Antoine Ntunda n’est plus !

Les ressortissants de Kabinda, chef-lieu de la province de Lomami sont très affligés pendant ces derniers temps. Que de mauvaises nouvelles ! Ils viennent de perdre Papa Antoine Ntunda Ntambue, grand frère de Mgr Félicien Ntambue, évêque de Kabinda et administrateur apostolique de Kananga. Les Basongye de Kinshasa, qui venaient de perdre Pascal Ndibu, chef de Travaux à l’Université de Kabinda, où il était aussi chargé du budget, voilà une autre nouvelle qui vient paralyser cette communauté.
Papa Antoine Ntunda, pour ceux qui le connaisse à partir de Saint Martin à Kabinda, est un chrétien catholique engagé, qui a laissé des traces dans la Légion de Marie de la même paroisse. Fin blagueur, Antoine Ntunda était incapable de faire du mal même à une mouche. Papa Antoine Ntunda, tu n’as fait que nous précéder. Que Dieu t’accueille dans sa félicité céleste. Et n’oublie pas de prier pour les siens que tu laisses sur cette vallée des larmes.

Ci-dessous, le programme des obsèques :




Candidat à l’élection présidentielle de décembre 2023 : Constant Mutamba triomphe à Lubao

A la suite de la publication des listes définitives des candidats députés nationaux où elle a aligné 420 candidats, et après sa participation active au cadre de concertations entre la CENI et les partis politique, la DYPRO, à travers son président, Me Constant Mutamba, candidat présidentielle à l’élection de 2023, a entamé une tournée dans le Congo profond pour lancer les formations et l’éducation citoyenne et électorale des leurs candidats et militants.

La province de Lomami a constitué la première étape de cette tournée où Me Constant Mutamba a été accueilli par des bains de foules aussi bien à Kabinda, le chef-lieu, qu’à Lubao où il séjourne présentement.

Des foules venues de partout viennent non seulement pour saluer le courage de jeune homme qui n’a pas épargné ses moyens pour postuler à la présidentielle du 20 décembre 2023, mais aussi a tout bravé pour communier avec la population de Lubao. Signe qu’il est porté par la population qui ne manquera pas à lui retourner l’ascenseur le moment venu.
Mutamba est donc ce politicien partageant au quotidien sa vie avec ses frères et sœurs et qui est déterminé, une fois que l’occasion lui est donnée, d’améliorer très sensiblement leurs conditions de vie.




Campagne électorale précoce : La CASE constate que le CSAC est incapable de sanctionner la Rtnc et Bosolo Na Politik

La campagne électorale précoce: le CSAC incapable de sanctionner les médias du pouvoir se lance comme la CENI-Kadima, dans une mise en scène creuse d’autorité pour une simple plaisanterie communicationnelle de forme. La CASE constate que le CSAC est incapable de sanctionner la Rtnc et Bosolo Na Politik, deux chaînes de télévision qui violent toutes les directives réglementaires. Pourquoi se réveiller seulement pendant que le candidat Moïse Katumbi est en tournée politique en province?

La CASE à travers son président Simaro Mbayo Ngongo a été surprise de constater que le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) s’illustre par un dirigisme règlementaire déséquilibré.
La CASE note que le CSAC excelle dans la curieuse habitude de ne se réveiller que lorsque les acteurs politiques de l’opposition se déploient politiquement. Placé comme la CENI-Kadima sous la coupe du pouvoir, le CSAC ne se réunit sensationnellement que lorsqu’il s’agit soit de sanctionner des journalistes étiquetés proches de l’opposition ou alors pour mettre tous les médias en garde par rapport à la couverture médiatique des activités politiques de l’opposition.
La CASE constate non sans regret que le CSAC vient d’émettre un communiqué impromptu de rappel à l’ordre des médias nationaux sournoisement en raison de la tournée très mobilisatrice du candidat Moïse Katumbi Chapwe dans le Congo profond. Étant donné que le Président du parti politique ENSEMBLE POUR LA RÉPUBLIQUE est de plus en plus en hausse de popularité dans les provinces de l’Equateur, de l’ex-Bandundu, du Katanga et de l’Est de la RDC, le régime Tshisekedi qui a toujours ciblé les médias, journalistes et acteurs politiques proches dudit candidat, relance sa “machine à éteindre la démocratie” en vue de sanctionner et couper le signal aux rares médias encore proches du peuple.
La CASE regrette qu’une institution d’appui à la démocratie comme le CSAC puisse très aléatoirement emboîter le pas à la CENI, une institution estampillée violatrice des lois et des procédures de réglementation du processus électoral.
La Directive du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication n°CSAC/AP/001/2015 du 05 mars 2015 relative à la campagne électorale à travers les médias indique précisément que (Article 2) conformément à l’article 11 de la Loi électorale, les campagnes électorales sont fixées par le calendrier arrêté par la CENI. De manière très décevante, le parti présidentiel (UDPS) et ses alliés de l’Union Sacrée font obligatoirement diffuser les éléments de reportage de leurs activités quotidiennes sur la RTNC sans aucune mise en garde ni sanction visibles. Il en est de même des débats excessifs orientés contre les groupes politiques de l’opposition qui sont tolérés aussi bien à la RTNC que sur la chaîne BOSOLO NA POLITIK.
Cette attitude anti-démocratique de deux poids deux mesures viole brillamment l’article 3 de la même directive qui stipule: “Pendant la période sus-indiquée, tous les médias sont astreints à observer une grande rigueur dans la collecte, le traitement, la programmation et la diffusion de l’information. A cet effet, ils sont tenus de respecter les textes légaux et réglementaires régissant la profession ainsi que l’éthique et la déontologie des journalistes congolais”. L’article 4 poursuit que : “Les médias doivent notamment en cette période : 1. S’interdire la diffusion des chansons, clips, jeux, spots, communiqués, proverbes, saynètes, écrits satiriques et caricatures qui sont de nature à inciter à la haine, à toutes les formes de discrimination ou à mettre en péril la cohésion nationale ; 2. Eviter la diffusion des résultats de sondages d’opinion 48 heures avant les scrutins “.
Toutes ces dispositions comme celles ayant trait à l’affichage des supports de campagne sont violées par les partis au pouvoir. “Durant la campagne électorale, l’apposition des affiches de propagande est autorisée sur les panneaux mis en place à cette fin sur l’ensemble du territoire national. Le démontage de ces panneaux doit intervenir sept (7) jours, au plus tard, après la clôture officielle de campagne électorale” (Article 54).




Commission paritaire ARSP-FEC: Plus de 500 entreprises sous-traitantes recommandées aux entreprises principales

Grâce à la commission paritaire mixte instituée par l’honorable Miguel Kashal Katemb et Albert Yuma, respectivement Directeur général de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé (ARSP) et président de la Fédération des entreprises du Congo (FEC), il est recommandé aux entreprises principales plus 500 entreprises de sous-traitance.

Dans un communiqué rendu public ce lundi 25 septembre 2023, le Directeur général de l’Autorité de régulation de la sous-traitance dans le secteur privé, l’honorable Miguel Kashal Katemb informe la population congolaise et surtout les entrepreneurs de la recommandation de plus 500 entreprises de sous-traitance dans les entreprises principales.
Selon le même communiqué, le Dg de l’ARSP s’est fondé sur les résolutions de la commission mixte paritaire ARSP-FEC mise en place en exécution du protocole d’accord signé le 18 mars 2023, lequel protocole d’accord avait dessiné un cadre de collaboration entre les deux institutions.
Par conséquent, l’ARSP fort des conclusions de ces travaux mixtes, « recommande aux entreprises principales d’inscrire dans leurs bases de données de sous-traitants les entreprises éligibles suivant leur secteur d’activité aux fins de soumissionner aux appels d’offres avec pour objectif d’accéder aux marchés de sous traitance »
« L’ARSP rappelle aux entreprises principales que l’exercice des activités des sous-traitance est réservé aux sociétés à capitaux majoritairement congolaises, soit 51% pour les congolais et 49 % pour les étrangers et que tout contrat conclu en violation de la loi du 08/02/2017 fixant les règles applicables à la sous-traitance dans le secteur privé est nul de plein droit », martèle-t-il.
Il sied de noter que pour rassurer l’opinion de l’efficacité de son action, le Directeur général de l’Arsp annonce avoir mis en place, en collaboration avec la FEC, « des mécanismes rigoureux de suivi afin de s’assurer de la transparence dans la passation des marchés de sous-traitance, à dater de la diffusion du présent communiqué»
En définitive, l’ARSP annonce que les entreprises principales concernées seront notifiés par courrier et tenu de finaliser toutes les procédures d’inscription dans leurs bases de données des entreprises de sous-traitance.
JMNK




Recours et deuxième session à l’Exetat: L’IG de l’EPST, Jacques Odia répond au ministre Jean-Lucien Busa

C’est dans une correspondance du 28 septembre 2023 que l’Inspecteur Général de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique, Jacques Odia Musungay accuse réception au courrier du 14 septembre 2023, lui adressé par le ministre du Commerce extérieur, M. Lucien Busa, au sujet de son recours contre les résultats du centre Budjala 9 dont le code est 42023 à l’Examen d’État 2022-2023.

Dans cette correspondance, l’Inspecteur Général de l’EPST fixe l’opinion et confirme que le phénomène “ recours à l’Examen d’État” ne fait pas partie de la procédure de correction des épreuves, ni de publication des résultats de l’Examen d’État.
La question de la soi-disant “ deuxième session ”à ces épreuves a également été relevée.
À ce sujet, M. Jacques Odia Musungay a précisé: “ Ce qui se dit dans les réseaux sociaux relève de l’amalgame et même de l’intoxication fomentée dans l’unique but de nuire à la crédibilité de l’Institution de l’Examen d’État ainsi qu’à l’image de notre pays”, s’insurge Jacques Odia Musungay sans coup férir.
De ce qui précède, il sied de noter que cette polémique qui se propage çà et là, tant portée et chérie par les oiseaux de mauvaise augure, qui autre fois étaient contre la gratuité de l’enseignement primaire dans les établissements publics scolaires en RDC, clôt les débats surtout envers ceux qui deviennent défenseurs de l’éducation, cherchant ainsi à se faire remarquer.
Le Ministre du Commerce extérieur semble en déphasage avec sa base, parce qu’il ne sait pas qu’il y a eu l’annulation de l’épreuve pour tous les candidats au deuxième jour du déroulement de ces épreuves, provoquée par un incident survenu dans l’un de centres de passation.
Ceci, est confirmé par un rapport conjoint du Directeur Provincial et Inspecteur Principal Provincial de l’EPST Sud-Ubangi 1, renforcé par celui du service de sécurité ANR, adressé en juillet dernier au Ministre de l’EPST ainsi qu’à l’Inspecteur Général du même ministère.
Il a été attesté que la population avait envahi le Centre de passation avec des pierres, des bâtons et des machettes pour s’en prendre aux membres de la Commission de l’examen. Ce qui a entrainé un désordre où tous les candidats, étant sortis avec leurs cahiers d’items en ont profité pour avoir des réponses à l’extérieur. Ce scénario macabre offert par les électeurs de Lucien Bussa devrait faire sa honte, puisque confirmé par la vidéo prise par le Superviseur du dudit centre au lieu de le pousser à adresser un recours, quelque chose qui n’existe pas dans la tradition de cette épreuve.
Ceci témoigne une fraude massive. C’est ainsi qu’il y a eu annulation surtout qu’il s’agissait des cours des branches principales à grande pondération de la session.
Ceci devrait interpeller tous ceux qui ont fait de la publication des résultats dans le palmarès leur choix gras, notamment ce député du Nord-Kivu qui en a profité pour tromper sa base qu’il avait mené un plaidoyer auprès du Chef de l’Etat pour la révision des résultats. Un menteur et démagogue. Nous y reviendrons




En marge des élections générales de décembre 2023: Voici les grands partis et regroupements politiques dirigés par des leaders de bonne moralité qui se distinguent sur le terrain

Conformément à la Constitution et aux lois en vigueur, le pluralisme politique est reconnu et garanti en République démocratique du Congo. Il se traduit notamment à travers les partis ou les groupements politiques.
Selon le Sondage Le Peuple d’abord, il faut entendre par parti politique, une association des personnes physiques de nationalité congolaise qui partagent les mêmes idées au plan de l’idéologie et du programme politique en vue de conquérir et d’exercer démocratiquement et pacifiquement les pouvoirs d’Etat.
Et par regroupement politique, il faut entendre une association de plusieurs partis politiques au plan de l’idéologie et/ou des programmes politiques.
Les partis ou regroupements politiques se créent, s’organisent et exercent leurs activités dans le strict respect des textes constitutionnels, législatifs et réglementaires en vigueur. La structure et le fonctionnement internes du parti ou du regroupement politique doivent obéir aux principes démocratiques en toutes circonstances. C’est dans cet ordre d’idées que l’on a assisté à la naissance des partis et regroupements politiques en marge des élections qui s’annoncent à l’horizon.
Cependant, sur le terrain, l’on constate que ces ensembles politiques n’ont pas la même envergure, ou le même ancrage sur l’ensemble du territoire national. C’est ainsi que notre institut de sondage dénommé le peuple d’abord, a interrogé les populations dans toutes les provinces. La question posée se rapporte au choix des regroupements politiques les plus en vue sans oublier les personnalités qui les dirigent. Ce sont précisément ces structures politiques qui sont capables de faire élire un grand nombre de candidats à tous les niveaux.

Agent concepteur: Institut de sondage Le Peuple d’abord
Durée                     : Travail effectué du 14 août au 20 septembre 2023.
Technique              : Question posée directement aux personnes contactées par les agents de notre institut de sondage.
Moyen utilisé        : Sondage réalisé par nos agents.

Interprétation

Ce travail de sondage d’opinion a été effectué d’une manière qualitative et quantitative.
Qualitative: La qualité est  une des normes exigées dans la réalisation d’un travail scientifique. Le sondage d’opinion ne peut dès lors faire abstraction de cette exigence.
Ainsi, notre institut s’est trouvé dans l’obligation de tenir compte de cette exigence et de travailler conformément aux normes telle que la qualité. Pour cela, il a été fait appel uniquement aux variables positives liées au sexe des individus, leur niveau d’étude, et la stratification par tranche d’âge.  Les appartenances politiques, ethniques, tribales, linguistiques ou régionales jugées contraires à l’éthique de ce  genre de travail n’ont été pas prises en compte.
Quantitative: La quantité figure également parmi les normes exigées dans un sondage d’opinion pour le rendre plus fiable. Pour ce faire, notre Institut de sondage a déployé ses agents dans les 26 provinces où des efforts nécessaires ont été faits pour atteindre le chiffre de 3.000 individus. Echantillon jugé représentatif pour refléter une opinion.
Après la synthèse  des résultats et des calculs liés aux exigences de la statistique, il a été décidé de publier la liste des regroupements politiques ayant une réelle visibilité sur le terrain, ainsi que les noms des personnalités qui les conduisent selon l’ordre décroissant des résultats obtenus.

AAAP de Tony Kanku Shiku 80%

Le paysage politique congolais a enregistré, le jeudi 1er juin 2023, un nouveau regroupement politique. Il s’agit de l’Alliance des acteurs attachés au peuple-AAAP. Tony Kanku Shiku, le haut-représentant de l’autorité morale de cette méga plateforme politique, a laissé entendre que 62 partis politiques, des personnalités et des organisations de la société civile en font partie. 
«Nous nous rendons compte que le chef de l’État a la volonté manifeste et l’engagement irréversible d’organiser cette année des élections démocratiques, transparentes, libres et apaisées. Et nous, membres de l’AAAP, nous avons décidé de nous mettre ensemble pour faire face à ces exigences électorales», avait déclaré Tony Kanku Shiku. Aussi, avait-il exhorté le peuple congolais à se ranger derrière le chef de l’État pour son bien-être.
Et de renchérir: «AAAP est un regroupement politique qui compte aujourd’hui 62 partis politiques, avec plusieurs réseaux d’associations et organisations de la société civile et de hautes personnalités politiques».
Parmi les partis signataires de la charte de ce regroupement figurent notamment l’Alliance de Congolais pour le renouveau de Jacques Ikung Mbul, Debout la Patrie du député Singoma Mwanza, l’Alliance pour le progrès du Congo de la députée nationale Henriette Wamu, le parti des prolétaires de Pierre Yula Omombo, etc. Et dans la salle de Showbuz, le jour de la sortie officielle, l’on avait retrouvé des personnalités dont les partis ont signé la charte à l’instar des ministres honoraires Michel Bongongo, Lambert Matuku Memas, Jean-Marie Kalumba, Laurent Batumona, Toussaint Alonga, etc. Signalons enfin que le Haut-Représentant a nommé une équipe de campagne pour accompagner le candidat Félix Tshisekedi.

ACP : 74%

L’Alliance des Congolais Progressistes –ACP- s’est unie à l’UDPS pour porter la candidature de Félix Tshisekedi à la présidentielle de décembre prochain. Le parti dont l’autorité morale est le gouverneur de la ville de Kinshasa, Gentiny Ngobila, a levé cette option au cours de son Congrès extraordinaire tenu le mercredi 6 septembre 2023, en présence de plusieurs invités de marque, dont le secrétaire général du parti présidentiel, Augustin Kabuya.
En cinq heures de temps, les congressistes ont vidé le seul point qui était à l’ordre du jour, à savoir l’adoption de Félix Tshisekedi comme candidat unique de l’ACP à la prochaine présidentielle de décembre 2023. Pour Gentiny Ngobila ce choix est consécutif à plusieurs réformes réalisées par Félix Tshisekedi depuis son accession à la magistrature suprême, des réformes qui, d’après lui, ont impacté positivement la vie des institutions et celle des Congolais.

AMSC de Laurent Batumona 68%

Ancien directeur de campagne adjoint en décembre 2018 du candidat CACH Félix Tshisekedi, et aujourd’hui Directeur général de la Direction générale de la dette publique (ex-OGEDEP, Office de Gestion de la Dette publique) Laurent Batumona Nkhandi Kham a exercé les fonctions de vice-ministre des Travaux publics en 2005, et de vice-gouverneur de la ville province de Kinshasa. Proche de feu Kitenge Yesu, Laurent Batumona a assuré la coordination de la plateforme électorale des Forces politiques alliées de l’UDPS et président du Mouvement social pour le changement.
C’est dans ce cadre que le leader politique a effectué des visites dans quelques provinces dont le Kongo Central et le Grand Bandundu pour sensibiliser les populations sur les élections du 20 décembre 2023. Il est pour le moment l’un des grands soutiens du chef de l’Etat à la candidature pour un second mandat à la tête du pays.

Udps/A Augustin Kabuya, 65%

La plateforme électorale Forces politiques alliés de l’UDPS (FPAU) s’est transformée, depuis le mois de février dernier, en une plateforme politique. Selon son coordonnateur, Laurent Batumona, cette structure politique attend accompagner le chef de l’Etat dans sa vision pour le bien-être de la population dans tous les secteurs.
A son avis, Félix Tshisekedi a apprécié les initiatives de cette plateforme pour soutenir sa vision. Mis en place à la veille de la campagne électorale en 2018, la plateforme FPAU regorge en son sein des partis politiques, des associations de la société civiles et des personnalités politiques.

Afdc/A Bahati 62%

L’Alliance des Forces démocratiques du Congo, le regroupement politique de Modeste Bahati a exprimé publiquement son soutien à la candidature de Félix Tshisekedi à l’élection présidentielle de 2023.

Cette décision avait été saluée par le parti présidentiel, l’Union pour la démocratie et le progrès social. L’Alliance des Forces Démocratiques du Congo est reparti à travers la RDC avec ses 41 députés nationaux et 71 députés provinciaux, il est le premier regroupement politique en termes d’élus au sein de l’Union sacrée de la nation.

Arep/A Guy Loando 60%

Les membres du parti politique Agissons pour la République –AREP- ont rassuré de leur détermination à donner un second mandat au président Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2023. Estimant que « Savoir où l’on veut aller, c’est très bien, mais il faut encore montrer qu’on y va», l’AREP dit vouloir être une organisation politique qui transforme l’environnement sociopolitique de la RDC par la transmission des valeurs humaines et par le strict respect des textes légaux, gage de la construction effective de la démocratie de la nation congolaise au travers du socle de son idéologie contenue dans la légende du colibri où chacun doit faire sa part. 
C’est dans ce cadre que le secrétaire général du parti Pascal Nkanga avait conduit une forte délégation à Mbandaka, dans la province de l’Equateur pour une mission d’itinérance dans le but de redynamiser le parti, former ses cadres et militants afin de les amener à maitriser la vision du parti et son idéologie portée sur le social libéralisme. Pascal Nkanga avait exhorté la population de Mbandaka à la culture du «travail et de l’amour patriotique, afin de faire bloc autour du chef de l’Etat, du gouvernement de la République et des forces Armées pour bouter dehors tous les ennemis de la RDC qui veulent tailler dans l’unité du pays en vue de le balkaniser au travers de la guerre d’agression imposée au pays par le Rwanda et ses parrains derrière leurs supplétifs, les terroristes du M23». 

UNC/A, Vital Kamerhe 57%

Lors d’un congrès tenu samedi 19 août à Kinshasa, l’Union pour la nation congolaise –UNC- de Vital Kamerhe a désigné Félix Tshisekedi comme son candidat à la présidentielle de décembre 2023. 
Les membres de l’UNC justifient cette reconduction de Félix Tshisekedi par le souci de parachever toutes les actions du programme commun conçu avec son partenaire UDPS à l’avènement de la plateforme Cap pour le Changement. Il s’agit aussi, selon eux, de poursuivre « la mutualisation des efforts pour l’émergence de la RDC» dans le cadre de l’Union sacrée de la nation. 
Cette décision écarte ainsi la disposition de la convention de Nairobi de 2018 entre l’UNC et l’UDPS, qui prévoyait après cinq ans une alternance de candidature unique à la présidence de la République et, cas de victoire, à la Primature. 

MLC/A JP Bemba 53%

Plusieurs partis et personnalités politiques se sont alliés au Mouvement de Libération du Congo –MLC- de Jean-Pierre Bemba au sein de la plateforme Alliance des partis alliés au MLC (APA/ MLC).
Au cours d’une cérémonie organisée, à cet effet, le mardi 18 avril 2023, au siège national de cette formation politique membre de l’union sacrée, ces partis et personnalités  politiques estimés à plusieurs dizaines ont signé une charte régissant cette plateforme, jadis dénommée partis du Front pour le respect de la constitution –FRC- puis Alliance pour l’Alternance-APA).
Pour Fidèle Babala qui a reçu de leurs mains cette charte signée symboliquement en sa présence, APA/MLC se veut être une mutualisation des forces politiques en union avec le MLC sous le leadership de Jean- Pierre Bemba Gombo pour conquérir le pouvoir dans le cadre de l’Union sacrée.

Ensemble pour la nation, Moïse Katumbi 51%

Le parti politique Ensemble pour la République a été créé le 18 décembre 2019 par Moïse Katumbi. Jusqu’avant sa mort en 2020, Pierre Lumbi était le secrétaire général du parti qui en fut le premier, remplacé en avril 2021 par Dieudonné Bolengetenge Balea.
Ensemble pour la République rejoint l’Union sacrée, une coalition parlementaire qui soutient le président Félix Tshisekedi, en décembre 2020. En décembre 2022, Moïse Katumbi annonce sa candidature à l’élection présidentielle prévue pour 2023. Tout comme le départ de son parti de l’Union sacrée. Plusieurs ministres, membres d’Ensemble pour la République, quittent alors le gouvernement Lukonde.

A2R d’Henriette Wamu : 50%

Le regroupement politique Alliance pour la Réforme de la République -A2R- figure parmi les 66 mouvements ayant atteint le seuil exigé par la loi électorale en vue des élections législatives du 20 décembre 2022. La formation politique de l’élue de la circonscription de la Funa à Kinshasa, a réussi là où beaucoup des ténors de la scène politique ont mordu la poussière. Cette première étape franchie, l’A2R et Henriette Wamu entrent dans la ligne droite des prochaines élections. La présidente du parti Alliance pour le progrès du Congo –APC- aligne les candidats non seulement pour offrir à Félix Tshisekedi une majorité confortable, mais surtout afin de lui permettre d’obtenir un second mandat à la tête du pays.
Cette démarche justifie sa loyauté au chef de l’État et à son parti, l’UDPS/Tshisekedi) dont elle a toujours été une alliée sûre. Enfin, l’A2R est membre du grand regroupement AAAP dirigé par le Haut Représentant de l’Autorité Morale,  Tony Kanku Shiku. 

Le Peuple d’abord




Respect des instructions officielles et gratuité de l’enseignement : Le gouverneur Willy Itsunda rappelle à l’ordre les acteurs pédagogique de sa province

Accompagné de Proved Espérant Ngotota, le gouverneur de la province de Kwilu, M. Willy Itsundala Gouverneur a ténu une grande réunion ce jeudi 28 septembre à 14 heures, dans la salle polyvalente de l’I.T.P.k de Kikwit/ville à l’intention des acteurs pédagogiques de la Province Éducationnelle Kwilu 2.
Selon le Proved Espérant Ngotota que nous avons eu au téléphone juste après cette rencontre, l’objectif de la réunion convoquée par le numéro 1 de la province de Kwilu été de rappeler à l’ordre les acteurs pédagogiques pour non seulement le respect de la gratuité de l’enseignement, mais aussi rassurer à ses collaborateurs de ce secteur de l’enseignement sa décision de punir les gens qui vont tenter d’être comme les électrons libres, qui s’illustrent par aucun respect des mesures prises par le chef de l’Etat. Ce comportement ne sera plus toléré, a déclaré le gouverneur aux participants, avant d’instruire au directeur provincial de Kwilu 2 de suivre de près le respect des instructions.
Sur le respect des instructions officielles et la Gratuite de l’Enseignement Primaire, le Proved Espérant Ngotota M et IPP Nsimba ont promis chacun selon son pouvoir d’accompagner le chef de l’État. Personne n’a le pouvoir d’aller au-delà des instructions et le calendrier scolaire, la gratuité de l’enseignement est gratuite et cela n’engage aucun débat, a déclaré Espérant Ngotota.
Cette grande réunion de rappel à l’ordre des acteurs pédagogique est le fruit du Proved Espérant Ngotota qui depuis son arrivée à la tête de cette province éducationnelle, la lutte contre les antivaleurs reste un élément clé dans la gestion et l’accompagnement des instructions données par le chef.

Jean-Luc Bakampenda




Arrivée Félix Tshisekedi dans le Haut Katanga: Jacques Kyabula appelle la population à lui réserver un accueil chaleureux

L’état de lieu de la province du Haut Katanga et l’accueil du président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo étaient au centre de la réunion du conseil des ministres de la province du Haut Katanga. Présidée le mardi 26 septembre 2023 dans la salle du banquet du gouvernorat par le gouverneur de province Jacques Kyabula Katwe, cette réunion avait 6 points inscrits à l’ordre du jour à savoir : la lecture et adoption de l’ordre du jour ; La lecture et adoption du compte rendu 0012 de la réunion du conseil des ministres du gouvernement provincial du Haut Katanga du 04 septembre 2023 ; Communication du gouverneur de province ; Situation sécuritaire ; Note circulaire numéro KB/VPM/PKK/034/2023 du 26 juin 2023 concernant les instructions à suivre pour la délivrance d’un permis d’import et de port d’arme à feu ; La réhabilitation du bâtiment de la division provinciale de la culture et des arts et exécution du monument Mufwankolo sur la place des artistes pour la promotion de la culture tant prônée par le président de la République.


Dans sa communication, le numéro 1 de la province du Haut Katanga a annoncé à l’exécutif de l’arrivée du président de la République dans la capitale cuprifère pour un séjour de travail. A cette occasion, Jacques Kyabula Katwe a appelé les membres de l’exécutif provincial à sensibiliser la population pour un accueil digne et chaleureux au premier citoyen de tous les Congolais sur le sol katangais.
Avec un agenda chargé, Félix Antoine Tshisekedi va profiter de son séjour pour effectuer quelques déplacements dans quelques coins de la province, question de palper du doigt l’évolution de l’exécution du programme de développement de 145 territoires. Selon le programme prévu à cet effet, le chef de l’Etat va se rendre à Kasenga, Kasumba Lesa, Mokambo, Sakania.
Au regard de l’agenda chargé du chef de l’Etat, le gouverneur de province a ainsi invité les uns et les autres à s’impliquer chacun dans son secteur de veiller à ce que le séjour du chef de l’Etat soit agréable et profitable pour la population katangaise.
Chaque ministre a présenté devant le conseil, l’état de lieu de son secteur et plusieurs recommandations ont été prises à l’issue de ces assises. Commencé à 14 heures juste, la réunion du conseil des ministres provinciaux du Haut Katanga a pris fin à 15h30 heure locale.

Osée Kalombo




Les Léopards affronteront l’Angola et nouvelle Zélande en amical

La Fédération congolaise de football (Fecofa) a officialisé ce jeudi le programme du mois d’octobre pour l’équipe nationale de la RD Congo. Au menu, un derby d’Afrique centrale très attendu ! Les Léopards, emmenés par leur sélectionneur Sébastien Desabre, affronteront en effet les Palancas Negras de l’Angola le 17 octobre prochain, dans le cadre d’un match amical international qui se déroulera dans la ville de Lisbonne, au Portugal.

Cette rencontre s’inscrit dans une dynamique de préparation intense pour les Léopards. En effet, la RDC a validé son billet pour la prochaine Coupe d’Afrique des Nations qui se déroulera à partir du mois de janvier en Côte d’Ivoire. Cet affrontement face à l’Angola permettra notamment au sélectionneur français d’ajuster sa stratégie et de tester certains éléments clés de son effectif en vue du grand rendez-vous continental après un mois de septembre bouclé par un succès décisif contre le Soudan (2-0) puis une défaite en Afrique du Sud en amical avec un onze remanié (1-0).

Mais la CAN n’est pas le seul objectif à l’horizon pour les Léopards. Les éliminatoires pour la prochaine Coupe du monde débuteront en effet en novembre. La RDC devra affronter la Mauritanie le 13 novembre, puis le Soudan le 20 novembre. Ces deux matchs seront déjà importants pour l’équipe nationale, qui rêve de se qualifier pour le tournoi mondial.

Les supporters des Léopards sont déjà dans les starting-blocks, impatients de voir leur équipe donner le meilleur d’elle-même lors de ces différentes échéances. Rendez-vous donc à Lisbonne le 17 octobre pour un derby qui s’annonce déjà électrique face à un adversaire lui aussi qualifié pour la CAN.

La Nouvelle-Zélande 4 jours plus tôt !

Avant leur rencontre contre l’Angola au Portugal, les Léopards de la RDC ont un autre rendez-vous de taille au programme. En effet, le 13 octobre, les Congolais croiseront le fer avec la Nouvelle-Zélande, classée 103e nation FIFA, à l’Estadio Nueva Condomina Murcia (désormais Estadio Enrique Roca de Murcia) en Espagne. Ce match amical n’aura évidemment pas la saveur d’un derby, mais il est loin d’être inintéressant pour autant. Il servira en quelque sorte de mise en bouche à l’affrontement contre l’Angola une poignée de jours plus tard.




Choléra dans le monde : L’OMS s’inquiète de la recrudescence mondiale

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a fait part de sa préoccupation quant à une augmentation généralisée des cas de choléra à l’échelle mondiale. D’après le nouveau rapport publié récemment par cette agence onusienne, 7 pays dans le monde dont la République démocratique du Congo, ont chacun rapporté en un nombre dépassant les 10.000 cas de choléra, suspects et confirmés.

Bien que les données sur le choléra demeurent limitées, les cas rapportés pour l’année 2022 ont dépassé plus de deux fois le nombre enregistré en 2021, a souligné l’OMS dans un nouveau rapport, publié vendredi, notant que 44 pays ont signalé des cas, soit une augmentation de 25% par rapport aux 35 pays qui ont signalé des cas en 2021. Selon cette agence onusienne, 7 pays, à savoir l’Afghanistan, le Cameroun, la République démocratique du Congo, le Malawi, le Nigéria, la Somalie, et la Syrie, ont chacun rapporté un nombre dépassant les 10.000 cas de choléra, suspects et confirmés.

“Le choléra est une infection intestinale aiguë qui se propage par les aliments et l’eau contaminés par des matières fécales contenant la bactérie Vibrio cholerae”, explique l’OMS, faisant savoir que cette maladie bactérienne est étroitement liée au manque d’eau potable et d’assainissement adéquat, dû au sous-développement, à la pauvreté et aux conflits. Et d’ajouter que le changement climatique contribue également de manière significative à cette recrudescence, car les phénomènes climatiques extrêmes tels que les inondations, les périodes de sécheresse et les cyclones engendrent de nouvelles épidémies tout en exacerbant celles déjà présentes.

D’après la même source, les données actuelles pour l’année 2023 laissent entrevoir la poursuite de cette recrudescence mondiale, sachant que 24 pays signalent actuellement des épidémies actives, avec certains d’entre eux se trouvant dans une situation de crise aiguë.

Il convient de noter que l’OMS a lancé un appel de fonds de 160,4 millions de dollars pour lutter contre le choléra dans le cadre du plan stratégique mondial de préparation, de préparation et de riposte. À cet égard, une somme de 16,6 millions de dollars a déjà été débloquée du Fonds d’urgence de l’OMS pour les situations d’urgence pour la riposte au choléra en 2022 et 2023.

Mamie Ngondo