KIM JONG UN en visite au Combinat Mécanique de Pukjung et à une usine d’armes importantes*

KIM JONG UN a visité le Combinat Mécanique de Pukjung (dans l’Arrondissement Nord-Phyongan) et une usine d’armes importantes. Il a été;

 

• accompagné par JO Yong Won et KIM Jae Ryong, Secrétaires du Comité Central (CC) du Parti du Travail de Corée (PTC de la plus longue histoire du monde depuis 1945 comme parti au pouvoir, NDLR), JO Chun Ryong, Chef de département du CC du PTC, KIM Yo Jong et CHOE Myong Chol, Chefs adjoints de département du CC du PTC

• accueilli, sur le terrain, par les responsables des entreprises.

 

a) Au Combinat Mécanique de Pukjung, KIM JONG UN a;

 

• apprécié les ouvriers de Pukjung qui, soutenant la politique du PTC en matière de défense nationale et d’édification économique, s’adonnent à la production

• fait le tour de plusieurs unités de production pour se renseigner sur l’équipement technique actuel et l’orientation de restructuration technique

• été informé de l’objectif de production fixé par les membres du PTC et travailleurs du Combinat, plan à réaliser avant la fin 2023 pour se montrer très satisfait, en y apportant son soutien total

• indiqué; Cette entreprise est investie d’une mission dont nul ne peut se charger à sa place au niveau du développement de l’industrie de construction navale du Pays et de nos forces maritimes. (Il a précisé l’orientation de lutte révolutionnaire à suivre par l’entreprise pour inaugurer une nouvelle ère de l’industrie de construction navale.) La future session plénière (9ème du 8ème CC du PTC à la fin 2023, NDLR) présentera une Ligne de conduite importante pour la modernisation du Combinat Mécanique de Pukjung et l’orientation de développement de l’industrie de construction navale du Pays. Le PTC compte, entièrement, sur la classe ouvrière révolutionnaire de Pukjung. Les membres du PTC et les ouvriers du Combinat sont fiers des traditions de lutte d’avoir appliqué, en tête, la politique du PTC en matière de défense nationale et d’édification économique, animés de la volonté d’exécuter à tout prix et en donnant toute la mesure de l’esprit révolutionnaire de la confiance en soi dans toutes les annales de la Révolution.

• exprimé son grand espoir et sa conviction que ceux-ci ne manqueront pas de répondre, sans condition et par leur ardeur au travail, à la nouvelle Décision importante du CC du PTC reflétant les exigences majeures de la Révolution coréenne.

 

b) À l’usine d’armes importantes, KIM JONG UN a;

• exprimé sa grande satisfaction de l’état de modernisation technique de l’usine

• avancé l’orientation en matière de création des capacités de production supplémentaire

• souligné l’importance de la position et du rôle qui reviennent à l’usine dans le développement des forces armées nationales

• exprimé son espoir et sa conviction immenses que la classe ouvrière de l’usine, forte de la fidélité au PTC et à la Révolution et du patriotisme sans bornes, soutiendra la politique du PTC en matière de développement de la défense nationale par ses compétences et efforts pratiques.

*2. L’exercice de riposte de l’Armée Populaire de Corée* (APC)

A l’issue de leurs exercices conjoints d’envergure de nature aventurière (l’Ulji Freedom Shield ou Bouclier de Liberté de l’An Ulji 2023, NDLR), les ennemis sont en train de se livrer, depuis ce 31 août, aux exercices conjoints de tir d’engins téléguidés et de bombardement aérien en mobilisant les dizaines de chasseurs de diverses sortes pour aggraver toujours la situation, révélant, ainsi ouvertement, leurs tentatives d’affrontement militaire contre la RPDC. La récente folie de confrontation des gangsters USA-ROK sont d’une témérité et d’une dangerosité inouïes.

 

La Commission Militaire Centrale (CMC dont le président est KIM JONG UN, NDLR) du PTC a donné son Ordre de faire un exercice consistant à manifester, efficacement, la volonté d’actions et les capacités de juguler les tentatives de guerre d’agression des ennemis. En encourageant les soldats ou militaires chargés du lancement de missiles, la CMC du PTC a confirmé dans son Ordre; Notre puissance convertira, bientôt, en crainte leurs soi-disant vanité et soulagement sur la supériorité de toutes les forces aériennes conjointes, dont les ennemis ont l’envie de se vanter l’un après l’autre.

 

Dans le but de donner, aux ennemis, un avertissement relatif à la Crise nucléaire réelle, a eu lieu, ce 2 septembre à l’aube, l’exercice de lancement supposant une offensive nucléaire tactique;

 

• Une unité d’emploi de missiles de croisière stratégiques de la Zone Ouest de l’APC a pratiqué ses activités militaires.

• Avant laccès au lancement, on a procédé à l’inspection de la procédure d’authentification de l’Ordre d’attaque nucléaire et du fonctionnement régulier des dispositifs techniques et mécaniques du système d’approbation du lancement.

• Suivant la procédure d’authentification prompte, on a lancé les 2 missiles de croisière stratégiques à longe portée munis de l’ogive expérimentale, simulacre de l’ogive nucléaire, dans une circonstance de combat réel.

• Les soldats chargés du lancement de missiles ont lancé, depuis l’embouchure du Fleuve Chongchon-gang (ou le fleuve à l’eau propre et limpide, NDLR), les missiles dans la direction de la Mer de l’Ouest de Corée pour les faire planer, respectivement, pendant 7.672s et 7.681s suivant un trajet en forme «8» supposant une distance de 1.500km et exploser à l’altitude de 150m au-dessus d’un îlot-cible, accomplissant, ainsi avec exactitude, leur tâche de frappe nucléaire.

 

La CMC du PTC a;

• fait remarquer, une fois de plus, la nécessité de l’action offensive pour faire connaître les capacités de dissuasion des forces nucléaires de la RPDC

• souligné; Toutes les forces nucléaires doivent, toujours, redoubler de vigilance au maximum et se tenir fin prêtes à intervenir pour faire connaître, d’une manière plus claire par l’exécution écrasante de notre force de dissuasion aux gangsters militaires USA-ROK, leur approche au seuil des menaces critiques.

 

Les forces nucléaires de la RPDC centupleront leurs capacités de riposte responsable et militante, appelée à juguler une guerre et à sauvegarder la paix et la sécurité, selon un commentaire (03/09/2023) de la KCNA (ou Korean Central News Agency) de la RPDC.




Massacre à Goma : La CASE invite Fatshi à limoger le chef d’Etat-major général et le gouverneur militaire du Nord-Kivu

Le massacre des civils par les forces spéciales des Fardc à Goma éloigne les chances de cohésion nationale autour du processus électoral. La CASE invite le président Tshisekedi à limoger le chef d’Etat-major général et le gouverneur militaire du Nord-Kivu afin qu’ils répondent de ces tueries à grande échelle devant les cours et tribunaux.

Alors que le climat politique est de plus en plus tendu et qu’aucune confiance n’est attribuée aux animateurs de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) par le peuple congolais, les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) viennent d’endeuiller la Nation congolaise suite à une incursion injustifiée d’une unité des Forces Spéciales mercredi matin à Goma.

Le bilan de ce massacre fait état d’une centaine de personnes tuées et des centaines autres blessées parmi lesquelles des femmes, des enfants et des personnes âgées.

La Commission africaine pour la supervision des élections (CASE) à travers son président Simaro Mbayo Ngongo condamne cette barbarie humaine orchestrée par les troupes régulières et demande au Président Félix Tshisekedi d’ordonner l’arrestation et le limogeage du Chef d’Etat-major général des FARDC et du Gouverneur militaire du Nord-Kivu en leurs qualités de commandants et responsables constitutionnels des forces ayant opéré ce massacre.

« La CASE souligne regrettablement que ces crimes violents perpétrés par l’armée nationale sont d’une gravité extrême et ne peuvent passer sous silence des institutions politiques et judiciaires du pays », dit-il, avant de rappeler que cette bavure militaire est un crime inadmissible qui vient accentuer la douleur d’un peuple déjà martyrisé et traumatisé. Un drame qui s’ajoute à un autre traumatisme de matraquage électoral corrompu de la part de la CENI-Kadima.

Une CENI qui se contente d’éloges immérités de la part de n’importe quel “Drummer” du pouvoir n’est rien d’autre qu’une association des malfaiteurs. Qu’il s’agisse du très contesté ancien Vice-président de la CENI, Norbert Basengezi Katintima aujourd’hui investi président du Ministère des Laïcs Protestants (MILAPRO), d’un certain réseau de l’Union Africaine proche de Kadima ou encore des nombreuse associations de soutien au Président Tshisekedi, leurs apologies mendiantes ne suffiront jamais à faire accepter l’équipe Kadima.

En minimisant les risques d’implosion et de troubles du fait de ses indélicatesses électorales exagérées, Denis Kadima s’est permis une fois de plus de cracher sur le peuple congolais. La convocation de l’électorat décrétée policièrement ce vendredi 1er septembre 2023 est un nouvel affront contre le peuple congolais. Ce jusqu’au-boutisme arrogant démontre que le processus électoral est dirigé d’une main de fer qui n’offre aucune ouverture au débat citoyen.

La CASE invite toute la classe politique congolaise à se lever contre la CENI, Monsieur Denis Kadima et l’ensemble du processus électoral. La CENI-Kadima a un agenda semeur de troubles.




Lancement de la production industrielle dans la ZES de Maluku : Julien Paluku salue la diversification de l’économie et l’indépendance économique retrouvées

La production industrielle dans la Zone Économique spéciale pilote de Maluku basée à l’Est de Kinshasa a été lancée ce samedi par le Président de la République, Félix Tshisekedi, en présence des plusieurs officiels et des opérateurs économiques regroupés au sein de la Fédération des Entreprises du Congo (FEC).

A cette occasion, le Chef de l’Etat a donné le go de la production officielle des carreaux et faïences made in congo par la société SAPHIR CERAMICS qui a une capacité de production 70.000 m2 par jour avec plus de 1000 emplois directs et de 3000 autres emplois indirects qui sont y sont attendus a fait entendre le Ministre de l’Industrie.

Grâce au développement des Zones Économiques Spéciales dans les 6 espaces industrie dans le but de diversifier l’économie, le Chef de l’Etat, Félix Tshisekedi vient de doter la République Démocratique du Congo d’une indépendance économique, a martelé Julien Paluku Kahongya.

La consolidation de l’installation d’autres industriels dans cette Zone économique spéciale de Maluku dont VARUN BEVERAGE/PEPSI avant juin 2024 va produire plus de 54.000 bouteilles par an avec plus de 1.000 emplois directs et 8.000 autres indirects, mais aussi l’accélération des travaux d’aménagement de la voirie ont été très saluées par le ministre de l’Industrie très heureux de la prière production livrée par cette zone économique spéciale pilote de Maluku

Signalons que les responsables des entreprises industrielles ont beaucoup salué la politique du gouvernementale qui leur accorde des avantages fiscaux, parafiscaux et douaniers.

 

De son côté ne Directeur Général de l’Agence des Zones Économiques Spéciales-AZES, Augy Bolanda a invité la Fédération des Entreprises du Congo-FEC de s’approprier cette politique incitative mise en place par l’Etat congolais

 

 

 

 

CELLULE DE COMMUCATION ET PRESSE




Fatshi dépêche une commission à Goma en vue de s’enquérir et faire toute la lumière sur les incidents malheureux survenus le 30 août 2023 

Sur instruction du Président de la République, une Commission interministérielle composée du Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières ; Vice-Premier Ministre, Ministre de la Défense Nationale et Anciens Combattants ; Ministre des Droits humains ; Vice-Ministre de la Justice est arrivée à Goma ce samedi 02 septembre 2023 en vue de s’enquérir et faire toute la lumière sur les incidents malheureux survenus à Goma en date du 30 Août 2023. La Commission interministérielle s’est fait accompagner de l’Auditeur Général des Forces Armées de la République Démocratique du Congo.

Pour ce faire, indique un communiqué signé par Peter Kazadi Kankonde, Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur, Sécurité et Affaires Coutumières, il est demandé aux familles ayant constaté la disparition d’un de leurs après lesdits incidents, de passer dans les différents centres hospitaliers qui ont accueilli les victimes blessées ou mortes aux fins de les identifier et de prendre contact avec la Commission qui siège au Gouvernorat de la province.